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7r
m
if ^
L'ORDRE
DES .
FRANCS-MACONS0
•Z^ZÏ* TRAHI,
B T
LE SECRET
DES MOPSES
REVELE,
A AMSTERDAM,
M. DCC. XLV« .....
-en5 . • '
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:
P R E F A C E
NECESSAIRE.
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Je n'ai rien à dire fur h Mor
ceau qui regarde les Mopfes. : la
façon dont il eft écrit me .difpen-
fe d'y mettre ni Avertiffement
ni Tréface* ,'i . : ; .y ;
. . -.» .>. '.
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TABJUÉ
: T A B L E„
DES
: P I E C E S s-
LE
LE SECRET
DES
FRANCS-MACONS.
** a AU
XXI
AU TRES-VENERABLE
FRERE PROCOPE,
MEDECIN
ET FRANC-MACON,
ENERABLE,
VENERABLE,
El JJJL 1LRJV
****
A V ERT I S SE ME HT.-
DES
FR A NCS-MA CO NS.
.
Le Sec bL et des
Mê
Francs-Maçons. 7
C 4
4-o Le SECR.ET DES
/
Francs-Maçon «. 43
Francs-Maçons. 4?
i
Francs-Maçons. fj
m Loge, ér en présence du Vé
nérable Grand-Maitre? On sent
bien que quelqu'un qui a fait les
fraix de se présenter, poursuit jus
qu'au boutj& promet tout ce que
l'on exige de lui. Alors on lui
découvre la gorge, pour voir fi ce
n est point une femme qui se pré
sente î & quoiqu'il y ait des fem
mes qui ne vaillent guères mieux
que des hommes fur cet article,
on a la bonté de se contenter de
Cette légère inspection. On met
ensuite sur la mammclle gauche
du Récipiendaire la pointe d'un
Compas ; c'est lui-même qui le
tient de la main gauche ; il met la
droite sut l'Evangik , & il promet
d'observer tout ce que le Vénérable
Grand-Maitre lui a dit. II pro
nonce ensuite ce Serment : En
vas dìnfraBìtm, je permets que
ma langue soit arrachée , mon
E coeur
66 L e S e c r-et des
FRANCS<-M AÇON S, ©p
gé
(a) Et statuts [Hiram) duas eolumnas
in forticu Templi : cumque statuijfet colum~
itam dexteram,vocavit eam nomìnejachin:
stmiliter erexit columnam ficundam,& <vo?
cavit nomen ejus Booz. Ibid. vs. aï,
8o Le Secret des
1
Francs - M aç ons. $9
FIN.
SUP-
SUPPLEMENT
SECRET
DES
FRANCS-MACONS.
H
: ^zs.-sv.
RECEPTION
D U
MAITRE.
l 'Apprentis- Compagnon
qui veut se faire rece
voir Maitre, doit s'a-
dresser à quelque Maitre
déja reçu; de la même manière
qu'un 'Profane qui veut devenir
Franc- Maçon, est obligé de s'a*
dresser à quelqu'un des Frères, pouc
se faire proposer. La proposition
du Maitre, & la réponse de la Lo
ge , se font avec les mêmes céré
monies qui se pratiquent, à l'é-
H .2 gard
iî6 Reception
H 3
T18 JR. E C E V T. I Ò N
ÀBRE-'
du Maître. 133
ABREGE
DE L'HISTOIRÉ
DE HIRAM,
A D O N I R A M,
0 u
A D O R A M,
Architecte du Temple
DE SALOMON.
PO u r comprendre le rapport
qu'il y a entre cette Histoire,
& la Société des Francs -Maçons,
il faut savoir que leur Loge repré-
1 3 scn
13+ Receptï on
/
D lî Maître. 141
•i . . ' -
Ht
CATECHISME
DES
FRANCS-MAÇONS,
/ -
Francs-Maçons. 14^
Quelques-uns ajoutent, au* tircon-
fiances de ma Réceptitn.
R. A.
2>. K.
R. I.
<D. N.
R. Ja.
©. Kin.
R. Jakin.
lis prononcent le mot Jakin , ou Tua
après l'autre, ou tous deux ensemble- Le
vrai nom est Jacbin, mais les Francs-
Maçons disent communément Jakin,
2). Que veut dire le mot Jakin ì
R. C'est le nom d'une des deux
Colonnes d'airain qui croient
à la porte du Temple de Sa
lomon , auprès de laquelle
K 3 s'as
IfA Çatïcjhï«mb psi
«D. Qud-
i$6 Catechisme de»
eD. Quelle est sa longueur ?
R. De l'Occident à l'Orient.
D. Sa largeur ?
R. Du Midi au Septentrion.
*D. Sa hauteur ?
R. De la surface de la Terre, jus
qu'au Ciel.
eD. Et sa profondeur?
R. De la surface de la Terre Jus
qu'au centre.
*D. Pourquoi répondez-vous ainsi?
R. Pour donner à entendre, que
les Francs-Maçons font disper
ses par toute la Terre, & nc
forment pourtant tous ensem
ble qu'une Loge.
De quoi la Loge est-elle cou
verte?
R. D'un Dais céleste, parsemé
d'Etoiles d'or.
"D. Combien y a-t-il de fenêtres?
R. Trois.
2>. Ou
Fr a nc s -Maçon s. i$j
2). Pourquoi?
K. Comme lc Soleil termine sa
course à l'Occident; de mê
me les Surveillans se tiennent
à l'Occident ,- pour payer les
Ouvriers , & fermer la Loge.
D. Ou se tiennent les Maitres?
JR, Au Midi* un ryi , ì .'A.
R. Six s
Francs-Maçons. i5r
»! V .1
f R ANtS^M AÇOKS. iCr^
2). Pourquoi?
R. Pour aller chercher la Lu
mière,
HD. Comment voyagent les Mai
tres? Ou, D'ou venez-vous?
R- du Maitre. De l'Orient vers
ròccident. Ou , De 1X5-
rient, pour aller dans toutes
les parties de la Terre.
D. Pourquoi?
jR, du Maitre. Pdur répandre
la Lumière. ,
2). Si un de vos Frères étoit per
du, où le trouveriez-vous?
R. Entre l'Equerre St le Com-
pas.
%>. Quel est le nom d'un Ma-
(gueflions , /V# ì
quelques-unes des précéden
tes, lorsqu'un Franc -Maçon
étranger demande à être ad
mis dans une Loge.
<7). Qu'apportez-vous ï
R. Bon accueil au Frère Visi
teur.
On appelle Frères Visiteurs , les Francs-
Maçons qui ne sont point Membres de la
Loge où ils se présentent.
SERr
Ijz Serment de s ' ^
******************
SERMENT
Gentilhomme (*), jc
JP promets & je m'oblige de
vant Dieu , & cette honorable
Compagnie, de ne jamais révé
ler les Secrets des Maçons & de
la Maçonnerie, ni detre la cau
se directe ou indirecte que ledit
Secret íbit révélé, gravé, impri
mé, en quelque Langue & en
quelque caractère que ce soit. Je
pro-
(•) On a dit ci-dessus, que c'est le ti
tre que se donnent tous les Francs - Ma-
SfiUh nobles ou noq.
Francs-Maçons, i/jr
LE CHIFFRE
DES
FRANCS-MACONS.
- *
yA i / m n
7 /.' s f
-11 ' * .
i 1. ./-r.:'!".•'..' •.."^i .j
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3.-OJ st'p.v. .:' ;, .IV V . ... ; *
. CitïîltL i.À :. . . .'. ii'j 'r" f;
r:a >.! a .:v.
SIGNES,
SIGNES,
dès Francs-Maçons.
M * Pour
i8o Signeí et Mots des
M 4 'Bout
1 8'4 Signes et Mots des
r i.[ vu! mkv.î. :'. mni p.-..--; i s.îii
.
la Maçonnerie. iqj
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LE
LE SECRET
DES M OPSES
REVELE.
N *
I
****************** ***
******* ******
LE SECRET
DES MOPSES
/
REVELE.
1
214- Le Secret
FIN.
CHAN
1' - u I, >
Chanson des Apprenties .
Fierement
0 i »
3E g >| Ni
Freres et Compagnons2)e 2a Jdaçonne -
3 f=4=Pn f f
™ rie, .Sans- chagrinijnuiffbn diespâHrirs delà.
m. 3
rry&r - i e.yMunlr d'un rouye bord,
boni, Quepart
Quepar trois-
x:
E
( il 1
Soit célébré ton éloge,
Qu'il vole de toutes parts.
Autres Couplets , seul.
Soit que loin Phébus recule,
Soit que de près il nous brule,
Toujours cet Art nous défend.
C'est par la Géométrie,
Que fa noble Simétrie
Des cinq beaux Ordres dépend.
*
Faisons retentir fa gloire ,
Honorons- en la mémoire,
Par nos vers & nos chansons:
Que le jus de la vendange
Se répande à fa louange,
Parmi les bons Compagnons.
*********************
CHANSON DES APPRENTIFS.
Premier Couplet.
*
Le monde est curieux
De savoir nos ouvrages j
Mais tous nos envieux
N'en .seront pas plus sages.
Us tâchent vainement
De pénétrer nos secrets , nos mystères :
ìîs ne sauront pas seulement
Comment boivent les Frères.
*
Ceux qui cherchent nos mots,
Se vantant de nos signes,
Sont du nombre des sots,
De nos soucis indignes.
C'est vouloir de leurs dents
Prendre la Lune dans fa course altière.
Nous-mêmes serions ignorans ,
Sans le titre de Frère.
*
On a vu de tout tems,
Des Monarques , des Princes ,
Et quantité de Grands,
Dans toutes les Provinces,
Pour prendre un tablier,
Quit>
1 19 )
Quitter sans peine leurs armes guerrières
Et toujours se glorifier
D'être connus pour Frères,
VAntiquité répond
Que tout est raisonnable,
Qy'il n'est rien que de bon,
De juste & vénérable,
Dans les Sociétés
Des vrais Maçons & légitimes Frères.
Ainsi buvons à leurs santés,
Ec vuidons tous nos verres.
*
Joignons-nous main en main ,
Tenons-nous ferme ensemble,
Rendons grace au Destin
Du nœud qui nous assemble :
Et soyons assurés
Qu'il ne se boit sur les deux Hémisphères
Point de plus- illustres santés,
Que celles de nos Frères.
*
Par des moyens secrets,
En dépit de l'envie,
Sans rémords, fans regrets,"
Nous seuls gourons la vie.
Mais à des biens si grands
En
(21 )'
En-vain voudroit aspirer le vulgaire j
Nous-mêmes serions ignorans,
Sans le titre de Frère. •
*
Profanes, curieux
De savoir notre ouvrage ,
Jamais vos fbibles yeux
N'auront cet avantage.
Vous tâchez follement
De pénétrer nos plus profonds mystères j
Vous ne saurez pas seulement
Comment boivent les Frèrçs.
DUO
*********************
OUTRES CHANSONS NOUVELLES.
*
Accordez-nous votre suffrage,
O Sexe enchanteur j
Tout Franc-Maçon vous rend hommage^
Et s'en fait honneur.
C'est en acquérant votre estime,
Qu'il se rend digne de ce nom :
Qui dit un ennemi du crime,
Caractérise un Franc-Maçon.
POUR
< *5 )
Décembre 174.3.
X yA lanterne à la main,
En plein jour dans Athène,
Tu chcrchois un Humain,
Sévère Diogène.
De tous tant que nous sommet
Visite les maisons ,
Tu trouveras des hommes,
Dans tous nos Francs-Maçons;
L'heureuse Liberté
A nos Banquets préside \
L'aimable Volupté
A ses côtés réside ;
L'indulgente Nature
Unit dans un Maçon ,
Le charmant Epicure
Et le divin Platon.
m
Pardonne, tendre Amour,
b 5 Si
Si dans nos Assemblées
Les Nymphes de ta Cour
Ne sont point appellées.
Amour, ton caractère
N'est pas d'être discret ;
Enfant, pourrois-tu taire
Notre fameux Secret?
m -
Tu fais assez de maux,
Sans troubler nos mystères}
Tu nous rendrois rivaux ,
Nous Voulons être Frères,
Notre chère famille
Redoute les débats ,
Qu'enfante la Béquille
Du Père Barnabas.
m
Toutefois ne crois pas >
Que des ames fi belles
A voler fur tes pas
Soient constamment rebelles.
Nos soupirs font l'éloge
Des douceurs de ta loi ;
Au sortir de sa Loge ,
Tout bon Frère est à toi,
C*7>
************* ** ****
CHANSON
Surl'Áir:
««£§0»
Aux profanes nous Fannonçons,
Vlàc' que c'est, &C
(*9)
Modérés dans leurs passions,
Discrets près des Belles,
• Sincère, fidèles,
Amis parfaits, bons compagnons:
Vlà c' que c'est, &c.
AUTRE.
Mai*
( ?t )
8 m . N
Mais en quoi consiste, je vous prie;
La Maçonnerie ?
LeVénêr. Payer le tribut
A Tamitié tendre & chérie,. •' *
C'est le seul Statut
De notre charmant Instituts
mm
Fr. Quels plaisirs, quand le Ciel vous ras
semble,
Goûtez-vous ensemble ?
mm
Je lâvois , avant que ma personne
Devînt Franc-Maçonne ,
Garder le tacet;
C'est un art que le Ciel nous donne
Ce petit Colet
Répond que je ferai discret.
FIN.
CHANSONS
D E
LA TRE^S- VENERABLE
CONFRERIE
DES
FRANCS-MJCONS,
s
PRÉCÉDÉES
DE QUELQUES PIECES
DE POESIE.
il
*********************
N O R M A MORUM.
TRADUCTION EN VE RS,
*>"**><**>'*
APOLOGIE
Des Francs-Maçons ,
Par Frère Procope, Médecin éfFranc-
JMafon.
L£S FRANCS-MACONS.
/eut
m m
psi
.Tous c£e œ. nrj4I'rwn/i£ur de ruv
Si
^HaiiresixAl envi céléèrarur -Cejjàitr de leurs
Cl' . m • 0 m *
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dncê/rvs :Qt4£ /éc/io deuursnornsjffc^pe/aTérre 4.
>f\ntrr7\?\rjmm
/ Onde: Que ^ec&o de Zeejœrwmslfxy^e/alérnetlb'ià
9F-
fierement . r
— WT*
fr-*Wrg *—«i • m • V
'al,pteins a .'i^; noble ar-
1 'i;1 fui
Jaru-eic"tLÏunfarlètfxrience ch Jemcntrxz l'utzîi -
mnrp f
l'Orient, Où liirduteciure Civile
Citile Prit d'aècrd
a.
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1 \
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-cernent.
r v,. M
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lente ; Se^Secrees font noire lonfzeus
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g I 1 E a 1 j S
Hxul&tns, exaltonsJà rncujnificerice
bf— ? m •
S 1 gag
<2«i Rois montre la 4?runcicur .
c
Où paraii les loisirs
ÏD'une agréable vie,
On jouît des plaisirs
De la Maçonnerie.
Dam à fa postérité
Transmit de l'Art la connoiûance J
Et Caïnj par l'expérience
En démontra futilité:
C'est lui qui bâtit une Ville
Dans un Pays de l'Orient,
Où l' Architecture Civile
Prit d'abord son commencementJ
CHOEUR.
De notre Art chantons rercellesce:
Set
( H ) .f
Ses secrets font notre bonheur.
Exaltons fa magnificence ,
Qui des Rois montre la grandeur.
Autres Couplets , seul.
Jubal , le père des Pasteurs , .
Fut le premier qui fit des tentes,
Où paisible il vivoit des rentes
De ses innocentes sueurs.
Cette Architecture champêtre
Servit depuis pôur le Soldat ;
Et les Héros que Mars fait naitre,
L'embdliíTent de leur éclat.
*
Le mépris1 du divin Arnbuf
Fit que les Hommes fanatiques1 '
Bientôt après firent des briques £
Pour Babel la fametife Tour :
La différence du langage
Vînt déconcerter ces Maçons,
Qui renoncèrent à l'ouvrage ,
Contens d'habiter des maisons.
*
Mwïfe par le Giel guidf (*) ,
Bâtit l'auguste Sanctuaire,
Où des vérités la lumière
Par rOracle étoít annoncée.
Dès-lors la íainte Architecture
Pour l'Idole étoit profanée.
Et fa magnif^urfectuWf'
Charmoit le mortel étonne*.
*
Le pacifique Salomon
Avoir de son am*rávanïage'
D'être des Hommes te pto fîgr,
Et
(*) On prie h Poète {fra'ik-Maçon sans
Joute) de faire accorder ici les règftt œ la
Grammaire avec celles de la Ho'ifte.
Ët lé plus excellent Maçon í
11 érigea de Dieu le Temple, -
Qui sut le chef-d'œuvre de l'Art j
Et tous les Rois^ à son exemple,
Furest Maçons de toute part<
*
De l'Art toute k majesté
En Grèce, en Egypte, en Sicile,
A Rome, en France, en cette Villcj
D» là sut après transportée * *
Aujourd'hui nous paíïons l'Asie ,
Par la beauté des bâtimens :
Et mieux qu'elle avec l'ambrosie,
Nous buvons des vins excelleris.
On reprend le Chœur.
******** ******** **
CHANSON DES COMPAGNONS,
Premier Couplet , seul.
-Lentement _ -A- —
1 h.i.lW
lyH N II ' M IM 4 * " r\\-\ |
"i*,£r? divin,l'StreJtyorême 2)aùpna te donner lui-
IIP M
I M'ZZiOTZ,r-?,W-nciis/êrvir de Jbmpàr^pyarts: C^ue
H'
P
*dans ndtre illustreZioqe Soit celeSré ton é/oae
p r J|r p .f p-^^E
IM ange,J'armi les ions Compagnons .
D
CnA3srso:sr ujes Francs -Maçon
HOBS DES LOCES.
■ —
--
i i », --
iv
n * ve-neiT2Âi vr
|\ •• t
I•. J) . .f
AVERTISSEMENT DU LIBRAIRE.
*********************
ERRATA.
?*Ht lis, l'int 3 d'tnbut, tut-lie» de pag. 130,151.
î* page 120.
Les antres fautes pt fiât pas de onfîqtteact.
AU
(39)
AU RELIEUR.
IL faut conserver le papier blanc qui fè
trouve au dessous de i'Explication des
Planches I, II, IV, V, & VIII, afin de
les faire déborder hors du Livre par le côté.
Les pages , où les Planches doivent être
placées , sont marquées ci-defsous.
/
fa