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Objectif 4 : Identifier les fonctions du RIP

PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT D’UN RIP


Le Raster Image Processor (RIP en anglais) est, dans le monde des industries graphiques, l'outil informatique qui
permet de tramer des données afin de les rendre imprimables. Le RIP fait le lien entre des données informatiques et
des données exploitables pour l'impression. Le raster est la grille de pixels qui est utilisée pour diviser une image de
manière à pouvoir piloter l’imprimante avec des impulsions électriques, en lui disant d’appliquer l’encre ou le toner à
un endroit spécifique.

I- Le PostScript
Le PostScript est un langage informatique spécialisé dans la description de pages, mis au point par Adobe. Il repose
sur des formulations vectorielles de la plupart de ses éléments. Il sait aussi traiter les images matricielles (en mode
point).Ce langage inter-plateformes permet d'obtenir un fichier unique comportant tous les éléments décrivant la
page (textes, images, polices, couleurs, etc.). PostScript est devenu pratiquement un standard, la plupart des
imprimantes lasers haut de gamme peuvent traiter directement le format PostScript. Sur les autres ou les plus
anciennes, il fallait utiliser un filtre logiciel en entrée pour convertir le langage PostScript au format raster
compréhensible par les anciennes imprimantes. Le développement du PostScript est arrêté par Adobe depuis 2007,
afin que le PDF puisse prendre la relève.

II- Fonctionnement d'un RIP


Le RIP reçoit en entrée cartouche (PostScript, PDF, divers formats propriétaires) ou des données raster, dont les
couleurs sont décrites en tons continus, soit en CMJN, en RVB ou en niveaux de gris. Le RIP traite alors le fichier
d'entrée pour produire des fichiers, dits Bitmap, c'est-à-dire où chaque point d'impression est défini selon un mode
tout ou rien (il y a de l'encre ou il n'y en a pas). Un tel fichier bitmap est associé à une encre d'impression : donc, si
l'impression est en quadrichromie classique, il y aura quatre fichiers (un pour le Cyan, un pour le Magenta, un pour le
Jaune et un pour le Noir).

1- Les fichiers Bitmap : Les fichiers numériques de départ contiennent une information colorimétrique en niveaux
de gris ou CMJN (ou convertie dans un tel mode colorimétrique), exprimée en pourcentage. Prenons l'exemple d'une
image uniformément orange, elle sera décrite comme suit :

- 0% de cyan et de noir ;
- 50% magenta ;
- 100% jaune.
Le RIP récupère ces informations, et crée les quatre fichiers bitmap correspondant :
- un fichier bitmap uniquement blanc, pour les encres cyan et noire ;
- un fichier bitmap contenant des points de trame couvrant 50% de la surface pour le magenta ;
- un fichier bitmap entièrement noir pour le jaune.

Ces fichiers sont utilisés pour piloter une flasheuse ou un CtP. En effet, pour insoler un film ou une plaque offset par
exemple, le laser de la flasheuse ou du CtP :
- est déclenché selon le point décrit dans fichier bitmap;
- est déclenché inversement selon le support plaque ou film qui peuvent être de sensibilité négative ou
positive.

La différence entre zones insolées et non insolées permettra par la suite à l'encre d'imprimer certaines zones et pas
d'autres. De même une information de type vectoriel sera convertie en un ensemble discret de points à afficher par le
périphérique de sortie sélectionné, selon sa résolution de sortie et le nombre de niveaux de gris souhaité.

2-Possibilités logicielles des RIP : Les RIP professionnels ne font pas que tramer des fichiers numériques, mais sont
accompagnés le plus souvent de nombreux modules qui aident les imprimeurs dans leur travail :
 intégration de profils ICC pour corriger les erreurs colorimétriques dues aux procédés d'impression utilisés ;
 gestion de plusieurs files d'attentes pour attribuer des caractéristiques différentes aux fichiers de sortie (positif
ou négatif, endroit ou envers, résolution du fichier...) ;
 fusion de différents travaux sur un même film ou une même plaque ;
 etc.
III- les fonctions du RIP :
A. Rastérisation : Les fichiers informatiques envoyés aux imageuses doivent être irréprochables et contrôlés au
préalable. Une seule petite erreur conduit au remplacement pur et dur d’une plaque et une plaque (surtout sur CTP)
est chère. Toutes sortes de fichiers sont envoyées vers l’imageuse (bitmap, vectoriel, PDF) or, celle-ci n’est capable
que de restituer du bitmap. Il faut donc transformer ces informations pour piloter le laser des têtes d’écriture. C’est le
rôle du RIP, acronyme de Rastérisation Image Processor. Le RIP décode et interprète les fichiers et définit le nombre
et la position des pixels nécessaires pour reproduire l’image. Ensuite, il envoie les signaux électroniques
compréhensibles par l’imageuse pour commander le laser. Dans le jargon de l’imprimeur, on appelle cette phase le «
rippage » ou « ripping ».

B. Tramage : Le RIP se charge également du tramage des photographies, du ben-day et des dégradés. Le nombre de
valeurs de gris ou de nuances est fonction de la résolution des imageuses et de la linéature de trame d’impression. Un
nombre insuffisant de nuances peut créer des effets de postérisassion dans les images où la progression des dégradés
est remplacée par des zones de gris uniformes, phénomène appelé «d’escaliers»

Effet d’escalier dans les dégradés

Pour déterminer le nombre de nuances accessibles en fonction de la résolution de sortie et la linéature de trame
d’impression, il suffit d’utiliser la formule suivante :

Exemples : une imprimante laser à 600 dpi avec une linéature de 100 lpi ne restituera que : (600/100)2 = 36 niveaux
de gris. En revanche, une imageuse à 2400 dpi pour une linéature de 150 restituera : 256 niveaux de gris.
256 nuances, c’est le maximum que peut créer PostScript par couleur.
Suivant les fabricants, les possibilités de tramage sont plus ou moins évoluées. Outre les points de trame classiques
(carrés, ronds, elliptiques), certains RIP supportent des technologies de trames avancées (trames compensées,
stochastiques, trames mixtes, etc.) mais il faut, bien sûr, que l’imageuse soit capable de les restituer.
Il ne faut pas confondre le point réalisé par l’imageuse (un pixel) et le point trame. Un point de trame est composé
de plusieurs pixels. Le rôle du RIP est de calculer la grosseur des points, de déterminer leur forme (rond, elliptique
etc.) et de les aligner en fonction de la nuance à restituer (valeur) et de la linéature de la trame. Il doit également
définir l’orientation des trames.

Les trames de demi-teintes sont constituées de points définissant la quantité d’encre qui sera déposée à un endroit
précis lors de l’impression. La modification de leur taille et de leur densité permet de créer l’illusion de variations de
gris créant ainsi le modelé (dégradé) d’une photographie.
Pour une image quadri, quatre trames sont utilisées : cyan, magenta, jaune et noir - une pour chaque encre utilisée
lors de l’impression.

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C. SEPARATION DES COULEURS :

I- Création des séparations


Pour reproduire une image en couleurs ou à tons continus, les imprimeurs séparent les couleurs de cette image en
quatre [cyan (C), magenta (M), jaune (J) et noir (N)], sur quatre plaques différentes. Après application des encres de
couleur et impression en repérage, les couleurs obtenues reproduisent fidèlement l’illustration originale. Le processus
de décomposition d’une image en deux ou plusieurs couleurs s’appelle séparation des couleurs et on appelle
séparations les films créés à partir des plaques.

Composite (à gauche) et séparations (à droite)

II- Flux de production de séparations


Adobe InDesign propose deux flux de production PostScript standard pour les séparations de couleurs : dans le
premier, elles sont effectuées sur l’ordinateur hôte (à l’aide d’InDesign et du pilote d’imprimante) et dans le
second, depuis le processeur d’images pixellisées ou processeur RIP (raster image processor) du périphérique de
sortie. Il existe également un flux de production PDF.

Séparations basées sur un ordinateur hôte(le système qui possède les données ) : Pour ce type de flux de
production pré-séparé traditionnel, InDesign crée des informations PostScript pour chacune des séparations du
document et les envoie au périphérique de sortie.

Séparations In-RIP : Dans un flux de production reposant sur un processeur RIP PostScript, des processeurs RIP de
nouvelle génération effectuent, indépendamment de l’ordinateur hôte, les séparations de couleurs, le recouvrement et
même la gestion des couleurs au niveau du RIP. InDesign génère alors le fichier plus rapidement et réduit la quantité
de données à transmettre dans le cadre d’une impression. Par exemple, au lieu d’envoyer des informations PostScript
pour l’impression de quatre pages ou plus avec des séparations de couleurs basées sur l’ordinateur hôte, InDesign
envoie les informations PostScript d’un seul fichier PostScript composite pour un traitement RIP.

Préparation d’un document aux séparations des couleurs :


1. Corrigez les éventuels problèmes colorimétriques des illustrations.
2. Définissez les options de surimpression.
3. Créez des instructions de recouvrement pour compenser toute erreur de mise en registre sur la presse.
4. Effectuez un aperçu des séparations des couleurs à l’écran.
Remarque : pour la séparation des couleurs, les étapes 1 à 4 sont recommandées, mais pas obligatoires.

5. Choisissez Fichier > Imprimer pour afficher la boîte de dialogue d’impression.


6. Si vous avez créé un style d’impression prédéfini avec les paramètres de séparation appropriés, sélectionnez-le
dans le menu Impression prédéfinie, en haut de la boîte de dialogue Imprimer.
7. Dans le menu Imprimante, choisissez une imprimante ou un fichier PostScript.
8. Pour une impression PostScript, choisissez le fichier PPD du périphérique de sortie des séparations.
9. Pour afficher ou modifier les options d’impression actives, cliquez sur un nom de section, dans la partie
gauche de la boîte de dialogue Imprimer.
10.Avant de livrer votre document à un prestataire de services, vérifiez les séparations.
11.Imprimez ou enregistrez les séparations.

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Impression des tons directs :
Il est possible de remplacer ou de compléter des couleurs quadri par des teintes personnalisées appelées tons directs.
Par exemple, pour reproduire une illustration contenant du texte noir et des dessins au trait utilisant un vert particulier,
deux tons directs suffisent : le noir et un ton correspondant au vert souhaité. En outre, les encres de tons directs sont
utilisées pour obtenir des couleurs qui ne sont pas reproductibles avec les encres CMJN, notamment des vernis ou des
couleurs fluorescentes et métalliques. Vous pouvez également obtenir des encres mélangées en combinant plusieurs
tons directs ou des tons directs avec des couleurs quadri.
Vous pouvez colorer une illustration avec des couleurs quadri, des tons directs ou une combinaison des deux. Lors de
l’impression des séparations, vous pouvez convertir les tons directs en leurs équivalents quadri de sorte qu’ils
s’impriment sur des plaques CMJN.

Impression d’un objet sur toutes les plaques de couleur


Pour imprimer un objet sur toutes les plaques, y compris sur des plaques de tons directs, appliquez une couleur de
repérage à l’objet. La couleur de repérage s’utilise pour les repères de cadrage et de coupe. Dans le cas d’une sortie
composite, les objets auxquels une couleur de repérage a été appliquée s’impriment sous la forme suivante : C 100,
M 100, J 100 et N 100. Dans le cas de séparations, chaque plaque présente une valeur de 100 %.
1. Sélectionnez les objets auxquels vous souhaitez appliquer la couleur de repérage.
2. Choisissez Fenêtre > Nuancier.
3. Dans le panneau Nuancier, cliquez sur la couleur de repérage .

Impression de dégradés sous forme de séparations


Tenez compte des points suivants lors de la production de séparations pour des documents avec dégradés :
 La séparation des couleurs d’un dégradé créé dans InDesign et contenant une association de couleurs quadri et
de tons directs est effectuée à l’aide d’une plaque de couleurs quadri et d’une plaque de tons directs.
 La séparation d’un dégradé présentant des couleurs quadri s’effectue sur différentes plaques de couleurs
quadri.
 Dans le cas d’un dégradé contenant deux teintes d’un même ton direct, la séparation se fait sur une seule
plaque de tons directs.
 Pour obtenir un dégradé séparé sur un seul film entre un ton direct et du blanc, créez un fond de dégradé se
situant entre le ton direct et la nuance Papier du panneau Nuancier.
 Si vous créez un dégradé de deux tons directs, affectez-leur différents angles de trames. Si deux tons directs
présentent le même angle de trame, ils se superposent, provoquant une surimpression.

Une image composite est une image créée à partir de différentes images, combinées pour n'en faire
qu'une seule ...

Impression d’une épreuve composite


Vous pouvez imprimer une épreuve composite en couleurs ou en niveaux de gris pour vérifier les couleurs de votre
document. Les images composites permettent de concevoir et de vérifier la mise en page des séparations avant leur
impression finale, généralement coûteuse.
Lorsque vous imprimez un fichier composite dans InDesign, toutes les couleurs du fichier sont imprimées sur une
seule plaque, même si des couleurs individuelles sont sélectionnées.
Tenez compte des points suivants lorsque vous imprimez des épreuves composites :
 une épreuve ne permet pas d’obtenir une représentation exacte de la sortie finale ; toutefois, il est possible
d’accroître le degré de précision d’une épreuve en étalonnant tous les périphériques utilisés lors de la création du
document (tels que les scanners, les moniteurs et les imprimantes). Lorsque les périphériques sont correctement
étalonnés, le système de gestion des couleurs peut être exploité pour obtenir des couleurs fiables et homogènes.
 Les options de surimpression sélectionnées dans le document s’impriment correctement sur une imprimante
prenant en charge la surimpression. Etant donné que la plupart des imprimantes de bureau ne prennent pas en
charge la surimpression, simulez les effets de surimpression en sélectionnant l’option Simuler la surimpression
du volet Sortie de la boîte de dialogue Imprimer.
 Important : sélectionnez l’option Simuler la surimpression pour convertir les tons directs en couleurs quadri
pour l’impression. Si vous envisagez d’utiliser un fichier pour des séparations RIP ou pour une sortie finale, ne
sélectionnez pas cette option.
 Lors de l’impression sur une imprimante en noir et blanc, InDesign génère une version composite des pages
en niveaux de gris. S’il s’agit d’un document en couleur, InDesign imprime les gris visuellement équivalents afin
de simuler une couleur. Par exemple, le gris utilisé pour simuler une teinte avec 20 % de jaune sera plus clair que
le gris utilisé pour simuler une teinte avec 20 % de noir, car le jaune apparaît plus clair que le noir.
Infographie 2017 Module 15 : PRODUCTION DES FORMES IMPRIMANTES 3
 Lorsque vous imprimez les chapitres d’un livre contenant des encres de tons directs ou des styles de
recouvrement en conflit, configurez InDesign de façon à harmoniser les paramètres avec le document type.
 Si vous utilisez la gestion des couleurs avec la fonction Livre, vérifiez que les paramètres de gestion des
couleurs de la boîte de dialogue Couleurs sont les mêmes pour chaque document du livre.
Remarque : n’oubliez pas que, tout comme pour les moniteurs, la qualité de reproduction des couleurs varie
sensiblement d’une imprimante à l’autre ; les épreuves fournies par votre prestataire de services sont la meilleure
façon de vérifier l’aspect final de votre travail.

Affichage d’un aperçu des séparations de couleurs


Pour obtenir un aperçu des séparations de couleurs, des limites de couverture d’encre et de la surimpression, utilisez le
panneau Aperçu des séparations. L’affichage de l’aperçu des séparations sur votre moniteur vous permet de procéder
aux vérifications suivantes :

 Vernis et autres pellicules : L’affichage de l’aperçu des vernis à l’écran peut se révéler difficile dans la
mesure où ils sont transparents. Lorsque vous affichez de façon isolée un aperçu de la séparation d’un vernis,
les zones vernies apparaissent en noir.
 Noir riche : L’aperçu des séparations vous permet d’identifier les zones qui s’imprimeront en noir riche ou en
encre noire quadri (N) mélangée à des encres de couleur pour une plus grande opacité et une meilleure
intensité des couleurs.
 Couverture d’encre : Une trop grande quantité d’encre déposée sur le papier risque de poser des problèmes
de séchage. Vérifiez auprès de votre imprimeur la couverture d’encre maximale de la presse qui sera utilisée.
Vous pourrez ainsi identifier sur l’aperçu du document les zones où la couverture d’encre dépasse les limites
de la presse.
 Surimpression : Vous pouvez afficher un aperçu de la reproduction de la fusion, de la transparence et de la
surimpression sur une impression en séparations des couleurs.

Remarque : vous pouvez également voir les effets de surimpression lorsque vous imprimez sur un périphérique
d’impression composite. Ceci est utile pour vérifier la séparation des couleurs.

Bien que l’aperçu des séparations sur votre moniteur permette d’identifier des problèmes sans subir le coût de
l’impression des séparations, il ne vous permet pas de prévisualiser le recouvrement, les options d’émulsion, les
repères d’impression, les trames de demi-teinte ou la résolution. Vérifiez ces paramètres auprès de votre imprimeur au
moyen d’épreuves par superposition ou intégrales.
Remarque : les objets répartis sur des calques masqués n’apparaissent pas dans l’aperçu à l’écran.

Aperçu des plaques de séparation


1. Sélectionnez Fenêtre > Sortie > Aperçu des séparations.
2. Choisissez Séparations dans le menu déroulant Affichage.
3. Utilisez l’une des méthodes suivantes :
 Pour afficher une seule séparation et masquer toutes les autres, cliquez sur le nom de la séparation à
afficher. Par défaut, les zones de couverture apparaissent en noir. Si ce paramètre par défaut ne vous
convient pas, désélectionnez l’option Afficher chaque plaque en noir dans le menu du panneau.
 Pour afficher une ou plusieurs séparations, cliquez sur la case vide située à gauche du nom de chaque
séparation. Chacune des séparations apparaît dans la couleur qui lui a été assignée.
 Pour masquer une ou plusieurs séparations, cliquez sur l’icône en forme d’œil située à gauche du nom de
chaque séparation.
 Pour afficher simultanément toutes les plaques quadri, cliquez sur l’icône CMJN .
 Pour afficher simultanément toutes les séparations, cliquez, puis faites glisser le pointeur sur toutes les
icônes en forme d’œil (ou toutes les cases vides) en regard du nom des séparations.

Aperçu d’une seule séparation (à gauche) et de plusieurs séparations (à droite)


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Aperçu de la couverture d’encre
1. Sélectionnez Fenêtre > Sortie > Aperçu des séparations.
2. Choisissez Limite d’encre dans le menu déroulant Affichage. Entrez une valeur de couverture d’encre
maximale dans la case qui apparaît en regard du menu déroulant Affichage (demandez à votre imprimeur la
valeur appropriée à spécifier).
3. Vérifiez la couverture d’encre sur l’aperçu du document. Les zones dont la couverture d’encre est excessive
sont représentées dans les tons rouge (les zones rouge foncé dépassant davantage la limite de couverture d’encre
que les zones rouge clair). Toutes les autres zones apparaissent en niveaux de gris.

Les zones de couverture d’encre excessive sont représentées en rouge.

4. Pour vérifier la couverture d’encre d’une zone particulière, survolez-la avec le pointeur dans la fenêtre de
document. Les pourcentages de couverture d’encre apparaissent dans le panneau en regard du nom de l’encre

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