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TP Monétaire1
TP Monétaire1
Introduction
L'investissement est un thème majeur en économie. En tant que déterminant
fondamental de la croissance à long terme, ce thème est toujours d'actualité et source
de problématiques riches et variées: développement, épargne, capital humain,
croissance endogène... il est le socle de developpement en considerant l’aspect global
de l’économie car il sert de levier pour booster la production soit sur le plan de
l’ »économie nationale soit encore dans le cadre de l’entreprise.
deux courbes s'ajustent avec des taux d'intérêt parfaitement flexibles. Quand le
taux est trop bas, la demande de fonds prêtables (DFP) est plus forte que l'offre
de fonds prêtables (OFP), quand il est trop haut c'est l'inverse. L'ajustement se
fait entre DFP et OFP (loi de l'offre et de la demande), si bien qu'on a toujours
S=I. C'est la loi des débouchés de Say.
Selon l'approche keynésienne, I est bien (f) décroissante du taux d'intérêt mais S
ne dépend pas du taux d'intérêt mais du revenu. Autrement dit, ici
l'investissement dépendra de la demande et surtout des anticipations que
peuvent faire les entreprises sur celle-ci. Il y a là le traditionnel déséquilibre
keynésien. Dans cette optique, rien ne sert à favoriser l'investissement s'il n'y a
pas de perspectives de demande! On est à l'opposé de la loi de Say qui dit que
l'offre crée sa propre demande.
Mais la « relance keynésienne » par des dépenses publiques (mais pas que!)
pourra agir pour stimuler la demande globale. Voir effet multiplicateur
d'investissement.
Dernier point, la célèbre phrase de Schmidt, « les profits d'aujourd'hui sont les
investissements de demain et les emplois d'après-demain », montre une logique
d'entreprise exigeant un partage préalable de la valeur ajoutée au profit (c'est le
cas de le dire) des entreprises. Sauf que rien n'oblige les entreprises à utiliser
leurs bénéfices pour investir, si ce n'est par d'éventuelles incitations fiscales et,
encore, des perspectives de demande.
En effet, le taux d'intérêt réel est la rémunération perçue lorsque l'on renonce
à disposer d'une unité de biens aujourd'hui pour n'en disposer qu'à une date ultérieure.
C'est aussi le prix à payer pour bénéficier d'une unité de biens maintenant plutôt qu'à
une date ultérieure.
L'arbitrage inter temporel fonctionne sur le même principe que n'importe quel
arbitrage : lorsque le prix d'un bien 1 augmente par rapport à celui d'un bien 2, deux
effets se conjuguent. Premièrement, à pouvoir d'achat constant, chaque consommateur
est incité à acheter moins de bien 1 et davantage de bien 2 ; c'est l'effet de substitution.
Deuxièmement, le pouvoir d'achat est aussi affecté par la modification de prix relatif : il
diminue si le prix du bien 1 augmente alors que celui du bien 2 reste constant, augmente
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si le prix du bien 2 diminue et celui du bien 1 reste constant, et varie dans un sens qui
dépend de l'utilisation initiale du revenu si les deux prix varient en sens inverse. Quelle
qu'en soit la direction, la variation du pouvoir d'achat global se répercute sur la
demande. Ce second effet est appelé effet de revenu
Le taux d'intérêt est en général annuel, mais il peut tout aussi bien être
mensuel. Il faut donc en principe préciser la période concernée par ce prix. Cependant,
quand on ne précise pas, on suppose implicitement qu'il s'agit d'un taux annuel.
Taux d'intérêt nominal et taux d'intérêt réel : le taux d'intérêt nominal est celui
qui est fixé lors de l'opération d'emprunt ou de prêt, celui qui est inscrit dans le contrat
qui lie emprunteur et prêteur, et celui qui est payé par l'emprunteur au prêteur. Mais, au
fil du temps, l'inflation vient grignoter la valeur réelle des sommes prêtées et
remboursées. On calcule donc le taux d'intérêt réel en corrigeant le taux d'intérêt
nominal des effets de l'inflation. Concrètement, quand le taux d'inflation est relativement
faible, on peut se contenter, par approximation, de soustraire le taux d'inflation au taux
d'intérêt nominal pour obtenir le taux d'intérêt réel (mais, mathématiquement, ce procédé
n'est pas correct, même s'il donne des résultats très proches de ceux calculés
correctement sur le plan mathématique). La plupart du temps, on ne vous demandera
pas de calculer le taux d'intérêt réel. Mais il faut toujours savoir si l'on parle du taux
d'intérêt nominal ou réel : si le taux nominal est de 6% et le taux d'inflation de 4%, le
taux d'intérêt réel n'est que de 2% environ ...
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https:// https://ses.webclass.fr/notions/taux-dinteret/
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Ces baisse peuvent être explique par la volonté manifeste des autorités
congolaises par l’entremise de la banque centrale du congolaise de rendre accessible
l’acquisition d’un crédit des agents économique.
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= tendance haussière
= tendance baissière
Conclusion
Nous voici à la fin de ce travail pratique dont la tâche était d’élucider la relation existante
entre d’une part les investissements et de l’autre le taux d’intérêt. Et nos analyse nous a
permis de comprendre que pendant les trois premières années de notre étude soit
l’année 2008, 2009, 2010 il y a pas eu des liens entre les investissements et le taux
d’intérêt il se pourrait les investissements soient influencés par d’autres déterminants la
dernière période soit de 2011 à 2012, il y a eu relation entre nos deux variables d’étude.