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Blague à part, un trille dans une oeuvre Joyeuse et pimpante en revanche, ne dois pas sonner
amorti vous voyez! C'est là, que le bon goût, entre en ligne de compte...
Le trille ne dois pas dominer le chant exécuter juste avant, ou ce qui suivra.
Il a trois phases le trille...Une entrée, un plateau, une sortie...
Donc déjà dans un même trille, il y a une vie différente pour chacune des phases.
Bon naturellement sur une noire, ces phases hein! le temps nous manque pour l'exécution.
Je parle de longs trilles, bien sûr!
Dans une oeuvre mélancolique le trille il est fragile il pleure, il ne danse ni ne saute de joie,
il est la suite de la pensée musical.
Il faut pas parce que c'est écrit (tr) se mettre à faire une pétarade de notes à la mitraillette et
par surcroît, augmenter et la vitesse et la puissance de frappe,
C'est ni plus ni moins qu'arriver avec un oursons géant qui n'entre pas dans la chambre
d'enfant, en se disant beh j'aimais bien alors je le veux donc je vais le faire ainsi!
Ou encore une jolie dame surchargée de bijoux, car elle en a beaucoup, donc elle en met....
Trop, c'est comme pas assez hein!
De l'équilibre dans tout surtout pour les trilles...
Toujours les commencer doucement pp " entrée"....En augmentant légèrement la vitesse
"plateau" ....... et diminuer doucement "sortie" ......Exactement comme une respiration
naturelle...Inspirer...expirer...Voilà!
À moins d'indication du maître bien sûr, le trille demeure un truc délicat et de bon goût à faire
de façon équilibrer et de manière modeste, habillé d'humilité...Toujours adapter au caractère
de l'oeuvre du style et de notre bon savoir!