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COMPÉTENCE DE LECTURE

Question 1 :
par amour envers Pauline, Alexei fait ce qu’elle lui avait demandé. Aller offenser le baron et la
baronne.
Il se moque de la baronne, en pleine rue, et en l’a prenant pur ce qu’elle n’est pas. Le plus
sérieusement possible et très fort afin de l’entendre, il demande d’être son esclave.
Quant au baron , il n’y prête aucune attention pendant ce dialogue, c’est comme si son existence et
son avis aucune importance.
Une fois la chose dite à la baronne, il se retourne et lui lance un sourire insolent.

Question 2 ;
selon moi les deux protagonistes jouent à un jeu dangereux. Il s’habille comme un homme de bonne
manière, sûrement pour les intimider ou/et les influencer « ma toilette l’embarrassait » ; « j’étais
mis a la dernière mode, comme un homme de meilleure monde ». Ils veulent prendre du risque,
offenser les barons ce n’est pas rien puisque ils font parti de la noblesse, ils veulent être dans
l’adrénaline, et surtout lui puisque ça l’amuse « j’y ai trouvé mon profit » ; « que j’ai ris ».
et puis il sait très bien ce qu’il fait, mais il continue « l’espièglerie était de mon initiative » ; « le
diable me poussait ».
Quant aux sentiments de Pauline, je ne suis pas sûr qu’avec l’extrait donner, Pauline éprouve des
sentiments sincère à son égard. En effet je pense qu’elle se sert de lui, depuis qu’elle sait qu’il
l’aime et qu’il est prêt à tout pour elle. On peut le voir, quand Alexei revient vers elle, lui que la
bêtise est faite et qu’elle répond « sans le regarder » ; « maintenant debrouillez-vous » et puis
« disparaît ».

Question 3 :
l’auteure nous décrit la baronne comme une femme « petite » ; « très grosse » avec un « menton
prodigieux ». D’une beauté pas renversante « le visage rouge », « de petits yeux » qui regarde mal
« méchamment » ; « insolent ». Qui se prend pour ce qu’elle n’est pas « marchait comme si elle
honorait la terre en la touchant du pied ». Mais malgré tout c’est une femme qui porte de belles
toilettes « robe de soie gris perle ».
Quant au baron, l’auteure le décrit plus explicitement. C’est un homme de «Ce cinquante-cinq
ans » portant des « lunettes » qui fait plus vieux que son âge à cause de ses « milles petites rides ».
Il est vu comme quelqu’un de grand « ses jambes commencent à sa poitrine signe de race »
quelqu’un « d’orgueilleux » ; « maladroit ».
Se sont des personnes lâches, préférant fuir les problèmes quand la situation leur échappe
« s’enfuirent épouvantés ».

Question 4 :
Ce sont tous des personnes bien apprêté, bien habillés, en costard. Qui s’apprête à sortir ou qu’ils
sont déjà sortit.
Tous prit par mégarde, dans des endroits commun qu’on utilise tous. La mine sérieuse, un brin
énerve.
Le fait que ça finisse par une dispute le visage recouvert de tarte a un effet en même temps drôle
pour celui qui l’envoie et énervante quand on l’a reçoit. C’est bien plus sain de finir la dispute par
un entartrage de crème, que continuer comme elle a commençait, c’est à dire par des coups.
C’est un moyen drôle et efficace pour passer outre la dispute.
Question 5 :
On peut rapprocher le texte avec le document dans la manière moquerice qu’à Alexei pour se
moquer des barons « J’ai l’honneur » ; « espièglerie » .
Le visage, l’expression et les sentiments des aristocrates sont les visages de ces personnes
recouvertes de crème « surprise » : « courroucée » ; « étonné » ; « colère » ; « peur ».
On peut très bien imaginer leur visage et leur réaction une fois le visage recouvert de crème.
Ils ont tellement honte qu’ils se retournent très vite et fuient « le baron et la baronne se
retournèrent vivement et s’enfuirent épouvantés »

COMPÉTENCES D’ÉCRITURE
Selon moi cela dépend du jeu duquel on parle.
Si l’on joue avec les gens, que se soit par intérêt, qu’on les prend pour ce qu’ils ne sont pas, par pur
moquerie et de faire passer le temps parce qu’on s’ennuie, alors dans ce cas jouer ne sera pas sans
conséquence, il y aura toujours des répercussions. Tôt ou tard.
Jouer avec les gens pour arriver à ses fins et pour moi la pire des choses. C’est horrible d’être
parfaitement conscient et de décider par son propre chef de le faire tout de même.
Les choses nous le rendent bien, d’un façon différente pour chacun, mais à mon sens ça ne reste pas
impuni. On sera punit au centuple pour l’agissement qu’on a oser faire consciemment.
Blesser involontairement des personnes change un peu la donne, mais c’est très rare que cela arrive
puisque on agit et dit les choses de sois même. Comme dans l’extrait donné du « le joueur » de
Fiodor Milankovitch, les deux protagonistes ne sont pas innocent, encore moins Alexei car ils
blessent deux personnes, sur une place public, avec beaucoup de personnes aux alentours, parle
nettement et fort afin que la moquerie soit plus forte encore. Et le pire dans tout cela c’est qu’il en
est fière et ça l’amuse. Il dit même qu’il « en a tiré profit ». Il remet en cause qu’un seule fois quand
il se demande « s’il est fou ». Et de la part de Pauline ce n’est pas mieux, puisque même si elle a
agit indirectement, l’idée lui venait quand même et elle n’a pas hésité a lui demander après qu’il ai
avouer son amour pour elle. Elle a injustement JOUER avec ses sentiments pour arriver à ses fins et
obtenir de lui ce qu’elle ne voulait pas faire d’elle même.
Jouer pour sa vie ou celles des autres aussi n’est pas une bonne choses puisque la conséquence à la
fin est désastreuse . Quand on a pas le choix comme dans squid game, alice in borderland,
hunger games c’est un peu différent puisqu’ils n’ont pas le choix. Là ou sera toute la différence
seront dans les décisions qu’ils prendront de leur propre abrite.
Jouer par pure plaisir n’entraîne pas de conséquence irréversible. Au contraire on a tous besoin d’un
jeu dans lequel on s’y amuse, on s’y sent bien, où on gagne, où on perd, on joue avec de nouvelles
personnes, où on en fait la rencontre. Ou bien du bon temps avec des personnes qu’on aime et y
prendre encore plus de plaisir le temps d’un instant.
Après il existe encore une autre catégorie de jeu, où s’est mitigé il y a des conséquences mais qui
sont à la fois bonnes et mauvaises pour nous. Jouer de sorte a repousser nos limites, s’aventurer,
prendre des risques, sortir de notre zones de confort, voir d’autres horizons et explorer, mettre à
l’épreuve nos capacités dans des moments douteux où l’adrénaline devient notre plus grande force.

Pour conclure je dirai que jouer au sens propre reste avant out un loisir fait pour nous amuser, a
nous de s’en servir à bon escient et de partager le divertissement qu’on aime à d’autres gens pour
qu’à leur tour, ils nous apprennent le leur.
Quand aux personnes qui jouent avec d’autres personnes, le mal qu’ils ont fait leur retombera u
jour ou l’autre, dessus. Et quand cela arrivera ils comprendront ce qu’ils ont pu faire, l’origine de la
souffrance et le mal qu’on ressent. Et c’est a ce moment là qu’ils regretteront leur agissement
passés.

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