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Mihai Eminescu - Pourquoi ne viens-tu pas à moi

Pourquoi ne viens-tu pas à moi

Tu vois, les hirondelles fuient, Il y a des femmes dans ce monde


Les feuilles tombent des noyers, Aux yeux pétillants ...
Les vignes rousses ont gelé, Mais peu importe leur beauté,
Tu ne viens pas, tu ne viens plus ? Comme vous n'êtes pas, comme vous ne l'êtes pas!
Reviens te glisser dans mes bras, C’est toi qui éclaircis le ciel
Mes yeux ont tant besoin de toi Souvent troublé, de mes pensées,
Et mon visage de se sentir Aucune étoile n’est plus belle,
Contre ton sein, de s’y blottir ! Ô mon amour, ma bien aimée !
Est-ce qu’il te souvient d’autrefois L’automne doucement s’éteint,
Quand nous courions par champs et bois ? Les feuilles jonchent les chemins,
Quand je te prenais dans mes bras, Et les champs sont désertes...
Tant de fois, tant de fois? Tu ne viens pas, pourquoi tu ne viens plus ?
Tu vois, les hirondelles fuient,
Les feuilles tombent des noyers,
Les vignes rousses ont gelé,
Tu ne viens pas, tu ne viens plus ?
Reviens te glisser dans mes bras,
Mes yeux ont tant besoin de toi,
Et mon visage de se sentir
Contre ton sein, de s’y blottir !
Est-ce qu’il te souvient d’autrefois
Quand nous courions par champs et bois ?
Quand je te prenais dans mes bras,
Tant de fois, , tant de fois, ?
Il y a des femmes dans ce monde
Aux yeux pétillants…
Mais peu importe leur beauté,
Comme vous n'êtes pas,
comme vous n'êtes pas !
C’est toi qui éclaircis le ciel
Souvent troublé, de mes pensées,
Aucune étoile n’est plus belle,
Ô mon amour, ma bien aimée !
L’automne doucement s’éteint,
Les feuilles jonchent les chemins,
Et les champs sont désertes,
Tu ne viens pas, pourquoi tu ne viens plus ?
Tu ne viens pas, tu ne viens plus ?

C’est toi qui éclaircis le ciel


Souvent troublé, de mes pensées,
Aucune étoile n’est plus belle,
Ô mon amour, ma bien aimée !

L’automne doucement s’éteint,


Les feuilles jonchent les chemins,
Et les champs sont désertes...
Tu ne viens pas, pourquoi tu ne viens plus ?
Pourquoi ne viens-tu pas à moi
Tu vois, les hirondelles fuient,
Les feuilles tombent des noyers,
Les vignes rousses ont gelé,
Tu ne viens pas, tu ne viens plus ?
Reviens te glisser dans mes bras,
Mes yeux ont tant besoin de toi
Et mon visage de se sentir
Contre ton sein, de s’y blottir !
Est-ce qu’il te souvient d’autrefois
Quand nous courions par champs et bois ?
Quand je te prenais dans mes bras,
Tant de fois, tant de fois ?
Il y a des femmes dans ce monde
Aux yeux pétillants ...
Mais peu importe leur beauté,
Comme vous n'êtes pas, comme vous ne l'êtes pas!
C’est toi qui éclaircis le ciel
Souvent troublé, de mes pensées,
Aucune étoile n’est plus belle,
Ô mon amour, ma bien aimée !
L’automne doucement s’éteint,
Les feuilles jonchent les chemins,
Et les champs sont désertes...
Tu ne viens pas, pourquoi tu ne viens plus ?
Images et traduction sur le Net
Musique Youtube

Auteur pps Adrian Toia

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