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La mode a ses pièces inoxydables qui résistent à tout : la critique, l'inconfort,

les dérives esthétiques, la lassitude...


Parmi elles, la robe chemise est un mystère des plus répandus. Cet hybride
vestimentaire en forme de chemise (elle se boutonne à l'avant)
annonce le retour des beaux jours dans tous les bureaux de France. Son côté
"chemise" précisément produit d'abord
une impression fallacieuse, évoquant le sérieux professionnel et la décontraction
en même temps. Dans la pratique,
on est très loin de cette belle théorie stylistique. D'abord parce que la robe
chemise adopte souvent des volumes malheureux,
proches de la housse. Un effet "Moche et Travaux" qui s'accentue quand il s'agit
d'un modèle à fleurs : là, on est franchement
dans l'univers du canapé ou du cache-théière pour maison de campagne témoin.
Avec cette pièce, le malentendu semble inévitable. Quelques indices : 100 % de vos
collègues masculins vous ont tenu la porte
ce matin et la moitié au moins vous parle plus lentement et doucement qu'à
l'accoutumée, comme s'ils avaient peur de déranger ?
Votre voisin de table a fait des yeux de hibou quand vous avez commandé un verre
de bordeaux au déjeuner ? Toutes ces bonnes âmes
vous croient enceinte. La faute à la robe chemise qui, soit dit en passant, ne va
pas avec un soutien-gorge pigeonnant :

la poitrine triomphante étant un autre faux indice potentiel de bouleversement


hormonal. Autre malentendu courant, surtout cette saison :
l'effacement de la frontière entre robe chemise et chemise de nuit. La mode de
l'été 2015 préconise en effet le port d'un soulier
chausson disgracieux qui emprunte le pire de la claquette de piscine et de la
sandale Birkenstock. L'association - déjà visible dans la rue
- de ces objets avec une robe chemise induit de nouvelles mésaventures.

En effet, cette silhouette tout confort laisse penser que :

1) vous vous êtes échappée d'un hôpital quelconque en tenue de convalescente. C'est
sans doute la raison pour laquelle
votre conjoint a trois messages de vos collègues inquiets sur son portable.

2) vous donnez l'impression d'avoir eu une absence et d'être sortie de chez vous en
oubliant de vous habiller pour aller travailler
ou pratiquer toute autre activité sociale qui nécessite de ne pas avoir l'air de
tomber du lit.

Cela dit maintenant vous comprenez un peu mieux pourquoi au moins deux personnes
vous ont demandé si vous étiez somnambule.
Face à ces quiproquos, le problème majeur de la robe chemise devient évident. Avec
elle, il manque toujours quelque chose :
une jupe, un pantalon, voire un short, soit une pièce qui donne sa vraie valeur à
la chemise. C'est le moment de remettre le bas.

La mode s'est parfois mise au service des femmes. Au début du XXe siècle, elle a
par exemple créé la jupe-culotte,
un hybride d'un nouveau genre qui, comme son nom l'indique, associe le flou de la
jupe aux jambes de pantalon.
Cette innovation textile a permis aux avant-gardistes de tous poils d'enfourcher
des vélos bien avant qu'on invente
les shorts cyclistes et les concours de pédaleurs dopés. A cheval, à vélo, en
voiture, la jupe-culotte a incarné l'air de rien
une liberté de mouvement et, par extension, d'esprit. Une image de marque bien
sympathique en somme.
Hélas pour elle, les années 1960 ont donné la vedette au pantalon. Glamourisé par
des couturiers comme Yves Saint Laurent,
cet emprunt au vestiaire masculin milite depuis en beauté pour l'égalité des sexes.
De son côté, la jupe-culotte est désormais
au pantalon ce que le Minitel est aux ordinateurs et aux téléphones portables : un
prototype dépassé. Une bizarrerie
anachronique que l'on peut conserver par caprice ou par nostalgie.

Pire : privée de ses aspirations et valeurs libertaires, elle a vite dégénéré au


panthéon des vêtements symboles.
La voici désormais affublée de clichés peu aimables. On la considère volontiers
comme l'uniforme des femmes autoritaires
dans la lignée de Mme Musquin, du Père Noël est une ordure, plus que dans le genre
de Demi Moore période Harcèlement ;
cheftaine scoute à voix aiguë, contrôleuse de gestion à pilosité faciale sauvage
et autres chefs de rayon hydropiques
sont souvent représentés en jupe-culotte. Semelles de crêpe et collants mousse sont
en option.

LIGNE ANTI-GLAMOUR

Bien sûr, les indécrottables fans de vintage continuent de militer pour sa


réhabilitation, plutôt dans son incarnation années 1970,
comprendre à taille haute et ourlet flottant sous le genou. Cet acharnement
thérapeutique ne fait que souligner la triste vérité :
la jupe-culotte n'est qu'une fausse amie dont la ligne met essentiellement en
valeur les injustices de la nature.
Avec sa longueur coupe-mollet et ses volumes au flou pas forcément artistique,
cette pièce sied aux grandes filles minces
à jambes fines qui la porteront avec des sandales à talons, dont la féminité saura
réchauffer la ligne anti-glamour
de la jupe-culotte. Là, on obtient une ligne d'amazone arty moderne plutôt
intéressante.

Pour toutes les autres, la catastrophe guette. En plus de raccourcir la jambe, la


jupe-culotte tend à rapprocher
les fesses du sol, c'est mathématique. Pour peu qu'on vote pour une formule
radicale - jupe-culotte + sandales plates +
couleurs seventies (un joli camaïeu caca d'oie-orange douteux...) -, on est sûre
d'atteindre un but inespéré :
le look le plus contraceptif de la saison. Mais, la médecine ayant fait de gros
progrès de ce côté-là,
mieux vaut laisser faire les gynécologues. Et trouver une autre tenue pour faire
du vélo.

LES PIÈCES À SUCCÈS DE LA MODE SE DIVISENT EN DEUX CATÉGORIES : celles qui font
l'unanimité
(un sac griffé Hermès affublé d'un prénom de fille) et celles dont l'esthétique
douteuse fait débat.
Dans cette dernière catégorie, émerge un poids lourd dont on croise trop souvent le
profil pataud :
la basket compensée. Un hybride. Un égarement surtout. En accouplant une basket à
tige haute et une sandale compensée,
les savants fous de la mode ont donné naissance à ce soulier d'obédience
orthopédique que l'on jure confortable.
Faute d'avoir les arpions surchauffés, vous afficherez donc un peton de bébé
hippopotame. Et la grâce qui va avec.
Le tutu façon Fantasia est en option. "Oui mais c'est cool/tendance/décalé",
répliquent les membres inébranlables
de la secte du pied bot. C'est surtout la faute d'Isabel Marant : la sainte-
patronne des filles branchées a mis ces
objets à la mode en 2010 et, depuis, impossible de s'en débarrasser. Non seulement
la créatrice française écoule des
milliers de ses Willow et de ses Bobbie, mais un nombre vertigineux de petites
marques l'ont copiée.
Résultat : une invasion de pieds matelassés, arnachés par des bandes Velcro,
propulsés sur le macadam du haut d'une semelle
plus ou moins rebondie. On adore ou on déteste. Mais au-delà du pugilat
esthétique, il faut aussi penser à des règles simples :
celles de la perspective et des proportions. Sur une grande tige arpenteuse de
podium qui culmine vers le 1,80 m dont
au moins 1,10 m de jambes façon gazelle, ces baskets compensées ont un petit côté
massif tout en contraste et plutôt frais.
Mais ce côté terre à terre n'est pas franchement soluble dans la vraie vie.
D'abord, ces chaussures montantes enterrent
implacablement la cheville, cette attache que l'on peut avoir fine mais qui,
solidement enrobée tel un beau rôti bardé de gras,
ressemble à un cylindre dodu assez informe qui crée une illusion optique déprimante
: l'effet patte courte. Pour peu que l'on ait
les fesses basses et un jean taille basse, la métaphore pachydermique gagne
dangereusement en évidence. Si l'on ajoute
la démarche de catcheuse souvent inhérente au port de ces souliers, on se dit qu'il
est temps de laisser
la basket compensée aux gamines, clones à chignons "buns" qui envisagent le look
pied bot comme un signe de reconnaissance tribal.
Et en être ou pas, au fond, cela vous fait une belle jambe.

LA MODE "TOMBÉE DU LIT" A FAIT DES RAVAGES. Dans la catégorie beauté, le style
cheveux - faussement - décoiffés par
l'oreiller est devenu un indice de chic naturel. Cela s'appelle la tendance
bedhead, vocable trouvé par des personnes
qui ne dorment qu'avec des top-modèles de 22 ans ou n'ont pas de miroir dans leur
salle de bains. Côté mode, les collections ont
imposé le pyjama de ville, concept inventé par Hugh Hefner, l'octogénaire priapique
le plus célèbre au monde pour avoir engendré
le magazine Playboy et sa cohorte de produits dérivés. Drôle de modèle.
Et pour celles qui pensaient avoir touché le fond (du lit), la déception guette :
les créateurs n'ont rien trouvé de mieux pour
l'hiver que de réhabiliter la robe nuisette. Tout cela partait sans doute d'un bon
sentiment ? En tout cas d'un fantasme flatteur :
Jean Harlow, toutes boucles peroxydées dehors, en déshabillé de satin perle, ou
Elizabeth Taylor, en nuisette de dentelle moulante
dans La Chatte sur un toit brûlant. Revenons à la vraie vie. Celle où l'idée de la
chemise de nuit évoque le souvenir mitigé d'une
concierge (au demeurant tout à fait charmante) dotée d'une forte propension à
passer une grande partie de la matinée à vaquer à ses
occupations en robe de chambre assortie à la chemise de nuit et, le cas échéant,
aux bigoudis sous filet alignés sur la tête.

Une fois évacués les malentendus sur le glamour, reste à se pencher sur les aspects
pratiques. Un principe élémentaire pour commencer :
la robe lingerie n'est pas compatible avec l'usage quotidien des transports en
commun ou la vie professionnelle - sauf si on exerce
le métier assez peu répandu de mannequin pour sous-vêtements. Cette pièce peut donc
éventuellement faire office de robe du soir.
Mais que mettre en dessous de ce qui sert normalement de dessous ? Ce ne sont pas
les défilés qui pourront servir d'exemple :
sur une grande fille très mince à très petite poitrine qui arpente un podium
moquetté, pas besoin de soutien-gorge ou autres
accessoires destinés à satisfaire les principes de base de la décence et du
confort. Sauf que toute personne qui ne vit pas
sur un podium va devoir trouver une autre tactique.

Or un soutien-gorge - même sans bretelles - sous une pièce légère à tendance


moulante laisse des marques disgracieuses.
Même problème avec la culotte et d'éventuels collants. Une fois que l'on a enfilé
tout cela, la robe lingerie ressemble
à un chiffon de soie jeté sur un saucisson au ficelage asymétrique. Pas chic et
toujours pas très décent. A y réfléchir,
on mettrait bien un gilet. Et un pyjama. Alors on garderait cette "robe" pour les
soirées en couple. A la maison. L'été.
Pour l'instant, l'heure est venue de se rhabiller.

Le maillot de bain masculin a ses pièces inoxydables qui résistent à tout : la


critique, l'inconfort, les dérives esthétiques, la lassitude...
Parmi elles, le BOARDSHORT est un mystère des plus répandus. Cet hybride
vestimentaire en forme de semi pantalon
annonce le retour des beaux jours dans toutes les plages de France et d'espagne.
Son côté pantalon précisément produit d'abord
une impression fallacieuse, évoquant le sérieux professionnel et la décontraction
en même temps. Dans la pratique,
on est très loin de cette belle théorie stylistique. D'abord parce que le
boardshort adopte souvent des volumes malheureux au sauter
de la piscine ainsi qu'à sa sortie qui nous fait ressembler à un caniche douché
tant on peine à lui faire reprendre du volume,là !!
. Un effet "Moi,Moche et Travaux" qui s'accentue quand il s'agit d'un modèle à
fleurs : là, on est franchement
dans l'univers du canapé ou du cache-théière pour maison de campagne témoin, et
stephane plazza n'est pas loin pour relooker (reluquer au choix)
ton intérieur.et ce n'est pas fini dixit sfr !le port d'un soulier chausson
disgracieux qui emprunte le pire de la claquette de piscine
et de la sandale Birkenstock. L'association - déjà visible dans la rue (sic)- de
ces objets avec un boardshort induit de nouvelles mésaventures...

En effet, cette silhouette tout confort laisse penser que :


Cette innovation stylistique a permis aux avant-gardistes de tous poils
d'enfourcher des vélos au sortir de la piscine bien avant qu'on invente
les shorts cyclistes et les concours de pédaleurs dopés. A cheval, à vélo, en
voiture, le boardshort incarne l'air de rien
une liberté de mouvement et, par extension, d'esprit. Une image de marque bien
sympathique en somme du touriste allemand!!
(regarde bien !! ils ne sont jamais très loin!!)

Pour toutes les autres mésaventures, la catastrophe guette!! En plus de raccourcir


la jambe, le boardshot à rapprocher
les fesses du sol, c'est mathématique!! Pour peu qu'on vote pour une formule
radicale - boardshot + sandales plates +
couleurs seventies (un joli camaïeu caca d'oie-orange douteux...si il n'y a pas
d'allemand son cousin l'hollandais prend le relais!!)
-, on est sûr d'atteindre un but inespéré :
le look le plus contraceptif de la saison!!!! Mais, la maison Durex ayant fait de
gros progrès de ce côté-là,
mieux vaut la laisser faire. Et trouver une autre tenue pour aller de la
piscine...celle de jean claude Duss
et ses algues..une tenue au poil !! bon ok ça occupe les mains mais au moins de ce
côté là,toi, t'es tranquille !!
tu n'auras pas droit au remake les mains de la mer !

Avec cette pièce, le malentendu semble inévitable. Quelques indices : 100 % de vos
collègues masculins vous ont tenu la porte
ce matin et la moitié au moins vous parle plus lentement et doucement qu'à
l'accoutumée, comme s'ils avaient peur de déranger ?
Votre voisin de table a fait des yeux de hibou quand vous avez commandé un verre
de bordeaux au déjeuner ? Toutes ces bonnes âmes
vous croient enceinte. La faute à la robe chemise qui, soit dit en passant, ne va
pas avec un soutien-gorge pigeonnant :

la poitrine triomphante étant un autre faux indice potentiel de bouleversement


hormonal. Autre malentendu courant, surtout cette saison :
l'effacement de la frontière entre robe chemise et chemise de nuit. La mode de
l'été 2015 préconise en effet le port d'un soulier
chausson disgracieux qui emprunte le pire de la claquette de piscine et de la
sandale Birkenstock. L'association - déjà visible dans la rue
- de ces objets avec une robe chemise induit de nouvelles mésaventures.

En effet, cette silhouette tout confort laisse penser que :

1) vous vous êtes échappée d'un hôpital quelconque en tenue de convalescente. C'est
sans doute la raison pour laquelle
votre conjoint a trois messages de vos collègues inquiets sur son portable.

2) vous donnez l'impression d'avoir eu une absence et d'être sortie de chez vous en
oubliant de vous habiller pour aller travailler
ou pratiquer toute autre activité sociale qui nécessite de ne pas avoir l'air de
tomber du lit.

Cela dit maintenant vous comprenez un peu mieux pourquoi au moins deux personnes
vous ont demandé si vous étiez somnambule.
Face à ces quiproquos, le problème majeur de la robe chemise devient évident. Avec
elle, il manque toujours quelque chose :
une jupe, un pantalon, voire un short, soit une pièce qui donne sa vraie valeur à
la chemise. C'est le moment de remettre le bas
"J y crois encore, on est vivant tant Qu on est fort" disait Lara Fabian , une
phrase qui ,certes, ne veut strictement rien dire
mais qui permet aux candidates du parti "cet été le bikini c est pour moi ! " d y
croire encore un peu ...
Entre un combat "sysiphéen" contre le poil et une guerre acharnée livrée aux
surplus adipeux indésirables,
"l'épreuve du maillot" mérite son appellation douloureuse. Et légèrement inexacte :
il faudrait rebaptiser cet exercice de choix vestimentaire
"l'épreuve DES maillots", tant les options se sont multipliées......
et oui vous pensez tant à l'emballage qu'il faut se préparer à la suite ..le
déballage !!
et là gare aux surprises!! entre l'aventurier façon Indy, le couteau entre les
dents ,défriche ça à la manière massacre
à la tronçonneuse tant l'excitation est insupportable et le pseudo intello pressé
de sortir son "coupe coupe" pour en faire un bonzai ,
il est important d'abord de pensez à son propre maillot !! et d'un !!
Certes, c'est la saison où tout le monde est censé s'intéresser à des types en
shorts qui courent après la baballe
mais ce n'est pas une raison pour imiter les compagnes desdits "types en shorts".
Pourquoi ? Ces maillots de bain , dernier cri ,à découpes asymétriques, souvent
taillé dans des matières lamées et colorées,
est une aberration stylistique imaginée par des créateurs en mal de nouveautés.
Des alchimistes du mauvais goût qui ont séduit un public averti :
les femmes de footballeurs toujours ravies de mettre en avant leur plastique
très... plastique...!!
ahh canon de la beauté quand tu nous tiens....au bout de ton viseur!! un travail de
longue haleine incluant
l'intervention d'entraîneurs personnels et de champions du bistouri ; autrement
dit un acharnement chronophage incompatible
avec l'emploi de toute personne de sexe féminin dont le métier ne consiste pas à
"faire joli à côté de la Ferrari, la porsche, ou R8 " !!!!et de deux!!
et pour finir l'acceptation de soi :
de ton acceptation des lois de ta physique élémentaire. C'est-à-dire que le bikini
une fois plongé dans l'eau est soumis aux mouvements
du liquide sauf s'il est fixé très solidement au corps. Or aucun matériau n'a
encore été inventé à cet effet !!
qui n'a pas déjà jouer au jeu du fameux "remonté de bikini au sortir de la baignade
" (jeu à notation sur 10 )
sans compter l'effet transparence .. le fétichisme du vetement n'est pas loin
de ton envie de porter ce même maillot tout l'été car les traces de bronzage
symétriques qu'il induit supportent mal
le port d'un petit haut sexy pour s'afficher le soir. Et le look tachiste, ça fait
tache précisément!!!
A ce stade, les personnes sensées se réjouissent de racheter en noir clair
(comprendre bleu marine),
le une-pièce graphique et chic de la saison passée. D'autant que le compagnon de la
candidate à l'épreuve du maillot est rarement
un "type en short". C'est plutôt le "type dans le canapé qui hurle sur les types en
short".
Une autre raison de coller un carton rouge à cette fameuse épreuve du maillot !! et
de trois!!

Finalement , bienheureux sont les nudistes.... (je peux t'indiquer des spots...ahh
le pervers lol)

Pour finir , mon appart est situé au nord de valencia, j'ai écumé la région à une
époque où l'on n'avait pas besoin de dormir ...si tu vois ce que je veux dire !!
mais je ramollis , je préfère les siestas !!
le feuilleton t'a plu ?j'ai l impression d'être une lecture de chevet....
au moins si ça te fait rire , c'est ça de gagner !! (ici il pleut des
cordes..déprimant!!)

Holà que tal ?? Des vacances au soleil à ce je vois attend bouge pas je te rejoint
dans un mois ! J ai un appart la bas !!

Alors question métaphysique es tu trikini bikini monokini ou exokini ? Avec tous


ces bogosses au sourire ultra brite qui te court toute
l année , un peu de repos c est bien mériter ! Fais attention , la blonde en
vacances en Espagne est une espèce fort prisé !!
Pour les boîtes je te conseille d aller à benidorm .. C est heu comment dire l
antre d Ibiza !

Maintenant que tu es en Espagne , au soleil , dans la chaleur avec juste ces qq


bout de tissus pour couvrir l inavouable beauté
L'expérience quotidienne nous démontre en effet tous les jours que la moitié de
l'humanité peut être rangée parmi les fétichistes... ,
Je veux dire par là que toutes les femmes sont des fétichistes.... du vêtement...
Ce fétichisme exclusivement féminin du vêtement résulterait d'une pulsion
exhibitionniste refoulée mais sublimée :
la femme désirant se montrer, faire étalage d'elle-même, ne peut décemment pas se
pavaner tout nue. Quoique.
Alors, elle se cache derrière ces deux bouts de tissus, lequel est aussi un faire-
valoir qui attire l'œil et aguiche
(Eve la séductrice n'est décidément jamais bien loin..).
il faut comprendre alors pourquoi même les femmes les plus intelligentes se
comportent sans défense face aux exigences de la mode!!
le fétichisme féminin des vêtements est aussi motivé par la pulsion voyeuriste des
hommes
beeuuaaahh dit il avec le pot de bave sous le menton)...bref , nom de Zeus
séverine!! , je crève d'envie de voir ce foutu deux pièces qui tue sa race!!

La citadine drapé d un voile pudique pour en cacher les blessures cherche en vain
mon âme aux entournures de cet endroit où j'ai vécu et dont j'exhale un parfum de
luxure .Dans cette station balnéaire assombrie, l’œil rivé à sa montre où le temps
paresseux s’étire insolemment,Delphine, paré d’un sourire charmant,Implore le
destin pour que bientôt paraisse sous ses yeux bienveillants méphistophélès
Impatiente de lui délivrer l élixir de jouvence pour ravir les coeurs , dissoudre
le noir poison que l'amour distille et rendre à mon âme ses vertus candides
... La passion voile la raison , une nouvelle saison s etire , des ténèbres je
surgis..Au tréfonds de mon âme candide,L’amour distille de nouvelles envies au sein
des étreintes torrides où germent de ténébreuses passions....

"Je me reconnecte en espérant bien trouver un des tes messages un peu cintré mais
c'est bien ce qui me plait!" ...
j'ai bien d'autres facettes , je peux changer de style aussi bien que le
rythme...je suis une boule à facette !
que tiene un buen dia !! chica chica
Après l'image du petit baigneur

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