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Architecture du VTP
Le switch possède 3 modes VTP: client, transparent ou server (acitf par défaut):
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Explication: imaginons qu’un switch reçoit les VLANs 1 et 2 mais qu’aucunes de ses
interfaces appartiennent au VLAN 2. Lorsque le switch voisin lui enverra des trames du
VLAN 2, ce switch les supprimera car aucune de ses interfaces appartiennent à ce VLAN. Il
est donc inutile que le switch voisin lui envoi du trafic pour le VLAN 2.
On active alors la fonction VTP pruning pour avertir le switch voisin de ne pas lui envoyer de
trafic pour ce VLAN. La fonction s’active à partir du switch Server.
Important: si un switch client possède un RN plus élevé que le switch Server (imaginons
qu’il était dans un autre réseau puis branché au notre), contrairement à ce qu’on peut
penser, le client ne va pas récupérer la base de données de VLAN du Server mais l’inverse!
Pourquoi? Parce que quelque soit le mode du switch, Server ou Client, il se synchronise
toujours sur celui qui a le RN le plus élevé. Dans notre cas, c’est le Server qui va se
synchroniser et récupérer la base de données de VLAN du Client. Il est donc très important
de remettre le RN à zéro. Pour cela, effectuer un simple basculement en mode Transparent
puis en mode Client.
LES PROTOCOLES DE
ROUTAGE A ETATS DE LIEN (
OSPF, IS-IS )
Le protocole de routage par état de liens (link state) entre dans la catégorie des
protocoles de routage interne. Le plus connu d'entre eux est OSPF (Open Shortest
Path First).
Un autre protocole, nommé RIP permet de répondre aux besoins des intérêts ou de grandes
dimensions et hétérogènes. Il a pour caractéristique d'être dans le domaine public (open), et
de se baser sur un algorithme de calcul de route nommée SPF ou parfois algorithme de
Dijkstra, du nom de son fondateur.
Ce type de routage n'est cependant pas celui qui est le plus utilisé. En effet, il reste
fragile si le routeur par défaut et le routeur de secours tombent en panne. Il a
cependant d'autres avantages : il permet la transmission des paquets sécurisés (il
n'existe qu'une route entre deux routeurs), les métriques sont précises, les débits
meilleurs, la convergence rapide, le traitement des routes externes séparé, le debug
facile.
LES PROTOCOLES DE ROUTAGE A VECTEURS DE DISTANCE
( RIP, EIGRP )
Il s'agit là du protocole plus utilisé dans TCP/IP. C'est un protocole moins complexe
que OSPF. Il est basé sur un protocole nommé RIP. Tous les protocoles de routage
par vecteur de distance actuels sont plus ou moins dérivés de RIP. Son succès ne
vient pas de ses performances, mais du fait qu'il a été développé par l'université de
Berkeley et livré avec Unix 4. Son objectif initial était simplement d'interconnecter
quelques machines sur un réseau local. Se répandant avec Unix, il a été implémenté
sur des réseaux de plus en plus grands, souvent sans tenir compte de ses
limitations. Du coup, il a été re-développé et amélioré pour compenser ses
faiblesses. Aujourd'hui on utilise notamment RIP IP, et RIPv2.
Pour réaliser ces tâches, un routeur basé sur RIP ou sur un protocole voisin (par
exemple IGRP) doit adopter un certain nombre de comportements :