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UNIVERSITÉ DE KAMINA

UNIKAM

Conception et realisation d’un site web


au sein d’une institution scolaire

OCTOBRE 2021
ÉPIGRAPHE

J’apprends encore, mon instruction n’est pas encore achevée.

Le cours de ma vie n’est qu’une longue éducation.

Isaac NARY N.
DÉDICACE

À vous chers parents : Jacob MONGA ILUNGA et Béatrice NGOIE ILUNGA,


pour votre amour, vos supers conseils, vos sacrifices combien louables manifestés
durant toutes ces trois années, recevez le sentiment de ma gratitude.

À vous mes frères et sœurs, cousins et cousines :


Isaac MITONGA, Lydie MADIKA, Sarah ILUNGA, Eldad MBAYO,
Miriam KABULO, Juresse MUTOMBO, Dieu béni MADIKA, Yves UMBALO, Moïse MASANGU,
Yves LUMBALA, Ange MBAYO, Carine BANZA, Nicole NGOY, Salem BANZE,
Claude MWANZA, Vanny MONGA,

À vous oncles et tantes.

Je dédie ce travail.

Moses KAZEMBE
REMERCIEMENT

De nos jours, le rôle de l’informatique devient indispensable et sa présence de plus


en plus répandue par son efficacité ainsi que son utilité. Ce fait s’explique par les applications
importantes de l’informatique dans presque tous les domaines de l’entreprise et de la vie quotidienne.
C’est ainsi que nous avons conçu et réalisé un site web au sein du Complexe Scolaire GAD SCHOOL,
qui met fin au premier cycle à la faculté des Sciences Informatiques, département de l’Informatique
de Gestion à l’Université de Kamina, UNIKAM en sigle.

D’abord, notre reconnaissance au tout puissant, le Dieu vivant, lui qui mérite nos
remerciements, pour son soutien et accompagnement tout au long de notre parcours académique de
ce premier cycle.

Nos remerciements s’adressent de manière particulière à notre directeur Ass.


Gabin NDAY-A-MANDE qui, a consenti de diriger ce travail, la pertinence de ses remarques, la
rigueur ainsi que l’importance des critiques et suggestions tout au long de l’élaboration de ce travail,
ainsi qu’à tous les enseignants qui ont multiplié plus d’efforts pour nous former.

Nos remerciements et reconnaissances s’adressent également à mes parents :


Jacob MONGA ILUNGA et Béatrice NGOIE ILUNGA pour leur amour, assistance sur tous les plans ;
chers parents vous méritez notre gratitude.

Nos sentiments de remerciements vont tout droit vers nos autorités facultaires,
notamment le Doyen de la faculté Lucain KASONGO MWADIAVITA, le vice-Doyen chargé de
l’enseignement Milord YAMBA YAMBA, le vice-Doyen chargé de la recherche Gabin NDAY-A-
MANDE, ainsi qu’à tout personnel décanal.

Mes camarades de lutte, collaborateurs, ceux avec qui nous avons traversé des
moments difficiles, nous citons : Fiston BAMBI, Shadrack KAYEMBE, Nora MWILA, Nackson
NKUMWIMBA, Abigaël LIKANGO, Doudou KAVULA, Prince MUGO, Valdry MBUKANI, etc. ;
recevez nos sincères remerciements.

À toute ma famille spirituelle, la Communauté Nation du Christ en Afrique, ma


Paroisse USHINDI.
À tous et à toutes, recevez une image de notre gratitude.

Moses KAZEMBE
INTRODUCTION GÉNÉRALE

1. PRÉSENTATION DU PROJET

Il sied de dire que l’informatique est la science du traitement rationnel,


notamment par des machines automatiques de l’information considérées comme support
des connaissances humaines et des communications dans les domaines techniques,
économiques et sociaux. Actuellement, l’une des tendances qui concernent tous les secteurs
de développement, est l’informatisation. Dès l’existence de l’informatique, et l’insertion de
celle-ci dans le monde ; les entreprises, et les entités publiques que privées aspirent à
s’optimiser, et à rendre inconstante la gestion de leurs structures internes.

Au cours de ces dernières années, les Nouvelles Technologies de


l’Information et de la Communication ont connu un bouleversement marqué par l’apparition
de l’internet et par sa croissance exponentielle ; ce qui fait que l’importance de
l’informatique n’est plus à démontrer de nos jours.

Ces années ont aussi été marquées par l’entrée en scène du World Wide
Web (www), l’un des services qui a popularisé internet, et qui a fait exploser le nombre de
ses utilisateurs. Par conséquent, le web suscite l’intérêt de la majorité des organisations qui
réalisent d’enrichir leur présentation via le Web.

Le monde de l'informatique est sûrement l'un des milieux qui évolue plus
rapidement, et avec la révolution de l'Internet le rêve de milliers d'entreprises s'est réalisé,
en apportant une incroyable possibilité d'extension et d'épanouissement au monde ainsi
que dans les différentes relations humaines ; plus particulièrement dans plusieurs Institutions
Scolaires, Supérieur et Universitaires. La majuscule d’un Site Web dans le monde éducatif
est qu’il est un outil de communication pour l’école, vu au monde extérieur, et pour cela, il
apporterait un plus en son sein.

Toutes les entreprises au monde ne jurent que l'amélioration de leurs


conditions de travail en temps normal. Sur ce, sans une politique d'organisation et de
contrôle dans l'exécution des travaux ou tâches diverses, aucune entreprise ne pourra
atteindre ses objectifs.

Ce cadre inscrit cet œuvre scientifique en Sciences Informatiques, celui de


concevoir et réaliser un site web au sein d’une institution scolaire ; GAD SCHOOL est prise
en occurrence.
2. CHOIX ET INTÉRÊT DU SUJET

2.1.

Le choix du sujet est le motif ou le mobile qui pousse un chercheur


(étudiant) à opter pour faire les recherches sur tel ou tel phénomène observé, afin d’y
proposer certaines solutions ou améliorations y relatives.1

Comme, il est devenu de coutume universitaire de présenter utilement, et


valablement pour nos trois ans d’études, dans l’optique de l’obtention du titre de gradué
en sciences informatiques, que chaque étudiant se lance dans la recherche pour construire,
et habiller un thème qu’il aurait choisi.

Il n’est pas un fait hasardeux, mais plutôt une question de constat fait sur
la manière dont quelque chose se passe au sein d’une organisation. Raison pour laquelle
nous avons porté le choix sur le sujet intitulé « Conception et Réalisation d’un site web au
sein d’une institution scolaire. Cas de Gad School », afin d’y apporter une solution
informatique concernant les inscriptions des élèves, le communiqué à passer, la
communication entre les enseignants et/ou élèves hors les horaires scolaires, la publication
des résultats, etc.

2.2.

Écrire un travail scientifique qui ne servira à rien, c’est mettre en cause tout
son parcours scientifique. Car une sagesse dit : « faire du bien aux autres, C’est s’en faire à
soi-même ». Sur ce, notre travail s’articule autour d’un triple intérêt, en l’occurrence :

λ : la rédaction de ce travail nous a apporté un bagage des


connaissances supplémentaires afin d’enrichir notre parcours scientifique ; mais aussi
les relations sur le plan scientifique et personnel se créent lors de la récolte des
données entre différentes personnalités.
λ : ce travail apporte une contribution à l’édifice scientifique et
va permettre aux prétendants informaticiens de s’en servir comme outil de référence
lors de leurs futures investigations sur un thème similaire au notre.
λ : notre souci est celui d’interpeler la conscience dans le
chef de la population et plus particulièrement des différentes institutions scolaires et
même universitaires qui sont souvent exigeantes dans les inscriptions, la
communication entre différents services, la publication de résultats, etc. que le
prototype informatique que nous aurons à proposer leur permettra à s’en servir pour
mieux subvenir aux différents besoins et dans la réussite des différentes activités.
3. ÉTAT DE LA QUESTION

L’état de la question est la connaissance de l’état actuel de la matière sur


le sujet, ou la revue de la littérature.

Vu l’importance que revêt ce sujet, notre choix étant motivé par entre
autres son influence dans les institutions scolaires congolaises, et de Kamina en particulier.
Pour ne pas nous débarrasser de la sincérité scientifique, nous ne prétendons pas être le
premier à avoir abordé les aspects de la conception d’un site Web, dans la mesure où,
nombreux chercheurs en auraient déjà parlé, tels que :

λ , qui aurait traité sur le sujet intitulé « Conception


et réalisation d’un site Web pour la gestion du lycée Kateb Yacine » à l’université
MENTOURI DE CONSTANTINE dans la ville d’El-kharoube-Constantine.2

Au cours de sa recherche, il s’est dit que les établissements scolaires et


universitaires qui présentent le cerveau moteur de tout développement, doivent aussi
bénéficier des avantages de l'internet en améliorant la qualité d'information fourni aux
élèves et aux parents.

Sa vigilance aurait été retenue par plusieurs préoccupations, qui se


résument en ces termes : Comment peuvent-ils atteindre cet objectif ? Et qu'elles sont les
principaux éléments qui permettent d'y aboutir ?

En abordant cette thématique, sa préoccupation serait : la présentation du


lycée Kateb Yacine par un Site Web dynamique qui servirait à : la communication entre les
enseignants et les élèves hors les horaires scolaires, la publication et l'affichage des différents
plannings et même l'affichage des bulletins de notes en ligne pour les élèves et les
enseignants.

Le résultat a été trouvé si nous pouvons parler en termes d’objectifs,


véritablement concrétisés dans la partie d'implémentation ; En facilitant la tache entre tous
les membres.
λ , son travail traitant sur la « Mise en place d’un site web
d’une institution universitaire » (cas de l’université de Kamina).3

Les préoccupations qui ont intéressés ce chercheur se résument en ces


termes : Une mise en place d’un site web permettra-t-il à l’université de Kamina d’être vue
sur la vitrine mondiale ? Quel serait son avantage sur le plan économique ? Quelles seraient
les attentes de l’université de Kamina après la mise en place de ce site ?

Dans sa partie réservée aux réponses anticipatives aux préoccupations, il


avait tenté de répondre de la sorte :

1. La mise en place d’un site web permettrait à l’université de Kamina d’être


visible sur la toile, c’est-à-dire de pouvoir être vue partout dans le monde,
d’exposer ses services sur la vitrine mondiale et d’affirmer sa présence sur le
réseau internet ;
2. Sur le plan économique, son avantage serait peut-être la diminution des
couts préalables à la facilitation des contacts dans le partenariat.

Quant à nous, nous allons concevoir un site web, qui va rendre efficace
différents services du Complexe Scolaire Gad School, dans sa manière de gérer les données
des élèves et/ou enseignants, d’inscrire les élèves, de passer le communiqué, de publier les
résultats pour la fin de l’année, etc. Ce site Web ouvrira le complexe scolaire et toutes ses
activités au monde extérieur.

4. PROBLÉMATIQUE ET HYPOTHÈSES

4.1.

La problématique est un « ensemble des problèmes concernant un sujet,


un jugement qui exprime une simple probabilité ou bien une manière méthodique de poser
les problèmes ».4 La problématique est encore définie comme un « jeu de questionnement
élaboré à partir de la question posée par le sujet lui-même ».5

Nous pouvons aussi définir la problématique comme étant un ensemble


de problèmes vécus durant une recherche dans un champ d’investigation quelconque ; ou
encore un ensemble de questions posées dans un domaine de la science, en vue d’une
recherche des solutions.
Cette institution rencontre quelques difficultés dans sa façon de
communiquer avec les élèves ou leurs tuteurs, parfois les parents inscrivent leurs enfants
sans titres scolaires (dossiers), or, l’élève doit être accompagné des bulletins de provenance ;
le manque d’une banque de données pour conserver les données sur plusieurs années, de
cette façon, certaines données sont après impression, gardées sur les ordinateurs de
dirigeants de l’institution. C’est pourquoi notre préoccupation en termes de la
problématique se résume de la sorte :

Certes, l’étape suivante éclairerait la préoccupation que nous venons de


soulever précédemment, et à laquelle nous réservons une réponse anticipée en termes
d’hypothèses.
4.2.

Pour le Robert Illustré, l’hypothèse est une « proposition relative à


l’explication de phénomènes naturels, admise provisoirement avant d’être soumise au
contrôle de l’expérience ».6 Elle est encore définie par PIERRETTE RONGERE comme une
« proposition de réponses aux questions que l’on se pose à propos de l’objet de la
recherche formulée en des termes tels que l’observation et l’analyse puissent fournir une
réponse ».7
Pour nous, l’hypothèse est définie comme étant une réponse provisoire ou
anticipée donnée à la question qui a été soulevée par la problématique sur un problème
constaté. Anticipativement, nous répondons en ces termes :

λ Le complexe scolaire Gad School aurait établi un formulaire contenant des


conditions à remplir, sans lesquelles l’élève n’est pas admis ;
λ Ce dernier aurait conçu une base de données, pour y stocker efficacement les
données, et qui sera capable de restituer les données voulues dans un temps
raisonnable.
Le domaine informatique apportant des solutions diverses dans le monde
éducatif, Gad School concevrait et réaliserait un site web qui est un projet de communication
riche en apprentissages potentiels et une source de motivation importante pour les élèves,
juste pour mieux fournir une éducation meilleure et être satisfait dans un bref délai des
différentes préoccupations pouvant intervenir.
5. MÉTHODE ET TECHNIQUES UTILISÉES

4.3.

Elle est définie par R. PINTO et M. GRAWITZ comme un « ensemble de


démarches que suit l’esprit pour découvrir et démontrer la vérité ; ou un ensemble de
démarches raisonnées, suivies pour parvenir à un but ».8

Elle est encore définie comme étant un « ensemble de règles pour


conduire raisonnablement, logiquement nos pensées ; ou c’est la voie à suivre pour
atteindre le but qu’on s’est fixé ».9

Pour nous, la méthode c’est la voix par laquelle on aboutit à un résultat,


ou c’est la manière de conduire sa pensée tout en suivant certains principes, certaines règles.

Les méthodes de conception de systèmes d’information ont pour objectif


de permettre la formalisation des étapes préliminaires du développement d'un système, afin
de rendre ce développement le plus fidèle possible aux besoins du client.10

Il existe plusieurs méthodes d'analyse et conception du système


d’information, en l’occurrence : UP, RUP, TOP DOWN DESIGN, PERTE, PRAXEME, MERISE,
etc.

Pour la conception et la réalisation d’un site Web, nous nous servirions de


la méthode UP (Unified Process en anglais), en français (Processus Unifié).

Un processus unifié est un processus de développement, qui est construit


sur UML, pour produire des logiciels de qualité, qui répondent aux besoins des
utilisateurs dans des temps et des coûts prévisibles.

Quant aux principes, elle en a quatre, notamment :

λ Guidée par le cas d’utilisation ;


λ Centrée sur l’architecture ;
λ Itérative et incrémentale ;
λ Orientée par la réduction des risques.

,
4.4.

Les techniques désignent l’ensemble des procédés exploités par le


chercheur dans la phase de collecte des données qui intéressent son étude. Nous
retiendrons qu’une technique est un moyen, un outil qu’utilise le chercheur dans la collecte
et le traitement des données.11

Pour le dictionnaire universel, une technique est un « ensemble de


moyens, de procédés mis en œuvre dans la pratique d’un métier, d’un art, d’une activité
quelconque ».12

Pour la récolte des données, nous avons utilisé les techniques ci-après :

λ : c’est un procédé de collecte des données, qui s’appuie


sur la communication verbale, permettant au chercheur d’obtenir des informations
dont il a besoin, de la part des personnes supposées être renseignées. Nous l’avons
empruntée dans la réalisation du présent travail, en vue de récolter des données
sûres.
λ : elle permet au chercheur d’entrer en
contact direct avec les faits à observer, afin d’acquérir les informations concernant
un fait précis.
λ : elle permet de mettre en présence le chercheur
d’une part, et les documents supposés contenir les informations recherchées d’autre
part. Ainsi, pour rassembler les informations, nous avons recouru aux ouvrages, aux
travaux scientifiques et à internet.

6. DÉLIMITATION DU SUJET

Il serait difficile de rédiger un travail scientifique sans préciser le lieu où les


données ont été récoltées et le temps pendant lequel les phénomènes observés se sont
déroulés, de peur que le lecteur ne soit pas dans l’objection de situer les phénomènes
étudiés.

Notre thème d’étude a comme champ d’investigation le


, situé dans la province du Haut Lomami, à Kamina, et les données
traitées dans ce travail ont été récoltées sur une période allant de 2020 à 2021.
7. SUBDIVISION DU TRAVAIL

Hormis, l’introduction générale qui marque le début de notre travail, et la


conclusion générale qui le boucle, ce travail est constitué de quatre (4) chapitres, entre
autres :

Qui traite sur les démarches définitionnelles des différents concepts de


base du sujet et expliciter quelques théories sur la méthode utilisée (UP), les notions UML,
le Système de gestion de base de données, etc.

Où nous présentons le champ d’étude, et l’analyse du système existant en


traçant le diagramme d’activités, l’analyse du métier, le diagramme de cas d’utilisation du
métier, la description textuelle du processus métier, les besoins exprimés, l’identification des
acteurs, et le diagramme de contexte statique.

La principale préoccupation ici, est celle de représenter l’architecture du


système de la solution informatique, portant sur la capture des besoins de ce système,
l’analyse de ces besoins, la conception des interactions système, ainsi que la conception des
architectures du logiciel.

Il est question ici de parler sur la description des outils de développement


et plateformes, ainsi que la présentation des interfaces du système informatique réalisé avec
les technologies informatiques.
Chapitre Premier : DÉFINITION
DES CONCEPTS ET
CONSIDÉRATIONS THÉORIQUES
I.1. INTRODUCTION
Certes, qu’il paraît nécessaire pour chaque chapitre d’un travail scientifique
d’avoir un objectif à atteindre, c’est pourquoi, celui-ci aura à rendre compréhensible les
quelques concepts utilisés dans le domaine d’application, la présentation de la méthode UP
(Unified Process), du langage de modélisation UML (Unified Modeling Language), aussi nous
rendrons intelligible les plateformes de développement (le langage de programmation), qui
serviraient à développer un système répondant aux besoins des utilisateurs.

I.2. DÉFINITION DES CONCEPTS


λ
Elle est définie comme un ensemble d’activités qui à partir d’une demande
d’informations d’un processus permettant la conception, l’écriture et la mise au point d’un
logiciel jusqu’à sa livraison au demandeur.13

λ
La réalisation est l’action de réaliser quelque chose, de la faire passer du
stade de la conception à celui de la chose existante.14 Elle est encore définie comme étant
une action de faire passer du stade de la conception, du projet, à celui de l’existence
effective.15
λ
Le Web n’est qu’une technologie informatique permettant de consulter
des pages regroupées sur des sites.16 Ou encore, il est un terme employé pour parler du
World Wide Web ou www ou W3, traduit en français par la toile d’araignée mondiale,
désignant un ensemble de services accessibles via le réseau internet.17

λ
Un site Web ou tout simplement site, est un ensemble de pages Web et
d’éventuelles autres ressources, liées dans une structure cohérente, publiées par un
propriétaire (une entreprise, une administration, une association, un particulier, etc.) et
hébergées sur un ou plusieurs serveurs Web.18
Il est encore défini comme un ensemble de pages Web et de ressources
inter-liées entre elles par des hypertextes, auxquelles l’internaute peut accéder par une
adresse Web appelée URL, le tout enregistré sous un nom de domaine.19

Une institution est une structure d’origine coutumière ou légale, faite d’un
ensemble de règles orienté vers une fin, qui participe à l’organisation de la société ou de
l’État.20

On appelle scolaire, tout ce qui se rapporte à l’école, à l’enseignement.21


Ou encore tout ce qui se rapporte aux lieux où l’on dispense l’enseignement, où se
déroulent certaines activités des élèves.22

Une institution scolaire est une forme ou une structure sociale établie par
la loi ou la coutume, un ensemble socialement organisé où s’exercent les fonctions
publiques, un système organisé et stable qui structure des activités sociales (par exemple
l’enseignement, la justice, le travail, etc.).23

Nous pouvons aussi la définir comme une organisation publique ou privée


constituée du personnel enseignant, ayant comme tâche principale la formation des
écoliers.

I.3. CONSIDÉRATIONS THÉORIQUES

I.3.1.

a.

Un processus est une séquence d’étapes à moitié ordonnée qui concourt


à l’obtention d’un logiciel ou à l’évolution d’un système existant.24

UP (Unified Process en anglais, soit Processus Unifié en français), est un


processus de développement, qui est construit sur UML, pour produire des logiciels de
qualité, qui répondent aux besoins des utilisateurs dans des temps et des coûts prévisibles.25
C’est une famille de méthodes de développement de logiciels orientés objets.

Ce processus de développement a des principes qui sont à la base du


processus unifié décrit par les auteurs d’UML.

b.

Cette méthode répond aux exigences fondamentales (principes) suivantes :

λ Guidée par le cas d’utilisation ;


λ Centrée sur l’architecture ;
λ Itérative et incrémentale ;
λ Pilotée par la réduction des risques.

I.3.2.

Le projet est mené en tenant compte des besoins et exigences des


utilisateurs ; les cas d’utilisation décrivent les besoins fonctionnels, et leur ensemble constitue
le modèle des cas d’utilisation décrivant les fonctionnalités complètes du système.

À partir du modèle des cas d’utilisation, les développeurs créent une série
de modèles de conception et d’implémentation réalisant les cas d’utilisation. Les cas
d’utilisation permettent d’exprimer les interactions du système avec les utilisateurs, donc de
capturer les besoins. Une seconde orientation est de montrer comment les cas d’utilisation
constituent un vecteur structurant pour le développement et les tests du système.

I.3.3.

Ce qui compte beaucoup plus ici, est le respect du plan du projet du début
jusqu’à la fin ; tout système complexe doit être décomposé en partie modulaire afin d’en
faciliter la maintenance et l’évolution. Cette architecture (fonctionnelle, logique, matérielle,
etc.) doit être modélisée en UML, et pas seulement documentée en texte.

L’architecture constitue dans UP 2 artefacts primaires pour conceptualiser,


construire, gérer, et élaborer le système en développement :

λ La description de l’architecture logicielle qui décrit l’architecture du projet et


λ Le prototype de l’architecture qui implémente cette architecture.
I.3.4.
L’itération qui est une répétition d’une séquence d’instructions ou d’une
partie de programmes un nombre de fois fixé à l’avance ou tant qu’une condition définie
n’est pas remplie, dans le but de reprendre un traitement sur des données différentes.26 Ou
encore, c’est une succession d’enchaînements d’activités. Le projet est découpé en itérations
de courte durée.
Un incrément est une avancée dans les stades de développement ; chaque
incrément va ajouter des nouvelles fonctionnalités au projet pour gagner la confiance des
utilisateurs de façon incrémentale et itérative, et chaque incrément ou partie doit donner
un produit fini.
I.3.5.
Les risques majeurs du projet doivent être identifiés au plus tôt mais
surtout levés le plus rapidement. Les mesures à prendre dans ce cadre déterminent l’ordre
des itérations.27
Il est ici question de réduire les risques qui peuvent nuire au projet
(l’architecture inadaptée, qui ne peut pas arriver à répondre aux besoins des utilisateurs).
Du fait de l’application du processus itératif, UP contribue à la diminution des risques au fur
et à mesure du déroulement des itérations successives.

I.3.6.
Le cycle de vie d’un logiciel (en anglais software life cycle), désigne toutes
les étapes du développement d’un logiciel, de sa conception à sa disparition. Le cycle de
vie permet de détecter les erreurs au plus tôt et ainsi de maîtriser la qualité du logiciel, les
délais de sa réalisation et les coûts associés.
L’objectif d’un processus unifié est de maîtriser la complexité des projets
informatiques en diminuant les risques.28 UP est un ensemble de principes génériques
adapté en fonction des spécificités des projets et répond aux préoccupations suivantes :
λ QUI participe au projet ?
λ QUOI, qu’est ce qui est produit durant le projet ?
λ COMMENT doit-il être réalisé ?
λ QUAND est réalisé chaque livrable ?
Le cycle de vie de la méthode UP se décompose en 4 phases ou étapes
principales au cours desquelles 5 activités d’ingénierie sont mises en œuvre.
I.3.7.

a.

L’étude menée est celle d’opportunité et de faisabilité (mettre en tête si le


temps peut permettre que le projet finisse).29 Elle vise à définir le produit et les objectifs du
projet.

b.

Elle a pour but d’analyser les domaines techniques du système à


développer afin d’aboutir à une architecture stable. Elle vise à clarifier les exigences, à définir
l’architecture du produit (système) et à en valider la faisabilité.

Cette phase prévoit ainsi la mise en œuvre d’une version squelette du


système et démontrant les principaux éléments architecturaux.

c.

Elle vise à construire et à mettre en œuvre le produit et les livrables


associés ; elle permet de produire la première version du logiciel. Au cours de cette phase,
la gestion et le contrôle des ressources ainsi que l’optimisation des coûts représentent les
activités essentielles pour aboutir à la réalisation du produit.

d.

Vise à livre, diffuser ou déployer le produit de sorte qu’il soit prêt à être
utilisé ; cette phase inclut la formation des utilisateurs si nécessaire. 30 Il s’agit dans cette
phase de livrer le produit pour une exploitation réelle.

I.3.8.

a.

L’expression des besoins comme son nom l’indique, permet de définir les
différents besoins. UP distingue deux types de besoins, entre autres :

λ Besoins fonctionnels : qui conduisent à l’élaboration des cas d’utilisations.


λ Besoins techniques ou non fonctionnels : ces besoins aboutissent à la
rédaction d’une matrice des exigences.

Le modèle de cas d’utilisation présente le système du point de vue de


l’utilisateur et représente sous forme de cas d’utilisateur et d’acteur, les besoins du client.
b.

C’est l’étude du problème, du lancement jusqu’à l’élaboration. L’objectif


de l’analyse est d’accéder à une compréhension des besoins et des exigences du client. Il
s’agit de livrer des spécifications pour permettre de choisir la conception de la solution.

Un modèle d’analyse livre une spécification complète des besoins issus des
cas d’utilisations et les structures sous une forme qui facilite la compréhension (scenarios),
la préparation (définition de l’architecture), la modification et la maintenance du futur
système.

c.

C’est la solution au problème. Elle permet d’acquérir une compréhension


approfondie des contraintes liées au langage de programmation, à l’utilisation des
composants et au système d’exploitation.

Elle détermine les principales interfaces et les transcrit à l’aide d’une


notation commune. Elle constitue un point de départ à l’implémentation :

λ Elle décompose le travail d’implémentation en sous-système ;


λ Elle crée une abstraction transparente de l’implémentation.

d.

Consiste à produire les logiciels (taper les codes sources). Elle est
l’implémentation de la conception pour implémenter le système sous forme de composants,
c’est-à-dire, des codes sources, de scripts, de binaires, d’exécutables et d’autres éléments
du même type.

Les objectifs principaux de l’implémentation sont de planifier les


intégrations de composants pour chaque itération, et de produire les classes et les sous-
systèmes sous forme de codes sources.

e.

Les tests permettent de vérifier des résultats de l’implémentation en testant


la construction. Pour mener à bien ces tests, il faut les planifier pour chaque itération, les
implémenter en créant des cas de tests, effectuer ces tests et prendre en compte le résultat
de chacun.
I.3.9.

UML (Unified Modeling Language en anglais, qui veut dire juste Langage
de Modélisation Unifié en français). La modélisation qui n’est rien d’autre qu’une
représentation virtuelle du problème auquel on s’intéresse.

Le Langage de Modélisation Unifié, de l’anglais Unified Modeling


Language (UML), est un langage de modélisation graphique à base de pictogrammes conçu
comme une méthode normalisée de visualisation dans les domaines du développement
logiciel et en conception objet.31 Il permet de modéliser un problème de façon standard ;
juste pour permettre une compréhension facile d’un problème via les graphiques.

UML est une synthèse de langages de modélisation objet antérieurs : OOD


de Grady Booch (définie pour le Department of Defense, introduit le concept de paquetage
(package), OMT de James Rumbaugh (General Electric) fournit une représentation
graphique des aspects statique, dynamique et fonctionnel d'un système, et OOSE de d'Ivar
Jacobson (Ericsson) fonde l'analyse sur la description des besoins des utilisateurs (cas
d'utilisation, ou use cases). UML est à présent un standard adapté par l’objet Management
Group (OMG).

UML 1.0 été normalisé en janvier 1997 ; UML 2.0 a été adopté par l’OMG
en juillet 2005. La dernière version de la spécification validée par l’OMG est UML 2.5.1 (2017).
UML est destiné à faciliter la conception des documents nécessaires au développement d’un
logiciel orienté objet, comme standard de modélisation de l’architecture logicielle.

UML n’étant pas une méthode, l’utilisation des diagrammes est laissée à
l’appréciation de chacun. Le diagramme de classes est généralement considéré comme
l’élément central d’UML. Des méthodes, telles que le processus unifié (UP) proposé par les
créateurs originels de UML utilisent plus systématiquement l’ensemble de diagrammes et
axent l’analyse sur les cas d’utilisation (« use case ») pour développer par itérations
successives un modèle d’analyse, un modèle de conception et d’autres modèles.

UML se décompose en plusieurs parties :

λ Les vues : ce sont des observables du système. Elles décrivent le système


d’un point de vue donnée qui peut être organisationnel, dynamique,
temporel, architectural, géographique, logique, etc.
λ Les diagrammes : ce sont des ensembles d’éléments graphiques. Ils
décrivent le contenu des vues, qui sont des notions abstraites.
λ Les modèles d’éléments : ce sont les éléments graphiques des diagrammes.
UML est un langage de modélisation. La version actuelle UML 2.5 propose
14 types de diagrammes dont sept (7) structurels ou statiques et sept (7) autres
comportementaux ou dynamiques.32

λ Ces diagrammes permettent de


représenter l’aspect statique du système (classes, objets, composants…).33 En
l’occurrence :

 Diagrammes de classes (class diagram) : la représentation des classes


intervenant dans le système.
 Diagrammes d’objets (object diagram) : la représentation des instances de
classes (objets) utilisées dans le système.
 Diagrammes de composants (component diagram) : la représentation des
composants du système d’un point de vue physique, tels qu’ils sont mis en
œuvre (fichiers, bibliothèques, bases de données, ...).
 Digrammes de déploiement (deployment diagram) : la représentation des
éléments matériels (ordinateurs, périphériques, réseaux, système de stockage,
…) et la manière dont les composants d’un système sont répartis sur ces
éléments matériels et interagissent entre eux.
 Diagrammes de paquets (package diagram) : la représentation des
dépendances entre les paquets (un paquet étant un contenu logique
permettant de regrouper et d’organiser les éléments dans le modèle UML),
c’est-à-dire entre les ensembles de spécifications.
 Diagrammes de structure composite (composite structure diagram) : la
représentation sous forme de boîte blanche des relations entre composants
d’une classe (depuis UML 2.x).
 Diagrammes de profils (profile diagram) : la spécification et la
personnalisation pour un domaine particulier d’un méta-modèle de référence
d’UML (depuis UML 2.2).
λ Ces diagrammes
représentent la partie dynamique d’un système réagissant aux événements et
permettant de produire les résultats attendus par les utilisateurs.34 Nous citons :
 Digrammes de cas d’utilisation (use-case diagram) : la représentation des
possibilités d’interactions entre le système et les acteurs (intervenants
extérieurs au système), c’est-à-dire de toutes les fonctionnalités que doit
fournir le système.
 Diagrammes états-transitions (state machine diagram) : la représentation
sous forme de machine à états finis du comportement du système ou de ses
composants.
 Diagrammes d’activité (activity diagram) : la représentation sous forme de flux
ou d’enchaînement d’activités du composant du système ou de ses
composants.
 Diagrammes de séquence (sequence diagram) : la représentation de façon
séquentielle du déroulement des traitements et des interactions entre les
éléments du système et/ou de ses acteurs.
 Diagrammes de communication (communication diagram) : la représentation
de façon simplifiée d’un diagramme de séquence se concentrant sur les
échanges de messages entre lesobjets.
 Diagramme global d’interaction (interaction overview) : la représentation des
enchaînements possibles entre les scénarios préalablement de séquences
(variable du diagramme d’activité).
 Diagrammes de temps (timing diagram) : la représentation des variations
d’une donnée au cours du temps.

I.3.10.

2TUP qui signifie « 2 Track Unified Process », deux chemins du processus


unifié en français ; qui signifie littéralement que le processus suit deux chemins. Il s’agit des
« chemins fonctionnels » et « d’architecture technique », qui correspondent aux deux axes
de changement imposés au système d’information.35

C’est un processus qui répond aux caractéristiques du processus unifié. Le


processus 2TUP apporte une réponse aux contraintes de changement imposées aux
systèmes d’information de l’entreprise. En ces sens, il renforce le contrôle sur les capacités
d’évolution et de correction de tels systèmes.
Ce processus présente quelques apports, à savoir :

λ Capitalisation de la connaissance de l’entreprise ;


λ Investissement pour le moyen et long terme ;
λ Capitalisation d’un savoir-faire technique ;
λ Investissement pour le court et moyen terme.36
La réalisation d’un système consiste à fusionner les résultats de deux
branches ou chemins (fonctionnels et techniques). Le 2UTP propose un cycle de
déplacement en Y, qui dissocie les aspects techniques des aspects fonctionnels. Il
commence par une étude préliminaire qui consiste essentiellement à identifier les acteurs
qui vont interagir avec le système à construire, les messages qu’échanges les acteurs et le
système, à produire le cahier des charges et à modéliser le contexte.

Le processus s’articule ensuite autour de trois phases essentielles :

λ Une phase technique ;


λ Une phase fonctionnelle ;
λ Une phase de réalisation.
La branche fonctionnelle capitalise la connaissance du métier de
l’entreprise. Cette branche capture des besoins fonctionnels, ce qui produit un modèle
focalisé sur le métier des utilisateurs finaux.

La branche technique capitalise un savoir-faire technique et/ou des


contraintes techniques. Les techniques développées pour le système les sont
indépendamment des fonctions) à réaliser.

La phase de réalisation consiste à réunir les deux branches, permettant de


mener une conception applicative et en fin la livraison d’une solution adaptée aux besoins.
I.4. LE LANGAGE DE PROGRAMMATION

Le monde de l’informatique est en constante évolution et l’émergence


continue de langages de programmation en est un bon exemple.

Un langage de programmation est une notation conventionnelle destinée


à formuler des algorithmes et produire des programmes informatiques qui les appliquent.
D'une manière similaire à une langue naturelle, un langage de programmation est composé
d'un alphabet, d'un vocabulaire, de règles de grammaire, de significations, mais aussi d'un
environnement de traduction censé rendre sa syntaxe compréhensible par la machine.37

Les langages de programmation permettent de décrire d'une part les


structures des données qui seront manipulées par l'appareil informatique, et d'autre part
d'indiquer comment sont effectuées les manipulations, selon quels algorithmes. Ils servent
de moyens de communication par lesquels le programmeur communique avec l'ordinateur,
mais aussi avec d'autres programmeurs ; les programmes étant d'ordinaire écrits, lus,
compris et modifiés par une équipe de programmeurs.

I.4.1.

Chaque appareil informatique a un ensemble d'instructions qui peuvent


être utilisées pour effectuer des opérations. Les instructions permettent d'effectuer des
calculs arithmétiques ou logiques, déplacer ou copier des données, ou bifurquer vers
l'exécution d'autres instructions. Ces instructions sont enregistrées sous forme de séquences
de bits, où chaque séquence correspond au code de l'opération à effectuer et aux
opérandes, c'est-à-dire aux données concernées ; c'est le langage machine.38

La traduction s'effectue en plusieurs étapes. En premier lieu, le traducteur


effectue une analyse lexicale où il identifie les éléments du langage utilisés dans le
programme. Dans l'étape suivante, l'analyse syntaxique, le traducteur construit un
diagramme en arbre qui reflète la manière dont les éléments du langage ont été combinés
dans le programme, pour former des instructions. Puis, lors de l'analyse sémantique, le
traducteur détermine s'il est possible de réaliser l'opération et les instructions qui seront
nécessaires dans le langage cible.

Un langage informatique est un langage destiné à décrire l’ensemble des


actions consécutives qu’un ordinateur doit exécuter. Un langage informatique est une
manière pragmatique de donner des instructions à l’ordinateur. Il est rigoureux : à une
instruction correspond une action du processeur.

Le vrai langage du micro-processeur est le langage machine, il s’agit d’une


suite de 0 et de 1 dans lequel les instructions sont des nombres ; pas compréhensible par
l’homme. Il est donc plus pratique de trouver un langage intermédiaire, compréhensible par
l’homme, qui sera ensuite transformé en langage machine pour être exploitable par le
processeur.

L’assembleur, par exemple, est un langage proche du langage machine


mais il permet déjà d’être plus compréhensible. Toutefois, un tel langage dépend
étroitement du type de processeur utilisé (chaque type de processeur peut avoir son propre
langage machine).

I.4.2.

Un langage informatique a donc plusieurs avantages, notamment :

λ Il est plus facilement compréhensible que le langage machine ;


λ Il permet une plus grande portabilité, c’est-à-dire une plus grande facilité
d’adaptation sur des machines de types différents.
λ Il est conçu pour écrire des programmes qui permettent de définir des
structures de données complexes et de mettre en œuvre des calculs et
algorithmes efficaces.

I.4.3.

Un langage de programmation reste un langage qui sert à décrire les


actions qu’un ordinateur doit réaliser.

Par-là, pour réaliser des actions que l’ordinateur doit exécuter, il existe
plusieurs langages de programmation selon le type de développement, nous citons :
PYTHON, JAVA, JAVASCRIPT, C Sharp, PHP, C++, R, C, SWIFT, MATLAB.39

HTML, CSS, JS, PHP, SQL qui sont les langages du web.

En effet, pour conception du site web, nous avons choisi le langage PHP,
Bloc note comme éditeur de code et en utilisant plus les langages du web comme nous
l’avons décrit ci-haut et MySQL pour la gestion de données.
Chapitre Deuxième : PRÉSENTATION DE L’EXISTANT, SPÉCIFICATION
DES BESOINS ET ANALYSE DU MÉTIER
II.1. GÉNÉRALITÉS

Ce chapitre est consacré à la présentation du champ d’investigation, à la


spécification des besoins ainsi qu’à l’analyse du métier. Nous allons aussi présenter d’une
manière détaillée une description textuelle du métier, l’identification des différents acteurs,
différents diagrammes seront présentés, pour en fin terminer avec une fiche de description
des cas d’utilisation /scenario.

II.2. PRÉSENTATION DE L’ENTREPRISE

II.2.1.

Il est évident de signaler que le complexe scolaire Gad School fonctionne


depuis l’année scolaire 2014-2015, avec le souci de relever un défi majeur celui de répondre
au souci des parents venants d’autres cieux doutant de ramener leurs familles dans la
capitale du Haut-Lomami, sous prétexte qu’il n’y a pas une école capable d’assurer un
enseignement de qualité.

Heureusement que certains parents ayant compris la vision du Promoteur


de cette école, Ils ont massivement mis confiance en lui, en faisant inscrire leurs enfants. La
rapidité et l’efficacité dans la construction des bâtiments de l’école, le recrutement du
personnel enseignant par un test organisé par l’Inspection Principale Provinciale de l’EPSP
Katanga II à l’époque aujourd’hui EPS INC Haut-Lomami, les sessions de formation et de
renforcement de capacité de son personnel sont parmi les principales raisons du gain de
cette confiance. GAD SCHOOL organise trois sections : maternelle, primaire et secondaire.
Les options réalisées sont les suivantes :

λ La technique commerciale de Gestion ;


λ La Coupe et couture ;
λ La Biochimie, sont les options organisées au sein de la section secondaire
de ladite institution scolaire.
Il y a eu ajout de deux options au cours de l’année 2017-2018, notamment ;

λ La pédagogie générale et les Mathématiques-Physique.


L’année suivante, c’est-à-dire 2018-2019, deux autres options se sont
ajoutées, en l’occurrence :

λ La littéraire, l’électricité et la mécanique générale.


II.2.2.
Le complexe scolaire GAD SCHOOL Ma meilleure, est dans la RD. Congo,
dans la province du Haut-Lomami, ville de Kamina, au quartier industriel, au croisement des
avenues Sendwe et Likasi, N° 414 pour les sections primaire et secondaire ; quant à la section
maternelle, elle se situe au croisement des avenues Likasi et Malunga.

II.2.3.

Ainsi compris, dans l’optique d’assurer une formation adéquate GAD


SCHOOL offre à ses apprenants ou élèves :

λ Une formation solide qui permet de s’adapter aux changements et aux


processus innovateurs caractéristique de notre société ;
λ Une initiation à la recherche scientifique et une actualisation permanente
des connaissances pour la compétitivité dans le processus de la
mondialisation ;
λ Le goût d’une culture ouverte et pluridisciplinaire, susceptible d’éveiller
l’esprit de la responsabilité sociale et d’une contribution au bien-être de
tous.

Étant une école privée, elle assure les enseignements de qualité de


manière à favoriser l’éclosion des idées neuves dans la vie des apprenants.

II.2.4.

Le complexe scolaire GAD SCHOOL est géré conjointement par le


Promoteur Gad KANONGE et le Conseil d’Administration d’une part, et par les administratifs
d’autre part.

Les premiers ont pour tâches de fixer et d’élaborer les orientations, la


philosophie et les politiques pour la bonne marche de l’école. Les seconds, par contre, ont
pour prérogatives de mettre en place des stratégies, des voies et moyens pour exécuter ce
qui est fixé par la hiérarchie.

Il s’agit notamment, de l’Administrateur et Coordonnateur Général de la


Maison GAD Isaac MITONGA MONGA, du Préfet des études Delphin KIMBAYA, du Proviseur
Germain KABANGE KAZADI, des Directeurs de discipline MUTUNDA MADIYA Alias TUNDRA
et Nono TALWA, de la Directrice de l’école primaire Lisette MBUYA WA MBUYA, de la
Directrice de la maternelle Vastie MALOBA, de l’administrateur chargé de la pédagogie
Édouard KASONGO NGOY MWANA BUTE et de tous les Enseignants.

À ce jour, toute personne est censée saisir, de loin ou de près, l’ampleur


et la notoriété qu’a pris le complexe scolaire GAD SCHOOL MA meilleure. Telle est la raison
majeure ayant poussé la Préfecture et le Service de Marketing et Relations Publiques de
l’école à mettre sur pied la « Gadologie Scolaire ».

En effet, la « Gadologie Scolaire » est une théorie qui regorge un ensemble


de valeurs et principes prônés par GAD SCHOOL et devant guider son fonctionnement et
le déroulement de ses activités. C’est ainsi que tout le personnel administratif, enseignant et
ouvrier est appelé à incarner cette théorie en vue de partager une vision commune, devant
permettre d’atteindre les objectifs que s’assigne la hiérarchie scolaire, sous l’œil vigilant de
son Promoteur.

Ci-dessous et de manière détaillée, les éléments clés constituant la


Gadologie scolaire :

λ La Qualité ;
λ La Référence ;
λ La Différence.

Ces trois éléments composent la devise du complexe scolaire GAD


SCHOOL. Le premier concourt à la production de ce qui est meilleur. D’où le Slogan « Ma
meilleure » associé à la dénomination de l’école. Ce qui nous interpelle tous à toujours
mieux faire. Le deuxième voudrait que tout ce qui fait à GAD SCHOOL constitue une
référence pour d’autres écoles.

Enfin, pour éviter le déjà « fait », « dit » et « entendu », l’école est appelée
à marquer toujours la différence dans ce qu’elle mène comme activités.
II.2.5.

Figure 1 : organigramme du complexe scolaire Gad School

II.3. ANALYSE DU MÉTIER

II.3.1.

Cette partie est consacrée à la compréhension de l’idée du métier dans


son ensemble, à une identification des acteurs qui interagissent avec le système. Dans la
conception d’un système nouveau, site web, au sein d’une institution scolaire engendre des
conséquences dans le fonctionnement ; l’importance est d’avoir l’idée sur le problème qui
intervient et qu’on doit résoudre ou y proposer une solution.

Dans le contexte de notre travail, nous avons choisi le processus


d’inscription que nous allons décrire, comme il se passe au complexe scolaire Gad School,
pour qu’en fin y proposer une solution nouvelle sur le site web.
II.3.2.

Dans cette partie, nous aurons à décrire de manière textuelle le processus


métier, les besoins exprimés. La capture des besoins fonctionnels, tout en identifiant les
différents acteurs, et des diagrammes, etc.

Elle prépare les activités plus formelles de la capture des besoins


fonctionnels, et de capture des besoins techniques.40 L’étude préliminaire a pour objectifs
principaux de (d’) :

λ Établir un recueil initial des besoins fonctionnels et opérationnels ;


λ Modéliser le contexte du système, considéré comme boîte noire, en :

 Identifiant les entités externes au système qui interagissent directement


avec lui (acteurs) ;
 Répertoriant les interactions (émissions /réception de messages) entre
ces acteurs et système ;
 Représentant l’ensemble des interactions sur un modèle de contexte
dynamique, éventuellement complété par un modèle de contexte
statique.

a.

Un processus métier est un ensemble d’activités liées les unes aux autres
et qui prennent fin qu’à la livraison d’un produit ou service aux clients.41

Le processus métier est également défini comme un ensemble d'activités


et de tâches qui, une fois effectuées, rempliront l'un des objectifs de l'entreprise. Le
processus doit inclure des entrées clairement définies et une seule sortie.42

Comme cette institution regorge plusieurs activités, nous allons présenter


dans un sens particulier, le processus des inscriptions des élèves, il commence lorsque :

 Le tuteur accompagné de l’élève présente le dossier auprès du chef


d’établissement (Préfet/Directeur/Directrice), pour inscrire l’élève ou
passer la demande d’inscription ;
 On prend en compte l’inscription lorsque le nom de l’élève figure pour
la première fois sur le palmarès de l’institution ;
 La réinscription est prise en compte lorsque le nom de l’élève est dans
le palmarès du complexe et aussi lorsque l’élève a fini dans la même
école et était retenu l’année passée ;
 La réintégration est faite lorsque le nom de l’élève est dans le palmarès
de l’école et aussi l’élève a abandonné les cours dans la même école ;
 Dans tous les cas, le tuteur de l’élève dépose son dossier pour
vérification auprès du chef d’établissement, qui fournit au tuteur un
document appelé « Bon d’inscription » (contenant le nom et la classe
de l’élève) de sorte que le tuteur de l’élève paie au caissier tous les frais
d’inscription et reçoit du caissier un reçu justifiant le paiement, et en fin
le caissier archive le reçu pour établir un rapport journalier adressé au
chef d’établissement, qui, à son tour lit et approuve.

b.

Les besoins exprimés sont entre autres

 La gestion des inscriptions ;


 La gestion des élèves ;
 La gestion de paiement des frais scolaires.

c.

Un acteur est une entité quelconque ayant un comportement qui inclut


d’autres systèmes faisant appel au système modélisé ou auquel le système modélisé fait
appel. Plus généralement, il s’agit d’une catégorie de personnes qui peut agir comme
utilisateur du système et interagir avec ce dernier.43

En d’autres mots, c’est une entité externe qui agit sur un système. Les
principaux acteurs sont les suivants :

1. Tuteur/élève : c’est la personne qui joue un grand rôle au sein d’une institution
scolaire, elle inscrit son élève, lit le communiqué, etc. ;
2. Caissier : c’est la personne qui enregistre les inscriptions, livre les reçus aux différents
élèves, établit le rapport journalier ;
3. Chef d’établissement : c’est la personne qui gère les activités éducationnelles du
complexe, elle reçoit en premier le tuteur pour l’inscription de l’élève.
d.

Le diagramme de contexte statique délimite le domaine d’étude en


précisant ce qui est à la charge du système, et en identifiant l’environnement extérieur au
système étudié, avec lequel ce dernier communique. Ce dernier spécifie le nombre
d’instances d’acteurs reliées au système à un moment donné.

Figure n°2 : Diagramme de contexte statique

e.

Le diagramme d’activités n’est autre que la transcription dans UML de la


représentation du processus telle qu’elle a été élaborée lors du travail qui a préparé la
modélisation : il montre l’enchaînement des activités qui concourent au processus.44

Dans la phase de conception, les diagrammes d’activités sont


particulièrement adaptés à la description des cas d’utilisation. Plus précisément, ils viennent
illustrer et consolider la description textuelle des cas d’utilisation.45

 Action : une action correspond à un traitement qui va modifier le système. Cette


action peut être appréhendée soit à un niveau élémentaire proche d’une instruction
en termes de programmation soit à un niveau plus global correspondant à une ou
plusieurs opérations. Elle est représentée par un rectangle dont les coins sont
arrondis.
 Transition : c’est le passage d’une activité vers une autre. Elle est matérialisée par
une flèche en trait plein. Les transitions sont déclenchées dès que l’activité source
est terminée et provoquent automatiquement et immédiatement le début de la
prochaine activité à déclencher.
 Activité : elle représente le comportement d’une partie du système en termes
d’actions et des transitions. Une activité est composée de trois types de nœuds :
λ Le nœud d’exécution (action, transition) ;
λ Le nœud de contrôle (nœud initial, nœud final, flux de sortie, nœud
de bifurcation, nœud de jonction, nœud de fusion-test, nœud de test-
décision, nœud de Pin d’entrée et de sortie) ;
λ Et le nœud d’objets.

Figure n° 3 : diagramme d’activités


II.3.3.

Parlant des contraintes fonctionnelles, le complexe scolaire GAD SCHOOL


connaît une manière archaïque dans la façon dont les activités se déroulent, notamment :
les inscriptions, le communiqué à passer aux élèves et/ou parents, voire la gestion des
données, etc.

Voilà pourquoi, nous allons concevoir un site web qui permettra de palier
à la situation de sa gestion non acceptable.

II.3.4.

La capture des besoins fonctionnels est la première étape de la branche


gauche du cycle en Y. Elle formalise et détaille ce qui a été ébauché au cours de l’étude
préliminaire.46
Nous verrons successivement à ce niveau comment :

λ Identifier les cas d’utilisation du système par ses acteurs ;


λ Décrire les cas d’utilisation ;
λ Organiser les cas d’utilisation ;
λ Identifier les classes candidates du modèle d’analyse.

La spécification des besoins va nous permettre d’avoir une meilleure


approche des utilisateurs, des fonctionnalités et de la relation entre les deux. Elle serait sous
forme de cas d’utilisation.

a.

Un cas d’utilisation (use case) représente un ensemble de séquences


d’actions réalisées par le système et produisant un résultat observable intéressant pour un
acteur particulier. Un cas d’utilisation modélise un service rendu par le système. Il exprime
les interactions acteurs/système et apporte une valeur ajoutée « notable » à l’acteur
concerné.47 Ou encore, c’est une fonction offerte par le système à son environnement. 48

Chaque cas d’utilisation spécifie un comportement attendu du système


considéré comme un tout, sans imposer le mode de réalisation de ce comportement. Il
permet de décrire ce que le futur système devra faire, sans spécifier comment il le fera.
Chaque cas d’utilisation correspond donc à une fonction métier du système, selon le point
de vue d’un de ses acteurs.
Ces cas d’utilisations peuvent faire allusion aux différentes tâches réalisées
par des acteurs, en l’occurrence :

λ Inscrire élève ;
λ Établir rapport ;
λ Effectuer paiement.

Figure n°4 : diagramme de cas d’utilisation métier

b.

Un cas d’utilisation doit être accompagné d’une description textuelle


d’interactions entre l’acteur, le système et les actions que le système doit réaliser en vue de
produire les résultats attendus par les acteurs. Chaque cas d'utilisation doit faire l'objet d'une
description (éventuellement à l'aide d'une fiche descriptive).

Pour décrire un cas d’utilisation, nous allons par six (6) étapes, entre autres :

1. : Décrire succinctement le contexte et les résultats attendus du cas


d’utilisation. Un objectif qui vous pousse d’en choisir un, au lieu d’un autre ;

2. : le ou les acteurs concernés par le cas doivent être


identifiés en précisant globalement leur rôle. Il s’agit de celui ou ceux qui sont
concernés à manipuler un cas d’utilisation ;

3. : Si certaines conditions particulières sont requises avant l’exécution


du cas d’utilisation, elles sont à exprimer à ce niveau ;
4. : si certaines conditions particulières doivent être réunies après
l’exécution du cas d’utilisation, elles sont à exprimer à ce niveau. Il s’agit d’une
condition qui intervient après avoir exécuté un cas d’utilisation ;

5. : il montre les différentes étapes qui se déroulent lorsqu’on


manipule un cas d’utilisation ; (il est numéroté). Il s’agit là du scénario principal qui
doit se dérouler sans incident et qui permet d’aboutir au résultat souhaité ;

6. : il corrige les anomalies du scenario nominal. Le lien avec le


scénario principal se fait à l’aide d’une numérotation hiérarchisée (3.a, 3.b, …)
rappelant le numéro de l’action concernée.

1. Cas d’utilisation : « »

a. Résumé : ce cas d’utilisation permet au tuteur d’inscrire un élève.
b. Acteurs :
• Principal : Tuteur/Élève
• Secondaire : chef d’établissement, Caissier
- Précondition : l’élève doit avoir un minimum de trois ans.
- Scénario nominal :
1. Le tuteur se présente et passe une demande d’inscription chez le chef
d’établissement ;
2. Le chef d’établissement traite la demande et demande au tuteur de
déposer le dossier de l’élève ;
3. Le tuteur dépose le dossier de l’élève auprès du chef d’établissement ;
4. Le chef d’établissement établit le document appelé Bon d’inscription
- Scénario alternatif :
3.a. Le processus s’arrête en cas de non-conformité de la demande ;
3.b. Le chef d’établissement établit un document appelé « Bon
d’inscription » ;
3.b.1. Le tuteur se présente à la caisse, muni du bon d’inscription et
paie les frais ;
3.b.2. Le caissier établit et archive le reçu, puis le remet au tuteur,
pour en fin établir un rapport journalier adressé au chef
d’établissement ;
3.b.3. Le chef d’établissement reçoit, lit et approuve le rapport
journalier.

Figure n°5 : diagramme de séquence C.U Inscrire élève


Figure n°6 : diagramme de classe participante C.U Inscrire élève

2. Cas d’utilisation : « »


1. Résumé : permettre au tuteur de l’élève d’effectuer le paiement des frais
d’inscription
2. Acteurs :
• Principal : tuteur/élève
• Secondaire : caissier
- Précondition : avoir passé une demande d’inscription
- Scenario nominal :
1. Le tuteur paie la somme demandée ;
2. Le cassier établit un reçu de paiement ;
3. Le tuteur reçoit un reçu de paiement ;
4. Le caissier archive le reçu.
- Scenario alternatif :
2.a. le reçu ne sera pas établit lorsque le tuteur ne paie pas la somme
demandée ;
- Post condition : inscription validée

Figure n°7 : diagramme de séquence C.U Effectuer paiement

Figure n° 8 : diagramme de classe participante C.U Effectuer paiement

3. Cas d’utilisation : « »


- Résumé : ce cas d’utilisation va permettre au caissier d’établir un rapport
journalier
- Acteurs :
• Principal : caissier
• Secondaire : chef d’établissement
- Précondition : avoir perçu un paiement des frais d’inscription
- Scenario nominal :
1. Le caissier établit un rapport journalier et le dépose auprès du chef
d’établissement ;
2. Le chef d’établissement reçoit, lit et approuve le rapport ;
3. Le chef d’établissement archive le rapport journalier.
- Scenario alternatif :
- Post condition : rapport journalier approuvé

Figure n°9 : diagramme de séquence C.U Établir rapport

Figure n° 10 : diagramme de classe participante C.U Établir rapport


Chapitre Troisième : CONCEPTION DU SYSTÈME INFORMATIQUE

III.1. INTRODUCTION

Un système informatique est un ensemble des moyens informatiques et de


télécommunication ayant pour finalité d’élaborer, traiter, stocker, acheminer, présenter ou
détruire des données.49 En d’autres mots, le système informatique est représentatif des
moyens informatiques comme les logiciels, les ordinateurs, etc.50 C’est ainsi que dans le
présent chapitre, nous allons montrer la minière dont la nouvelle solution sera conçue.

III.2. CAPTURE DES BESOINS DU SYSTÈME INFORMATIQUE

La conception d’un système informatique, est la préoccupation des


utilisateurs pour une satisfaction des besoins ; Ce sont des besoins qui déterminent ce que
le système doit fournir à ses utilisateurs.

À ce niveau, les éléments comme cas d’utilisation, vont nous permettre de


voir la fonctionnalité du système ainsi que la manière dont les différents acteurs vont
manipuler le système.

III.2.1.

Les principaux acteurs du système informatique sont les suivants :

1. : toute personne qui navigue sur le site du complexe pour lire les
informations, envoyer un message ;
2. : toute personne qui utilise le système informatique du complexe
scolaire Gad School, pour demander l’inscription ;
3. : toute personne qui utilise le système informatique du complexe
scolaire Gad School, pour ajouter les fichiers ;
4. : toute personne qui manipule le système informatique
du complexe scolaire Gad School, pour traiter la demande d’inscription, inscrire
l’élève, fournir le document « Bon d’inscription » au tuteur ;
5. : toute personne qui enregistre le paiement, établit le rapport
journalier adressé au chef d’établissement du complexe scolaire Gad School ;
6. : toute personne chargée de gérer le système informatique.
III.2.2.
a.

Il s’agit des fonctionnalités du système. Ce sont les besoins spécifiant un


comportement d’entrée/sortie du système. Les cas d’utilisation font apparaître les besoins
fonctionnels et leur ensemble constitue le modèle des cas d’utilisation qui décrit les
fonctionnalités complètes du système.51 Les besoins fonctionnels seront sous forme des cas
d’utilisation. Nous citons :



b.

Il s’agit des besoins qui caractérisent le système. Ce sont des besoins en


matière de performance, de type de matériel ou le type de conception. Ces besoins peuvent
concerner les contraintes d’implémentation (langage de programmation, type de SGBD, de
système d’exploitation…).52 Ce sont les besoins de d’utilisabilité, de performance, de
disponibilité, de fiabilité.

III.3. ANALYSE DU SYSTÈME INFORMATIQUE


III.3.1.

C’est un ensemble de fonctionnalités du système. Son importance est qu’il


permet de recueillir, d’analyser, d’organiser les besoins, et de recenser les grandes
fonctionnalités du système. Pour élaborer un diagramme de cas d’utilisation, il faut avoir
certains éléments comme :

1. Acteur : un acteur qui est une entité externe qui agit sur le système. Nous avons aussi
quatre catégories d’acteurs, notamment :

 Acteur principal : est celui qui utilise les fonctionnalités principales d’un système.
 Acteurs secondaires : sont ceux qui utilisent des tâches administratives ou de
maintenance.
 Les matériels externes : sont des dispositifs matériels incontournables qui font
partie du domaine de l’application, et qui doivent être utilisés.
 Les autres systèmes : sont les systèmes avec lesquels le système doit interagir
(communiquer).
Un acteur est représenté par un petit bonhomme avec son nom inscrit
(rôle qu’il joue) dessous.

2. Cas d’utilisation : c’est une fonction offerte par le système à son environnement. Un
cas d’utilisation est spécifié uniquement par un intitulé.

Un cas d’utilisation spécifie une fonction offerte par l’application à son


environnement. Un cas d’utilisation est spécifié uniquement par un intitulé. Nous
recommandons que l’intitulé du cas d’utilisation respecte le pattern « verbe + compléments
». Le verbe de l’intitulé permet de spécifier la nature de la fonctionnalité offerte par
l’application, tandis que les compléments permettent de spécifier les données d’entrée ou
de sortie de la fonctionnalité.53

 Relation entre cas d’utilisations


a. Relation d’inclusion : Il est possible de spécifier qu’un cas d’utilisation inclut un
autre cas d’utilisation. La relation d’inclusion entre cas d’utilisation se représente
graphiquement à l’aide d’une flèche pointillée sur laquelle nous faisons
apparaître la chaîne de caractères « include ». La flèche va du cas qui inclut vers
le cas inclus.54

En d’autres mots, c’est lorsqu’un cas d’utilisation A dépend du cas


d’utilisation B, lorsque A est sollicité B l’est obligatoirement.

b. Relation de généralisation : un cas d’utilisation A est une généralisation d’un cas


B, si B est un cas particulier de B. Cette relation de généralisation/spécialisation
est présente dans la plupart des diagrammes UML et se traduit par le concept
d’héritage dans les langages orientés objet.
c. Relation d’extension : On dit qu’un cas d’utilisation A étend un cas d’utilisation B
lorsque le cas d’utilisation A peut être appelé au cours de l’exécution du cas
d’utilisation B.

La relation d’extension entre cas d’utilisation se représente graphiquement


à l’aide d’une flèche pointillée sur laquelle nous faisons apparaître la chaîne de caractères «
extend ».

 Relation entre Acteur et Cas d’utilisation

La relation d’association est la seule relation qui est le chemin de


communication entre un acteur et un cas d’utilisation et est représentée par un trait continu.
Figure n°4 : Diagramme des cas d’utilisation de conception

III.3.2.

Dans le cadre d’un développement itératif et incrémental, il est très utile


de recourir au découpage en cas d’utilisation pour définir les itérations.

À cet effet, il convient en premier lieu d’identifier les cas d’utilisation les
plus critiques en termes de gestion des risques. Ces cas d’utilisation devront être traités
prioritairement afin de lever au plus tôt les risques majeurs. Il sera également demandé au
client d’affecter une priorité fonctionnelle à chaque cas d’utilisation, afin de livrer d’abord
les cas d’utilisation les plus demandés.

CONSULTER ACTUALITÉS FAIBLE MOYENNE 9


EFFECTUER PAIEMENT MOYEN MOYENNE 6
ENREGISTRER PAIEMENT HAUT ÉLEVÉE 7
ÉTABLIR RAPPORT MOYEN FAIBLE 8
GÉRER UTILISATEUR HAUT ÉLEVÉE 1
INSCRIRE ÉLÈVE MOYEN MOYENNE 5
PASSER DEMANDE HAUT ÉLEVÉE 3
S’AUTHENTIFIER HAUT ÉLEVÉE 2
TRAITER DEMANDE MOYEN MOYENNE 4
III.3.3.

Le diagramme de classes participantes est un diagramme de classes UML


qui décrit cas d’utilisation par cas d’utilisation. Les trois principales classes d’analyse et leurs
relations55 :
 Les classes dialogues possèdent des attributs et des opérations. Les attributs
représentent des champs de saisie ou des résultats. Les opérations elles, représentent
des actions de l’utilisation sur l’Interface Homme Machine ;
 Les classes contrôles contiennent des opérations. Ces opérations représentent la
logique applicative de l’application, les règles métiers ou les comportements du
système informatique ;
 Les classes entités possèdent en général des informations persistantes de l’application.

Le diagramme de classes participantes est particulièrement important


puisqu’il effectue la jonction entre, d’une part, les cas d’utilisation, le modèle du domaine et
la maquette, et d’autre part, les diagrammes de conception logicielle que sont les
diagrammes d’interaction et le diagramme de classes de conception.56

1. Diagramme des classes participante du cas C.U : « »

Ce diagramme montre les classes qui interagissent lorsqu’un internaute


consulte les actualités sur le système informatique.
2. Diagramme des classes participante du cas C.U : « »

Ce digramme montre les classes qui interagissent lorsque le tuteur de


l’élève effectue un paiement des frais d’inscription dans le système informatique.

3. Diagramme des classes participante du cas C.U : « »

Ce diagramme montre les classes qui participent lorsque le cassier


enregistre le paiement de l’inscription de l’élève dans le système informatique.
4. Diagramme des classes participante du cas C.U : « »

Ce diagramme montre les classes qui participent lorsque le caissier établit


le rapport journalier dans le système informatique.

5. Diagramme des classes participante du cas C.U : « »

Ce diagramme montre les classes qui interagissent lorsque l’administrateur


gère les users au sein du système informatique.
6. Diagramme des classes participantes du cas C.U : « »

Ce diagramme montre les classes qui participent lorsque le chef


d’établissement inscrit l’élève dans le système informatique.

7. Diagramme des classes participantes du cas C.U : « »

Ce diagramme montre les classes qui interagissent lorsque le tuteur passe


la demande d’inscription d’un élève sur le système informatique.
8. Diagramme des classes participantes du cas C.U : « »

Ce diagramme montre les classes qui interagissent lorsqu’un utilisateur


s’authentifie au sein du système informatique.

9. Diagramme des classes participantes du cas C.U : « »

Ce diagramme montre les classes qui participent lorsque le chef


d’établissement traite une demande d’inscription du tuteur de l’élève au sein du le système
informatique.
III.4. CONCEPTION DES INTERACTIONS SYSTÈME
III.4.1.

Le diagramme des classes constitue l’un des pivots essentiels de la


modélisation avec UML. En effet, ce diagramme permet de donner la représentation
statique du système à développer. Cette représentation est centrée sur les concepts de
classe et d’association. Chaque classe se décrit par les données et les traitements dont elle
est responsable pour elle-même et vis-à-vis des autres classes. Les traitements sont
matérialisés par des opérations. Le détail des traitements n’est pas représenté directement
dans le diagramme de classes ; seul l’algorithme général et le Pseudocode correspondant
peuvent être associés à la modélisation.57 La description du diagramme de classe est fondée
sur :

 Le concept d’objet ;
 Le concept de classe comprenant les attributs et les opérations ;
 Les différents types d’association entre classes.

Le diagramme de classes est considéré comme le plus important de la


modélisation orientée objet, il est le seul obligatoire lors d’une telle modélisation. Alors que
le diagramme de cas d’utilisation montre un système du point de vue des acteurs, le
diagramme de classes en montre la structure interne. Il permet de fournir une
représentation abstraite des objets du système qui vont interagir ensemble pour réaliser les
cas d’utilisation. Il est important de noter qu’un même objet peut très bien intervenir dans
la réalisation de plusieurs cas d’utilisation.58 Certes, notre diagramme de classes de
conception va se présenter de la sorte :
Figure n° 10 : Diagramme de classes de conception
III.5. CONCEPTION DES ARCHITECTURES DU LOGICIEL

L’architecture d’un logiciel décrit la manière dont seront agencés les


différents éléments d’une application ou d’un système et comment ils interagissent entre
eux. Cette étape est donc l’une des premières étapes du développement logiciel et
intervient lors de la phase de conception. La conception de l’architecture du logiciel est une
phase particulière importante du développement d’un logiciel.

III.5.1.

L’architecture client/serveur caractérise un système basé sur des échanges


réseau entre des clients et un serveur centralisé, lieu de stockage des données de
l’application ou du système (architecture 2-tiers). Le principal avantage de l’architecture
client/serveur, tient à la centralisation des données, stockées à un seul endroit, elles sont
plus faciles à sauvegarder et à sécuriser.

III.5.2.
a.

Pour ce qui est de notre cas, nous avons comme composants :

λ Opéra mini, Mozilla Firefox, Google Chrome, Microsoft Edge, etc.


comme navigateur web à utiliser côté client ;
λ Le Framework CodeIgniter pour le développement du code
source ;
λ Les Frameworks Bootstrap et jQuery pour la stylisation et
l’animation des pages web ;
λ Apache, Glashfish, etc. pour le serveur web et serveur
d’application ;
λ MySQL, SQL serveur, etc. comme serveur de données.

b.

Les matériels qui seront utilisés sont les suivants :

λ Les ordinateurs, les téléphones intelligents (postes de travail) ;


λ Le modem, les câbles réseaux, etc. pour permettre une bonne
connectivité.
III.5.3.
Le diagramme de déploiement permet de représenter l’architecture
physique supportant l’exploitation du système. Cette architecture comprend des nœuds
correspondant aux supports physiques (serveurs, routeurs…) ainsi que la répartition des
artefacts logiciels (bibliothèques, exécutables…) sur ces nœuds. C’est un véritable réseau
constitué de nœuds et de connexions entre ces nœuds qui modélise cette architecture.59
Deux éléments sont à souligner, en l’occurrence :
λ Un Nœud : qui correspond à une ressource matérielle de traitement sur laquelle
des artefacts seront mis en œuvre pour l’exploitation du système. Les nœuds
peuvent être interconnectés pour former un réseau d’éléments physiques.
λ Un Artefact : c’est la spécification d’un élément physique qui est utilisé ou produit
par le processus de développement du logiciel ou par le déploiement du
système. C’est donc un élément concret comme par exemple : un fichier, un
exécutable ou une table d’une base de données. Un artefact peut être relié à
d’autres artefacts par notamment des liens de dépendance.

Figure n° 11 : Diagramme de déploiement


Chapitre Quatrième : IMPLÉMENTATION DE LA SOLUTION NOUVELLE

Dans ce chapitre, il est question de présenter la manière dont nous avons


développé la solution informatique retenue pour répondre aux problèmes de gestion
invoqués tout au long de cette étude. Nous allons présenter les différents outils utilisés pour
le codage du site web en marge de ce travail ainsi que les différentes interfaces utilisateurs.

IV.1. DESCRIPTION DES OUTILS ET PLATEFORMES

La description des outils consiste à donner quelques détails sur les


éléments logiciels ou les plateformes qui ont contribué à l’implémentation
proprement dite. Le choix des outils de développement est une étape très capitale dans la
démarche de réalisation d’un site web car la qualité de ce dernier en dépend.

C’est pourquoi, il est conseillé au développeur d’avoir une idée nette sur
les outils à utiliser dans l’implémentation. Parmi ces outils, nous pouvons citer ceux qui
suivent :

IV.1.1.

Pour la modélisation, nous avons utilisé le logiciel PACESTAR Edge


Diagrammer version 6.02.2014. C’est un outil de modélisation UML de la catégorie AGL
(Atelier de Génie Logiciel) qui nous a servi dans l’élaboration de tous les diagrammes UML
se trouvant dans ce travail.

IV.1.2.

L’outil pour le développement de l’application en mode local est le logiciel


XAMPP version 3.3.0 X64. Ce logiciel nous a été très indispensable car il incorpore en son
sein des outils très puissants (un serveur d’application, un serveur web et un serveur de base
de données) qui nous ont facilité la tâche pour un développement local et efficace.

Tous les outils utilisés dans XAMPP sont similaires à ceux utilisés
dans les différents hébergeurs en ligne. D’où ce logiciel est considéré comme
un hébergeur local. Il existe d’autres alternatifs concurrentiels à ce dernier, c’est le cas de
EASYPHP, WampServer, etc.
IV.2. OUTILS DE DÉVELOPPEMENT
IV.2.1.

CodeIgniter est un Framework MVC (Model-View-Controller) écrit en PHP.


Initialement développé par la société américaine EllisLab, sa première version remonte à
2006. Depuis 2013, c’est le BCIT (British Columbia Institute of Technologie), université
canadienne, qui en assure le développement. Aujourd'hui en version 3, CodeIgniter
continue d'évoluer régulièrement en gardant sa philosophie initiale : être un Framework très
léger et rapide à l'exécution.

Notre choix porte sur ce Framework pour sa maturité ; nous apprécions


beaucoup la clarté de sa documentation et sa prise en main rapide. La courbe
d’apprentissage est excellente. Mais ce que nous aimons par-dessus tout, c’est sa légèreté,
sa rapidité et sa souplesse. Ce sont autant de points importants dans un monde où il faut
se montrer agile et intégrer de nouveaux besoins dans des délais courts.

CodeIgniter encourage fortement l'utilisation de l'architecture Modèle-


Vue-Contrôleur. Le Framework est compatible avec PHP 5 à partir de la version 2.0.0. Une
liste non exhaustive des principales caractéristiques de CodeIgniter pourrait être celle-ci :
Gestion des bases de données avec support de plusieurs plateformes, Envoi de mails
supportant les pièces jointes, Gestion des sessions, Validation des données et des
formulaires, Sécurité et filtres XSS, Cryptage des données, Classe de gestion des tests
unitaires, etc.60

Voici un schéma très bien fait extrait de la documentation. Il illustre le


fonctionnement de CodeIgniter.
IV.2.2.

Bootstrap est une collection d'outils utile à la création du design


(graphisme, animation et interactions avec la page dans le navigateur etc.) de sites et
d'applications web.61

IV.2.3.

Une bibliothèque JavaScript libre qui porte sur l’interaction entre JavaScript
(comprenant Ajax) et HTML, et a pour but de simplifier des commandes communes de
JavaScript.
IV.3. PRÉSENTATION DES INTERFACES DU SITE WEB https://moses.bal-oy.net

IV.3.1.

Cette page est le point d’entrée du site web, elle fournit des informations
supplémentaires sur le système informatique mis en place et certaines modalités sur le
processus d’inscription des élèves. Il est à signalé que le site web est hébergé à l’adresse
web : https://moses.bal-oy.net.

IV.3.2.

Cette page nous donne un aperçu sur les dernières publications sur le site
web du Complexe Scolaire GAD SCHOOL, voici ce dont à quoi elle ressemble :
IV.3.3.

Cette page permet aux internautes de lire des communiqués en rapport


avec le Complexe Scolaire GAD SCHOOL, voici sa capture d’écran :

IV.3.4.

Cette page permet aux internautes de contacter le Complexe Scolaire GAD


SCHOOL.
CONCLUSION GÉNÉRALE

Le monde éducatif actuel nécesite l’adaptation des nouvelles technologies


informatiques, pour mieux satisfaire aux besoins nouveaux intendant, dans différentes
activités intervenant dans la gestion d’une institution éducationnelle.

L’enseignement académique fait que tout étudiant ayant passé tout son
parcours au sein d’une université, de rédiger un travail fin de cycle pour le premier cycle,
TFC en sigle. Pour ce faire, nous voici à la fin du notre.

Ceci étant, pour remédier aux différents problèmes de gestion qui mettait
le bâton dans les roues du Complexe Scolaire Gad School, nous avons jugé bon de
concevoir un Site Web, qui servirait de miroir, d’effectuer les inscriptions des élèves à
distance, mais aussi de consulter les communiqués et actualités publiés par le Complexe
Scolaire.

Pour ce faire, nous condensons ce travail en ces termes : le premier


chapitre nous a permis des définir et expliquer les différents concepts de base de notre
travail. Le deuxième quant à lui, nous a permis de présenter l’existant ou le champ
d’investigation, qui nous a fourni des données exactes dans l’élaboration de ce travail. Le
troisième à son tour, a parlé sur la conception du Système Informatique, nous avons montré
la minière dont la nouvelle solution sera conçue. Et le dernier, qui est le quatrième, est allé
tout droit vers la mise en œuvre de la solution nouvelle ou l’implémentation du système
futur.

Pour clore ce travail, nous sommes restés ouverts à toutes les remarques
et critiques, qui nous seront adressées par qui, aura lu ce travail.
BIBLIOGRAPHIE

1. OUVRAGES
λ
λ

λ
λ
λ

λ
λ

2. NOTES DE COURS
λ

3. TRAVAUX
λ

λ
λ

4. DICTIONNAIRES
λ
λ
λ

5. SITES INTERNET
λ
λ
λ
λ
λ
λ
λ
λ
λ
λ
λ
λ
λ
λ
TABLE DES MATIÈRES
ÉPIGRAPHE ______________________________________________________________________________________ I
DÉDICACE _______________________________________________________________________________________ II
REMERCIEMENT _________________________________________________________________________________III
INTRODUCTION GÉNÉRALE________________________________________________________________________ 1
1. PRÉSENTATION DU PROJET ________________________________________________ 1
2. CHOIX ET INTÉRÊT DU SUJET ______________________________________________ 2
2.1. _____________________________________________________________ 2
2.2. ____________________________________________________________ 2
3. ÉTAT DE LA QUESTION ____________________________________________________ 3
4. PROBLÉMATIQUE ET HYPOTHÈSES __________________________________________ 4
4.1. _____________________________________________________________ 4
4.2. _________________________________________________________________ 5
5. MÉTHODE ET TECHNIQUES UTILISÉES _______________________________________ 6
4.3. ____________________________________________________________________ 6
4.4. _________________________________________________________________ 7
6. DÉLIMITATION DU SUJET __________________________________________________ 7
7. SUBDIVISION DU TRAVAIL __________________________________________________ 8
Chapitre Premier : DÉFINITION DES CONCEPTS ET CONSIDÉRATIONS THÉORIQUES _________________ 9
I.1. INTRODUCTION _________________________________________________________ 9
I.2. DÉFINITION DES CONCEPTS ______________________________________________ 9
I.3. CONSIDÉRATIONS THÉORIQUES __________________________________________ 10
I.3.1. _______________________________________ 10
a. ______________________________________________ 10
b. _______________________________________________ 11
I.3.2. _________________ 11
I.3.3. ______________________ 11
I.3.4. __________________________ 12
I.3.5. ___________ 12
I.3.6. _________________________________________ 12
I.3.7. _______________________________________________ 13
a. __________________________________________ 13
b. ______________________________________________________ 13
c. __________________________________________________ 13
d. _______________________________________________________ 13
I.3.8. ____________________________________________ 13
a. ___________________________________________________ 13
b. ____________________________________________________________________ 14
c. _______________________________________________________________ 14
d. ___________________________________________________________ 14
e. ________________________________________________________________________ 14
I.3.9. ___________________________________________ 15
I.3.10. _________________________________________________________ 17
I.4. LE LANGAGE DE PROGRAMMATION ______________________________________ 19
I.4.1. _________________________________________________ 19
I.4.2. _________________________________ 20
I.4.3. __________________________________ 20
Chapitre Deuxième : PRÉSENTATION DE L’EXISTANT, SPÉCIFICATION DES BESOINS ET ANALYSE DU
MÉTIER_________________________________________________________________________________________ 21
II.1. GÉNÉRALITÉS__________________________________________________________ 21
II.2. PRÉSENTATION DE L’ENTREPRISE _______________________________________ 21
II.2.1. _________________________________________________________________ 21
II.2.2. _______________________________________________ 21
II.2.3. ____________________________________________________________ 22
II.2.4. _____________________________ 22
II.2.5. __________________________________________ 24
II.3. ANALYSE DU MÉTIER ___________________________________________________ 24
II.3.1. _____________________________________________________ 24
II.3.2. ______________________________________________________ 25
a. _____________________________ 25
b. __________________________________________________________ 26
c. _______________________________________________ 26
d. ________________________________________ 27
e. ____________________________________________________ 27
II.3.3. __________________________________________ 29
II.3.4. ____________________________________ 29
a. ______________________________ 29
b. ___________________ 30
Chapitre Troisième : CONCEPTION DU SYSTÈME INFORMATIQUE ___________________________________ 36
III.1. INTRODUCTION ________________________________________________________ 36
III.2. CAPTURE DES BESOINS DU SYSTÈME INFORMATIQUE ______________________ 36
III.2.1. _____________________________________ 36
III.2.2. __________________________ 37
a. ____________________________________________________ 37
b. _______________________________________________ 37
III.3. ANALYSE DU SYSTÈME INFORMATIQUE ___________________________________ 37
III.3.1. _____________________ 37
III.3.2. _________________________________________________ 39
III.3.3. ________________ 40
III.4. CONCEPTION DES INTERACTIONS SYSTÈME _______________________________ 45
III.4.1. ________________________________ 45
III.5. CONCEPTION DES ARCHITECTURES DU LOGICIEL __________________________ 47
III.5.1. __________________________________ 47
III.5.2. _____________________ 47
a. _______________________________________ 47
b. _______________________________________________________ 47
III.5.3. ____________________________________________ 48
Chapitre Quatrième : IMPLÉMENTATION DE LA SOLUTION NOUVELLE ______________________________ 49
IV.1. DESCRIPTION DES OUTILS ET PLATEFORMES ______________________________ 49
IV.1.1. ______________________________________ 49
IV.1.2. ____________________________________ 49
IV.2. OUTILS DE DÉVELOPPEMENT ____________________________________________ 50
IV.2.1. _______________________________________ 50
IV.2.2. _________________________________________ 51
IV.2.3. _____________________________________ 51
IV.3. PRÉSENTATION DES INTERFACES DU SITE WEB https://moses.bal-oy.net ___________ 52
IV.3.1. _______________________________________________________ 52
IV.3.2. _____________________________________ 52
IV.3.3. _____________________________________________ 53
IV.3.4. ____________________________________________________ 53
CONCLUSION GÉNÉRALE _______________________________________________________________________ 54
BIBLIOGRAPHIE ________________________________________________________________________________ 55
1. OUVRAGES ______________________________________________________________ 55
2. NOTES DE COURS ________________________________________________________ 55
3. TRAVAUX _______________________________________________________________ 55
4. DICTIONNAIRES __________________________________________________________ 56
5. SITES INTERNET _________________________________________________________ 56
TABLE DES MATIÈRES __________________________________________________________________________ 57

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