Le monde est habité par des millions de gens.

Nous aimons des choses

différentes, nous pratiquons des activités et des sports différents. La plupart

d’entre nous vivent en harmonie et respectent les autres. Mais

malheureusement, certains ne se comportent pas toujours bien avec les

personnes qu’ils jugent différentes d’eux. Il arrive que des personnes soient

traitées différemment en raison de la couleur de leur peau, de leur contexte

familial ou de leur pays d’origine. C’est ce qu’on appelle le racisme.

Louise Spilsbury, Hanane Kai, Le racisme et l’intolérance, ©Editions Nathan, 2018

Dans ce texte, il y a phrases.

Nos points communs sont plus importants que nos différences. Nous

avons tous besoin de nourriture, d’eau, d’une maison, de liberté, de

sécurité… Nous voulons tous apprendre, travailler et nous amuser. Nous

rions, pleurons et aimons passer du temps avec nos proches. Lorsque tu

rencontres une nouvelle personne, essaie de trouver vos points

communs, mais aussi de respecter vos différences. Aimez-vous les

mêmes matières à l’école ? La même musique, les mêmes jeux, les

mêmes films ? Il est amusant de trouver ce qui nous unit.

Louise Spilsbury, Hanane Kai, Le racisme et l’intolérance, ©Editions Nathan, 2018

Dans ce texte, il y a phrases.

@quandjevoislavieenrep
 Le racisme est une forme de préjugé. Un préjugé, c’est lorsque quelqu’un n’aime pas une

autre personne sans la connaître, avant même de lui parler ou avant de savoir quoi que ce soit à

son sujet. C’est une idée toute faite, préconçue. Cela te semble-t-il juste ? Certains font preuve

d’intolérance envers ceux qui mènent une vie différente de la leur. L’intolérance, c’est lorsque

les gens n’acceptent pas la famille, la maison, les croyances ou le mode de vie d’autrui.

L’intolérance peut prendre de nombreuses formes et se manifester, par exemple, quand

quelqu’un dit du mal d’une personne appartenant à une autre religion. Tout le monde devrait

avoir le droit de pratiquer le culte de son choix, sans attirer la haine.

Louise Spilsbury, Hanane Kai, Le racisme et l’intolérance, ©Editions Nathan, 2018

Dans ce texte, il y a phrases.

Imagine un monde où chacun ferait tout ce qui lui passe par la tête. On

finirait par se gêner les uns les autres et la vie deviendrait vite

insupportable pour tout le monde ! Dans un groupe, les règles de

respect des autres sont indispensables, en famille, en classe comme au

travail. Dans les espaces publics, des consignes permettent d’éviter le

désordre et assurent une bonne entente entre tous.

Astrid Dumontet, Elodie Durand, Mes p’tites questions « Vivre ensemble », ©Editions Milan, 2016

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@quandjevoislavieenrep
 Notre population est composée de personnes de toutes origines ! D’ailleurs, tu as

peut-être toi-même un parent, proche ou éloigné, né dans un autre pays ?

Les hommes se déplacent, souvent dans l’espoir de vivre mieux ailleurs. Parmi les

immigrés installés en France, certains obtiennent la nationalité française. Leurs

enfants ont deux cultures : celle de leurs parents et celle de la France, où ils sont nés.

Des efforts sont faits pour que tous les Français puissent vivre dans les mêmes

quartiers, quelles que soient leurs origines et leur richesse. Et pour que les enfants

découvrent la diversité en se retrouvant ensemble à l’école.

Astrid Dumontet, Elodie Durand, Mes p’tites questions « Vivre ensemble », ©Editions Milan, 2016

Dans ce texte, il y a phrases.

« Bonjour », « merci », « s’il vous plaît »… A peine savais-tu parler qu’on

t’a appris ces bases de la politesse. Non pas pour t’embêter, mais parce qu’elles

améliorent les échanges entre les gens. Personne n’est forcé de dire « merci ».

Pourtant, les règles de politesse sont essentielles pour montrer aux autres

qu’on les respecte. Elles sont en quelque sorte un accord de bonne conduite en

société. La politesse est souvent récompensée. Si tu es poli, les autres auront

sûrement envie d’être agréables avec toi. Mais si tu t’adresses à eux d’une

manière blessante, tu risques de provoquer leur colère et leur mépris.

Quelqu’un qui double dans une file d’attente, coupe la parole ou se gratte le

nez en public, dérange les autres ! En étant impoli, on donne une mauvaise

image de soi : celle d’une personne égoïste et sans-gêne.

Astrid Dumontet, Elodie Durand, Mes p’tites questions « Vivre ensemble », ©Editions Milan, 2016

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@quandjevoislavieenrep
 Nous savons tous qu’il y a des quantités de gens dans le monde, et
plusieurs dizaines de millions de plus chaque année. Il y a actuellement
près de sept milliards d’êtres humains sur Terre. En l’an 2025, il y aura
huit milliards d’humains. Si nous nous prenions alors tous par la main,
cela donnerait une chaine longue de 8 164 800 kilomètres, qui ferait 204
fois le tour de la Terre à l’équateur. Ou 21 fois la distance Terre-Lune.
Près de sept milliards de personnes… et pas deux semblables ! Chacun
de nous est différent de tous les autres. Chacun, chacune, unique en
son genre.
Peter Spier, Sept milliards de visages, ©Editions Ecole des loisirs, 1981

Dans ce texte, il y a phrases.

Serge a une collection de petits bocaux, il y garde des ingrédients

secrets et spéciaux cueillis sur le chemin : un bout de nuage, une

pincée de rosée, un rayon de soleil, le rire d’un écureuil, la poussière

d’une étoile… Avec ça, il cuisine les recettes les plus incroyables qu’on

puisse imaginer. Une fois, il a cuisiné une tarte si grande et moelleuse

qu’on pouvait dormir dessus ; celui qui la goûtait en rêves commençait

à flotter comme un ballon. Une autre fois, il a préparé une soupe aux

couleurs de l’arc-en-ciel : tous ceux qui en ont pris une cuillerée brillaient

et changeaient de couleur comme des caméléons.

Rocio Bonilla et Susanna Isern, Le grand livre des Superpouvoirs, ©Editions Père Fouettard, 2019

@quandjevoislavieenrep
 Adé aimait ce jardin coloré. Pendant que son grand frère Lemzo jouait au

ballon avec ses amis, elle apprenait les noms des fleurs par cœur. Elle adorait voir

cet arc-en-ciel floral s’étendre devant elle : le violet des lilas, le blanc des lys et

des anastasias, le rouge des tulipes et des coquelicots… Quelles que soient leur

odeur ou leur couleur, les papillons se posaient sur leurs pétales ouverts.

Laura Nsafou, Barbara Brun, Comme un million de papillons noirs, ©Editions Cambourakis, 2018

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Je sais, je ne suis pas un garçon ordinaire. Bien sûr, je fais des choses

ordinaires ! Je fais du vélo. Je mange des glaces. Je joue au ballon. Mais

mon visage n’est pas ordinaire. Je ne ressemble pas aux autres enfants. Ma

maman dit que je suis extraordinaire, que je suis une merveille. Daisy, ma

chienne, est bien d’accord ! Mais il y a des gens qui ne voient pas que je

suis une merveille. Ils voient juste que je suis différent. Certains me fixent.

D’autres me montrent du doigt ou bien rient. Il y en a aussi qui disent des

méchancetés dans mon dos. Et je les entends.

R.J. Palacio, Wonder, nous sommes tous des merveilles, ©Editions Pocket Jeunesse, 2017

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@quandjevoislavieenrep