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com/ Examen national du baccalauréat blanc Filière : Sciences expérimentales

Mathématique Durée : 3 heures Modèle 06 Prof : Fayssal Page 01
3p Exercice 01 Exercice 03
3p
On considère la suite (𝒖𝒏 )𝒏∈ℕ définie par : L’espace est menu d’un repère orthonormé (O,𝒊⃗ , 𝒋⃗,𝒌 ⃗⃗ )
𝟓𝑼𝒏
𝒖𝟎 = 𝟐 et 𝒖𝒏+𝟏 = pour tout 𝒏 ∈ ℕ. Soient les points 𝑨 (𝟏 𝟐 ; 𝟑) ; 𝑩 (𝟐 ; 𝟏 ; 𝟑) ; 𝑪 (𝟐 ; −𝟐 ; 𝟎) ;
𝟐𝑼𝒏 +𝟑
1) Calculer 𝒖𝟏 𝑫 (𝟐 ; 𝟎 ; 𝟐) 𝒆𝒕 𝑬(−𝟒 ; 𝟔 ; 𝟐) et (S) l’ensemble des points
0.5
2) Montrer par récurrence que: (∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝒖𝒏 − 𝟏 > 𝟎 . M(x ;y ;z) tels que : 𝒙(𝒙 − 𝟐) − 𝒚(𝟐 − 𝒚) + 𝒛(𝒛 − 𝟖) + 𝟏𝟒 = 𝟎
0.5 ⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝟑𝒊⃗ + 𝟑𝒋⃗ − 𝟑𝒌
𝟑 0. 25 1) a) Montrer que :⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩˄𝑨𝑪
0.5 3) Montrer que : ∀𝒏 ∈ ℕ; 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏)
𝟓 b) Montrer que : 𝒙 + 𝒚 − 𝒛 = 𝟎 est l’équation cartésienne
4) En déduire que la suite (𝒖𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵 est décroissante puis
0.5 du plan (ABC)
0.5 qu’elle est convergente.
2) a) Montrer que (S) est une sphère de centre 𝜴(𝟏 ; 𝟏 ; 𝟒) et
0.5 𝟑 𝒏
5) Montrer que: (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ ( ) . 0.5 de rayon R=2
𝟓
6) En déduire 𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 . b) Calculer d (Ω ; (ABC)) et déduire que le plan (ABC)
0.5 𝒏→+∞
0.5 coupe (S) suivant un cercle de rayon r à déterminer
3p Exercice 02
Un sac 𝑺𝟏 contient 4 boules rouges et 2 boules noires. c) Déterminer le triplet de coordonnées du point H centre
Un sac 𝑺𝟐 contient 2 boules rouges et une boule noire. 0.5 du cercle (C)
Toutes les boules sont indiscernables au toucher. 3) a) Déterminer une représentation paramétrique de la
1) On tire successivement et sans remise trois boules de 𝑺𝟏 0.25 droite (DE)
a) Calculer 𝑷(𝑨) , où 𝑨 ‘’ Obtenir trois boules rouge ” b) Montrer que la droite (DE) est tangente à la sphère (S)
0.5
b) Calculer 𝑷(𝑩) , où 𝑩 “Obtenir au plus deux boule rouge ‘’ 0.5 en un point K en déterminant leurs coordonnées
0.5
2) Maintenant on choisit au hasard l’un des sacs, puis on en Exercice 04
3p
tire une boule de ce sac. On considère les événements : A) 1) On pose : 𝐮 = 𝟏 − √𝟐 − 𝐢 ; calculer |𝐮|
0. 25
𝑺𝟏 : « choisir le sac 𝑺𝟏 » ; 𝑺𝟐 : « choisir le sac 𝑺𝟏 » 0.25 2) Montrer que (𝟏 + 𝐢)𝐮 = −√𝟐 × 𝐮 ̅
𝟑𝛑
𝑹 : « Obtenir une boule rouge » 0. 5 3) Déduire que 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ [𝟐𝛑]
𝟖
𝑵 : « Obtenir une boule noire ». B) On considère 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 𝐄 ; F et G d’affixes respectifs :
0. 5 a) Calculer la probabilité de choisir le sac 𝑺𝟐 et obtenir une
𝐳𝐄 = 𝟏 + 𝐢 𝐞𝐭 𝐳𝐅 = 𝟏 − 𝐢 et 𝐳𝐆 = −𝐢√𝟑
une boule rouge.
b) Calculer la probabilité d’obtenir une boule rouge. 1) Soit N l’image de F par l’homothétie h de centre G et de
0. 5
c) En déduire la probabilité d’obtenir une boule noire. 0.25 rapport 2 , montrer que : 𝐳𝐍 = 𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐)
0. 5
d) Sachant que la boule tirée est noire, quelle est la
0. 5
probabilité qu’elle soit tirée du sac 𝑺𝟏 ?
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𝛑
2) R la rotation de centre O et d’angle et A l’image du (𝐱−𝟏)𝐞𝒙−𝟏
𝟐 0.5
b) Montrer que : (∀𝐱 ∈ ]−∞; 𝟏[ − {𝟎}): 𝐟 ′ (𝐱) =
𝒙𝟐
point G et C est l’image de N par R −𝟐𝒍𝒏 𝒙
0. 5 et que (∀𝐱 ∈ ]𝟏; +∞[): 𝐟 ′ (𝐱) =
𝒙
Montrer que : 𝐳𝐀 = √𝟑 et 𝐳𝐂 = 𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢 ∗
0.5 c) Dresser le tableau de variation de f sur ℝ en justifiant
3) T la translation de vecteur 𝐮
⃗⃗ d’affixe 𝟐𝐢 et B l’image du
votre réponse
point N et D est l’image de G par T
0.25
4) a) Justifier que le point A(1 ;1) est un point d’inflexion
Montrer que : 𝐳𝐁 = 𝟐 + 𝐢√𝟑 et 𝐳𝐃 = (𝟐 − √𝟑)𝐢
0.5 de la courbe (𝐂𝐟 )
4)a) Montrer que E est le milieu de [𝐀𝐂] et [𝐁𝐃]
0.25 𝐳𝐂 −𝐳𝐄 0.5 b) Montrer que et que (∀𝐱 ∈ ]𝟏 ; +∞[) :
b) Vérifier que = 𝐢 ; puis en déduire que quadrilatère
𝐳𝐁 −𝐳𝐄 𝟐 (𝒍𝒏(𝒙) − 𝟏)
0.5 ABCD est un losange 𝐟 ′′ (𝐱) =
0.5 𝒙𝟐
Problème : c) Montrer que 𝑩(𝒆; 𝟎) est un point inflexion de (𝐂𝐟 )
8p
Soit f une fonction définit sur ℝ∗ par :
𝟏 5) Soit g la restriction de la fonction f sur 𝑰 = ]𝟏; +∞[
𝒇(𝐱) = 𝐞𝒙−𝟏 ∶𝒙<𝟏
{ 𝒙
0.25 a) Montrer que g admet une fonction réciproque
𝒇(𝒙) = 𝟏 − (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 ; 𝒙 ≥ 𝟏
𝒈−𝟏 définie sur 𝑱 (à déterminer)
(𝑪𝒇 ) Est la courbe représentative de f dans un repère 0.5 b) Déterminer 𝒈−𝟏 (𝒙) pour tout 𝒙 ∈ ]𝟏; +∞[
orthonormé (𝑶; 𝒊⃗; 𝒋⃗) d’unité 1cm 1
0.5
6) Tracer (𝐂𝐟 ) et (𝐂𝒈−𝟏 ) dans le repère orthonormé
1) Montrer que la fonction f est continue en 1
0. 5 2) Calculer 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦−𝒇(𝐱) puis interpréter les (𝐎 ; ⃗𝐢 ; ⃗𝐣)
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎
7)a) Montrer 𝑯: 𝒙 ⟼ 𝒙𝒍𝒏 (𝒙) − 𝒙 est une primitive de la
résultats géométriquement 0.75
fonction 𝒉: 𝒙 ⟼ 𝒍𝒏 (𝒙) sur ]𝟏; +∞[ puis en déduire que:
3) a) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) puis interpréter le résultat 𝒆
0.5 𝐱→−∞
∫ 𝒍𝒏 (𝒙) 𝒅𝒙 = 𝟏
géométriquement 𝟏
𝐟(𝐱) b) Par une intégration par partie montrer que:
0.75 b) Calculer 𝐱→+∞
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) et montrer que 𝐥𝐢𝐦
𝐱→+∞ 𝐱
=𝟎 𝒆
0.5 ∫ (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 𝒅𝒙 = 𝐞 − 𝟐
(𝑻𝒖 𝒑𝒆𝒖𝒙 𝒑𝒐𝒔𝒆𝒓 𝒕 = √𝒙)
0.25 𝟏
c) Déduire la branche infinie de (𝑪𝒇 ) au voisinage de +∞ 𝟐
c) Calculer, en 𝒄𝒎 , l’aire du domaine limité par la
0.5 4) a) Montrer que f est dérivable au point d’abscisse 1 et courbe(𝑪𝒇 ), la droite (𝐎𝐱) et les droites d’équations
que 𝒇’(𝟏) = 𝟎 0.25
𝒙 = 𝟏 et 𝒙 = 𝒆 .
Fin du sujet
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Solution d’exercice 01 (3 points) 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏)(𝟐 − 𝟐𝒖𝒏 )
=
On considère la suite (𝒖𝒏 )𝒏∈ℕ définie par : 𝒖𝒏 + 𝟐
𝒖𝟎 = 𝟐 et 𝒖𝒏+𝟏 =
𝟓𝑼𝒏
pour tout 𝒏 ∈ ℕ. 𝟔(𝒖𝒏 − 𝟏)(𝟏 − 𝒖𝒏 )
𝟐𝑼𝒏 +𝟑 =
𝟓(𝟐𝒖𝒏 + 𝟑)
1) Calculer 𝒖𝟏
Et on a 𝒖𝒏 − 𝟏 > 𝟎 donc 𝟏 − 𝒖𝒏 < 𝟎 et 𝟓(𝟐𝒖𝒏 + 𝟑) > 𝟎
𝟓𝑼𝟎 𝟓×𝟐 𝟏𝟎 𝟔(𝒖𝒏 −𝟏)(𝟏−𝒖𝒏 )
𝒖𝟏 = = = Donc ≤ 𝟎;
𝟐𝑼𝟎 + 𝟑 𝟐 × 𝟐 + 𝟑 𝟕 𝟓(𝟐𝒖𝒏 +𝟑)
2) Montrer par récurrence que: (∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝒖𝒏 − 𝟏 > 𝟎 . 𝟑
Donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 − (𝒖𝒏 − 𝟏) ≤ 𝟎
𝟓
 Pour n=0 on a 𝒖𝟎 − 𝟏 = 𝟐 − 𝟏 = 𝟏 > 𝟎 , qui est vraie 𝟑
 Soit n un entier naturel, D’où (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏)
𝟓
Supposons que 𝒖𝒏 − 𝟏 > 𝟎 et montrons que 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 > 𝟎. 2ème méthode : (l’encadrement)
𝟓𝑼𝒏 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏)
𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 = −𝟏 𝑶𝒏 𝒂 𝒅′ 𝒂𝒑𝒓é𝒔𝒍𝒂 𝒒𝒖𝒆𝒔𝒕𝒊𝒐𝒏 𝟏) ∶ 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 =
𝟐𝑼𝒏 + 𝟑 𝟐𝑼𝒏 + 𝟑
𝟓𝑼𝒏 − (𝟐𝒖𝒏 + 𝟑) 𝟑𝒖𝒏 − 𝟑 En a 𝒖𝒏 ≥ 𝟏 c-à-dire 𝟐𝒖𝒏 ≥ 𝟐 donc 𝟐𝒖𝒏 + 𝟑 ≥ 𝟓
= = 𝟏 𝟏
𝟐𝑼𝒏 + 𝟑 𝟐𝑼𝒏 + 𝟑
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ ≤ 𝒆𝒕 𝒐𝒏 𝒂 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏) > 𝟎
𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏) 𝟐𝒖𝒏 + 𝟑 𝟓
= 𝟏 𝟏
𝟐𝑼𝒏 + 𝟑
𝐃’𝐨ù: × 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏) ≤ × 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏)
On a 𝒖𝒏 − 𝟏 > 𝟎 donc 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏) > 𝟎 𝟐𝒖𝒏 + 𝟑 𝟓
Et on a 𝒖𝒏 − 𝟏 > 𝟎 donc 𝟐𝒖𝒏 + 𝟑 > 𝟓 donc 𝟐𝒖𝒏 + 𝟑 > 𝟎 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏) 𝟑
𝑫𝑶𝑵𝑪: ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏 )
Donc
𝟑(𝒖𝒏 −𝟏)
> 𝟎 donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 > 𝟎 𝟐𝑼𝒏 + 𝟑 𝟓
𝟐𝑼𝒏 +𝟑 𝟑
D’où 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏)
D'après le principe de récurrence, on a : (∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝒖𝒏 − 𝟏 > 𝟎 𝟓
𝟑 2) En déduire que la suite (𝒖𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵 est décroissante puis qu’elle est
1) Montrer que : ∀𝒏 ∈ ℕ; 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏)
𝟓 convergente.
Soit n un entier naturel, Soit n un entier naturel,
1ère méthode : ( la différence) 𝟑
On a 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏) et 𝒖𝒏 − 𝟏 > 𝟎
𝟑 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏) 𝟑 𝟓
𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 − (𝒖𝒏 − 𝟏) = − (𝒖𝒏 − 𝟏 ) 𝟑
Donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏) ≤ 𝒖𝒏 − 𝟏
𝟓 𝟐𝑼𝒏 + 𝟑 𝟓 𝟓
𝟏 𝟏 Donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ 𝒖𝒏 − 𝟏
= 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏)( − ) Donc 𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝒖𝒏
𝟐𝒖𝒏 + 𝟑 𝟓
𝟓 − 𝟐𝒖𝒏 − 𝟑 D’où la suite (𝒖𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵 est décroissante
= 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟏)( ) On a la suite (𝒖𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵 est décroissante et minorée par 1 donc elle
𝟓(𝟐𝒖𝒏 + 𝟑)
est convergente
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𝟑 𝒏 4) En déduire 𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 .
3) Montrer que: (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ ( ) . 𝒏→+∞
𝟓
1ère méthode : (par récurrence) On a (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝒖𝒏 − 𝟏 > 𝟎
𝟑 𝟎 𝟑 𝒏
 Pour n=0 on a 𝒖𝟎 − 𝟏 = 𝟐 − 𝟏 = 𝟏 ≤ ( ) = 𝟏 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝟎 < 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ ( )
𝟓 𝟓
La propriété est donc vraie pour n = 0 𝟑 𝟑 𝒏
𝑬𝒕 𝒐𝒏 𝒂 ∶ −𝟏 < < 𝟏 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝐥𝐢𝐦 ( ) = 𝟎
 Soit n un entier naturel, 𝟓 𝒏→+∞ 𝟓
𝟑 𝒏 𝟑 𝒏+𝟏 Donc d’prés théorème d’encadrement on a : 𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 − 𝟏 = 𝟎
Supposons que 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ ( ) montrons que 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ ( ) . 𝒏→+∞
𝟓 𝟓
D’où 𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 = 𝟏
𝟑 𝒏 𝟑 𝟑 𝒏+𝟏 𝒏→+∞
On a 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ ( ) donc (𝒖𝒏 − 𝟏) ≤ ( )
𝟓 𝟓 𝟓 Solution d’exercice 02 (3 points)
𝟑
Et on a d’aprés la question précédente 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏) Un sac 𝑺𝟏 contient 4 boules rouges et 2 boules noires.
𝟓
𝟑 𝟑 𝒏+𝟏 Un sac 𝑺𝟐 contient 2 boules rouges et une boule noire.
Donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏) ≤ ( )
𝟓 𝟓 Toutes les boules sont indiscernables au toucher.
𝟑 𝒏+𝟏 1) On tire successivement et sans remise trois boules de 𝑺𝟏
Donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ ( )
𝟓
𝟑 𝒏
a) Calculer 𝑷(𝑨) , où 𝑨 ‘’ Obtenir trois boules rouge ”
D'après le principe de récurrence, on a (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ ( ) 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨)
𝟓
𝒑(𝑨) =
2ème méthode : 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀)
On a ; (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏)
𝟑 𝑨𝟑𝟒 𝟒 × 𝟑 × 𝟐 𝟏
𝟓 = 𝟑= =
𝟑 𝑨𝟔 𝟔 × 𝟓 × 𝟒 𝟓
Pour n=0 on a : 𝒖𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝟎 − 𝟏)
𝟓 b) Calculer 𝑷(𝑩) , où 𝑩 “Obtenir au plus deux boule rouge ‘’
𝟑
Pour n=1 on a : 𝒖𝟐 − 𝟏 ≤ (𝒖𝟏 − 𝟏) ̅ ;𝑹
(𝑹 ; 𝑹 ̅ ) ou (𝑹 ; 𝑹 ; 𝑹
̅)
𝟓
…. 1ère méthode :
𝟑
Pour n-2 on a : 𝒖𝒏−𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏−𝟐 − 𝟏) On a l’événement contraire de B est l’événement A donc
𝟓
𝟑 𝒑(𝑩) = 𝟏 − 𝒑(𝑨)
Pour n-1 on a : 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏−𝟏 − 𝟏) 𝟏 𝟒
𝟓
=𝟏− =
On multiplie les inégalités terme à terme car sont positives, on 𝟓 𝟓
trouve : 2 ème méthode :
𝟑 𝟑
(𝒖𝟏 − 𝟏)(𝒖𝟐 − 𝟏). . . (𝒖𝒏 − 𝟏) ≤ (𝒖𝟎 − 𝟏) (𝒖𝟏 − 𝟏) … (𝒖𝒏−𝟏 − 𝟏)
𝟑 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩)
𝟓 𝟓 𝟓 𝒑(𝑨) =
𝟑 𝒏 𝟑 𝒏
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀)
C-à-dire : 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ ( ) (𝒖𝟎 − 𝟏) . D’où (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ ( ) 𝟑(𝑨𝟏𝟒 × 𝑨𝟐𝟐 ) + 𝟑(𝑨𝟐𝟒 × 𝑨𝟏𝟐 ) 𝟒
𝟓 𝟓
= =
𝑨𝟑𝟔 𝟓
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2) On choisit au hasard l’un des sacs, puis on en tire une boule Shématisons d’abord l’expérience de l’exerice :
On considère les événements :
𝑺𝟏 : « choisir le sac 𝑺𝟏 » 𝟒 𝑹 ∗ 𝑷(𝑺𝟏 ∩ 𝑹) = 𝑷(𝑺𝟏 ) × 𝑷𝑺𝟏 (𝑹)
𝑷𝑺𝟏 (𝑹) =
𝟔
𝑺𝟐 : « choisir le sac 𝑺𝟏 »
𝑹 : « Obtenir une boule rouge »
𝑺𝟏
𝑵 : « Obtenir une boule noire ».
𝟏
𝑷(𝑺𝟏 ) =
Rappel de cours : 𝟐
𝑷𝑺𝟏 (𝑵) =
𝟐
𝑵
𝟔 ∗ 𝑷(𝑺𝟏 ∩ 𝑵) = 𝑷(𝑺𝟏 ) × 𝑷𝑺𝟏 (𝑵)
 Probabilité conditionnelle :
La probabilité de l’événement 𝐁 sachant que de l’événement 𝐀 est
𝟐 𝑹 ∗ 𝑷(𝑺𝟐 ∩ 𝑹) = 𝑷(𝑺𝟐 ) × 𝑷𝑺𝟐 (𝑹)
réalisé est le nombre noté 𝐏𝐀 (𝐁) ou 𝐏(𝐁/𝐀) défini par : 𝑷𝑺𝟐 (𝑹) =
𝟑
𝟏
𝐏(𝐀 ∩ 𝐁) 𝑷(𝑺𝟐 ) =
𝑺𝟏
𝐏𝐀 (𝐁) = 𝟐

𝐏(𝐀)
 Loi des probabilités totales : 𝑷𝑺𝟐 (𝑵) =
𝟏
𝟑 𝑵 ∗ 𝑷(𝑺𝟐 ∩ 𝑵) = 𝑷(𝑺𝟐 ) × 𝑷𝑺𝟐 (𝑵)
̅ ),
On a : 𝐏(𝐁) = 𝐏(𝐁 ∩ 𝐀) + 𝐏(𝐁 ∩ 𝐀
̅ ) × 𝐏𝐀̅ (𝐁).
Donc 𝐏(𝐁) = 𝐏(𝐀) × 𝐏𝐀 (𝐁) + 𝐏(𝐀 Le sac 𝑺𝟏 contient 4 boules rouges et 2 boules noires.
Le sac 𝑺𝟐 contient 2 boules rouges et une boule noire.
a) Calculer la probabilité de choisir le sac 𝑺𝟐 et obtenir une boule
𝟏 𝟒 𝟏
rouge : 𝑷(𝑺𝟏 ∩ 𝑹) = 𝑷(𝑺𝟏 ) × 𝑷𝑺𝟏 (𝑹) = × =
𝟐 𝟔 𝟑
b) Calculer la probabilité d’obtenir une boule rouge.
𝑷(𝑹) = 𝑷(𝑺𝟏 ∩ 𝑹) + 𝑷(𝑺𝟐 ∩ 𝑹) = 𝑷(𝑺𝟏 ) × 𝑷𝑺𝟏 (𝑹) + 𝑷(𝑺𝟐 ) × 𝑷𝑺𝟐 (𝑹)
𝟏 𝟒 𝟏 𝟐 𝟏 𝟐 𝟐
= × + × = + =
𝟐 𝟔 𝟐 𝟑 𝟑 𝟔 𝟑
c) En déduire la probabilité d’obtenir une boule noire.
On a l’événement N’’obtenir une boule noire’’ est l’événement
contraire de R’’ obtenir une boule rouge ’’, donc
𝟐 𝟏
𝑷(𝑵) = 𝟏 − 𝑷(𝑹) = 𝟏 − =
𝟑 𝟑
d) Sachant que la boule tirée est noire, quelle est la probabilité
qu’elle soit tirée du sac 𝑺𝟏 ?
𝟏 𝟐
𝑷(𝑵∩𝑺𝟏 ) 𝑷(𝑺𝟏 )×𝑷𝑺𝟏 (𝑵) × 𝟏 𝟏
𝑷𝑵 (𝑺𝟏 ) = = = 𝟐 𝟔
𝟏 = × 𝟑=
𝑷(𝑵) 𝑷(𝑵) 𝟔 𝟐
𝟑
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Solution d’exercice 03 (3 points) 2) a) Montrer que (S) est une sphère de centre 𝛀(𝟏 ; 𝟏 ; 𝟒) et de
L’espace est menu d’un repère orthonormé (O,𝒊⃗ , 𝒋⃗,𝒌 ⃗⃗ ) rayon R=2
Soient les points 𝑨 (𝟏 𝟐 ; 𝟑) ; 𝑩 (𝟐 ; 𝟏 ; 𝟑) ; 𝑪 (𝟐 ; −𝟐 ; 𝟎) ; 1ère méthode :
𝑫 (𝟐 ; 𝟎 ; 𝟐) 𝒆𝒕 𝑬(−𝟒 ; 𝟔 ; 𝟐) et (S) l’ensemble des points On a : 𝐱(𝐱 − 𝟐) − 𝐲(𝟐 − 𝐲) + 𝐳(𝐳 − 𝟖) + 𝟏𝟒 = 𝟎
M(x ;y ;z) tels que : 𝒙(𝒙 − 𝟐) − 𝒚(𝟐 − 𝒚) + 𝒛(𝒛 − 𝟖) + 𝟏𝟒 = 𝟎 Donc 𝐱 𝟐 − 𝟐𝐱 + 𝐲 𝟐 − 𝟐𝐲 + 𝐳 𝟐 − 𝟖𝐳 + 𝟏𝟒 = 𝟎
𝑨𝑩˄ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
1) a) Montrer que :⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗
𝑨𝑪 = 𝟑𝒊⃗ + 𝟑𝒋⃗ − 𝟑𝒌 Donc 𝐱 𝟐 − 𝟐𝐱 + 𝟏𝟐 + 𝐲 𝟐 − 𝟐𝐲 + 𝟏𝟐 + 𝐳 𝟐 − 𝟖𝐳 + 𝟒𝟐 = 𝟏𝟐 + 𝟏𝟐 + 𝟒𝟐 − 𝟏𝟒
Rappel : Expression analytique du produit vectoriel Donc (𝐒): (𝐱 − 𝟏)𝟐 + (𝐲 − 𝟏)𝟐 + (𝐳 − 𝟒)𝟐 = 𝟐𝟐
𝒙 𝒙′ Donc (S) est une sphère de centre 𝛀(𝟏 ; 𝟏 ; 𝟒) et de rayon 𝐑 = 𝟐
⃗⃗ = (𝒚) ∧ (𝒚′) = |𝒚 𝒚′| 𝒊⃗ − | 𝒙 𝒙 ′ | 𝒋⃗ + | 𝒙 𝒙′ | ⃗𝒌⃗
′
⃗𝐔⃗ ∧ 𝐕 2ème méthode
𝒛 𝒛′ 𝒛 𝒛 𝒚 𝒚′
𝒛 𝒛′ On a : 𝐱(𝐱 − 𝟐) − 𝐲(𝟐 − 𝐲) + 𝐳(𝐳 − 𝟖) + 𝟏𝟒 = 𝟎
𝟏 𝟏 Donc 𝐱 𝟐 − 𝟐𝐱 + 𝐲 𝟐 − 𝟐𝐲 + 𝐳 𝟐 − 𝟖𝐳 + 𝟏𝟒 = 𝟎
𝑨𝑩 (−𝟏) et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
On a ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 (−𝟒), donc
On pose 𝐚 = −𝟐 ; 𝐛 = −𝟐 ; 𝐜 = −𝟖 𝐞𝐭 𝐝 = 𝟏𝟒
𝟎 −𝟑
−𝟏 − 𝟒 𝟏 𝟏 𝟏 𝟏 ⃗⃗ 𝐚𝟐 + 𝐛𝟐 + 𝐜 𝟐 − 𝟒𝐝 = (−𝟐)𝟐 + (−𝟐)𝟐 + (−𝟖)𝟐 − 𝟒 × 𝟏𝟒 = 𝟏𝟔 > 𝟎
𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 = | | 𝒊⃗ − | | 𝒋⃗ + | | 𝒌 = 𝟑𝒊⃗ + 𝟑𝒋⃗ − 𝟑𝒌
⃗⃗ 𝐚 𝐛 𝐜
𝟎 −𝟑 𝟎 −𝟑 −𝟏 − 𝟒 Donc l’ensemble (𝐒) est une sphère de centre 𝛀(− ; − ; − )
𝟐 𝟐 𝟐
b) En déduire que 𝒙 + 𝒚 − 𝒛 = 𝟎 est une équation cartésienne du
Donc 𝛀(𝟏; 𝟏; 𝟒) et de rayon
plan (𝑨𝑩𝑪)
√ 𝐚𝟐 + 𝐛 𝟐 + 𝐜 𝟐 − 𝟒𝐝 √ 𝟏𝟔 𝟒
Rappel : 𝐫= = = =𝟐
𝟐 𝟐 𝟐
Le vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗𝐀𝐁 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐀𝐂 est un vecteur normal au plan (ABC) b) Calculer d (Ω ; (ABC)) et déduire que le plan (ABC) coupe (S)
𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
On a ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 ≠ 𝟎⃗⃗ donc les points A et B et C ne sont pas alignes suivant un cercle (𝐂) de rayon r à déterminer
Donc (ABC) est un plan Rappel :: DISTANCE D’UN POINT à UN PLAN
Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑨𝑩𝑪) Soient (𝐏) : 𝐚𝐱 + 𝐛𝐲 + 𝐜𝐳 + 𝐝 = 𝟎 un plan et A(𝐱 𝐀 ; 𝐲𝐀 ; 𝐳𝐀 ) un point de
𝟑 | 𝐚𝐱 +𝐛𝐲 +𝐜𝐳 +𝐝|
La distance de point A au plan(𝐏) est : 𝐝(𝐀; (𝐏)) = 𝐀 𝟐 𝐀 𝟐 𝐀𝟐
𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
On a le vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 ( 𝟑 ) est normale au plan (𝑨𝑩𝑪) √𝐚 +𝐛 +𝐜
−𝟑 On a (𝐀𝐁𝐂): 𝐱 + 𝐲 − 𝐳 = 𝟎 et 𝛀(𝟏; 𝟏; 𝟒) donc :
Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝟑 × 𝒙 + 𝟑 × 𝒚 − 𝟑 × 𝒛 + 𝒅 = 𝟎 est une équation | 𝟏 + 𝟏 − 𝟒| |−𝟐| 𝟐
cartésienne de (ABC) 𝐝(Ω; (𝐀𝐁𝐂) = = =
√𝟏𝟐 + 𝟏𝟐 + (−𝟏)𝟐 √𝟑 √𝟑
Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝟑𝒙 + 𝟑𝒚 − 𝟑𝒛 + 𝒅 = 𝟎 𝟐
( )
Et on a 𝑨(𝟏; 𝟐 ; 𝟑) ∈ (𝑨𝑩𝑪) donc on remplace les coordonnées de Donc 𝐝(Ω; 𝐀𝐁𝐂 = √𝟑 < 𝑹 = 𝟐
A donc 𝟏 × 𝟑 + 𝟑 × 𝟐 − 𝟑 × 𝟑 + 𝒅 = 𝟎 donc 𝟎 + 𝒅 = 𝟎 donc 𝒅 = 𝟎 D’où le plan (ABC) coupe la sphère (S) suivant un cercle de rayon r
D’où (𝑨𝑩𝑪): 𝟑𝒙 + 𝟑𝒚 − 𝟑𝒛 = 𝟎 𝟐 𝟒 𝟖
et : 𝐫 = √𝐑𝟐 − 𝐝𝟐 = √𝟐𝟐 − ( )𝟐 = √𝟒 − = √
Donc (𝑨𝑩𝑪) : 𝒙 + 𝒚 − 𝒛 = 𝟎 √𝟑 𝟑 𝟑
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c) Déterminer les coordonnées du point H centre du cercle (C) b) Montrer que la droite (DE) est tangente à la sphère (S) en un
La droite (Ω𝐇) et perpendiculaire au plan (𝐀𝐁𝐂) donc le point K en déterminant leurs coordonnées
𝟏
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
vecteur (𝐀𝐁 𝐀𝐂)(𝟏; 𝟏; −𝟏) est directeur à la droite (Ω𝐇) On résoudre le système suivant :
𝟑
𝐱 = 𝟐 + 𝟔𝐭
Soit 𝐌(𝐱; 𝐲; 𝐳) ∈ ((Ω𝐇)) (𝐃𝐄): { 𝐲 = −𝟔𝐭 (𝐭 ∈ ℝ)
𝐱=𝟏+𝐭 {
(𝐭 ∈ 𝐈𝐑) 𝐳=𝟐
( )
Donc ( Ω𝐇 ): {𝐲 = 𝟏 + 𝐭 , est une représentation (𝐒) : (𝐱 − 𝟏)𝟐 + (𝐲 − 𝟏)𝟐 + (𝐳 − 𝟒)𝟐 = 𝟐𝟐
𝐳=𝟒−𝐭 Donc (𝟐 + 𝟔𝐭 − 𝟏)𝟐 + (−𝟔𝐭 − 𝟏)𝟐 + (𝟐 − 𝟒)𝟐 = 𝟒
paramétrique de la droite (𝐃)
Donc (𝟏 + 𝟔𝐭)𝟐 + (𝟔𝐭 + 𝟏)𝟐 + (−𝟐)𝟐 = 𝟒
(𝐱; 𝐲; 𝐳) les cordonnées de H vérifie le système
𝐱=𝟏+𝐭 𝐃𝐨𝐧𝐜 𝟏 + 𝟏𝟐𝐭 + 𝟑𝟔 𝐭 𝟐 + 𝟏 + 𝟏𝟐𝐭 + 𝟑𝟔 𝐭 𝟐 + 𝟒 − 𝟒 = 𝟎
( )
(𝛀𝐇): { 𝐲 = 𝟏 + 𝐭 ; 𝐭 ∈ 𝐈𝐑 𝐃𝐨𝐧𝐜 𝟕𝟐 𝐭 𝟐 + 𝟐𝟒𝐭 + 𝟐 = 𝟎 donc 𝟐( 𝟑𝟔𝐭 𝟐 + 𝟏𝟐𝐭 + 𝟏) = 𝟎
{
𝐳=𝟒−𝐭 Donc 𝟑𝟔𝐭 𝟐 + 𝟏𝟐𝐭 + 𝟏 = 𝟎
(𝐀𝐁𝐂) : 𝐱 + 𝐲 − 𝐳 = 𝟎 ∆= 𝟏𝟐𝟐 − 𝟒 × 𝟑𝟔 × 𝟏 = 𝟏𝟒𝟒 − 𝟏𝟒𝟒 = 𝟎
𝟐
Donc (𝟏 + 𝐭) + (𝟏 + 𝐭) − (𝟒 − 𝐭) = 𝟎 donc 𝟑𝐭 − 𝟐 = 𝟎 d’où 𝐭 = Donc 𝟑𝟔𝐭 𝟐 + 𝟏𝟐𝐭 + 𝟏 = 𝟎 admet une unique solution
𝟑
𝐱=𝟏+𝐭 𝟏𝟐 𝟏
𝐭=− =−
on remplace t dans { 𝐲 = 𝟏 + 𝐭 , on trouve 𝟐 × 𝟑𝟔 𝟔
𝐳=𝟒−𝐭 Donc la droite (DE) est tangente à la sphère (S) en un point K
𝟐 𝟓 𝐱 = 𝟐 + 𝟔𝐭
𝐱=𝟏+ =
𝟑 𝟑 On remplace 𝐭 = −𝟔 dans { 𝐲 = −𝟔𝐭 pour trouver les
𝟐 𝟓 𝟓 𝟓 𝟏𝟎
𝐲=𝟏+ = donc 𝐇( ; ; ) 𝐳=𝟐
𝟑 𝟑 𝟑 𝟑 𝟑
𝟐 𝟏𝟏𝟎 coordonnées de K
{𝐳 = 𝟒 − 𝟑 = 𝟑 𝟏
𝐱=𝟐−𝟔× =𝟏
3) a) Déterminer une représentation paramétrique de la droite 𝟔
Donc {𝐲 = 𝟔 × 𝟏 = 𝟏 donc 𝐊(𝟏 ; 𝟏 ; 𝟐)
(DE) 𝟔
La droite (𝐃𝐄) passant par 𝐃 (𝟐 ; 𝟎 ; 𝟐) 𝐞𝐭 𝐄(−𝟒 ; 𝟔 ; 𝟐) les deux 𝐳=𝟐
points donc le vecteur
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐄𝐃(𝟔; −𝟔; 𝟎) est directeur à la droite (𝐃𝐄)
Soit 𝐌(𝐱; 𝐲; 𝐳) ∈ (𝐃𝐄)
𝐱 = 𝟐 + 𝟔𝐭
; (𝐭 ∈ 𝐈𝐑) est une représentation
Donc (𝐃𝐄): { 𝐲 = −𝟔𝐭
𝐳=𝟐
paramétrique de la droite (𝐃𝐄)
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𝛑
Solution d’exercice 04 (3 points) 2) R la rotation de centre O et d’angle et A l’image du point G et C
𝟐
A) 1) On pose : 𝐮 = 𝟏 − √𝟐 − 𝐢 ; calculer |𝐮| est l’image de N par R
|𝐮| = √(𝟏 − √𝟐)𝟐 + (−𝟏)𝟐 = √𝟏 − 𝟐√𝟐 + 𝟐 + 𝟏√𝟒 − 𝟐√𝟐 Montrer que : 𝐳𝐀 = √𝟑 et 𝐳𝐂 = 𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢
𝛑
𝑹(𝑮) = 𝑨 ⟺ 𝐳𝐀 − 𝐳𝑶 = 𝒆𝒊𝟐 (𝐳𝐆 − 𝐳𝑶 )
2) Montrer que (𝟏 + 𝐢)𝐮 = −√𝟐 × 𝐮 ̅ 𝛑
⟺ 𝐳𝐀 = 𝒊 𝐳𝐆 ; car 𝒆𝒊𝟐 = 𝒊
(𝟏 + 𝐢)𝐮 = (𝟏 + 𝐢)(𝟏 − √𝟐 − 𝐢) = 𝟏 − √𝟐 − 𝐢 + 𝐢 − 𝐢√𝟐 + 𝟏
⟺ 𝐳𝐀 = −√𝟑
= 𝟐 − √𝟐 − 𝐢√𝟐 (∗)
𝑹(𝑵) = 𝑪 ⟺ 𝐳𝐂 = 𝒊 𝐳𝐍
−√𝟐 × 𝐮 ̅ = −√𝟐 × (𝟏 − √𝟐 + 𝐢) = −√𝟐 + 𝟐 − 𝐢√𝟐 ; (∗∗)
⟺ 𝐳𝐂 = 𝒊 (𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐))
De (∗) et (∗∗) on a : (𝟏 + 𝐢)𝐮 = −√𝟐 × 𝐮
̅
𝟑𝛑 ⟺ 𝐳𝐂 = 𝟐𝒊 − (√𝟑 − 𝟐)) = 𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢
3) Déduire que 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ [𝟐𝛑]
𝟖 3) Soit T la translation de vecteur 𝐮
⃗⃗ d’affixe 𝟐𝐢 et B l’image du
(𝟏 + 𝐢)𝐮 = −√𝟐 × 𝐮
̅ ⟺ 𝒂𝒓𝒈[(𝟏 + 𝐢)𝐮] ≡ 𝐚𝐫𝐠[−√𝟐 × 𝐮
̅ ][𝟐𝝅] point N et D est l’image de G par T
⟺ 𝒂𝒓𝒈(𝟏 + 𝐢) + 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ 𝐚𝐫𝐠(−√𝟐) + 𝒂𝒓𝒈(𝐮 ̅ )[𝟐𝝅] Montrer que : 𝐳𝐁 = 𝟐 + 𝐢√𝟑 et 𝐳𝐃 = (𝟐 − √𝟑)𝐢
𝟏 𝟏 𝑻(𝑵) = 𝑩 ⟺ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐍𝐁 = 𝐮⃗⃗
⟺ 𝒂𝒓𝒈 (√𝟐( + 𝒊 )) + 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ 𝐚𝐫𝐠(−√𝟐) + 𝒂𝒓𝒈(𝐮 ̅ )[𝟐𝝅]
√𝟐 √𝟐 ⟺ 𝐳𝐁 − 𝐳𝐍 = 𝐳𝐮⃗⃗
𝝅 𝝅 ⟺ 𝐳𝐁 = 𝐳𝐮⃗⃗ + 𝐳𝐍
⟺ + 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ 𝝅 − 𝒂𝒓𝒈(𝒖)[𝟐𝝅] ⟺ 𝟐𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ 𝝅 − [𝟐𝝅]
𝟒 𝟒 ⟺ 𝐳𝐁 = 𝟐𝐢 + 𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐) = 𝟐 + 𝐢√𝟑
𝟑𝝅
⟺ 𝟐𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ [𝟐𝝅] 𝑻(𝑮) = 𝑫 ⟺ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐆𝐃 = 𝐮 ⃗⃗
𝟒
⟺ 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡
𝟑𝝅
[𝟐𝝅] ⟺ 𝐳𝐃 − 𝐳𝐆 = 𝐳𝐮⃗⃗
𝟖
⟺ 𝐳𝐃 = 𝐳𝐮⃗⃗ + 𝐳𝐆
B) On considère 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 𝐄 ; F et G d’affixes respectifs :
⟺ 𝐳𝐃 = 𝟐𝐢 − 𝐢√𝟑 = (𝟐 − √𝟑)𝐢
𝐳𝐄 = 𝟏 + 𝐢 𝐞𝐭 𝐳𝐅 = 𝟏 − 𝐢 et 𝐳𝐆 = −𝐢√𝟑 4)a) Montrer que E est le milieu de [𝐀𝐂] et [𝐁𝐃]
1) Soit N l’image de F par l’homothétie h de centre G et de rapport 𝐳𝐀 + 𝐳𝐂 √𝟑 + 𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢 𝟐 + 𝟐𝐢 𝟐(𝟏 + 𝐢)
= = = = 𝟏 + 𝐢 = 𝐳𝐄
2 , montrer que : 𝐳𝐍 = 𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐) 𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
𝒉(𝑭) = 𝑵 ⟺ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐆𝐍 = 𝟐 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐆𝐅 ⟺ 𝐳𝐍 − 𝐳𝐆 = 𝟐(𝐳𝐅 − 𝐳𝐆 ) Donc E est le milieu de [𝐀𝐂]
⟺ 𝐳𝐍 = 𝟐(𝐳𝐅 − 𝐳𝐆 ) + 𝐳𝐆 𝐳𝐁 + 𝐳𝐃 𝟐 + 𝐢√𝟑 + (𝟐 − √𝟑)𝐢 𝟐 + 𝐢√𝟑 + 𝟐𝐢 − √𝟑𝐢
= = = 𝟏 + 𝐢 = 𝐳𝐄
⟺ 𝐳𝐍 = 𝟐(𝟏 − 𝐢 + 𝐢√𝟑) − 𝐢√𝟑 𝟐 𝟐 𝟐
E est le milieu [𝐁𝐃]
⟺ 𝐳𝐍 = 𝟐 − 𝟐𝒊 + 𝟐𝐢√𝟑 − 𝐢√𝟑
⟺ 𝐳𝐍 = 𝟐 − 𝟐𝒊 + 𝐢√𝟑 = 𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐)
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𝐳𝐂 −𝐳𝐄
b) Vérifier que = 𝐢 ; puis en déduire que quadrilatère ABCD 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦+𝟏 − (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 = 𝟏 − 𝟎 = 𝟏 = 𝒇(𝟏)
𝐳𝐁 −𝐳𝐄 𝐱→𝟏 𝐱→𝟏
est un losange Donc f est continue à droite de 1
𝟏 𝟏
𝐳𝐂 − 𝐳𝐄 = (𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢) − (𝟏 + 𝐢) = 𝟏 − √𝟑 + 𝒊 ; (∗∗) 𝐥𝐢𝐦− 𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦− 𝐞𝒙−𝟏 = 𝐞𝟎 = 𝟏 = 𝒇(𝟏)
𝐱→𝟏 𝐱→𝟏 𝒙 𝟏
𝒊(𝐳𝐁 − 𝐳𝐄 ) = 𝒊(𝟐 + 𝐢√𝟑 − 𝟏 − 𝒊) = 𝟐𝒊 − √𝟑 − 𝒊 + 𝟏 = 𝟏 − √𝟑 + 𝒊 ; (∗) Donc f est continue à gauche de 1
Donc de (∗) 𝒆𝒕 (∗∗) on a : 𝐳𝐂 − 𝐳𝐄 = 𝒊(𝐳𝐁 − 𝐳𝐄 ) D’où f est continue en 1
𝐳𝐂 − 𝐳𝐄 2) Calculer 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦− 𝒇(𝐱) puis interpréter les résultats
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ =𝐢 𝐱→𝟎 𝐱→𝟎
𝐳𝐁 − 𝐳𝐄
géométriquement
 On a : [𝐀𝐂] et [𝐁𝐃] sont de même milieu donc le quadrilatère 𝟏
ABCD est un parallélogramme 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦+ 𝐞𝒙−𝟏 = +∞
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎 𝒙
Et on a : 𝟏
𝐳𝐂 − 𝐳𝐄 𝐳𝐂 − 𝐳𝐄 Car 𝐥𝐢𝐦+ = +∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦+𝐞𝒙−𝟏 = 𝐞−𝟏 > 𝟎
𝐱→𝟎 𝒙 𝐱→𝟎
= 𝐢 ⇔ 𝒂𝒓𝒈( ) ≡ 𝒂𝒓𝒈(𝒊)[𝟐𝝅]
𝐳𝐁 − 𝐳𝐄 𝐳𝐁 − 𝐳𝐄 Interprétation géométrique :
𝝅 La droite d’équation 𝒙 = 𝟎 c-t-dire l’axe des abscisses est une
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⇔ (𝑬𝑩 𝑬𝑪) ≡ [𝟐𝝅]
𝟐 asymptote à (𝑪𝒇 )
Donc les droites (𝑬𝑩) 𝒆𝒕 ( 𝑬𝑪) sont perpondiculaires 𝟏
Donc ABCD est un losange 𝐥𝐢𝐦−𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦− 𝐞𝒙−𝟏 = −∞
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎 𝒙
Solution du problème : 𝟏
Soit f une fonction définit sur ℝ∗ par : Car 𝐥𝐢𝐦− = −∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦−𝐞𝒙−𝟏 = 𝐞−𝟏 > 𝟎
𝐱→𝟎 𝒙 𝐱→𝟎
𝟏 Interprétation géométrique :
𝒇(𝐱) = 𝐞𝒙−𝟏 ∶𝒙<𝟏
{ 𝒙 La droite d’équation 𝒙 = 𝟎 c-t-dire l’axe des abscisses est une
𝒇(𝒙) = 𝟏 − (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 ; 𝒙 ≥ 𝟏 asymptote à (𝑪𝒇 )
1) Montrer que la fonction f est continue en 1
3) a) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) puis interpréter le résultat
Rappel : Continuité d’une fonction en un point 𝐱→−∞

𝐟 est continue en 𝐚 ⇔ 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝐟(𝐚) géométriquement

𝐱→𝐚 𝟏 𝟏
𝐟 est continue à droite de 𝐚 ⇔ 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝐟(𝐚) 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝒙−𝟏 = 𝐥𝐢𝐦 𝐞−𝟏 × × 𝐞𝒙 = 𝟎
𝐱→𝐚 𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝒙 𝐱→−∞ 𝒙
𝐱>𝐚 𝟏 𝒙
𝐟 est continue à gauche de 𝐚 ⇔ 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝐟(𝐚) Car 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝐞 = 𝟎
𝐱→𝐚 𝐱→−∞ 𝒙 𝐱→−∞
𝐱<𝐚
Interprétation géométrique :
La fonction 𝐟 est continue en 𝐚 ⇔ 𝐟 est continue à droite et à
La droite d’équation 𝒚 = 𝟎 c-t-dire l’axe des ordonnées est une
gauche du point 𝐚 asymptote à (𝑪𝒇 ) au voisinage de −∞
On a 𝒇(𝟏) = 𝟏 − (𝒍𝒏 𝟏)𝟐 = 𝟏 − 𝟎 = 𝟏
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𝐟(𝐱)
b) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) et montrer que 𝐥𝐢𝐦 =𝟎 c) Déduire la branche infinie de (𝑪𝒇 ) au voisinage de +∞
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝐱
𝐟(𝐱)
(𝑻𝒖 𝒑𝒆𝒖𝒙 𝒑𝒐𝒔𝒆𝒓 𝒕 = √𝒙) On a 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = −∞ et 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝐱
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝟏 − (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 = −∞ Donc la courbe (𝑪𝒇 ) admet un branche parabolique de direction
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
Car 𝐥𝐢𝐦 𝒍𝒏(𝒙) = +∞ l’axe des abscisses au voisinage de +∞
𝐱→+∞
4) a) Montrer que f est dérivable au point d’abscisse 1 et que
𝐟(𝐱) 𝟏 − (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 𝟏 (𝒍𝒏 𝒙)𝟐
𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦 − 𝒇’(𝟏) = 𝟎
𝐱→+∞ 𝐱 𝐱→+∞ 𝐱 𝐱→+∞ 𝐱 𝐱 𝒇(𝐱) − 𝒇(𝟏) −(𝒍𝒏 𝒙)𝟐 −𝒍𝒏(𝒙)
𝟐 𝟐 𝐥𝐢𝐦+ = 𝐥𝐢𝐦+ = 𝐥𝐢𝐦+ × 𝒍𝒏(𝒙) = 𝟎 × 𝟎 = 𝟎
𝟐
(𝐥𝐧 𝐱) (𝐥𝐧 √𝒙 ) 𝐱→𝟏 𝒙−𝟏 𝐱→𝟏 𝒙−𝟏 𝐱→𝟏 𝒙 − 𝟏
∗ 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦 𝟐 𝒍𝒏(𝒙)
𝐱→+∞ 𝐱 𝐱→+∞
√𝒙 Car 𝐥𝐢𝐦+ =𝟎
𝐱→𝟏 𝒙−𝟏
𝟐 Donc f est dérivable à droite en 1 et 𝒇′𝒅 (𝟏) = 𝟎
(𝟐 𝐥𝐧 √𝒙 ) 𝟏
= 𝐥𝐢𝐦 𝟐 𝒇(𝐱 ) − 𝒇(𝟏 ) 𝐞𝒙−𝟏 − 𝟏
𝒙
𝐱→+∞
√𝒙 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦−
𝐱→𝟏− 𝒙−𝟏 𝐱→𝟏 𝒙−𝟏
𝟐𝐥𝐧 √𝒙
𝟐 𝐞𝒙−𝟏 − 𝒙
= 𝐥𝐢𝐦 ( ) = 𝐥𝐢𝐦−
𝐱→𝟏 𝒙(𝒙 − 𝟏)
𝐱→+∞
√𝒙 𝐞𝒙−𝟏 − 𝟏 + 𝟏 − 𝒙
= 𝐥𝐢𝐦−
On pose 𝑿 = √𝒙 donc 𝒙 = 𝑿𝟐 ; 𝐱→𝟏 𝒙(𝒙 − 𝟏)
or 𝒙 → +∞ ⟺ 𝑿 → +∞ 𝒙−𝟏
𝐞 −𝟏 𝟏−𝒙
= 𝐥𝐢𝐦− +
Donc : 𝐱→𝟏 𝒙(𝒙 − 𝟏) 𝒙(𝒙 − 𝟏)
𝟐 𝒙−𝟏
(𝐥𝐧 𝐱) 𝟐 𝟐𝐥𝐧 √𝒙 𝐞 −𝟏 𝟏 𝟏
𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦 ( ) = 𝐥𝐢𝐦− ( × )−
𝐱→+∞ 𝐱 𝐱→+∞ 𝐱→𝟏 𝒙−𝟏 𝒙 𝒙
√𝒙
𝐞𝒕 − 𝟏 𝟏 𝟏
𝟐𝐥𝐧 𝑿 𝟐 = 𝐥𝐢𝐦− ( × )− ; 𝒋′ 𝒂𝒊 𝒑𝒐𝒔𝒆𝒓 𝒕 = 𝒙 − 𝟏
= 𝐥𝐢𝐦 ( ) 𝐭→𝟎 𝒕 𝒕+𝟏 𝒕+𝟏
𝐱→+∞ 𝑿
=𝟎 𝐞𝒕 − 𝟏
= (𝟏 × 𝟏) − 𝟏 = 𝟎 ; 𝒄𝒂𝒓 𝐥𝐢𝐦− =𝟏
𝟐𝐥𝐧 𝑿 𝐭→𝟎 𝒕
𝑪𝒂𝒓 𝐥𝐢𝐦 Donc f est dérivable à gauche en 1 et 𝒇′𝒈 (𝟏) = 𝟎
𝐱→+∞ 𝑿
D’où 𝐥𝐢𝐦
𝐟(𝐱)
= 𝐥𝐢𝐦
𝟏−(𝒍𝒏 𝒙)𝟐
= 𝐥𝐢𝐦
𝟏
−
(𝒍𝒏 𝒙)𝟐
=𝟎 On a𝒇′𝒅 (𝟏) = 𝒇′𝒈 (𝟏) = 𝟎 donc f est dérivable au point d’abscisse 1
𝐱→+∞ 𝐱 𝐱→+∞ 𝐱 𝐱→+∞ 𝐱 𝐱
et que 𝒇’(𝟏) = 𝟎
𝟏 (𝒍𝒏 𝒙)𝟐
Car 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝐱→+∞ 𝐱 𝐱→+∞ 𝐱
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(𝐱−𝟏)𝐞𝒙−𝟏 4) a) Justifier que le point A(1 ;1) est un point d’inflexion de la
b) Montrer que : (∀𝐱 ∈ ]−∞; 𝟏[ − {𝟎}): 𝐟 ′ (𝐱) =
𝒙𝟐
−𝟐𝒍𝒏 𝒙 courbe (𝐂𝐟 )
et que (∀𝐱 ∈ ]𝟏; +∞[): 𝐟 ′ (𝐱) =
𝒙 On a 𝒇’(𝟏) = 𝟎 donc 𝒇’ s’annule et ne change pas de signe en 1
On a la fonction f est dérivable sur ]−∞; 𝟎[ et ]𝟎; 𝟏[ car c’est une Donc le point A(1 ;1) est un point d’inflexion de la courbe (𝐂𝐟 )
produit de deux fonctions dérivables sur ]−∞; 𝟎[ et ]𝟎; 𝟏[ 𝟐 (𝒍𝒏(𝒙)−𝟏)
b) Montrer que et que (∀𝐱 ∈ ]𝟏 ; +∞[) : 𝐟 ′′ (𝐱) =
Soit 𝐱 ∈ ]−∞; 𝟏[ − {𝟎} 𝒙𝟐

𝟏 𝒙−𝟏 𝟏 𝒙−𝟏 𝟏 𝒙−𝟏 Soit 𝐱 ∈ ]𝟏 ; +∞[

𝒇′(𝐱) = ( 𝐞 ) ′ = ( ) ′𝐞 + (𝐞 )′ −𝟐𝒍𝒏 𝒙 (−𝟐𝒍𝒏(𝒙) )
′
𝒙 + 𝟐𝒍𝒏𝒙 × (𝒙)′
𝒙 𝒙 𝒙
𝒙−𝟏 𝐟 ′′ (𝐱) = ( )′ =
𝟏 𝒙−𝟏 𝟏 𝒙−𝟏 𝟏 𝒙−𝟏 𝒙 𝒙−𝟏 (𝐱 − 𝟏)𝐞 𝒙 𝒙𝟐
=− 𝟐𝐞 + 𝐞 = − 𝟐𝐞 + 𝟐𝐞 = 𝟏
𝒙 𝒙 𝒙 𝒙 𝒙𝟐 −𝟐 × 𝒙 × 𝒙 + 𝟐𝒍𝒏𝒙 𝟐𝒍𝒏(𝒙) − 𝟐
Soit 𝐱 ∈ ]𝟏; +∞[ = =
𝒙𝟐 𝒙𝟐
On a la fonction f est dérivable sur ]𝟏; +∞[ : 𝟐 (𝒍𝒏(𝒙) − 𝟏)
𝐟 ′ (𝐱) 𝟐
= (𝟏 − (𝒍𝒏 𝒙) )′ =
𝒙𝟐
𝟐𝒍𝒏 𝒙 c) Montrer que 𝑩(𝒆; 𝟎) est un point inflexion de (𝐂𝐟 )
= 𝟎 − 𝟐𝒍𝒏′(𝒙)(𝒍𝒏 𝒙)𝟏 = −
𝒙 𝟐 (𝒍𝒏(𝒙)−𝟏)
∗ Soit 𝐱 ∈ ]𝟏 ; +∞[ on a 𝐟 ′′ (𝐱) =
c) Dresser le tableau de variation de f sur ℝ 𝒙𝟐
𝟐 (𝒍𝒏(𝒙)−𝟏)
Soit 𝐱 ∈ ]−∞; 𝟏[ − {𝟎} 𝐟 ′′ (𝐱) = 𝟎 ⇔ = 𝟎 ⇔ 𝒍𝒏(𝒙) − 𝟏 = 𝟎 ⇔ 𝒍𝒏(𝒙) = 𝟏 ⇔ 𝒙 = 𝒆
𝒙𝟐
𝒙−𝟏 𝟐
On a 𝐱 < 𝟏 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐱 − 𝟏 < 𝟎 𝐞𝐭 𝐨𝐧 𝐚 𝐞 > 𝟎 𝐞𝐭 𝒙 > 𝟎 x −∞ e +∞
𝒙−𝟏
(𝐱 − 𝟏)𝐞
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒇′(𝐱) = 𝟐
<𝟎 𝒇′′ (𝒙) − 𝟎 +
𝒙
Donc f est strictement décroissante sur ]−∞; 𝟎[ et ]𝟎; 𝟏[ Donc 𝒇′′ s’annule et change de signe en e donc le point 𝑩(𝒆; 𝒇(𝒆))
Soit 𝐱 ∈ ]𝟏; +∞[ est un point d’inflexion de de la courbe (𝐂𝐟 )
On a 𝐱 > 𝟏 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐧(𝐱) > 𝟎 d𝒐𝒏𝒄 𝐟 ′ (𝐱) = −
𝟐𝒍𝒏 𝒙
<𝟎 5) Soit g la restriction de la fonction f sur 𝑰 = ]𝟏; +∞[
𝒙
a) Montrer que g admet une fonction réciproque 𝒈−𝟏 définie sur
Donc f est strictement décroissante sur ]𝟏; +∞[
𝑱 (à déterminer)
D’où le tableau de variation de f sur ℝ∗
 g est dérivable sur ]𝟏, +∞[ donc elle est continue sur ]𝟏, +∞[
x −∞ 0 +∞
 La fonction g est strictement décroissante sur ]𝟏, +∞[
′
𝒇 (𝒙) − − Donc g admet une fct réciproque 𝐠 −𝟏 ,définie sur 𝐉 = 𝐠(]𝟏, +∞[)
𝟎 +∞ 𝐉 = 𝐠(]𝟏, +∞[)
𝒇(𝒙)
−∞ −∞ = ] 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝒙); 𝐠(𝟏)[ = ]−∞, 𝟏[
𝐱→+∞
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b) Déterminer 𝒈−𝟏 (𝒙) pour tout 𝒙 ∈ ]−∞; 𝟏[ 7)a) Montrer 𝑯: 𝒙 ⟼ 𝒙𝒍𝒏 (𝒙) − 𝒙 est une primitive de la
𝒆
Soit 𝐱 ∈ ]−∞; 𝟏[ cherchons 𝐲 ∈ [𝟏; +∞[ tel que 𝐲 = 𝐠 −𝟏 (𝐱) ; fonction 𝒉: 𝒙 ⟼ 𝒍𝒏 (𝒙) et déduire que:∫𝟏 𝒍𝒏 (𝒙) 𝒅𝒙 = 𝟏
𝐲 = 𝐠 −𝟏 (𝐱) ⇔ 𝐠(𝐲) = 𝐱 On a fonction H est dérivable sur ]𝟏, +∞[ et :
⇔ 𝟏 − (𝒍𝒏 𝒚)𝟐 = 𝐱 𝑯′ (𝒙) = (𝒙𝒍𝒏 (𝒙) − 𝒙)′ = 𝒍𝒏(𝒙) + 𝒙 − 𝒙 = 𝒍𝒏(𝒙)
Donc 𝑯: 𝒙 ⟼ 𝒙𝒍𝒏 (𝒙) − 𝒙 est une primitive de la fonction
⇔ (𝒍𝒏 𝒚)𝟐 = 𝟏 − 𝐱 𝒉: 𝒙 ⟼ 𝒍𝒏 (𝒙) sur ]𝟏, +∞[
𝒆
⇔ |𝒍𝒏(𝒚)| = √𝟏 − 𝐱 ; ∫ 𝒍𝒏 (𝒙) 𝒅𝒙 = [𝒙𝒍𝒏 (𝒙) − 𝒙 ]𝐞𝟏 = 𝒆𝒍𝒏(𝒆) − 𝒆 − (𝟎 − 𝟏) = 𝟏
𝟏
⇔ 𝒍𝒏(𝒚) = √𝟏 − 𝐱 , 𝒄𝒂𝒓 𝒚 > 𝟏 𝒆
b) Par I.P.P montrer que∫𝟏 (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 𝒅𝒙 = 𝐞 − 𝟐
𝟐𝐥𝐧(𝐱)
⇔ 𝒚 = 𝐞√𝟏−𝐱 𝐮(𝐱) = (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 𝐮′ (𝐱) =
Posons { 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 { 𝐱
D’où : 𝒈−𝟏 (𝒙) = 𝐞√𝟏−𝐱 ; pour tous 𝒙 ∈ ]−∞; 𝟏[ 𝐯 ′ (𝐱) = 𝟏 𝐯(𝐱) = 𝐱
6) Tracer (𝐂𝐟 ) et (𝐂𝒈−𝟏 ) dans le repère orthonormé (𝐎 ; ⃗𝐢 ; ⃗𝐣) 𝒆 𝐞
𝟐𝐥𝐧(𝐱)
∫ (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 𝒅𝒙 = [𝐱(𝒍𝒏 𝒙)𝟐 ]𝐞𝟏 − ∫ × 𝐱 𝐝𝐱
𝟏 𝟏 𝐱
𝐞
= (𝒆 − 𝟎) − 𝟐 ∫ 𝐥𝐧(𝐱) 𝐝𝐱 = 𝐞 − (𝟐 × 𝟏) = 𝒆 − 𝟐
𝟏
(𝐂𝒈−𝟏 )
c) Calculer, en 𝒄𝒎𝟐 , l’aire du domaine limité par la
courbe(𝑪𝒇 ), la droite (𝐎𝐱) et les droites d’équations x=1 et x=e
Soit 𝒙 ∈ [𝟏, 𝐞]
(𝐂𝐟 ) 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒙 ≤ 𝒆 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝒍𝒏(𝒙) ≤ 𝟏 𝒅𝒐𝒏𝒄(𝒍𝒏 𝒙)𝟐 ≤ 𝟏 d𝒐𝒏𝒄 𝟏 − (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 ≥ 𝟎
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒇(𝒙) ≥ 𝟎 donc ∀𝒙 ∈ [𝟏, 𝐞]: |𝐟(𝐱)| = 𝐟(𝐱)
𝟏 𝒆 𝐞 𝐞
𝐀 = ∫ |𝐟(𝐱)|𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 = ∫ 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚
𝟏 𝟏
𝐞 𝐞 𝐞
= ∫ 𝟏 − (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 𝒅𝒙 . 𝐜𝐦𝟐 = (∫ 𝟏𝒅𝒙 − ∫ (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 𝒅𝒙) 𝐜𝐦𝟐
(𝐂𝐟 ) 𝟏 𝟏 𝟏
𝐁𝐫𝐚𝐧𝐜𝐡𝐞 𝐛𝐚𝐫𝐚𝐛𝐨𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐬𝐮𝐢𝐯𝐚𝐧𝐭 (𝐎𝐱)
= ([𝒙 ]𝐞𝟏 − (𝒆 − 𝟐))𝐜𝐦𝟐 = (𝐞 − 𝟏 − (𝐞 − 𝟐))𝐜𝐦𝟐 = 𝟏𝐜𝐦𝟐