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Module : Traitement des illustrations
2017
Équipements Quantité
ORDINATEUR 15
SCANNER 1
IMPRIMANTE COULEURS POSTSCRIPT 1
COLLECTION ADOBE CC 1
Les images bitmap peuvent être détourées, masquées, importées ou traitées par des filtres bitmap, mais pas
de correction chromatique.
Adobe Illustrator produit des documents à imprimer ou destinés au réseau Web ou production multimédia
et donc des documents à afficher.
Ce trait est un ensemble de points que l'on peut manipuler de manière indépendante. Une fois agrandie, on
voit apparaître les pixels.
La superposition du rouge du vert et du bleu forme le blanc : C’est la synthèse additive des couleurs.
CMJN : Ce mode représente le Cyan, Magenta, Jaune et Noir. C’est le modèle qui est utilisé en imprimerie.
C’est le procédé dit de quadrichromie. Chaque document qui sera destiné à être imprimé devra être converti
à ce format. En combinant les 3, on obtient du noir en théorie (en réalité, il s’agit d’un marron terne, c’est
pourquoi on rajoute du noir).
La superposition du cyan du magenta et du jaune forme le noir. C’est la synthèse soustractive des couleurs.
Pour mieux comprendre comment sont constituées les couleurs, faites apparaître votre palette de couleur
- La palette TSL contient trois échelles. La première représentant la teinte est exprimée en degrés, la
saturation ainsi que la luminosité sont exprimées en pourcentage.
- La palette RVB contient trois échelles exprimées en valeurs de 0 à 255 niveaux de teintes possibles.
- La palette Web contient trois échelles en RVB (travail à l’écran) et est exprimée par combinaison de
chiffres et lettres hexadécimaux (A, B, C, D, E, F, et 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9).
Web
Les spectres de couleurs ne sont pas tous identiques. En effet, votre œil perçoit un plus grand nombre de
teintes qu’un imprimeur n’est capable d’en reproduire. Le travail à l’écran se fait en mode RVB (spectre
plus large), et le travail destiné à l’impression en mode CMJN. Réfléchissez toujours à la finalité de
votre travail ; Multimédia ou impression ? Pour changer de mode, allez dans le menu Fichier/Mode colori-
métrique du document.
Ne confondez pas les palettes de couleurs et le mode colorimétrique du document. Les palettes de couleur
vous permettent simplement de créer les couleurs (éventuellement, si vous vous sentez plus à l’aise avec
une palette plutôt qu’une autre).
Astuce : Pour obtenir une couleur à partir d’un mode, les placer l’un au-dessus de l’autre et sélectionner
les couleurs qui ne se font pas face:
Un format d’enregistrement est le format que doit prendre un fichier pour que ça soit:
- Utilisable par le même logiciel : c’est le format natif c’est à dire le format de base et par défaut du logiciel.
En effet, il existe quatre formats de fichier de base (AI, PDF, EPS et SVG) pour l’enregistrement d’il-
lustrations. Ces formats sont appelés formats natifs, car ils peuvent préserver toutes les données d’Illus-
trator. (Pour les formats PDF et SVG, vous devez sélectionner les options Conserver les fonctions
d’édition d’Illustrator pour conserver toutes les données d’Illustrator.)
- Echangeable par d’autres logiciels, par d’autres versions, par d’autres plate-formes comme windows,
Mac, Linux, Unix ou d’autres systèmes d’exploitation ou enfin échangeables par d’autres machines c’est
à dire entre un ordinateur et une machine flasheuse ou CTP par exemple.
I- Enregistrement d'illustrations
Lors de l'enregistrement, Illustrator écrit les données de l'illustration dans un fichier. La structure des données
dépend du format de fichier sélectionné natif ou non.
Lorsqu’on choisi les formats de base (AI, PDF, EPS et SVG) selon la destination souhaitée le problème ne
s’oppose pas, mais lorsqu’on choisi un format non natif, Illustrator ne pourra pas récupérer toutes les données
si on rouvre le fichier dans Illustrator. C'est pourquoi il est conseillé d'enregistrer les illustrations au format
AI tant qu'elles ne sont pas terminées, puis de les exporter au format souhaité.
Vous pouvez utiliser les commandes suivantes pour enregistrer une illustration dans un
format natif :
- Fichier > Enregistrer pour enregistrer les modifications apportées au fichier actif.
- Fichier > Enregistrer sous pour enregistrer les modifications dans un autre fichier.
- Fichier > Enregistrer une copie pour enregistrer une copie exacte du fichier tout en laissant le fichier
d'origine actif.
Spécifie quand incorporer la police complète (et non simplement les caractères utilisés dans le document)
en fonction du nombre de caractères de cette police utilisés dans le document. Par exemple, si une police
contient 1 000 caractères mais que le document n'en utilise que 10, vous pouvez décider que l'incorporation
de la police complète ne justifie pas l'espace supplémentaire requis.
- De nombreuses applications de mise en page, de traitement de texte et graphiques acceptent les fichiers PDF importés ou in-
sérés. Adobe PDF préserve toutes les données d'Illustrator, ce qui signifie qu'on peut rouvrir le fichier dans Illustrator sans
perte d'informations.
- Adobe PDF est particulièrement adapté aux processus de publication. En enregistrant un composite de votre illustration au
format Adobe PDF, on peut le traiter à l'aide d'outils de diverses sources pour des tâches de post-traitement telles que vérifi-
cations de contrôle en amont, recouvrement, imposition et séparation des couleurs.
- Adobe PDF est également un format idéal pour la distribution électronique de documents et l'affichage à l'écran.
V- Exportation d'illustrations
Vous pouvez exporter une illustration dans divers formats de fichier pour l'utiliser en dehors d'Illustrator.
On parle de formats non natifs dont certains formats ne peuvent contenir que des dessins vectoriels ou des
images bitmap alors que d'autres peuvent combiner les deux dans un même fichier.
1. Si l'illustration inclut une transparence, choisissez Fichier > Format de document, puis Transparence dans
le menu déroulant. Sélectionnez ensuite un paramètre d'aplatissement, puis cliquez sur OK.
2. Choisissez Fichier > Exporter.
3. Dans la boîte de dialogue Exporter, indiquez l'emplacement et le nom du fichier, puis choisissez un for-
mat dans le menu déroulant Type (Windows) ou Format (Mac OS).
4. Cliquez sur Enregistrer.
Avec certains formats de fichier, une boîte de dialogue apparaît. Pour plus de détails, voir les sections
suivantes spécifiques au format.
DWG est le format de fichier standard pour l'enregistrement de graphiques vectoriels créés dans AutoCAD.
DXF est un format d'échange graphique pour l'exportation de dessins AutoCAD ou l'importation de dessins
vers et à partir d'autres applications. Le format DXF est une représentation de données référencée de toutes
les informations contenues dans un fichier de dessin AutoCAD.
BMP est le format de fichier bitmap Windows standard utilisé sur les ordinateurs compatibles Windows.
Le format Métafichier étendu est largement utilisé par les applications Windows comme format d'échange
pour l'exportation de données graphiques vectorielles. Illustrator peut pixelliser certaines données vectorielles
lors de l'exportation d'une illustration au format EMF.
GIF (Graphics Interchange Format) est le format de fichier couramment utilisé pour afficher des graphiques
et images à couleurs indexées sur le World Wide Web. GIF est un format compressé LZW conçu pour
réduire la taille des fichiers et le délai de transfert électronique.
Le format JPEG (Joint Photographic Experts Group) est un format de pixellisation couramment utilisé pour
afficher des photographies et d'autres images en tons continus sur le World Wide Web. Le format JPEG
comprime la taille des fichiers en supprimant des données de façon sélective. Le format JPEG ne prend pas
en charge la transparence.
Le format PICT est largement utilisé sur Macintosh par les logiciels d'illustration et de mise en page comme
format intermédiaire pour le transfert de fichiers entre deux applications. Le format PICT est particulièrement
adapté à la compression d'images contenant d'importantes zones de couleurs unies.
Le format Macromedia Flash est une version du format graphique vectoriel Macromedia Flash destiné aux
graphiques Web animés interactifs.
L'exportation d'une illustration au format Photoshop conserve les calques, les masques, la transparence, les
formes composées, les tranches, les images réactives et le texte modifiable lorsque cela est possible. Ceci
facilite le partage d'illustrations entre Illustrator et Photoshop. Lorsque la boîte de dialogue Options
d'exportation Photoshop apparaît. définissez les options souhaitées, puis cliquez sur OK :
Modèle colorimétrique : Détermine le modèle colorimétrique du fichier exporté.
Résolution : Détermine la résolution du fichier exporté.
Exporter sous : Détermine la version du fichier Photoshop. Le format Photoshop CS préserve le caractère
modifiable de tous les types d'objets texte (texte de point, texte captif et texte curviligne.
Image plate : Fusionne tous les calques et exporte l'illustration Illustrator en tant qu'image pixellisée.
Choisissez cette option pour préserver l'aspect visuel de l'illustration.
Ecrire les calques : Exporte chaque calque Illustrator de niveau supérieur en tant que calque Photoshop
distinct dès lors que cette opération ne compromet pas l'aspect de l'illustration. Les calques imbriqués sont
aplatis dans le calque de niveau supérieur durant l'exportation, à moins que l'option Caractère modifiable
maximum ne soit également sélectionnée.
Conserver le caractère modifiable du texte : Exporte le texte de point horizontal et vertical d'un calque
de niveau supérieur en texte Photoshop modifiable dès lors que cette opération ne compromet pas l'aspect
de l'illustration.
Caractère modifiable maximum : Ecrit chaque sous-calque de niveau supérieur dans un calque Photoshop
distinct dès lors que cette opération ne compromet pas l'aspect de l'illustration.
Les calques de niveau supérieur deviennent des groupes de calques Photoshop. Exporte également les calques
masqués de l'illustration dans des calques Photoshop masqués.
Développé en tant que substitut du format GIF exempt de brevet, le format PNG (Portable Network Graphics)
est utilisé pour la compression sans perte et l'affichage d'images sur le World Wide Web.
Le format TGA est destiné aux systèmes équipés de la carte vidéo Truevision®.
TIFF est utilisé pour l'échange de fichiers entre applications et plates-formes informatiques. Très flexible,
ce format est pris en charge par la quasi-totalité des logiciels de dessin, de retouche d'images et de mise en
page. En outre, la quasi-totalité des scanners de bureau peuvent produire des images TIFF.
Le format Métafichier Windows est un format d'échange intermédiaire pour les applications Windows 16
bits. Le format WMF est pris en charge par pratiquement tous les programmes de dessin et de mise en page
Windows. Sa prise en charge des graphiques vectoriels est cependant limitée et, chaque fois que cela est
possible, utilisez le format EMF à la place du format WMF.
A- INTRODUCTION
Illustrator est un logiciel qui va vous permettre de créér des illustrations, dessins et logos de types "vectoriels".
Ce terme désigne le mode de travail de ce logiciel; à savoir des droites et des courbes calculées de façon
mathématique. Illustrator est à l'opposé du logiciel Photoshop qui lui travaille en mode Bitmap (pixels).
Il peut être difficile d'aborder ce logiciel car, pour commencer une illustration, nous avons pris l'habitude
de prendre un crayon et de commencer un tracé;
Ici, Illustrator se chargera de créer mathématiquement les traits, courbes et graphismes que vous placerez.
Si vous débutez, vous pouvez penser qu'Illustrator est un logiciel qui manque de souplesse; avec du temps
et du travail, vous vous rendrez vite compte que ce logiciel vous permettra de créer un très grand nombre
d'illustrations.
L'avantage des tracés mathématiques (les vecteurs), c'est avant tout une très grande pureté des lignes. Vous
verrez donc, au fur et à mesure de votre progression, que vos dessins y gagneront en précision et en justesse.
B- Présentation
À l’ouverture du logiciel, vous pouvez voir différentes palettes apparaîtrent. Elles vous permettront de créer
et transformer vos dessins.
Les palettes sont nombreuses dans Illustrator et il ne servirait à rien de toutes les afficher dès le début de
vos créations; Elles sont regroupées sous forme d’onglets, vous permettant ainsi de mieux organiser votre
espace de travail ; Organisé, celui-ci vous permettra de gagner un temps considérable!
Il vous est possible de déplacer les palettes en effectuant un clic maintient sur leurs barres de titre. Vous
pouvez :
- Les regrouper ou les séparer par la technique du glissé déplacer des onglets (vous maintenez le clic en-
foncé sur un onglet et vous le sortez ou le rentrez vers une nouvelle palette).
C- Les palettes
Vous devrez dans un premier temps, vous familiariser avec l’environnement de travail et les palettes. Pour
cela, nous allons vous présenter celles-ci.
1- La palette d’outils
Par défaut, elle se situe à gauche de l’écran lors de l’ouverture du logiciel. Les outils qu'elle contient
permettent de réaliser, transformer, modifier et sélectionner vos dessins et textes.
Si votre palette n’apparaît pas, allez dans le menu Fenêtre/Afficher la palette d’outils.
Pour détacher les outils optionnels en palettes flottantes, faites apparaître l’outil par un clic maintient et
relâchez la souris à droite, sur la case fléchée.
Outils trait, arc, spirale, grille rectangulaire et grille à coordonnées polaires (cir-
culaire)
Outils rectangle, rectangle avec des coins arrondis, elipse, polygone, étoile et
halo
3- La palette de navigation
4- La palette d’infos
Pour la faire apparaître, allez dans le menu Fenêtre/Option d’objets ou tapez F11 au clavier.
Elle permet l’affichage du centre des objets, des liens Internet qui leur sont affectés, des surimpressions.
6- La palette de couleur
Pour la faire apparaître, allez dans le menu Fenêtre/Contour ou tapez F10 au clavier.
Elle vous permet de choisir l’épaisseur et les formes de contours des objets que vous créerez (extrémité,
sommet et pointillé).
8- La palette de dégradé
Pour la faire apparaître, allez dans le menu Fenêtre/Dégradé ou au clavier F9 ou double cliquez sur l’outil
dégradé dans la palette d’outil.
Elle permet la réalisation des dégradés et leur changement de styles (linéaire ou radial).
9- La palette de nuancier
Pour les faire apparaître, allez dans le menu Fenêtre/Bibliothèques de nuances/ choisir dans le menu dérou-
lant.
Ce sont des nuances de couleurs supplémentaires (pastels, métalliques, systèmes…)
Pour la faire apparaître, allez dans le menu Fenêtre/Aspect ou tapez Shift-F6 au clavier.
Elle permet de gérer et modifier les attributs de contours, de fonds, de transparence et d’effets d’objets que
vous créerez.
Pour la faire apparaître, allez dans le menu Fenêtre/Transparence ou tapez Shift-F10 au clavier.
Elle permet la modification de l’opacité des objets, calques…
Pour la faire apparaître, allez dans le menu Fenêtre/Styles ou tapez Shift-F5 au clavier.
Elle permet d’appliquer différents styles (contour, fond) sur les objets que vous créerez.
Pour les faire apparaître, allez dans le menu Fenêtre/Bibliothèques de styles/ choisir dans le menu dérou-
lant.
Ce sont des options de styles de fonds et de contours supplémentaires.
Pour la faire apparaître, allez dans le menu Fenêtre/Symboles ou tapez Shift-F11 au clavier.
Elle permet le stockage, la création ainsi que la modification de dessins prêts à l’emploi.
Pour la faire apparaître, allez dans le menu Fenêtre /Alignement ou tapez Shift-F7 au clavier.
Elle permet de modifier le placement des objets dans l’espace.
Pour la faire apparaître, allez dans le menu Fenêtre /Transformation ou tapez Shift-F8 au clavier.
Elle permet de modifier la taille position, orientation et inclinaison des objets.
Pour la faire apparaître, allez dans le menu Fenêtre/Path Finder ou tapez Shift-F9 au clavier.
Elle permet d’effectuer des combinaisons d’objets entre eux (type fusion…).
Pour la faire apparaître, allez dans le menu Fenêtre /Texte ou tapezT (caractère),M (paragraphe),Shift T
(tabulation) au clavier. Sur PC tapez Ctrl T (caractère), Ctrl M (paragraphe), Ctrl Shift T (tabulation).
Les deux palettes principales permettent de modifier les attributs de caractère (police, graisse, approche…
) et de paragraphe (alignement, retrait). La palette de tabulation permet de poser des taquets (permettant
l’alignement des textes). La palette MM (Multiple Master) permet de modifier la graisse (épaisseur) et
chasse (largeur) style et corps des caractères de police MM.
1- Le nom
Il s’agit du nom que vous donnerez à votre page et qui figurera ensuite dans votre barre de titre.
Il change en fonction du travail que vous aurez à effectuer. Cependant, les formats peuvent êtres modifiés
à tout moment.
Différents formats :
3- Les unités
Elles seront utilisées au cours du travail ainsi que pour les règles. Vous pourrez les modifier les unités de
Vous devrez choisir entre l’orientation à la francaise ou à l’italienne. On les retrouve également sous le nom
de portrait et paysage respectivement.
À la Française À l’Italienne
5- Le mode de travail
Il vous faudra choisir entre le travail destiné à l’écran (RVB) ou au travail destiné à l’impression (CMJN).
Nous aborderons ce chapitre dans la partie II de ce cours.
6- Plan de travail
Après avoir créé un nouveau document, vous allez voir apparaître une page délimitée par les lignes continues;
elles représentent la surface totale d'impression de votre document. Par défaut, le plan de travail a la même
taille que la page, mais il peut être agrandi ou réduit. Par défaut, le format du plan de travail est de 21 x
29,7 cm.
Dans notre premier exemple, une surface d'impression par défaut, et dans le second, la surface décalée.
B- Les menus
1- Menu Illustrator
3- Menu Edition
5- Menu Texte
7- Menu Effet
Cette fenêtre est divisée en plusieurs zones. La partie haute contient un menu déroulant vous permettant de
choisir le format de fichier. En fonction du travail que vous effectuez, ce format peut être modifié.
Dans Illustrator, vous trouverez deux grands types de formats. Les formats destinés au multimédia et ceux
qui sont destinés à la PAO :
1- Multimédia
- AI : Format natif du logiciel Illustrator. Si vous souhaitez utiliser un fichier uniquement dans ce logiciel.
C’est un format importable vers le logiciel de mise en pages InDesign.
- SVG : Utilisé pour les images fixes et animations de type Flash.
- FXG : Utilisé lorsque vous créez des images structurées avec Illustrator en vue de les utiliser dans Adobe
Flex®
- EPS : Format idéal pour la PAO. Ce format permet d’exporter vos fichiers vers les logiciels de mise en
pages (Quark et Indesign).
3- Enregistrer ses fichiers sur le bureau
Votre disque dur contient des dossiers qui peuvent eux-mêmes contenir des fichiers. Tous ces dossiers sont
classés sous forme hiérarchique. Pour choisir le bureau, entrer dans la partie Chemin et choisir l’option
Desktop ou Bureau ou tapezD au clavier.
Vous pourrez décider de créer un nouveau dossier dans lequel se trouvera votre fichier. Dans ce cas, cliquez
sur la case « Nouveau Dossier », donnez-lui un nom appuyez sur la case créer.
On peut dire que ces points d’ancrage « cernent » en quelque sorte le trait. Si vous retiriez un point d’ancrage
à votre segment, automatiquement votre droite disparaîtrait. Il ne vous resterait qu’un point, soit celui de
départ, soit celui d’arrivée.
Dans l’exemple ci-dessous, nous avons trois points d’ancrage : Nous avons deux segments reliés entre
eux par trois points d’ancrage. Si l’on retire le dernier point d’ancrage (le point « d’arrivée »), le second
segment disparaît. Cela n’affecte en rien le premier segment qui conserve un point de « départ » et un point
« d’arrivée ».
Si à présent, on retire le point d’ancrage au sommet (celui qui relie les deux segments entre eux), ceux-ci
vont disparaître et il ne restera que les points d’ancrage du bas (points bleus). Il s’agissait du point d’arrivée
du premier segment mais aussi du point de départ du second.
Toutes les formes ont des points d’ancrage. Si l’on retire au cercle ci-dessous son point du bas, il ne restera
que la moitié d’une sphère. Deux segments ont été effacés.
Jusqu’à présent, nous avons vu qu’il était possible de déformer des tracés au moyen de points d’ancrage et
de segments. Dans l’exemple ci-dessous, si nous déplaçons le point d’ancrage du haut, nous savons que
les segments qui y sont « ancrés » vont le suivre. Chaque segment est toujours relié à deux points d’ancrage.
Pour travailler les courbes de Bézier, nous allons commencer par modifier l’aspect et la direction des courbes.
Dans l’exemple suivant, on voit qu’un segment de courbe peut partir vers le haut (rouge), la droite (vert)
ou le bas (bleu). Une courbe peut donc avoir une amplitude ainsi qu’une direction particulière. C’est en
manipulant ce que l’on nomme les lignes directrices et les points directeurs et en les déplaçant que vous
allez influer sur vos courbes.
Les courbes peuvent êtres modifiés au moyen de lignes directrices et points directeurs. En démarrant de la
courbe de gauche, on peut rapidement arriver à la courbe de droite.
Les lignes qui s’affichent sont des lignes directrices. Chaque ligne directrice est rattachée à un point d’ancrage
de départ et un point d’ancrage d’arrivée. Chaque segment de courbe comporte donc deux lignes direc-
trices.
Les lignes directrices sont terminées par des points directeurs. C’est grâce à ces points directeurs que vous
allez modifier la taille ainsi que la position des lignes directrices. Une fois modifiées, vous allez donc pouvoir
rediriger vos segments de droite.
Exemple 2 : Si vous prenez votre point directeur et que vous le dirigez vers la droite et vers le bas, le segment
qui y est rattaché va automatiquement suivre sa ligne directrice.
Exemple 3 : Si vous prenez votre point directeur et que vous le dirigez vers le bas, le segment qui y est
rattaché va automatiquement suivre sa ligne directrice.
Nous savons à présent modifier l’amplitude et la direction d’un segment. Nous allons voir comment modifier
un sommet (point d’ancrage) en une inflexion (courbe). Nous avons volontairement dessiné cette montagne
pour bien vous faire comprendre la notion de sommet.
Ici, il s’agira de modifier une pointe en arc de cercle:
1- Commencez au moyen de la plume, par dessiner une suite de sommets. Sélectionnez votre forme grâce
à la flèche noire.
Si vous ne cliquez pas précisément sur votre point, une fenêtre va s’afficher vous indiquant qu’il est
impossible de convertir le point d’ancrage. Recommencez en plaçant précisément votre pointeur sur le
point.
Dans cet exemple, deux points d’ancrage ont été rajoutés aux centres des segments.
Vous devez faire attention à bien cliquer sur le tracé avec votre plume, sinon ce message d’erreur s’affichera.
Le troisième outil de la palette optionnelle qui est la plume - permet de supprimer des points d’ancrage sur
un tracé.
1- Créez un rectangle. Dans le premier exemple ci-dessous, nous avons retiré le point d’ancrage inférieur
gauche.
2- Sélectionnez votre plume – et cliquez sur un point d’ancrage. Lorsque vous retirez un point d’ancrage,
les segments qui y sont rattachés sont effacés. Un nouveau segment vient relier les points d’ancrage qui
restent.
1- Tracer un rectangle
3- Effectuez ensuite un clic maintient sur le bouton de votre souris et descendez en diagonale. Un
cadre bleuté (représentant votre futur rectangle) doit à présent suivre votre souris.
Pour le moment, nous avons dessiné un rectangle dont les proportions sont définies en fonction du moment
où vous effectuez votre premier clic et le moment où vous relâchez votre souris.
Il va vous être possible, via une touche de votre clavier, de forcer votre rectangle à devenir un carré.
1- Sélectionnez votre outil rectangle et appuyez sur la touche Shift de votre clavier.
2- Commencez un tracé comme précédemment.
3- Vous allez vous rendre compte que votre souris a l’air bloquée. Cette réaction est normale dans la mesure
où la touche shift représente une touche de contrainte. Elle oblige un tracé à conserver des proportions
de largeur et hauteur égales.
4- Une fois tracé, relâcher d’abord la touche de votre clavier puis votre souris.
Lorsque vous tracez un rectangle, celui-ci commence toujours par un de ses angles. Vous pouvez également
commencer à tracer un rectangle en le débutant par son centre.
1- Sélectionner votre outil rectangle.
2- Appuyez sur la touche ALT de votre clavier. Votre curseur se change sous forme de cadre :
Il vous sera également possible de combiner les touches. Si vous souhaitez par exemple créer un rond qui
débute par son centre, utilisez les touches Shift et ALT puis tracez un cercle.
Vous pouvez décider au moment où vous tracez un dessin de le déplacer vers un endroit en particulier.
1- Sélectionnez l’outil carré par exemple et commencez votre tracé. Ne relâchez pas votre souris.
2- Appuyez sur la touche d’espace de votre clavier.
3- Déplacez votre souris toujours en restant appuyé dessus. Vous allez voir votre tracé suivre votre souris.
Placez votre forme à l’endroit désiré.
4- Relâcher votre touche espace puis votre souris.
A- LE RECTANGLE
Une autre façon de créer des formes de base est possible en utilisant la fonction de tracé paramétrée.
Cette fois-ci, vous ne tracez plus de dessin en utilisant votre souris par la technique du glissé déplacé,
mais vous spécifiez des valeurs dans une fenêtre de paramètrage :
B- LE RECTANGLE ARRONDI
Dans la palette d’outil se trouve le rectangle arrondi (seconde icône dans la palette).
Comme pour les autres tracés, vous pouvez dessiner vous-même votre rectangle, mais celui-ci aura des
angles arrondis. Utilisez le simple clic pour dessiner un rectangle arrondi dont vous choisissez le rayon
d’angle. Une fenêtre s’affiche vous demandant de spécifier un rayon pour les angles de votre rectangle :
Si par la suite, vous choisissez de dessiner un rectangle à la souris et que celui-ci a un rayon qui ne vous
satisfait pas, passez par la fenêtre paramètrage et donnez de nouvelles valeurs. Celles-ci seront répercutées
sur les prochains rectangles que vous tracerez.
C- LE POLYGONE
Il s’agit du quatrième outil dans la palette optionnelle. Comme plus haut, vous avez la possibilité de dessiner
grâce à la technique du glissé déplacé de souris ou grâce à la fenêtre de paramétrage. Faites un simple
clic sur le plan de travail pour faire apparaître la fenêtre de paramétrages.
3 4 5 6 7 8 côtés
À partir d’une certaine valeur de rayon, votre forme ressemblera plus à un cercle qu’à un polygone. Rappelez-
vous également que votre forme conserve les paramètres de votre précédent tracé. Si vous dessinez avec la
technique de la souris et que votre polygone contient un nombre de côtés que vous souhaitez modifier, faites
apparaître la fenêtre de paramètres en faisant un clic sur le bureau et donnez de nouvelles valeurs dans la
case côtés.
D- L’ÉTOILE
Comme pour les autres outils, vous pourrez passer par la souris pour la dessiner ou par la fenêtre de para-
mètrages. Avec la technique manuelle, effectuez un clic maintient puis déplacez votre souris en diagonale
pour agrandir l’étoile et faites pivoter votre souris pour tourner l’étoile.
Si ce n’est pas l’outil trait qui est affiché, rentrez dans les outils optionnels :
Vous pouvez tracer des traits de façon manuelle ou grâce à la fenêtre de paramètrages. La méthode à la
souris peut-être parfois plus précise pour visualiser le début et la fin d’un tracé. Sélectionnez votre outil
trait, faites un clic maintient puis déplacez votre souris. Un trait bleu vous indique votre futur tracé. Grâce
à la touche Shift, votre trait subira une contrainte à 45° et avec la touche ALT, votre trait débutera à partir
de son centre.
Avec la fenêtre de paramètrages, sélectionnez l’outil puis effectuez un clic sur le plan de travail. Une fenêtre
s’affiche vous demandant de spécifier une longueur de trait puis un angle.
Vous pouvez également créer une série de traits dont vous aurez déjà spécifié une taille ainsi qu’un angle
dans la fenêtre de paramètrages. Appuyez sur la touche ALT et faites plusieurs clics sur le plan de travail.
Le début des traits correspondra à l’endroit ou vous aurez cliqué sur le bureau.
Cet outil s’utilise en effectuant un clic maintient de votre souris et en la déplaçant. Votre crayon apparaît
sur votre plan de travail avec une croix. Lorsque vous commencez votre tracé, une ligne en pointillé bleu
vous suit. Elle vous indique votre parcours sur le plan de travail. Lorsque vous avez fini de dessiner, relâchez
votre souris. Rappelez-vous que votre dessin a la couleur définie dans la case fond.
Dans ces exemples, le premier tracé n’est pas fermé contrairement au second. La couleur de fond est le
blanc et la couleur de contour est le noir. En revenant à votre point de départ, votre tracé apparaîtra fermé.
Si vous arrêtez votre tracé en cours de route, votre dessin vous affichera une forme dont le contour (noir
dans notre exemple) ne « cerne » pas toute la forme.
En double cliquant sur l’outil crayon, vous allez faire apparaître sa fenêtre de réglages.
- La zone fidélité correspond au nombre de points (nommés points d’ancrage) placés le long du tracé. Si vous
diminuez la fidélité, votre tracé conservera une allure plus proche de votre « coup de crayon ». Au contraire
si vous augmentez la fidélité, votre dessin sera simplifié dans les courbures et les arrondis de votre tracé.
- La partie lissage correspond à la précision du tracé.
Dans notre premier exemple, nous avons placé la fidélité à 0,5 et le lissage à 0. Pour le second tracé, nous
avons placé la fidélité et lissage au maximum. On voit bien que le tracé a été simplifié ; il y a moins de
points d’ancrage.
Nous avons vu qu’il était possible de laisser une forme ouverte mais vous pouvez aussi fermer automatiquement
une forme.
1- Sélectionnez l’outil crayon.
2- Dessinez une forme en faisant un clic maintient, mais ne relâchez pas encore le bouton de la souris.
3- Appuyez sur la touche ALT de votre clavier. Votre curseur crayon doit apparaître avec un petit cercle.
Il vous indique que l’emplacement actuel de votre crayon va être relié à son point d’origine.
4- Relâchez la souris puis la touche du clavier. Votre tracé doit être à présent fermé.
3- Prolonger un tracé
Vous avez la possibilité de modifier le tracé effectué au moyen du crayon. Assurez vous en double cliquant
dans l’outil crayon que la case « Modifier les tracés sélectionnés » est bien activée. Cette option va vous
permettre de réaliser une suite de tracés sans toucher aux précédents.
6- Effacer un tracé
Vous pouvez effacer des zones de votre tracé grâce à l’outil gomme. Il s’agit du troisième outil dans la
palette optionnelle crayon.
A- Dessin d’arcs
B- Dessin de spirales
C- Dessin de grilles
Utilisez les outils de grille pour tracer rapidement des grilles rectangulaires et polaires. L’outil Grille
rectangulaire crée des grilles rectangulaires d’une taille donnée, avec un nombre spécifique de séparateurs.
L’outil Grille à coordonnées polaires crée des cercles concentriques d’une taille donnée, avec un nombre
spécifique de séparateurs.
Si votre case de fond est barrée d’un trait rouge, c’est que l’objet est transparent (comme le serait
un cerceau vide, que l’on ne peut saisir par l’intérieur).
Cliquez sur le contour de l’objet pour le sélectionner puis appuyer sur la touche D afin de retrouver vos
couleurs d’origine (noir pour le contour et blanc pour le fond).
Pour sélectionner un objet n’ayant pas de couleur de fond, cliquez sur son contour.
Une fois que vous avez sélectionné un objet, un cadre bleu apparaît. Il s’agit du cadre de sélection. Il
comporte huit poignées qui permettent la modification de votre forme ; En largeur, hauteur et les deux réu-
nis.
Faites apparaître la palette d’infos du menu fenêtre pour connaître la position et la taille exacte des objets
que vous sélectionnez. Les informations X et Y vous indiquent la position horizontale et verticale de l’objet.
Les informations L et H vous indiquent la largeur et hauteur de l’objet.
À partir de la première forme, vous devez essayer d’obtenir la deuxième en déplaçant les points d’ancrage.
Un rectangle et une ellipse ont le même nombre de points d’ancrage (4). Ils peuvent tous être sélectionnés.
Le carré magique apparaît sur le plan de travail, lors d’un clic maintient sur la souris. Nous avons commencé
le tracé du carré magique en haut à l’extérieur des formes et fini en bas.
V- LA BAGUETTE MAGIQUE
L’outil baguette magique va vous permettre la sélection d’objets ayant la même couleur de :
- Fond
- Contour
- Épaisseur de contour
- Opacité
- Mode de fusion
Vous trouverez l’icône de baguette magique dans la barre d’outil:
Pour faire apparaître la palette de baguette magique, allez dans le menu Fenêtre / Baguette magique.
2- Sélectionnez ensuite votre baguette magique et cliquez sur l’un des objets. Ici, nous avons cliqué sur le
premier objet mauve. Tous les objets ayant la même couleur de fond sont sélectionnés.
Dans notre exemple suivant, nous voulons sélectionner des objets ayant la même opacité:
Dans notre exemple suivant, nous voulons sélectionner des objets ayant la même épaisseur de contour:
Dans cet exemple, nous avons placé la tolérance à 0 afin de ne sélectionner que les objets ayant exactement
la même épaisseur de contour.
VI- Le lasso
Outil Lasso Permet de sélectionner des objets, des points d’ancrage ou des segments de tracé à l’intérieur
des objets en faisant glisser le pointeur autour de l’ensemble ou d’une partie de l’objet.
Avant Après
I- Présentation
Les repères sont des lignes que vous placez et qui vous guident afin de placer vos objets de façon précise
sur le plan de travail. Avant de placer des repères, il vous faudra commencer par afficher la règle. Pour
cela, allez dans le menu Affichage et choisissez l’option « Afficher les règles » ou tapezR (Ctrl R) au clavier.
Une règle horizontale et une verticale apparaissent (en haut et à gauche de votre fenêtre). L’unité de valeur
des règles est affichée en fonction des préférences données dans le logiciel. Pour changer ces unités, allez
dans le menu Illustrator /Préférences/Unités et annulations et choisissez dans le menu déroulant « Générales
», l’unité que vous préférez (mm, cm…).
Dans le menu ci-dessus, on voit que l’option « Verrouiller les repères » est cochée et donc que vos repères
ne peuvent êtres manipulés. Relâchez votre souris sur cette commande. L’encoche va disparaître. À
présent, votre repère peut être sélectionné grâce à la flèche noire. Approchez là de votre repère. Vous devez
voir un carré noir apparaître à côté de votre curseur. Faites un clic maintient sur votre repère et déplacez-
vous. Votre repère va vous suivre. Pour éviter de mauvaise manipulation re-verrouillez le repère une fois
placé en retournant sur la commande « Verrouiller les repères ».
L’axe zéro des deux règles a été placé à l’intersection des deux repères.
Les objets Adobe Illustrator englobent tout élément pouvant être ajouté ou créé dans la fenêtre de document,
notamment les tracés ouverts ou fermés, les formes et les tracés transparents, le texte, les images pixellisées,
les objets 3D et tout fichier importé, comme une image par exemple.
Illustrator propose différentes méthodes pour sélectionner des objets à modifier, positionner, disposer,
dupliquer, masquer ou supprimer. Vous pouvez également rassembler des objets pour créer des groupes,
des formes composées, des tracés transparents, des tracés pathfinder et des enveloppes. La palette Calques
est particulièrement utile pour travailler avec ces types d’objets, car elle vous permet de voir leur contenu.
- L’outil Sélection vous permet de sélectionner la totalité d’un tracé, d’un objet ou d’un groupe en cli-
quant simplement sur celui-ci (ou à l’intérieur si le tracé, l’objet ou le groupe est doté d’un fond). Lorsque
cet outil est placé sur un tracé, un objet ou un groupe non sélectionné, il se transforme en . Lorsqu’il
est placé sur un tracé, un objet ou un groupe sélectionné, il se transforme en . Lorsqu’il est placé sur
un point d’ancrage, un carré évidé apparaît à côté du pointeur ou . , selon que le tracé, l’objet ou
le groupe est sélectionné ou non.
- L’outil Sélection directe vous permet de sélectionner individuellement des points d’ancrage ou des
segments sur un tracé. Toutes les lignes directrices s’affichent alors sur cette portion du tracé pour le re-
toucher. Lorsque l’outil Sélection directe est placé sur un tracé ou un objet non sélectionné, il se trans-
forme en . Lorsqu’il est placé sur le point d’ancrage d’un tracé ou d’un objet sélectionné, il se
transforme en .
- L’outil Sélection directe progressive sélectionne un objet à l’intérieur d’un groupe, un groupe parmi
plusieurs groupes ou un ensemble de groupes dans l’illustration entière, en cliquant simplement dessus.
A chaque clic supplémentaire, viennent s’ajouter tous les objets du groupe suivant dans la hiérarchie.
- L’outil Lasso direct vous permet de sélectionner individuellement des points d’ancrage ou des seg-
ments sur un tracé en faisant glisser le pointeur autour d’une partie du tracé. Toutes les lignes directrices
s’affichent alors sur cette portion du tracé pour que vous puissiez le retoucher.
- L’outil Baguette magique vous permet de sélectionner des objets de même couleur, opacité, épaisseur
de tracé et couleur de contour ou partageant le même mode de fusion en cliquant simplement sur une
zone de couleur.
Pour sélectionner la totalité d’un objet ou d’une ligne avec l’outil Lasso:
1) Sélectionnez l’outil Lasso .
2) Faites glisser le pointeur autour de l’objet ou sur celui-ci.
Pour élargir ou réduire une sélection avec les outils Sélection, Sélection directe ou Sélec-
tion directe progressive :
Maintenez la touche Maj enfoncée en sélectionnant ou désélectionnant d’autres objets ou segments.
Pour élargir ou réduire une sélection avec les outils Lasso ou Lasso direct :
1) Procédez de l’une des façons suivantes :
- Lorsque vous procédez à la sélection, maintenez la touche Maj enfoncée pour l’élargir.
- Maintenez la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée pour réduire la sélection.
Si vous travaillez en mode Aperçu en pixels et que vous voulez que l’objet soit magnétisé aux pixels lorsque
vous le faites glisser, désactivez l’option Utiliser les limites d’aperçu dans le volet Générales de la boîte de
dialogue Préférences.
Pour déplacer ces objets, les dupliquer ou les mettre à l’échelle, utilisez l’outil Sélection.
Lorsque l’option Sélection du fond des objets est activée, l’objet entier est sélectionné
Lorsque l’option Sélection du fond des objets est désactivée, seuls les points et les segments à l’intérieur
du rectangle de sélection sont sélectionnés lorsque vous faites glisser le pointeur.
Pour définir les préférences générales de clavier qui régissent le déplacement des objets :
1) Choisissez Edition > Préférences > Générales (Windows) ou Illustrator > Préférences > Générales
(Mac OS X).
2) Dans la zone de texte Incréments clavier, entrez la distance de déplacement que chaque pression d’une
touche fléchée imposera à une sélection, puis cliquez sur OK.
L’option Déplacement de la boîte de dialogue Transformation répartie déplace les objets composant une
sélection dans la direction spécifiée ou dans une direction quelconque. Vous pouvez utiliser l’option Aléatoire
pour donner à un groupe d’éléments un aspect moins rigide, plus naturel. Si, par exemple, vous dessinez
un mur de briques, l’option Aléatoire permet de faire apparaître les briques légèrement décalées les unes
par rapport aux autres, et non parfaitement alignées.
Pour déplacer des groupes d’objets :
1) Sélectionnez les objets que vous souhaitez déplacer.
A l’aide de la commande Décalage, vous pouvez dupliquer un tracé en décalant la réplique par rapport à
l’original, selon une valeur spécifiée. Cette commande est utile lorsque vous souhaitez créer des formes
concentriques ou plusieurs répliques d’un tracé à une distance régulière du tracé d’origine. Vous pouvez
créer un tracé décalé à partir d’un tracé ouvert ou fermé. Si vous le créez à partir d’un tracé fermé, le
nouveau tracé décalé apparaît à la distance spécifiée en dehors ou à l’intérieur du tracé d’origine.
Utilisez la commande Décalage pour « convertir » une forme de filet en un tracé ordinaire. Si, par exemple,
vous avez décomposé une enveloppe ou souhaitez convertir une forme de filet pour l’utiliser dans une autre
application, appliquez le filtre de décalage en définissant une valeur de 0, puis supprimez la forme de filet.
Retouchez ensuite le reste du tracé.
La fonction de glisser-déposer vous permet de copier et de déplacer des images entre Illustrator et d’autres
applications.
Sous Windows, l’autre application doit être compatible OLE. Pour copier un objet OLE contenant des don-
nées .psd, utilisez le Presse-papiers OLE. La fonction de glisser-déposer appliquée à des graphiques
vectoriels depuis Adobe Illustrator ou d’autres applications utilisant le Presse-papiers convertit l’illustration
en image bitmap (appelée aussi format pixellisé).Sur Mac OS, l’application doit prendre en charge la
fonction Macintosh Drag Manager.
C- Suppression d’objets
Un objet supprimé disparaît définitivement de l’illustration.
Objet aligné par rapport aux axes par défaut (à gauche) et aux axes pivotés de 20 ° (à droite)
Vous pouvez ensuite utiliser la touche Maj pour contraindre le déplacement des objets à l’horizontale, à la
verticale ou en diagonale par rapport à l’orientation réelle des axes des x et des y.
En maintenant la touche Maj enfoncée lors du déplacement ou du tracé, vous limitez le mouvement du
pointeur au multiple de 45 ° le plus proche.
Pour faire passer un objet au premier plan ou à l’arrière-plan du même groupe ou calque :
1) Sélectionnez l’objet à déplacer.
2) Choisissez Objet > Disposition > Premier plan ou Objet > Disposition > Arrière-plan.
Pour déplacer un objet d’un calque vers l’avant ou vers l’arrière dans une pile :
1) Sélectionnez l’objet à déplacer.
2) Choisissez Objet > Disposition > En avant ou Objet > Disposition > En arrière.
Pour déplacer un objet devant ou derrière d’autres objets dans l’ordre d’empilement :
1) Sélectionnez l’objet à déplacer.
2) Choisissez Edition > Couper. L’objet sélectionné est provisoirement supprimé et placé dans le Presse-
papiers.
3) Sélectionnez le ou les objets devant ou derrière lesquels vous souhaitez placer l’objet coupé.
4) Choisissez Edition > Coller devant ou Edition > Coller derrière.
L’objet coupé est collé à la position correspondante. Si vous n’avez effectué aucune sélection à l’étape 3,
l’objet est collé au premier plan ou à l’arrière-plan de la pile.
Si vous collez plusieurs objets, tous les objets collés apparaissent devant ou derrière la sélection. Toutefois,
l’ordre de dessin relatif entre les objets collés reste identique. Si votre document comporte plusieurs calques
définis avec la palette Calques, ceux-ci influent sur la manière dont les objets sont collés.
Trois feuilles dessinées (à gauche) et associées par la commande associer du menu objet puis sélectionnées
par l’outil de sélection (à droite).
Pour sélectionner des objets associés avec l’outil Sélection directe progressive :
1) Activez l’outil Sélection directe progressive et cliquez sur le tracé que vous souhaitez sélectionner.
2) Cliquez au même endroit autant de fois que nécessaire pour sélectionner tous les objets qui vous inté-
ressent.
Le troisième clic permet d’ajouter le groupe suivant à la sélection (à gauche). Le quatrième clic permet
d’ajouter le troisième groupe (à droite).
L’organisation des divers éléments de la fenêtre de document est parfois difficile lorsque vous créez des
illustrations complexes. Les petits éléments sont souvent masqués par des éléments plus grands, ce qui rend
leur sélection parfois fastidieuse. Les calques constituent un outil très pratique permettant d’organiser tous
les éléments d’une illustration. Ils font office de dossiers transparents renfermant des illustrations. Si vous
réorganisez les dossiers, vous modifiez l’ordre de superposition des éléments de l’illustration. Vous pouvez
déplacer des éléments d’un dossier à un autre et créer des sous-dossiers.
La structure des calques d’un document peut être aussi simple ou complexe que vous le souhaitez. Par
défaut, tous les éléments sont placés dans un calque parent unique ( ou calque général), mais vous pouvez
créer des calques et y placer des éléments ou encore déplacer des éléments entre les calques à tout moment.
Le panneau Calques vous permet de sélectionner, masquer, verrouiller et modifier les attributs d’aspect
d’une illustration. Vous avez même la possibilité de créer des calques modèles pour assurer l’homogénéité
de vos illustrations ou d’importer des calques depuis Photoshop
Les calques permettent de travailler sur des tracés indépendamment les uns des autres. Les calques vous
aident à composer des illustrations comme avec de véritables feuilles de calque qui viendraient s’empiler
les unes par-dessus les autres.
Pour travailler avec des calques, il vous faudra tout d’abord faire apparaître la palette. Allez dans votre
Menu Fenêtre / Calque. Dès que vous ouvrez un nouveau document, Illustrator crée un calque général
affiché avec sa vignette.
Un calque général
Pour créer un nouveau calque général, cliquez sur le troisième bouton au bas de la palette de calque :
Cliquez ensuite sur le second bouton en bas de la palette de calque. Le calque général va s’afficher avec
son sous-calque placé en retrait (ici, le calque 2).
Pour sélectionner tous les objets se trouvant sur un calque général, cliquez à droite de son cercle. Tous les
éléments qui en dépendent seront automatiquement sélectionnés.
Pour éviter de déplacer ou de sélectionner un tracé, vous pouvez verrouiller son calque en cliquant à droite de
l’œil. Un verrou va s’afficher. Il vous sera alors impossible de modifier ce calque ainsi que les sous-calques
qui en dépendent. Une fois un calque verrouillé, votre curseur apparaît avec un crayon barré sur votre plan de
travail.
1- Créez deux objets ayant chacun une couleur de fond ou contour différent.
2- Dans la palette du calque étoile (rouge), placez-vous sur le cercle situé à droite du nom.
3- Faites-y un clic maintient et glissez votre souris sur le cercle du calque elipse.
4- Relâchez-y votre souris. L’elipse se voit attribuer la couleur de contour et de fond du carré.
Le nouvel outil Grille de perspective permet d’activer une grille pour dessiner directement sur les plans de
perspective réelle. Utilisez la grille de perspective pour dessiner des formes et des scènes dans des perspectives
de 1, 2 ou 3 points. Le nouvel outil de perspective de sélection vous permet non seulement de déplacer,
mettre à l’échelle, dupliquer et transformer des objets dynamiquement mais aussi de déplacer les objets
perpendiculairement à leur position actuelle.
Avec le groupe d’outils de grille de perspective, on peut travailler rapidement et simplement dans une pers-
pective prédéfinie. La grille de perspective fournit des paramètres prédéfinis de grille pour gérer l’angle de
visualisation et la distance d’affichage de la scène avec des widgets pour contrôler les points de fuite, la
hauteur de l’horizon, le niveau du sol et le point d’origine. On peut également utiliser la grille de perspective
pour dessiner des objets vectoriels sur une photographie de référence ou sur une image fixe vidéo placée
sur le plan de travail.
Grilles de perspective prédéfinies :A. Perspective à un point de fuite B. Perspective à deux points de fuite
(par défaut) C. Perspective à trois points de fuite
Pour sélectionner l’une des grilles de perspective prédéfinies par défaut, choisissez la commande Affichage
> Grille de perspective et choisissez le paramètre prédéfini qui vous convient.
A- Déplacement d’objets
Pour déplacer des objets en perspective, activez l’outil Sélection d’une perspective (Maj + V), puis utilisez
les touches fléchées ou la souris pour faire glisser et déposer les objets.
Vous pouvez également déplacer les objets perpendiculairement à leur position actuelle. Cette technique
est pratique pour créer des objets parallèles, comme les murs d’une pièce. Procédez comme suit :
• Sélectionnez l’objet à l’aide de l’outil Sélection d’une perspective.
• Tout en maintenant la touche 5 enfoncée, faites glisser l’objet jusqu’à la position qui vous convient.
L’objet est ainsi déplacé parallèlement à sa position actuelle. L’utilisation combinée de la touche Alt
(Windows) ou Option (Mac OS) et de la touche 5 pendant le déplacement a pour effet de dupliquer l’objet
à son nouvel emplacement en conservant intact l’objet d’origine. En mode Dessin arrière, cette action place
l’objet créé derrière l’objet d’origine.
Pour déplacer perpendiculairement tous les objets vers un endroit précis, procédez comme suit :
1) Dans la zone Emplacement, spécifiez le déplacement à faire subir aux objets. Par défaut, la position
actuelle des objets est affichée dans la boîte de dialogue.
2) Sélectionnez l’une des options de déplacement suivantes :
Ne pas déplacer La grille est repositionnée, mais l’objet ne l’est pas.
Déplacer tous les objets Tous les objets du plan suivent le déplacement de la grille.
Copier tous les objets Tous les objets du plan sont copiés sur le même plan.
Pour déplacer un objet sélectionné suivant un mouvement perpendiculaire précis, sélectionnez l’objet, puis
cliquez deux fois sur le widget de plan approprié. Dans le présent cas, la boîte de dialogue suivante apparaît :
Le plan de la grille horizontale est porté à la hauteur de la face gauche du cube lorsque le plan de la grille
horizontale est sélectionné et que vous placez le pointeur de la souris sur le point d’ancrage à l’aide de
l’outil Sélection d’une perspective tout en appuyant sur la touche Maj. Les autres plans de grille sont
masqués temporairement.
Une fois la face supérieure du cube créée à l’aide de l’outil Rectangle, la grille d’origine est restaurée.
Avant de dessiner ou placer des objets, il est possible de déduire leur hauteur comme suit :
L’option Modifier le symbole est également disponible dans le panneau Contrôle et le sous-menu Objet >
Vectorisation d’illustrations
Illustrator permet de reproduire une illustration à partir d’une image pixellisée ou à partir d’une esquisse
dessinée à l’aide de la commande « Vectorisation dynamique ». Cette commande permet de convertir les
illustrations en tracés vectoriels ou en objets de Peinture dynamique.
Avant et après vectorisation d’une image bitmap à l’aide de la commande Vectorisation dynamique.
L’image source étant sélectionnée, on peut procéder à la vectorisation après avoir déterminer les paramètres
sur la palette vectorisation :
Un symbole est un objet artistique que vous pouvez réutiliser dans un document. Par exemple, si vous créez
un symbole à partir d’une fleur, vous pouvez ajouter plusieurs instances de ce symbole à l’image sans devoir
effectivement ajouter l’objet artistique complexe à maintes reprises. Chaque instance du symbole est liée
au symbole dans le panneau Symboles ou à une bibliothèque de symboles. L’utilisation de symboles peut
vous faire gagner du temps et réduire considérablement la taille du fichier.
Vous pouvez créer des symboles à partir de la plupart des objets Illustrator, y compris les tracés, les tracés
transparents, les objets texte, les images pixellisées, les objets de filet et les groupes d’objets. Cependant, il
est impossible de créer un symbole à partir d’objets artistiques liés ou de certains groupes, comme les groupes
de graphes.
Les graphes sont utiles pour communiquer visuellement des informations statistiques. Dans Adobe Illustrator,
vous pouvez créer neuf types de graphes différents et les personnaliser selon vos besoins. Cliquez sur l’outil
Graphe et maintenez le bouton enfoncé pour accéder aux différents types de graphes que vous pouvez créer.
I- Création de graphes
1- Sélectionnez un outil de graphe.
L’outil utilisé initialement détermine le type de graphe généré par Illustrator. Vous pouvez toutefois changer
ce type de graphe ultérieurement et en toute facilité.
2- Définissez les dimensions du graphe en utilisant l’une des méthodes suivantes:
• Faites glisser en diagonale depuis un coin du rectangle délimitant le graphe à créer vers le coin opposé.
Pour dessiner le graphe à partir de son centre, faites glisser le pointeur tout en maintenant la touche
Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée. Maintenez la touche Maj enfoncée pour imposer une
forme carrée au graphe.
• Cliquez à l’endroit où vous souhaitez créer le graphe. Entrez une largeur et une hauteur pour le graphe,
puis cliquez sur le bouton OK.
Remarque : les dimensions définies s’appliquent au corps principal du graphe et n’incluent pas les libellés
et la légende du graphe.
3- Entrez des données pour le graphe dans la fenêtre Données de graphe.
Important : vous devez organiser les données selon un ordre spécifique qui varie selon le type de graphe.
Avant d’entrer les données, assurez-vous de lire la section concernant l’organisation des libellés et des
ensembles de données dans la feuille de travail.
4- Cliquez sur le bouton Appliquer , ou appuyez sur la touche Entrée du pavé numérique pour créer un
graphe.
La fenêtre Données de graphe reste ouverte jusqu’à ce que vous la fermiez. Cela vous permet de passer
facilement de la modification des données du graphe au travail sur le plan de travail.
-Cliquez sur le bouton Style de cellule, et entrez une valeur comprise entre 0 et 10 dans la zone de texte
Nombre de décimales.
Fenêtre de données de
graphe : A. Zone de texte
Entrée B. Importation des
données C. Transposer les
rangées/colonnes D. Per-
muter les axes x/y E. Style
de cellule F. Version précé-
dente G. Bouton Appliquer
1- Pour afficher la fenêtre Données de graphe d’un graphe existant, sélectionnez l’intégralité du graphe à
l’aide de l’outil Sélection, puis choisissez la commande Objet > Graphe > Données.
2- Entrez des données en utilisant l’une des méthodes suivantes :
• Sélectionnez une cellule de la feuille de travail et entrez les données dans la zone de texte située en
haut de la fenêtre. Appuyez sur la touche de tabulation pour sélectionner la cellule suivante dans la
rangée et entrer les données. Appuyez sur la touche Entrée (Windows) ou Retour (Mac OS) pour sé-
lectionner la cellule suivante dans la colonne et entrer les données. Utilisez les touches fléchées pour
vous déplacer d’une cellule à une autre ou cliquez simplement sur une cellule pour la sélectionner.
• Copiez des données à partir d’une feuille de données telle que Lotus® 1-2-3 ou Microsoft Excel.
Dans la fenêtre Données de graphe, cliquez sur la cellule qui sera la cellule supérieure gauche des
données collées, puis choisissez la commande Edition > Coller.
• Utilisez un programme de traitement de texte pour créer un fichier de texte dans lequel les données
des cellules sont séparées par des tabulations et les données des rangées sont séparées par des retours
à la ligne. Les données ne doivent contenir que le point décimal ou la virgule décimale, sinon elles
ne sont pas représentées (par exemple, entrez 732 000, et non 732,000.) Dans la fenêtre Données de
graphe, cliquez sur la cellule qui sera la cellule supérieure gauche des données à importer, puis cliquez
sur le bouton Importation des données et sélectionnez le fichier de texte.
3- Cliquez sur le bouton Appliquer , ou appuyez sur la touche Entrée du pavé numérique pour générer un
nouveau graphe.
1- Saisie de libellés
- Dans le cas des graphes à barres verticales, à barres verticales empilées, à barres horizontales, à barres
Un graphe à nuages de points diffère des autres types de graphes dans le sens où les deux axes mesurent
des valeurs : il n’y pas de catégories.
• Saisissez les libellés des ensembles de données une cellule sur deux, le long de la rangée supérieure
de la feuille de travail, en commençant par la première cellule. Ces libellés s’afficheront dans la lé-
gende.
• Entrez les données de l’axe y dans la première colonne et les données de l’axe x dans la seconde co-
lonne.
L’organisation des ensembles de données des graphes sectoriels est semblable à celle des autres graphes.
Chaque rangée de données de la feuille de travail génère toutefois un graphe distinct.
Résultat
• Saisissez les libellés des ensembles de données comme pour les graphes à barres verticales, à barres
verticales empilées, à barres horizontales, à barres horizontales empilées, linéaires, à couches et
Radar. Saisissez des libellés de catégories si vous souhaitez générer des noms de graphes.
• Pour créer un seul graphe sectoriel, représentez une seule rangée de données, contenant soit des va-
leurs positives, soit des valeurs négatives.
• Pour créer plusieurs graphes sectoriels, représentez des rangées de données supplémentaires, conte-
nant soit des valeurs positives, soit des valeurs négatives. Par défaut, la taille de chaque graphe est
proportionnelle au total des données qui le définissent.
Une fois les libellés de graphe saisis, vous pouvez saisir chaque ensemble de données sous la colonne appro-
priée.
Remarque : sélectionnez toujours l’option 1re colonne au 1er plan pour les graphes à couches faute de
quoi certaines couches risquent de ne pas s’afficher.
Combinaison de barres
verticales et de courbes
dans un graphe
Vous pouvez utiliser des symboles de graphe pour ajouter des illustrations aux barres verticales et aux
points. Un symbole peut être un dessin, un logo, la représentation des valeurs d’un graphe ou un objet
complexe contenant des motifs et des objets de repère. Illustrator fournit une variété de symboles de
graphe prédéfinis. Vous pouvez, en outre, créer des symboles et les enregistrer dans la boîte de dialogue
Symbole.
Comparaison entre un
symbole de graphe à pro-
portion verticale et un
symbole à proportion
uniforme
Symbole répétitif Ce symbole est répété pour remplir les barres du graphe. Vous pouvez lui donner une
valeur, puis le tronquer ou le réduire proportionnellement lorsqu’il représente une fraction de cette valeur.
Comparaison entre un
symbole de graphe répé-
titif tronqué et un sym-
bole répétitif réduit
proportionnellement
Symbole à proportion partielle Ce symbole est identique à un symbole à proportion verticale, à la différence
près qu’il est possible de désigner la partie du symbole à étirer ou à comprimer. Par exemple, si votre symbole
est la silhouette d’une personne, vous pouvez faire varier la taille du buste uniquement, sans inclure la tête. Si
vous aviez utilisé l’option Proportion verticale, le changement de taille aurait été réparti sur toute la silhouette.
1- Tracez un rectangle comme objet d’arrière-plan pour le symbole. Ce rectangle représente les limites du
symbole.
2- Appliquez une couleur au rectangle ou sélectionnez l’option Sans comme attributs de fond et de contour
pour le rendre invisible.
3- Créez le symbole à l’aide d’un outil de dessin ou placez un symbole existant devant le rectangle.
4- A l’aide de l’outil Sélection , sélectionnez l’intégralité du symbole, y compris le cadre.
5- Choisissez la commande Objet > Associer pour établir une association entre les objets du symbole.
6- Choisissez la commande Objet > Graphe > Symbole.
7- Cliquez sur le bouton Créer. Un aperçu du symbole sélectionné s’affiche. Seule la partie contenant dans
le rectangle d’arrière-plan est visible, mais une fois appliqué au graphe, le symbole apparaîtra intégra-
lement.
8- Cliquez sur le bouton Renommer pour attribuer un nom au symbole.
Symbole à proportion
partielle avec totaux des
valeurs
A- La rotation
La rotation permet de faire tourner les objets que vous créerez. Il existe différentes façons d’effectuer des
rotations à vos objets.
1- Créez un objet et sélectionnez-le avec votre flèche noire. Un cadre de sélection apparaît.
2- Placez-vous à un angle de votre objet. Votre curseur se change en double flèche arquée.
3- Faites un clic maintient et déplacez votre souris vers le haut/bas ou pivotez autour de votre objet.
4- Relâchez votre souris.
Pour le moment, votre axe de rotation (le point autour duquel votre objet tourne) se situe au centre de votre
objet.
C- L’inclinaison
L’outil inclinaison (déformation) qui se trouve dans les outils optionnels après l’outil de mise à l’échelle,
permet la déformation des objets selon un axe horizontal ou vertical (ou les deux). Cet outil s’utilise également
avec un axe (de modification). Il vous faudra au préalable le placer puis déformer votre objet.
On place
On crée On
le curseur et on dé-
un objet ou on im- positionne l’axe de Résultat
place la souris vers la
porte une image déformation
droite.
D- La symétrie (touche O)
Rappelez-vous qu'en utilisant la touche ALT durant le déplacement, vous dupliquerez votre forme durant la
symétrie. Si vous utilisez cette touche, relâchez-la après votre souris sinon cela n'aura aucun effet.
Vous devrez spécifier la nouvelle position horizontale et/ou verticale de votre objet. Vous pourrez également
définir un nouvel emplacement et un angle particulier en fonction de la position actuelle de votre objet.
Utilisez la case « copier » pour dupliquer l’objet sélectionné. La case d’aperçu permet de voir tout de
suite les modifications que vous apportez à vos objets.
B- La rotation
Toujours après avoir sélectionné votre objet, vous pourrez effectuer des rotations en allant dans le menu
Objet/Transformation/Rotation. Une fenêtre apparaît. Vous devrez définir un angle particulier. Il y a toujours
une case d’aperçu pour visualiser tout de suite votre modification. Vous pouvez spécifier des valeurs néga-
tives.
Vous pouvez choisir entre un changement de taille uniforme (rapport Hauteur et Largeur égal) ou différencié
(la largeur et hauteur indépendante l’une de l’autre). Pour l’option différenciée, faites attention à la
déformation de votre objet ! Comme précédemment, vous pourrez copier vos objets et voir les changements
tout de suite si l’encoche « aperçu » est cochée.
D- La transformation répartie
Elle vous permet de changer en même temps, la taille hauteur et largeur, la position horizontale et verticale,
la symétrie et la rotation des objets que vous sélectionnez à partir d’une même fenêtre.
Allez dans le menu Objet /Transformation / Transformation répartie.
Ils permettent de créer de nouvelles formes à partir de tracés déjà existants. Allez dans le menu Fenêtre /
Pathfinders pour afficher la palette. Vous pouvez également passer par le menu Effet / PathFinders.
I- la réunion
Elle permet de réunir des formes entre elles de façon à n’en obtenir qu’une seule. Autrement dit elle trace
le contour des objets comme s’il s’agissait d’un seul objet fusionné. Le résultat obtenu acquiert les mêmes
attributs de dessin que ceux de l’objet au premier plan.
Ici, nous prenons trois cercles. Nous souhaitons qu’ils fusionnent entre eux.
On effectue une addition des manches, puis on soustrait le col pour obtenir un tee-shirt.
IV- L’intersection
Elle permet de ne garder que la partie commune entre deux formes. Il s’agit de la troisième icône placée
sur la première rangée des Pathfinders:
V- L’exclusion
Exclusion Trace toutes les zones des objets qui ne se chevauchent pas et rend les zones qui se chevauchent
transparentes. Si les objets superposés sont en nombre pair, les intersections sont transparentes. Dans le cas
contraire, elles sont visibles. En effet elle permet de retirer la partie commune entre deux formes pour y
faire apparaître l’arrière-plan. Il s’agit de la quatrième icône placée sur la première rangée des Pathfinders:
VI- La division
Elle permet de découper une forme grâce à une autre afin d’obtenir un objet divisé. Autrement dit, la Division
Sépare un groupe d’objets en ses faces élémentaires (une face est une partie d’objet non traversée par un
segment).
Dans notre exemple, les traits vont nous permettre de découper nos formes.
VII- Pochoir
Supprime la partie masquée d’un objet avec fond. Cette commande supprime tous les contours et ne fusionne
pas les objets de la même couleur.
1- Créez trois ou plus de formes géométriques. Ici, un rectangle, un cercle et une étoile.
2- Sélectionnez-les ou tapezA (Ctrl A) pour tout sélectionner.
3- Lancez la commande pochoir de la palette des Pathfinders ; Il s’agit de la deuxième icône de la deuxième
rangée.
4- Selectionner le tout et Duppliquer en trois exemplaires ou selon le nombre de formes dessinées
5-Avec votre flèche blanche, supprimer les parties visibles du cercle et l’etoile dans le premier exemple
puis le carré et le cercle dans le deuxème exemple et enfin le carré et le carré et l’étoile dans le troisième
exemple pour visualiser le résultat suivant en couleur :
6- Si on supprime les parties isolées on obtient les trois premieres formes et si on applique ce pochoir et
on colore un support on obtient le resultat finale ci dessous comme c’est visualiser dans le résultat suivant
:
VIII- Fusion
Supprime la partie masquée d’un objet avec fond. Cette commande supprime tous les contours et fusionne les
objets adjacents ou superposés dotés de la même couleur de fond.
X- Contour
XI- Recouvrement
Compense les éventuels décalages entre les couleurs d’une illustration en créant une zone de superposition
(ou de recouvrement) entre deux couleurs voisines.
B- Options de recouvrement
Epaisseur Indique une épaisseur de contour comprise entre 0,01 et 5 000 points. Une fois de plus, votre
imprimeur peut vous aider à choisir les valeurs appropriées.
Hauteur/Largeur Indique le rapport entre les recouvrements vertical et horizontal. En spécifiant des valeurs
de recouvrement horizontal et vertical différentes, vous pouvez pallier certaines irrégularités d’impression
comme l’étirement du papier. Votre imprimeur peut vous aider à déterminer cette valeur. La valeur de 100
% spécifiée par défaut correspond à une épaisseur de recouvrement identique sur les plans horizontal et
vertical. Pour augmenter l’épaisseur de recouvrement horizontal sans modifier le recouvrement vertical,
entrez une valeur Hauteur/Largeur supérieure à 100 %. Pour diminuer l’épaisseur de recouvrement horizontal
sans modifier le recouvrement vertical, entrez une valeur Hauteur/Largeur supérieure à 100 %.
Inverser les recouvrements Recouvre les couleurs foncées par des couleurs plus claires. Cette option ne
fonctionne pas avec une couleur noire intense, intégrant des encres CMJ supplémentaires.
Précision (effet seulement) Affecte la précision du calcul du tracé d’un objet. La précision du dessin et les
temps d’affichage et de traitement des tracés sont proportionnels à la précision des calculs.
Supprimer les points redondants (effet seulement) Supprime les points inutiles.
Utilisation de formes composées : A. Objets d’origine B. Forme composée créée C. Modes de formes indi-
viduels appliqués à chaque composant D. Style appliqué à la forme composée
La création d’une forme composée s’opère en deux étapes. Vous devez tout d’abord définir une forme
composée dans laquelle tous les composants sont affectés du même mode de forme. Vous pouvez ensuite
affecter des modes de forme aux composants jusqu’à obtenir la combinaison de formes souhaitée.
Vous pouvez inclure des tracés, des tracés transparents, des groupes, d’autres formes composées,
des dégradés, du texte, des enveloppes et des déformations dans une forme composée. Tous
les tracés ouverts sélectionnés sont automatiquement fermés.
Dans le panneau Pathfinder, cliquez sur le bouton Modes de la forme tout en maintenant la touche
Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée. Chaque composant de la forme composée est
affecté du mode de forme que vous sélectionnez.
Sélectionnez la commande Créer une forme composée dans le menu du panneau Pathfinder.
Par défaut, le mode Ajout est affecté à tous les composants de la forme composée.
3. Pour modifier le mode de forme d’un composant, sélectionnez-le à l’aide de l’outil Sélection
directe ou dans le panneau Calques, puis cliquez sur un bouton de mode de forme.
Il est inutile de modifier le mode du composant de dernier plan, son mode n’ayant aucune influence
sur la forme composée.
Pour maintenir des performances optimales, créez des formes composées complexes par imbrication
d’autres formes composées (pouvant contenir jusqu’à 10 composants chacune) au lieu d’utiliser
des composants individuels.
Pour créer une forme à l’aide de l’outil Concepteur de formes , procédez comme suit :
1. Créez les formes auxquelles vous souhaitez appliquer l’outil Concepteur de forme.
2. A l’aide de l’outil Sélection, sélectionnez les tracés que vous souhaitez fusionner pour créer la forme.
3. Sélectionnez l’outil Concepteur de formes dans le panneau Outils, l’outil est en mode Fusion, dans
lequel vous pouvez combiner différents tracés. En mode de fusion, le pointeur prend cette forme
.
4. Identifiez la région que vous souhaitez extraire ou fusionner.
5. Pour détacher ou extraire une région du reste d’une forme, déplacez le pointeur et cliquez sur la
région à détacher ou extraire. Des points d’ancrage supplémentaires apparaissent à l’endroit où la
forme va se scinder.
Fusion de régions fermées à l’aide de l’outil Concepteur de forme. Une zone de sélection apparaît lorsque
vous placez le pointeur sur une région fermée.
Glissement le long de la région pour fusionner
Le style d’illustration dont hérite la nouvelle forme répond aux règles suivantes :
- Le style d’illustration de l’objet d’origine est appliqué aux formes fusionnées.
- Si aucun style n’est disponible, lorsque vous cliquez sur la souris, le style disponible lorsque vous
relâchez le bouton de la souris est appliqué aux formes fusionnées.
vous appuyez sur la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS), le pointeur se transforme en .
Le mode Gomme vous permet de supprimer des régions à l’intérieur de formes sélectionnées. Si vous
supprimez une région qui est commune à plusieurs objets, les formes sont scindées de telle sorte que les
régions contenues dans la zone de sélection sont éliminées des formes.
Le mode Gomme permet également de supprimer des bords. Cette option permet aussi de supprimer les
portions restantes une fois la forme créée.
Tracés s’entrecoupant avec l’option Utiliser la règle de remplissage intérieur/extérieur non nul (à gauche)
et avec l’option Utiliser la règle de remplissage pair/impair (à droite)
Lorsque vous créez un tracé transparent avec un remplissage intérieur/extérieur non nul, vous pouvez
indiquer si les tracés se chevauchant apparaissent transparents ou non, en cliquant sur l’un des boutons d’in-
version de la direction des tracés dans le panneau Options d’objet.
Règles de remplissage
A. Quatre tracés circulaires B. Tracés circulaires sélectionnés convertis en tracé transparent C. Inversion
de direction de tracé appliquée au tracé intérieur
Les enveloppes sont des objets servant à appliquer une distorsion ou un modelage aux objets sélectionnés.
Vous pouvez créer une enveloppe d’après un objet du plan de travail, ou utiliser une déformation prédéfinie
ou le filet d’un objet comme enveloppe. Vous pouvez utiliser les enveloppes sur tout type d’objet, à l’exception
des graphes, des repères ou des objets liés.
• Pour annuler une enveloppe, sélectionnez-la, puis choisissez la commande Objet > Distor-
sion de l’enveloppe > Annuler.
• Pour décomposer une enveloppe, sélectionnez-la, puis choisissez la commande Objet >
Distorsion de l’enveloppe > Décomposer.
V. Options de l’enveloppe
Les options d’enveloppe permettent de configurer la distorsion d’une illustration pour l’adapter à la taille
de l’enveloppe. Pour définir les options d’une enveloppe, sélectionnez-la, puis cliquez sur le bouton Options
de l’enveloppe dans le panneau Contrôle ou choisissez la commande Objet > Distorsion de l’enveloppe >
Options de l’enveloppe.
Lissage
Permet de lisser les trames déformées avec une enveloppe. Désélectionnez l’option Lissage pour réduire le
temps de distorsion des trames.
Fidélité
Spécifie la précision d’adaptation de l’objet dans la forme de l’enveloppe. Plus la valeur de l’option Fidélité
est élevée, plus vous ajoutez de points aux tracés déformés, et plus la distorsion des objets prend de temps.
Distorsion de l’aspect
Déforme les attributs d’aspect (tels que les effets appliqués ou les styles graphiques) en même temps que la
forme de l’objet.
Un masque d’écrêtage est un objet dont la forme masque les autres illustrations, rendant ainsi visibles
seulement les zones contenues dans les limites du masque. Le masque d’écrêtage et les objets masqués
composent un ensemble d’écrêtage. Vous pouvez créer un ensemble d’écrêtage à partir d’une sélection de
deux objets ou plus ou à partir de tous les objets d’un groupe ou d’un calque.
Les ensembles d’écrêtage créés à partir d’objets se présentent sous forme de groupes dans le panneau
Calques. Si vous créez des ensembles d’écrêtage à partir d’un calque, l’objet situé sur le dessus sert de
masque pour tous les autres objets du calque. Toutes les opérations effectuées sur un ensemble d’écrêtage
de type objet, telles que transformations et alignement, partent des limites du masque d’écrêtage, et non
des limites non masquées. Une fois que vous avez créé un masque d’écrêtage de type objet, vous ne pouvez
sélectionner le contenu écrêté qu’en utilisant le panneau Calques, l’outil Sélection directe ou en isolant
l’ensemble d’écrêtage.
Remarque : pour sélectionner un tracé écrêté en cliquant, vous devez placer le pointeur sur la partie visible
à l’intérieur du masque.
2- Modifiez le tracé.
1ère cas :
Cas de deux ou plusieurs dessins masquants ou englobants un autres dessin ou photographie.
1- Commencez par créer un dessin ou importer une image grâce à la commande Importer du menu Fichier.
Si vous importez une image (par exemple de Photoshop au format PSD), une fenêtre apparaît vous de-
mandant de sélectionner un fichier. Une fois importé dans Illustrator, ce fichier apparaît dans un cadre.
2- dessiner les éléments masquants qui peuvent être soit des formes géomtriques cercle ou autres soit des
retraçages sur l’image à masquer afin de la détourer.
3- Sélectionner les éléments dessinés ou masquants. Choisir la commande Tracé transparent.
4- S’assurer que les éléments masquants sont en premier plan.
5- Sélectionner les deux éléments dessinés et l’image et choisir la commande masque d’écrêtage / créer.
2ème cas :
Cas de colorier ou englober ou placer un dessin ou photographie dans un texte.
1- Commencez par créer un dessin ou importer une image grâce à la commande Importer du menu Fichier.
Si vous importez une image (par exemple de Photoshop au format PSD), une fenêtre apparaît vous de-
mandant de sélectionner un fichier. Une fois importé dans Illustrator, ce fichier apparaît dans un cadre.
2- Tapez un texte. Nous avons spécifié un corps de police élevée de façon à obtenir des proportions rela-
tivement égales à l’image.
3- Superposez votre texte par-dessus votre image.
4- Dans la palette de calque, cliquez votre calque général contenant les deux objets. Il doit apparaître en
bleu. Vous pouvez également taperA (Ctrl A) pour tout sélectionner.
5- En bas de cette palette calque, cliquez sur le premier bouton : Masque d’écrêtage.
6- L’image est placée dans le texte.
7- Pour mieux visualiser le texte, sélectionnez-le en faisant un clic dessus avec votre flèche blanche (ou
en en faisant un clic sur le carré à droite du nom dans la palette de calque) puis choisissez une couleur
de contour dans le sélecteur.
Le panneau Transparence affiche les vignettes du masque d’opacité : la vignette de gauche représente le
masque d’opacité, la vignette de droite les objets de masque.
Vous pouvez déplacer les masques entre Photoshop et Illustrator. Les masques d’opacité dans Illustrator se
convertissent en masques de calque dans Photoshop, et inversement.
Remarque : vous ne pouvez pas accéder au mode d’isolation lors de l’utilisation du mode d’édition de
masque ou inversement.
Inversé Inverse les valeurs de luminosité des objets de masque, inversant ainsi l’opacité des illustrations
masquées. Par exemple, les zones transparentes à 90 % deviennent transparentes à 10 % une fois le masque
inversé. Désélectionnez l’option Inversé pour rétablir l’opacité d’origine du masque. Pour inverser tous les
masques par défaut, sélectionnez la commande Inverser les nouveaux masques d’opacité dans le menu du
panneau Transparence.
Si ces options n’apparaissent pas, choisissez la commande Afficher les options dans le menu du panneau.
1- RVB
Une grande partie du spectre visible peut être représentée par le mélange des trois composantes élémentaires
de la lumière colorée (rouge, vert, bleu) dans des proportions et intensités variables. Le chevauchement de
ces trois couleurs donne le cyan, le magenta et le jaune.
Les couleurs RVB sont appelées des couleurs additives, car vous créez du blanc en ajoutant du rouge, du
vert et du bleu, c’est-à-dire que toute la lumière est renvoyée vers l’œil. Les couleurs additives sont utilisées
pour l’éclairage, la télévision et les moniteurs. Par exemple, votre moniteur crée de la couleur en émettant
de la lumière à travers les luminophores rouges, verts et bleus.
En mode RVB, chaque composante RVB peut utiliser une valeur comprise entre 0 (noir) et 255 (blanc).
Illustrator contient également un mode colorimétrique RVB modifié appelé RVB Web sécurisé qui comporte
exclusivement les couleurs RVB adaptées à une utilisation sur le Web.
2- CMJN
Le modèle CMJN repose sur la qualité d’absorption de la lumière de l’encre sur le papier. Quand la lumière
blanche atteint des encres translucides, une partie du spectre est absorbé. L’autre partie est réfléchie vers
l’œil de l’observateur.
En combinant des pigments cyan (C), magenta (M) et jaune (J) purs, on obtiendrait du noir par absorption
ou soustraction de toutes les couleurs. Pour cette raison les couleurs sont appelées des couleurs soustractives.
L’encre noire (N) ajoutée en appoint permet d’approfondir les noirs. (En anglais, la lettre K pour le noir
3- TSL
Fondé sur la perception des couleurs par l’œil humain, le modèle TSL décrit trois caractéristiques colori-
métriques fondamentales :
Teinte Couleur réfléchie ou transmise par un objet. Elle correspond à un emplacement sur la roue chromatique
standard, exprimé en degrés (entre 0 et 360). Concrètement, il s’agit de la couleur proprement dite de l’objet
: rouge, orange ou vert, par exemple.
Saturation Intensité ou pureté de la couleur (parfois appelée chromie). Elle correspond à la quantité de
gris contenu dans une teinte, exprimée sous la forme d’un pourcentage compris entre 0 (gris) et 100 (saturation
totale). Sur la roue chromatique standard, la saturation augmente du centre vers la périphérie.
Luminosité Variation d’intensité lumineuse de la couleur, généralement exprimée sous la forme d’un pour-
centage compris entre 0 (noir) et 100 (blanc).
4- Lab
Le modèle colorimétrique CIE Lab repose sur la perception de la couleur par l’œil humain. C’est l’un des
modèles colorimétriques définis par la Commission Internationale d’Eclairage (CIE), l’organisme responsable
de l’élaboration des normes dans tous les domaines de la lumière.
5- Niveaux de gris
Le modèle Niveaux de gris utilise des teintes de noir pour représenter un objet. La luminosité de chaque
objet en niveaux de gris est comprise entre 0 % (blanc) et 100 % (noir). Les images numérisées en noir et
blanc ou en niveaux de gris sont généralement affichées en niveaux de gris.
Le modèle Niveaux de gris permet également de convertir des illustrations couleur en illustrations noir et
blanc de haute qualité. Adobe Illustrator supprime alors toutes les informations chromatiques de l’illustration
d’origine ; les niveaux de gris (ombres) des objets convertis correspondent à la luminosité des objets d’ori-
gine.
Un espace colorimétrique est une gamme de couleurs dans le spectre visible. Un espace colorimétrique peut
également être une variante d’un modèle de couleur. Adobe RVB, Apple RVB et sRVB, par exemple, sont
autant d’espaces colorimétriques appartenant au modèle RVB.
Gammes des différents espaces colorimétriques : A. Gamme visuelle B. Espace colorimétrique RVB C. Es-
pace colorimétrique CMJN
c- Dégradés de couleurs
Les commandes de dégradé créent une série de couleurs intermédiaires à partir d’un groupe d’au moins
trois objets avec fond en fonction de l’orientation verticale ou horizontale de l’objet ou de leur ordre de
superposition. Le dégradé n’affecte pas les tracés ou les objets non peints.
A. Menu Règles d’harmonie et groupe de couleurs actif B. Définition comme couleur de base C. Couleurs
actives D. Variations de couleurs E. Limitation des couleurs à la bibliothèque de nuances indiquée F. Modifier
les couleurs ou Modifier ou appliquer les couleurs en fonction de la sélection (ouvre les couleurs disponibles
dans la boîte de dialogue Modifier les couleurs / Redéfinir les couleurs de l’illustration) G. Enregistrement
du groupe dans le panneau Nuancier
Créez ou modifiez des groupes de couleurs et attribuez les couleurs à l’aide de la boîte de dialogue Modifier
les couleurs / Redéfinir les couleurs de l’illustration.
A. Création et modification d’un groupe de couleurs dans l’onglet Modifier B. Attribution de couleurs dans
l’onglet Attribuer C. Sélection d’un groupe de couleurs dans la liste Groupes de couleurs
L’option Redéfinir les couleurs de l’illustration située dans la partie inférieure de la boîte de dialogue vous
permet d’afficher l’aperçu des couleurs de l’illustration sélectionnée et indique si les couleurs de cette
illustration doivent être redéfinies lorsque vous fermez la boîte de dialogue.
Les zones principales de cette boîte de dialogue sont les suivantes :
Modifier Utilisez cet onglet pour créer des groupes de couleurs et modifier des groupes existants. En outre,
vous pouvez régler la luminosité, ajouter ou supprimer des couleurs, enregistrer des groupes de couleurs et
afficher l’aperçu des couleurs d’une illustration sélectionnée.
Attribuer Utilisez cet onglet pour afficher et contrôler la façon dont les couleurs d’un groupe remplacent
les couleurs d’origine dans votre illustration. Vous pouvez attribuer des couleurs uniquement si une illustration
est sélectionnée dans le document.
Groupes de couleurs Répertorie tous les groupes de couleurs enregistrés dans le document actif (ces mêmes
groupes de couleurs apparaissent dans le panneau Nuancier). Dans cette boîte de dialogue, vous pouvez
modifier, supprimer et créer des groupes de couleurs à l’aide de la liste Groupes de couleurs.
Ouverture de la boîte de dialogue Modifier les couleurs / Redéfinir les couleurs de l’illustration
Vous pouvez ouvrir la boîte de dialogue Modifier les couleurs / Redéfinir les couleurs de l’illustration depuis
l’un des emplacements suivants : Commande Edition > Modifier les couleurs > Redéfinir les couleurs
de l’illustration ou Redéfinir les couleurs avec paramètre prédéfini Utilisez ces commandes pour modifier
les couleurs de l’illustration sélectionnée.
Bouton Redéfinir les couleurs de l’illustration dans le panneau Contrôle Utilisez ce bouton pour
modifier les couleurs de l’illustration sélectionnée à l’aide de la boîte de dialogue Redéfinir les couleurs de
l’illustration. Ce bouton est disponible lorsque l’illustration sélectionnée contient au moins deux couleurs.
Bouton Modifier les couleurs ou Modifier ou appliquer les couleurs dans le panneau Guide des
couleurs Cliquez sur ce bouton pour modifier les couleurs du panneau Guide des couleurs ou pour les
modifier puis les appliquer à l’illustration sélectionnée.
Modification des couleurs en déplaçant les marqueurs de couleurs sur la roue chromatique sans segmenta-
tion
- Roue chromatique sans segmentation Affiche la teinte, la saturation et la luminosité en cercle
continu, sans segmentation.
- Roue chromatique segmentée Affiche les couleurs sous la forme d’un ensemble de facettes de
couleur. Cette roue facilite la visibilité de chaque couleur, mais ne propose pas autant de couleurs
que la roue continue.
- Gammes de couleurs Affiche uniquement les couleurs du groupe de couleurs.
A. Couleur de base, telle qu’elle apparaît dans le menu Règles d’harmonie B. Couleur de base telle qu’elle
apparaît sur la roue chromatique C. Options d’affichage des couleurs D. Couleurs du marqueur de couleur
ou de la gamme de couleurs sélectionnée E. Affiche la saturation et la teinte sur la roue F. Ajoute et supprime
des marqueurs de couleur G. Rompt le lien des couleurs d’harmonie
Avant de modifier vos groupes de couleurs, assurez-vous que vous savez correctement enregistrer les modi-
fications afin d’éviter d’écraser votre groupe de couleurs préféré par inadvertance. Lors de l’enregistrement
de vos modifications, vous disposez de deux options : vous pouvez écraser le groupe de couleurs d’origine
avec le groupe de couleurs modifié ; ou bien vous pouvez créer un nouveau groupe de couleurs en y intégrant
vos modifications, tout en conservant l’original.
Modification d’un groupe de couleurs à l’aide de la roue chromatique
1. Dans la boîte de dialogue Modifier les couleurs / Redéfinir les couleurs de l’illustration, sélectionnez
le groupe de couleurs recherché dans la zone de stockage Groupes de couleurs, si nécessaire.
2. Si vous avez sélectionné un objet sur le plan de travail, sélectionnez l’option Redéfinir les couleurs
de l’illustration pour prévisualiser les couleurs sur l’illustration. Si vous ne souhaitez pas redéfinir
les couleurs de l’illustration, désélectionnez l’option Redéfinir les couleurs de l’illustration avant de
refermer la boîte de dialogue ou cliquez sur le bouton Annuler pour la refermer.
Réorganisation des couleurs d’un groupe de couleurs
Lorsque vous utilisez une règle d’harmonie pour créer un groupe de couleurs, les couleurs sont liées par
défaut. Lorsqu’un groupe de couleurs est lié, le fait de modifier une couleur modifie les autres couleurs en
conséquence par rapport à la règle d’harmonie. Pour modifier une couleur sans modifier les autres, vous
devez rompre le lien entre les marqueurs de couleur et la règle d’harmonie.
A. Roue chromatique avec couleurs liées B. Roue chromatique avec couleurs non liées C. Gammes de cou-
leurs avec couleurs liées D. Gammes de couleurs avec couleurs non liées E. Couleurs liées, cliquer pour
rompre le lien F. Couleurs non liées, cliquer pour rétablir le lien
Vous pouvez utiliser le sélecteur de couleurs pour modifier les couleurs d’un groupe de couleurs.
Dans la boîte de dialogue Modifier les couleurs / Redéfinir les couleurs de l’illustration, vous pouvez
explorer des variations aléatoires du groupe de couleurs en cours en vous servant des boutons Modifier la
saturation et la luminosité de façon aléatoire et Modifier l’ordre des couleurs de façon aléatoire.
Modification globale de la saturation, luminosité, température et luminance
1.Dans la boîte de dialogue Modifier les couleurs / Redéfinir les couleurs de l’illustration, cliquez sur
la commande Modifier.
2.Cliquez sur le bouton Indiquer le mode des curseurs de réglage de la couleur , puis choisissez l’option
Correction globale.
3.Modifiez les valeurs de saturation, luminance, température et luminosité.
Ajout ou suppression de couleurs dans un groupe de couleurs
Dans la boîte de dialogue Modifier les couleurs / Redéfinir les couleurs de l’illustration, cliquez sur la com-
mande Modifier pour ajouter une couleur à un groupe ou pour supprimer une couleur.
Suppression d’un groupe de couleurs
Sélectionnez un groupe dans la liste Groupes de couleurs, puis cliquez sur la commande Supprimer. Vous
pouvez également cliquer avec le bouton droit de la souris et choisir la commande Supprimer le groupe de
couleurs.
Attribution de couleurs à votre illustration
L’onglet Attribuer de la boîte de dialogue Modifier les couleurs / Redéfinir les couleurs de l’illustration
vous permet d’attribuer des couleurs d’un groupe de couleurs à votre illustration. Vous pouvez attribuer des
couleurs de plusieurs manières :
- Attribuez de nouvelles couleurs à votre illustration au moyen d’un groupe de la liste Groupes de cou-
leurs
- Attribuez de nouvelles couleurs à votre illustration au moyen d’un nouveau groupe de couleurs sé-
lectionné dans le menu Règles d’harmonie.
- Réattribuez les couleurs de votre illustration entre elles. Vous pouvez réinitialiser la boîte de dialogue
Modifier les couleurs / Redéfinir les couleurs de l’illustration de sorte que l’illustration s’affiche avec
ses couleurs d’origine en cliquant sur le bouton Obtenir les couleurs de l’illustration sélectionnée
Couleurs d’origine (en haut), attribution de nouvelles couleurs en sélectionnant un groupe dans la liste
Groupes de couleurs (au centre) et attribution de nouvelles couleurs en créant un groupe de couleurs à
l’aide du menu Règles d’harmonie (en bas).
A. Groupe des couleurs actives B. Obtention des couleurs de l’illustration sélectionnée C. Couleurs de l’il-
lustration sélectionnée D. Nouvelles couleurs du groupe actif E. Options de travail avec des rangées entières
F. Redéfinition des couleurs de l’illustration
1. Si nécessaire, sélectionnez un objet, puis choisissez la commande Edition > Modifier les couleurs >
Redéfinir les couleurs de l’illustration.
2. Dans la boîte de dialogue Modifier les couleurs / Redéfinir les couleurs de l’illustration, cliquez sur
le bouton Modifier la saturation et la luminosité de façon aléatoire .
Affichage des couleurs d’origine dans votre illustration à mesure que vous attribuez de nouvelles cou-
leurs
Lorsque vous redéfinissez les couleurs d’une illustration sélectionnée, les couleurs du groupe de couleurs
sélectionné remplacent les couleurs d’origine. Lorsque l’on attribue de nouvelles couleurs, il est utile de
visualiser l’emplacement où une couleur d’origine (dans la colonne Couleurs actuelles) apparaît dans l’il-
lustration, notamment si l’illustration contient beaucoup de détails ou de couleurs d’origine.
Réduction du nombre de couleurs de votre illustration
La réduction des couleurs pour la sortie, la conversion des couleurs en niveaux de gris ou la limitation des
couleurs à une bibliothèque de couleurs est souvent nécessaire lorsque vous créez une illustration destinée
à plusieurs types de supports de sortie. Vous pouvez facilement réduire le nombre de couleurs de votre illus-
tration à l’aide de la boîte de dialogue Redéfinir les couleurs de l’illustration. Vous pouvez choisir d’utiliser
un paramètre prédéfini pour réduire les couleurs (par exemple, l’option Illustration en niveaux de gris pour
Le panneau Kuler vous permet d’accéder à des groupes de couleurs et à des thèmes créés par la communauté
de concepteurs en ligne. Vous pouvez l’utiliser pour parcourir des milliers de thèmes sur Kuler et pour télé-
charger ceux de votre choix afin de les modifier ou de les inclure dans vos projets. Vous pouvez également
utiliser le panneau Kuler pour télécharger vos thèmes en vue de les partager avec la communauté Kuler.
Donc on peut :
- Afficher et utilisation des thèmes
- Rechercher et affichage de thèmes
- Afficher d’un thème en ligne sur Kuler
- Enregistrer des termes fréquemment recherchés
On peut aussi :
- Ajout d’un thème au panneau Nuancier dans Illustrator
- Téléchargement d’un thème vers la communauté Kuler
Sélecteur de couleurs
A. Champ de couleur B. Valeurs de couleur TSL C. Nouveau rectangle de couleur D. Rectangle de couleur
d’origine E. Curseur de couleur F. Spectre des couleurs G. Valeurs de couleur RVB H. Valeur chromatique
hexadécimale I. Valeurs chromatiques CMJN
Panneau Couleur
A. Couleur de fond B. Couleur de contour C. Menu du panneau D. Case Sans E. Barre du spectre de couleurs
F. Curseur de couleur G. Zone de texte pour un composant de couleur
En effet, on peut :
- Utiliser les nuances par défaut de nuancier
- Utiliser les bibliothèques de nuances
- Ajouter des couleurs dans le panneau Nuancier à partir de l’illustration
- Partager des nuances entre plusieurs applications
- Importer des nuances à partir d’un autre document
- Créer des nuances de couleur
- Gérer des nuances
Le panneau Nuancier et les panneaux des bibliothèques de nuances peuvent contenir les types de nuanciers
suivants :
- Couleurs quadrichromiques
- Couleurs quadrichromiques globales
- Tons directs
- Dégradés
- Motifs
- Sans La nuance
- Repérage La nuance de repérage est une nuance intégrée qui entraîne la séparation impression.
- Groupes de couleur
GÉNÉRALITÉS
On peut attribuer des couleurs aux fonds et aux contours des objets.
Pour changer la couleur de fond d’un objet, il faut placer sa case au premier plan. De la même
manièr si l’on souhaite changer de couleur de contour d’un objet.
Un simple clic sur une case la place au premier plan:
CMJN. On peut identifier les nuances de tons directs grâce à l’icône de Ton direct .
Sans La nuance :
Sans supprime le contour ou le fond d’un objet. Il est impossible de modifier ou de supprimer
cette nuance.
Repérage :
La nuance de repérage est une nuance intégrée qui entraîne l’impression des objets auxquels
on a appliqué cette nuance pour le fond ou le contour sur chaque séparation d’une imprimante
PostScript. Par exemple, les repères de montage adoptent la couleur de repérage, de sorte que
les plaques d’impression sont alignées précisément sur la presse. Il est impossible de supprimer
cette nuance.
Groupes de couleurs :
Les groupes de couleurs ne peuvent contenir que des couleurs quadrichromiques, des tons directs,
ou des couleurs quadrichromiques globales. on peut créer des groupes basés sur des harmonies
à partir du panneau Guide des couleurs ou de la boîte de dialogue Couleurs dynamiques.
Motifs:
Les motifs sont des éléments qui se répètent sur le fond d’un objet, des tracés transparents, du
texte avec un fond uni ou pas de fond.
Pour créer une nuance de motifs :
1- Créer des illustrations pour un motif.
2- Pour redéfinir l’espacement entre les éléments du motif ou en supprimer certaines parties, on
trace un cadre de sélection de motif (rectangle sans fond et sans contour) autour de l’illustration
utilisée comme motif. Choisir la commande Objet > Disposition > Arrière-plan pour faire passer
ce rectangle tout à fait à l’arrière-plan du dessin.
3- Utiliser l’outil Sélection pour sélectionner l’illustration et le cadre de sélection du motif.
4- Utiliser l’une des méthodes suivantes :
▪ Faire glisser la sélection vers le Nuancier.
Pour modifier la direction d’un dégradé linéaire, cliquez à l’emplacement à partir duquel vous sou-
haitez commencer le dégradé linéaire, puis faites-le glisser dans la direction souhaitée de même
si on veut appliquer le dégradé sur plusieur objet. Vous pouvez également placer l’outil Dégradé
de couleurs sur l’annotateur de dégradé dans l’objet, puis, lorsque le curseur se transforme en
icône de rotation , le faire glisser afin de définir l’angle du dégradé.
Pour le dégradé radial :
L’outil dégradé permet de modifier le sens du dégradé, son origine et de changer ses points de
départ et d’arrivée. En plaçant l’outil Dégradé de couleurs sur la flèche de l’annotateur de dégradé
A l’aide de l’outil Filet ou la commande “Objet>créer un filet de dégradé”, on peut créer un filet
sur un tracé plein, en changeant la couleur des noeuds et des mailles, on crée le dégradé entre
la couleur du filet et le fond de l’objet. On ne peut pas créer de filet sur les tracés transparents, ni
sur les objets texte ni à partir d’images liées.
On peut modifier un objet de filet par ajout, suppression et déplacement de points de filet, par
modification de la couleur des points et des facettes de filet, ainsi que par reconversion des objets
de filet en objets ordinaires.
Pour reconvertir un objet de filet en objet de tracé, on choisit la commande Objet > Tracé >
Décalage, puis définissez la valeur de décalage sur zéro.
Dégradés de formes :
Ce dégradé permet de créer des suites d'objets de tailles, formes et couleurs différentes, entre
deux objets qu’on choisit afin de créer une transition progressive entre des objets, ou associer
des dégradés de couleurs et d’objets pour créer des transitions de couleur ayant la forme d’un
objet particulier. Ces objets peuvent être ouverts ou fermés.
On ne peut pas créer de dégradés entre des filets.
La transparence :
Couleur de contours
De la même manière qu’on a coloré directement des fonds, on peut colorer des contours.
Les formes :
Les formes permettent d’appliquer des styles à l’aspect des tracés. On peut appliquer des contours
à des tracés existants ou utiliser l’outil Pinceau pour dessiner un tracé et appliquer simultanément
un contour.
Illustrator contient plusieurs types de formes :
Formes calligraphiques :
Créent des contours qui semblent dessinés au stylet, et que l’on aurait fait passer au centre du
tracé. Utilisée avec l’outil Forme de tache, on peut peindre le tracé, puis décomposer automati-
quement son contour en vue de créer une forme de fond.
Points de largeur discontinus créés en faisant glisser l’un des points sur l’autre
■ Sélectionnez l’outil Pot de peinture dynamique , puis cliquez sur l’objet de votre
choix.
Utilisez l’outil Sélection de peinture dynamique pour sélectionner des faces et des bords indi-
viduels dans un groupe de peinture dynamique.
l’outil Sélection directe pour sélectionner les tracés dans un groupe de peinture dynamique.
Lorsque vous travaillez sur un document complexe, vous pouvez isoler un groupe de peinture
dynamique afin de sélectionner facilement la face ou le bord qui vous intéresse.
Faites glisser la vignette du panneau Aspect vers le panneau Styles graphiques pour enregistrer les attri-
buts.
A- Création d’un style graphique basé sur au moins deux styles graphiques existants
- Cliquez tout en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée pour sélectionner
tous les styles graphiques à fusionner, puis choisissez la commande Fusionner les styles graphiques dans le
menu du panneau.
Le nouveau style graphique comprend alors tous les attributs des styles graphiques sélectionnés et vient
s’ajouter à la fin de la liste des styles graphiques du panneau.
Remarque : pour conserver la couleur du texte lorsque vous appliquez un style graphique, désélectionnez
la commande Remplacer la couleur de caractère dans le menu du panneau Styles graphiques.
Les formes vous permettent d’appliquer des styles à l’aspect des tracés. Vous pouvez appliquer des contours
à des tracés existants ou utiliser l’outil Pinceau pour dessiner un tracé et appliquer simultanément un contour.
Illustrator contient plusieurs types de formes, notamment des formes calligraphiques, diffuses, artistiques,
de motif et de pointe de pinceau. Vous pouvez obtenir les effets suivants à l’aide de ces formes :
Vous pouvez changer l’angle de forme, son arrondi et le diamètre de la forme choisie.
3- Ouvrir la palette des forme. Choisir nouvelle forme de motif dans le menu déroulant de la palette suivante
5- La fenêtre suivante s’ouvrira. Les boutons d’élément Permetteront d’appliquer différents motifs à différentes
portions du tracé. Sélectionnez un bouton pour l’élément à définir, puis choisissez une nuance de motif
dans la liste déroulante. Répétez l’opération pour appliquer de nouveaux motifs aux autres éléments.
5- Donner un nom à la forme du motif puis cliquer sur ok. Le motif réalisé se placera parmi les formes de
motifs de la palette des forme comme suit :
Le résultat
- 1ère étape : Réaliser une grille de 4 carrés parfait et transformer la en repère. Dessiner la forme de motif
de côtés sans oublier de tracer le rectangle de sélection sans fond et sans contour.
- 2ème étape : A partir du centre (cercle rouge) (fig1) et avec l’outil miroir, cliquer sur la diagonale avec
Alt (fig2). Dans la fenêtre afficher choisir un angle de -45° afin d’avoir le résultat de la figure 3 (fig3).
- 4éme étape : A partir du centre (cercle rouge) (fig4) et avec l’outil miroir, cliquer sur la diagonale avec
Alt. Dans la fenêtre afficher choisir un angle de -45° afin d’avoir le résultat de la figure 2 (fig5).
Fig4 Fig5
- 5ème étape : Déverrouiller le tout puis sélectionner le premier motif avec son rectangle de sélection et
faire glisser dans la palette Nuancier.
- 6ème étape : sélectionner le motif de l’angle avec son rectangle de sélection et faire glisser dans la palette
Nuancier.
9ème étape : Dessiner un rectangle, un elipse et un polygone puis selectionner le tout et appliquer le motif.
Voici le résultat:
Résultat
E- Pointe du pinceau
L’outil Pointe du pinceau permet de tracer des traits qui donnent l’illusion d’avoir été peints avec un véritable
pinceau en poil. Avec l’outil Pointe du pinceau, vous pouvez :
créer des contours fluides et naturels qui rappellent la peinture au pinceau avec un support tel que l’aquarelle
; sélectionner des pinceaux dans une bibliothèque prédéfinie ou créer vos propres pinceaux à partir des
3. Dans la boîte de dialogue Options du module externe Pointe du pinceau, réglez les options suivantes :
Nom Le nom de la pointe du pinceau ne doit pas dépasser 31 caractères.
Forme Il existe dix modèles de pinceau différents, qui inspirent toute une variété de styles de dessin et
pointe de pinceau.
Taille Il s’agit du diamètre du pinceau. A l’instar d’un pinceau réel, le diamètre de la pointe du pinceau
est mesuré à l’endroit où les poils sont fixés au manche (la virole). Spécifiez une taille de pinceau à
l’aide du curseur ou en saisissant directement la taille dans la zone de texte correspondante. Elle doit
être comprise entre 1 et 10 mm.
La taille de pinceau de la définition de pinceau d’origine s’affiche dans l’aperçu de pinceau ,dans le panneau
Formes.
Longueur de la pointe du pinceau La longueur de la pointe du pinceau se mesure depuis la limite entre la
brosse et le manche du pinceau jusqu’à l’extrémité des poils. La longueur de la pointe du pinceau peut être
spécifiée de la même manière que les autres options de la pointe du pinceau, en faisant glisser le curseur
Longueur de la pointe du pinceau ou en spécifiant sa valeur exacte dans la zone de texte correspondante
(de 25 % à 300 %).
Densité de la pointe du pinceau La densité de la pointe du pinceau désigne le nombre de poils dans une
zone précise de la virole. Vous pouvez définir cet attribut de la même façon que les autres options de la
pointe du pinceau. Cette valeur est comprise entre 1 et 100 % et se calcule à partir de la taille et de la
longueur de la pointe du pinceau.
Epaisseur de la pointe du pinceau L’épaisseur de la pointe du pinceau peut varier de 1 % (fin) à 100 %
(grossier).
Définissez l’épaisseur du pinceau comme les autres paramètres de la pointe du pinceau, en faisant glisser
le curseur ou en spécifiant sa valeur exacte dans le champ correspondant.
Opacité de la peinture Cette option vous permet de définir l’opacité de la peinture utilisée. L’opacité de la
peinture peut être comprise entre 1 % (translucide) et 100 % (opaque). La valeur d’opacité définie exprime
Un style graphique est la combinaison des attributs de caractères à savoir la couleur du fond et ou de contour
et un ou plusieur effet (du menu effet).
Un style graphique est aussi un ensemble réutilisable d’attributs d’aspect. Les styles graphiques vous
permettent de modifier rapidement l’aspect d’un objet : vous pouvez, par exemple, modifier sa couleur de
fond et de contour, sa transparence, puis appliquer des effets en une seule étape. Toutes les modifications
effectuées à l’aide des styles graphiques sont réversibles.
Vous pouvez appliquer des styles graphiques à des objets, groupes et calques. Lorsque vous appliquez un
style graphique à un groupe ou un calque, chaque objet du groupe ou du calque prend les attributs de ce
style graphique.
Imaginons, par exemple, un style graphique de 50 % d’opacité. Si vous appliquez ce style graphique à un
calque, tous les objets du calque ou objets ajoutés semblent à moitié opaques. Toutefois, lorsque vous
déplacez un objet en dehors du calque, l’aspect de l’objet reprend son opacité d’origine.
Si vous appliquez un style graphique à un groupe ou à un calque et que la couleur de fond de ce style ne
s’affiche pas dans l’illustration, faites glisser l’attribut Fond au-dessus de l’entrée Contenu du panneau
Aspect.
Faites glisser la vignette du panneau Aspect vers le panneau Styles graphiques pour enregistrer les attri-
buts.
A- Création d’un style graphique basé sur au moins deux styles gra-
phiques existants
- Cliquez tout en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée pour sélectionner
tous les styles graphiques à fusionner, puis choisissez la commande Fusionner les styles graphiques dans le
menu du panneau.
Le nouveau style graphique comprend alors tous les attributs des styles graphiques sélectionnés et vient
s’ajouter à la fin de la liste des styles graphiques du panneau.
Remarque : pour conserver la couleur du texte lorsque vous appliquez un style graphique, désélectionnez
la commande Remplacer la couleur de caractère dans le menu du panneau Styles graphiques.
Vous pouvez modifier l’aspect des objets, groupes et calques dans Adobe Illustrator en utilisant des effets
et les fonctions des panneaux Aspect et Styles graphiques. En outre, vous pouvez décomposer un objet en
plusieurs parties pour modifier les différents éléments de l’objet de manière indépendante.
Panneau Aspect affichant les attributs d’un objet associé : A. Tracé avec contour, fond et effet Ombre portée
B. Tracé avec effet C. Bouton Ajouter un contour D. Bouton Ajouter un fond E. Bouton Ajouter un effet F.
Bouton Effacer l’aspect G. Bouton Dupliquer l’élément sélectionné
Mme SIFY et Mme KRICHI Traitement des illustrations TS Infographie 178
A- Visualisation d’éléments supplémentaires dans le panneau Aspect
Lorsque vous sélectionnez des éléments qui en contiennent d’autres (par exemple, un calque ou un groupe),
le panneau Aspect affiche un élément Contenu. Cliquez deux fois sur l’élément Contenu.
• Indique que l’élément n’est pas ciblé et ne comporte aucun attribut d’aspect autre qu’un seul fond et
un seul contour.
• Indique que l’élément n’est pas ciblé, mais possède des attributs d’aspect.
• Indique que l’élément est ciblé, mais ne contient aucun attribut d’aspect autre qu’un seul fond et un
seul contour.
Pour cibler un élément du panneau Calques, cliquez sur l’icône de cible de l’élément. Un double cercle
ou indique que l’élément est ciblé. Cliquez sur d’autres éléments tout en maintenant la touche Maj
enfoncée pour les cibler.
• Pour supprimer un attribut, cliquez sur la rangée de l’attribut, puis sur l’icône Supprimer .
Comparaison entre l’effet Ombre portée appliqué à un contour (en haut) et ce même effet appliqué à un
fond (en bas)
1- Sélectionnez l’objet ou le groupe (ou ciblez un calque dans le panneau Calques) dont vous souhaitez
copier l’aspect.
2- Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Faites glisser la vignette située en haut du panneau Aspect vers un objet de la fenêtre de document.
Si aucune vignette ne s’affiche, sélectionnez la commande Afficher la vignette dans le menu du pan-
neau.
• Tout en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée, faites glisser l’icône de
cible du panneau Calques vers l’élément sur lequel vous souhaitez copier les attributs d’aspect.
• Pour déplacer des attributs d’aspect au lieu de les copier, faites glisser l’icône de cible du panneau
Calques à partir de tout élément ayant les attributs requis vers l’élément auquel vous souhaitez l’ap-
pliquer.
2- Copie d’attributs d’aspect à l’aide de l’outil Pipette
L’outil Pipette vous permet de copier des attributs d’aspect (caractères, paragraphe, fond, contour) d’un objet texte
à l’autre. Par défaut, cet outil influe sur tous les attributs d’une sélection. Pour personnaliser ces attributs, utilisez
la boîte de dialogue de la pipette.
181 TS Infographie Traitement des illustrations Mme SIFY et Mme KRICHI
1- Sélectionnez l’objet, l’objet texte ou les caractères dont vous souhaitez modifier les attributs.
2- Sélectionnez l’outil Pipette .
3- Déplacez l’outil Pipette sur l’objet dont vous souhaitez échantillonner les attributs. (Lorsque l’outil est
correctement positionné au-dessus du texte, le pointeur prend la forme d’un petit T.)
4- Utilisez l’une des méthodes suivantes :
• Cliquez sur l’outil Pipette pour échantillonner tous les attributs d’aspect et les appliquer à l’objet sé-
lectionné.
• Maintenez la touche Maj enfoncée et cliquez pour n’échantillonner que la couleur d’une partie d’un
dégradé, d’un motif, d’un objet de filet ou d’une image importée, puis appliquez la couleur au fond
ou au contour sélectionné.
• Maintenez la touche Maj enfoncée, appuyez sur la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS), puis
cliquez pour ajouter les attributs d’aspect d’un objet aux attributs d’aspect de l’objet sélectionné.
Vous pouvez également cliquer d’abord, puis maintenir les touches Maj+Alt (Windows) ou Maj+Op-
tion (Mac OS) enfoncées.
Remarque : vous pouvez également cliquer sur un objet non sélectionné pour échantillonner ses attributs
ou cliquer en maintenant la touche Alt (Windows) ou Option (Mac OS) enfoncée et cliquer sur un objet
non sélectionné auquel vous souhaitez appliquer les attributs.
Les fonctions de texte sont l’un des aspects les plus remarquables d’Adobe Illustrator. Elles vous permet-
tent d’ajouter une ligne de texte à votre illustration, de créer des colonnes et des rangées de texte, d’intro-
duire du texte dans une forme ou sur un tracé et d’utiliser des caractères en tant qu’objets graphiques. Les
polices et les paramètres d’interligne, de crénage et d’espacement avant et après les paragraphes que vous
choisissez dans Illustrator sont autant d’exemples des modifications que vous pouvez apporter à l’aspect du
texte dans votre illustration.
Vous pouvez créer trois types de texte. Le texte de point est une ligne de texte horizontale ou verticale qui
débute là où vous cliquez et s’étend à mesure que vous saisissez des caractères. Dans un texte captif (éga-
lement appelé texte de paragraphe), le contour de l’objet limite le flux des caractères. Le texte curviligne suit
le bord d’un tracé ouvert ou fermé.
I- Importation de texte
Vous pouvez importer du texte dans votre illustration à partir d’un fichier créé dans une autre application.
Illustrator prend en charge des formats pour l’importation de texte comme Microsoft® Word pour Windows
97, 98, 2000, 2002, 2003 et 2007, Microsoft Word pour Mac OS X, 2004 et 2008, RTF (Rich Text Format),
texte brut (ASCII) avec codage ANSI, Unicode, Shift JIS, GB2312, Chinois Big 5, Cyrillique, GB18030,
Grec, Turc, Balte et Europe centrale
Comparaison entre la création d’une zone de texte par glissement (en haut) et par conversion d’une forme
existante (en bas)
2- Saisissez le texte. Appuyez sur la touche Entrée ou Retour pour commencer un nouveau paragraphe.
3- Une fois le texte saisi, cliquez sur l’outil Sélection pour sélectionner l’objet texte ou cliquez sur le
texte en maintenant la touche Ctrl (Windows) ou Commande (Mac OS) enfoncée.
Si le texte saisi ne tient pas dans une zone, une case contenant le signe plus (+) apparaît au bas de la zone
de délimitation.
Lors de l’utilisation d’un objet texte captif, vous pouvez contrôler la marge entre le texte et le tracé de déli-
mitation. Cette marge est appelée marge intérieure.
1- Sélectionnez un objet texte captif.
2- Choisissez la commande Texte > Options de texte captif.
3- Spécifiez une valeur pour l’option Marge intérieure, puis cliquez sur le bouton OK.
3- Décalage de la première ligne de base vers le haut ou le bas dans une zone de
texte
Lors de l’utilisation d’un objet texte captif, vous pouvez définir l’alignement de la première ligne de texte
sur le haut de l’objet. Il s’agit du décalage de la première ligne de base. Par exemple, vous pouvez coller le
texte sur le haut de l’objet ou le suspendre à une distance donnée en dessous.
Texte entre un texte avec l’option 1re ligne de base définie sur Hauteur des capitales (à gauche) et sur
Interligne (à droite)
Pour lier le texte (ou le faire continuer) d’un objet à l’autre, vous devez d’abord lier les objets. Les objets
texte liés peuvent avoir n’importe quelle forme. Le texte doit toutefois être captif ou curviligne : le texte de
point ne peut être lié.
Chaque objet texte captif contient un port d’entrée et un port de sortie qui permettent la liaison avec d’au-
tres objets ainsi que la création d’une copie liée de l’objet texte. Un port vide indique que tout le texte est
visible et que l’objet n’est pas lié. Une flèche dans un port indique que l’objet est lié à un autre. Un signe
plus (+) rouge dans un port de sortie indique que l’objet comporte du texte supplémentaire. Ce texte non visi-
ble restant est appelé excédent de texte.
7- Liaison de texte
A- Habillage de texte
1- Assurez-vous que le texte à utiliser pour habiller un objet remplit les conditions suivantes :
• il s’agit de texte captif (saisi dans une zone de texte) ;
• il se trouve sur le même calque que l’objet à habiller ;
• il est situé juste en dessous de l’objet à habiller dans la hiérarchie du calque.
Important : si le calque contient plusieurs objets texte, déplacez ceux qui ne doivent pas habiller l’objet
dans un autre calque ou au-dessus de l’objet à habiller.
2- Sélectionnez un ou plusieurs des objets à habiller avec du texte.
3- Choisissez la commande Objet > Habillage de texte > Créer.
Texte entre un texte sans ajustement de l’espacement (à gauche) et un texte avec ajustement de
l’espacement (à droite)
Comparaison entre un tracé de texte pivoté (à gauche) et un texte accompagné d’un tracé pivotés (à
droite)
C- Rotation du texte
• Pour appliquer une rotation d’un nombre de degrés donné aux caractères d’un objet texte, sélectionnez
les caractères ou les objets texte à modifier (si aucun texte n’est sélectionné, la rotation s’applique au
nouveau texte). Définissez l’option Rotation des caractères du panneau Caractère.
• Pour modifier le texte horizontal en texte vertical et inversement, sélectionnez l’objet texte et choisissez
la commande Texte > Orientation du texte > Horizontale ou Texte > Orientation du texte > Verticale.
• Pour appliquer une rotation à un objet texte entier (caractères et cadre de sélection du texte),
sélectionnez l’objet texte et utilisez le cadre de sélection, l’outil Transformation manuelle, l’outil
Rotation, la commande Rotation ou le panneau Transformation pour le faire pivoter.
IX- Polices
Une police est un ensemble complet de caractères alphabétiques, chiffres et symboles qui partagent une grais-
se, une chasse et un style (par exemple, Adobe Garamond, 10 points, gras).
Les types de caractères (souvent appelés familles de caractères ou familles de polices) sont des ensembles
de polices de caractères apparentés par le graphisme et conçus pour être utilisés ensemble (par exemple, Adobe
Garamond).
Un style de caractères est une variante d’une police au sein d’une même famille de caractères. En général,
l’élément d’une famille de polices appelé Romain ou Normal (le nom diffère d’une famille à l’autre) cons-
titue la police de base comprenant les styles de caractères tels que normal, gras, demi-gras, italique et gras
italique.
Outre les polices installées sur votre système, vous pouvez créer les dossiers suivants et utiliser les polices
qui y sont installées :
- Windows Program Files/Fichiers communs/Adobe/Fonts
- Mac OS Bibliothèque/Application Support/Adobe/Fonts
En effet, on peut souligner ou barrer un texte, appliquer des capitales et de petites capitales au
texte, modifier des styles de casse, choisir entre guillemets courbes et guillemets droits,
définir des options de lissage pour le texte, créer des exposants ou des indices etc.
Modification d’un caractère : A. Objet texte d’origine B. Texte vectorisé, dissocié et modifié
Lorsque vous convertissez du texte en texte vectorisé, le texte perd les renseignements qu’il contient, c’est-
à-dire les instructions intégrées aux polices pour modifier leur forme et permettre à votre système de les affi-
cher ou de les imprimer de façon optimale, quelle que soit leur taille. Si vous souhaitez effectuer une mise
à l’échelle du texte, modifiez le corps de caractère avant de procéder à la conversion.
Vous devez convertir tout le texte d’une sélection ; vous ne pouvez pas convertir une seule lettre dans une
chaîne de texte. Pour convertir une seule lettre dans un texte vectorisé, vous devez créer un objet texte dis-
tinct contenant uniquement cette lettre.
1- Sélectionnez l’objet texte.
2- Choisissez Texte > Vectoriser.
2- Décalage vertical
Vous pouvez utiliser le décalage vertical pour déplacer les caractères sélectionnés vers le haut ou vers le bas
par rapport à la ligne de base du texte. Le décalage vertical est particulièrement utile lorsque vous compo-
sez à la main des fractions ou que vous réglez la position d’une police d’image.
1- Sélectionnez les caractères ou les objets texte à modifier. Si aucun texte n’est sélectionné, le décalage
s’applique au nouveau texte.
2- Définissez l’option Décalage vertical dans le panneau Caractère. Les valeurs positives déplacent la
ligne de base du caractère au-dessus de la ligne de base de la ligne et les valeurs négatives la déplacent
au-dessous.
3- Crénage et approche
Le crénage consiste à augmenter ou à diminuer l’espace entre certaines paires de lettres spécifiques.
L’approche consiste à agrandir ou à réduire l’espacement entre les caractères dans un texte sélectionné ou
un bloc de texte entier.
Vous pouvez automatiquement définir le crénage d’un texte à l’aide des fonctions de crénage métrique ou
optique. Le crénage métrique (également appelé crénage auto) utilise des paires de caractères comprises dans
la plupart des polices.
Options de crénage et d’approche : A. Texte d’origine B. Texte avec crénage optique C. Texte avec crénage
manuel entre le W et le a D. Texte avec approche E. Crénage et approche cumulés
Vous pouvez également avoir recours au crénage manuel, idéal pour ajuster l’espacement entre deux let-
tres. L’approche et le crénage manuel peuvent être associés, ce qui vous permet de régler d’abord indi-
viduellement des paires de lettres, puis de resserrer ou d’écarter un bloc de texte sans modifier le cré-
nage relatif des paires de lettres.
Lorsque vous cliquez pour placer le point d’insertion entre deux lettres, les valeurs de crénage s’affichent
dans le panneau Caractère. Les valeurs de crénage métrique et optique (ou paires de caractères définies) sont
indiquées entre parenthèses. De la même façon, si vous sélectionnez un mot ou une suite de lignes de texte,
les valeurs d’approche s’affichent dans ce même panneau.
L’approche et le crénage sont mesurés en 1/1000 de cadratin, une unité de mesure relative au corps du
caractère utilisé.
Dans une police de 6 points, 1 cadratin est égal à 6 points. Dans une police de 10 points, 1 cadratin est égal
à 10 points.
Le crénage et l’approche sont strictement proportionnels au corps de texte affiché.
Panneau Paragraphe (toutes options visibles) : A. Alignement et justification B. Retrait à gauche C. Retrait
de 1re ligne à gauche D. Espace avant le paragraphe E. Césure F. Retrait à droite G. Espace après le para-
graphe
Par défaut, seules les options les plus fréquemment utilisées apparaissent dans le panneau Paragraphe. Pour affi-
cher toutes les options, choisissez l’option Afficher les options dans le menu du panneau. Vous pouvez égale-
ment cliquer sur le double triangle de l’onglet du panneau pour passer en revue les différents formats d’affichage.
B- Alignement du texte
Le texte captif ou curviligne peut être aligné sur un ou deux bords d’un tracé de texte.
1- Sélectionnez l’objet texte ou insérez le curseur dans le paragraphe à modifier.
2- Dans le panneau Contrôle ou Paragraphe, cliquez sur un bouton d’alignement.
Vous pouvez contrôler avec précision la gestion par les applications Adobe de l’interlettrage, de l’inter-
mots et de la mise à l’échelle des caractères. Le réglage de l’espacement est particulièrement utile avec du
texte justifié, bien qu’il soit également possible de régler l’espacement d’un texte non justifié.
1- Insérez le pointeur dans le paragraphe à modifier ou sélectionnez un cadre ou objet texte pour modifier
tous ses paragraphes.
2- Choisissez Justification dans le menu du panneau Paragraphe.
3- Saisissez des valeurs dans les zones Intermots, Interlettrage et Mise à l’échelle glyphe. Les valeurs
Minimum et Maximum définissent une plage d’espacement acceptable pour les paragraphes justifiés
uniquement. La valeur Optimum définit l’espacement souhaité pour les paragraphes justifiés et non
justifiés :
Intermots Espace entre les mots créé en appuyant sur la barre d’espace. Les valeurs d’intermots sont
comprises entre 0 % et 1 000 %. Une valeur de 100 % indique qu’aucun espacement supplémentaire
n’est inséré entre les mots.
Interlettrage Distance entre les lettres, valeurs de crénage ou d’approche comprises. Les valeurs
d’interlettrage peut varier de -100 % à 500 % : à 0 %, aucun espace n’est ajouté entre les lettres ; à 100
%, une largeur d’espace complet est ajoutée entre les lettres.
Mise à l’échelle du glyphe Chasse des caractères (un glyphe est un caractère de n’importe quelle police). La
mise à l’échelle du glyphe peut varier de 50 % à 200 %.
4- Définissez l’option Justification d’un seul mot pour indiquer le type de justification appliqué aux
paragraphes d’un seul mot.
Comparaison entre un paragraphe sans ponctuation hors justification (à gauche) et un paragraphe avec
ponctuation hors justification (à droite)
Illustrator comporte les options suivantes de ponctuation hors justification :
Ponctuation hors justification romaine Permet de contrôler l’alignement des signes de ponctuation
pour un paragraphe donné. Lorsque cette option est activée, les caractères suivants apparaissent à 100
% hors des marges : apostrophes, guillemets, traits d’union, points et virgules. Les caractères suivants
apparaissent à 50 % en dehors des marges : astérisques, tildes, points de suspension, tirets demi-
cadratins, tirets cadratins, deux-points, points-virgules. Pour appliquer ce paramètre, insérez le curseur
dans le paragraphe et sélectionnez l’option Ponctuation hors justification romaine dans le menu du
panneau Paragraphe.
Alignement optique des marges Permet de contrôler l’alignement des signes de ponctuation pour tous
les paragraphes d’un objet texte. Lorsque cette option est activée, les signes de ponctuation romaine,
ainsi que les bords des lettres (comme W et A) débordent des marges du texte, faisant paraître ce
dernier aligné. Pour appliquer ceparamètre, sélectionnez l’objet texte et choisissez la commande Texte
> Alignement optique des marges.
Burasagari Permet de contrôler l’alignement des signes de ponctuation codés sur deux octets
(disponibles dans les polices chinoises, japonaises et coréennes). Les options Ponctuation hors
justification romaine et Alignement optique des marges n’influent pas sur ces signes de ponctuation.
L’alignement du paragraphe détermine la marge pour laquelle la ponctuation est hors justification.
Pour les paragraphes alignés à gauche et à droite, la ponctuation est hors justification dans les marges
gauche et droite. Pour les paragraphes alignés en haut et en bas, la ponctuation est hors justification
dans les marges supérieure et inférieure. Pour les paragraphes centrés et justifiés, la ponctuation est
hors justification dans les deux marges.
XII- Tabulations
Le panneau Tabulations (Fenêtre > Texte > Tabulations) permet de définir des taquets de tabulation pour un
paragraphe ou un objet texte. Pour plus de détails sur l’utilisation et le paramétrage des tabulations, consul-
tez l’aide disponible sur Internet.
Panneau Tabulations : A.
Boutons d’alignement de
tabulation B. Position de
tabulation C. Champ Point
de conduite D. Champ
Aligner sur E. Menu du
panneau F. Réglette de
tabulation G. Positionne le
panneau au-dessus du texte
D’autres commandes et options sont accessibles dans le menu du panneau Tabulations. Pour utiliser ce menu, cli-
quez sur le triangle situé dans l’angle supérieur droit du panneau.
On peut aussi faire un :
- Alignement du panneau Tabulations avec l’objet texte sélectionné
- Positionnement des taquets sur les graduations de la réglette
- Modification des unités de mesure de la réglette de tabulation
- Définition des tabulations : Tabulation alignée à gauche ,Tabulation centrée, Tabulation alignée à droite,
Tabulation alignée en bas, Tabulation alignée en haut, Tabulation décimale.
- Répétition de tabulations
- Déplacement des tabulations
- Suppression de tabulations
- Spécification de caractères pour les tabulations décimales
Panneau Styles de
paragraphe :
A. Nom du style
B. Style avec mise en
forme supplémentaire
(remplacements)
C. Menu du panneau
D. Bouton Nouveau
style
E. Icône Corbeille
Lorsque vous sélectionnez du texte ou insérez le curseur dans un texte, les styles actifs sont mis en surbrillance
dans les panneaux Styles de caractère et Styles de paragraphe. Par défaut, à chaque caractère d’un document
est attribué le style de caractère normal et à chaque paragraphe, le style de paragraphe normal. Ces styles
par défaut constituent les éléments de base de tous les autres styles que vous créez.
Un signe plus en regard d’un nom de style indique la présence de remplacements pour ce style. Un rem-
placement est une mise en forme qui ne correspond pas aux attributs définis par le style. Chaque fois que
vous modifiez des paramètres dans les panneaux Caractère et OpenType, vous créez un remplacement
pour le style de caractère en cours. De la même manière, lorsque vous modifiez des paramètres dans le pan-
neau Paragraphe, vous créez un remplacement pour le style de paragraphe en cours.
* Avec l’outil Texte captif cliquer sur le premier rectangle soit pour saisir et importer le texte.
2ème méthode
* Dessiner un rectangle représentant toute la justification
* Choisir une seule rangée, 3 colonnes; 0,5 cm pour la gouttière et le sens de lecture de texte puisque
cette commande peut être utilisée pour réaliser des tableaux.
* Cliquer sur OK
* Toujours avec l’outil Texte captif cliquer sur le rectangle puis saisir ou importer du texte qui va circuler
sur les colonnes.
4- Réaliser la mise en forme de texte avec les deux palettes de caractère et de paragraphe.
5- Importer une image et placer la entre deux colonnes. L’image peut ne pas subir des transformations
comme vous pouvez la détourer.
Adobe illustrator n’habille pas les photos mais les dessins. Vous remarquez que le texte suit le tracé dans les
deux exemples ci dessus et la photo elle même.
7- Dans le menu déroulant de la commande habillage vous pouvez choisir les options d’habillage afin
de déterminer la valeur de décalage du texte par rapport à l’image ou inverser l’habillage si nécessaire.
Lorsque vous importez un graphique, une version affichant la résolution à l’écran du fichier apparaît dans
la disposition pour vous permettre de l’afficher et de le placer correctement, mais il est possible que le
graphique réel soit lié ou incorporé.
Les illustrations liées sont associées au document mais restent indépendantes, ce qui réduit la taille du
document. Vous pouvez modifier une illustration liée à l’aide des outils de transformation et des effets, mais
vous ne pouvez ni sélectionner, ni modifier les composants de l’illustration individuellement. Vous pouvez
utiliser le graphique lié à plusieurs reprises sans que la taille du document n’augmente de façon significative.
Vous pouvez également mettre à jour tous les liens en une seule fois. Le graphique d’origine est extrait
lorsque vous lancez une tâche d’exportation ou d’impression, ce qui entraîne la création de la sortie finale
à partir de la résolution maximale de l’original.
L’illustration incorporée est copiée dans le document avec la résolution maximale, ce qui produit un document
plus volumineux. Vous pouvez mettre à jour le document à tout moment : tant que l’illustration est incorporée,
le document reste indépendant.
Pour déterminer si l’illustration est liée ou incorporée ou pour la faire passer d’un état à l’autre, utilisez le
panneau Liens.
Si l’illustration incorporée contient plusieurs composants, vous pouvez les modifier un par un. Par exemple,
si l’illustration comporte des données vectorielles, Illustrator les convertit en tracés, modifiables à l’aide
des outils et des commandes de l’application. Illustrator conserve en outre la hiérarchie des objets (groupes,
calques, etc.) dans les illustrations incorporées à partir de certains formats de fichiers.
I- Importation de fichiers
La commande Importer constitue la principale méthode d’importation grâce au niveau de prise en charge
des formats de fichier, des options de positionnement et des couleurs qu’elle offre. Après avoir importé un
fichier, utilisez le panneau Liens pour l’identifier, le sélectionner, le vérifier et le mettre à jour.
- Ouvrez le document Illustrator dans lequel vous souhaitez importer l’illustration.
- Choisissez la commande Fichier > Importer, puis sélectionnez le fichier à importer.
- Cochez la case Lien pour créer un lien vers le fichier ou décochez-la pour incorporer l’illustration au do-
cument Illustrator.
- Cliquez sur le bouton Importer.
3- Dans la boîte de dialogue qui s’affiche, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Recherchez et sélectionnez un fichier de remplacement.
• Entrez la ou les premières lettres du nom du fichier de remplacement souhaité pour localiser le fi-
chier.
4- Cliquez sur le bouton Importer.
Les imprimantes PostScript utilisent un fichier PPD (PostScript Printer Description) pour adapter le pilote
aux spécificités de votre imprimante PostScript. Un fichier PPD contient des informations sur le périphérique
de sortie, notamment les polices installées sur l’imprimante, la taille et l’orientation des supports disponibles,
les possibilités optimales en matière de linéature de trame, d’angles de trame, de résolution et de sortie
couleur. Il est important de configurer le fichier PPD correct avant d’imprimer. La sélection du fichier PPD
correspondant à l’imprimante PostScript ou à la photocomposeuse utilisée indique les paramètres disponibles
pour le périphérique de sortie dans la boîte de dialogue Imprimer.
Repères d’impression
A. Etoile (requise) B. Repères de montage C. Informations sur la page D. Traits de coupe E. Gamme de
couleurs F. Gamme de teintes