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2.1. Positionnement
2.1.1. Notion
• Le positionnement fonctionnel
• Le positionnement psychologique
Le positionnement psychologique quant à lui est un
positionnement qui s’appuie sur les motivations profondes
des consommateurs plutôt que leur besoin réel.
• Le positionnement symbolique
Le positionnement symbolique est un positionnement marketing
qui s’appuie sur le sentiment d’appartenance pour dédier
le produit à un groupe de consommateurs.
C’est aussi un outil interne qui définit les valeurs que vous
souhaitez transmettre à votre cible, Pourquoi les
consommateurs vous choisissez vous plutôt que quelqu’un
d’autre ?
A cet effet, ce positionnement sert de fil conducteur pour la
mise en place de vos stratégies de marketing et de
communication.
- Identifier un de vos stratégies
- Comprendre votre concurrence
- Crée une déclaration de positionnement de la marque
- Evaluer l’énoncé de positionnement de votre marque
1
(Mieux piloter l’hôpital : les tableaux de bords)
2
chapitre 2 du livre sociologie de la santé, 2004 page 27 à 40 de
Danièle Carricabure, Marie Ménoret.
Plusieurs de ses ouvrages font autorité pour aborder l’histoire de
l’hôpital de l’hôpital.
Ses travaux ont fortement influencé l’histoire des hôpitaux : celle-ci
s’attache en particulier à l’analyse de formes d’assistance et aux
questions d’administration, sans négliger l’histoire des personnels et
des populations hospitalisées ni la diffusion des pratiques médicales
ou encore les spécificités locales.
Toutefois, cette histoire peut s’enrichir, pour la période la plus
récente, des apports de la sociologie et de l’économie de la santé et
s’ouvrir ainsi à l’ensemble des services sociales.
Cette démarche nous semble d’autant plus pertinente si l’on souhaite
comprendre la place de l’hôpital dans nos sociétés et l’attachement
des populations et de professionnels à ces établissements. Mais
l’hôpital est aussi un lieu de tensions qui sont la reproduction, plus ou
moins fidèle, de tensions de nos sociétés. Tout en adoptant le regard
du sociologue, du gestionnaire et de l’historien, il est possible
d’insister sur un certain nombre de traits propres à l’hôpital au XXe
siècle.
Ainsi, faire l’histoire de l’hôpital à l’époque contemporaine, c’est
souligner tout d’abord la continuité des missions de l’hôpital, lieu
d’accueil de populations rendues vulnérables par la maladie ou par
leur place dans la société (populations âgées, handicapées etc…). Ce
faisant, l’hôpital dévient le miroir de nos sociétés, en particulier des
problèmes ou des défaillances que l’ordre social ne parvient pas à
prendre en charge. L’histoire de l’hôpital permet ensuite de retracer
le nombre des conquêtes dans le domaine de la santé : la diffusion de
l’asepsie et de l’antisepsie dès la fin du XIXe siècle, la médicalisation
de l’accouchement ou, au cours du XXe siècle, l’épanouissement
d’une médecine de pointe. Plutôt que retracer rapidement l’histoire
de ces activités et de ces vocations, nous préférons insister sur la
double dimension de l’hôpital, à la fois institution et organisation, et
montrer, à partir de ces cadres, comment son histoire se singularise
dans l’histoire de la santé à l’époque contemporaine.
Notre propos ici ne sera pas de retracer une histoire déjà bien
connue dans ses grandes lignes, qui va du lieu d’accueil au lieu de
soins, de l’établissement géré par les communes, ni de s’attacher aux
mutations des fonctions hospitalières. Nous souhaiterions plutôt
mettre en avant les problèmes spécifiques à l’hôpital en tant
qu’institution et organisation.
L’institution hospitalière a subi au cours du XXe siècle des
transformations majeures qui résultent des transformations de la
société, des attentes en matière de soins et des inflexions des
politiques publiques en matière de santé. L’organisation de l’hôpital a
été bouleversée par la modernisation continue de l’offre
thérapeutique et l’épanouissement d’une médecine de pointe qui
s’appuie sur des technologies de plus en plus sophistiquées. Ces
changements ont rapidement exigé, notamment en raison de leurs
couts pour la collectivité et des exigences de qualité et de sécurité
sanitaire, la recherche et l’élaboration de méthodes de gestion et de
management spécifiques au monde hospitalier.3
3
(Sophie Chauveau, dans Les tribunes de la santé 2011, n°33, page 81
à 89)
spécialisés. L’hôpital est un agent de propagation des soins,
permettant une amélioration de l’état de santé des populations.
4
W.w.w.vie-publique.fr » fichier » 378
2.2.6. Classification des institutions hospitalières
Les institutions peuvent être classées par affiliation et par fonction,
par origine (créées à l’échelon de la collectivité ou de l’Etat), par type
d’organisation (formelle et informelle), et par le degré d’importance
pour le ménage. Le site établit un classement des établissements de
santé et met à disposition les avis et les évaluations des internautes.
L’évaluation porte sur quatre critères : qualité de l’accueil,
information du patient, hygiène, prise en charge de la douleur. 17
décembre.2018
2.3. Marché
2.3.1 Notion
La démarche mercatique est toute entière fondée sur la
connaissance duquel l’entreprise destine les produits qu’elle
fabrique. Il faut donc savoir ce que recouvre cette notion, qu’il a
des sens différents selon le domaine dans lequel elle est utilisée.
A la base de l’économie de marché, on retrouve donc trois
centrales, innocentes en apparence, mais lourds d’implications au
plan de la philosophie d’approche des marchés :
1.1. Localisation
La ville de Kinshasa s’étend sur une superficie de 9.965 kilomètre
carré , le long de la rive méridionale du « Pool Malabo » et constitue
un immense croissant couvrant une surface plane peu élevée avec une
altitude moyenne d’environ 300m. Située entre les latitudes 4° et 5° et
entre les longitudes Est 15° et 16°32, la ville de Kinshasa est limitée :
à l’Est par les provinces de Mai-Ndombe, Kwilu et Kwango ;
à l’Ouest et au Nord par le fleuve Congo formant ainsi la fron-
tière naturelle avec la République du Congo Brazzaville ;
au Sud par la province du Kongo Central.
1.2. Climat
Tenant compte de sa basse altitude, Kinshasa beigne dans un climat
tropical chaud et humide, avec une température annuelle moyenne de
25°C et une pluviométrie annuelle moyenne de 1.400 mm. Il pleut à
Kinshasa, en moyenne 112 jours l’an avec un point culminant de 18
jours de pluies en avril. La ville connaît deux saisons : une saison
pluviale et une saison sèche. La saison des pluies s’étend entre mi-
septembre et mi-mai, avec des pics de fortes précipitations dans les
mois de novembre et avril. La saison sèche, relativement courte,
couvre la période de mi-mai à mi-septembre. L’humidité relative de
l’air a une moyenne générale de 79%.
1.3. Relief
La ville de Kinshasa est construite sur un site topographique
contrasté, parce qu’à la fois confortable (la plaine : la ville basse) et
contraignant (les collines : la ville haute). Le relief est composé
d’une plaine marécageuse et alluviale dont l’altitude varie entre 275
et 300 m et d’une région des collines d’une altitude allant de 310 m à
370 m constituée des Monts -Ngafula, Ngaliema, Amba et les
plateaux de kimwenza et de Binza.
1.4. Hydrographie
Le réseau hydrographique de la ville de Kinshasa comprend le fleuve
Congo et ses principaux affluents de la rive gauche qui, pour la
plupart, sillonnent la ville du Sud vers le Nord. Il s’agit principalement
des rivières Lukunga, Ndjili, Nsele, Bombo ou Mai-Ndombe et la
Mbale. Ces rivières sont actuellement polluées suite à la carence
d’assainissement adéquat et à la pression démographique de la ville.
1.6. Végétation
La végétation initiale, dans plusieurs zones de Kinshasa, fut
constituée de forêts galeries d’une part et de formations herbeuses
d’autre part. Les forêts galeries longeant les principaux cours d’eau,
étant dans les vallées humides et de type ombrophile guinéo
congolaise, ne sont plus que des jachères pré forestières fortement
dégradées, intensivement exploitées et se présentent sous forme des
recrus forestiers d’âges divers. Par ailleurs, un petit groupe végétal
typiquement rudéral longe les rails de la voie ferrée sur une bande de
quelques mètres de largeur.
Dans l’ensemble, les observations de terrain révèlent la discontinuité
et la répétition de la couverture végétale. La région de Kinshasa
héberge différents types de végétations : forestière, herbeuse, rudérale
et aquatique. Chaque type de végétation étant lié à un certain nombre
de paramètres écologiques.