Réécrivez les phrases ci-dessous au discours indirect :
1- « J’étais chef de pièce dans l’artillerie de Février 1958 à Avril 1960, en Algérie, j’ai été appelé à la base secrète de Béni-Ounif », détaille Auguste Cusin → 2- Malika Boumendjel disait : « Je ne connais pas les circonstances exactes de la mort de mon mari. Je n’ai même pas eu le droit de voir son corps » → 3- Le commissaire m’a dit : « Vous ne le saviez pas ? → 4- Djamila Bouhired a dit devant le chef des forces armées : « Parce que je suis Algérienne, vous n’avez pas la compétence de me juger. Oui j’assume tout ce que j’ai fait. Oui je suis prête à mourir. Oui je prendrai les armes pour refaire ce que j’ai fait dés que je serai libre. » → 5- « Chaque matin, les officiers nous donnaient l’ordre de tirer au canon. Nous avons expérimenté le gaz sarin. » → L’ancien soldat raconte 6- « Nous n’avons pas été mis en condition pour manipuler ce gaz. Nous secouions les obus sans se rendre compte du danger » →