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Chapitre 4 : LES COMMANDES DE BASE o $ : signifie que vous êtes en train d'utiliser un compte utilisateur « normal », avec des

droits limités (il ne peut pas modifier les fichiers système les plus importants). Mon
compte mateo21 est donc un compte normal avec des droits limités ;
I – ENTRER UNE COMMANDE o # : signifie que vous êtes en mode superutilisateur, c'est-à-dire que vous êtes connectés
sous le pseudonyme « root ». Le root est l'utilisateur maître qui a le droit de tout faire
sur sa machine.
1 – La console
Depuis l'invention de l'interface graphique, on pourrait se demander pourquoi on n'a pas supprimé la
console (sous-entendu : « Elle ne sert plus à rien »). C'est là que beaucoup se trompent complètement 3 - Commandes et paramètres
: on met un peu de temps à s'y faire, mais quand on sait s'en servir, on va beaucoup plus vite avec la On travaille dans la console en tapant ce qu'on appelle des commandes. La plupart des
console qu'avec l'interface graphique. C'est même pire en fait : vous vous rendrez compte à un moment commandes « courantes » et, pour les moins courantes ont leur aide dans le manuel d'utilisation.
qu'il y a des choses que seule la console peut faire et qu'il serait de toute façon vraiment inutile de
recourir à une interface graphique pour les effectuer. Une commande simple
Un exemple : En mode graphique, allez dans un répertoire qui contient beaucoup de fichiers en tout Elle concerne un mot ou groupe de mot qui permet d’exécuter une commande. Par exemple, tapez
genre : des fichiers texte, des images, des vidéos… Vous voudriez savoir combien il y a d'images date puis appuyez sur la touche Entrée du clavier.
JPEG dans ce dossier : pas facile hein ? Le résultat devrait ressembler à cela :
En console, en assemblant quelques commandes, on peut obtenir ce résultat sans problème ! mateo21@mateo21-desktop:~$ date
ls -l | grep jpg | wc -l lundi 20 septembre 2010, 15:39:51 (UTC+0200)
510 La première ligne contient l'invite de commandes suivie de la commande date. La seconde ligne est
la réponse de l'ordinateur à cette commande. La commande permet d’afficher la date et l’heure actuelle
de l’ordinateur.
2 - L'invite de commandes Essayons une toute autre commande : tapez ls. C'est l'abréviation de « list », qui signifie « lister les
fichiers et dossiers du répertoire actuel ».
mateo21@mateo21-desktop:~$ ls
Desktop Examples Images
À partir de maintenant, nous allons voir le texte affiché en console dans des encadrés comme
celui-ci : Cela signifie que le répertoire actuel est constitué de trois dossiers : Desktop, Examples et
mateo21@mateo21-desktop:~$ Images. En général, le système colore les éléments pour que l'on puisse distinguer facilement les
Ça, c'est ce que vous voyez à l'écran. dossiers des fichiers. Si vous n'avez aucune réponse, c'est que vous êtes dans un dossier qui ne contient
Ce que vous voyez là est ce qu'on appelle l'invite de commandes. C'est un message qui vous invite à ni fichier ni dossier.
rentrer une commande en vous donnant par la même occasion une foule d'informations. Cette invite
s'affiche avant chaque commande que vous tapez. Voilà, c'est aussi simple que cela. Une commande est constituée d'un mot et ne contient aucun
Bien : décortiquons cette invite de commandes parce qu'elle est très intéressante. espace. Dans des cas très simples comme ceux que l'on vient de voir, il suffit juste de taper la
 mateo21 : le premier élément est votre pseudonyme. C'est le pseudo sous lequel vous vous êtes commande pour avoir une réponse ; mais dans la quasi-totalité des cas on peut (et parfois on DOIT)
loggés. En effet, rappelez-vous : on peut créer plusieurs comptes utilisateurs sous Linux. Il est rentrer des options, qu'on appelle paramètres.
en général conseillé d'en générer un par personne susceptible d'utiliser l'ordinateur (un pour
chaque membre de la famille, par exemple). Les paramètres
 @ : ce symbole n'indique rien de particulier. C'est le symbole « at » qui signifie « chez ». Si on Les paramètres sont des options que l'on écrit à la suite de la commande. La commande et les
lit l'invite de gauche à droite, on doit donc comprendre « mateo21 chez ». paramètres sont séparés par un espace, comme ceci :
 mateo21-desktop : ça, c'est le nom de l'ordinateur sur lequel vous êtes en train de travailler. mateo21@mateo21-desktop:~$ commande parametres
Dans le cas actuel, il s'appelle mateo21-desktop, Les paramètres peuvent eux-mêmes contenir des espaces, des lettres, des chiffres… un peu de
 : : à nouveau, ce symbole ne veut rien dire de spécial, c'est un séparateur. tout, en fait. Il n'y a pas de règle véritable sur la forme des paramètres, mais heureusement les
 ~ : ça, c'est le dossier dans lequel vous vous trouvez actuellement. Vous pouvez naviguer de programmeurs ont adopté une sorte de « convention » pour que l'on puisse reconnaître les différents
dossier en dossier dans la console et il est très utile qu'on vous rappelle systématiquement où types de paramètres.
vous vous trouvez avant chaque commande.
Pour information, le symbole ~ signifie que vous êtes dans votre dossier personnel, ce qu'on Les paramètres courts (une lettre)
appelle le « home » sous Linux ; c'est l'équivalent du dossier « Mes documents » de Windows. Les paramètres les plus courants sont constitués d'une seule lettre précédée d'un tiret. Par exemple :
 $ : ce dernier symbole est très important ; il indique votre niveau d'autorisation sur la machine. commande -d
Il peut prendre deux formes différentes : Si on doit donner plusieurs paramètres, on peut faire comme ceci :
Commande –d -a -U -h
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Ou, plus court : .bashrc .gnome2 .recently-used.xbel
commande -daUh .config .gnome2_private .ssh
Attention à la casse des paramètres (majuscules / minuscules). Si vous écrivez -u, cela n'a en Desktop .gstreamer-0.10 .sudo_as_admin_successful
général pas du tout le même sens que –U. .dmrc .gtkrc-1.2-gnome2 .themes
Faisons un essai avec la commande ls et rajoutons-lui le paramètre « a » (en minuscule) : .esd_auth .ICEauthority .thumbnails
mateo21@mateo21-desktop:~$ ls -a .evolution .icons .Trash
. .gconfd .mozilla-thunderbird Examples .lesshst tutos
.. .gimp-2.2 .nautilus .face .local .update-manager-core
.bash_history .gksu.lock .profile .fontconfig .macromedia .update-notifier
.bash_logout .gnome .recently-used .gaim .metacity .Xauthority
.bashrc .gnome2 .recently-used.xbel .gconf .mozilla .xsession-errors
.config .gnome2_private .ssh
Desktop .gstreamer-0.10 .sudo_as_admin_successful Comme vous le voyez, --all est un synonyme de -a. Ceci illustre ce est dit plus haut comme
.dmrc .gtkrc-1.2-gnome2 .themes quoi parfois une commande propose deux façons d'utiliser un paramètre : une courte et une longue.
.esd_auth .ICEauthority .thumbnails
.evolution .icons .Trash Les valeurs des paramètres
Examples .lesshst tutos Certains paramètres nécessitent que vous les complétiez avec une valeur. Cela fonctionne
.face .local .update-manager-core différemment selon que vous travaillez avec un paramètre long ou avec un paramètre court.
.fontconfig .macromedia .update-notifier Avec un paramètre court :
.gaim .metacity .Xauthority commande -p 14
.gconf .mozilla .xsession-errors
Cela indique que l'on associe la valeur 14 au paramètre p. Avec ce genre de technique, on peut par
Cela affiche tout le contenu du dossier, même les fichiers cachés. exemple faire comprendre à l'ordinateur : « Je veux voir la liste de tous les fichiers de plus de
Un « fichier caché » sous Linux est un fichier qui commence par un point. Normalement, si vous vous 14 Mo ».
trouvez dans votre répertoire home, vous devriez avoir une bonne flopée de fichiers cachés. Ce sont
en général des fichiers de configuration de programmes. Si c'est un paramètre long, on fait en général comme ceci :
commande --parametre=14
Les paramètres longs (plusieurs lettres) Le résultat sera le même, il est juste plus lisible mais aussi plus long à écrire.
Les paramètres constitués de plusieurs lettres sont précédés de deux tirets, comme ceci :
commande --parametre
4 - Retrouver une commande
Cette fois, pas le choix : si vous voulez mettre plusieurs paramètres longs, il faudra ajouter un espace Linux propose tellement de commandes différentes qu'il est facile de s'y perdre et d'en oublier une.
Personnellement, ça m'arrive très régulièrement, mais ce n'est heureusement pas un drame. En effet,
entre chacun d'eux :
commande --parametre1 --parametre2 Linux vous propose toute une série de façons de retrouver une commande que vous avez oubliée.

On peut aussi combiner les paramètres longs et les paramètres courts dans une commande : Autocomplétion de commande
commande -daUh --autreparametre Elle permet de compléter le début de la commande tapé.

Il y a parfois deux écritures possibles pour un paramètre de commande : une version courte et Lister les commandes correspondantes
une version longue. Cela permet de vous laisser le choix selon que vous préférez l'une ou l'autre. En reprenant la commande sur la date, tapez juste « da » dans la console, puis tapez deux fois sur la
Notez que c'est la commande qui décide des paramètres qu'elle accepte : il arrive parfois que certaines touche Tabulation située à gauche de votre clavier. Le résultat sera le suivant :
ne proposent pas le choix entre une version courte et une longue. mateo21@mateo21-desktop:~$ da
dash date
Testons cela sur la commande ls avec le paramètre --all, qui signifie « tout » en anglais : mateo21@mateo21-desktop:~$ da
mateo21@mateo21-desktop:~$ ls --all
En tapant deux fois sur Tabulation, vous avez demandé à l'ordinateur la liste des commandes
. .gconfd .mozilla-thunderbird
qui commencent par « da ». Les commandes sont « dash » et « date ». Il y a donc deux commandes
.. .gimp-2.2 .nautilus
qui commencent par « da », et vous venez de retrouver celle que vous cherchiez, c'est-à-dire « date ».
.bash_history .gksu.lock .profile
Vous n'avez plus qu'à compléter avec les lettres « te » qui manquent et à taper Entrée.
.bash_logout .gnome .recently-used

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L'autocomplétion  nom de la personne propriétaire du fichier (là, c'est moi !). Si le fichier avait été créé par
Plus sympa encore, s'il n'y a qu'un seul résultat correspondant à votre recherche, l'ordinateur quelqu'un d'autre, par exemple Patrick, on aurait vu son nom à la place ;
complètera avec les lettres qui manquent et vous n'aurez plus qu'à taper sur Entrée. Par exemple, il n'y  groupe auquel appartient le fichier (on en reparlera dans le chapitre sur les droits). Il se peut
a qu'une commande qui commence par « dat ». Tapez donc dat dans la console, puis appuyez une que le nom du groupe soit le même que celui du propriétaire ;
seule fois sur Tabulation. La commande se complète comme par magie.  taille du fichier, en octets ;
 date de dernière modification ;
II – LES COMMANDES SUR LES REPERTOIRES  nom du fichier (ou dossier).
1 - pwd : afficher le dossier actuel -h : afficher la taille en Ko, Mo, Go…
Lorsque vous ouvrez la console pour la première fois, Linux vous place dans votre dossier Quand on fait un ls -l, la taille est affichée en octets. Seulement, ce n'est parfois pas très lisible.
personnel, votre home. -t : trier par date de dernière modification

Pwd est l'abréviation de « Print Working Directory », c'est-à-dire « Afficher le dossier actuel ».
C'est une commande très simple qui ne prend aucun paramètre. 4 - cd: changer de dossier
mateo21@mateo21-desktop:~$ pwd cd est l’abréviation de Change Directory (changer de dossier). C'est une commande très
/home/mateo21 importante que vous allez utiliser quelques milliers de fois dans votre vie (au moins). Contrairement
à ls, la commande cd ne prend pas plein de paramètres mais juste un seul : le nom du dossier dans
lequel vous souhaitez aller.
2 - which : connaître l'emplacement d'une commande Si on veut aller à la racine, il suffit de taper cd / :
Elle vous permet de localiser la position du programme correspondant à une commande. En effet, Si on veut aller dans le répertoire parent, il suffit de taper cd ..
chaque commande sous Linux correspond à un programme. Ainsi, pwd qu'on vient de voir est un
programme. Il y a en fait deux façons de changer de dossier : en indiquant un chemin relatif, ou en indiquant
un chemin absolu.
Une commande n'est rien d'autre qu'un programme qu'on peut appeler n'importe quand et
n'importe où dans la console. Les chemins relatifs
La commande which prend un paramètre : le nom de la commande dont vous voulez connaître Un chemin relatif est un chemin qui dépend du dossier dans lequel vous vous trouvez.
l'emplacement. Les chemins absolus
mateo21@mateo21-desktop:~$ which pwd Contrairement aux chemins relatifs, les chemins absolus fonctionnent quel que soit le dossier dans
/bin/pwd lequel on se trouve.
Un chemin absolu est facile à reconnaître : il commence toujours par la racine (/). Vous devez ensuite
Pwd se trouve donc dans le dossier/bin/ ! Le « pwd » à la fin n'est pas un dossier mais le nom du faire la liste des dossiers dans lesquels vous voulez entrer. Par exemple, supposons que je sois
programme lui-même. dans/home/mateo21 et que je souhaite aller dans/usr/games. Avec un chemin absolu :
mateo21@mateo21-desktop:~$ cd /usr/games
Tous les programmes ne sont pas situés dans un même dossier. Pour s’en rendre compte, on peut tester mateo21@mateo21-desktop:/usr/games$
l'emplacement d'une autre commande comme par exemple la commande which.
mateo21@mateo21-desktop:~$ which which
/usr/bin/which

3 - ls : lister les fichiers et dossiers


ls est une commande qui permet de lister le contenu d’un répertoire.

La commande ls accepte un grand nombre de paramètres parmi lesquels :


-a : afficher tous les fichiers et dossiers cachés
-F : indique le type d'élément
-l : liste détaillée
Il y a un élément par ligne.
Chaque colonne a sa propre signification. De gauche à droite : Retour au répertoire home
 droits sur le fichier (on verra après comment fonctionnent les droits sous Linux) ; Si vous voulez retourner dans votre répertoire home personnel, plusieurs solutions s'offrent à vous.
 nombre de liens physiques (cela ne nous intéresse pas ici) ; La brutale : il suffit d'écrire le chemin absolu en entier. Cela donne :

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mateo21@mateo21-desktop:/usr/games$ cd /home/mateo21/  NomDuDossier est le dossier que vous voulez supprimer
mateo21@mateo21-desktop:~$ Si aucune option n’est fournie, rmdir supprime simplement le répertoire dont le nom est fourni
comme destination.
La maligne : plus court et plus pratique, vous pouvez utiliser l'alias ~ qui signifie la même chose.
L’option -p vous permet de supprimer des répertoires ainsi que leurs dossiers parents.
Cela donne :
mateo21@mateo21-desktop:/usr/games$ cd ~ rmdir -p Dir1/Dir2/Dir3
mateo21@mateo21-desktop:~$ Cette commande supprimera Dir3 et ses dossiers parents Dir2 et Dir1.
L’option -v produit un texte de diagnostic pour chaque dossier traité. L’utilisation de cette option
La super maligne : si vous ne mettez aucun paramètre à la commande cd, ça vous ramène aussi dans produira une confirmation listant tous les répertoires qui ont été supprimés.
votre répertoire personnel. L’option -r supprime récursivement les fichiers et sous répertoires contenus dans le dossier
mateo21@mateo21-desktop:/usr/games$ cd parent.
mateo21@mateo21-desktop:~$

Autocomplétion du chemin 8 – History


Il permet de compléter le chemin par le mot correspondant dans une commande. Pour cela, vous devez
saisir une partie et taper sur la touche tabulation. Il faut de ce fait que le mot soit le seul commençant La commande history est une commande POSIX (commune à toutes les distributions
par les lettres saisies. type Unix) qui permet de remonter dans les commandes que nous avons passées.
Il vous arrive probablement souvent de remonter vos commandes pour les réexecuter avec le "UP"
5 – clear : Effacer l’écran (flèche du haut) de votre clavier, vous faites ainsi défiler l'ensemble des commande que vous avez
exécutées. Cela est possible grâce à "history". En effet, quand vous passez une commande, celle-ci
clear est une commande UNIX permettant de replacer la ligne de commande en haut de l'écran. est stockée dans un fichier du nom de ".history" du répertoire "home/$User".Si l'utilisateur "paul"
Les commandes effectuées sont toujours visibles en remontant la page. Ainsi pour effacer tape les commandes "ls"et "cd /", celles-ci seront stockées dans le fichier "/home/Paul/.history" et
complètement la page, c'est la commande reset qu'il faut utiliser, son effet est le même que celui de quand Paul voudra remonter dans ses commandes, c'est le processus et le fichier ".history" qui
la commande cls sous Windows. l'aideront.
La commande clear trouve son utilité dans un environnement en ligne de commande où une
succession de commandes surchargera le terminal, limitant ainsi la lisibilité. Pour vider votre fichier ".history" afin que root ou un utilisateur avec certains privilèges ne puisse
plus voir les commandes que vous avez entrées, utilisez la commande:
history –c // -c : clean
6 – mkdir : création de repertoire Un autre moyen est de supprimer le fichier ".history" dans votre répertoire "/home/user":
L’une des commandes les plus courantes et les plus fondamentales de Linux est la commande
rm /home//.history
mkdir. La façon la plus élémentaire d’utiliser cette commande consiste à créer un ou plusieurs
Il faut savoir que sous Linux, quand vous mettez un "." devant un fichier, cela le rend invisible. Cela
répertoires. Si vous venez de Windows en tant que nouveau venu à Linux, vous connaissez
explique pourquoi un simple "ls" n'affiche pas ce fichier, il faut utiliser "ls -a".
probablement les répertoires sous forme de dossiers. La commande mkdir peut également faire
quelques autres choses avec les répertoires.
9 – CP
Pour utiliser la commande mkdir, l’utilisateur doit avoir la permission de créer des répertoires -r avec les sous répertoires
dans le répertoire parent.
Voici la syntaxe de la commande : mkdir [OPTIONS] [REPERTOIRE]
10 – MV
7 - rmdir
La commande utilisée pour supprimer les répertoires vides sous Linux est rmdir.
La syntaxe de base de rmdir est facile à saisir. Voici un exemple : 11 – Renommer un répertoire avec MV
rmdir [option] NomDuRépertoire
 rmdir est la commande
 [option] est un modificateur optionnel qui modifie le comportement de la commande

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