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Anne-Marie Houdebine-Gravaud
Dans La linguistique 2004/1 (Vol. 40), pages 143 à 156
Éditions Presses Universitaires de France
ISSN 0075-966X
ISBN 9782130544388
DOI 10.3917/ling.401.0143
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1. Gallimard, 1963.
jeté sur le monde, utilisée par bien des auteurs (p. 74-75), ou des
exemples de catégorisations, structurations sémantiques du blé,
herbe (p. 24), de la rivière traversée à la nage, différemment désignée et
donc représentée en anglais et en français, des diverses façons de
nommer la neige ou le vent (p. 264), le mal à la tête (exemple
emprunté à Martinet, p. 261-263). D’où une longue démonstra-
tion de cette imposition linguistique, des divergences existantes
entre langues aux plans lexicaux, syntaxiques (1re, 2e, 3e et
4e partie) ; et, de même, entre civilisations pensées en termes de
pratiques sociales, socioculturelles (5e partie). Pour aboutir au
constat qu’« une langue nous oblige à voir le monde d’une cer-
taine manière et nous empêche par conséquent de le voir
d’autres manières »5 (p. 273).
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CONNOTATION ET TRADUCTION
DE L’INCOMMUNICABILITÉ ET DE L’INVARIANCE
DE LA SCIENCE LINGUISTIQUE
DE LA SÉMANTIQUE AXIOLOGIQUE
CONCLUSION