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TD DE RADIOLOGIE

Cas n°1

Patient de 34ans victime d’un AVP avec


traumatisme fermé du membre supérieur
droit.
Un bilan radiologique est réalisé.
Cas n°1
Cas n°1
● C’est une radiographie de l’avant-bras droit de face et
de profil.
● Interprétation:

● Solution de continuité avec trait de fracture


oblique au niveau de la diaphyse radiale,
angulation et déplacement du fragment distal en
avant et chevauchement des fragments
fracturaires.

● Déplacement en arrière de l’extrémité inférieure


de l’ulna (cubitus) qui perd le contact avec le
Cas n°1
Diagnostic final:
● Fracture diaphysaire déplacée du radius
avec luxation ulno-carpienne et disjoction
radio-ulnaire.
Cas n°2

Patiente de 65ans qui consulte pour des gonalgies


gauches exacerbées à la marche:
● Examen clinique: douleur à la mobilisation du genou
gauche, sans signes inflammatoires locaux.
● Un bilan radiologique est demandé
Cas n°2
Cas n°2

C’est une radiographie du genou gauche de


face, en charge
Interprétation:
Pincement de l'interligne articulaire fémoro-tibial,
prédominant au niveau du compartiment interne
(traduit la diminution d'épaisseur et la détérioration
des cartilages).
Ostéocondensation épiphysaire qui intéresse la lame
osseuse sous-chondrale.
Ostéophytose marginale qui intéresse les zones de
décharge épiphysaire
Cas n°2

Diagnostic final:
● Gonarthrose fémoro-tibiale gauche.
Cas n°3

Patient de 24ans qui consulte pour


tuméfaction de l’extrémité inférieure de la
cuisse gauche.
Un examen radiologique est réalisé.
Cas n°3
Cas n°3
Radiographie de la cuisse gauche de
face:
Interprétation:
Présence de deux excroissances osseuses:
La première est pédiculée: nait de la face
interne de la corticale de la métaphyse
inférieure du fémur et se dirige vers la
diaphyse; la corticale et le spongieux de
l'exostose et de l'os adjacent sont en
continuité.
La deuxième est sessile: nait de la face
externe de la corticale de la métaphyse
inférieure du fémur.
Cas n°3

Diagnostic final:
Maladie exostosante familiale
autosomique dominante.
Cas n°3

Complications:
● Transformation maligne en
chondrosarcome
● Compression vasculo-
nerveuse, pseudo-anévrysme.
● Bursite.
Cas n°4

Patient de 16ans qui présente des douleurs du


genou droit.
Cas n°4
Cas n°4

Radiographie de la jambe droite de face et


de profil
Interprétation:
Présence d’une ostéolyse entourée d’un liseré de
condensation (ostéosclérose marginale) qui siège
au niveau de la corticale postéro-interne de la
métaphyse supérieure du tibia, sans réaction
périostée.
Cas n°4

Diagnostic final:
● Cortical défect
Cas n°5

Patient de 60ans, tabagique chronique, suivi


depuis un an pour cancer du poumon et qui
présente des douleurs au niveau de la hanche
droite.
Cas n°5
Cas n°5

● C’est une TDM du bassin réalisée en


coupes axiales après injection de produit
de contraste, en fenêtres parties molles.
Interprétation:
● Présence d’un processus de densité
tissulaire rehaussé après injection de
produit de contraste de façon hétérogène,
au niveau de l’aile iliaque droit avec lyse
corticale et extension au cotyle, au pelvis
et aux parties molles adjacentes.
Cas n°5

Diagnostic final:
Métastase osseuse (localisation
secondaire) de cancer du poumon.

Quel examen complémentaire à réaliser


après ce diagnostic et pourquoi?
Cas n°5

SCINTIGRAPHIE :

● Sensible mais non


spécifique.
● Recherche de localisations
multiples
Un chondrome
1. Est une tumeur osseuse bénigne développée au dépend du tissu
cartilagineux.
2. Est une tumeur osseuse maligne agressive.
3. Se présente sou forme d’une ostéolyse centro osseuse.
4. siège principalement au niveau des mains ( phalanges ) et pieds.
5. Aucune de ces propositions.
Un osteochondrome ou exostose

1. Est une tumeur osseuse bénigne.


2. Est une tumeur osseuse maligne
3. la plus fréquente des tumeurs bénignes.
4. Se présente sous forme d’une excroissance osseuse en
continuité avec le reste de l’os, surmontée d’une coiffe
cartilagineuse radio transparente.
5. Siege le plus souvent au niveau des métaphyses des os longs
L’ ostéome ostéoide
. Est une tumeur osseuse bénigne.
. Est une tumeur osseuse maligne.
. Caractérisé par des douleurs nocturnes calmées par les
salicylés
. se présente radiologiquement sous forme d’une petite
lacune (nidus)
bien limitée, homogène, ronde ou ovalaire entourée d’une
zone
d’ostéocondensation.
5. Siege le plus souvent au niveau des diaphyses des os longs
L’osteosarcome
1. Est la tumeur osseuse maligne la plus fréquente des
tumeurs osseuses primitives.
2. Atteint le sujet âgé.
3. Se présente à la radiographie standard sous forme
d’une ostéolyse mal limitée, parfois lésion condensante
ou mixte.
4. Présente une réaction périostée souvent interrompue
avec éperon de Codman.
5. Siège  souvent au niveau des métaphyses des os longs
 « prés du genou loin du coude »
Un chondrome
A. Est une tumeur osseuse bénigne développée au dépend du tissu
cartilagineux.
B. Est une tumeur osseuse maligne agressive.
C. Se présente sou forme d’une ostéolyse centro osseuse.
D. siège principalement au niveau des mains ( phalanges ) et pieds.
Une localisation secondaire osseuse condensante est fréquente en cas de
A. Cancer prostatique
B. Cancer mammaire
C. Cancer rénal
D. Aucune des trois propositions
Un osteochondrome ou exostose
A. Est une tumeur osseuse bénigne.
B. Est une tumeur osseuse maligne
C. la plus fréquente des tumeurs bénignes.
D. Se présente sous forme d’une excroissance osseuse en continuité avec le reste de l’os,
surmontée d’une coiffe cartilagineuse radio transparente.
Le signe d’Eperon de Godman est un signe d’une
A. Tumeur osseuse bénigne.
B. Tumeur osseuse maligne
C. Lésion osseuse corticale
D. Aucune des trois propositions
Les tumeurs osseuses malignes secondaires (métastases)

1. Sont souvent multiples.


2. Intéressent surtout le squelette axiales.
3. Sont uniquement osteocondensantes..
4. Sont uniquement ostéolytiques.
5. Peuvent être osteocondensantes ou ostéolytiques.
Les tumeurs osseuses malignes secondaires (métastases)

A. Sont souvent multiples.


B. Intéressent surtout le squelette axiales.
C. Sont uniquement osteocondensantes..
D. Peuvent être osteocondensantes ou ostéolytiques.
*Le signe d’Eperon de Godman est un signe d’une
A. Tumeur osseuse bénigne.
B. Tumeur osseuse maligne
C. Lésion osseuse corticale
D. Aucune des trois propositions
Un liseré condensant est un signe de
A. Tumeur osseuse bénigne.
B. Tumeur osseuse maligne
C. Lésion osseuse infectieuse
D. Aucune des trois propositions
Un ostéosarcome
A. Est la tumeur osseuse maligne la plus fréquente des tumeurs osseuses
primitives.
B. Atteint le sujet âgé.
C. Se présente à la radiographie standard sous forme d’une ostéolyse mal
limitée, parfois lésion condensante ou mixte.
D. Présente une réaction périostée souvent interrompue avec éperon de
Codman.
Une lésion osseuse lacunaire est
A. Toujours évocatrice de lésion maligne
B. Est toujours médullaire
C. Obéit à la classification de Lodwick
D. Obéit à la classification de Stanford
Parmi les signes radiologique de malignité d’une lésion
osseuse, on retient:
A. Limites floues.
B. Sclérose marginale.
C. Condensation périphérique
D. Localisations multiples
Une réaction périoste en feu d’herbe
A. Est pathognomonique d’une lésion bénigne
B. Est pathognomonique d’une lésion maligne
C. Est non spécifique
D. Est observé dans les lésions potentiellement évolutives
Parmi les signes radiologique de bénignité d’une lésion osseuse, on
retient:
A. Limites floues.
B. Sclérose marginale.
C. Condensation périphérique
D. Localisations multiples
un aspect en brosse de la corticale osseuse est un signe de :
A. Tumeur osseuse maligne
B. une lésion sarcomateuse
C. Lésion osseuse rapidement
D. Aucune des trois propositions
Un ostéome ostéoide
A. Est une tumeur osseuse bénigne.
B. Caractérisé par des douleurs nocturnes calmées par les salicylés
C. se présente radiologiquement sous forme d’une petite lacune (nidus) bien
limitée, homogène, ronde ou ovalaire entourée d’une zone
d’ostéocondensation.
D. 5Siege le plus souvent au niveau des diaphyses des os longs.

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