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Brahim NAFIRI

QCM introduction à l’économie

Q1.Economie appliqué :
A. Economie théorique
B. Analyse les phénomènes
C. Dispose d’un modèle de référence
D. Aucune réponse n’est juste
Q2. Le produit est cher :
A. Plus son UT est forte plus l’Um est forte
B. Plus son Ut est forte plus l’Um est faible
C. Plus UT est faible plus l’Um est faible
D. Aucune réponse n’est juste
Q3. La composition organique du capital d’après Marx :
A. Exprime le degré d’exploitation des travailleurs
B. Exprime le degré d’exploitation du capital
C. Exprime le degré de concentration du capital
D. Aucune réponse n’est juste
Q4. La consommation se définit comme un acte :
A. De conservation (de biens ou de services)
B. De destruction (de biens ou de services)
C. De protection (de biens ou de services)
D. Aucune réponse n’est juste
Q5. L’étymologie du mot économie :
A. L’art de réaliser des économies
B. L’art de gérer la maison
C. La science des finances
D. La structure de la production
Q6. Les 3 éléments fondamentaux de l’activité économique sont :
A. Epargne, commerce extérieur, concurrence
B. Commerce, investissement, inflation

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C. Production, consommation, inflation


D. Production, revenu, consommation
Q7. Le premier qui a remplacé le terme économie par l’économie politique
A. Adam SMITH
B. Toma Mun
C. Antoine de Montchrestien
D. Karl Marx
Q8. Le prix est déterminé par :
A. La valeur de travail et la valeur d’utilité
B. La valeur d’usage et la valeur d’échange
C. La rareté et le besoin
D. Aucune réponse n’est juste
Q9. Analyse ex-ante :
A. C’est une analyse rétrospective
B. C’est une analyse comptable
C. C’est une analyse des réalisations
D. Aucune réponse n’est juste
Q10. On appelle microéconomie :
A. L’étude des règles de comptabilité nationale
B. L’étude de la rationalité du comportement des agents économiques pris individuellement
C. L’étude des comportements collectifs
D. L’étude des grands axes stratégiques des entreprises
Q20. La force de travail selon Marx :
A. Des facultés physiques et psychiques existant dans le corps humain
B. Une marchandise, qui crée de la valeur
C. Des facultés physiques et intellectuelles existant dans le corps humain
D. Aucun réponse n’est juste
Q21. La méthode inductive se base sur :
A. Les hypothèses
B. Les théories

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C. Les modèles
D. Aucune réponse n’est juste
Q22. Le premier à formuler une théorie quantitative de la monnaie :
A. William Petty
B. Dupont de Nemous
C. Adam Smith
D. Jean Bodin
Q23. L’étymologie du mot physiocrate :
A. Le gouvernement de la mer
B. Le gouvernement de la terre
C. Le gouvernement de la nature
D. Aucune réponse n’est juste
Q24. Retrouvez les auteurs qui ne sont pas à la base de la pensée économique du courant
libéral classique
A. Adam Smith
B. John M.KEYNES
C. Jean Baptiste Say
D. David RICARDO
Q25. Les quatre premiers principes économiques de base sont des :
A. Principes de prise de décisions collective
B. Fondements de la prise de décisions nationale
C. Principes de prise de décisions individuelles
D. Aucune réponse n’est juste
Q26. L’économie contemporaine de présente comme un ensemble hétérogène marqué
par des clivages :
A. Idéologique et métaphysique
B. Idéologique et méthodologique
C. Méthodologique et philosophique
D. Aucune réponse n’est juste
Q27. Selon la loi de Gresham :
A. La bonne monnaie chasse la mauvaise

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B. La disparition des pièces d’argent de la circulation monétaire


C. L’argent étant thésaurisé par les individus
D. Aucune réponse n’est juste
Q28. Economie marxiste s’est développée :
A. Pour montrer le degré de réussite du capitalisme
B. Pour montrer le degré d’exploitation des hommes
C. Pour instaurer un monde de production socialiste
D. Pour instaurer un nouveau mode de production capitaliste
Q29. La pensée mercantiliste reste incomplète :
A. Une pensée qui a fait confusion entre l’or et l’argent
B. Une pensée qui a fait confusion entre le prix et la valeur
C. Une pensée qui a fait confusion entre le travail de la terre et le travail de la mer
D. Aucune réponse n’est juste
Q11. Adam Smith a élaboré en 1776 un ouvrage intitulé :
A. Recherche sur les causes de la richesse des nations
B. Recherche sur la nature des nations
C. Recherche sur la nature des causes de la richesse
D. Aucune réponse n’est juste
Q12. Retrouvez les auteurs qui sont à la base de la pensée néoclassique :
A. Vilfredo Pareto
B. Carl Menger
C. Léon Walras
D. Aucune réponse n’est juste
Q13. Coût d’opportunité est égal :
A. Valeur choisie/Valeur délaissée
B. Gain/Sacrifice
C. Valeur délaissée/Sacrifice
D. Aucune réponse n’est juste
Q14. L’économie a pris naissance dans les pays européens :
A. L’Angleterre d’abord après l’Italie

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B. La France d’abord après l’Espagne


C. L’Angleterre d’abord après la France
D. La France d’abord après l’Angleterre
Q15. L’auteur de la citation suivante « En sciences sociales, la façon dont nous
percevons les faits observés dépend des lunettes théoriques que nous portons » :
A. Williamson
B. Antoine de Montchrestien
C. Karl Marx
D. Samuelson
Q16. Analyse dynamique :
A. Nous analysons la situation économique en T1 à partir des données de T0
B. Nous analysons la situation économique en T0 à partir des données de T1
C. Nous analysons la situation T0 à partir des données de T1 et plus les changements de T1 à
T0
D. Aucune réponse n’est juste
Q17.Selon Ricardo le travail incorporé est :
A. Le travail de l’ouvrier
B. Travail nécessaire pour produire les machines
C. Les outils que l’ouvrier utilise
D. Les outils réponses sont justes
Q18. L’analyse néoclassique dérive :
A. D’une étude prévisionnelle
B. D’une étude originale
C. D’une étude marginale
D. Aucune réponse n’est juste
Q19. Quelle différence y a-t-il entre la macroéconomie et la microéconomie
A. C’est la même chose
B. La macroéconomie intègre forcément des éléments de microéconomie
C. La microéconomie se focalise sur les phénomènes locaux rares et exceptionnels
D. La microéconomie se focalise sur les comportements individuels

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Q30. L’ouvrage de J.B.Say est intitulé


A. Traité d’économie politique
B. Traité économique
C. Traité politique
D. Aucune réponce n’est juste
Q31. Quel est l’économiste qui n’est pas pour que L’économie soit la science des
richesses :
A. Robert Malthus
B. John M.KEYNES
C. William Petty
D. Jean Baptiste Say
Q32. Surtravail d’après Marx :
A. Ecart entre salaire et profit
B. Ecart entre travail et valeur produite
C. Ecart entre travail payé et travail non payé
D. Aucune réponse n’est juste
Q33. Economie Néoclassique est fondée sur :
A. La liberté d’entre prendre et d’accumuler
B. L’action régulatrice des marchés
C. Forte intervention de l’Etat
D. Aucune réponse n’est juste
Q34.Economie Pure :
A. Economie expérimentale
B. Axée sur des hypothèses
C. Construit des équations de raisonnement
D. Aucune réponse n’est juste
Q35. Economie Keynésienne est marquée par :
A. La faible intervention de l’Etat
B. La régulation de l’économie
C. La libéralisation du jeu de marché
D. Aucune réponse n’est juste

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Q36. Selon les néoclassique ; la valeur d’un bien dépend


A. Coût de production
B. L’utilité
C. La rareté
D. Aucune réponse n’est juste
Q37. Une des théories n’est pas développée par néoclassiques :
A. la théorie de la valeur
B. le principe marginaliste
C. la logique de maximisation
D. la division de travail
Q38. J.B.Say a exposé dans son ouvrage la manière dont :
A. S’épargnent ; se consomment les richesses
B. Se distribuent et se consomment les richesses
C. S’investissent et s’épargne les richesses
D. Se forment, se distribuent et se consomment les richesses
Q39. Le taux de plus value :
A. Exprime l’intensité des rapports de production
B. Exprime le taux d’exploitation du capital
C. Exprime l’intensité des rapports d’exploitation
D. Aucune réponse n’est juste
Q40. Effet de Ricardo :
A. La baisse des salaires entraine la baisse des machines
B. La hausse des salaires entraine la baisse des machines
C. La hausse des salaires entraine la hausse des machines
D. Aucune réponse n’est jute

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QCM Corrigé management I et II

1. Comment définir l'entreprise ?


a) L’entreprise est un organe économique et politique créateur de richesse
b) L’entreprise produit des biens et services en combinant du travail et des capitaux
c) L'entreprise produit des services à destination des ménages
2. Quels sont les rôles économiques de l'entreprise ?
a) C'est une unité de production
b) C'est un lieu d'épanouissement ou de frustration
c) C'est une unité de répartition
d) C'est une unité sociétale
3. Parmi les auteurs suivants, lequel (ou lesquels) fait (font) partie de l’école des
relations humaines ?
a) FAYOL
b) MASLOW
c) HERZBERG
d) MAYO
e) SMITH
4. Que préconise TAYLOR à travers l'OST (Organisation Scientifique du Travail) ?
a) Décomposition des tâches
b) Chronométrage des temps d’exécution
c) Spécialisation des individus
d) Rémunération au rendement
e) Autonomie et liberté des salariés
5. Maslow à travers la (mot à trouver) explique la motivation des travailleurs.
a) pyramide des ages
b) pyramide des besoins
c) pyramide institutionnelle
d) pyramide des motivations

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6. Quelles sont les composantes de l'environnement de l'entreprise ?


a) Financière
b) Ecologique
c) Consumériste
d) Communale
7. Parmi les propositions suivantes, laquelle (ou lesquelles) représente(nt) une menace
pour l'entreprise ?
a) Difficultés d’approvisionnement
b) Apparitions du marché des séniors
c) Evolution de la mode
d) Augmentation du taux d’activité des femmes
8. Parmi les affirmations suivantes, laquelle (ou lesquelles) est (sont) juste(s) ?
a) Les évolutions technologiques ne créent pas d’opportunités de dépôt de nouveaux brevets
b) L’augmentation du taux d’activité des femmes permet le décollage du marché des plats
cuisinés
c) La mise en place de l’euro est une menace pour les entreprises européennes
d) La vente par internet n’est pas un nouveau canal de distribution
9. Une entreprise peut adopter plusieurs stratégies face à son environnement. Lesquelles
?
a) Une stratégie offensive
b) Une stratégie keynésienne
c) Absence de stratégie
d) Une stratégie contingente
e) Une stratégie défensive
10. La culture d'entreprise trouve ses fondements dans :
a) La culture nationale
b) La stratégie générale de l’entreprise
c) L’histoire de l’entreprise
d) L’organisation du comité d’entreprise
11. Parmi les affirmations suivantes, laquelle (ou lesquelles) est (sont) juste(s) ?
a) La culture d’entreprise contribue à forger l’identité de l’entreprise
b) La culture d’entreprise participe à la construction de l’image de l’entreprise

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c) La culture d’entreprise n’a pas d’influence sur le management


d) La culture d’entreprise aide à la création artistique des salariés
12. Concrètement, comment se manifeste la culture d'entreprise ?
a) Rites
b) Valeurs (idées et croyances)
c) Respect des dirigeants
d) Absence de cohésion
13. La culture d'entreprise remplit plusieurs rôles :
a) Facteur de cohésion
b) Facteur d’adaptation pour le service des ressources humaines
c) Facteur d’économie d’énergie
d) Facteur d’orientation pour la stratégie de l’entreprise
14. Quels sont les objectifs du projet d'entreprise ?
a) Limiter l'esprit d'équipe
b) Décrire une mission
c) Définir un plan d’action
d) Fédérer le personnel autour d’une mission
e) Réduire la liberté d’action de chacun
15. Quelles sont les limites du projet d'entreprise ?
a) Il limite les possibilités d’adaptation
b) C’est une méthode de gestion de la culture d’entreprise
c) Risque de rejet par les salariés qui n’y adhérent pas
16. Les critères de classification d'une entreprise sont :
a) Le secteur auquel elle appartient
b) Le chiffre d'affaires réalisé
c) Le nombre de salariés
d) Le nombre de filiales
e) La qualité des actionnaires
17. Selon les effectifs, on classe les entreprises en :
a) très petites entreprises : de 1 à 9 salariés

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b) petites et moyennes entreprises : de 10 à 200 salariés


c) grandes entreprises : de 200 à 799 salariés
d) grandes entreprises : + de 500 salariés
18. Parmi les affirmations suivantes quels sont les secteurs économiques selon
FOURASTIE ?
a) secteur secondaire
b) secteur primitif
c) secteur primaire
d) secteur artisanal
e) secteur social
f) secteur tertiaire
19. Selon leur forme juridique, comment peuvent être classées les entreprises ?
a) sociétés de personnes
b) sociétés de capitaux
c) sociétés de mixage
d) sociétés de coopération
e) sociétés personnelles
20. Qu'est-ce qu'un conglomérat ?
a) Un ensemble d’entreprises liées financièrement entre elles
b) Une holding mixte
c) Un accord de participation
d) Une entreprise publique
21. Comment caractériser la notion de décision dans l'entreprise ?
a) décider c’est ne pas agir
b) décider c’est exprimer des choix de gestion de l’organisation
c) décider c’est peu coûteux
d) décider passe par un processus complexe et hiérarchisé
22. Qu’est-ce qu’une décision tactique ?
a) elle est prise au plus haut niveau institutionnel et engage la firme sur le long terme
b) elle participe au pilotage de l’entreprise par les cadres
c) elle traduit sur le terrain les buts et objectifs d’une entreprise

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23. Parmi les propositions suivantes, laquelle (ou lesquelles) correspond (ent) à un mode
d'exercice du pouvoir ?
a) pouvoir directif
b) pouvoir technocratique
c) pouvoir collectif
d) pouvoir moderne
e) pouvoir imitateur
24. Que permet la décentralisation du pouvoir de décision ?
a) meilleure implication du personnel
b) meilleure efficacité des décisions
c) plus grand contrôle des décisions
d) circulation plus lente de l'information
25. D'après le modèle IMC de SIMON, parmi les propositions suivantes, lesquelles sont
des phases du processus de décision ?
a) phase d'Intelligence du problème
b) phase d'Intellectualisation du problème
c) phase de Modélisation du problème
d) phase de Matérialisation du problème
e) phase de Mise en oeuvre des solutions
f) phase de Capitalisation des solutions
26. Parmi les propositions suivantes, quelles sont les qualités essentielles pour qu'une
information soit de qualité ?
a) pertinente
b) confidentielle
c) gratuite
d) subjective
e) accessible
27. Parmi les propositions suivantes, quelles sont les étapes du traitement de
l'information ?
a) collecte
b) stockage

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c) traitement
d) l’informatiser
e) diffusion
28. Parmi les propositions suivantes, laquelle (ou lesquelles) est (sont) une forme de
veille ?
a) veille technologique
b) veille financière
c) veille commerciale
d) veille philosophique
e) veille sportive
29. Qu'est-ce que la mercatique ?
a) actions qui ont pour objectifs de prévoir, stimuler ou renouveler les besoins des
consommateurs
b) actions qui ont pour objectifs de réaliser l’adaptation de l’appareil productif et de l’appareil
commercial aux besoins constatés
c) actions qui ont pour objectifs d’améliorer l’innovation des produits
d) actions qui ont pour objectifs de motiver les commerciaux dans l’entreprise
30. On identifie différents types de marchés correspondant à des groupes de clients.
Lesquels parmi les propositions suivantes ?
a) marché principal
b) marché complémentaire
c) marché quantitatif
d) marché générique
e) marché qualitatif
31. Comment caractériser le marché potentiel ou futur ?
a) il est composé des agents d’influence
b) il est composé des non consommateurs absolus
c) il est composé des clients de la concurrence
d) il est composé des personnes ne consommant pas actuellement un produit mais pourront
consommer ultérieurement
e) il est composé des clients de l'entreprise

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32. Comment se nomme un marché constitué de quelques offreurs face à de nombreux


acheteurs ?
a) marché de concurrence monopolistique
b) oligopole
c) monopole
d) monopsone
33. Qu'est-ce que la marque ?
a) c’est l’aspect extérieur d’un produit
b) c’est le design en anglais
c) c’est le packaging en anglais
d) c’est un signe distinctif qui sert à différencier des produits similaires
34. Quelles sont les différentes phases de la vie d'un produit ?
a) lancement
b) maturité
c) temporisation
d) profitabilité
e) expérimentation
f) déclin
35. Qu'est-ce que l'élasticité de la demande ?
a) les prix varient en fonction des quantités demandées
b) les quantités demandées varient en fonction du prix
c) les quantités demandées varient en fonction de l’état de la concurrence
d) les quantités demandées varient en fonction du mode de distribution
36. A quelle stratégie de prix correspond la définition suivante : « prix plus élevés que
ceux de la concurrence » ?
a) stratégie d'écrémage
b) stratégie d'alignement
c) stratégie de pénétration
d) stratégie différenciée

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37. Comment caractériser une stratégie différenciée ?


a) prix alignés sur ceux pratiqués par la concurrence
b) prix alignés sur ceux pratiqués par le leader du marché
c) prix différents en fonction du segment de clientèle
d) prix moins élevés que ceux de la concurrence
38. La distribution est l’ensemble des opérations qui permettent de fournir un bien ou
un service au consommateur
a) vrai
b) faux
39. Quels sont les différents canaux de distribution ?
a) canal direct
b) canal intensif
c) canal sélectif
d) canal court ou long
40. Quels médias la publicité médias utilise-t-elle ?
a) la télévision
b) le publipostage
c) le mécénat
d) l’internet

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QCM Corrigé Problèmes économique et sociaux

1- La croissance intensive c’est :


a. L’augmentation de la taille de l’entreprise.
b. L’augmentation de la productivité.
c. Augmentation de la quantité des facteurs de production.
d. Augmentation de la production.
e. Baisse des coûts de production.
2- Les manifestations d’une politique d’industrialisation :
a. Le taux de croissance du secteur industriel est supérieur au taux de croissance de
l’économie.
b. Augmentation des exportations de produits agricoles.
c. Baisse du déficit budgétaire.
d. Le taux de croissance du secteur industriel est inférieur au taux de croissance de
l’économie.
e. Croissance de l’emploi dans le secteur industriel est supérieure à celle du secteur agricole.
f. Augmentation du chômage déguisé agricole.
g. La croissance de l’économie ne suit plus les fluctuations de la production agricole.
3- Quels sont les effets du financement de la croissance par une épargne préalable ?
a. Déficit budgétaire.
b. Chômage.
c. Manque de liquidité.
d. Déséquilibre macroéconomique.
e. Ralentissement de la croissance.
4- Le développement du potentiel industriel s’accompagne de la productivité du travail
qui se caractérise par :
a. L’inflation.
b. Eco interne d’échelle.
c. Les licenciements.
d. Economie externe d’échelle.
e. Réduction du chômage déguisé.

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5- Le financement de la croissance fait appel à deux formes de financement :


a. Par des empreints.
b. Par des dons.
c. Par le marché financier.
d. Création monétaire.
e. Par des subventions.
6- Les effets de l’inflation sur les principales variables économique ; (entourer la ou les
réponses justes).
a. La nature d’effet de l’inflation sur l’activité économique : effet en valeur ; effet en volume ;
les deux effets en même temps.
b. La variabilité des prix relatives : oui ; non.
c. La détention d’encaisses monétaires : baisse ; augmente ; aucun effet.
d. La compétitivité en économie ouverte : baisse ; augmente ; aucun effet.
7- Le chômage déguisé correspond à une situation de : (cocher la ou les réponses justes)
a. Perte d’emploi.
b. De sous-emploi.
c. D’un emploi avec une productivité marginale différente de zéro.
d. D’un chômeur sans travail.
8- La conception néoclassique du chômage se base sur : (cocher la ou les réponses
justes).
a. Le chômage résulte de l’existence d’un marché d’emploi ne répondant pas aux mécanismes
de l’offre et de la demande.
b. Déséquilibre sur le marché de l’emploi.
c. Le chômage est naturel.
d. Le chômage est de court terme.
9- La conception keynésienne du chômage se base sur les principes suivants : (cocher la
ou les réponses justes).
a. Les mécanismes du marché de travail sont différents de ceux du marché des biens et
services.
b. Le prix du travail est élastique.
c. L’offre de travail par rapport aux prix est rigide.
d. Le chômage est régulé par le salaire.
e. Le chômage est régulé par le niveau d’activité anticipé.

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10-La théorie quantitative de la monnaie lie deux grands agrégats économiques. Est-ce :
a. Le chômage et l’inflation.
b. Le taux d’intérêt et l’inflation.
c. La masse monétaire et l’inflation.
11-Une augmentation du salaire peut conduire à …
a. une hausse de l’offre de travail en raison d’un effet revenu.
b. Une hausse de la demande de travail.
c. Une hausse de l’offre de travail en raison d’un effet de substitution.
d. Une hausse du temps de loisir en raison d’un effet de substitution.
12-La quantité de monnaie est exogène, si un excès de masse monétaire apparaît cela est
dû à :
a. Thésaurisation.
b. Augmentation de l’offre.
c. Augmentation de la demande.
d. Création monétaire.
e. Transfert de capitaux étrangers.

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QCM Comptabilité analytique corrigé

1. La répartition primaire correspond :


A. à la répartition des charges indirectes du compte de résultat dans les centres d’analyse
principaux
B. à la répartition des charges des centres auxiliaires dans les centres principaux
C. à la répartition des charges indirectes du compte de résultat dans les centres d’analyse
secondaires et principaux
D. à la répartition des charges directes et indirectes du compte de résultat dans les centres
d’analyse secondaire
Explication : la répartition primaire ne concerne que les charges indirectes, les charges
directes étant affectées directement aux produits ou services. Elle concerne les centres
auxiliaires et principaux, la répartition secondaire se chargeant de répartir les charges des
centres auxiliaires dans les principaux.

2. Les centres d’analyse regroupent :


A. des charges directes et indirectes
B. des charges indirectes uniquement
C. des charges fixes et variables
D. des charges fixes uniquement
Explication : comme mentionné à la question 1, les centres d’analyse regroupent des charges
indirectes uniquement, ces charges pouvant être aussi fixes que variables (l’énergie par
exemple, constitue une charge indirecte variable).

3. L’unité d’oeuvre correspond :


A. A une clé de répartition.
B. Au rapport entre les charges directes et indirectes du centre divisées par le nombre d’unités
d’oeuvre.
C. A un lien supposé de cause à effet entre la dépense du centre et l’élaboration du produit.
D. Au taux de rémunération de la main-d’oeuvre.
Explication : plusieurs réponses, ici : grosso modo, l’unité d’oeuvre est l’instrument qui
permet de répartir les charges entre les différents produits. Il s’agit en réalité d’un coefficient
de proportionnalité et donc, d’une certaine manière, on peut dire qu’elle remplit le même rôle
que la clé de répartition. La question B correspond à la définition même de l’unité d’oeuvre et
la question C reprend ce que devrait idéalement constituer une unité d’oeuvre.

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4. Une clé de répartition possible pour imputer les frais de transport de matières
premières dans une entreprise est :
A. Le lot de produits transporté
B. Le nombre de chauffeurs-livreurs
C. Le poids des produits transportés
D. Le nombre de commandes
Explication : a priori, seuls le nombre de lots et le poids des produits ont un lien étroit avec le
coût du transport. Il est vrai que lors du choix des unités d’oeuvre, on a tendance à privilégier
l’unité qui semble avoir le meilleur rapport de proportionnalité avec la dépense. En effet, en
termes de cause à effet, on peut considérer que le nombre de commandes est à l’origine des
frais de transport (on parle d’inducteur d’activité, c'est-à-dire ce qui est à l’origine de
l’activité), mais le coût reste fondamentalement induit par les frais de transports eux-mêmes :
c’est donc l’unité d’oeuvre « nombre de lots transportés » ou « poids des produits transportés
» qui, selon la nature des matières premières semble le plus réaliste.

5. Dans une verrerie, constitue a priori un centre principal :


A. l’atelier de soufflage
B. le hall d’exposition
C. le service comptabilité et facturation
D. le centre emballage et distribution
Explication : ce sont les deux centres les plus proches du cycle de fabrication du produit.

6. Dans une poterie, constitue a priori un centre secondaire :


A. l’atelier de tournage
B. l’atelier de peinture
C. le centre création et conception de modèles
D. la direction
Explication : la direction constitue un centre auxiliaire facile à identifier. On peut supposer
que l’atelier de création et de conception de modèles travaillant à la fois sur de nouveaux
modèles, mais aussi les moyens de les fabriquer, travaille ainsi tout autant pour
l’approvisionnement que la production elle-même. Son coût devra être réparti sur ces centres,
voire sur la distribution s’il faut penser un packaging spécifique, par exemple.

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7. Quelles sont les méthodes d’évaluation des sorties de stocks autorisées en comptabilité
générale :
A. La méthode du FIFO (First In, First Out : Premier Entré, Premier Sortie)
B. La méthode du LIFO (Last In, First Out : Dernier Entré, Premier Sortie)
C. La méthode du CMUP (Coût Moyen Unitaire Pondéré)
D. La méthode du coût standard

8. La méthode du coût de revient complet par centres d’analyse permet :


A. de calculer le coût de revient de chaque produit en le décomposant par grande fonction
(approvisionnement, production, distribution)
B. de calculer la rentabilité apparente de chaque produit
C. d’avoir une mesure fiable de la rentabilité de chaque produit
D. de prendre la décision d’abandonner un produit dont le résultat analytique est déficitaire.
Explication : la réponse A correspondant quasiment à une définition. Calculer la rentabilité
apparente est un objectif. Elle est qualifiée d’apparente, car il semble difficile d’obtenir une
information parfaitement fiable (réponse C), la prudence étant de mise et particulièrement s’il
s’agit de prendre une décision d’abandon de produit (D) pour laquelle le calcul d’un coût
spécifique est plus adapté.

9. Cochez les coûts calculés dans une entreprise commerciale :


A. coût d’approvisionnement
B. coût de production des marchandises
C. coût hors production des marchandises vendues
D. coût de revient des marchandises vendues
Explication : il n’y a pas de coût de production dans une entreprise commerciale, puisque son
activité consiste à acheter pour revendre en l’état. En revanche, il faut calculer un coût
d’approvisionnement des marchandises vendues, vital pour le calcul de la marge et il existe un
coût de revient puisque l’entreprise aura en principe à supporter des coûts de promotion
commerciale et de distribution.

10. Le coût d’unité d’oeuvre (basée sur l’heure de main-d’oeuvre directe) du centre
d’analyse « usinage » a augmenté de 15 € au cours de l’année. Quels facteurs parmi les
suivants sont susceptibles d’avoir contribué à cette augmentation ?
A. Une réduction de l’activité.
B. Une amélioration de la productivité de la main-d’oeuvre directe.

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C. Une augmentation du niveau de la robotisation.


D. Une augmentation du taux de rémunération de la main-d’oeuvre directe.

Explication : le coût d’unité d’oeuvre est déterminé par le rapport entre le coût du centre et le
nombre d’unités d’oeuvre. Tout ce qui concourt à diminuer le nombre d’unités d’oeuvre se
traduit mécaniquement par une augmentation du coût de l’unité d’oeuvre : ce n’est pas
évident au premier abord, surtout de constater qu’une amélioration de la productivité puisse se
traduire par une augmentation du coût de l’unité d’oeuvre ! En revanche, l’augmentation du
taux de rémunération, qui est une charge directe n’a aucun impact sur le coût de l’unité
d’oeuvre.

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QCM Corrigé marketing de base s3

Q1- La démarche de segmentation consiste à :


a- découper le marché en groupes de consommateurs hétérogènes
b- découper le marché en groupes de fabricants similaires
c- retenir un critère de découpage pour former des groupes homogènes de clients
d- vérifier l'existence de plusieurs segments
Q2- Le positionnement consiste à :
a- choisir la bonne cible de clients
b- établir une relation affective entre le produit et le consommateur
c- proposer des solutions pour vendre le produit
d- prendre une place dans l'esprit du consommateur
Q3- La contre segmentation est une stratégie marketing qui
a- segmente le marché avec un nouveau critère
b- considère qu'il n'est pas nécessaire de segmenter le marché
c- considère qu'il faut subdiviser les segments actuels
d- prévoit une diversification des goûts de la clientèle
Q4- Cibler c'est :
a-sélectionner un segment de marché
b- sélectionner un positionnement
c- sélectionner un critère de segmentation
d- manipuler les croyances du consommateur
Q5- La liste des critères d'efficacité de la segmentation des marchés est la suivante :
mesurable, exploitable et accessible
a- vrai
b- faux
c- ni vrai ni faux
Q6- Le marketing indifférencié consiste à
a- cibler un segment rentable avec un produit
b- proposer le même produit à tout le marché
c- proposer plusieurs produits à un seul marché

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d- sélectionner les couples produits/marché


Q7- Dans quel cas la demande est-elle le plus élastique au prix ?
a- Lorsqu'il n'existe pas de substitut au produit
b- Lorsque les consommateurs sont sensibles au rapport qualité-prix
c- Lorsque les consommateurs font peu attention au prix
d- Lorsque la concurrence est importante
Q8- Que représente le taux de pénétration ?
a- Le CA d'une marque par rapport au CA de la catégorie de produits
b- Le CA réalisé par les magasins dans lesquels la marque est présente
c- Le nombre d'acheteurs de la marque par rapport au nombre d'acheteurs de la catégorie de
produit
d- Le CA de la marque dans les seuls magasins dans lesquels elle est présente
Q9- Parmi les groupes de consommateurs suivants, lesquels ne font pas partie du
marché potentiel d'une entreprise ?
a- Les consommateurs des marques concurrentes
b- Les non consommateurs relatifs
c- Les consommateurs actuels de la marque
d- Les non consommateurs absolus
Q10- La fixation du prix repose sur 3 principaux facteurs :
a- les coûts, les consommateurs et les concurrents
b- les coûts, les consommateurs et les distributeurs
c- les fournisseurs, les distributeurs et les concurrents
d- les fournisseurs, les consommateurs et les concurrents
Q11- Pendant la phase de maturité du produit :
a- le produit est seul sur le marché et la marge est maximale
b- le produit est très concurrencé sur le marché et la marge est importante
c- le produit est seul sur le marché et la marge est faible
d- le produit est très concurrencé sur le marché et la marge est faible
Q12- Pendant la phase d'introduction du produit, le prix est :
a- au plus élevé
b- au plus bas

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c- au niveau des concurrents sur le marché


d- au plus élevé OU au plus bas selon l'intensité de concurrence sur le marché
Q13- Le cycle de vie du produit est :
a- un cadre d'analyse théorique des ventes sur les marchés
b- correspond à la réalité de l'évolution des ventes sur les marchés
c- un outil de prédiction des ventes lors du lancement d'un produit
d- correspond au potentiel de ventes du produit sur le marché
Q14- Le prix psychologique correspond à :
a- au prix perçu par le consommateur
b- au prix que le consommateur est prêt à payer pour acheter le produit
c- au prix dont le consommateur se souvient
d- au prix de référence pour une catégorie de produit
Q15- Un prix trop peu élevé
a- renvoie une image de mauvaise qualité
b- diminue la marge
c- met en péril le jeu concurrentiel
d- les trois à la fois
Q16- Le média planning consiste à
a- élaborer une campagne publicitaire
b- conduire des actions de relations publiques en direction de la presse
c- sélectionner des média et des supports adaptés aux objectifs d'une campagne publicitaire
d- les trois à la fois
Q17- Parmi les éléments suivants, lequel ne relève pas d'une action de communication
média ?
a- un visuel dans un abribus
b- une banderole sur un site internet
c- le parrainage d'une exposition sur l'histoire de la presse
d- une publicité à la télévision
Q18- Un plan marketing présente :
a- le volet financier d'une campagne publicitaire
b- les objectifs quantitatifs d'un projet marketing

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c- le diagnostic, la stratégie marketing choisie et les actions à mener sur le mix


d- le compte rendu des études de marché
Q19- La stratégie d'écrémage est adaptée pour
a- les produits à forte valeur symbolique
b- les produits laitiers
c- les produits rares
d- aucun des trois
Q20- Il est possible pour une entreprise de classer une cible de clientèle autour de
a- clients, acheteurs non fidèles et prospects froids
b- clients, suspects et prospects
c- clients, prospects et retraités
d- aucun des trois

25 questions QCM Marketing Corrigés


Une société japonaise x internationale produit du matériel aéronautique pour les
industriels, et les avions pour les particuliers et participe dans la réalisation de la
commande publique de son pays, elle détient 55% de part de marché national.à l’étranger
elle essaie toujours d’atteindre la première place grâce à des investissements continus en
R&D, pour minimiser ses prix et optimiser sa production, malgré la concurrence acharné
qui caractérise le secteur et les exigences des clients.
Q1. le marché de l’entreprise est donc :
A- Industriel,
B- Commercial et public,
C- De consommation,
D- Public,
E- Aucune réponse,
Q2. Sur le marché étranger l’entreprise est :
A- Leader,
B- Suiveur
C- Chalenger,
D- Spécialiste,
E- Aucune réponse,
Q3. la stratégie de l’entreprise à l’étranger est :

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A- Défense mobile,
B- L’attaque de l’ecart,
C- Différencié,
D- La défense de position,
E- Aucune réponse,
Q4. Les forces du secteur sont :
A- Les investissements en R&D,
B- Le ciblage différencié,
C- La part de marché élevé,
D- Le positionnement de l’entreprise,
E- Aucune réponse,
Q5.les faiblesse de marché sont :
A- La concurrence,
B- Le pouvoir de négociation du client élevé,
C- Le pouvoir de négociation du fournisseur élevé,
D- L’absence des biens de substitution,
E- Aucune réponse,
Constatant l’accroissement de la demande sur sa production au japon, l’entreprise à
développer sa capacité de production et changé le design de ses avions.
Q6. la stratégie de l’entreprise entre dans le cadre ?
A- Du marketing social,
B- Du marketing relationnel,
C- De la GRC,
D- Du positionnement,
E- Aucune réponse,
Q7. la stratégie de l’entreprise au japon est :
A- De contre-offensive,
B- De spécialisation,
C- De défense mobile,
D- De défense d’avant-poste,
E- Aucune réponse n’est juste,

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Une coopérative produit l’huile d’argan destiné à l’industrie cosmétique ses clients sont
de grande taille et situés dans le monde entier.
Q8. le ciblage de la coopérative est donc :
A- Concentré et individualisé,
B- Différencié,
C- Indifférencié,
D- Concentré,
E- Aucune réponse,

Constatant la régression des ventes sur ses marchés, la coopérative a amélioré la qualité
de sa production .créé un site pour fidéliser ses clients. Et s’est diversifiée vers les
produits alimentaires à à base d’argan comme l’huile et Amlou.
Q9. la phase de cycle de vie d l’huile industrielle est :
A- Le Lancement,
B- La croissance,
C- La maturité,
D- Le déclin,
E- Aucune réponse,
Q10. la politique de la coopérative est :
A- D’innovation d’exploitation,
B- D’innovation d’exploration,
C- De produit,
D- De GRC,
E- Aucune réponse,
Q11. les forces du secteur sont :
A- L’absence de la concurrence,
B- La diversification de la production,
C- La GRC,
D- L’amélioration de la qualité,
E- Aucune réponse,

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En menant une analyse économique de la demande, une entreprise a estimé sa demande


potentielle annuelle à 10960 unités, son marché potentiel annuel à 10 entreprises et son
taux de pénétration à 60%.
Q12. La quantité moyenne utilisée par jour est :
A- 3.5
B- 4
C- 5
D- 10
E- Aucune réponse.
Q13 .le marché actuel de l’entreprise est de :
A- 5 entreprises,
B- 6 entreprises,
C- 7 entreprises,
D- 10 entreprises,
E- Aucune réponse,
Sachant que les industriels de la cosmétiques utilisent l’emballage en plastique (P), une
entreprise interviennent avec un emballage nouveau (E) a estimé sa fonction de la
demande comme suit
QE=10PE0.5 PP R3
Q14. la politique de prix de l’entreprise sera de,
A- Cadeau,
B- Prix chers,
C- De pénétration,
D- D’exploitation,
E- Toutes ces réponses sont fausses,
Q15. dans ce cas l’effet d’une augmentation du prix de l’emballage en plastique sur la
demande du nouvel emballage et le suivant,
A- Si le prix de P varie de 1% la quantité demandée de E variera de 1%.
B- Si le prix de P varie de 1% la quantité demandée de E variera de 0.5%.
C- Si le prix de P varie de 1% la quantité demandée de E variera de 5%.
D- Si le prix de P varie de 1% la quantité demandée de E variera de 0.2%.
E- Aucune réponse,

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Q16. Le prix payé par le public cible d’une association de bienfaisance,


A- Peut-être se forme réel,
B- Peut-être se forme monétaire,
C- Est toujours monétaire,
D- Peut être payé par les bénéficiaires des services de l’association,
E- Aucune réponse,
Q17. le marketing :
A- est synonyme de publicité,
B- est une stratégie inutile,
C- permet de rentabilisé l’entreprise,
D- est une stratégie récente,
E- aucune réponse,
Q18. Le point commun entre le marketing commercial et celui social réside dans,
A- la nature du public cible,
B- l’objet,
C- le domaine d’intervention,
D- la nature de stratégies utilisées,
E- aucune réponse,
Q19.le marketing de l’innovation permet :
A- de générer de la valeur,
B- De fidéliser la clientèle
C- De se différencié des fournisseurs,
D- De créer de nouveaux marchés,
E- Aucune réponse,
Q20.Cocher les bonnes propositions ;
A- Dans les secteurs fortement concurrentiels il est inutile d’innover,
B- Pendant la phase de lancement du produit on utilise l’innovation d’exploitation,
C- La phase de maturité indique la saturation du marché,
D- Le positionnement se base uniquement sur la différenciation,
E- Aucune proposition n’est juste,

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Q21. L’attrait d’un marché dépend :


A- De l’intensité concurrentielle,
B- De la stratégie de ciblage de l’entreprise,
C- Des critères de segmentation utilisés,
D- De la capacité de positionnement de l’entreprise,
E- Aucune réponse n’est juste,
Q22. L’innovation d’exploitation peut être utilisé par :
A- Le chalenger pour défendre sa position,
B- Le leader pour se diversifier,
C- Le suiveur pour affronter la concurrence,
D- Le chalenger pour une attaque frontale,
E- Aucune réponse,
Q23. la GRC est utile :
A- Lorsque la demande dépasse l’offre,
B- Sur un marché de masse,
C- Pour fidéliser les clients,
D- Lorsque l’offre dépasse la demande,
Aucune réponse,
Q24, la différence entre le marketing transactionnel et celui relationnel réside dans :
A- Les stratégies utilisées,
B- Le degré de personnalisation de la relation avec le client,
C- La nature du marché concerné,
D- Le temps d’intervention de l’entreprise,
E- Toutes les réponses sont fausses,
Q25. le marketing social comme celui opérationnel :
A- Se base sur l’action,
B- Se base sur la veille,
C- Est un marketing de masse,
D- Est un marketing concentré,
E- Aucune réponse,

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QCM finances publiques

1. La loi organique du 1er août 2001

a. est relative aux lois de financement de la sécurité sociale

b. abroge l'ordonnance organique du 2 janvier 1959

c. transpose dans notre droit les principes budgétaires européens

d. est destinée à mieux évaluer la performance de l'Etat et à renforcer le contrôle


parlementaire sur les finances de l'Etat

2. Les objectifs de la loi du 1er août 2001

a. Responsabiliser les gestionnaires publics

b. Renforcer les prérogatives budgétaires du Parlement

c. Raccourcir les délais de discussion budgétaire

d. Redéfinir les compétences budgétaires du Sénat

3. Le principe de spécialité défini dans la LOLF

a. Détaille l'affectation ministérielle des crédits

b. Signifie que les crédits sont spécialisés par titre

c. Signifie que les crédits sont spécialisés par chapitre

d. Signifie que les crédits sont spécialisés par programme

4. Le principe de sincérité

a. Est un principe dégagé par la jurisprudence constitutionnelle

b. est posé par l'ordonnance du 1 août 2001

c. Exige une exactitude dans les prévisions de recettes et dépenses en loi de finances initiale

d. Se contente d'une évaluation de bonne foi des charges et ressources de l'Etat

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5. Les atténuations au principe de séparation des ordonnateurs et des comptables

a. Les crédits évaluatifs

b. Les recettes perçues au comptant

c. Les régies d'avance

6. La Cour des Comptes

a. A été instituée en 1800

b. Est une juridiction administrative spécialisée

c. Est une autorité administrative indépendante

d. Est une institution dépendante de la Cour des comptes européenne

7. La Cour des comptes contrôle

a. Les comptes des comptables publics

b. Les comptes des comptables de fait

c. La gestion des ordonnateurs des services de l'Etat

d. Les actes des ordonnateurs locaux

8. Le principe d’universalité signifie que :

a. l’ensemble des recettes couvre l’ensemble des dépenses

b. les recettes et les dépenses sont inscrites pour leur montant brut

c. l’ensemble des ressources et des charges doivent être portées dans un document unique

d. les règles budgétaires ont été approuvées par l’ONU

9. Les missions comprennent :

a. un ensemble de programmes

b. un ensemble d'actions

c. un ensemble d'objectifs précis

d. essentiellement des programmes interministériels

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10. Les programmes

a. concourent à une politique publique définie

b. regroupent des crédits destinés à mettre en oeuvre une action

c. peuvent être interministériels

d. contiennent des objectifs et des indicateurs de performance

11. La loi de finances

a. est une loi ordinaire

b. est un acte de prévision

c. est un acte d'autorisation

d. emporte obligation de dépenser les crédits votés par le Parlement

12. Parmi ces propositions, lesquelles se rapportent à des impôts locaux

a. taxe d'habitation

b. taxe professionnelle

c. l’impôt sur le revenu des personnes physiques

d. taxe sur le foncier bâti et non bâti

13. Lequel de ces impôts n’est pas un impôt d’état :

a. L’impôt sur les sociétés

b. L’impôt sur le revenu des personnes physiques

c. La TVA

d. La taxe professionnelle

14. Le principe d’annualité budgétaire a la signification suivante :

a. Le budget est voté chaque année

b. Les autorisations d’engagement sont interdites

c. Les dispositions de la loi de finances s’appliquent sur une année civile

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15. En matière de dépenses publiques, l’ordonnateur effectue les opérations suivantes :

a. Engage, liquide, paye

b. Engage, contrôle, ordonnance

c. Engage, liquide, ordonnance

16. Les ordonnateurs sont passibles de sanction devant :

a. La Cour des comptes

b. La Cour de discipline budgétaire et financière

c. Le Conseil d’Etat

d. L’inspection générale des finances

17. Le projet annuel de performance :

a. présente la répartition des crédits par ministère

b. analyse les prévisions de chaque recette budgétaire et présente les dépenses fiscales

c. présente par programme les actions, les objectifs poursuivis, les résultats à atteindre au
moyen d’indicateurs précis

d. retrace l’effort financier pour réduire la dette publique de l’Etat

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Test QCM en Comptabilité des Sociétés

Crochez la ou les Bonnes réponses :

1. Quels sont les apports constituant le capital social ?

• Les apports en personnes €

• Les apports en numéraire €

• Les apports en nature €

• Les apports en industrie €

2. Une Société Anonyme est une société :

• De capitaux €

• De personnes €

• Mixte €

3. Il représente la Société Anonyme vis-à-vis des tiers :

• le gérant €

• le président du conseil d'administration €

• le conseil de surveillance €

4. Le capital social d'une Société Anonyme (SA) doit être d'au moins :

• 300 000 dhs €

• 3 000 000 €

• 3 300 000 dhs €

5. Une Société Anonyme (SA) faisant appel public à l'épargne doit réunir un capital
minimum de :

• 3 000 000 dhs €

• 3 300 000 dhs €

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• 300 000 € dhs

6. Une entreprise individuelle doit avoir un capital social minimum de

• 10 000 dhs €

• 1 000 dhs €

• faux : aucun capital social €

7. Les titres sociaux d'une Société A Responsabilité Limitée (SARL) sont :

• des parts sociales €

• des actions €

• des obligations €

8. Une entreprise unipersonnelle :

• n'est pas une société €

• est une société de type SA €

• est une société de type SARL €

9. Une "action" est un titre d'associé de :

• SARL €

• SA €

• SNC €

10. La Taxe Notariale Est due au taux proportionnel de :

• 5% sur Captal Social €

• 0.5% Sur le Capital Social €

• 0.5% Sur la Somme des Apport Pus et Simple €

• 5% Sur la Somme des apports €

11. Une action :

• peut toujours être vendue librement €

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• ne peut être vendue librement qu'avec l'accord de la majorité des associés en place €

• sa vente peut parfois être subordonnée à l'accord des associés en place €

12 - Quelles sont les particularités d'une SARL ?

• Elle est composée de 1 à 100 associés, sans capital minimum, qui est divisé en parts
sociales. €

• Elle est composée de 2 à 50 associés, sans capital minimum, qui est divisé en parts
sociales. €

• Elle est composée de 2 à 50 associés, sans capital minimum, qui est divisé en Actions.

• Elle est composée de 1 à 50 associés, sans capital minimum, qui est divisé en Actions.

• C'est une entreprise sociétaire. €

• C'est une entreprise individuelle €

13- Quelles sont les particularités d'une SA ?

• Elle est composée au minimum de 7 associés, avec un capital de 37 000 dhs minimum,
divisé en actions, €

• Elle est composée au minimum de 2 associés, avec un capital de 37 000 dhs minimum,
divisé en actions, €

• Elle est réservée aux grands projets. €

• Elle est composée au minimum de 5 associés, avec un capital de 300 000 dhs
minimum, divisé en actions, €

14. La responsabilité Pour les Société de personnes

• Définie €

• Indéfinie €

• Limité €

• illimité €

15. La responsabilité Pour les Société de Capitaux

• Définie €

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• Indéfinie €

• Limité €

• illimité

QCM Droit Des Affaires


1 une société de participation :

A)- est obligé de tenir un compte bancaire s'elle exerce une activité commerciale.

B)- obligé de tenir un compte bancaire quel que soit son activité

C)- elle n'a obligé de tenue de compte.

D)- est obligé de tenir un compte parce qu'elle est une société commerciale par la forme

2 Le droit au compte permet aux citoyens marocains de bénéficier de ces avantages :

A) opérations de caisse et des crédits bancaires.

B) des opérations de caisse et un carnet de chèque et des crédits bancaires

C) des opérations de caisse et un carnet de chèque et un autre de lettres de change

D)- des opérations de caisse et crédits bancaires et carnet de lettre de change

AUTRE

3 qui géré un compte bancaire s'appelle :

A)-un tireur

B)- un détenteur

C)-un Mandataire

D)-un ordonnateur

4 la lettre d'unité de compte :

A)- permet à la banque d'unifier les comptes d'un client qui détient plusieurs comptes en
même banque.

B)-rassembler les soldes des comptes du client dans un seul compte.

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C)-faire une compensation entre deux comptes lorsqu’un des deux représente solde débiteur.

D transformer le solde d'un compte à un autre.

5 les types de compte à vue sont :

A)-compte courant

B-compte spéciaux

C)-compte de dépôt

D)-compte sur carnet

6 le délai de clôture d'un compte non mouvementé pendant 10 ans est :

A) 10 ans

B) 5 ans

C) 15 ans

D) aucune réponse

7 lorsque un citoyen émis un chèque sans provision :

A)- il peut souscrire des chèques de banque avant un délai de 10 ans.

B)- Il ne peut souscrire des chèques bancaires avant un délai de 10 ans .

C)- cet acte est considéré comme un délit et frape par un emprisonnement de 1-a 5ans

D)- cet acte ne considéré pas comme un délit est frape par une amende fiscale seulement.

8 le compte sur carnet est ouvert

A) à des personnes morales uniquement.

B) à des personne physique uniquement

C)- a des personnes morales et physiques

D) en principe à des personnes physiques et en exception à des personnes morales

9 sont des étapes de régler les litiges bancaires :

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A)- saisine de la banque concernée

B)-recours à la banque centrale

C)- saisine du médiateur

D)- recours au tribunal administratif

E) recours au tribunal de première instance

10 Quelle est la bonne réponse ?

a) un compte courant peut présenter soit un solde créditeur soit débiteur

b) un compte courant présenter uniquement un solde créditeur

c) un titulaire d’un compte courant peut bénéficier des dépassements occasionnels

d) un non commerçant peut avoir un compte dépôt

11 en cas du décès d'une personne qui a détient un compte bancaire à solde créditeur le
compte :

A)- saurait une clôture définitive

B)-serait bloqué jusqu’à la production d'une attestation de succession

C) serait bloqué jusqu’ à la production d'une attestation de tutelle.

D)- on ne peut jamais le bloqué et on ne peut jamais le fermer

12 Le délai de régularisation de la situation en ATD est

A)- aucun délai

B)- 60 jrs

C)- 3jours

D)- 15 jours

13 La lettre de change (Traite) :

A- est un acte de commerce par nature

B-doit être présentée à l’acceptation avant paiement

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C- est un écrit par lequel un souscripteur s’engage à payer au bénéficiaire une certaine somme
à une échéance déterminée.

D- aucune réponse

14-lorsque un tireur met la mention non â ordre dans LC le bénéficiaire :

A)- peut endosser la lette de change à une seule personne

B)-ne peut endosser la lettre de change

C)-ne peut endosser la lettre de change qu'au tireur lui-même.

D)-peut endosser la lettre de change à un nombre illimité des endossataires

15 la lettre de change peut considérer comme :

A)- instrument de paiement

B)- instrument de mobilisation de créance

C)-instrument de vendre la créance

D)-instrument de crédit

16 dans le rapport fondamental de la lettre de change les éléments principaux sont :

A)-tireur

B)-tiré

C)-endosseur

D)-endossataire

17 si le tiré d'une LC est un dément et à signé la LC .

A)- tous les éléments de la LC soient invalables

B)-la seule signature du tiré soit invalable et les autres soient valable.

C)-la lettre de change devient une reconnaissance de dette.

D)-la lettre de change serait soit valable absolument

18 l'Effet de complaisance c'est :

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Brahim NAFIRI

A)- le tireur tire un chèque sans provision

B)-le tireur tire une lettre de change sur un tiré imaginaire.

C)- le tireur se met en d'accord avec le tiré et tire sur lui une lettre de change sans provision

D- le tireur tire une lettre de change â un tiré dont le tireur c''est le bénéficiaire.

19 un avaliste s'engage au bénéficiaire

A)- de payer un somme d'argent préalablement.

B)-d'une garantie

C)-d'un crédit

D)-aucune

20 la clause (contre acceptation est pourvu inséré par :

A)-le tiré

B)-le tireur sauf si la LC porte la mention (non acceptable)

C)- le tireur absolument

D)-l'endosseur si la LC ne porte la mention (non acceptable.

E)- le bénéficiaire

F)- aucun ne peut insérer cette clause parce qu’elle transgresse la validité de la LC

21 les cas d'oppositions de paiement légales prévus par la loi :

A)-perte d'instrument de paiement

B)-falsification

C)- virement bancaire

D)- tirer un chèque sans provision

22 choisissez la bonne proposition :

A)- en la LC normalisé la provision doit être présenter au domicile du tiré

.B)-en la lettre de change classique la provision doit être présenter à la banque à l’échéance.

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C)-on peut escompter la LC classique

D)- on ne peut pas escompter ou endosser la LC classique

AUTRE

23 Lorsque la datte de LC se met à vue :

A)- l'échéance soit un délai déterminé

B)-le jour de présentation c'est le jour de paiement

C)-le jour de paiement soit le jour de création

D)- l'échéance est liée au jour de l'acceptation

24 le dépassement de solde créditeur est fait :

A)- occasionnellement au compte courant.

B)- par découverte bancaire en compte de dépôt

C)- par découvert bancaire en compte courant

D)- par dépassement occasionnel au compte chèque

25 Le Rôle de la Lettre de change :

a/ un instrument de transport d'argent

b/ un instrument de paiement

c/ un instrument de crédit

d/ les trois réponses citées ci-dessus sont fausses

26 Parmi les caractéristique de traite :

A) acte de commerce par forme

B) titre littéral

C) titre négociable

D) créatrice d'obligation

27 lorsque le tireur a inséré la clause sans garantie dans une LC ça signifie :

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a)- impossibilité d'intervenante des avalistes

b)-si le tiré n'a payé pas on ne peut pas retourner au tireur.

c- le paiement de la lettre de change ne doit pas doter une garantie.

d)-aucune

28 On applique les intérêts a un LC lorsque la date d'échéance est :

A) a vue

B) a jour fixe

C) a certain délai a vue

D) a certain délai de date

29 L'aval est

a - le fait que la traite soit signée par le " tiré "

b - une garantie de paiement de la traite, donnée par un tiers

c - le fait que le bénéficiaire de la traite peut transmettre à une tierce personne le bénéfice du
paiement de l'effet

d - une procédure de traitement interne propre aux banques, en ce qui concerne les lettres de
change

30 si une lettre de change est crée le 9/06/2015 et acceptée par le tiré le 20/06/2015 et le
tireur a met le paiement doit être a un délai de Vue de 10 jours :

A)-le paiement doit être le 20/06/2015

B) le paiement doit être le 09/06/2015

C) le paiement doit être le 01 /06/2015

D) le paiement doit être le 1/07/2015

E) le paiement doit être le 30/06/2015

F) le paiement doit être.

31 Choisie la bonne réponse

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A) avoir un chèque est un service gratuit

B) avoir un LC est un service payée

C) avoir un LC est un service gratuit

D) avoir un carte magnétique est un service payée

32 Le droit au compte :

A)-un droit absolu.

B)-un droit limite.

C)-un droit relatif.

D)-ce n'est pas un droit absolu.

E)-un droit illimité.

F)-un droit absolu et limite.

33 si un tireur qui a créé une LC LC le 03/06/2015 qui est doit être paye dans un délai
fixe de 20 jours et le tire a accepté la LC le 15/06/2015 alors la date de paiement est :

A)- 24/06/2015

B)-23/06/2015

C)-06/07/2015

D) 05/07/2015

34 si l'aval est donné au compte du tiré l'avaliste qui a payé à l'échéance peut retourner :

A)- au tiré accepteur uniquement

B)-au tiré accepteur et au endosseur.

C)-au tiré accepteur et au tireur

D)-au tiré et le premier avaliste.

E)- au tireur uniquement

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(Questions/ réponses) de la Comptabilité Nationale

Q 1-Quel est le rôle de la comptabilité nationale ?

R 1-la comptabilité nationale à un double rôle :

En premier temps, elle analyse le circuit économique , c'est à dire les conséquences des
décisions prises par les agents économiques. En deuxième temps, elle rassemble les données
économiques quantifiables( salaires , crédits , investissement..)

Q 2-Quelle est la différence entre société et quasi-société ?

R 2-la différence entre les 2 : c'est que la quasi-société dispose d'une (comptabilité propre ),
tandis que la société dispose à la fois d'une comptabilité et d'une personnalité juridique .

Q 3-Quels sont les trois sous secteurs des institutions financières que la compta nationale
marocaine recense ?

R 3- institutions de crédits :

*OPCVM

* compagnie d'assurance

* caisse de retraite

Q4-les opérations avec l'extérieur couvre 3 catégories, de quoi s'agit il ?

R4- Mouvements de capitaux + transferts de revenus + échanges de biens et services .

Q5- si l'on s'attache aux utilisations des produits qui sont disponibles sur un marché
donné , on remarque en comptabilité nationale 4 utilisations possibles .Expliquez ?

R5- Consommation = (consommation des ménages+ E/ses+ Admini..)

Investissement= quand le produit est un bien durable et qu'il est utilisé pour produire d'autres
bien .

Exportation= il correspond à un investissement ou une consommation de la part du reste du


monde .

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Variation des stocks= tout les produits fabriqués ne peuvent être écoulés sur le marché , donc
il peuvent rester dans le stock des fabricants et des distributeurs .

Q6- En comptabilité nationale on recense 2 moteurs de la croissance


économique,Expliquez ?

R6- Premièrement, l'augmentation de la consommation interne et de l'investissement donne


lieu à une augmentation du taux du croissance (PIB)

Deuxièmement ,quand la différence entre les exportations et importations est positive ..

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30 questions QCM Corrigé en audit


Q1. L’audit est :

A. Un examen professionnel.

B. Une sorte de vérification.

C. Un type de contrôle de gestion.

D. Un processus méthodologique.

Q2. Un auditeur interne peut être un :

A. Salarié de l’entreprise.

B. Commissaire aux comptes.

C. Intervenant externe.

D. Etudiant.

E. Aucune réponse

Q3. Les normes générales de l’audit :

A. Sont fictives.

B. Sont optionnelles.

C. Sont obligatoires.

D. Sont de nature comptable.

E. Aucune réponse.

Q4. Nous pouvons parler de risque dans les situations suivantes :

A. Absence d’une répartition des tâches.

B. Confusion des tâches

C. Evaluation forfaitaire des stocks.

D. Sous-effectif du personnel comptable.

E. Aucune réponse

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Q5. Un auditeur est forcément un :

A. Commissaire aux comptes.

B. Inspecteur.

C. Expert-comptable.

D. Professionnel de traitement de l’information

Q6. L’audit légal est :

A. Un audit optionnel.

B. Un audit obligatoire.

C. Un audit interne.

D. Un audit externe

Q7. Le mandat d’un commissaire aux comptes doit durer :

A. Une année

B. 2 années

C. 3 années.

D 4 années

E. Aucune réponse.

Q8. En matière d’audit légal, l’auditeur est tenu d’une :

A. Obligation de détection de fraudes.

B. Obligation d’amélioration de la gestion.

C. Obligation de moyens

D. Obligation de résultats.

Q9. Le contrôle interne est un ensemble des pratiques et procédures mise en œuvre par
la direction en vue :

A. De protéger le patrimoine de l’organisation

B. De publier les comptes

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C. De contribuer au bon fonctionnement de l’organisation

D. D’éviter complètement les erreurs et les fraudes.

E. Aucune réponse

Q10. Lors de l’accomplissement d’une mission d’audit, un auditeur n’est pas tenue de :

A. Tout contrôler.

B. Revoir toutes l’opération passée au niveau comptable.

C. Planifier et orienter le travail de l’auditeur interne.

D. Mettre en place tous les moyens nécessaires à la réalisation de la mission.

E. Aucune réponse.

Q11. Pour détecter les anomalies l’auditeur peut faire appel aux outils suivants :

A. Des contrôles physiques.

B. Des impressions personnelles.

C. La revue de vraisemblance.

D. La technique de sondage.

Q12. Les quels des éléments ci-dessous, peuvent faire l’objet de confirmation :

A. Les créances clients.

B. Les provisions pour créances clients.

C. Les dettes fournisseurs.

D. Les amortissements des immobilisations corporelles.

Q13. Au cours de son mandat un commissaire aux comptes :

A. Peut toujours émettre des opinions sans réserve.

B. Doit toujours exercer sa mission jusqu’ à son terme.

C. A toujours la possibilité de démissionner pour motif légitime.

D. Ne peut jamais démissionner.

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Q14. Le principe de la propriété peut stipuler que :

A. Un bien acquis par crédit-bail ne doit pas figurer dans l’actif d’une entreprise.

B. Le patrimoine d’une entreprise est constitué des actifs qui lui appartiennent.

C. Toutes les opérations doivent être enregistrées et réelles.

D. Aucune réponse.

Q15. Dans un processus d’achat, la mise en concurrence de fournisseurs permet :

A. D’identifier les avances aux fournisseurs non récupérées.

B. De rechercher le meilleur rapport qualité- prix.

C. De faire jour la concurrence entre les fournisseurs.

D. Aucune réponse.

Q16. Un auditeur des achats peut :

A. Mettre en évidence le risque de forte dépendance d’un seul fournisseur.

B. Mettre en évidence le risque de non mise en concurrence des fournisseurs.

C. Remettre en cause l’existence d’une procédure d’achat bien élaborée et non respectée.

D. Aucune réponse.

Q17. Lors de l’accomplissement d’une mission d’audit, un auditeur est tenue de :

A. Planifier et orienter la mission de chaque salarié au sein de l’entreprise.

B. Tous vérifier.

C. Sélectionner les éléments à contrôler.

D. Faire appel à un expert dans un domaine que lui ne maitrise pas.

E. De licencier l’auditeur interne en cas d’incompétence

Q18. Afin de détecter des anomalies, l’auditeur financier peut croiser de l’information
issue de :

A. L’actif et du passif du bilan.

B. Bilan et CPC.

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C. Bilan et du patrimoine personnel du dirigeant.

D. CPC et des orientations stratégiques de l’entreprise.

E. Aucune réponse.

Q19. Dans le domaine de l’audit, l’auditeur peut faire appel à un certain nombre de
technique de control et de vérifications, parmi lesquelles nous pouvons citer :

A. La vérification des actifs corporels au sein de l’entreprise.

B. La demande (collecte) d’information interne et externe de l’entreprise.

C. La vérification d’un calcul.

D. L’observation sur le terrain.

E. Aucune réponse.

Q20. Le montant des provisions constatées attire l’attention de l’auditeur parce que :

A. La constatation des provisions est une obligation légale.

B. Il existe des méthodes de calcul précises.

C. Il s’agit d’une simple estimation.

D. Les provisions figurent aussi bien à l’actif qu’au passif du bilan.

E. Les provisions peuvent avoir une influence significative sur le patrimoine de


l’entreprise.

Q21. Dans quel (s)cas parle-t-on d’une fraude ?

A. Une erreur sur la date d’enregistrement d’une opération.

B. Une erreur sur le calcul arithmétique d’une opération.

C. Le non enregistrement d’une sortie de stock.

D. L’enregistrement d’opérations fictives.

E. Aucune réponse.

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Q22. Les dirigeants d’une entreprise ont arrêté les comptes annuels de l’exercice après
avoir procédé à une majoration importante de la valeur des stocks et une minoration
significatives des opérations ainsi que des provisions dans ce cas on peut parler de :

A. Du respecte du principe de prudence.

B. D’une dissimulation de la situation financière de l’entreprise.

C. D’une fraude.

D. D’une erreur.

E. Aucune réponse.

GAMA est une entreprise qui opère dans le secteur de l’électroménager, suite à la forte
concurrence, le niveau de commande ne cesse de diminuer à cause des prix de ventes
compétitifs proposés par les concurrents. Dans le tableau ci-dessous, on note les éléments liés
à la situation financière de l’entreprise GAMA (en milliers) :

(2)Produits financiers = 0 DH pour les deux exercices.

Q23. À la lecture des informations ci-dessus, en tant qu’auditeur, vous pouvez mettre
en évidence les risques de :

A. Capitaux propres négatives.

B. Surendettement.

C. Indépendance des produits financiers.

D. Détérioration du niveau de rentabilité.

E. Aucune réponse.

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Q24. Entant qu’auditeur, quelle(s) situation(s) présente (ent) pour vous une anomalie
(incohérence) :

A. Report à nouveau = 0

B. Provisions pour risques et charges = 380

C. Capital social stable en 2013 et 2014.

D. Réserves stables en 2013 et 2014

E. Aucune réponse

Q25 sur la base des informations financières sur l’entreprise Gama nous pouvons
avancer que :

A. Le niveau des emprunts et celui des frais financiers sont proportionnels.

B. Le niveau des emprunts et celui de résultat sont cohérents.

C. La stagnation du niveau des provisions est normale.

D. Le niveau des emprunts est justifié

E. Aucune réponse

Q26. La dégradation du niveau de commandes en 2014 présente :

A. Un risque de suractivité.

B. Un risque de sous-activité.

C. Un risque de crédit client.

D. Un risque éventuel de conflit

E. Aucune réponse.

Q27 En 2014, les dirigeants ont arrêtés les comptes annuels de l’exercice après avoir
procédé à une réduction importante de la valeur des stocks et des provisions .dans ce cas
on peut parler :

A. Du respect du principe de prudence.

B. Du respect du principe de propriété.

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C. Du respect du principe de réalité.

D. Du respect du principe d’évaluation correcte.

E. Aucune réponse.

Q28 lors de la rédaction de son rapport de fin d’émission, le CAC peut éventuellement
formuler pour l’entreprise GAMA, les recommandations suivantes :

A. L’augmentation des prix de vente.

B. La diminution des prix de vente.

C. La diminution des réserves.

D. L’annulation des provisions pour risques et charges.

E. Aucune réponse.

Q29. Un auditeur social s’intéresse à.

A. Evaluer la procédure de recrutement.

B. Décider les augmentations de salaires.

C. Décider le licenciement des salaries non productifs.

D. Vérifier le respect d’une procédure de recrutement.

Q30. Un audit social peut porter sur :

A. La politique de motivation.

B. Les salariés.

C. Les conditions de travail.

D. L’effectif de personnel.

E. Aucune réponse.

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QCM corrigé stratégie industrielle

1. La stratégie de différenciation dépend de :

a. Une forte sensibilité des clients au prix

b. Un volume de vente élevé

c. La visibilité du comportement des coûts de la chaîne de valeur

d. L'identification des éléments de l'offre valorisée par les clients

2. La stratégie de domination par les coûts consiste à :

a. commercialiser des produits identiques à ceux des concurrents et à un prix inférieur à


l'ensemble des segments de clientèle

b. commercialiser des produits identiques à ceux des concurrents à un segment de clientèle


étroit

c. commercialiser des produits différents et à un coût supérieur à ceux des concurrents.

d. commercialiser des produits plus attractifs que ceux des concurrents à l'ensemble des
segments de clientèle

3. Le positionnement stratégique d'une firme dans un secteur détermine :

a. sa rentabilité

b. la qualité de ses produits

c. les interactions entre les activités principales et de support

d. l'efficacité commerciale

4. Lorsque l'entreprise commercialise une offre distincte de celles de ses concurrents


auprès d'un nombre limité de segments de clients, cette stratégie correspond à :

a. la domination par les coûts

b. la stratégie de rupture

c. la différenciation

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d. la focalisation

5. La segmentation stratégique se fait à partir de :

a. Critères de segmentation internes

b. Critères de segmentation externes

c. Critères de segmentation internes ou externes

d. Critères de segmentation internes et externes

6. L'enlisement dans la voie médiane révèle au stratège :

a. le danger d'adopter une stratégie générique

b. le danger d'adopter une stratégie hybride

c. le danger d'adopter une stratégie incohérente

d. le danger d'adopter une stratégie de rupture

7. Les stratégies compétitives (ou génériques) s'appliquent :

a. En fonction des pays

b. Au niveau des DAS

c. En fonction des capacités stratégiques de l'entreprise

d. Dans tous les cas

8. L'horloge stratégique représente :

a. Les opportunités stratégiques

b. Les positionnements concurrentiels possibles

c. L'évolution de l'intensité concurrentielle

d. La chronologie des actions à mettre en place

9. La stratégie d'épuration consiste à :

a. Augmenter les volumes des ventes sur un bien standardisé

b. Diminuer les caractéristiques de l'offre

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c. Augmenter les caractéristiques de l'offre

d. S'intéresser à une petite partie de la clientèle

10. La stratégie fondée sur les coûts repose sur :

a. Des économies d'échelle et des gains d'expérience

b. Des économies d'échelle et la valeur de l'offre

c. Les capacités d'innovation des entreprises

d. Les capacités d'adaptation des entreprises

11. (Q PHWWDQW HQ °XYUH XQH VWUDWpJLH IRQGpH VXU OHV coûts une
entreprise risque :

a. De se faire copier

b. Rien du tout

c. D'altérer son image de marque

d. L'obsolescence de son outil de production

12. Free a une stratégie :

a. De domination par les prix

b. Hybride

c. De différenciation

d. De sophistication avec surprix

13. Parmi les modalités de développement, nous retrouvons

a. la stratégie d'alliance

b. la stratégie de diversification

c. la stratégie de différenciation

d. la stratégie de confortement

14. La croissance interne consiste à

a. conquérir les marchés étrangers avec l'offre existante

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b. conquérir de nouveaux segments de clientèle avec une offre nouvelle

c. développer la firme à partir des ressources et capacités disponibles et/ou par la création de
celles-ci

d. optimiser les activités de l'organisation en en intégrant certaines et en externalisant d'autres

15. Les avantages de la croissance interne sont

a. maintenir la continuité de l'entreprise en restant maître des choix stratégiques et de la


destinée de la firme

b. contourner certaines barrières à l'entrée via l'acquisition d'une firme pour laquelle ces
obstacles n'en sont pas

c. création de synergies de complémentarités

d. partager les investissements liés au projet et en limiter les risques financiers

16. Quelle proposition concerne les alliances stratégiques ?

a. engendre des coûts et des difficultés de coordination et permet de réaliser un projet de


développement qui aurait été impossible seul

b. nécessite des capitaux élevés et permet de profiter d'un avantage fiscal

c. engendre des conflits d'intérêts et permet de contourner certaines barrières à l'entrée

d. génère des coûts élevés de création des actifs sur le long terme et permet de doter la firme
d'un portefeuille cohérent et harmonieux

17. Lorsque les alliés coopèrent sur une étape amont de la chaîne de valeur et mettent en
commun des ressources de même nature, l'alliance est de type

a. horizontal

b. vertical

c. intégration conjointe

d. complémentaire

18. Une fusion-acquisition concentrique correspond

a. aux fusions et acquisitions entre firmes concurrentes

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b. aux fusions et acquisitions entre firmes situées à des stades différents d'une filière

c. aux fusions et acquisitions entre firmes qui opèrent dans des métiers complémentaires

d. aux fusions et acquisitions entre firmes qui opèrent dans des métiers sans lien les uns avec
les autres

19. La croissance externe engendre des synergies de coûts par

a. une campagne de communication dynamique

b. le maintien de l'identité de chacune des entités

c. la mise en commun de certains actifs ou activités

d. des actifs spécifiques

20. La croissance externe favorise l'apprentissage mutuel entre les entreprises

a. car chacune bénéficie des expertises de l'autre

b. car chacune dispose d'un centre de formation adapté

c. car le sous-traitant dispose de compétences spécifiques

d. car chacune optimise les activités de l'autre

21. L'objectif de l'alliance d'intégration conjointe est de mettre sur le marché

a. un produit propre à chaque allié

b. un produit commun

c. un produit concurrençant celui du sous-traitant

d. un produit complémentaire à celui du sous-traitant

22. L'alliance favorise

a. le transfert de savoir-faire entre les partenaires

b. le renouvellement des exigences qualité

c. l'entrée sur les marchés financiers

d. le maintien de la culture d'entreprise

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23. La croissance interne repose principalement sur

a. L'analyse de l'environnement interne

b. L'analyse de l'environnement externe

c. Les capacités d'innovation des entreprises

d. La réactivité des concurrents

24. La croissance interne doit être mises en place principalement

a. Avec des partenaires puissants

b. Lorsque l'entreprise a de bonnes capacités d'autofinancement

c. Quand le marché est en croissance rapide

d. Dans le cadre d'un marché à maturité ou en déclin

25. La croissance externe permet

a. De profiter de l'ensemble des retombées économiques

b. De mieux protéger ses capacités stratégiques

c. Une plus grande vitesse d'action

d. D'éviter le phénomène du passager clandestin

26. L'alliance stratégique est généralement

a. Invariable et bilatérale

b. Permanente et bilatérale

c. Focalisée sur les ressources et compétences d'une organisation

d. Réversible et bilatérale

27. L'alliance stratégique permet de

a. éviter les problèmes d'inertie

b. profiter du leadership de chacun

c. préserver l'autonomie

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d. éviter la dilution des ressources et compétences

28. Les stratégies de développement concernent les orientations sélectionnées par


l'entreprise pour :

a. Décider du nombre d'activités stratégiques

b. prendre en compte les pressions macro-environnementales

c. décider des activités à externaliser

d. d'éviter les nouveaux entrants

29. Les voies de développement sélectionnées par la firme concernent les choix relatifs
au :

A. Système de l'offre de la firme

B. Aux zones géographiques au sein desquelles elle opère

C. Aux segments de client auxquelles elle s'intéresse

D. Au mode de distribution de l'offre de la firme

30. Le choix de la stratégie de spécialisation s'appuie sur

a. une offre inchangée

b. une offre améliorée en qualité ou issue d'une meilleure rationalisation de production


(compression des couts)

c. une offre faisant appel à des ressources et des compétences acquises hors de son métier de
base

d. une offre nouvelle à faible capitalisation de la maîtrise des activités de sa chaîne de valeur

31. Le succès de la stratégie de spécialisation repose sur

a. la connaissance des besoins des clients et des marchés géographiques dans lesquels la firme
opère

b.la volonté de conquête de nouveaux clients et d'augmentation des parts de marché

c. une volonté de forte croissance après une phase de ralentissement des activités

d.la mise en œuvre d'une rupture technologique

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32. Les impacts du choix de la stratégie de spécialisation sont :

a.de procurer un avantage de coût lié à l'expertise et au volume accumulé par l'entreprise

b.la détérioration des profits à cause de la dispersion des ressources et d'absence


d'optimisation des processus internes

c. le faible pouvoir de négociation auprès des acheteurs et des fournisseurs lié au faible
volume d'affaire réalisé par la firme

d.la détérioration de l'image de la firme

33. Les conséquences possibles du choix de la stratégie de spécialisation sont :

a. le risque de dépendance à un seul domaine d'activité et à un seul type de client et de zone


géographique

b. une meilleure pratique de la politique de responsabilité sociale de l'entreprise

c.de créer une image de généraliste auprès de la clientèle

d. d'augmenter le pouvoir de négociation des acheteurs et des fournisseurs

34. L'objectif stratégique d'une diversification liée est:

A. de développer une activité qui entretient des points communs avec l'activité initiale

B. de partager et valoriser des ressources et compétences utilisées communément

C. d'obtenir des effets de synergies entre activités

D. de diversifier le portefeuille d'activités de l'entreprise

35. La stratégie de diversification nécessite :

a. D'avoir confiance en l'avenir

b. De nouvelles compétences à acquérir

c. La stabilité des marchés financiers

d. D'avoir un profil de leadership visionnaire

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36. La stratégie de diversification liée s'appuie sur :

a. La connaissance de l'environnement externe

b. L'utilisation de différents « pivots » internes

c. Le profil entrepreneurial du dirigeant

d. Les stratégies antérieures

37. La réussite d'une stratégie de diversification non liée repose sur :

a. L'exploitation des ressources et compétences

b. L'exploitation d'une logique dominante

c. L'exploitation des salariés

d. L'exploitation de l'environnement externe

38. L'étude de l'histoire des firmes montre que la stratégie de diversification mène à une
stratégie de

a. Exploration

b. Exploitation

c. Recentrage

d. Confirmation

39. L'analyse des groupes stratégiques consiste à :

a. repérer les pressions macro-environnementales

b. étudier le positionnement des concurrents selon différents critères

c. imaginer les enjeux futurs d'une industrie

d. évaluer l'intensité de la concurrence

40. Quels facteurs conditionnent la sélection des variables comme variable pivot dans
l'analyse PESTEL :

a. la probabilité d'occurrence d'une évolution et l'importance de son effet sur l'avenir du


secteur

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b. les barrières à l'entrée

c. la politique gouvernementale et la différenciation des produits

d. la structure des coûts et l'image existante

41. Le modèle de cinq forces permet au stratège :

a. d'identifier les menaces concurrentielles les plus significatives

b. d'évaluer et expliquer l'intensité de la concurrence et le niveau de profit moyen d'une


industrie

c. d'analyser la dynamique concurrentielle

d. d'analyser la performance des firmes concurrentes

42. Pour identifier les facteurs clés de succès, il faut :

a. analyser le portefeuille des produits de l'entreprise

b. repérer les groupes stratégiques

c. repérer les activités, processus, aptitudes, capacités et ressources de l'entreprise

d. comprendre les pressions concurrentielles dans une industrie considérée

43. Afin de comprendre les enjeux futurs d'une industrie, le stratège peut avoir recours
à:

a. l'analyse des facteurs clés de succès

b. La méthode des scénarios

c.la chaîne de valeur

d. les modèles des cinq forces

44. Le macro-environnement se réfère :

a. à la rivalité au sein de secteur

b. aux 5 forces de Porter

c. aux facteurs clés de succès

d. aux dimensions PESTEL

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45. Un FCS est :

a. Une dimension interne aux organisations

b. Un facteur qu'une entreprise doit maitriser au risque de voir sa performance décliner

c. Spécifique à chaque organisation

d. Une dimension prospective de la stratégie des organisations

46. La menace des entrants potentiels varie en fonction :

a. Des ressources et compétences de l'entreprise

b. des barrières à l'entrée

c. Des groupes stratégiques

d. Des marges de l'entreprise

47. Appréhender les positionnements concurrentiels consiste à :

a. identifier les groupes stratégiques

b. constituer l'hexagone sectoriel

c. élaborer une analyse PESTEL

d. analyser la chaîne de valeur des concurrents

48. Dans une analyse des groupes stratégiques, les variables d'analyse sont :

a. le niveau de performance des concurrents et la configuration de leur stratégie

b. les dimensions PESTEL et les cinq forces de Porter

c. la probabilité d'occurrence des cinq forces et l'importance de l'avenir du secteur

d. le micro et le macro-environnement

49. L'analyse externe permet de mettre en œuvre :

a. une stratégie construite

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b. une stratégie déduite

c. une stratégie induite

d. une stratégie de rupture

50. Afin de construire l'hexagone sectoriel, le stratège doit réaliser :

a. une analyse des groupes stratégiques

b. une analyse des facteurs clés de succès

c. une analyse du Business Model

d. une analyse des cinq forces

51. Le ticket d'entrée dans l'industrie est

a. Une barrière des ressources et compétences

b. Une barrière financière

c. Une barrière commerciale

d. Une barrière infranchissable

52. Un espace stratégique vierge est:

a. Une opportunité stratégique

b. Toujours intéressant pour les entreprises

c. Spécifique à une entreprise

d. Déterminé à partir du modèle des cinq forces

53. PESTEL veut dire :

a. Politique, Economique, Sociologique, Télécommunication, Environnement, Latitude

b. Politique, Economique, Sociologique, Technologique, Environnemental, Légal

c. Privé, Emploi, Situation, Tension, Ecologie, Légal

d. Politique, Economique, Sociologique, Technologique, Environnemental, Libéral

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54. Dans la chaîne de valeur de Porter, les activités de soutien ont pour rôle:

a. De maintenir l'appareil de production en bon état de fonctionnement

b. D'épauler les salariés en situation de souffrance au travail

c. D'assurer la promotion des produits auprès des clients

d. D'optimiser les activités principales

55. L'efficacité dans la chaîne de valeur de Porter dépend notamment :

a. De l'implication des actionnaires

b. De la bonne interaction entre les activités

c. D'une politique de lobbying offensive

d. De l'intensité concurrentielle

56. Comment Porter estime-t-il la valeur produite par l'ensemble de la chaîne :

a. A partir de l'ensemble des coûts des activités principales et de soutien

b. Par l'usage que font les clients du produit et/ou service

c. Par la somme que les clients sont prêts à payer le produit et/ou service

d. Par la variation moyenne de l'action cotée en bourse

57. L'unité d'analyse privilégiée par l'approche Resources Based View (RBV) est :

a. L'activité

b. Le processus

c. L'actif tangible ou intangible

d. Le secteur

58. Dans l'approche RBV, l'assemblage des ressources réalisé par l'entreprise :

a. Est spécifique

b. Est dicté par les règles sectorielles

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c. Dépend de la démarche qualité

d. Répond aux besoins d'informations des actionnaires

59. La gestion des ressources humaines est :

a. Une compétence clé

b. Une fonction opérationnelle

c. Un service important

d. Une fonction support

60. La « connaissance » est :

a. Une ressource tangible

b. Un FCS

c. Une ressource rare

d. Une ressource intangible

61. VRIST veut dire:

a. Valorisable, Rare, Inimitable, Non subordonné, non transférable

b. Valorisable, Robuste, Inimitable, Non subordonné, non transférable

c. Valorisable, Rare, Inimitable, Non substituable, Non transférable

d. Valorisable, Robuste, Inimitable, Non substituable, Non Tangible

62. L'analyse interne permet de mettre en œuvre :

a. Une stratégie construite

b. Une stratégie déduite

c. Une stratégie induite

d. Une stratégie de rupture

63. L'analyse de la chaine de valeur permet de :

a. Identifier les activités valorisées par les clients

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b. Obtenir un avantage concurrentiel

c. Améliorer sa communication externe

d. Faciliter le processus d'apprentissage

64. L'analyse des ressources et compétences permet de :

a. S'interroger sur la robustesse d'un avantage concurrentiel

b. Identifier les opportunités stratégiques

c. Améliorer sa communication externe

d. Faciliter la coordination de la chaine de valeur

65. Pour protéger ses ressources et compétences on peut:

a. Déposer un brevet

b. Les ancrer dans la culture de l'organisation

c. S'internationaliser

d. Faire une fusion

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Qcm de contrôle de gestion

Q1 le contrôle de gestion

A. Vise à évaluer la fiabilité des informations contenue dans les documents comptables

B. Vise à perfectionner les règles et les procédures qui structurent la décision

C. Vise à assurer la performance de l’entreprise

D. Vise à élaborer la stratégie

Q2 contrôler signifie

A. Régler

B. Influencer

C. Vérifier

D. Apprendre

Q3. L’apprentissage en simple boucle

A- Basé sur une théorie d’action

B- Paradigme

C- Valeurs directrice

D- Aucune réponse

Q4.le contrôle qui vise à élaborer les systèmes d’information est

A- Contrôle organisationnel

B- Contrôle interne

C- Contrôle de gestion

D- Audit

Q5. Le contrôle de gestion

A- Est un processus

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B- N’est pas un processus

C- Contribue à l’élaboration de la stratégie

D- Grant l’efficacité et l’efficience de l’entreprise

Q6. Les dimensions du contrôle de gestion sont

A- Modéliser les causalités

B- Maitriser l’économie

C- Evaluer le système d’information

D- Aider à prendre la décision

Q7. Le Rôle de contrôle de gestion basé sur

A- Les prévisions

B- Programmation des budgets

C- Contrôle budgétaire

D- Les tableaux de bords

Q8.La performance d’une entreprise se traduit par

A- Son efficacité uniquement

B- Son efficience uniquement

C- Son efficacité ou son efficience

D- Son efficacité et son efficience

Q9.qui peut procéder ?

A. Un auditeur

B. Un contrôleur de gestion

C. Un manager

D. Le contrôlé

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Q10. Pour contrôler des décisions stratégique on peut faire appel à

A- Un contrôle organisationnel

B- Un contrôle opérationnel

C- Un audit

D- Aucune réponse

Q11.parmi les méthodes de budgétisation on peut citer

A. Budgétisation par nature

B. Budgétisation par département

C. Budgétisation base zéro

D. Budgétisation par entreprise

Q12. Les différents budgets doivent être

A. Cohérents

B. Interdépendantes

C. Etablies par centre de responsabilité

D. Complémentaires

Q13. Ces budgets doivent être établis selon l’ordre

A- Budget de commerciale – budget de production-budget d’approvisionnement

B- Budget de production –budget de ventes – budget d’approvisionnement

C- Budget d’approvisionnement – budget commerciale – budget de production

D- Budget d’approvisionnement – de ventes –budget des charges indirectes de productions

Q14. Le budget commercial se compose de

A. Budget des ventes et budget des frais de production

B. Budget des ventes et budget des charges directes de distribution

C. Budget des ventes et budget des frais commerciaux

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D. Budget des ventes et budget des approvisionnements

Q15 le budget des ventes peut être ventilé

A. Par fonction

B. Par région

C. Par produit

D. Par trimestre

Q16- les techniques de prévisions des ventes reposent sur

A- L’étude de marché

B- Les panels

C- Tendances des ventes futures

D- Tendances des ventes actuelles

Q17-les contraintes internes des prévisions des ventes sont

A- Environnement

B- Le pouvoir d’achat des clients

C- La concurrence

D- La capacité de production

Q18- les contraintes externes des prévisions sont

A- Le marché de travail

B- La matière première

C- La capacité de production

D- Orientation d’achat des clients

Q19- les techniques de prévisions sont

A- Corrélations

B- Impression personnel du contrôleur de gestion

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C- Tendances

D- Coefficients saisonniers

Q20.à travers les préversions des ventes on peut prévoir les ventes

A- en quantité et en valeur

B- En quantité uniquement

C- En valeur uniquement

D- Aucune réponse

PARTIE : 2

Q1 parmi Les étapes de processus de management :

A : information

B : analyse

C : contrôle

D : planification

Q2 le contrôle de gestion effectue :

A : avant les décisions et les actions de l’entreprise

B : pendant les décisions et les actions de l’entreprise

C : après les décisions et les actions de l’entreprise

D : avant, pendant, et après les décisions et les actions de l’entreprise

Q3 le contrôle vise a :

A : élaborer les budgets

B : maitriser le fonctionnement des budgets

C : améliorer les services

D : assurer que les résultats des déférents activités convergent vers les objectif prédéterminer

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Q4 l’intérêt de la gestion budgétaire est :

A : traduire les stratégies et les plans d’actions en objectifs chiffres

B : traduire les stratégies et les plans d’actions en objectifs non chiffres

C : réfléchir a des nouvelles stratégiques et a nouveau plans d’action

D : aucune

Q5 la gestion budgétaire suppose a :

A : la définition d’objectifs ex ante

B : une structure ne regroupe pas l’ensemble des activités de l’entreprise

C : la mise en place d’un contrôle budgétaire

D : aucune

Q6 le budget sont établis par :

A : la direction général

B : la direction financier

C : centre de responsabilités

D : autre

Q7 le budget commerciale constitue le :

A : budget de vente

B : budget d’achats

C : budget de production

D : budget de frais commerciaux

Q8 parmi les objectifs commerciaux :

A : la réalisation d’un niveau de vente bien déterminé

B : la détermination d’une structure des ventes par produit, par région, par type de clientèle

C : autre

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Q9 l’élaboration d’un budget de vente doit passer par :

A : une seule étape

B : deux étapes

C : trois étapes

D : aucune

Q10 la première étape d’élaboration d’un budget de vente est :

A : la prévision des ventes

B : la planification du budget

C : leur ventilation dans les déférents budgets

D : aucune

Q11 le budget de vente est ventilé :

A : par unité, période, et par zone géographique

B : par période, zone géographique, et par produit

C : par zone géographique seulement

D : aucune

Q12 les techniques des prévisions de vente reposent sur ;

A : étude de marche

B : des panels

C : sondage

D : des tendances des ventes passées

Q13 parmi les contraintes externes de prévision ;

A : la réglementation

B : compétence

C : forme du marché

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D : stratégie générale

Partie 3

Q1 : Vérifier est une :

A : Proche du contrôle stratégique.

B : Proche de la notion d'audit.

C : Proche de contrôle organisationnel.

D : Aucune réponse.

Q2 : Contrôler signifie :

A : Maitriser.

B : Décider.

C : Influencer.

D : Sanctionner.

E : Aucune réponse

Q3 : Le contrôle interne est défini comme :

A : L’ensemble des sécurités contribuant à la maîtrise de l'activité de concurrents.

B : L’ensemble des sécurités contribuant á la maîtrise de l'entreprise.

C : L’ensemble des techniques vise á sanctionner l'ensemble des fonctions d'entreprise.

D : Aucune réponse

Q4 : Le contrôle interne a pour but :

A : D’assurer la protection, la sauvegarde du patrimoine et la qualité d'information.

B : D’application des instructions des concurrences.

C : D’application des instructions de la direction.

D : De favoriser l'amélioration de la performance.

E : Aucune réponse.

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Q5 : L'audit vise à :

A : Mettre en exergue les mauvais systèmes de contrôle existants.

B : Mesurer et améliorer les systèmes d'informations.

C : Mettre en exergue des systèmes efficace de contrôle dans une seule fonction de
l'entreprise.

D : Aucune réponse.

Q6 : Le contrôle de gestion est une :

A : Processus par lequel les actionnaires obtiennent l'assurance que les ressources sont
obtenues et utilisé d'une manière efficace.

B : Processus par lequel les managers obtiennent l'assurance que les ressources sont obtenues
et utilisé d’une manière efficiente.

C : Processus par lequel les managers obtiennent l'assurance sue les ressources sont obtenues
et utilisé d’une manière efficace et efficiente.

D : Aucune réponse.

Q7 : Le contrôle de gestion mettre en place les systémes d'information afin de réaliser


une cohérence entre :

A : Objectifs, visions, réalisations.

B : Objectifs, moyens, missions.

C : Objectifs, moyens, réalisations

D : Aucune réponse.

Q8 : Parmi les démentions de contrôle de gestion :

A : Dimension stratégique.

B : Dimension géographique.

C : Dimension technico-économique.

D : Aucune réponse.

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Q9 : Parmi les outils de contrôle de gestion :

A : Les outils de gestion budgétaire.

B : Analyse des écarts.

C : L’observation.

D : Les systèmes d'information.

Q10 : Parmi les dispositifs formalisés :

A : Les systèmes comptables.

B : Les systèmes de motivations.

C : Les tableaux de bord.

D : La culture d'entreprise.

E : Aucune réponse.

Q11 : Le rôle de contrôleur de gestion :

A : Être le gérant du nombre des systèmes d'information de gestion.

B : Être le gérant de la qualité des systèmes d'information de gestion.

C : Organiser le cycle d'exploitation.

D : Organiser le cycle de prise de décision.

E : Aucune réponse.

Q12 : Parmi les tendances non linéaires :

A : La tendance de puissance.

B : La tendance exponentielle.

C : La méthode des moindres carrés.

D : Le total mobile.

E : Aucune réponse.

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Q13 : Le coefficient saisonnier ce calcule toujours de la façon suivant :

A : Valeur ajustée/valeur réelle.

B : Valeur réelle × valeur ajustée.

C : Valeur réelle /valeur ajustée.

D : Aucune réponse.

Q14 : Parmi les méthodes de coefficient saisonnier :

A : La moyenne mensuel.

B : La moyenne annuelle.

C : Les rapports au trend.

D : Aucune réponse.

Q15 : Avant d'élaborer un budget de production il est important d’établir :

A : Un plan d'action.

B : Un plan d'exploitation.

C : Un plan de production.

D : Aucune réponse.

Q16 : La méthode MRP répondre aux trois questions fondamentale de :

A : La vente.

B : La trésorerie.

C : La production.

D : Aucune réponse.

Q17 : Les trois questions de la méthode MRP sont :

A : Comment.

B : Combien.

C : Quoi.

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D : Quand.

Q18 : L'objectif de la méthode MRP est :

A : La satisfaire avec délai la demande des clients.

B : La satisfaire sans délai la demande des clients.

C : En produisant juste à temps, juste la quantité nécessaire.

D : Aucune repense.

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