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Le q�ther cosmique,
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�ther cosmique, le bouddhique, est le plan de l�air, et c�est aussi le plan
d�absorption des trois mondes. La rar�faction de la mati�re dense � telle que nous
la connaissons � signifie simplement qu�au terme du processus �volutionnaire, elle
sera transmu�e, et de notre point de vue, pratiquement inexistante ; tout ce qui
restera, ce seront les atomes positifs, ou certains centres de force, qui � ayant
absorb� les atomes n�gatifs � se manifesteront par un ph�nom�ne �lectrique
inconcevable pour l�homme, vu l��tat actuel de ses connaissances.
[2@54]s occultande Entcultande Entit� qui r�git la
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Mati�re. Le quatri�me �ther cosmique, le bouddhique, est le plan de l�air, et c�est
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telle que nous la connaissons � signifie simplement qu�au terme du processus
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elle sera transmu�e, et de notre point de vue, pratiquement inexistante ; tout ce
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la connaissons � signifie simplement qu�au terme du processus �volutionnaire, elle
sera transmu�e, et de notre point de vue, pratiquement inexistante ; tout ce qui
restera, ce seront les atomes positifs, ou certains centres de force, qui � ayant
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est le plan de l�air, et c�est aussi le plan d�absorption des trois mondes. La
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simplement qu�au terme du processus �volutionnaire, elle sera transmu�e, et de
notre point de vue, pratiquement inexistante ; tout ce qui restera, ce seront les
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vu l��tat actuel de ses connaissances.
[2@54]s occtande occultesit� de la Mati�re. Le quatri�me �ther cosmique, le
bouddhique, est le plan de l�air, et c�est aussi le plan d�absorption des trois
mondes. La rar�faction de la mati�re dense � telle que nous la connaissons �
signifie simplement qu�au terme du processus �volutionnaire, elle sera transmu�e,
et de notre point de vue, pratiquement inexistante ; tout ce qui restera, ce seront
les atomes positifs, ou certains centres de force, qui � ayant absorb� les atomes
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vu l��tat actuel de ses connaissances.
[2@54er ltande Entit� qui r�g s le bouddhique, est ln Spekulationen
beschäftigen sich die Abadjud («= ABC)-Bücher."
src="/docs-images/79/80161335/images/143-0.jpg"></div></noscript><p><span
class="badge bg-blue-hoki">143</span> 12. Islam 143 namen, den sieben
Genienkönigen, Wochentagen und Planeten*) Für die Zahlenapekulation mit
den ai abiscben Buchstaben ist nicht die übliche Reihenfolge des arabischen,
sondern die des hebräischen Alphabets maßgebend, die wieder auf den
Zahlenwert der griechischen Buchstaben Rücksicht- nimmt. Mit gematrischen
Spekulationen beschäftigen sich die Abadjud («= ABC)-Bücher.*)
Buchstabennamen sind Namen von Satanen nach der Meinung vieler. Die Safeiten
mißbilligen es, daß dem Kind der Zahlenwert seines Namens mitgeteilt
wird. ) In eine späte tunesische Handschrift von 1001 Nacht ist eine
Geschichte eingedrungen, in der das ganze kabbalistische System anseinandergesetzt
wird, die Geschieht') des Brahmanen Padmanaha und des jungen Fikai.*) Es
heißt da: Es gibt zwei Arten von Talismanen, den kabbalistischen und den
astrologischen. Der erste, welcher von der besten Art ist, bringt seine wunderbaren
Wirkungen vermöge der Buchstaben, Wörter und Gebete hervor, der andere
ist mächtig durch die Wechselwirkungen, welche die Planeten mit allen Metallen
haben. Ich bediene mich der kabbalistischen Talismane, sie wurden mir einst im
Traum dnrch den großen Gott Wischnu offenbart, der der Herr ist über aue
Pagoden der Welt. Wisse denn, mein Sohn, fuhr der Brahmane fort, daß die
Buchstaben in Beziehung zu den Engeln stehen, jeder Buchstabe wird von einem Engel
beherrscht ), und fragst du mich, was ein Engel sei, so antworte ich dir, es ist
ein Strahl oder ein Ausfluß der Tugenden der Allmacht und der Eigenschaften
Gottes. Die Engel, welche in der irdischen und himmlischen Welt wohnen, beherrschen
die, welche auf unserer irdischen weilen. Die Buchstaben bilden die Wörter,
die Wörter wiederum die Gebete, und es sind nun die Engel, welche, bezeichnet
durch die Buchstaben und versammelt in den geschriebenen oder gesprochenen Gebeten,
Wunder bewirken, oh welcher die gewöhnlichen Menschen staunen. Vgl. Nihomachos
oben S ) Dontte p. 159 ff., Becket g. t. Iglam in Religion in Geechichte und
Gegenwart, Gießen 1909, Sp ) Donttd 172. Carl Velten, Sitten nnd
Gebräuche der Suaheli, Qöttingen 1903, S. 7. Becker, Islam 2 (1911) 36.
3) Goldziher, Zeitschrift der Morgenländischen Gesellschaft 26 (1872) )
Epstein, Revue des dtudes juives 28 (1894) 96. Die Erzählung ist nur zu finden
in der Übersetzung von Habicht 14. Nacht I. Bd. S. 116 (bzw. 164) und danach
in der von Weil, 1. Aufl. (Stuttgart 1838) Bd. I 79 [B]. In Chauvins Bibliographie
des ouvrages arabes steht nichts davon. * 5) 28 alphabetisch benannte Engel der
Mondstationen (Hiaiel, Ginhaiel nsw.) unerkannt bei Stucken, Urspr. d. Alph. S. 9
f.; vgl. Christus nnd die Engel AriX, B aril, ratil-slt]x eines koptischen Freskos
im Simeonkloster von Assuan (unten S. 168). Veranlaßt dnrch die Form ri-'nx
für den Gottesnamen in Exod. 8,14 kombinieren die Kabbalisten das Tetragramm
der Reihe nach mit den Buohsi*'.ben des Alphabets also «n «, rv'na
n-'r», n- m, (T'nn etc. bis rv nn. Sohar trad. de Panly vol. V p. 876 cf. 218
[E].</p><noscript> <div><img
alt="144 II. Die verschiedenen Gebiete der Buchstabenmystik 2. KETZERISCHE
BUCHSTABENANBETBR Es gibt ferner mohammedanische Sekten, in deren Dogma die
Buchstaben des Alphabets zentrale Bedeutung haben." title="Die Schiiten geben vor,
von 'Ali stammende geheimnisvolle Werke zu besitzen, vor allem die zwei Bücher
Dechafr und Dschämi' a."
src="/docs-images/79/80161335/images/144-0.jpg"></div></noscript><p><span
class="badge bg-blue-hoki">144</span> 144 II. Die verschiedenen Gebiete der
Buchstabenmystik 2. KETZERISCHE BUCHSTABENANBETBR Es gibt ferner mohammedanische
Sekten, in deren Dogma die Buchstaben des Alphabets zentrale Bedeutung haben. Die
Schiiten geben vor, von 'Ali stammende geheimnisvolle Werke zu besitzen, vor allem
die zwei Bücher Dechafr und Dschämi' a. In diesen werden nach Weise der
Buchstabenwissenschaft die Ereignisse zukünftiger Generationen bis zum
Weltuntergang prophezeit. Der Prophet Mohammed selber soll 'Ali diese Geheimnisse
offenbart haben.*) Die lauteren Brüder, eine neuplatonisierende
Philosophenschule in Basra im 10. Jahrhundert, hatten die Ansicht, die Buchstaben
des Alphabets umfassen alle Dinge, sie entsprechen der Zahl des Vorhandenen in den
Wort wurzeln imd Abzweigungen und dem daraus Hervorgehenden; deren Zahl aber nur
Gott kennt. *) Spätere Sekten sind die Hurufis, 1397/98 gestiftet von Pazl
AUah aus Astarabad, der 1401 auf Befehl Timurs hingerichtet wurde, und die um
dieselbe Zeit entstandene sufitische Brüderschaft der Bektaschis.*) Die
endgültige Offenbarung, die Pazl der Welt gebracht hat, wird nach seiner Lehre
durch die 32 Buchstaben des persischen Alphabets dargesteut, die er dadurch
gewinnt, daß er vier persische Zeichen zu den 28 des arabischen Alphabets
hinzufügt; vgl. das System des Sefer Jezirah oben S. 140.*) Fazl will ein
Stellvertreter des Demiurgen sein, den er als den Xöyog Gottes im Sinn des
schöpferischen Wortes beschreibt. Das Wort (amr) ) ist die erste und für
die Welt konstitutive Potenz Gottes. ) Hadschi Bektasch, der 1357 verstorbene
Stifter der Bektaschije, hat s. Z. die neu gebildete Truppe der Janitscharen
eingesegnet und ihnen ihren Namen gegeben, der neue Truppe bedeutet. Ein
interessantes Zeugnis für das kräftige Weiterleben dieser Dinge bis auf
den heutigen Tag ist der Erfolg der Babi-Sekte, die von Bab 1) Goldziher,
Zeitachrifl der Deutschen Morgenländischen Gesellschaft 41 (1887) 123 ff.
Vorlesungen über den Islam, Heidelberg 1910 S ) Dieterici, Die Anthropologie
der Araber im 10. Jahrhundert, Leipzig 1871, S ) Georg Jacob, Die Bektaschijje in
ihrem Verhältnis zu verwandten Erscheinungen, Abhandlungen der k. bayr. Akad.
der Wissenschaften I. Kl. Bd. 24, Abt. 3 (1909) S. 47. Littmann, Deutsche
Literatnrzeitung 1910 Sp Enzyklopädie des Islam s. v. Hurufis. Textes persans
relatifs ä la secte des Honroüfis publiös trad. et annotes p.
Clement Huart (Gibb Memorial Series IX), Leiden und London 1909, dazu C. F.
Seybold, Deutsche Literatnrzeitung 1913 Sp Goldziher, Vorlesungen über den
Islam, Heidelberg 1910, S. 252f. 4) Jacob a. a. 0. S. 47; Riza Tevfiq, Etüde
sur la religion des Houroüfis in Gibb Memorial Series vol. IX p ) Über
die amr-lebre (inscbriftliche Spuren im 7. Jahrh. v Chr.), vgl. Eisler,
Weltenmantel 222,1; 751, 5. Sie knüpft unmittelbar an die babylonische
amätn- ( = ldyos-)lehre an. 6) Roemer, Die Babi-Behäi, Potsdam 1912, S.
181.</p><noscript> <div><img
alt="13. Nomina Sacra 145 aus Schiraz') 1844 in Persien begrühdet wurde."
title="Die Sekte wurde verfolgt, Bab selbst 1850 hingerichtet, sie ist aber heute
außerordentlich verbreitet, selbst bis nach Europa und Amerika." src="/docs-
images/79/80161335/images/145-0.jpg"></div></noscript><p><span class="badge bg-
blue-hoki">145</span> 13. Nomina Sacra 145 aus Schiraz') 1844 in Persien
begrühdet wurde. Die Sekte wurde verfolgt, Bab selbst 1850 hingerichtet, sie
ist aber heute außerordentlich verbreitet, selbst bis nach Europa und
Amerika. Ihre Lehre ist großenteils eine ganz radikale kabbalistische
Buchstabenmetapbysik, mit Verwertung vieler hier besprochener Einzelheiten. Unter
anderem: Bab ist der Mann der sieben Buchstaben (sein bürgerlicher Name Ali
Muhammad besteht im Arabischen aus sieben Zeichen), die Zahlen 28 und 36 stehen
hoch im Kurs usw. Etwas sehr Altes ist die Wertschätzung der Zahl 19, die bei
den Babisten besonders zu Ehren kommt.*) Alle diese Sekten machen natürlich
ausgiebigsten Gebrauch von der allegorischen Schriftexegese (tawil), die zum Teil
gematrisch ist. 13. NOMINA SACRA Auf eine besondere Spielart der religiösen
Wertung des niedergeschriebenen heiligen Namens, die ebenfalls jüdischer
Herkunft ist, muß ich hier wenigstens hinweisen, die Nomina sacra. Es gibt
zwei Arten der Abkürzung im Altertum: entweder man setzt den letzten
Buchstaben des zu kürzenden Wortes, den man zu schreiben beabsichtigt, hoch
(Suspension), oder man läßt etwas in der Mitte weg (Kontraktion). Nach
Traubes Nachweis ist die Kontraktion im späteren Griechisch eingeschränkt
worden ) auf die 15 Worte fffds xtipiog m> v(ia natriq ovgavos äv&gaxog
AavsCS lßgu'ijk 'IsgoveaXrjfi lrjßovg Xgißtög viög
ffatrijg eravgög ff^rrig, die Nomina sacra, im Lateinischen auf eine analoge
kleine Auswahl theologischer Begriffe. Das ist nach Traube auf folgende Weise
entstanden (S. 31): Das heilige Tetragramm für Jahwe mn ' im Alten Testament
war vor Mißbrauch gesichert durch die bekannte Einrichtung des Ketib und
Kere: es mußte gelesen werden Adonai. Beim Übersetzen ins Griechische
wurde stets regelmäßig gesetzt K2 J. Der Grund war folgender: statt des
heiligen unaussprechlichen Wortes gab 1) Bab = Pforte ist sein messianisoher Titel.
Er hieß Mirza Muhammed Ali. Vgl. E. G. Browne, s. v. Bab hei Hastings (1909),
Materials for the study of the Bahi religion, Cambridge Goldziher, Islam 11 (1921)
2ö2ff. 2) Die Zahl 19, die im babylonischen, jfidischen und metonischeo
Kalender eine große Rolle spielt, ist wohl kaum entstanden aus einer Addition
der zwölf Tierkreishilder und der sieben Planeten, wie Hermann
Roemer, Die Bahi-Behäi S. 27 meint. 3) Die Ansicht Traubes, sie sei dadurch
überhaupt erst aufgekommen, ist dnrch Belege aus griechischen Inschriften und
Ostraka widerlegt von Budberg, Eranos 10 (1910) S. 71 ff., und Emst Nachmansohn,
ebenda S ; Budberg, Neutestamentlicher Text und Nomina sacra, Skrifter bumanistiska
Vetenskap Bd. 17 (1915), Upsala Durch Nachweisen dieser Beispiele einer keineswegs
planmäßig verwendeten Kontraktion in früher griechischer Zeit ist
aber durchaus nicht erklärt, warum die Kontraktion als festes System von den
Christen für die 16 nomina sacra reserviert worden ist. Dafür bleibt es
bis auf weiteres bei Tranhes Deutung. (Vgl. zuletzt Boll in Traubes Vorl. u. Abh.
Bd. HI Vorrede.)</p><noscript>
<div><img alt="146 R- Die Terschiedenen Gebiete der Bnchstabenmystik man ein
weniger heiliges, aber auch dieses nicht mit ToUen Buchstaben, sondern in einer
Form, in der ein Teil des Wortes unterdrückt war." title="Daß die
Kontraktion auf die Schreibung der hl. Namen eingeschränkt worden ist*), kam
dadurch, daß sie so wundersam geeignet erschien, dem Tetragramm ein homogenes
Gebilde gegenüberzusteuen." src="/docs-images/79/80161335/images/146-
0.jpg"></div></noscript><p><span class="badge bg-blue-hoki">146</span> 146 R- Die
Terschiedenen Gebiete der Bnchstabenmystik man ein weniger heiliges, aber auch
dieses nicht mit ToUen Buchstaben, sondern in einer Form, in der ein Teil des
Wortes unterdrückt war. Daß die Kontraktion auf die Schreibung der hl.
Namen eingeschränkt worden ist*), kam dadurch, daß sie so wundersam
geeignet erschien, dem Tetragramm ein homogenes Gebilde gegenüberzusteuen.
Denn Adonai heißt überhaupt der Herr ; wo das Wort für den
Eigennamen Jahwe gesprochen wird, erkannte es der Jude als besonderes Wort an den
fremden Buchstaben. Setzte der griechisch schreibende Jude x'öqiog für
Adonai, so mußte er dieses xiigiog irgendwie unterscheiden. Ferner aber: die
Zauberkraft des Wortes Jahwe wurde verhüllt durch die Aussprache Adonai. Es
lag nahe, etwas von der Verhüllung auch in das griechische Äquivalent
hineinzutragen. Überhaupt besitzt der Buchstabe als Kürzung, als
Vertreter für ein ganzes, vielleicht heiliges Wort, das geheimnisvoll
hindurchschimmert, den Nimbus, den er allein als Buchstabe hat, in potenzierter
Form. So erklärt sich die Beliebtheit der Segnung mit 0-1- M -f B, den
Anfangsbuchstaben der heiligen drei Könige. Ein Beleg vom Kriegsschauplatz
steht in den Heimatbriefen an russische Soldaten, Neue Rundschau 1915 (Dezember) S.
1677: Glaubt nur an den Herrn... Ich trage das Gebet auch bei mir. R. S. F. usw.
Diese Buchstaben sind ein Gebet. Noch in unserer Zeit besteht die Neigung,
Abkürzungen zu schreiben und zu sprechen oder Notarikon daraus zu machen (s.
oben S. 138). Fast jeder Mensch sagt AEG, AOK, Kadewe( = Kaufhaus des Westens) usw.
14. AKROSTICHIS Eine poetische Form, die in der Spätantike und im.mittelalter
sich größter Beliebtheit erfreut hat, ist die alphabetische Akrostichis
(oder ntt(faiti%ig). L acrostiche a joui d une vogue qu explique l affaissement
intellectuel des premiers sihcles du moyen äge meint Leclerq bei Cabrol Sp Sie
erleichterte das Auswendiglernen. Gewiß! Aber wichtiger ist dabei der Nimbus
der Alphabetreihe, die als Schmuck der Zeilen dient.*) Der Ablauf eines solchen
Gedichtes hat etwas ungewohnt Zwingendes. Je kürzer die alphabetisch
angeordneten Zeilen sind, desto mehr. Wer einmal das jüdische Morgengebet mit
angehört hat, das aus 22 alphabetisch angeordueten Worten besteht, wird das
bestätigen. Auch der Eindruck der erschöpfenden Vollständigkeit, die
bei Gebeten wichtig ist (s. oben S. 57), ist stark. Es scheint einem unbedingt
alles gesagt, eben von A bis Z. Daß der mnemotechnische Gesichtspunkt nicht
maßgebend war, geht daraus hervor, daß der alphabetischen Akrostichis
die Namenakrostichis vorangegangen ist. Akrosticha überhaupt sind schon an
babylonischen Gebeten ange- 1) Ob wohl hl. ( = heilig) noch ein Rest der
Kontraktion ist? [B] 2) Balla, Das Ich in den Psalmen, Gnnkels Forschungen 1912,
111.</p><noscript> <div><img
alt="14. Akrostichis 147 bracht worden.') Das älteste Beispiel in der
griechischen Literatur ist ijc das Einleitungsgedicht der sog. Ebdö^ov xi%vri
um 190 Chr." title=", eine Darstellung des Jahres in zwölf Versen (= Monaten)
zu je 30, der letzte zu 35 Buchstaben (= Tagen). Eine xagaaxt'iijlg 'OQtpimg wird
angeführt S.Mosis 20b."
src="/docs-images/79/80161335/images/147-0.jpg"></div></noscript><p><span
class="badge bg-blue-hoki">147</span> 14. Akrostichis 147 bracht worden.') Das
älteste Beispiel in der griechischen Literatur ist ijc das Einleitungsgedicht
der sog. Ebdö^ov xi%vri um 190 Chr., eine Darstellung des Jahres in zwölf
Versen (= Monaten) zu je 30, der letzte zu 35 Buchstaben (= Tagen). Eine
xagaaxt'iijlg 'OQtpimg wird angeführt S.Mosis 20b. Dieterich schließt
daraus, daß die Akrostichis, ursprünglich orientalischer Herkunft, sich
zunächst von orphischen Kreisen her verbreitet hat (Abraxas S. 74, 165, 201;
Rhein. Mus. 56 (1901), 94; Reitzenstein, Epigramm und Skolion, Gießen 1893,
S.203). Miszellaneenschreiber der Kaiserzeit finden nachträglich Akrosticha
heraus, auch wo der Verfasser keine beabsichtigt hat, so bei Homer (GeUins XIV 6 S.
121 Hosius). Die Aussichten waren da jedenfalls günstig, bei der
Häufigkeit der Zufallsakrosticha in der römischen Dichtung, s. Hilberg,
Wien. Stud. 21 (1899) 264; 22 (1900) 217. Die riphabetische Akrostichis stammt
ebenfalls ans dem semitischen Orient. Die Klagelieder Jeremias 1 4 sind das
älteste Beispiel. Außerdem findet sie sich Pseudo-Nahum I, Sprüche
isalomonis 31, 10 31, Sirach 51, und in Psalm 9, 10, 25, 34, 37, 111, 112, 119,
145, die aue für hellenistisch gelten.*) Psalm 145 ist noch heute das
tägliche Gebet, das täglich dreimal gebetet werden sou. Das Morgengebet
(oben S. 146) ist zusammengestellt von Gaon Rabbi Amram, der 869 bis 881 Gaon in
Sara in Babylonien war. Eine spä^üdiscbe, Paitanim (von lat. poeta)
genannte Dicbterschule hat ausschließlich die akrostichische
Synagogendichtung gepflegt.*) Sie machen die ersten gereimten Verse. Von ihnen wird
auch die umgekehrte Reihenfolge der Buchstaben viel als Akrostichis verwandt:...
lon usw.; das dürfte nach L. Blau (brieflich) sehr alt sein. Ihre
Begründer waren Yannai und sein Schüler Kalir, zwei Dichter, deren
Lebenszeit nicht ganz feststeht (etwa Jahrhundert). Sie hängen nach Geiger,
Zeitschrift der Deutschen 1) Vgl. die Akrosticha und Telesticha in den Textes
religienx assyriens et babyloniens, heransgeg. v. Fr. Martin, Paris 1908, und den
Hymnus bei Jastrow, Religion Babyloniens und Assyriens I 610. Eisler, Arch. f.
Religionsw. 16 (1913) 305. Zimmern, Zeitschrift für Assyriologie 10 (1896)
8.16 f. Hehn, Hymnen und Gebete an Marduk, Beitr. z. Assyriol. V 1 (1903) 298. Im
allgemeinen Graf bei Panly-Wissowa s. t. Akrostichis. Krumbacher, Geschichte der
byzantinischen Literatur, München 1897, 697ff.; Leclerq bei Cabrol s. v.
Acrostiche. Gardthausen, Griechische Paläographie II* (1913) 62 ff. 2) Nahnm 1
ist nach
Le Son, dans un sens occultesin de l�air, et c�est aussi le plan d�absorption des
trois mondes. La rar�faction de la mati�re dense � telle que nous la connaissons �
signifie simplement qu�au terme du processus �volutionnaire, elle sera transmu�e,
et de notre point de vue, pratiquement inexistante ; tout ce qui restera, ce seront
les atomes positifs, ou certains centres de force, qui � ayant absorb� les atomes
n�gatifs � se manifesteront par un ph�nom�ne �lectrique inconcevable pour l�homme,
vu l��tat actuel de ses connaissances.
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elle sera transmu�e, et de notre point de vue, pratiquement inexistante ; tout ce
qui restera, ce seront les atomes positifs, ou certains centres de force, qui �
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[2@54]s occultande, dans un
Le Son, dans un sens occultesin de l�air, et c�est aussi le plan d�absorption des
trois mondes. La rar�faction de la mati�re dense � telle que nous la connaissons �
signifie simplement qu�au terme du processus �volutionnaire, elle sera transmu�e,
et de notre point de vue, pratiquement inexistante ; tout ce qui restera, ce seront
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n�gatifs � se manifesteront par un ph�nom�ne �lectrique inconcevable pour l�homme,
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[2@54sit� de la Matosmique,t� de la Mati�re. Le quatri�me �ther cosmique, le
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et de notre point de vue, pratiquement inexistante ; tout ce qui restera, ce seront
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[2@54]s occtande occultesit� de la Mati�re. Le quatri�me �ther cosmique, le
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et de notre point de vue, pratiquement inexistante ; tout ce qui restera, ce seront
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