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Guy de Maupassant – nouvelles fantastiques

Sur l’eau : Il y a dix ans, une mésaventure fantastique s'est arrivée à un marin qui part en croisière et
qui rame et manœuvre un canot. Il était curieux, enragé et toujours dans l'eau. Il est passionné de la
rivière. Celle-ci qu'elle est le pays des mirages et des fantasmagories, représente le héros de ce récit.
Le canotier que son bateau s'est immobilisé au plein milieu de la rivière, essaye de tirer l'ancre mais
sans aucun résultat. Alors à cause du brouillard, son imagination d'un danger qui va survenir dans un
instant à autre, le tourmente psychiquement tellement qu'il ressent à la fin une très grande peur qui
frappe d'horreur et paralyse. Du coup, il crie au secours mais sans aucun espoir. Il commence à boire
du rhum pour reprendre force. Tout à coup le brouillard a disparu et son état entame à se
tranquilliser par ce spectacle de la nature. Sous la lune, il passe la nuit et bientôt au petit jour la
délivrance par deux pêcheurs qui lui sauvent la vie et parviennent enfin à savoir la tragique
explication de l'immobilisation du bateau :  "C'était le cadavre d'une vieille femme qui avait une
grosse pierre au cou".

La peur (1) : Le capitaine du navire raconte une histoire à son équipage, en disant qu’il a eu peur. Un
homme corrige le capitaine, en expliquant selon lui ce qu'est la vraie peur, car pour lui, cela n'a rien à
voir avec le fait d'être "ému, agité".

Il l’a ressentie la première fois, en Afrique, dans le désert durant une tempête de sable. Ils étaient 2
amis, 8 spahis et quatre chameaux avec leurs chameliers. Mais ils étaient à court d’eau, accablés de
chaleur et de fatigue. Alors ils entendirent au loin un mystérieux tambour. Ils étaient tous
épouvantés et, pour ne rien arranger, un Arabe dit : « La mort est sur nous ». L’ami du narrateur
tomba de son cheval à cause d’une insolation. Pendant 2 heures on essaya de le réanimer... le
tambour battant toujours. Ça, c’est la peur « en face de ce cadavre aimé, dans ce trou incendié par le
soleil entre quatre monts de sable, tandis que l’écho inconnu jetait, à deux cents lieues de tout
village français, le battement rapide du tambour. »

La deuxième vraie peur fut durant un hiver dans une forêt du nord-est de la France en pleine
tempête, le narrateur, accompagné d'un guide, un paysan, se réfugia chez un homme qui avait tué
un braconnier et vivait avec ses deux fils mariés. Il pensait que le braconnier allait venir se venger
alors l’ambiance fut tendue toute la soirée et, lorsque le chien se mit à hurler, tout le monde fut
complètement angoissé ; alors on mit le chien dehors mais un visage se fit voir par une petite
fenêtre, à ce moment l’homme tira. Tout le monde resta figé toute la nuit de peur et on n'osa bouger
qu’au premier rayon de soleil. C'est alors qu'on découvrit le chien, mort d’une balle dans la tête.

Auprès d’un mort : c'est l'histoire d'un vieux monsieur mourant qui se posai chaque jour à 2 heures
sur un banc, le narrateur s'asseya à côté de lui et lui posa des questions sur le livre qu'il lisait. Ce livre
venait d'un philosophe allemand "Schopenhauer". le vieux monsieur conta qu'il connaissait
schopenhauer, et que ce qu'il se passait après sa mort était terrifiant. lui et un camarade devait le
surveiller, il semblait encore en vie. Un soir ils entendirent un bruit venant de sa chambre. Ils allèrent
voir dans chambre et ils ont appercu son visage complètement changé, grimacé. mais il s'agissait de
son dentier tombé au sol

Apparition : Le marquis de la Tour-Samuel, âgé de quatre-vingt-deux ans, se rappelle une histoire


étrange, survenue il y a cinquante-six ans, et de la frayeur qui l’obsède depuis lors.
En 1827, en garnison à Rouen, il rencontre un ami qu’il n’avait pas revu depuis cinq ans. Ce dernier a
l’air d’avoir pris cinquante ans : ses cheveux sont blancs et il marche courbé. Il lui demande, sous le
sceau du secret, d’aller dans son château prendre des papiers importants dans son secrétaire. Il ne
veut pas y aller lui-même, car, depuis la mort de sa femme (morte d'une maladie de cœur), il n’y a
pas mis les pieds.

Le marquis se rend au château, donne les papiers écrits par son ami au gardien afin de pouvoir
entrer, et monte dans la chambre. Il trouve les papiers, mais une empreinte dans un coussin
l'intrigue et il sent une présence dans la pièce. Une femme vêtue de blanc le regarde, elle lui
demande de la peigner (coiffer). Surmontant sa peur à la vue de cette apparition, il s’exécute. Puis la
femme s'enfuit, et l'homme fait de même.

De retour chez lui, il croit à une hallucination mais un cheveu coincé dans son bouton de chemise le
fait frissonner. Il fait porter finalement les papiers à son ami. Plus tard, cherchant à lui rendre visite, il
découvre que ce dernier a disparu. Prévenue, la police ne trouve ni la femme ni l’homme ; elle
clôture aussitôt le dossier.

Lui ? : M. Raymon écrit à un ami pour lui annoncer qu’il se marie. S'il se marie, c’est sans amour, c'est
surtout pour ne plus être seul. Il l'avoue c'est parce qu’il a eu une hallucination : un soir, en rentrant
chez lui, un homme était endormi dans le fauteuil de son salon, il s'approcha et vit cette personne
disparaître, depuis, il se sent constamment épié mais pour ne plus le voir apparaître il décide de se
marier pour ne plus être seul chez lui et constamment avoir peur

La Main : L'histoire se déroule au XIXème siècle. Au milieu d’une assemblée, M. Bermutier, juge


d’instruction, raconte une affaire inexplicable qui affolait Paris.

Il exerçait à Ajaccio et devait s’occuper de vendetta. Un jour, un Anglais s’installe en ville et devient
l’objet de rumeurs : il serait un personnage en fuite pour une affaire politique. Tous et chacun ont un
avis sur son compte. Cela intéresse bientôt le juge qui cherche à obtenir des renseignements sur Sir
John Rowell. C’est par la chasse que pratiquent les deux hommes que le contact se fait.

Plus tard, l'Anglais invite le juge dans sa demeure et lui montre sa collection d’armes. Au centre,
attachée par une grosse chaîne au mur, une main d’homme coupée au niveau de l’avant-bras, noircie
et asséchée par le temps. À l'expression de surprise du juge, l'Anglais répond : « C’est la main de mon
meilleur ennemi. » Interrogé sur la raison de cette chaîne, Sir Rowell répond que la main voulait
partir. Le juge croit à une plaisanterie.  

Une année plus tard, il apprend que l’Anglais a été assassiné. Il est mort étranglé, et la chaîne qui
retenait la main au mur a été brisée. L’homme semble avoir lutté, car autour de son cou se trouvent
des marques de strangulations, cinq trous au niveau de la gorge ainsi qu'un bout de doigt sectionné.

Le criminel n'est pas retrouvé, en revanche la main refait son apparition comme par magie sur la
tombe de Sir John Rowell, avec un doigt en moins.

La chevelure : Le narrateur visite un asile. Le médecin lui parle d’un fou en particulier qui a écrit un
journal. Le narrateur du cahier raconte que jusqu’à 32 ans, il a vécu heureux sans passion réelle ni
affolement de cœur.
Riche, il s’intéresse beaucoup aux antiquités et à leur vie passée. Il est amoureux des « femmes
d’autrefois ». Le jeune homme s’enferme dans le passé car il a peur de l’avenir. Il est tenté par un
meuble qui le trouble au point qu’il se sent obligé de le posséder et l’achète. Durant une semaine, il
vit une réelle relation amoureuse avec le meuble, il parle même de « lune de miel ». En le
manipulant, il trouve une chevelure de femme blonde. Il veut tout savoir de l’histoire de cette
chevelure. Il la remet à sa place dans le meuble avant de sortir mais il est troublé. Il se sent comme
amoureux. Il ne peut s’empêcher de manier et de toucher la chevelure, il la désire. Il passe ses
journées à la couvrir de baisers et une nuit, la femme à qui appartenait la chevelure revient et
chaque nuit, il couche avec elle. Il ne pouvait pas cacher son bonheur au point d’emmener la femme
jusqu’à ce qu’on remarque sa folie et qu’on l’enferme dans un asile d’aliénés et qu’on lui retire la
chevelure.
Le narrateur s’étonne de cette histoire et demande au médecin si la chevelure existe vraiment. Celui-
ci la lui lance et quand le narrateur la touche il se ressent un désir et une attirance malsaine ainsi
qu'un profond dégoût. Le médecin conclut avec ces paroles : « L’esprit de l’homme est capable de
tout. »

Le Tic : À Châtelguyon, petite station thermale d'Auvergne, dans la grande salle de l'hôtel, le
narrateur fait la connaissance d'un père et de sa fille.
Le père est affligé d'un tic fort singulier : "Chaque fois qu'il voulait atteindre un objet, sa main
décrivait un crochet rapide, une sorte de zigzag affolé". Il remarque aussi que, pour manger, sa fille
garde un gant à la main gauche.
Lors d'une promenade, le père raconte au narrateur d'où lui vient ce mal et pourquoi sa fille garde
pour manger un gant à la main gauche.
Sa fille a été enterrée vivante à la suite d'une maladie qui l'a fait passer pour morte. Mais, la nuit qui
suit l'enterrement, sa fille se présente à la maison, assurant qu'elle va bien et qu'un pilleur de
tombeau voulant lui voler ses bijoux provoqua son réveil en lui coupant le doigt. Le voleur se trouve
être le serviteur du père et voyant la fille en vie, il croit être en présence d'un fantôme et tombe
raide mort.

La Peur 2 : De nuit, dans un wagon du P.L.M., le narrateur (qui pourrait être Guy de Maupassant lui-
même) échange avec un voyageur inconnu au sujet des multiples visages que peut prendre le
sentiment de peur.
Alors que le train roule dans la nuit, les deux personnages perçoivent très brièvement et
indistinctement deux silhouettes autour d'un feu. Cette vision fugace leur inspire une émotion de
surprise, et le dialogue s'engage sur les différentes formes de peur que l'on peut rencontrer dans
l'existence.
Ils partagent tout d'abord quelques souvenirs respectifs issus de leurs propres expériences de vie. Le
narrateur commence par une rencontre d'autrefois en Bretagne, puis l'inconnu lui retranscrit un
témoignage qui lui fut raconté par l'écrivain russe Tourgueniev lors d'un séjour chez Gustave
Flaubert.
Le dialogue bascule ensuite vers une réflexion de type métaphysique : le narrateur argue que la base
de la peur est le questionnement que l'on a face à l'inconnu des situations, qu'elles soient de natures
humaines ou de natures inexpliquées. L'inconnu lui répond qu'à son sentiment la peur a une
origine mystique depuis la nuit des temps. Il ajoute être nostalgique de ne pas avoir pu connaître les
temps reculés où la science existait peu et ne pouvait ainsi tirer vers le rationalisme les émotions
primales de l'être humain face à cet inconnu qui le dépasse.
Le dialogue se termine sur l'évocation du choléra qui envahit Toulon, là où justement est passé ce
train. Les deux personnages font alors face à leur propre peur de se confronter à cette force invisible
qui ravage le pays, le train devenant une métaphore initiatique du chemin de vie de chacun vers
l'inconnu des forces des ténèbres.
Les derniers mots de leur dialogue bouclant la boucle avec ceux de la première phrase de la nouvelle.

Un fou ? : Un homme (Jacques) cachait tout le temps ses mains, un soir d'orage il fut invité chez le
narrateur. Ce dernier lui expliqua alors qu'il fait du magnétisme et donc contrôler les humains ainsi
que les animaux. Et la raison pour laquelle il cache ses mains est parcque qu'elles attirent les objets
une fois à découvert

Lettre d’un fou : Lettre d'un fou raconte la confession d'un homme qui doute de sa raison et qui
expose son état à son docteur.
Il doute de ses sens.
L’œil indique les dimensions, les formes et les couleurs. Et il trompe l’humain sur ces trois points. La
dimension car il ne peut voir ni l’infiniment petit, ni l’infiniment grand. Les formes car l’Homme (la
race humaine) ne peut voir le transparent et la couleur, car la couleur, c’est la façon dont les
matières réagissent à la lumière.
L’oreille indique les sons, la musique… Mais ce que l’on entend n’est autre qu’une vibration (stimulus
sonore) transformé en son par le tympan.
L’homme remet en question le jugement du Connu de la Réalité. Car la Réalité dépend entièrement
de nos sens et est donc fausse car nos sens sont limités.
L’homme se demande ensuite s’il peut voir l’Invisible. Il finit par le voir et en devient fou

Un cas de divorce : Pour plaider le divorce de Mme Chassel, son avocat cite plusieurs passages du
journal intime de son mari.
Les lectures des passages du journal intime de M. Chassel révèlent au lecteur et aux juges que celui-ci
éprouve un amour irraisonné pour les fleurs.
Au début du journal, avant l’union de M. Chassel et de la future Mme Chassel, celui-ci décrit
son utopie, une terre de beauté sans souillures. Il voit ensuite sa future épouse et en tombe
amoureux, la sentant d’une race supérieure à celle des autres femmes.
Mais après le mariage, M. Chassel se rend compte que ce n’est pas l’amour qui l’a poussé vers Mme
Chassel mais « l’imbécile emportement qui pousse le mâle vers la femelle ». Il se lasse de sa femme
tout de suite et n’éprouve plus que dégoût en la regardant.
Son amour pour les fleurs grandit encore et encore. Il décrit comment elles « l’accueillent » quand il
entre dans la serre. Il décrit aussi leurs yeux et le « rose qui mouille leurs lèvres de désir ».
M. Chassel est dendrophile.
Étant donné l’état mental de M. Chassel, l’avocat de Mme Chassel trouve donc légitime que sa
cliente demande le divorce et l’obtienne.

L’Auberge : À la saison des neiges, la famille Hauser quitte toujours son auberge de montagne pour
se mettre à l’abri dans la vallée de Loëche. Cette année-là, elle laisse derrière elle le vieux Gaspard
Hari et le jeune guide Ulrich Kunzi avec Sam, un gros chien de montagne. Ils sont chargés de
surveiller l’auberge durant l’hiver. Or, le cœur fendu à cause de sa séparation avec la jeune Louise
Hauser, Ulrich n’est guère enchanté de devoir passer autant de temps isolé du monde.
Si, au début, tout se déroule avec régularité et même un peu de monotonie, la situation devient vite
cauchemardesque. Le vieux Hari disparaît au cours d’une tentative de chasse. Resté seul avec Sam à
l’auberge, Ulrich tente de le retrouver en sillonnant la montagne. C’est cependant un échec. Las et
amer, de retour à l’auberge, il lui semble entendre dans son sommeil la voix pleine de reproches de
son vieux compagnon à l’agonie. Ulrich, impuissant et tourmenté, se fait sans cesse harceler par
cette voix. Pour lui échapper, il sombre dans l’alcoolisme, et la folie l’engloutit.
Quelle surprise pour les Hauser de retrouver leur ami fou et prématurément vieilli ! Louise Hauser,
en découvrant l'état de Ulrich, devient gravement malade et est guérie de justesse. C'était une
maladie de langueur que les médecins ont attribué au froid des montagnes.

Le Horla : lire fiches faites en classe

La Morte : La femme du narrateur est décédée. Après un séjour à Paris, celui-ci rentre chez lui et se
remémore les habitudes qu'elle avait. Il part se recueillir sur sa tombe où il lit l'épitaphe : « Elle aima,
fut aimée et mourut ». Il décide d'y rester la nuit et d'étranges phénomènes se produisent. Les
squelettes des défunts sortent de leurs tombes et effacent les mensonges écrits sur leurs épitaphes,
y inscrivant la vérité. Le narrateur court alors vers la tombe de sa femme et aperçoit l'inscription
modifiée en « Étant sortie un jour pour tromper son amant, elle eut froid sous la pluie et mourut ».

La Nuit : C'est une soirée comme les autres qui s'annonce pour un noctambule parisien. Quelques
signes toutefois semblent annoncer un évènement particulier.
Puis, peu à peu, le narrateur bascule dans le cauchemar, l'hallucination insoutenable : plus rien ne
bouge, il est seul dans la ville sur laquelle une chape plombée semble s'être abattue. Il sombre peu à
peu dans la folie et finit par nous annoncer, une fois sur les bords de la Seine, qu'il n'aura pas le
courage ou la force de remonter et qu'il mourra ici...
Amoureux de la nuit, fuyant le jour, le narrateur sent chaque soir, quand tombe l‘obscurité, son corps
et son esprit se transformer. Il déambule dans les rues de Paris et s’éveille au monde nocturne. Mais
depuis sa dernière sortie – quand était-ce ? il ne sait plus – le jour n’a pas reparu. Il était descendu
dans la rue comme à l’accoutumée, par une belle nuit d’été tout illuminée des lumières de la ville.
Après avoir flâné sur les Boulevards, il entre un moment dans un théâtre, puis il gagne l’Arc de
triomphe d’où il contemple, rêveur, les Champs Elysées.
Il s’attarde ensuite dans le Bois de Boulogne, où une sensation intense et inconnue l’envahit.
Lorsqu’il sort du bois, la ville s’est endormie, est devenue silencieuse et presque déserte. Il suit
quelque temps un convoi de maraîchers cheminant lentement en direction des Halles, puis bifurque,
pour atteindre la Bastille où il constate que l’obscurité s’est singulièrement épaissie.
En retournant vers le centre, il ne croise que quelques être isolés. L’éclairage public s’est éteint. Dans
la pénombre, il cherche le chemin des Halles. Un fiacre passe devant lui sans s’arrêter. Il finit par
s’égarer seul dans le noir : Il lance des appels qui restent sans réponse. Affolé, il sonne aux portes
cochères mais en vain. Parvenant finalement aux Halles, il s’aperçoit que les voitures des maraîchers
sont abandonnées et vides. Sa montre, qu’il consulte désespérément, s’est arrêtée. Eperdu, il
parvient aux berges de la Seine, pour constater qu’elle n’est plus qu’un mince filet d’eau glacée. Il
sent alors la vie se retirer de lui-même.
Le narrateur du conte introduit un récit rétrospectif visant à expliquer sa situation présente. Ce
retour en arrière présente tous les aspects d’un récit de cauchemar, comme le suggère le sous-titre
du conte, puisque les événements rapportés se terminent par la suppression du monde et du sujet
qui en a conscience. Cauchemar d’autant plus effroyable que le sujet ne s’en réveille pas : au
moment où le narrateur raconte son aventure nocturne, le cauchemar n’a pas cessé, le jour n’ayant
toujours pas reparu. Le texte est présenté comme s’il s’agissait du récit d’une mort imminente.

L’Homme de Mars : cette histoire porte entre le narrateur et un monsieur qui semblait fou, tout
commence quand ce monsieur demande au narrateur s'il croit en l'existence d'autres entités extra-
terrestres. Quand sa réponse fut oui, le monsieur déballa ses connaissances spatiales et tenta de
démontrer la présence de martiens, à la fin il dit même qu'il en a appercut

Qui sait ? : Le narrateur est protagoniste et misanthrope. Il aime la solitude. Un jour, alors qu’il


revient chez lui, il voit tous ses meubles sortir un à un de sa maison. Il ne dit rien à personne. Peu de
temps après, il contacte la police en disant qu’il a été victime d’un vol. Mais un jour, il ne se sent pas
bien, il décide donc d’aller voir un docteur. Celui-ci lui conseille de voyager. Il voyagea dans plusieurs
pays, puis il arriva en Normandie, et il passa dans une rue de boutiques d’antiquaires. Soudain, il
passe devant une des boutiques et voit ses meubles. Il entre, et achète trois de ses chaises. Le
lendemain, la police découvre alors que l’antiquaire a disparu, et les meubles aussi. Or, le seizième
jour, il reçoit une lettre de son jardinier, disant que tous ses meubles étaient revenus chez lui, mais il
préféra aller dans un asile, isolé de toute personne. Mais il lui reste une peur : celle que l’antiquaire
devienne fou et le rejoigne dans l’asile.

Le Loup : Le narrateur est invité à un dîner pour la Saint Hubert. On parla de chasse mais le marquis
d’Arville ne put participer a cette discussion car il ne chassait point. Il commença a expliquer
pourquoi personne ne chasse dans sa famille.
Son aïeul Jean habitait avec son frère cadet François dans leur château en Lorraine, les deux frères,
des colosses, n’ont qu’une passion : la chasse, ils y passent tout leur temps. Durant le féroce hiver
de 1764, un loup énorme est aperçu, il tue bêtes, chiens, enfants et femmes. Les frères d’Arville
organisent des battues, rien n’y fait, le loup « pense comme un homme ».
De retour d’une battue infructueuse, ils croisent le loup et partent aussitôt à sa poursuite dans les
ravins, les côtes jusqu’au moment où Jean heurte une branche de la tête et meurt sur le coup. Seul,
François ramène le corps de son frère au château quand il croise de nouveau le loup, il l’accule dans
un vallon, François installe son frère contre un rocher, lui dit « regarde, Jean, regarde ça » et de
s’élancer coutelas à la main vers la bête. La lutte s’engage, le loup cherche à lui ouvrir le ventre,
François l’étrangle et bientôt il sent la bête devenir flasque.
François rentre au château avec les deux cadavres. La veuve de Jean,raconta à son fils la tristesse de
la chasse, horreur qui s’est transmise de père en fils depuis.

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