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Examen de la Pathologie Respiratoire Année : 2021-2022 ‘Semestre :2° Session :2° Durée :1h30min |- A propos de la tuberculose . , a Elle touche plus fréquemment le nourrisson et le sujet agé. B. Bille se transmet uniquement par voie respiratoire. C- La résistance du bacille de Koch aux antibacillaires augmente. [D- Bile prédomine en Australie et I’Asie. 2+ La primo-infection tuberculose se caractérise pat : A- La survenue chez I’adulte le plus souvent. Be L’absence fréquente de symptémes. C- L’association chancre d’inoculation et adénopathie satellite. D- L’évolution toujours vers une tuberculose évolutive. 3+ Les signes fonctionnels de la tuberculose pulmonaire sont : A- L’absence de toux. B+ Une dyspnée au moindre effort. C- Une fébricule le soir. D- Des sueurs noctumes. 4- L’examen clinique en cas de tuberculose pulmonaire : A- Peut montrer des rales ronflants. B- Ne trouve jamais de rales crépitants. C- Peut trouver un syndrome de condensation. D- Peut étre normale. 5- Les séquelles de tuberculose pulmonaire se traduisent par : A- Des opacités excavées & paroi épaisse. B- Des cavités bulleuses 4 paroi fine. C- Des nodules calcifiés. D- Des opacités étoilées rétractiles. 6- Le bilan pré-thérapeutique de tuberculose pulmonaire comprend : ‘A- Un examen clinique complet. B+ Une TDM thoracique systématique. C- Une sérologie HIV, D- Aucun bilan biologique. 7. Laposologie moyenne des antbacillares chez Padulte est : ‘Ac Isoniazide : Smp/Ke/jour. Be Rifampicine : 10 mg/Kg/jour. C- Pyrazinamide : 1Smg/Ke/jour. D- Ethambutol : Sme/Ke/jour. §. Letraitement symptomatique de lhémoptysie comprend : ‘Ac L'héparine de bois poids moléculaire. B- Les ant-vitamines K. C- Les hémostatiques. D- L’embolisation artérielle bronchique. 9- Les signes orientant vers une embolie pulmonaire aigue sont : Ac Un cancer évolutif. Be Une immobilisation prolongée. C- Une symptomatologie insidieuse depuis plusieurs mois. D- Une phiébite d’un membre inférieur a l'examen clinique. 10+ Les explorations qui confirment I’embolie pulmonaire sont : ‘A- Laradiographie thoracique. B- L’électrocardiogramme. C- Le dosage des D-Dimers. D- L’angioscanner pulmonaire. 11- Le cancer broncho-pulmonaire primitif : A- Le carcinome a petite cellule est le plus fréquent B- La bronchoscopie est une exploration majeure pour le diagnostic. C- Nécessite un bilan d’extension pour établir le stade de la maladie. D- Selon la classification TNM ; l’existence de métastase cérébrale permet de classer 4a tumeur au stade I. 12+ Le cancer broncho-pulmonaire primitif peut étre révélé par : A+ Une toux chronique. B- Récidive d’une pneumopathie dans le méme territoire, C- Douleur thoracique en rapport avec un envahissement pariétal. D- Atteinte du syste nerveux central. 13+ Le cancer broncho-pulmonaire primitif : A> La tomodensitométrie thoracique fait partie du bilan d’extension. B- Un nodule mesurant 3 em correspond 4 T3 de la classification TNM. C- TINOMO correspond au stade I de la classification TNM. D- TINOMI correspond au stade I de la classification TNM. 14- La broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) : A- Est définie par un rapport VEMS/CV inférieuf a 70% aprés test de réversibilité au bronchodilatateur. B- L’examen clinique retrouve des réles sibilants. C- Laradiographie thoracique est contre indiquée. D- Si non traitée évolue vers I’insuffisance respiratoire chronique. 15- Au cours de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) : * (A- L’examen clinique peut retrouver un tympanisme a la percussion. B- La surinfection bronchique est une cause d’ exacerbation. C- Le stade III de sévérité correspond 4 un VEMS supérieur 4 80%. D- Le sevrage tabagique occupe une place importante dans la prise en charge du patient. 16- L’exacerbation de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) : A- Est défini par une majoration des symptémes respiratoires. B- La pneumopathie en est une cause. C- Accélére la baisse du VEMS. D- Nécessite l’association du traitement de la cause d’ exacerbation au traitement de fond de la BPCO. 17- La sarcoidose : A- Est une granulomatose systémique. B- La localisation médiastino-pulmonaire est rare. C- Le type Il radiologique comporte les adénopathies hilaires isolées. D- La bronchoscopie permet de rechercher les granulomes endo bronchiques. 18- La sarcoidose : A> Le type I radiologique correspond a une radiographie thoracique normale. B- Est évoquée devant une dyspnée chronique. C- Est évoquée devant une uvéite. D- L’atteinte cardiaque met en jeu le pronostic vital. 19- L’insuffisance respiratoire chronique : A> Se définit par une pression artérielle en oxygéne (Pa 02) < 60 mm hg. B- Nécessite une gazométrie artérielle pour établir le diagnostic positif. C- Nécessite une spirométrie pour établir le diagnostic positif. D- Nécessite toujours une prise en charge en réanimation. >4nsuffisance respiratoire chronique : = * a Se init pr tne pression artérielle en dioxyde de carbone (Pa CO2) supérieure & 40mm hg. , ; -B: Pari les tiologies on note la cyphoscoliose manifeste. Nécesste la réalisation d'un bilan étiologique. D. Lronygénothérapie est indiquée si pression artérielle en oxygéne (Pa 02) est inférieure & 55 1m hg. 21+ Lesquelles des propositions suivantes sont vraies concernant I’asthme : ‘A- Les crises d’asthme surviennent souvent le soir ou tot Je matin B- Le dysfonctionnement des cordes vocales est un diagnostic différentiel C- La spirométrie objective un trouble ventilatoire restrictif D> Les B-bloquants sous forme de collyre peuvent déclencher une crise d’asthme 22- Parmi les médicaments suivant lesquels sont utilisés dans le traitement de fond de Vasthme : A- Les anti-leucotriénes B- L’adrénaline C- Uncorticoide inhalé associé 4 un bronchodilatateur inhalé de longue durée d'action D- Les anticholinergiques inhalés de longue durée d’action 23- Parmi les médicaments suivant lesquels peuvent étre utilisés dans le traitement d’une crise d’asthme : A> L’Oxygéne B- La corticothérapie par voie systémique C- L’adrénaline D- Les B2mimetiques de longue durée 24- Quels sont parmi les critéres suivants ceux qui permettent d’évaluer la sévérité d’une crise d’asthme : Ac La valeur du VEMS B- La dyspnée C- Lavigilance D- La fréquence respiratoire 25- Lesquelles des propositions suivantes sont vraies A- La symptomatologie respiratoire est souvent B- Le scanner thoracique est indispensable pour C La fibrose pulmonaire peut se compliquer 4° ul ‘un pneumothorax. D- La Mucoviseidose peut se compliquer dum pneumothorax, concernant le pneumothorax : bruyante et aigue ‘poser le diagnostic positif 26- Lesquelles des propositions suivantes sont vraies concernant le pneumothorax : ‘Ae Une biopsie pleurale peut se compliquer d’un pneumothorax iatrogéne B- Le drainage pleural est indiqué en premiere intention en cas de pneumothorax unilatéral total C- La symphyse pleurale (pleurodése), est préconisée aprés la troisiéme récidive d’un ‘pneumothorax D- La plongée sous-marine est contre indiquée aprés un épisode de pneumothorax 27- Lesquelles des propositions suivantes sont vraies concernant les adénopathies smédiastinales : A- Le diagnostic étiologique des adénopathies médiastinales est souvent facile B- L’examen clinique trouve parfois un Syndrome de Claude Bernard Homer C- La dysphagie est parmi les circonstances de découverte des adénopathies médiastinales D- La médiastinoscopie est parmi les moyens pour poser le diagnostic histologique 28- Lesquelles des propositions suivantes sont vraies concernant les étiologies des adénopathies médiastinales : ‘Ax La sarcoidose B- Une leucémie Ce Une primo-infection tuberculeuse D- Un lymphome 29- Parmi les facteurs de risque du syndrome d’apnée obstructif de sommeil (SAOS) on trouve : A- L’acromégalie B- L’hyperthyroidie C- Laménopause D- Larétrognathie 30- Parmi les complications du syndrome d’apnée obstructif de sommeil : Ac Un diabéte de type 2 B- Une hypotension artérielle C- La dépression ‘D- Un infarctus du myocarde 31- Lesquelles des propositions suivantes sont vraies concernant le syndrome d’apnée obstructives du sommeil (SAOS) : A- Lapnée est interruption du débit agrien de plus de 10 secondes B- Lapolygraphie ou la polysommographie sont indispensables pour poser le diagnostic positif C- L’orthése d’avancement mandibulaire est le traitement de référence D- Un index d’apnée hypopnée > 30/heure pose le diagnostic d’un SAOS sévére 32- Lesquelles des propositions suivantes sont vraies concernant le tabagisme : ‘A- La cigarette contient plusieurs produits carcinogénes B- Une évaluation de la dépendance est indispensable avant le sevrage tabagique C- Le cancer de la vessie est parmi les conséquences du tabagisme D- Les substituts nicotiniques sont les médicaments de sevrage de premiere intention. 33+Les infections respiratoires aigties basses communautaires (IRABC) : A- Représentent rarement un motif de consultation B- Les sinusites et les laryngites en font partie C- $"installent progressivement sur plusieurs semaines, voire plusieurs mois D- Leur sidge est sous-glottique 34-Les bronchites aigiies : A> Représentent moins de 10% des IRABC B- Sont souvent d'origine virale C- Doivent étre traitées par une antibiothérapie a large spectre D- Leur évolution est souvent favorable sous traitement symptomatique 35-Les pneumonies aigties communautaires : ‘A+ Sont responsables d°une mortalité importante B- Le pneumocoque en est rarement responsable C- Laradiographie thoracique permet souvent de faire le diagnostic D- La tuberculose pulmonaire en fait partie 36-Les pleurésies purulentes : A- Sont souvent une complication d’une pneumonie B- Peuvent compliquer un traumatisme thoracique ou une ponction pleurale C- S’accompagnent souvent d’une fiévre et une douleur thoracique D- La ponetion pleurale est nécessaire pour poser le diagnostic 37-Lors d’une pleurésie purulente : A+ Le scanner thoracique est indispensable au diagnostic B- Le liquide pleural est riche en lymphocytes C Le traitement doit étre démarré avant les résultats de I’étude microbiologique du liquide pleural D- Le drainage pleural constitue un moyen essentiel du traitement 38-L’abcés du poumon : ‘A- Est ume suppuration pulmonaire collectée dans une cavité néoformée B- Latoux et les expectorations purulentes font souvent partie des symptémes C- La CRP et les globules blancs sont rarement élevés D- L’antibiothérapie doit étre de trés courte durée 39-La dilatation des bronches : A> Se définit par une augmentation permanente et iréversible du diamére des Dbronches semi-proximales B- C'est une affection aigue C- Peut étre en rapport avéc une infection virale - L*hémoptysie de grande abondance permet d’écarter le diagnostic 40-La dilatation des bronches : A> Peut étre diagnostiquée fortuitement sans que le patient soit symptomatique B- L’examen clinique peut étre strictement normal C- Le scanner thoracique n’a pas d’intérét dans le diagnostic D- La kinésithérapie respiratoire est un moyen important du traitement 41-Lapleurésie & liquide clair : Ac Peut se manifester par une douleur thoracique B- Se traduit par des opacités hétérogénes bilatérales & la radiographie thoracique C- Le diagnostic est posé par la ponction pleurale D- Peut étre en rapport avec une métastase pleurale 42-La pleurésie & liquide clair : A> Se révéle a I’examen par une matité a la percussion et une accentuation des vibrations vocales B- Le scanner thoracique n’est pas indispensable pour le diagnostic C- Le liquide exsudatif est Rivalta négatif D- La corticothérapie est indiquée quel que soit étiologie 43- Concernant les pneumopathies infiltrantes diffuses (PID) : A- L’anamnése est un temps essentiel du diagnostic B- L’élément clé du diagnostic positif est l'imagerie thoracique C- Les examens para cliniques doivent étre hiérarchisés D- Les explorations fonctionnelles respiratoires ne sont pas indiquées 44- Les pneumopathies infiltrantes diffuses (PID) : A- Peuvent étre @origine infecticuse ou inflammatoire B- Peuvent se révéler par un pneumothorax C L’examen clinique trouve souvent des rales crépitants D- Le lavage bronchio-alvéolaire (LBA) fait partie des moyens diagnostiques 4&- A propos des PID chroniques : A> La sarcoidose, la fibrose pulmonaire idiopathique et les connectivites sont des étiologies fréquentes B- Le diagnostic étiologique peut faire appel a la chirurgie C- Les explorations fonctionnelles respiratoires peuvent révéler un trouble ventilatoire restrictif D- La corticothérapie au long cours fait partie des moyens thérapeutiques 4G-Une plaie thoracique par arme.a feu est : ‘A- Untraumatisme thoracique fermé. Be Un traumatisme thoracique pénétrant, C- La gravité du traumatisme est corrélée au diamitre de la plaie. ‘D- On peut reconstituer mentalement le trajet de Ja balle entre les orifices d’entrée et de sortie. 47-La décélération : ‘A> Est une transmission d’énergie suite & une explosion. B- Est une transmission d’énergie aprés arrét brutal d’un déplacement. C- Entraine une plaie thoracique. D- Entraine une rupture de l’isthme aortique. 48-La détresse circulatoire lors des traumatismes thoraciques a comme origine : ‘A- Une fracture costale. B- Un choc hémorragique. C- Une tamponnade. D- Un choc cardiogénique. 49-L’évaluation clinique d’un traumatisé thoracique : ‘A- Ne se fait qu’A l’admission du patient aux urgences. B- Doit débuter sur les lieux de l’accident. C- Se fait parallélement aux mesures de réanimation. D- S’intéresse exclusivement a l'appareil cardio-respiratoire. 50- Aprés I’évaluation clinique d’un traumatisé thoracique : ‘Ac Les patients stables bénéficieront d’un bilan paraclinique orienté. B- Les patients en état de choc bénéficieront des mesures de réanimation. C- Les patients en état de choc bénéficieront d’une thoracotomie de resuscitation. D- Les patients en état de mort apparente doivent étre conduits sans retard a la salle opératoire. 51-Les tumeurs médiastinales sont découvertes : ‘Ac Fortuitement lors d’un examen radiologique fait pour une autre pathologie. B- Lors d’un dépistage de masse chez la population générale. C- Suite 4 un syndrome médiastinal clinique, D- Suite A syndrome paranéoplasique. 52-Le syndrome médiastinal clinique : A- Est un syndrome parangoplasique. ~ B- EstI'ensenible des signes en rapport avec j i eicoaiae ‘@ compression, ]' is Virritation des organes dumédiastin, ea C- Son importance dépend de la nature de la tumeur médiastinale, D- Ne comprend que des signes respiratoires, 53-Concernant les tumeurs médiastinales, la tomodensitométrie (TDM) thoracique permet de: Ac Les localiser dans les différents compartments du médiastin, B- Préciser leur nature solide ou kystique. C- Préciser leur nature histologique. D- Préciser leurs rapports avec les organes de voisinage. 54- Les thymomes : Sont les tumeurs les plus fréquentes du thymus. Leur siége de prédilection est le médiastin postérieur. Se révélent dans certains cas par un tableau clinique de myasthénie. La chirurgie est indiquée dans les formes encapsulées. 55- Les tumeurs neurogénes du miédiastin : A- Siégent habituellement dans le médiastin postérieur. B- La myasthénie est fréquente dans ce genre de tumeur. C- La compression de la moelle épiniére est une complication a chercher. D- Sont toujours bénignes. ‘56- Cocher Ja (Jes) complication(s) du kyste hydatique pulmonaire (KHP) : “> A> La rupture dans les bronches. B- La rupture dans la plévre. C- La transformation en carcinome épidermoide. D- Les réactions immuno-allergiques. 57- Le kyste hydatique pulmonaire : A> Est dil Ja forme larvaire de I’Echinococcus granulosus, B- Les ceufs du tenia sont ingérés par voie orale. C- La vomique hydatique est un signe clinique pathognomonique, D- Le kyste plein donne une image en « nenuphar » & la radiographie. 58 Cocher les mesures préventives de la maladie hydatique. A- Foumir l’accés a l’eau potable. B- Laver les aliments et surtout les crudités, C- Lutter contre les chats errants, D- Laver les mains. 59-La pachypleurite est : Ac Un épaississement de la plevre pariétale. B- Un épaississement des bronches, C- Un épaississement des parois alvéolaires, D- Secondaire A un dépét de fibrine. 60-Cocher les complications des séquelles bronchiques de la tuberculose Ac Colonisation chronique par le Pseudomonas aerunigosa. B- Colonisation chronique par le Streptococcus pneumoniae. C- Colonisation par ’Echinoccocus granulosus, D- Les hémoptysies.

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