PMA1&2 - MAXIMA

Chapitre 1 : Nombres réels, nombres complexes

float(a) renvoie une valeur approchée de a. Utiliser bfloat pour fixer le nombre de
chiffres.

fpprec:n; bfloat(a) renvoie une valeur approchée de a avec n chiffres.

sqrt(a) racine carrée du nombre a. Marche aussi pour une expression en x.

Eq:a*x^2+b*x+c=0 définit l'équation nommée Eq

solve(Eq,x) résout l'équation Eq suivant la variable x

linsolve([E1,E2,E3],[x,y,z]) renvoie les solutions du système d'équations [E1,E2,E3] suivant les variables x, y
et z.

Si le système comporte moins d'équations que d'inconnues, renvoie une famille

de solutions.

define(f(x), définit la fonction f en tant que fonction de x.

expression en x) Autre possibilité (mais à éviter):

f(x):=expression en x,

mais l'expression finale de f n'est pas toujours explicite en x

expand(%) développe une expression

diff(f(x),x,n) calcule la dérivée d'ordre n de la fonction f(x). Si n=1, on peut l'omettre

equal(f(x),g(x)) variable booléenne valant true si les expressions de f(x) et de g(x) sont égales

is(booléenne) renvoie la valeur (true ou false) de la variable booléenne

z:a+%i*b donne la valeur a+jb au nombre complexe z

rectform(z) renvoie la forme algébrique du nombre complexe z

polarform(z) renvoie la forme exponentielle du nombre complexe z

factor(z) factorise le nombre complexe z

ratsimp(z) simplifie une expression en mettant sous forme d'une fraction rationnelle

realpart(z) renvoie la partie réelle du nombre complexe z

imagpart(z) renvoie la partie imaginaire du nombre complexe z

cabs(z) renvoie le module du nombre complexe z.

On peut aussi utiliser abs(z), extension de la notion de valeur absolue des

nombres réels.

carg(z) renvoie l'argument du nombre complexe z.

Chapitre 2 : Fonctions usuelles, dérivation, dérivées partielles
plot2d(f(x),
[x,xmin,xmax],[y,ymin,ymax])
for a:-1 thru 1 step 1 do
plot2d(f(x),[x,xmin,xmax],
[y,ymin,ymax]),b=5
réseau:create_list(f(x),
a,[-1,0,1],b,[4,5])
plot2d(réseau,[x,xmin,xmax])
plot2d([f(x),g(x)],
[x,xmin,xmax],[y,ymin,ymax])
log(x)
exp(x)
cos(x)
limit(f(x),x,inf)
limit(f(x),x,minf)
limit(f(x),x,a)
limit(f(x),x,a,plus)
taylor(f(x),x,a,b)
plot3d(f(x,y),[x,xmin,xmax],
[y,ymin,ymax],[z,zmin,zmax],
[grid,nb1,nb2])
diff(f(x,y),x,n)
trace la fonction f(x) sur les intervalles [xmin,xmax] et [ymin,ymax].
On peut aussi utiliser la commande wxplot2d mais dans ce cas le graphe
ne s'affiche pas dans une nouvelle fenêtre. L'intervalle en y est optionnel.
Le champ (optionnel) [gnuplot_preamble,"set grid;set
zeroaxis"] (à mettre alors en dernière position dans la commande)
affiche un quadrillage et/ou les axes du repère.
trace une série de courbes (non superposées) de la fonction f(x) (paramétrée
en a et b) en fonction du seul paramètre a : dans cet exemple a varie entre -1
et +1 par pas de 1 (donc 3 courbes au total) et b=5.
crée une liste de fonctions avec les différentes valeurs de a et b nommée
réseau. Dans cet exemple a prend 3 valeurs et b 2 valeurs (donc 6 fonctions
au total). Noter la dépendance explicitée de f par rapport à x (f(x) et non f).
trace le réseau précédent de courbes (superposées) de la fonction
paramétrique f(x) en fonction des paramètres a et b.
superpose sur un même graphique les courbes des fonctions f(x) et g(x).
Noter les [] et la dépendance explicitée de f et de g par rapport à x.
logarithme népérien de x
exponentielle de x. Aussi : %e^x
renvoie la valeur du cosinus de l'angle x exprimé en radians. Idem pour
sin(x) et tan(x). De même, les fonctions acos, asin et atan
renvoient des angles en radians.
limite de la fonction f en +
limite de la fonction f en -
limite de la fonction f en a. Si f est discontinue a.
limite à droite de f en a. Pour la limite à gauche remplacer plus par minus.
développement de Taylor de f(x) à l'ordre b au voisinage de a. Très utile pour
les équations de tangente avec b=1.
trace la surface correspondant à la fonction à deux variables f(x,y) sur les
intervalles [xmin,xmax], [ymin,ymax] et [zmin,zmax]. On peut aussi utiliser la
commande wxplot3d mais dans ce cas le graphe ne s'affiche pas dans une
nouvelle fenêtre. L'intervalle en z est optionnel. Le champ grid indique les
nombres de mailles (nb1 selon x et nb2 selon y) : il est optionnel. On peut
aussi ajouter le champ [plot_format,gnuplot] (à mettre alors en
dernière position dans la commande) qui ouvre une fenêtre graphique avec
des fonctions particulières.
calcule la dérivée partielle par rapport à x (à l'ordre n) de la fonction à deux
variables f(x,y). Idem par rapport à y. Si n=1, on peut l'omettre.
Chapitre 3 : Equations différentielles

eq:combinaison linéaire de équation différentielle linéaire nommée eq où l'inconnue est une fonction f(x).
Chaque commande diff doit être précédée de ', et la variable x n'est pas
'diff(f,x,n)=expression
explicité pour f (écrire f et non f(x)).

Exemple : eq:'diff(f,x,2)+3*'diff(f,x)=k*f

solution:ode2(eq,f,x) résout l'équation différentielle eq (linéaire et de degré maximum 2), où

l'inconnue est une fonction f(x). Attention : le résultat de cette commande est du
texte (et non une fonction).

Le résultat est nommé ici solution.

x:rhs(solution) rentre dans une variable x le terme à droite du signe égal de la variable
solution solution. Très utile pour récupérer des solutions d'équation
différentielle ou de solveur.

assume(x>a) donne une condition à x avant de faire un calcul

ic1(solution,x=x0,f=a) applique une condition particulière à la solution nommée solution d'une

équation différentielle (d'ordre 1) en f(x), condition particulière de type f(x0)=a.

Attention : le résultat de cette commande est du texte (et non une fonction).
Penser à utiliser éventuellement rhs pour la suite si nécessaire.

ic2(solution,x=x0,f=a, applique deux conditions initiales (en un même point) à la solution nommée
'diff(f,x)=b) solution d'une équation différentielle (d'ordre 2) en f(x), conditions initiales
de type f(x0)=a et f'(x0)=b.

Attention : le résultat de cette commande est du texte (et non une fonction).
Penser à utiliser éventuellement rhs pour la suite si nécessaire.

bc2(solution,x=x0,f=a, applique deux conditions aux limites (toutes deux concernant les valeurs de la
x=x1,f=b) fonction) à la solution nommée solution d'une équation différentielle (d'ordre
2) en f(x) , conditions aux limites de type f(x0)=a et f(x1)=b.

Attention : le résultat de cette commande est du texte (et non une fonction).
Penser à utiliser éventuellement rhs pour la suite si nécessaire.
Chapitre 4 : Vecteurs, produit scalaire, produit vectoriel

OM:[xM,yM,zM] définit les coordonnées du vecteur OM

OM.ON produit scalaire OM .ON

express(OM~ON) produit vectoriel OM  ON . Il est nécessaire de charger auparavant le

module « vect » par la commande load(vect).

U[1] renvoie la 1ère coordonnée du vecteur U

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integrate(f(t),t) renvoie la primitive de f de constante nulle.

renvoie la valeur de l'intégrale de f entre t=a (borne inf) et t=b (borne sup)

Integrate(f(t),t,a,b)

subst(a,b,c) remplace b par a dans l'expression de c.