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equiliore

N
Ka =

2Hg0+beg2A- beg dCP] Titrage pH


rapp
CHA
beg
=

dt
pH =
f(Vg)
vdisp =-d[R]
di
-
!
vozq

factors cinétiques H30+]


18
- 14
:

>14 = pH

10
-
7 37 = PH pH = -

log [Hs0+]
> 100
To
=
1 >0 =
plt

~Transmittance

-[C] spectroscopie : SIR : , nombre d'ence

x)
~A =

UU visible
-- Pression
: >

+ on dilue + la courbe est ax


catalyse %o titre
mallique : w = isolute
a solution
0 (w < 1 x 100 : %

Ex : (xi]
dépend coefts,
6
Qu To avancement
=

: : i = 1
, >Siemens/mètre

ACT) Gu, titrage A 68 <c dD


eq
+

: a +

totale

& 283
rapide Max
: =
- unique , ,
CAT D Ai no
-
AlEQUIVALENCE :
a
=
da
23 2 D]
q ↳ d'ai :
CA = xn8E
W

(8xVEEq
=8 (Température ( =8 x
VA

ACT) faible Qu =
KCT) =
equilibre
↳ einitê indirect
Gr) ICT) : <
sels

direct
Ar C KCT)
sens
↑(T) >> 1 :
-

↳quasi total
I
#8 U :
tension Vitesse mouvement
E
-

WAS(E) =
.

electrons circulaire
F AOx cas <
= x
L ne dépend pas
travail meter du
↳ WAb >0 la masse cou
:

de
travail resistant
-
-

Co
mouvement
:

WAb en
-

cernant
--
qXV 1 intensité
-

E Epe
:

=
qE =

-> I

Em =
Ec +
Epp cathode anode

=Imminge ⑰ ~
I =
Pile

-
cinétique
:
Théoème enagie
D(c =
(c(0) -
(c(A)

= [War (ext) amodex oxydation :


captation de-

cathed-> reduction ceden e-


:

-
r G Muxm
--
G Accumulatem
~2
= G U nominale
Pfen
-> x
-
=

F im
=
=

S ↳ capacité↳ changé her


=
m x
-

GM de Stockage
(Calem61
sanctionement
--

- F S
-
-Archimich= Pfluide dépla
=matrice déplace xg =
Pflnick Virg
ner principe
Q
Thannadynamique
-
-AG =
AU + DE +
AGp =
W +

-> Au
me
AT
&W 0 et Em =
systeme incompressible
=

=
:

constante ->

-> G EctEp +O Gr+t


-> chand-> haid =
=

-> conduction solide/fluid


:

-> convection :
Guide
-> rayonnement
aux thermiq
Débit volumique :

Du =
Sxu
0
Et
->
=

De nouilli
(Tchand - Thaid)
-

& th -
L 1 Peluick 2
incompressible, Pet pfluick GZ1 ve
+

2
↳ parti :
homogène : - Pz ↓ pfluide 92z +
1 plaideu
e
aven Rth =

P
x S Et
palnica
92 =
est

R -
> longuan doude
diffraction :
- = - ayommement
a
monechmatiq

épainsem/fente
Ece SVT

strategic de résolution

-
ce
que je fais
-comment je le fas
- â
quels resultats je ni attend

conclusion

1- Observations réalises
(écit schérma Titré(légendé)
-

↳ Présentation +

des resutats .

↳ verit prof
↳ traitement/conclusion

-
Se vais (fick observations
sais (de joints au !
I
- Je â demanden
cours

-sen conclus :
reprenche la consigne et
réponde en resituant e contexte .
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I. Les étapes d’une synthèse organique au laboratoire


Une synthèse au laboratoire de chimie organique se déroule toujours en trois temps :
1) la réaction de synthèse
2) la séparation et la purification des produits
3) l'analyse

1) La réaction de synthèse
C’est l’étape où la réaction chimique a lieu.
Son équation chimique pourrait être, par exemple, A + B → 2P + Q

Très généralement, l’un des réactifs, A, est un composé organique de haute valeur ajoutée. B est
souvent un réactif de moindre valeur, organique ou minéral, introduit en excès plus ou moins large,
afin qu’il ne soit pas limitant.

A et B sont souvent dissouts dans un solvant, introduits dans un montage adapté (montage à reflux
par exemple), portés à la température requise et on laisse la réaction se dérouler (typiquement de
quelques minutes à plusieurs heures…).

2) La séparation et la purification des produits


Elle consiste à isoler le ou les produits que l’on a synthétisés.
Dans notre exemple, le produit organique intéressant est noté P.
En fin de réaction, il faut l’isoler du A qui n’aurait pas réagi, de l’excès de B, des sous-produits Q, des
éventuelles impuretés dues à des réactions indésirables… et éliminer le solvant.

Pour cela, de nombreuses techniques sont employées :


on utilise selon les cas l’extraction liquide/liquide,
la filtration (souvent sous vide sur büchner), l’évaporation du solvant grâce à l’évaporateur rotatif…
Après cette séparation, une purification supplémentaire peut être nécessaire.
Si P est un liquide, on peut procéder à une distillation ; si c’est un solide, à une recristallisation…

3) L’analyse
L’analyse a pour but de répondre à deux questions : Quoi ? Combien ?
Quoi ?
Il faut s’assurer que le produit que l’on obtient est bien le produit attendu et qu’il est pur.
Pour vérifier la pureté d’un produit, on peut mesurer son point de fusion si c’est un solide, son indice
de réfraction si c’est un liquide, et comparer les résultats aux données de la littérature.
Par ailleurs, l’analyse spectroscopique (UV-Visible, IR, RMN…) est un outil puissant pour établir la
structure d’un produit.
Combien ?
En utilisant une balance de précision, on détermine la quantité de produit isolé. On peut alors calculer
le rendement de la synthèse.

4
Terminale S Sciences physiques CH17 Stratégie de la synthèse organique page 487

II. Le calcul d’un rendement

On appelle rendement de la synthèse le rapport entre la quantité de P effectivement obtenue nP et la


quantité maximale théorique nMAX :

N.B. 0 ≤ ρ ≤ 1, mais on le multiplie en général par 100 pour donner le résultat sous forme d’un pourcentage.

III. Quelques techniques de base


Les techniques mis en œuvre dépendent principalement des caractéristiques physico-chimiques
des espèces chimiques présentes.

1. Le dispositif de chauffage à reflux


Il permet d’éviter les pertes de matière par évaporation, les vapeurs se condensent dans le
réfrigérant

Eau froide

Ballon et chauffe-ballon
Agitateur magnétique
chauffant

Montage à reflux avec réfrigérant à eau Montage à reflux avec réfrigérant à air

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2. Les extractions
Isoler du mélange réactionnel le produit brut.

Extraction liquide-liquide : on utilise une ampoule à décanter, extraire une espèce dissoute dans
un mélange à l’aide d’un solvant extracteur.

La cristallisation : extraire une espèce solide dissoute dans un mélange. Par modification du pH ou
de la température, on diminue la solubilité de l’espèce qui précipite. Sa récupération se fait à l’aide
du filtre Büchner.

3. La purification
Eliminer les impuretés contenues dans le produit brut afin d’obtenir le produit de synthèse à l’état
pur.
Distillation : extraire le produit d’un mélange homogène
Recristallisation : purifier le produit solide en le dissolvant dans un solvant, en refroidissant, le
produit pur cristallise, les impuretés restent sous forme liquide dans le solvant.

thermomètre

réfrigérant à eau

ballon 1
feuilles de menthe, erlenmeyer
eau et pierre ponce 2
distillat
chauffe-ballon

Distillation fractionnée (colonne de Vigreux) Distillations simple

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4. Les méthodes d’analyse


Identifier l’espèce synthétisée et déterminer son degré de pureté.

Front de l'éluant

B
• xB X
A
• xA
Ligne de dépôt •

Température de fusion au banc Köfler Identification par chromatographie sur couche mince CCM

Analyse spectroscopique UV

C5H13N

Analyse spectroscopique IR Analyse spectroscopique RMN

7
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IV.Sélectivité en chimie organique


1. Un réactif est chimiosélectif s’il ne réagit qu’avec un groupe d’atomes caractéristique (ou
fonction organique)

2. Protection de fonction
Cette autre possibilité d’orienter une réaction consiste à protéger les groupes d’atomes
caractéristiques que l’on ne veut pas faire réagir. Une fois la réaction terminée, une déprotection
des groupes est effectuée.

8
Chapitre 20

Dynamique d’un système électrique

20.1 Rappels essentiels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 116


20.2 Condensateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 117
20.2.1 Intensité du courant en régime variable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 117
20.2.2 Condensateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 117
20.2.3 Relation tension-intensité d’un condensateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 117
20.3 Circuit RC série : charge d’un condensateur . . . . . . . . . . . . . . . . . 117
20.3.1 Schéma du circuit électrique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 117
20.3.2 Équation différentielle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 118
20.3.3 Résolution de l’équation différentielle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 118
20.4 Circuit RC série : décharge d’un condensateur . . . . . . . . . . . . . . . . 119
20.4.1 Équation différentielle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120
20.4.2 Résolution de l’équation différentielle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120
20.5 Applications du condensateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 121
116 Chapitre 20. Dynamique d’un système électrique

L ’ étude du fonctionnement dynamique d’un circuit électrique fait l’objet de ce chapitre. Il nécessite
de maîtriser les outils développés en classes de seconde et de première, notamment la loi des
mailles, la loi des noeuds et la loi d’Ohm. Nous verrons comment caractériser le comportement
de circuits électriques comportant un générateur et deux dipôles particuliers : la résistance et le
condensateur. Cette étude se fera dans le cas d’un régime variable.
• Vidéo Cours détaillé
• Vidéo Cours résumé

20.1 Rappels essentiels


Loi des mailles
La somme algébrique des tensions élec-
triques au sein d’une maille d’un circuit
électrique est nulle.

E ≠ U1 ≠ U2 = 0
E = U1 + U2
Remarque :
Attention à tenir compte du sens des ten-
sions électriques en fonction de la convention
générateur ou récepteur.

Loi des nœuds


La somme des intensités entrantes au
niveau d’un noeud est égale à la somme des
intensités sortantes.

I = I1 + I2
Remarque :
Attention à tenir compte du sens du courant
dans chaque branche arrivant au niveau du
noeud.

Loi d’Ohm
La tension aux bornes d’une résistance élec-
trique est proportionnelle au courant qui la
traverse :
UAB = RI
U la tension (en V)
I l’intensité (en A)
R la résistance (en Ohms )

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20.2. Condensateur 117

20.2 Condensateur
20.2.1 Intensité du courant en régime variable

Intensité du courant en régime variable


Lorsque la tension et l’intensité du courant varient au cours du temps, on dit que le système
électrique évolue en régime variable. L’intensité i(t) (en A) du courant électrique se définit
comme la dérivée par rapport au temps de la charge électrique q(t) (en C) :

dq(t)
i(t) =
dt

20.2.2 Condensateur
Un condensateur est constitué de deux armatures conductrices dispo-
sées l’une en face de l’autre, et séparées par un isolant. La géométrie des
armatures peut varier (planes, cylindriques, sphériques). Lorsqu’une ten-
sion électrique est appliquée aux bornes du condensateur, les armatures
accumulent respectivement des charges positives et négatives de part et
d’autre, laissant le condensateur globalement électriquement neutre. On
appelle capacité C (exprimée en Farad F) du condensateur son pouvoir
d’accumulation des charges sur ses armatures.

Capacité d’un condensateur


La capacité C d’un condensateur permet de relier la charge q positive accumulée sur l’une des
armature, à la tension uc aux bornes du condensateur :

q(t) = Cuc (t)

q(t) la charge (en C)


C la capacité (en F)
uc (t) la tension aux bornes du condensateur (en V)

20.2.3 Relation tension-intensité d’un condensateur


Relation tension-intensité
En combinant la relation charge-tension et la relation charge-intensité, on obtient la relation
entre la tension uc (t) (V) et l’intensité i(t) (en A) :

duc (t)
i(t) = C
dt

20.3 Circuit RC série : charge d’un condensateur


20.3.1 Schéma du circuit électrique
On s’intéresse à un circuit électrique en régime variable, comprenant un générateur de tension continue
E (en V), un dipôle ohmique de résistance R (en ) et un condensateur de capacité C (en F). Le

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118 Chapitre 20. Dynamique d’un système électrique

schéma de la figure 20.1 représente ce montage.


Initialement, l’interrupteur K est ouvert, les tensions et intensités sont donc nulles dans tout le circuit.
A l’instant t = 0 s, on ferme l’interrupteur.

Figure 20.1 – Schéma du circuit électrique dans le cas de la charge d’un condensateur.

20.3.2 Équation différentielle


On cherche à établir l’équation différentielle régissant l’évolution de la tension uc (t) aux bornes du
condensateur. Pour cela, on va utiliser une loi des mailles ainsi que les relations tension-intensité pour
la résistance et le condensateur.

Équation différentielle
1. On applique la loi des mailles en respectant les conventions générateur et récepteur :

uR + uc = E

duc
2. On remplace uR = Ri d’après la loi d’Ohm et i = C :
dt
duc
RC + uc = E
dt
3. On divise par · = RC pour retrouver une forme canonique d’équation différentielle
linéaire du premier ordre à coefficients constants :

duc 1 E
+ uc =
dt RC RC
· = RC est appelé le temps caractéristique de charge du condensateur.

20.3.3 Résolution de l’équation différentielle


Pour cette partie, on illustrera le problème avec les valeurs suivantes : E = 12 V, R = 2, 5 k et
C = 150 µF.

D’après le chapitre 0, la solution d’une telle équation différentielle se construit par la somme d’une
solution générale à l’équation homogène associée, que l’on notera uc1 (t), et d’une solution particulière
notée uc2 (t).

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20.4. Circuit RC série : décharge d’un condensateur 119

Solution de l’équation différentielle


1. Solution générale :
uc1 (t) = Ae≠ ·
t

Avec A œ R une constante d’intégration et · = RC le temps caractéristique.


2. Solution particulière :
uc2 (t) = E

3. Solution complète :
uc (t) = Ae≠ · + E
t

4. Détermination de la constante A : A l’état initial, la tension est nulle (circuit ouvert)


donc uc (t = 0) = 0 V
0
A ◊ e≠ · + E = 0 ≈∆ A+E =0

Donc la constante vaut A = ≠E d’où la solution finale en factorisant par E :

3 4
uc (t) = E 1 ≠ e≠ ·
t

Le temps caractéristique de charge du condensateur vaut : · = RC = 0, 25.106 ◊ 150.10≠6 = 0, 38 s.

Figure 20.2 – Tension aux bornes du condensateur en fonction du temps au cours de la charge

20.4 Circuit RC série : décharge d’un condensateur


On s’intéresse à un circuit électrique en régime variable, comprenant cette fois uniquement un dipôle
ohmique de résistance R (en ) et un condensateur de capacité C (en F) préalablement chargé.
Cela revient à éteindre le générateur de la figure 20.1 à la fin de la charge.
La tension aux bornes du condensateur est une fonction continue du temps donc sa valeur
initiale pour la décharge est sa valeur finale pour la charge, à savoir uc (t = 0) = E = 12 V.

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120 Chapitre 20. Dynamique d’un système électrique

Figure 20.3 – Schéma du circuit électrique dans le cas de la décharge d’un condensateur.

20.4.1 Équation différentielle

Équation différentielle
1. On applique la loi des mailles en respectant les conventions générateur et récepteur :

uR + uc = 0

duc
2. On remplace uR = Ri d’après la loi d’Ohm et i = C :
dt
duc
RC + uc = 0
dt
3. On divise par · = RC pour retrouver une forme canonique d’équation différentielle
linéaire du premier ordre à coefficients constants, mais cette fois ci sans second membre :

duc 1
+ uc = 0
dt RC
· = RC est appelé le temps caractéristique de décharge du condensateur.

20.4.2 Résolution de l’équation différentielle


On reprend les valeurs suivantes : E = 12 V, R = 2, 5 k et C = 150 µF. Le second membre étant
nul, il n’y a pas de solution particulière à trouver.

Solution de l’équation différentielle


1. Solution générale :
uc (t) = Ae≠ ·
t

Avec A œ R une constante d’intégration et · = RC le temps caractéristique.


2. Détermination de la constante A : A l’état initial, la tension est uc (t = 0) = E
0
A ◊ e≠ · = E ≈∆ A=E

Donc la constante vaut A = E d’où la solution finale :

uc (t) = Ee≠ ·
t

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20.5. Applications du condensateur 121

Figure 20.4 – Tension aux bornes du condensateur en fonction du temps au cours de la décharge

20.5 Applications du condensateur


Le pouvoir d’accumulation de charge d’un condensateur offre plusieurs intérêts dans un circuit élec-
trique. Il peut notamment servir à stabiliser une alimentation électrique, ou bien encore stocker de
l’énergie.

Mais il existe également des technologies qui utilisent autrement le pouvoir capacitif du condensateur.
En effet, la capacité du condensateur dépend de plusieurs paramètres comme la nature de l’isolant
situé entre ses armatures, mais aussi de la géométrie de ces armatures et notamment de la distance
qui les séparent.

Les écrans tactiles reposent sur cet effet capacitif : chaque « pixel » de l’écran est relié à un conden-
sateur. Lorsque l’utilisateur appuie avec son doigt en un point donné, il modifie la distance entre
les armatures du condensateur, modifiant ainsi la valeur de sa capacité et donc la valeur du signal
électrique fourni par ces condensateurs, ce qui permet de détecter la position du doigt sur l’écran.

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