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PROGRAMME
I- Coupe et section
II- Tolérance
III- L‟ajustement
IV- Cotation fonctionnelle
V- Liaison mécanique
VI- Désignation des matériaux
I- Mise en situation
II- Guidage en translation par frottement de glissement (par contact direct)
III- Guidage en translation par interposition d‟éléments roulants.
I- Définition
II- Guidage en rotation sur paliers lisses
III- Guidage par roulement
IV- Règle de montage roulement
V- Protection de roulement
I- Généralités
II- Accouplement
III- Poulies courroies
IV- Roues de frictions
V- Roues dentées et chaines
VI- Engrenages
I- Engrenage cylindrique
II- Engrenage conique
III- Trains d‟engrenage
I- COUPE ET SECTION
A- Section
1) Definition
On appelle section, une tranche de pièce très fine en vue de montrer la forme de la section droite de
pièces de forme générale prismatique ou cylindrique lorsque les vues habituelles ne suffisent pas.
2) Les types de sections
Lorsque la surface sectionnée est représentée après rabattement directement sur la vue en trait fin. On
parle de Section rabattue (fig :a)
Lorsque la surface sectionnée est représentée après rabattement sur le prolongement du plan de coupe on
parle de Section sortie. (fig :b et c)
b
a i c
i Figure 4 i
Remarque : les parties touchées par le plan de la section sont hachurée.
3) procédure de réalisation d’une section sortie
supposer la pièce sciée par un enlever mentalement la partie seule la matière coupée par
plan parallèle au plan de située en avant et en arrière du la "scie" est représentée
projection. plan de coupe. avec les hachures.
B- Coupe
1) Définition
On appelle coupe, la vue obtenue lorsqu'on représente sur la section d'une pièce les
parties de la pièce qui se trouvent en arrière du plan de coupe.
2) Coupe simple
Une coupe est dite simple lorsque la pièce est traversée par un plan de coupe unique.
Pour représenter une vue en coupe il faut :
- Tracer le plan de coupe : En trait mixte fin muni de 2 traits forts aux extrémités
- Indiquer le sens d’observation :Deux flèches perpendiculaires au plan et dirigées
vers la vue en coupe à
obtenir.
- Désigner le plan de
coupe : Deux lettres
majuscules à chaque
extrémité
- Désigner la vue en
coupe : Les deux
lettres majuscules de
désignation du plan de
coupe
- Transformer la vue en
coupe (Contours et
arêtes visibles)
- Hachurer les zones
coupées (traits continus
fins)
Remarque :
Les hachures représentent LES ZONES DE MATIERE COUPEE
Les hachures sont représentées en trait continu fin oblique (30°, 45°, 60°, …)
Les hachures ne traversent jamais un trait fort
Les hachures ne s’arrêtent jamais sur un trait interrompu fin (contour caché)
On ne coupe jamais les pieces pleines dans la longueur telles que : (Arbres pleins, vis, boulons, rivets,
Billes, clavettes, goupilles)
3) Demi-coupe
Généralement utilisée pour des pièces symetrique en demi-coupe la moitié de la vue est représentée en
coupe pour définir les contours et les formes intérieures et l‟autre moitié de la vue est representée sa coupe
pour définir les contours et les formes extérieure. Les deux demi-vues sont séparées par un trait mixte fin.
Figure : 2
4) Coupe brisées
a) à plans parallèles
La trace du plan de coupe est toujours matérialisée par un trait mixte fin. Le changement
d‟orientation du plan de coupe est défini par des équerres en trait fort.
b) à plans sécants
A l‟aide d‟une rotation d‟angle α, le plan de couple est ramené dans le prolongement du plan de
projection de la vue coupée.
C- Application
Exercises 1 : complete the full sectional view of the following drawing
- Repérer les points (1), (2) et (3) sur les vues de droite et de dessus
Un porte outil en A65M, utilisé sur un tour révolver, est représenté ci-
dessous à l‟échelle 1:1 par les vues de face et de droite.
Travail à faire :
1. Représenter sur format A4 vertical avec cartouche d‟inscription, cette
pièce à l‟échelle 1:1 par les vues suivantes :
- Vue de face en coupe A-A;
- Vue de droite ;
- Vue de gauche
- Vue de dessus en coupe B-B
2. Etablir la cotation dimensionnelle de cette pièce
II- TOLERANCE
1) Définition
Lors de l‟usinage d‟une pièce, il est impossible d‟obtenir
une cote exacte à cause de l‟imprécision des machines et des
erreurs de lecture du contrôleur. On appelle tolérance cette marge
d‟erreur qui couvre ces imprécisions.
2) Eléments du tolérancement
- Cote Effective : Cote réalisée. Elle doit être comprise entre la cote maximale et la cote minimale.
- Intervalle de Tolérance (IT) : C‟est la variation permise (tolérée, admissible) de la cote effective de
la pièce. Elle est égale à la différence entre l‟écart supérieur et l‟écart inférieur.
Arbre alésage
Une cote tolérancée chiffrée comprend la cote nominale et la valeur des écarts inscrits dans la
même unité que la cote nominale.
Remarque :
b) Tolérances ISO
Une cote tolérancée comprend :
Exemples : 30 H 8
Cote Nominale Symbole de la valeur de la tolérance : Qualité
30 H 8
30H8
Cote nominale –CN–
(mm)
Ecart supérieur (mm) es =20 f7
Inférieur (mm)
Ecart ei = Position des IT par rapport à la ligne zéro :
(µm)
IT (mm) +33 30
Cote Maxi. (mm) 20
H8
10
CoteLigne
mini"(mm)
0
zéro" 0
Cote Moyenne (mm) -10
-20
-20
-30
Compléter le tableaux ci-dessus en nous référant aux tableaux du paragraphe 14.26 du G.D.I : -40
III- L’AJUSTEMENT
a) Définition
Un ajustement est un montage précis (assemblage) de deux
pièces de mêmes dimensions nominales.
20 H7 / e6
Cote nominale Symbole de la tolérance de l’ALESAGE (toujours inscrit en premier)
commune
Ajustement avec
jeu Jeu max> Jeu min>0
- Ajustement serré
Jeu max˂ Jeu min˂0
Quelles que soient les deux pièces tirées dans le lot, leur
montage se fait avec serrage.
Remarque : Lorsque la cote de l‟arbre dépasse celle de l‟alésage, le jeu "négatif" se transforme en serrage.
Présentation du système :
Les automobiles sont équipées pour la plupart d'assistance de freinage.
Cette assistance diminue l'effort fourni par le conducteur sur la pédale de frein. Pour
cela, la pompe à vide crée une dépression nécessaire au fonctionnement de l'assistance
de freinage. Cette pompe est entrainée par une poulie motrice fixée sur l'arbre à came
du moteur.
Schéma de fonctionnement :
Pompe à vide
28 1
Bague de biellette
27 1
Biellette
26 1
Axe de biellette
25 1
Piston
24 1
Revêtement du piston
14 1
Arbre de pompe
11 1
Poulie
Rep. Nbre
Désignation
On souhaite : Une liaison encastrement directe par emmanchement serré (montage à la presse) entre la
poulie (11) et l‟arbre de pompe (14). On demande :
______________________________________________________________________________________
______________________________________________________________________________________
______________________________________________________________________________________
1. Choisir dans le tableau ci-dessous, un ajustement pour la liaison arbre (14)-poulie (11) (Entourer la
réponse) :
18 H8/e8 18 H6/p5 18 H7/g6 18 H7/k6
18 H8 18 H6 18 H7 18 e8 18 p5 18 g6 18 k6
27 11 18 32 26 6 12
18 0
18 0
18 0
18 59
18 18
18 17
18 1
Inscrire l‟ajustement choisi sur la vue partielle en coupe de la pompe à vide (page précédente).
(µm)
30
2
0
10
Ligne "zéro"
0
-10
4. Calculer :
(Serrage ou jeu) …..……........... Maxi = ________________________________________________________
_______________________________________________________________________________________
_______________________________________________________________________________________
_______________________________________________________________________________________
Application 2
Déterminer la nature des ajustements suivant : ɸ20H7-p6, ɸ30 H7-js6, ɸ15H6-p6,
ɸ110E9h11
Une cote condition est une cote qui correspond aux conditions de réalisation d‟une fonction
technique. La condition est représentée sur le dessin par un vecteur à double trait, orienté soit
horizontalement de la gauche vers la droite, soit verticalement du bas vers le haut. Ce vecteur à double trait
est appelé : « cote condition ».
Exemple : Pour que l‟allumette puisse être placée dans la boîte (1), il faut qu‟il ait un jeu Ja entre l‟allumette
(2) et la boite : C‟est la condition.
b) Les surfaces :
- Les surfaces terminales :
Ce sont les surfaces perpendiculaires à la cote condition et qui limitent celle-ci. Par exemple, pour le cas de
l‟allumette dans sa boîte, T1 et T2 sont les surfaces terminales :
Ce sont les surfaces de contact entre les pièces. Elles sont perpendiculaires à la direction de la cote
condition. On note : 2/1. On les appelle aussi surfaces d‟appui.
Ce sont les surfaces qui appartiennent à la même pièce et représentent les surfaces fonctionnelles. Exemple :
1 et 2
a) Règle de calcul :
La règle de calcul est telle que : à partir de la condition maxi ou mini, les cotes positives ont la même
limite que la cote condition.
- Une cote est dite positive si elle a même sens que la cote condition. Exemple a1
- Une cote est dite négative si elle est de sens opposé à la cote condition. Exemple a2 et a3
£
A1 £
A2 £
J £
A3 £
Ai
£
An £
Ai+1
b) Jeu maximal
Le jeu est maximal si les dimensions des vecteurs de sens positif sont maximales et si les dimensions
des vecteurs de sens négatif sont minimales.
c) Jeu minimal
Le jeu est minimal si les dimensions des vecteurs de sens positif sont minimales et si les dimensions des vecteurs de
sens négatif sont maximales.
Exercice 1 :
Pour chacun des mécanismes ci-dessous de 1 à 8, établir les chaînes minimales de cotes relatives aux jeux
indiqués. Pour le mécanisme 9, établir la chaîne minimale de cotes et calculer J1max i ; J1min i ; ITJ1 ; J 2 max i ;
J 2 min i ; ITJ 2
Application
On donne le dessin d‟ensemble (partiel) d‟un mécanisme de transmission.(Voir ci-dessous) composé
essentiellement : de la poulie (13); du pignon arbré (2); du carter (1; 6 ).
Travail demandé :
1) Localiser les surfaces terminales qui limitent la condition "jeu pour le montage de l'anneau élastique",
placer son vecteur cote-condition "A" et tracer sa chaîne de cote.
2) Justifier la présence de la condition B (voir dessin d'ensemble):
3) Justifier la présence de la condition C (voir dessin d'ensemble):
4) Tracer la chaîne de cote relative à B.
5) Tracer la chaîne de cote relative à C.
6) écrire les équations relatives aux cotes A, B et C
V- LIAISON MECANIQUE
1. Degrés de liberté d’une liaison
Un objet libre dans l‟espace (un avion) peut se déplacer dans un repère R (o x y z) selon
6 mouvements indépendants:
3 TRANSLATIONS :
Tx Translation suivant l‟axe X
3 ROTATIONS :
Rx : Rotation autour de l‟axe X
Remarque : Le nombre de degrés de liberté d’une liaison entre 2 solides est égal au nombre de
mouvements relatifs INDEPENDANTS existant entre ces 2 solides.
2. Caractère de liaison
La liaison est non démontable lorsqu‟il n‟est pas possible de supprimer la liaison sans provoquer la
détérioration des pièces liées ou des organes de liaison. Exemple : fig2
Remarque : La liaison qui est complète n‟est pas partielle, celle qui est rigide n‟est pas élastique et celle
qui est non démontable n‟est pas démontable. Donc une liaison ne peut avoir que 3 caractères parmi les 6
qu‟on dénombre.
3. Mode de liaison :
a) Liaison par adhérence et liaison par obstacle
La liaison est par adhérence lorsqu‟un phénomène d‟adhérence s‟oppose à la suppression de la
liaison. Exemple fig4.
La liaison est par obstacle (lorsque la rupture d‟un obstacle est nécessaire pour supprimer la liaison).
Exemple fig2.
b) Liaison directe et liaison indirecte
La liaison par obstacle ou par adhérence est
directe lorsque la forme des pièces liées participe
directement à la liaison. Exemple : Fig. 4 Fig5
1 paire de plans non parallèles (ou plus) / 1 paire de plans Son axe de translation
Glissière
Plan / Plan + contact linéique
Encastrement 0 Translation
0
ou Fixe
0 Rotation
Pièces assemblées par vis
0 Translation
Pivot 1
1 Rotation
(Principe)
1 Translation
Glissière 1
0 Rotation
(Principe)
1 Translation
Hélicoïdale 1 1 Rotation
Translation et
rotation conjuguées (vis + Ecrou)
1 Translation
Pivot glissant 2
1 Rotation
(Principe)
Sphérique à 0 Translation
2
doigt
2 Rotation
2 Translation
Appui plan 3
1 Rotation
Rotule 0 Translation
3
ou sphérique
3 Rotation
Linéaire
1 Translation
annulaire ou 4
sphère- 3 Rotation
cylindre
Linéaire 2 Translation
4
rectiligne
2 Rotation
Ponctuelle ou 2 Translation
5
Sphère-plan
3 Rotation
Remarque : La liaison hélicoïdale ne permet qu’un seul degré de liberté puisque les 2 mouvements relatifs ne son
pas indépendants.
Par NONO Brice(PLET-Mechanical Design) Page 20 PENKA Vinnich (PLET-Mechanical Design)
Collection PENO COURS DE DESSIN DE CONSTRUCTION MECANIQUE 4ième Année MARE & ELEQ
Y C
B
Z
X
ETAPE 1 : IDENTIFICATION DES CLASSES D’EQUIVALENCE
On appelle classe d‟équivalence tout groupe de pièces n‟ayant aucun mouvement entre elles : se sont de
pièces en liaison fixe. Hors mis exclues : Les pièces déformables (Joints, ressorts) et les roulements.
E3
E4 Rotule (C)
E1
E2
C
B
Z E3
X E4
THEME : SERRE-JOINT
I. MISE EN SITUATION
Le dessin d‟ensemble proposé représente un serre-joint utilisé par les techniciens pour les petits
travaux d‟ajustage.
II. DESCRIPTION ET FONCTIONNEMENT
Le déplacement de la mâchoire mobile est commandé par la poignée 5. Dans son mouvement elle est
accompagnée par le coulisseau 10 qui est guidé par la vis 8.
III. TRAVAIL A FAIRE
A. ETUDE TECHNOLOGIQUE
1) Donner la désignation normalisée de la pièce 8
2) Quelle est sa fonction principale ?
3) Quelle est la nature du mouvement de la pièce 9 ?
4) Préciser la nature de la liaison entre les pièces 4-1, 9-1, 7-6, et 3-2
5) Décrire brièvement le fonctionnement de serre-joint
6) Tracer le schéma cinématique du mécanisme
4) Préciser la nature de la liaison entre les pièces 4-1, 9-1, 7-6, et 3-2
Liaison Nature Caractères Mode
4-1
9-1
7-6
3-2
ALLIAGES D’ALUMINIUMS
I- Mise en situation
Le guidage en translation est la solution constructive qui réalise une liaison glissière entre Deux
pièces ou ensembles de pièces. Le seul mouvement relatif possible entre les deux pièces ou ensembles de
pièces est une Translation rectiligne.
b) Exemple : dans chaque cas repasser en couleur les surfaces fonctionnelles qui participe au guidage en
translation de (2) sur (1), puis donner l‟ordre de manœuvre pour régler le jeu
2) Guidages cylindriques
La liaison glissière est réalisée par association d‟un contact cylindrique (supprimant quatre degrés de liberté)
et d‟un arrêt en rotation. L‟arrêt en rotation peut être réalisé à l‟aide d‟une clavette ou de cannelures
Clavetage libre Arbre cannelé Profil polygone Guidage par double tige cylindrique
Exemple :
Le guidage par contact direct convient lorsque les vitesses de déplacement sont faibles ou modérées.
Une bonne lubrification est nécessaire. Inconvénients : Frottement élevé, dégradation de la précision par
usure.
Les guidages par éléments roulants constituent une famille de composants standard dont le principe est
de remplacer le glissement par du roulement.
Ils
comportent 3 catégories de constituants :
EXERCICE DE CONSOLIDATION
A- GUIDAGE EN TRANSLATION PAR FORME CYLINDRIQUE
Le guidage de l‟arbre (1) est réalisé par centrage cylindrique et une vis sans tête fendue à téton long (3). Le
freinage de cette vis est assuré par un écrou hexagonal (4) .Le rattrapage du jeu dû à l‟usure est obtenu par
serrage de la vis à tête fraisée à six pans creux (5).
*On demande de compléter le dessin ci-dessous par les composants représentés ci-contre. Nota : utiliser le
mémento du dessinateur pour dimensionner ces composants.
B- GUIDAGE EN TRANSLATION PAR FORME PRISMATIQUE
Le guidage en translation du coulisseau (1) par rapport à la glissière (2) est assuré par la forme en queue
d‟aronde. Le réglage du jeu fonctionnel est assuré par la cale (3) (Le réglage en position de la cale (3) est
obtenu par pression de la vis sans tête à six pans creux à téton court (4) freinée par l‟écrou (5) et le maintien
en position est obtenu par la vis à tête cylindrique à six pans creux (6)).
*On demande de compléter le dessin ci-dessous par les composants représentés ci-contre.
I- Définition et généralité
1) Introduction
La solution constructive qui réalise une liaison pivot est appelée guidage en rotation. Le guidage en rotation
est nécessaire dans de nombreux cas (moteurs, roues de véhicules, hélices d‟avion ou de turbine…).
y
0 Rx
z x Tr 0 Rot 0
0 0
2) Fonctions à assurer
Le guidage en rotation en phase d‟utilisation doit assurer les fonctions suivantes :
Il est constitué de poudre de bronze (cuivre + étain) ou encore d'alliages ferreux (fer + cuivre +
plomb) compactée. Avant le montage, on imprègne le coussinet d'huile (environ25 % du volume de métal),
la rotation de l'arbre création d'un film d'huile entre le coussinet et l'arbre. A l'arrêt, la porosité du coussinet
permet une réabsorption de l'huile.
1 2 3
1 2
- Augmentation de la durée de vie des pièces fonctionnelles par report de l'usure sur le coussinet
Limites d'utilisation :
Aptitude à la Aptitude
Représentation Remarques
Type de roulement charge à
Utilisations
Normale Conventionnell Radiale Axiale la vitesse
Le guidage en rotation d‟un arbre est obtenu par association de deux paliers dont un fixe et l‟autre
libre. Pour éviter une surabondance d‟obstacle assurant le positionnement axial de ce dernier, il convient de
concevoir un montage choisi parmi les trois solutions suivantes :
Les bagues extérieures sont entraînées en rotation, elles sont montées avec serrage et arrêtées en
translation chacune des deux côtés.
Les bagues intérieures sont montées avec jeu. La translation du logement par rapport à l‟arbre est
éliminée par les deux obstacles assurant la fixation latérale de la bague intérieure du roulement.
Les épaulements (positions) 3 et 8 peuvent être remplacés par les épaulements 4 et 7 (cas de
l‟exemple). Les résultats sont les meilleurs avec la charge axiale dans un seul sens. Un léger jeu j pour éviter
les oppositions et compenser les dilatations.
3) Règles de montage des roulements à billes à contact obliques et rouleaux coniques
a) Montage en X ou montage direct
Il est utilisé dans le cas des arbres tournants avec organes de transmission (engrenages,..) situés entre
les roulements ; l‟écart entre les roulements est faible. Les bagues intérieures, tournantes par rapport aux
charges, sont montées serrées et les bagues extérieures montées glissantes. Le réglage du jeu interne est
réalisé sur les bagues extérieures. Les dilatations de l'arbre ayant tendance à charger un peu plus les
roulements, cela tend à diminuer le jeu interne.
Pour ces roulements, la mobilité axiale est assurée par le roulement lui-même. Dans ce cas, les deux
bagues du roulement sont fixées. Son montage exige un double épaulement : sur la bague intérieure et sur la
bague extérieure lorsque la charge axiale est nulle. Son montage exige des épaulements sur les deux bagues
lorsque la charge axiale est très faible.
Règle : si une bague tourne par rapport à la direction de la charge exercée sur le roulement, elle doit être
ajustée avec serrage. Si elle est fixe ou non tournante par rapport à la direction de cette charge, elle doit être
ajustée avec jeu. Les valeurs d‟ajustements proposées dans le tableau ci-dessus sont normalisées pour des
portées en acier ou en fonte. Il faut prendre des ajustements un peu plus serrés avec des alliages légers et les
parois minces
Remarque : les qualités 6 (arbres rectifiés) et 7 (logement rectifiés ou alésés fini) suffisent pour la
V- Protection de roulement
Pour un bon fonctionnement les roulements doivent être protèges contre les impuretés et matières non
désires (couvercle et étanchéité) et aussi contre les corrosions et usures internes (lubrification)
1) Lubrification des roulements
La lubrification facilite les mouvements, diminue les frottements internes et protège contre la corrosion.
Il existe deux principales modes de lubrification : à la graisse et à l‟huile.
a) Lubrification à la graisse
Elle protège les roulements contre la corrosion, assure une
certaine étanchéité en s‟opposant à l‟entrée des impuretés et
permet un démarrage doux. On distingue :
- Graissage par graisseurs
Ils
sont utilisés
lorsque des
graissages
périodiques
Fig. V-1
sont
nécessaires. Il faut éviter les excès et renouveler
complétement la graisse lors des révisions de machines.
Le graisseur et le bouchon de vidange permettent
Fig. V-2
respectivement l‟introduction et l‟évacuation du lubrifiant.
- Graissage centralisé
Il évite l‟arrêt des machines et élimine les interventions humaines. Une même pompe à partir d‟un réseau de
canalisation, lubrifie en même temps et périodiquement tous les points à graisser
b) Lubrification à l’huile
- Lubrification par bain d’huile
Pour éviter un échauffement trop important des paliers, on
Fig. V-6
limite le niveau d‟huile au voisinage du centre de l‟élément
roulant le plus bas.
- Lubrification par barbotage et ruissèlement
Des organes mécaniques en mouvement se chargent d‟huile par
«barbotage» dans un carter. Sous l‟action de la force centrifuge,
l‟huile est soit projetée directement sur les roulements, soit
recueillie dans un larmier qui amène l‟huile aux roulements.
Fig.V-7
Fig.V-8
Fig.V-9
- Lubrification par brouillard d’huile :
Elles sont surtout
utilisées aux hautes vitesses.
Un débit contenant d‟air
comprimé aspire et pulvérise
une certaine quantité d‟huile
sous forme de très fine
gouttelettes. Le brouillard ainsi
constitué est amené par un
réseau de canalisation près des
points à lubrifier. En ces points Fig. V- 11
des rétrécissements condensent
l‟huile sous forme de gouttes
plus grosses directement
utilisable pour la lubrification.
Fig.V-10
- Lubrification par circulation d’huile
L‟huile circule en permanence et arrive près des roulements grâce à une pompe et des canalisations.
Lorsque les roulements sont très chargés, les vitesses très élevées, l‟huile peut être injectée sous pression par
un ou deux becs. Le jet est dirigé vers les éléments roulants juste ente la bague inférieure et la cage. Certains
roulements non symétriques, rouleaux coniques et contacts obliques, créent un phénomène de pompage
centrifuge entrainant la circulation d‟huile
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Pour fonctionner correctement, les roulements doivent être protégés des substances granuleuses dures
(poussière, sable), de l‟eau... Le dispositif d'étanchéité empêche la fuite du lubrifiant. Le dispositif
d'étanchéité empêche la fuite du lubrifiant. Ce dispositif comprend régulièrement un couvercle ou chapeaux
et un joint
Fig. 24 Fig. 25
Fig. 29
Fig. 33
Fig. 34
Fig. 32
Fig. 36
Fig. 37
Fig. 35
eeee
Fig. 39
Fig. 38
APPLICATION N° 1
(Meule
) Echelle 1:2
Fig. 32
L‟arbre porte-meule (2) est guidé en rotation par deux roulements (3) et (4). Répondre aux questions
suivantes :
a) Colorier l‟ensemble des pièces en rotation
b) De quel type de roulement s‟agit-il ? …………………………………………………………………
c) Est-ce un montage à arbre ou à alésage tournant ? ……………………………………...………
d) Quelles sont les bagues montées serrées (extérieures ou intérieures) ? …………………………
e) Identifier les obstacles arrêtant ces bagues axialement (A, B, C, D, E, F, G, H) : ………………
f) La bague intérieure du roulement (4) est liée indirectement en translation avec l‟arbre (2), à gauche
en G, à droite en H. Etablir sur le diagramme ci-dessous, la suite des contacts entre la bague
intérieure et l‟arbre (2) :
g) Les bagues extérieures sont-elles montées avec jeu ou avec serrage ? …………………………
h) Identifier les obstacles arrêtant ces bagues axialement (A, B, C, D, E, F, G, H) : ………………
i) La bague extérieure du roulement (3) est-elle liée en translation avec le bâti (1) (OUI ou NON) ?
j) Donner la tolérance des portées des bagues intérieures situées sur l‟arbre : …….……….……….
k) Donner la tolérance des portées des bagues extérieures situées sur l‟alésage : …….……….
l) Coter les portées de roulement sur l‟arbre (2)
m) Coter les portées de roulement sur les alésages (1) et (8)
APPLICATION N° 2
Fig. 19
Echelle 3 :4
La jante d‟une roue est fixée sur un ensemble moyeu/tambour de frein (2) . Cet ensemble est guidé en
rotation autour de la fusée de l‟essieu (1) avec deux roulements (3) et (4) :
a) Colorier l‟ensemble des pièces en rotation
b) De quel type de roulement s‟agit-il ? ……………………………………………………
c) Est-ce un montage à arbre ou à alésage tournant ? ……………………………
d) Est-ce un montage direct en « X » ou indirect en « O » ? ………………………
e) Comment appelle-t-on l‟écrou (6) ? ……………………………………………
f) Quelle est la fonction de la rondelle (7) ? ……………………………………………
g) Choisir une rondelle-frein (7) entre les deux rondelles ci-contre et justifier :
(A) ou (B) : ……………
h) Les bagues intérieures sont montées serrées ou avec jeu ? …………………………
i) Donner la tolérance des portées des bagues intérieures situées sur l‟arbre : …….…
j) Les bagues extérieures sont-elles montées serrées ou avec jeu ? ………………………
k) Donner la tolérance des portées des bagues extérieures situées sur l‟alésage : …….……….
l) Quel élément permet de régler axialement le jeu du montage des roulements ? ………...
m) Coter les portées de roulement sur la fusée de l‟essieu (1)
n) Coter les portées de roulement sur l‟ensemble moyeu/tambour de frein (2).
APPLICATION N°3
Soit le mécanisme ci-dessous dont la demie vue est représentée en coupe A-A :
2- Désignation normalisée :
Pièce 2 : Ecrou H M 20, 8 type 1
Pièce 8 : Vis CHC M10-60, 10.9 type 1
3- Pièce repérée 5 : Clavette.
Permet la rotation simultanée de l‟arbre avec la pièce 4 ou bien l‟arbre et la pièce 4 tournent ou sont
immobilisés ensemble.
4- Type de roulements : Roulements rigides à une rangée de bille Il s‟agit d‟un montage logement ou moyeu
tournant car les bagues extérieures sont bloquées à tous les niveaux.
5- Inscription des tolérances des portées des roulements :
(1) : M7 car ajustement serré (avec serrage).
(2) : g6 car ajustement glissant (avec jeu).
6- Dessin de définition :
I- GENERALITES
1. Définition
On appelle Transmission de puissance l'étude du transfert d'énergie (puissance) d'un système à
un autre à l'aide des éléments mécaniques intermédiaires.
On note en générale :
- Une transmission de puissance par mouvement de rotation
- et une transmission de puissance par transformation du mouvement
2. Transmission de puissance par mouvement de rotation
Les pièces mécaniques assurant les liaisons à l'entrée et à la sortie des systèmes
intermédiaires sont les plus souvent des arbres.
b) Classification géométrique
Liaison par obstacle Par adhérence
Les arbres sont en
Transmission Transmission avec
: Transmission positive
sans glissement glissement
Courroies à Courroies plates,
Engrenages cylindriques à
crantées trapézoïdales, câbles,
Parallèles denture droite et hélicoïdale
Chaînes Roues de friction
flexibles
Variables
3. Classification fonctionnelle
Tous les mécanismes ci-dessus entre dans les cinq classes suivantes:
II- ACCOUPLEMENT
1. Généralités et définition
D‟une manière générale, la fonction principale d‟un accouplement est la transmission de puissance
entre deux arbres situés dans le même prolongement.
1 : Accouplements
MACHINE 1 MACHINE 2
(Motrice) (Réceptrice)
- Accouplements permanents : l‟accouplement des deux arbres est permanent dans le temps. Le
désaccouplement n‟est possible que par démontage du dispositif.
- Accouplements temporaires : l‟accouplement ou le désaccouplement peuvent être obtenus à
n‟importe quel moment sans démontage du dispositif, suite à une commande extérieur
2. Accouplement rigide de deux arbres
a) Conditions à remplir :
- aucun mouvement relatif des 2 arbres
- Les arbres des deux axes doivent être confondus (coaxialité ou alignement parfait).
- L‟accouplement doit être équilibré
- Résistance mécanique, rigidité, simplicité, faible encombrement et prix de revient peu élevé
b) Manchon à douille;
Fig 3 Fig 4
Deux clavettes inclinées à talons assurent la liaison en translation (fig 3). Pour les faibles couples, la
liaison peut être effectuée par des goupilles (fig4).
- Critique
Solution simple, économique, faible encombrement radial, emploi pour les faibles vitesses de
rotation, équilibrage médiocre.
c) Manchon à coquille
Deux coquilles (2) et (3) sont placées à cheval sur les deux bouts d‟arbre (1) et (11) (fig 5) leur serrage
détermine le pincement des 2 bouts d‟arbres d‟où liaison par adhérence. Le serrage peut s‟effectuer par
frettes (fig6) ou par boulonnage (fig7).
d) Manchon à plateaux
e) Manchon de dilatation
3. Accouplement élastiques
a) Fonctions
Transmettre la puissance en permettant
c) Exemples
- élastomère : Les deux plateaux sont reliés par des disques de cuir ou de toile caoutchoutée ou par
anneau de caoutchouc. La liaison aux plateaux s‟effectue par des broches ou boulons avec
fixation
Description
Le joint comporte deux plateaux (2) et (12) fixés aux
extrémités des arbres à réunir (1) et (11). Chacun de ses
plateaux est creusés d‟une rainure diamétrale sur les faces
en regard. Ils sont réunis par les plateaux intermédiaires
(21) muni de deux languettes. Si les axes (1) et (11) sont
décalés, le plateau intermédiaire glisse dans les rainures de
(2) et (12) pendant le mouvement
b) Joint de Cardan
But
Transmission de puissance entre deux arbres non en prolongement, mais concourants.
Constitution
– Une mâchoire (2) liée à l‟arbre du moteur (1)
– Une mâchoire (4) liée à l‟arbre récepteur (5)
– Les axes du croisillon (3) ainsi que ceux des arbres moteur et récepteur doivent coïncider
au même point.
Inconvénient de la transmission :
La transmission n‟est pas homocinétique (la vitesse d‟entrée est différente de la vitesse de sortie.
a) Rapport de transmission
ou encore
3. Représentation cinématique
4. Étude technologique
a) Principaux types de courroies :
b) Types de matériaux:
1: 2:
… …
2. étude cinématique
r= r=
3. Exemples d’utilisations
- Dynamo de bicyclette
- Tourne disque
- Machine à coudre
4. Condition de fonctionnement
Coefficient de frottement important entre les deux
roues
Forces pressantes créant l‟adhérence
5. Etude technologique
L‟augmentation de l‟effort presseur est effective soit par l‟augmentation de la raideur k. le
système „‟roue friction „‟ comprend :
6. Critique
Avantages Inconvénients
- Rapport de vitesse non rigoureux, variable suivant la
charge
Entrainement doux, silencieux, progressif, d‟où
- Nécessité d‟une force radiale d‟où fatigue et usure des
embrayage facile en marche sans chocs,
paliers
transmission réversible.
- Usure des roues par suite de glissement entre les
- Glissement entre les deux roues en cas d‟arrêt surfaces
ou de variation brusque du couple résistant d‟où - Entrainement possible uniquement entre deux roues
limitation du couple transmis et sécurité emploi. rapprochées
- Possibilité d‟entrainement à grande vitesse
3) Chaines à rouleaux : Ce sont les plus utilisées en transmission de puissance. Vitesse limite : 12 à
15 m/s.
1) E
Douille
4) Rapport de transmission :
Le rapport de transmission (r) est le même que pour une transmission par engrenages :
n (pignon mené) Z (pignon menant) d (pignon menant)
r
n (pignon menant) Z (pignon mené) d (pignon mené)
5) Exemple :
Exprimer et calculer le rapport de transmission de cette transmission composée de deux pignons et
d‟une chaîne : Z1 = 52 Brin tendu r (2/1) = (n2/n1) = (z1/z2)
M R r (2/1) = 52 / 20 = 2,6
Z2 = 20
Brin mou r(2/1) >1 : C’est un multiplicateur
de vitesse
VI- ENGRENAGES
1. Généralités et fonctions
La transmission par engrenage dérivent des roues de friction par adjonction de dents interdisant
tout glissement entre les roues et a pour but de transmettre la puissance entre deux arbres rapprochés
parallèles ou non, concourants ou non et perpendiculaires ou non, avec modification du couple
transmis et de la vitesse de rotation. Elles peuvent avoir
diverses utilisations tel que :
2. Définition :
Un Engrenage est constitué de 2 roues dentées :
3. Types de contacts
Contact intérieure
Contact extérieure
4. Types d’engrenages :
Suivant la position relative des axes des roues, on distingue :
5. Module (m)
Le module d'une denture est la valeur qui permet de définir les caractéristiques
d'une roue dentée. C'est le rapport entre le diamètre primitif de la roue et le nombre
2. Condition d’engrènement
Deux roues dentées doivent avoir le même module pour pouvoir engrener ensemble.
3. Eléments de denture d’ un engrenage
Durant l‟engrènement, les dents en prise fléchissent, de plus leur nombre varie (2 à 3 dents), ce qui
engendre du bruit et des vibrations.
7. Matériaux utilisés:
Fonte à graphite sphéroïdal : Roues de grandes dimensions.
Aciers ordinaires type C : Engrenages peu chargés.
Aciers au nickel-chrome : Engrenages fortement chargés.
Matières plastiques (Nylon, Téflon...) : Faible puissances.
II- ENGRENAGE CYLINDRIQUE A DENTURE HELICOÏDALE
1. Caractéristiques.
La génératrice de forme des dents est
une ligne hélicoïdale de même axe que
l'axe de rotation. Les dimensions d‟une
roue à denture hélicoïdale sont déterminées
à partir :
2. Condition d’engrènement
L‟engrènement entre deux roues est possible si :
r= = =
4. Représentation normalisée
5. Avantage et inconvénient :
Ce type de denture présente l'avantage d'être plus silencieux que de la denture droite. En contrepartie
il engendre un effort axial dont l'intensité dépend de la valeur de l'angle d'inclinaison de l‟hélice (β) ce
qui nécessite l‟utilisation de palier de butée pouvant encaisser ce type d‟efforts.
2. Conditions d’engrènement :
Deux roues coniques n‟engrènent correctement que si les modules sont égaux et
si les cônes primitifs ont à la fois une génératrice commune et leurs sommets confondus.
3. Représentation normalisée
4. Rapport de vitesse
N1 et N2 sont les vitesses respectives des roues coniques (1) et (2).
– Z1 et Z2 sont les nombre de dents respectifs des roues coniques (1) et (2).
𝑍 𝜔 𝑑
r= = 𝜔 =𝑑
𝑍
2. Rapport de vitesses :
- N1 et N2 sont les vitesses respectives de la vis (1) et de la roue (2)
𝑍 𝑁
- Z1 : nombre de filets de la vis r= =𝑁
𝑍
- Z2 nombre de dents de la roues coniques
3. Efforts :
En examinant la figure ci-dessous, on constate
que l‟effort tangentiel sur la roue est
transmis comme un effort axial sur la vis.
4. Avantages et inconvénients :
- Ce mécanisme permet d‟obtenir un grand
rapport de réduction avec seulement deux
roues dentées (1/200).
- Les systèmes roue-vis sans fin sont presque toujours irréversibles d‟où sécurité.
- L‟engrènement se fait avec beaucoup de glissement entre les dentures, donc usure
et rendement faible (60%).
- La vis supporte un effort axial important.
5. Représentation normalisée:
V- TRAINS D’ENGRENAGE
1. Définition
3. Rapport de transmission.
Le rapport de la transmission assurée par un train d‟engrenages est le quotient de la vitesse de
sortie (Ns) par la vitesse d‟entrée (Ne). Les roues (1) et (3) sont des roues menantes (motrices). Les
roues (2) et (4) sont des roues menées (réceptrices).