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CODE POQ-M11-001
CODE 1 2/2/2021 loi 1er janvier 2020 · Le code général des impôts 2020
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CODE POQ-M12-001
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Décret N°2014/2379/PM du 20/08/2014 fixa
CODE 8/20/2014 classés dan
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CODE
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CODE POQM13-001
CODE L'acte uniforme OHADA
CODE Le code générale des impots
CODE
CODE
CODE
CODE
CODE POQ-R21-001
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CODE
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CODE
CODE
CODE
CODE POQ-R22-001
CODE 2066 5/30/1952 Arrêté 4/2/1952
CODE POQ-R23-001
CODE Circulaire
CODE POQ-S31-001
CODE
CODE
CODE
CODE
CODE
CODE POQ-S32-001
CODE
CODE
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CODE
CODE
CODE
CODE
CODE
CODE POQ-S33-001
CODE 5230 7/15/2004 Arrêté 6/3/2004
CODE POQ-S34-001
CODE 3550
CODE 2244
CODE 766
CODE
CODE POQ-S35-001
POQ-S36-001
Thème
Thème
Thème
Thème
GISTRE REGLEMENTAIRE
Textes réglementaires Répertoire Registre
Loi N° 89/027 du 29 décembre 1989 portant sur les déchets toxiques et dangereux
/020 du 24/12/1998 régissant les appareils à pression de gaz et à presssion de vapeur d'eau
/2379/PM du 20/08/2014 fixant les modalités de coordination des inspections des établissements
classés dangereux, insalubres ou incommodes, NON NON
2809/PM du 26/09/2012 fixant les conditions de tri, de collecte, stockage, transport, récupération,
récyclage, traitement et d'élimination finale des déchets
u 16/04/2001 portant Nomenclature et règlement Zoo sanitaire des maladies du bétail réputées NON NON
légalement contagieuses et à déclaration obligatoire
1 du 14/06/1986 fixant les modalités de l'inspection sanitaire vétérinaire des animaux, des produits
d'origine animale et de leurs dérivés NON OUI
5/0577/PM du 23/02/2005 sur les modalités de réalisation des études d'impact nvironnementale NON NON
NON NON
NON NON
NON NON
NON NON
NON NON
OUI NON
OUI NON
NON OUI
NON OUI
NON OUI
NON OUI
NON OUI
NON NON
OUI
OUI
OUI
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OUI
NON NON
NON NON
OUI
NON
NON
NON
NON
NON OUI
NON OUI
NON OUI
NON OUI
NON OUI
NON OUI
NON OUI
NON OUI
NON OUI
NON OUI
OUI
OUI
OUI
OQ-S34-001
NON
NON
OUI
NON OUI
NON
u 21 chaabane 1391 (12 octobre 1971) relative à la protection contre les rayonnements
OUI
30 du 25 joumada II 1418 (28 octobre 1997) pris pour l'application de la loi n° 005-71 du 21
Non
(12 octobre 1971) relative à la protection contre les rayonnements ionisants.
teur du travail et des questions sociales du 1/08/1951 (1 er août 1951) déterminant les
s concernant les dangers que présentent les rayons X ainsi que les précautions à prendre Non
Nap
Ap
MAJ
Info
Textes Recensés 148
Textes Applicable s 83
Textes Non applicables 61
Textes pour information 4
Applicabilité
Ap
Ap
Ap
Nap
Nap
Nap
Nap 8
Ap
Info
Maj
Maj
Maj
Maj
Maj
Maj
Maj 9
Ap
Ap
Maj
Nap
Nap
Nap 6
Ap
Ap
Maj
Maj
Ap
Nap 7
Ap
Maj
Ap
Nap Abrogé
Nap Abrogé
Nap 6
Ap
Nap
Nap Abrogé
Nap Abrogé
Nap 11
Ap
Ap
Ap
MAJ
MAJ
MAJ
MAJ
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MAJ
MAJ 10
Ap
Ap
Ap
Nap
Nap 5
Nap abrogé
Nap
Ap
Nap
Ap
Nap
Nap
20
5
#REF!
95
36
36
22
1
95
LISTE DES TEXTES APPLICABLE
8 Décret 11/9/1999
6/7/2021
9 Décret 11/9/1999
6/8/2021
10 6/9/2021 Décret
11 Décret 8/20/2014
6/10/2021
12 Décret 9/26/2012
SURVEILLER 6/11/2021
MESURER ET 13 6/12/2021 Loi 12/19/2000
ANALYSER EN
CONTINU 14 Loi 4/16/2001
6/13/2021
15 Décret 7/16/1975
6/14/2021
16 Décret 9/14/1976
6/15/2021
17 Décret 6/14/1986
6/16/2021
18 Arrêté 9/15/2006
6/17/2021
19 Arrêté 3/16/2006
6/18/2021
20 Décision 5/8/2013
6/19/2021
21 6/20/2021 2/23/2005
22
6/21/2021
CONTROLER EN
INTERNE 23 6/22/2021
24 6/23/2021
A- CODE DE TRAVAIL 25 6/24/2021
B-MINEPDED 26 6/25/2021 Décret 2/14/2013
27 6/26/2021 Décret 8/23/2011
28 Arrêté 10/15/2012
6/27/2021
C- MINEPIA
29 6/28/2021 Arrêté 2/8/2016
PRODUIRE LES
POUSSINS D'un jour
30 Arrêté 2/8/2016
6/29/2021
31 6/30/2021 Arrêté 10/15/2012
D- MINMINDT
PRODUIRE LES
POUSSINS D'un jour
D- MINMINDT 32 7/1/2021
33 7/2/2021
E- MINEE 34 7/3/2021
A- CODE DE TRAVAIL 35 7/4/2021
B-MINEPDED 36 7/5/2021
C- MINEPIA 37 7/6/2021
FABRIQUER LES 38
ALVEOLES A ŒUF
7/7/2021
D- MINMINDT 39 7/8/2021
40 7/9/2021
E- MINEE 41 7/10/2021
42 7/11/2021
planifier les
commandes et les MINEPIA 43 7/12/2021
ventes 44 7/13/2021
45 7/14/2021
GERER LES 46 7/15/2021
FINANCES 47 7/16/2021
48 7/17/2021
49 7/18/2021
50 7/19/2021
GERER LES 51
RESSOURCES
7/20/2021
HUMAINES ET 52 7/21/2021
L'ENVIRONNEMENT 53 7/22/2021
DE TRAVAIL
54 7/23/2021
55
56
MAINTENIR LES
INFRACSTRUCTUR 57
E 58
MAITRISER LES
ACHATS ET LES 59
APPROVISIONNEM
60
ENTS
61
GERER LE
SYSTÈME 62
DINFORMTION Fournisseurs/ prestataire
63
GERER LA
LOGISTIQUE ET LE
TANSPORT
TEXTES APPLICABLES "AGROCAM S.A"
Textes réglementaires
· Le code général des impôts 2020
· La loi de finance 2021
· l loi n o 92/007 du 14 août 1992 portant Le droit du travai
Loi N° 96/12 DU 05/08/1996 portant loi cadre relative à la gestion de l'environnement
Loi N° 98/015 du 14/07/1998 relative aux établissements classés dangereux, insalubres ou incommodes
Loi N° 89/027 du 29 décembre 1989 portant sur les déchets toxiques et dangereux
Loi N° 98/020 du 24/12/1998 régissant les appareils à pression de gaz et à presssion de vapeur d'eau
Décret N°99/818/PM du 09/11/1999 fixant les modalités d'implantation et d'exploitation des établissements classés dangereux,
insalubres ou incommodes
Décret N° 99/817/PM du 09/11/1999 fixant les modalités de construction, d'exploitation et de contrôle des appareils à pression de
gaz et à pression de vapeur d'eau
Décret N°2014/2379/PM du 20/08/2014 fixant les modalités de coordination des inspections des établissements classés dangereux,
insalubres ou incommodes,
Décret N°2012/2809/PM du 26/09/2012 fixant les conditions de tri, de collecte, stockage, transport, récupération, récyclage,
traitement et d'élimination finale des déchets
Loi N° 2000/17 DU 19/12/2000 portant règlementation de l'inspection sanitaire vétérinaire
Loi N° 006 du 16/04/2001 portant Nomenclature et règlement Zoo sanitaire des maladies du bétail réputées légalement
contagieuses et à déclaration obligatoire
Décret N° 75/527 du 16/07/1975 portant réglementation des établissements d'exploitation en matière d'élevage et des industries
animales
Décret N° 76/420 du 14/09/1976 portant règlementation de l'élevage, de la circulation et de l'exploitation du bétail, modifié par le
décret N°86/755 du 24/06/1986
Décret N° 86/711 du 14/06/1986 fixant les modalités de l'inspection sanitaire vétérinaire des animaux, des produits d'origine animale
et de leurs dérivés
Arrêté conjoint N° 006/MINEPIA/MINSANTE du 15/03/2006 ajoutant la grippe aviaire à la nomenclature des maladies du bétail
réputée légalement contagieuses et à déclaration obligatoire
Arrêté N° 0007/MINEPIA du 16/03/2006 portant déclaration de l'infection de l'influenza aviaire hautement pathogène(grippe aviaire)
et déterminant les mesures sanitaires y applicables
Décision N° 00154/MINEPIA du 08/05/2013, portant suspension de l'importation des oiseaux, de leurs produits et sous-produits ainsi
que du matériel d'élevage usagé des pays infectés par l'influenza aviaire (grippe aviaire) A (H7N9)
Décret N°2005/0577/PM du 23/02/2005 sur les modalités de réalisation des études d'impact nvironnementale
Loi N° 98/020 du 24 décembre 1998 relative aux établissements classés dangereux insalubles ou incommmodes et ses textes d'applicat
Loi N° 98/020 du 24 décembre 1998 régissant les appareils à pression du gaz et à pression de l'eau.
Arrété N° 039/MTPS IMT du 26 Novembre 1984 fixant les mésures générales d'hygiène et de sécrité sue les lieux de travail
Loi N°98/005 du 14 Avril 1998 portant régime de l'eau
loi N° 92/007 du 14 aout 1992, portant code du travail
Loi N° 96/12 du 05 Aout 1996 portant loi cadre relative à la geston de l'environnement
Loi N° 98/020 du 24 décembre 1998 relative aux établissements classés dangereux insalubles ou incommmodes et ses textes d'applicat
Loi N° 98/020 du 24 décembre 1998 régissant les appareils à pression du gaz et à pression de l'eau.
Arrété N° 039/MTPS IMT du 26 Novembre 1984 fixant les mésures générales d'hygiène et de sécrité sue les lieux de travail
oi N°98/005 du 14 Avril 1998 portant régime de l'eau
Loi N° 215/018 du 21 décembre 2015 régissant l'activité commerciale au cameroun
Loi N° 2000/017 du 19 décembre 2000 portant règlement de l'inspection sanitaire vétérinaire
Loi N° 98/013 du 14 juillet 1998 relative à la concurrence
L'acte uniforme OHADA
LOIS FISCALES en vigueur
CGI
1. Autorisation d’importation des poussins d’un jour et des œufs à couver du ministère de l’élevage, des pêches et des industries
animales (Avis technique N°00045/MINEPIA/SG/DDPIA/SDPA/SEPVC)
2. Attestation d’inscription au fichier des importateurs émis par le ministère du Commerce (IF027469)
Loi N° 96/12 du 05 Aout 1996 portant loi cadre relative à la geston de l'environnement Art 42 et 43
Manuel d'utilisation des équipements
contrat prestataire
Information Applicable Non applicable Conforme Non-conforme
oui oui
s d'applications
Info
s d'applications
En cours de rédaction
Info
Info
ARTICLE
Ref
Article 2
Article 3
Article 7
3
4
4
4
4
Article 6
6
6
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7
0* 47
Article 09
9
Article 10
Article 11
11
11
11
11
12
12
12
13
Article 14
Article 15
15
15
15
15
15
15
15
Article 16
Article 17
17
Article 18
Article 19
Article 20
Article 21
TITREPRE
MIER
Article
01
Article
02
Article
03
04
03
03
Article
04
04
Article
05
Article
06
Article
07
07
Article
08
08
Article
09
09
09
09
09
09
09
10
10
10
Titre II
11
11
11
11
Article
12
12
12
12
12
Article
13
13
13
13
Article
14
14
Article
15
15
Article
16
16
16
Article
17
17
Article
18
18
Article
19
Titre III
Article
20
Article
21
Article
22
22
23
23
Titre IV
24
25
25
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01
01
01
01
02
02
02
02
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03
03
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04
04
04
05
05
05
06
06
06
06
06
07
07
07
07
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08
08
08
09
09
09
09
09
09
09
10
10
10
Article 01
TITRE I
Article 02
2
2
Article 03
3
3
Article 04
4
Article 05
Article 06
TITRE II
Article 07
7
7
7
Article 08
8
8
8
8
8
Article 09
Article 10
Article 11
Article 12
12
12
Article 13
Article 14
TITRE III
Article 15
Article 16
16
16
16
16
16
Article 17
17
17
17
17
Article 18
Article 19
Article 20
Article 21
Article 22
22
22
Article 23
Article 24
Article 25
Article 26
26
26
26
26
Article
27
27
27
Article
28
Article
29
29
29
Article
30
processus gerer l'o
ARTICLE ETA
Textes Applicabilité
SECTI
GENER
definition
DISPOSITIONS GENERALES
ARTICLE TROISIEME : La presente partie prevoit et autorise les ressources de l'Etat, fixe
les plafonds des charges de l'Etat et arrete l'equilibre budgetaire et financier qui en definition
resulte. TITRE DEUXIEME DIS
ETAT ACTIONS
N°Action
Champs Conformité (Programme)
SECTION I
GENERALITES
Conforme
Conforme
TION II CHAMP D’APPLICATION DE L’IMPOT
TANT LOI DE FINANCES DE LA REPUBLIQUE DU CAMEROUN POUR L'EXERCICE 2021
Conforme
Conforme
Conforme
COMMENTAIRE
CICE 2021
PROCESSUS SURVRILLER MESURER ANAL
TITRE I DES
DISPOSITIONS ARTICLE 6.- (1) Toutes les institutions publiques et privées sont tenues, dans le
GENERALES cadre de leur compétence, de sensibiliser l'ensemble des populations aux
CHAP II: des problèmes de l'environnement.
obligations générales
ARTICLE 7.- (1) Toute personne a le droit d'être informée sur les effets
préjudiciables pour la santé, l'homme et l'environnement des activités nocives,
ainsi que sur les mesures prises pour prévenir ou compenser ces effets.
ARTICLE 18.- Toute étude d'impact non conforme aux prescriptions du cahier
des charges est nulle et de nul effet.
ARTICLE 29.- Sont interdits, sous réserve des dispositions de l'article 30 ci-
dessous, les déversements, écoulements, rejets, dépôts, directs ou indirects de
toute nature et, plus généralement, tout fait susceptible de provoquer la
dégradation des eaux superficielles ou souterraines en modifiant leurs
caractéristiques physiques, chimiques, biologiques ou bactériologiques.
Article 30: (2) Les déversements d'eaux résiduaires dans le réseau
d'assainissement public ne doit nuire ni à la conservation des ouvrages, ni à
la gestion des réseaux.
(3) Les installations rejetant des eaux résiduaires dans les eaux continentales
camerounaises établies antérieurement à la date de promulgation de la
présente loi doivent se conformer à la réglementation dans un délai fixé par
un décret36.-
ARTICLE d'application desous-sol
(1) Le sol, le ladite loi.
et les richesses qu'ils contiennent, en tant
que ressources limitées, renouvelables ou non, sont protégés contre toutes
formes de dégradation et gérées conjointement et de manière rationnelle par
les Administrations compétentes.
ARTICLE 41.- Les permis de construire sont délivrés en tenant dûment compte
de la présence des établissements classés et de leur impact sur
l'environnement, et peuvent être refusés ou soumis à des prescriptions
spéciales élaborées conjointement par les Administrations chargées de
l'environnement et de l'urbanisme, si les constructions envisagées sont de
nature à avoir des conséquences dommageables pour l'environnement.
ARTICLE 43.- (1) Toute personne qui produit ou détient des déchets doit en
assurer elle-même l'élimination ou le recyclage, ou les faire éliminer ou
recycler auprès des installations agréées par l'Administration chargée des
établissements classés après avis obligatoire de l'Administration chargée de
l'environnement.
ARTICLE 47.- (1) L'élimination des déchets par la personne qui les produit ou
les traite doit être faite sur autorisation et sous la surveillance conjointe des
Administrations chargées respectivement de l'environnement et des mines,
selon les prescriptions fixées par un décret d'application de la présente loi.
(2) Le dépôt des déchets en décharge doit se faire dans des décharges faisant
l'objet de contrôles périodiques et respectant les normes techniques minima
d'aménagement des décharges.
(3) Les déchets industriels spéciaux qui, en raison de leurs propriétés, sont
dangereux, ne peuvent pas être déposés dans des installations de stockage
recevant d'autres catégories de déchets.
SURER ANALYSER ET AMELIORER EN CONTINU
de l'environnement
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
EN CONTINU
PROCESSUS PRODUIRE
PROCESSUS PRODUIRE LES POU
Loi N° 98/020 du 24/12/1998 régissant les appareils à pression de gaz et à presssion de vapeur d'eau
Article 16. A la suite d'une visite ou d'une épreuve, l'inspecteur assermenté peut prescrire au propriétaire ou à
l'utilisateur d'un appareil à pression des mesures à prendre en tant que de besoin.
Article 17 : (1) Les frais de contrôle des appareils à pression soumis aux dispositions de la présente loi sont à la
charge du propriétaire ou de l'utilisateur.
(2) Les frais de contrôle comportent : les droits de visite ou d'épreuve ; les frais de visite ou d'épreuve.
ARTICLE 2.- (1) Toute personne désirant implanter et exploiter un établissement soumis à autorisation adresse
une demande au ministre chargé des établissements classés.Cette demande, dont l’original est timbré au tarif en
vigueur, est déposée en cinq exemplaires et mentionne :
ARTICLE 5.- (1) L’avis au public est affiché aux frais du demandeur. L’accomplissement de cet affichage est
certifié par les autorités citées à l’article 4 ci-dessus.
2) L’avis précise la nature de l’établissement, sa classe, les types de dangers et nuisances que présente
l’établissement, l’emplacement sur lequel il doit être réalisé, la durée de l’enquête, les nom et adresse des
commissaires-enquêteurs.
ARTICLE 6.- (1) Dès l’ouverture de l’enquête, le ministre chargé des établissements classés communique pour
avis un exemplaire de la demande d’autorisation aux administrations chargées de l’environnement, de la santé
publique et, s’il y a lieu, de
l’agriculture, de l’élevage et du développement industriel et commercial. Les administrations susvisées doivent
se prononcer dans un délai de vingt (20) jours à compter de la date de saisine. Passé ce délai, leurs
observations ne sont pas prises en considération.
ARTICLE 8.- (1) Le registre d’enquête est clos et signé par les commissaires-enquêteurs. Pendant la clôture de
l’enquête, les commissaires-enquêteurs convoquent dans la huitaine le demandeur et lui communiquent sur
place les observations écrites ou orales consignées dans leur procès-verbal en l’invitant à produire dans un
délai de quinze (15) jours, un mémoire en réponse.
ARTICLE 10.- L’arrêté d’autorisation d’exploitation d’un établissement classé dangereux, insalubre ou
incommode précise les conditions d’implantation et d’exploitation, ainsi que les prescriptions techniques visant
la préservation soit des dangers pour la santé, la sécurité, la salubrité publique, l’agriculture, la nature et
l’environnement en général, soit des inconvénients pour la commodité du voisinage.
UIRE LES POUSSINS D'UN JOUR
peur d'eau
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
PROCESSUS F
ARTICLE
Ref
1
PROCESSUS FABRIQ
ARTICLE
Textes
Décret N°2012/2809/PM du 26/09/2012 fixant les conditions de tri, de collecte, stockage, transport, récupération, récyc
article 11: les missins d'inspection et de contrôle des établissements classés dangereux, insalubres ou
incommodes sont ecxercées par des inspecteurs assermentés de l'administration
ARTICLE 14.- La déclaration relative à un établissement de deuxième classe doit être adressée, avant la
mise en exploitation de l’établissement, au ministre chargé des établissements classés dangereux,
insalubres ou incommodes en cinq (5) exemplaires dont l’original est timbré au tarif en vigueur.
ARTICLE 15.- Avant de statuer sur la déclaration de l’exploitant, le ministre chargé des établissements
classés dangereux, insalubres ou incommodes communique pour avis une copie de celle-ci à la mairie du
lieu d’implantation de l’établissement, aux administrations chargées de l’environnement, de la santé
publique, et s’il y a lieu, de l’agriculture, de l’élevage et du développement industriel et commercial. Les
administrations susvisées doivent se prononcer dans un délai de dix (10) jours à compter de la date de leur
saisine
ARTICLE 18.- (1) Le plan d’urgence visé aux articles 3 et 14 ci-dessus est agréé par une commission
composée des membres ci-après :un représentant de chacun des ministres chargés, suivant le cas : o de
l’administration territoriale ; o de la défense ; o de l’environnement ; du développement, industriel et
commercial
ARTICLE 19.- (1) L’implantation et l’exploitation de tout établissement classé sont subordonnées à l’obtention
préalable, selon le cas, de l’arrêté d’autorisation d’exploitation, ou du récépissé de déclaration.
(2) Lorsqu’un établissement autorisé ou déclaré change d’exploitant ou de dénomination, le nouvel exploitant ou son
représentant en fait la déclaration au ministre chargé des établissements classés dans un délai d’un mois à compter
de la date de prise en charge de l’établissement
ARTICLE 20.- Tout transfert d’un établissement sur un autre emplacement, toute modification de celui-ci entraînant
un changement notable de la demande ou de la déclaration primitive, nécessite avant sa réalisation une demande
d’autorisation complémentaire ou une nouvelle déclaration, soumise aux mêmes formalités que la demande ou la
déclaration initiale.
ARTICLE 21.- (1) Dans le cas où un établissement classé n’est pas fonctionnel dans un délai de deux (2) ans à compter
de la notification de l’arrêté d’autorisation d’exploitation ou de la délivrance du récépissé de déclaration, ou n’est pas
exploité pendant deux (2) années consécutives, l’exploitant doit, pour reprendre les activités, solliciter une nouvelle
autorisation ou procéder à une nouvelle déclaration.
(2) Lorsqu’un établissement cesse l’activité au titre de laquelle il était autorisé ou déclaré, son exploitant doit en
informer le ministre chargé des établissements classés dans le mois qui suit cette cessation. Il lui est délivré un
récépissé sans frais de cette déclaration. L’exploitant doit procéder à la remise en état du site de manière à faire
disparaître
ARTICLE 22.-tout danger oud’un
L’exploitant inconvénient poursoumis
établissement la commodité du voisinage.
à autorisation ou à déclaration est tenu de déclarer
immédiatement et au plus tard dans les quarante huit (48) heures au ministre chargé des établissements classés, les
accidents ou Le
ARTICLE 23.- incidents survenus
ministre du fait
chargé des du fonctionnement
établissements de cetdécider
classés peut établissement.
que la remise en exploitation d’un
établissement en arrêt momentané par suite d’un incendie, d’une explosion ou de tout autre accident résultant de
son mauvais fonctionnement, sera subordonnée à une nouvelle autorisation ou à une nouvelle déclaration, selon le
ARTICLE
cas. 24.- Lorsqu’un établissement a fait l’objet d’une mesure de suppression, de fermeture ou de suspension,
l’exploitant est tenu de prendre les mesures appropriées pour la surveillance de l’établissement, et notamment
l’enlèvement des matières dangereuses ou toxiques, périssables ou gênantes, ainsi que les animaux se trouvant dans
l’établissement.
ARTICLE 25.- L’inspection et le contrôle des établissements classés dangereux, insalubres ou incommodes sont
exercés sous l’autorité du ministre chargé desdits établissements par des inspecteurs désignés à cet effet ou par des
personnes physiques ou morales agréées.
ARTICLE 27.- (1) Tout établissement classé dangereux, insalubre ou incommode est assujetti au paiement d’un droit
de délivrance de l’autorisation d’exploitation ou du récépissé de déclaration dont les montants sont fixés ainsi qu’il
suit :
Article 10: l'inspection des établissements classés dangereux, insalubres ou incommodes, se fait à travers les
opérations de surveillance administrative et de contrôle techique desdits établissements
SUS FABRIQUER LES ALVEOLES
ETAT ACTIONS
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
Applicable Conforme
ACTIONS
COMMENTAIRE
REGLEMENT EN MATIER
HYGIENE & SECURITE AU
ARTICLE
Ref Textes
Arrêté du 29/12/1952 du directeur du travail et des questions sociales fixant les conditions dans lesquell
insalubres ou salissants.
L'ordre dans lequel les travailleurs passent à la douche, ainsi que le temps
maximum qui, consacré à la douche, est rémunéré au tarif normal des heures
05 de travail est fixé par un règlement intérieur affiché d'une manière apparente à
proximité de la cabine de douche et dont copie est adressée à l'inspecteur du
travail.
Annexe. Tableau I.
1° Travaux de plomb, de ses alliages et de ses combinaisons et des produits en
renfermant :
Récupération de vieux plomb donnant lieu à des dégagements de poussières
d'oxyde de plomb ;
Métallurgie, affinage, fonte, laminage du plomb, de ses alliages et des métaux
plombifères ;
Décret n° 2-04-468 du 16 kaada 1425 (29 décembre 2004) fixant les indications que doivent comporter le
Décret n° 2-04-569 du 16 Kaada 1425 (29 décembre 2004) fixant la modalités d’application de l’article 18
Toute réduction de la durée de travail annuelle, dans les activités non agricoles,
de 2496 à 2288 heures ne peut entraîner une diminution du salaire, pour les
04 salariés qui exerçaient leur emploi à la date du 8 juin 2004, date d’entrée en
vigueur des dispositions de la loi n° 65-99 précitée, et pour ceux qui perçoivent
leurs salaires chaque semaine, chaque quinzaine ou chaque mois.
Les dispositions de l’alinéa précédent ne s’appliquent pas aux salariés qui ont
été recrutés à compter de la date précitée.
L’employeur doit, dans tous les cas, informer l’inspecteur du travail de la
modalité qu’il a choisie pour la réparation de la durée de travail hebdomadaire
05 ou annuelle et doit afficher l’horaire du travail dans un lieu habituellement
fréquenté par ces derniers et dans le lieu où les salaires leur sont
habituellement versés.
Décret 2-04-570 du 29 décembre 2004 fixant les conditions d'emploie des salariés au-delà de la durée no
Les entreprises qui doivent faire face à des travaux d’intérêt national peuvent
01 employer leurs salariés au-delà de la durée normale de travail pendant la durée
d’exécution des travaux nécessaires, sous réserve des conditions suivantes :
L’employeur peut, après consultation des délégués des salariés ou, le cas
échéant , du comité d’entreprise, employer ses salariés 20 heures
supplémentaires si la nature de l’activité de l’entreprise l’exige, à condition
toutefois que le total des heures supplémentaires ne dépasse pas 100 heures
par an pour chaque salarié.
Décret n° 2-09-197 du 5 rabii II 1431 (22 mars 2010) fixant le modèle du rapport annuel que doit établir l
l'évolution des risques professionnels dans l'entreprise.
1.2- INFIRMIER(E) :
- Prénom :
- Nom
1.3- :
ASSISTANT (E) SOCIAL (E) :
• Prénom :
• Nom :
•2.Diplôme
LOCAUXobtenus : MEDICAL DU TRAVAIL :
DU SERVICE
- Salle d’examen :
- Salle d’attente :
- Salle déshabillage :
3. MATERIELS ET EQUIPEMENTS DU SERVICE MEDICAL DU TRAVAIL :
……………………………………………………………………
1. ACCIDENT DU TRAVAIL :
- Nombre total d’accidents survenus aux salariés de l’établissement :
- Nombre d’accidents déclarés :
- Nombre d’accidents avec arrêt de travail :
• total :
• nombre d’accident survenus pendant le trajet d’aller ou de retour entre le
lieu du travail et de résidence :
• Nombre d’accident du travail :
Taux de fréquence :
Nombre d’accidents du travail avec arrêt x 1 000 000/ Nombre d’heures
travaillées
Taux de gravité :
Nombre de journées perdues par incapacité temporaire x 1 000/Nombre
d’heures travaillées
•CeMention
chapitredes
estprincipales
consacré auobservations portées
bilan des moyens et dans les rapports
des actions despar le
menées
organismes de contrôle technique,
comité de sécurité et d’hygiène. agrées ou non et dans ceux des experts
appelés par le comité de sécurité d’hygiène, en précisant les suites réservées à
cesLEobservations
1. au niveau ET
COMITE DE SECURITE deD’HYGIENE
l’établissement.
(C.S.H.) :
2.
Doivent
- Moyens ACTIONS MENEES
endusecond ET être
lieu
secrétariat MISE EN ŒUVRE
indiquées
au comité lesDU PROGRAMME
modifications
: …………………………………………………… :
intervenues dans
L’ordre
-l’établissement adopté pour
Nombre de réunions le
et ayant programme de l’année concernée
des effets importants dans le domaine
: ………………………………………………………………… par le présent
de la sécurité
rapport
et de l’hygiène doit être,
dansdans
leslalieux
mesure du possible,
de travail : suivi même en cas d’ajout ou de
substitution d’action prévues, (par exemple
• nombre de réunions ordinaires : …………………………………………………… à la suite d’un accident).
•• L’introduction de nouvelles productions,
nombre de réunions extraordinaires : ………………………………………………machines et techniques ou
Faire
nouveaux apparaître
procédésclairement
de travail.(par exemple dans une année récapitulative) les
actions
* à la demande en coursdes au 31 décembre. des salariés : ……………………………………
représentants
*• àLes la modifications dans l’organisation
suite d’un accident ayant entraînédu outravail (modification
qui aurait pu entraînerd’horaires,
des
Quel
création
conséquencesqueousoit l’ordre
gravesde
suppression présentation adopté,réorganisation
de certains services,
: ………………………………………………………… mentionner distinctement
des postes aules
actions de formation en matière de sécurité et d’hygiène au travail (hors
sein de l’entreprise).
représentants
- Nombre d’enquêtes des salariés
menées au C.S.H.), soit : : ……………………………………………
par le C.S.H.
-• Nombre
Les modifications
de cas de dans
recours la situation
à un expertde l’établissement
: ………………………………………………vis-à-vis de ses clients
-ou
-Bnombre
Nombre total
fournisseurs
de des
(parsalariés
exemple
représentants formés
des : ……………………………………………………
développement
salariés formés ou
: limitation du travail en régie,
………………………………………
-du –contrat
LES SALARIES
nombre total desSAISONNIERS
salariés formés
de sous-entreprise, : dans le domaine
diversification ou nondedes la marchés,
sécurité : ……………
-changements
nombre totaldans des salariés
la réparation duau
formés secourisme
travail entre les: ……………………………………
différents établissements
Les établissements
relevant de la mêmefaisant
société appel
ou duà des
même salariés saisonniers, doivent fournir les
groupe).
informations ci-dessous, relatives à cette catégorie de salariés.
Les effets dans le domaine de la sécurité et de l’hygiène dans les lieux de
1. EFFECTIF
travail MOYEN
peuvent MENSUEL
concerner : DES SALARIES5 :
Total
2. PRINCIPAUX INDICATEURS :
2.1 Accidents du travail :
Mêmes indicateurs que pour les salariés permanents de l’établissement.
2.2 Maladies professionnelles ou à caractère professionnel :
Mêmes indicateurs que pour les salariés permanents de l’établissement.
2.3 Organisation et contenu du travail :
Mêmes indicateurs que pour les salariés permanents de l’établissement.
Dahir n° 1-03-194 du 14 rejeb 1424 (11 septembre 2003) portant promulgation de la loi n° 65-99 relative
L’employeur doit veiller à ce que les locaux de travail soient tenus dans un bon
état de propreté et présenter les conditions d’hygiène et de salubrité
nécessaires à la santé des salariés, notamment en ce qui concerne le dispositif
de prévention de l’incendie, l’éclairage, le chauffage, l’aération,
l’insonorisation, la ventilation, l’eau potable, les fosses d’aisances, l’évacuation
des eaux résiduaires et de lavage, les poussières et vapeurs, les vestiaires, la
toilette et le couchage des salariés.
Les salariés appelés à travailler dans les puits, les conduits de gaz, canaux de
fumée, fosses d’aisances, cuves ou appareils quelconques pouvant contenir des
284
gaz délétères doivent être attachés par une ceinture ou être protégés par un
autre dispositif de sûreté, y compris les masques de protection.
Les puits, trappes ou ouvertures de descente doivent être clôturés. Les moteurs
doivent être isolés par des cloisons ou des barrières de protection. Les escaliers
285
doivent être solides et munis de fortes rampes. Les échafaudages doivent être
munis de garde-corps rigides d’au moins 90 cm de haut.
Les pièces mobiles des machines telles que bielles, volants de moteur, roues,
arbres de transmission, engrenages, cônes ou cylindres de friction, doivent être
munies d’un dispositif de protection ou séparées des salariés. Il en est de
même des courroies ou câbles qui traversent les lieux de travail ou qui sont
286 actionnés au moyen de poulies de transmission placées à moins de 2 mètres du
sol.
Des appareils adaptés aux machines mis à la disposition des salariés doivent
éviter le contact avec les courroies en marche.
Il est interdit à tout salarié d’utiliser une machine sans que les dispositifs de
protection dont elle est pourvue soient en place et ne doit pas rendre
inopérants les dispositifs de protection dont la machine qu’il utilise est
pourvue.
Il est interdit de demander à un salarié d’utiliser une machine sans que les
dispositifs de protection dont elle est pourvue soient en place.
Le temps passé par les salariés pour respecter les mesures d’hygiène qui leur
291
sont imposées est rémunéré par l’employeur comme temps de travail.
L’autorité gouvernementale chargée du travail fixe les mesures générales
d’application des principes énoncés par les articles 281 à 291 ci-dessus ainsi
292
que, compte tenu des nécessités propres à certaines professions et certains
travaux, les mesures particulières d’application desdits principes.
Le fait pour les salariés, dûment informés selon les modalités prévues par
l’article 289 ci-dessus, de ne pas se conformer aux prescriptions particulières
relatives à la sécurité ou à l’hygiène pour l’exécution de certains travaux
293
dangereux au sens de la présente loi et de la réglementation prise pour son
application, constitue une faute grave pouvant entraîner le licenciement sans
préavis, ni indemnité de licenciement, ni dommages-intérêts.
Les règles d’hygiène applicables aux salariés travaillant à domicile ainsi que les
295 obligations qui incombent aux employeurs faisant exécuter des travaux à
domicile sont fixées par voie réglementaire.
Est puni d’une amende de 10.000 à 20.000 dirhams le non respect des
297
dispositions des articles 283, 288, 289, 290 et 291.
En cas d’un jugement pour infraction aux dispositions des articles 281, 282, 285
et 286, ce jugement fixe, en outre, le délai dans lequel doivent être exécutés les
travaux à effectuer sans pouvoir excéder 6 mois à compter de la date du
298
jugement.
Aucune infraction pour les mêmes raisons n’est permise pendant le délai fixé
conformément aux dispositions de l’alinéa précédent.
En cas de récidive, les amendes prévues pour les infractions aux dispositions
des articles précédents du présent chapitre sont portées au double, si une
299
infraction similaire est commise au cours des deux années suivant un jugement
définitif.
Des dispositions relatives au transport des colis d’un poids supérieur à une
tonne
Les comités de sécurité et d'hygiène doivent être créés dans les entreprises
336 industrielles, commerciales et d'artisanat, et dans les exploitations agricoles et
forestières et leurs dépendances qui occupent au moins 50 salariés.
Le temps passé aux réunions est rémunéré comme temps de travail effectif.
Le non respect des dispositions du présent chapitre est passible d'une amende
344
de 2.000 à 5.000 dirhams.
Arrêté du ministre de l'emploi et de la formation professionnelle n° 93-08 du 6 joumada I 1429 (12 mai 2
énoncés par les articles de 281 à 291 du code du travail.
01 Chapitre premier : Aménagement des locaux de travail
Les bâtiments abritant les lieux du travail et situés au sein des entreprises et
des établissements visés à l'article premier de la loi susvisée n° 65-99 et
01
conformément à son article 281, doivent avoir des structures et une solidité
appropriées au type d'utilisation.
01 Un marquage doit être apposé à hauteur de vue sur les portes transparentes.
Lorsqu'il n'est pas possible, compte tenu de la nature du travail, d'éviter des
zones de danger comportant notamment des risques de chute de personnes ou
des risques de chute d'objets, et même s'il s'agit d'activités ponctuelles
d'entretien ou de réparation, ces zones doivent être signalées de manière bien
01 visible ; elles doivent, en outre, être matérialisées par des dispositifs destinés à
éviter que les travailleurs non autorisés pénètrent dans ces zones. Le chef
d'établissement prend toutes les mesures nécessaires pour que seuls les
salariés autorisés à cet effet puissent accéder aux zones de danger. Les mesures
appropriées doivent être prises pour protéger ces salariés.
Les locaux du travail doivent être équipés d'un matériel de premier secours
01 adapté à la nature des risques et facilement accessible. Ce matériel doit faire
l'objet d'une signalisation claire.
Leurs postes de travail ainsi que les signaux de sécurité qui les concernent
02
doivent être aménagés si leur handicap l'exige.
Les postes de travail extérieurs doivent être aménagés de telle façon que les
salariés :
03
- puissent rapidement quitter leur poste de travail en cas de danger ou puissent
rapidement être secourus ;
03 - soient protégés contre la chute d'objets ;
03 - soient protégés contre les mauvaises conditions atmosphériques ;
- ne soient pas exposés à des niveaux sonores nocifs ou à des émissions de gaz,
03 vapeurs, aérosols de particules solides ou liquides de substances insalubres,
gênantes ou dangereuses ;
03 - ne puissent glisser ou chuter.
Chapitre II : Préservation de l'hygiène et de la sécurité des salariés dans les
locaux du travail
Section I : Nettoyage et désinfection des locaux du travail
04 Les locaux du travail doivent être tenus dans un état constant de propreté.
Le sol des établissements doit être nettoyé complètement au moins une fois
04
par jour.
Ce nettoyage des sols des établissements ou partie d'établissement où le travail
04 est permanent jour et nuit, doit être effectué avant l'ouverture ou après la
clôture du travail.
Le nettoyage permanent est fait soit par aspiration ou par tous autres procédés
04
ne soulevant pas de poussières.
04 Les murs et les plafonds doivent être nettoyés régulièrement.
Les murs des locaux du travail doivent être recouverts d'enduits ou de peinture
04 d'un ton clair ou de chaux. L'enduit doit être refait aussi souvent que
nécessaire.
Dans les locaux où le sol est constitué de la terre battue, il sera procédé au
04
nivelage du sol aussi souvent que nécessaire.
Dans les locaux où l'on utilise des matières organiques périssables ou
altérables, où là où l'on manipule des chiffons ainsi que dans ceux où la nature
des travaux qui y sont effectués rend le sol constamment humide, le sol devra
05 être imperméabilisé et nivelé et devra présenter une pente régulière d'un
millimètre par mètre au minimum dans la direction de la conduite d'évacuation
des eaux de lavage. Les murs doivent être recouverts d'un enduit facilitant le
lavage.
Les murs et le sol doivent être lavés et désinfectés aussi souvent que
05 nécessaire. Le nettoyage des locaux où l'on utilise des matières organiques
altérables doit être effectué à l'aide d'appareils mécaniques d'aspiration.
Les résidus putrescibles ne devront pas demeurer dans les locaux réservés au
travail et doivent être enlevés, s'ils ne sont pas déposés dans des récipients
05
métalliques hermétiquement clos, vidés et lavés avec une solution
désinfectante au moins une fois par jour.
Dans les locaux de travail où la nature des travaux effectués rend le sol
constamment humide, les emplacements où les salariés travaillent doivent être
05
équipés d'un plancher suffisamment élevé pour éviter que les pieds des salariés
soient en contact direct avec l'eau ou les liquides répandus sur le sol.
Cette présente disposition ne sera pas applicable si les salariés sont munis de
05
chaussures de sécurité.
Section II : Evacuation des eaux résiduaires ou de lavage
L'atmosphère des ateliers et de tous autres locaux réservés au travail doit être
06 constamment protégée contre les émanations provenant d'égouts, fosses,
fosses d'aisances ou de toute autre source d'infection.
Dans les établissements qui déversent les eaux résiduaires ou de lavage dans
un égout public ou privé, toute communication entre l'égout et l'établissement
06
doit être munie d'un intercepteur hydraulique qui doit être fréquemment
nettoyé au moins une fois par jour.
Les travaux dans les puits, conduits de gaz, canaux de fumée, fosses d'aisances,
cuves ou appareils quelconques pouvant contenir des gaz nocifs, ne doivent
06
être entrepris qu'après que l'atmosphère aura été assainie par une ventilation
efficace.
Les lavabos doivent être installés dans des locaux spéciaux isolés des locaux du
travail et placés à leur proximité. Ces dispositions s'appliquent à
07
l'aménagement des vestiaires dans les établissements occupant au moins 10
salariés.
Si les vestiaires et les lavabos sont installés dans des locaux séparés, la
07 communication entre ceux-ci doit pouvoir s'effectuer sans traverser les locaux
du travail ou de stockage et sans passer par l'extérieur.
Le sol et les parois des locaux des vestiaires et des lavabos doivent être
07
construis en matériaux faciles à nettoyer et imperméables.
Les toilettes et les urinoirs doivent être dans un état constant de propreté.
09 Dans les établissements employant plus de 100 salariés, il faut désigner un
salarié ou une salariée pour les nettoyer.
Les effluents doivent être, sauf dans le cas d'installations temporaires telles que
09 les chantiers, évacués soit dans le collecteur d'égouts publics ou dans des
fosses septiques à deux compartiments.
Dans les cas où il est impossible d'exécuter des mesures de protection contre
13 les poussières ou gaz irritants ou toxiques, des masques et dispositifs de
protection appropriés doivent être mis à la disposition des salariés.
L'employeur doit prendre toutes les mesures nécessaires pour que ces
13 masques et dispositifs de protection soient maintenus en bon état de
fonctionnement et désinfectés avant d'être attribués à un nouvel utilisateur.
Les locaux fermés affectés au travail doivent être chauffés lorsqu'il y a une
14 baisse de la température de façon à maintenir une température convenable et
ne donner lieu à aucune émanation délétère.
Les gardiens de chantier doivent disposer d'un abri qui les protége contre le
14
froid.
Dans les locaux fermés et affectés au travail, et pendant l'existence des salariés,
les niveaux d'éclairage mesurés aux niveaux de travail ou au niveau du sol,
14
doivent être au moins égaux à la valeur minimale d'éclairement indiquée dans
les tableaux suivants :
Les postes de travail situés à l'intérieur des locaux de travail doivent être
14 protégés du rayonnement solaire gênant soit par la conception des ouvertures
soit par des protections, fixes ou mobiles, appropriées.
Les dispositions appropriées doivent être prises pour protéger les salariés
14 contre l'éblouissement et la fatigue visuelle provoqués par des surfaces à forte
luminance ou par des rapports de luminance entre les surfaces voisines.
Les sources d'éclairage doivent avoir une qualité de rendu des couleurs en
14 rapport avec l'activité prévue et elles ne doivent pas compromettre la sécurité
des salariés.
Toutes les mesures doivent être prises afin que les salariés ne puissent se
trouver incommodés par les effets thermiques dus au rayonnement des
14
sources d'éclairage mises en ouvre. Ces sources d'éclairage doivent être
aménagés ou installées de façon à éviter tout risque de brûlure.
Les organes de commande d'éclairage doivent être d'accès facile. Ils doivent
14 être munis du voyant lumineux dans les locaux ne disposant pas du lumière
naturelle.
Il est fourni aux intéressés les explications nécessaires sur la signification de ces
16
résultats qui doivent être conservés dans l'entreprise pendant 10 ans.
Les modèles de ces protecteurs doivent être choisis par l'employeur après avis
du comité d'hygiène et de sécurité ou, à défaut, des représentants syndicaux,
18 des délégués des salariés et du médecin du travail. Les modèles non jetables
doivent être attribués personnellement et entretenus à la charge de
l'employeur.
Un salarié ne peut être affecté à des travaux comportant une exposition sonore
quotidienne supérieure ou égale au niveau de 85 dB, que s'il a fait l'objet d'un
19 examen préalable par le médecin du travail et si la fiche d'aptitude établie par
ce dernier atteste qu'il ne présente pas de contre indication médicale à ces
travaux.
Ces locaux doivent être aérés d'une façon permanente et maintenus dans un
22
état constant de propreté et d'hygiène.
22 Le salarié doit pouvoir clore son logement et y accéder librement.
22 Chaque couple a le droit d'avoir une chambre.
Les pièces à usage de dortoir ne doivent être occupées que par des salariés du
22 même sexe. Le nombre de salariés par dortoir ne doit pas dépasser six. Les lits
doivent être distants les uns des autres de 80 centimètres au moins.
Des toilettes et des urinoirs doivent être installés à proximité des locaux
24 réservés à l'hébergement des salariés dans les conditions fixés par l'article 9 ci-
dessus.
Définition
Information
Information
Applicable
Information
Information
Titre
Non applicable
Non applicable
Applicable
Applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Titre
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Applicable
Non applicable
Non applicable
Applicable
indications que doivent comporter les colis pesant au moins mille kilogrammes de poids.
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Information
Applicable
Information
Applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Information
Information
Information
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Information
Information
Non applicable
Applicable
Information
Information
e du rapport annuel que doit établir le comité de sécurité et d'hygiène (C.S.H.), à la fin de chaque année grégorienne, sur
Applicable
Information
Titre
Titre
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Information
Information
Applicable
Non applicable
Information
Information
Information
Information
Information
Information
Information
Information
Titre
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Information
Titre
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Information
93-08 du 6 joumada I 1429 (12 mai 2008) fixant les mesures d'application générales et particulières relatives aux principes
Titre
Définition
Applicable
Applicable
Applicable
Non applicable
Non applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Non applicable
Non applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Titre
Titre
Applicable
Applicable
Applicable
Non applicable
Applicable
Applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Applicable
Titre
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Titre
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Information
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Non applicable
Non applicable
Titre
Titre
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Titre
Applicable
Non applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Titre
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Non applicable
Applicable
Applicable
Information
Applicable
Non applicable
Applicable
Applicable
Titre
Titre
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Titre
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Titre
Applicable
définition
ACTIONS
COMMENTAIRE
Dont étrangers
Dont étrangers
et particulières relatives aux principes
PROCESSUS GERER LES F
ARTICLE ETAT
Ref Textes Applicabilité
Les machines, appareils de transmission, appareils de chauffage et
d’éclairage, outils et engins doivent être munis de dispositifs de protection
d’une efficacité reconnue et tenus dans les meilleures conditions possibles
282 de sécurité afin que leur utilisation ne présente pas de danger pour les Applicable
salarié
Les pièces mobiles des machines telles que bielles, volants de moteur, roues,
arbres de transmission, engrenages, cônes ou cylindres de friction, doivent
être munies d’un dispositif de protection ou séparées des salariés. Il en est
de même des courroies ou câbles qui traversent les lieux de travail ou qui
sont actionnés au moyen de poulies de transmission placées à moins de 2
mètres du sol. Des appareils adaptés aux machines mis à la disposition des
286 salariés doivent éviter le contact avec les courroies en marche. Applicable
les pièces mobiles de machines, ainsi que les câbles et courroies, devront
29 Applicable
être munis de dispositifs protecteurs, lorsqu'ils seront reconnus dangereux.
Chaque machine fera l'objet d'une visite générale au moins une fois par
30 trimestre. Applicable
Les scies à tronçonner devront être munies d'un dispositif évitant la rotation
33 et le rejet de la pièce en cours de sciage. Applicable
L’employeur doit s’assurer que tous les appareils ou les machines de même
type sont accompagnés d’une notice d’instruction établie par le constructeur
et indiquant les conditions de manutention, d’installation, d’utilisation et
d’entretien et précisant les mesures d’hygiène et de sécurité à prendre lors
07 de ces opérations, et comporte les plans et schémas nécessaires pour Applicable
l’entretien et les vérifications techniques d’appareils ou de machines. Pour
les appareils portatifs pour emploi à la main, la notice doit en outre
mentionner la nature et les caractéristiques des accessoires qui peuvent leur
être adaptés.
Un espace libre suffisant doit être prévu entre les éléments mobiles des
10 appareils ou des machines et les éléments fixes ou mobiles de leur Applicable
environnement.
Les appareils ou les machines et leurs éléments doivent être installés de telle
sorte qu’ils ne s’opposent pas à l’emploi des outils, accessoires, équipements
12 et engins nécessaires pour exécuter en toute sécurité les opérations de mise Applicable
en œuvre et de réglage relevant de l’opérateur, ou les opérations de
maintenance.
Les appareils ou les machines doivent être installés et, en fonction des
besoins, équipés de telle sorte que les salariés puissent accéder en sécurité à
13 Applicable
tous les emplacements nécessaires pour l’utilisation, le réglage et la
maintenance de ces appareils ou de ces machines et de leurs éléments.
Les passages et les allées de circulation des salariés entre les appareils ou les
machines doivent être d’une largeur d’au moins 80 centimètres.
14 Applicable
Les caractéristiques et l’état du sol de ces passages et ces allées doivent
permettre le déplacement en sécurité.
Il est interdit de permettre aux salariés, lorsqu’ils portent des vêtements non
ajustés ou flottants, d’utiliser des appareils ou des machines, de procéder à
17 des interventions sur ceux-ci ou de circuler à leur proximité, lorsque, pour Applicable
des raisons d’ordre technique, les éléments mobiles de ces appareils ou de
machines ne peuvent être rendus inaccessibles.
- l’utilisation des appareils ou des machines ne soit effectuée que par des
Applicable
salariés désignés à ceteffet;
L’employeur doit veiller à ce que les éléments des appareils ou des machines
tournants à grande vitesse pour lesquels subsiste un risque de rupture ou
Applicable
d’éclatement doivent être montés et enveloppés de telle sorte que leurs
fragments soient retenus.
Le salarié doit utiliser correctement les appareils ou les machines ainsi que
21 Applicable
les dispositifs de protection dont ils ont été pourvus à l’origine.
L’employeur doit s’assurer que les appareils ou les machines sont conçus,
construits et commandés de telle façon que l’interruption ou la variation,
23 Applicable
accidentelle ou commandée, de l’alimentation en énergie électrique ne
doivent pas causer de situation dangereuse.
La mise en marche des appareils ou des machines ne peut être obtenue que
par l’action d’un opérateur sur l’organe de service prévu à cet effet, sauf si
26 Applicable
cette mise en marche, obtenue autrement, ne présente aucun risque pour
les opérateurs intéressés.
Les organes de service doivent être choisis pour éviter toute manœuvre non
Applicable
intentionnelle pouvant avoir des effets dangereux.
Les appareils ou les machines fixes non clos en marche normale qui sont à
l’origine des émissions de poussières, d’aérosols solides et liquides, de
sciures ou de toutes matières pulvérulentes, doivent être munis, au plus près
34 Applicable
des sources d’émissions, de buses de captage ou autres conduits de forme
appropriée pour permettre leur raccordement à une installation
d’évacuation.
Les appareils portatifs pour emploi à la main doivent, soit répondre aux
prescriptions du premier alinéa ci-dessus, soit comporter des équipements
Applicable
de récupération des poussières, d’aérosols solides et liquides, de sciures et
d’autres matières pulvérulentes.
Les appareils ou les machines doivent être équipés de telle sorte que les
36 risques résultant de l’émission de bruit soient réduits au niveau le plus bas Applicable
possible conformément aux normes en vigueur.
ETAT ACTIONS
Champs Conformité Action COMMENTAIRE
Atelier
PROCESSUS GERER LES RESSOURCES
ARTICLE
Ref Textes
Les normes visées à l'article premier ci-dessus, sont tenues à la disposition des
Article intéressés au ministère de l'industrie, du commerce et des télécommunications,
02 service de normalisation industrielle marocaine (SNIMA).
Article Le présent arrêté conjoint prendra effet six mois après sa publication au Bulletin
03 officiel.
Arrêté du ministre de l'emploi et de la formation professionnelle n° 93-08 du 6 joumada I 1429 (12 mai 2
travail.
Chapitre V: Prévention contre les incendies
Article Pour l’application des dispositions du présent chapitre, les matières inflammables sont
25 classées en trois groupes :
Conformément aux dispositions de l'article 282 de la loi précitée n° 65-99, les locaux
où sont entreposées où manipulées des produits facilement inflammables ne doivent
Article être éclairés que par des lampes électriques munies d’une double enveloppe ou par
26 des lampes extérieures derrière un verre dormant.
Ces locaux ne doivent contenir aucun foyer, aucune flamme, aucun appareil pouvant
26 donner lieu à une production extérieure d’étincelle ou présentant des parties
susceptibles d'être portées à l'incandescence.
Ces locaux doivent être parfaitement ventilés. Il est interdit de fumer dans ces locaux.
26 Un avis doit être affiché et rédigé en français et en arabe avec des caractères
apparents rappelant l’interdiction de fumer
Dans les locaux où sont entreposés ou manipulés des produits facilement ou
Article extrêmement inflammables ou des produits comburants, aucun poste habituel de
27 travail ne doit se trouver à plus de 10 mètres d'une issue.
Les établissements visés à l’article premier de cet arrêté, doivent posséder des issues
Article
et dégagements judicieusement répartis afin de permettre en cas d'incendie une
28 évacuation rapide du personnel et de la clientèle dans des conditions de sécurité
maximale.
Les dégagements doivent être toujours libres. Aucun objet, marchandises ou matériel
28 ne doit faire obstacle à la circulation des personnes ou réduire la largeur des
dégagements au-dessous des minima fixés ci-dessous.
28 Les dégagements doivent être disposés de manière à éviter les culs-de-sac.
Le nombre des dégagements des locaux ou bâtiments ne doit pas être inférieur à deux
28 lorsqu'ils devront donner passage à plus de 100 personnes appartenant ou non au
personnel de l'établissement. Ce nombre doit être augmenté d'une unité par 500
personnes.
28 La largeur des dégagements ne doit jamais être inférieure à 80cm.
28 Pour un nombre de personnes compris entre 101 et 300, cette largeur ne doit pas être
inférieure à 2 mètres.
Pour un nombre de personnes compris entre 301 et 500, elle ne doit pas être
28 inférieure à 2,50 mètres.
Elle augmentera de 50 centimètres par 100 personnes lorsque le nombre de personnes
28 dépasse 500.
Les portes susceptibles d'être utilisées pour l'évacuation de plus de 20 personnes, les
portes des locaux où sont entreposés des produits facilement ou extrêmement
Article inflammables ainsi que les portes des magasins de vente, doivent s'ouvrir dans le sens
29 de la sortie, si elles ne donnent pas accès sur la voie publique.
Les établissements visés à l’article premier de cet arrêté, doivent disposer d'une
Article signalisation permettant d’indiquer le chemin vers la sortie la plus proche.
30
Les dégagements qui ne sont pas habituellement utilisés doivent, pendant les périodes
de travail pouvoir s'ouvrir très facilement et rapidement de l'intérieur et être signalées
30 par la mention "sortie de secours" inscrite en caractères bien lisibles.
Décret n° 2-14-499 du 20 hija 1435 (15 octobre 2014) approuvant le règlement général de construction fi
prévention des risques d’incendie et de panique dans les constructions.
Titre I: Du règlement général de construction fixant les règles de sécurité contre les
risques d'incendie et de panique dans les constructions
Est approuvé tel qu'il a été annexé au présent décret le règlement général de
1 construction fixant les règles de sécurité contre les risques d'incendie et de panique
dans les constructions.
Il est créé un comité dit «Comité national de la prévention des risques d’incendie et de
panique dans les constructions», chargé:
- d’évaluer la mise en œuvre des dispositions du règlement général de construction
fixant les règles de sécurité contre les risques d’incendie et de panique dans les
2 constructions et des normes et mesures qui y sont contenues;
- de proposer et de donner son avis sur les modifications à apporter aux normes et
mesures contenues dans ledit règlement;
- d’examiner les modifications et propositions d'amélioration à apporter au
règlement général de construction fixant les règles de sécurité contre les risques
d’incendie et de panique annexé au présent décret, en tenant compte du progrès
scientifique et des nouvelles techniques de la prévention des risques d’incendie et de
panique dans les constructions ainsi qu’à la lumière des incidents et des expériences
internationales
Pour chaque type de bâtiment, sont décrits et commentés les principes de sécurité, le
classement, les dispositions constructives, le désenfumage, les règles d’aménagement,
les installations techniques ainsi que les moyens de secours et de lutte contre
l’incendie. L’ensemble est illustré par des schémas et tableaux de synthèses.
Dans la diversité des risques, celui de l’incendie se situe à une place tristement
privilégiée. Depuis la nuit des temps, il est la cause de pertes humaines importantes et
de dégâts matériels irréparables. L’interpénétration de toutes sortes d’activités
conjuguée avec de fortes concentrations de population concourent à l’aggravation des
sinistres.
1.1.2- La prévention
1.1.2.1- Définition
D’une manière générale, prévenir un risque c’est l’empêcher d’exister ou tout au
moins, essayer par tous les moyens possibles d’arriver à ce résultat. Prévoir un risque,
c’est penser qu’il pourra exister à un moment donné et prendre, en conséquence, des
mesures en vue de son apparition.
1.1.2.2- Les buts
° Assurer la sécurité des personnes;
° Limiter les pertes matérielles;
° Permettre l'engagement des secours.
La sécurité humaine doit être l’objectif prioritaire. La prévention doit mettre à l’abri
des risques d’accidents les occupants d’un établissement.
Les pertes matérielles visent les destructions ou détériorations des biens immobiliers,
soit par l’action immédiate du feu, soit par ses conséquences directes (écroulements
des bâtiments).
Par ailleurs, les pertes d’exploitation et les dommages indirects sont 3 fois plus élevés
que les coûts directs de l'incendie par suite de l’arrêt ou de la diminution de la
production, de la perte des marchés et des emplois.
Enfin, le gage de réussite d’une intervention c’est l’assurance que les secours pourront
combattre le sinistre «au plus près» en pénétrant à l’intérieur de l’établissement dans
le but de maîtriser l’incendie au plus vite. C’est pourquoi les bâtiments doivent être
accessibles aux sapeurs-pompiers et les structures, posséder un minimum de stabilité
au feu.
Quelle que soit la perfection des mesures de prévention édictées, aussi vigilants que
soient ceux qui sont chargés de les faire appliquer, certaines causes sont imprévisibles.
Une surveillance constante des risques et l’élaboration des mesures à prendre en cas
d’apparition d’un sinistre sont les principes essentiels de la prévision.
La prévision prend donc le relais de la prévention lorsque celle-ci est mise en échec et
son action est donc complémentaire de la sécurité tout en la renforçant.
1.1.3.2- Définition
elle consiste à:
° Déceler l'incendie (détection);
° avertir aussitôt les occupants (alarme);
° prévenir au plus tôt le personnel devant combattre le sinistre (alerte);
° éteindre (mise en œuvre des moyens de secours).
1.1.3.3.2- La prévision tactique ou opérationnelle
Elle comprend:
° la bonne connaissance du secteur d’intervention;
° la vérification permanente des moyens d’intervention;
° la liaison téléphonique: " on s’attachera à ce que l’appel des secours extérieurs soit
diffusé le plus rapidement possible, soit en créant le " réflexe 15" ou "150", soit par la
mise en place de lignes directes entre les établissements jugés dangereux et les
centres de secours".
1.2- Le comportement au feu
1.2.1- Définitions
apprécié à partir de deux critère: la résistance au feu et de la réaction au feu.
Combustibilité
Caractère de ce qui est combustible. La combustibilité d’un matériau dépend de sa
température (énergie d’amorçage nécessaire), de son degré hygrométrique (un
matériau sec se consume plus rapidement qu’humide), de son pouvoir calorifique, de
Ininflammabilité
sa stabilité chimique, de sa forme présentée (une feuille de papier collée sur un mur
Propriété
brûle plusd’un matériauque
difficilement dont la décomposition
libre), de sa positions’effectue sans
(une allume production
tête de gaz
en bas brûle plus vite
inflammable ni de
qu’horizontale), duflamme
rapporten présence de source
volume/surface de chaleur
(un matériau et cesse
divisé dès la disparation
en plusieurs parties
de cette
brûle plusdernière.
facilement que compact), etc.
Ignifugation
Incombustibilité
Ensemble
Propriété d’undes techniques
matériau à ayant pour
résister but d’améliorer le comportement au feu des
à l’ignition.
matériaux
Un matériau jugés dangereux en
Incombustible ne cas d’incendie.
brûle pas et ne Elle consiste,
dégage pas desoit à déposer
vapeurs un
inflammables en
ignifugeant
de chaleur. en surface d’un matériau (peinture, vernis, enduit), soit à l’imprégner
d’ignifugeant (trempage du bois), soit à incorporer l’ignifugeant dans la masse du
matériau (matières plastiques à la fabrication), soit à combiner ces techniques.
Inflammabilité
Le pouvoird’un
Propriété calorifique
matériau à brûler avec production de flammes.
C’est la quantité de chaleur
L’ignifugation retarde dégagéelapar
ou supprime miseunàkilo
feu,d’un matériau
diminue lors de
la vitesse desa combustion
combustion et
complète exprimé
de propagation, en kJ/kg
modifie de combustible
la nature ou en des
et la formation kJ/m3 (gaz) et vapeurs permettant
fumées
°ainsi
Exemple: 1 kg ded’intervenir
aux secours bois 17 Méga-Joules
pour sauver (MJ)
les personnes et limiter les dégâts matériels.
°Elle
1 kg de fiou1
modifie 42 Méga-Joules
le classement (MJ).
au feu du matériau mais ne le rend pas incombustible. Seule
son inflammabilité est modifiée. La durabilité de l’ignifugation est variable.
Le potentiel calorifique
C’est la quantité de chaleur dégagée lors de la combustion complète de l’ensemble des
matériaux contenus dans un volume connu.
1.2.2- La résistance au feu
la résistance au feu est le temps pendant lequel les éléments de construction peuvent
jouer le rôle qui leur est dévolu malgré l’action d’un incendie.
La résistance au feu concerne les éléments de construction.
Les éléments de construction sont tous les composants dont l'assemblage participe à
un édifice. Ils sont répertoriés par: dalles, poteaux, cloisons, portes, faux-plafonds,
charpentes, toitures etc.
Trois niveaux de résistance au feu sont définis: résistance mécanique, étanchéité,
isolation. On y associe une durée de résistance.
Le classement doit préciser la durée du respect des critères, cette durée est exprimée
en temps normalisée: 1/4 h, 1/2h, 1h, 1h 1/2, 2h, 3h, 4h, 6h.
SF 1H = R 60 mn
PF 1H = RI 60 mn
CF 1H = RIE 60 mn
Il est admis une équivalence entre l’épaisseur d'une porte pleine en bois
massif et le degré de résistance au feu (épaisseur: 30 mm pour du bois
plein).
1.2.3- La réaction au feu
La réaction au feu d’un matériau est l’aliment qui peut être apporté
au feu et au développement de l’incendie.
Elle concerne les matériaux de construction qui sont les matières ou
produits qui permettent de préparer les éléments de gros et second
œuvre d’une construction: pierre, brique, plâtre, acier, verre, etc.
La réaction au feu des matériaux est établie en fonction de critères de comportement
au feu:
° la combustibilité, donc la quantité de calories (d’énergie) susceptible de se dégager
par combustion, (référence ou pouvoir calorifique);
° l'inflammabilité, liée au dégagement de gaz plus ou moins inflammables au cours de
la combustion.
L’isolation des bâtiments les uns par rapport aux autres constitue un moyen de
prévention efficace qui permet d’éviter qu’un incendie ne puisse se propager entre
eux.
Des dispositions particulières sont précisées par les règles de sécurité, tant sur le plan
de la stabilité des structures à froid que sur leur comportement au feu. Toutes les
constructions doivent en outre respecter les règles antisismiques prévues par la
réglementation les concernant (RPS 2000).
1.3.3- L’accessibilité des bâtiments
Afin d’assurer aux personnes une protection efficace. Il est exigé, pour toutes les
constructions, des dispositions minimales permettant l’accès aisé et l’intervention des
services de lutte contre l’incendie. Les voies d’accès permettant cette intervention
comprennent les «voies engins» et les «voies échelles» dont les caractéristiques sont
les suivantes:
Voie utilisable par les engins de secours (en abrégé voie engins): d’une largeur
minimale de 8 m, comportant une chaussée répondant aux caractéristiques suivantes,
quel que soit le sens de la circulation suivant lequel elle est abordée à partir de la voie
publique:
Force portante calculée pour un véhicule de 160 kilo newtons avec un maximum de 90
kilo newtons par essieu, ceux-ci étant distants de 3,60 m au minimum.
° Résistance au poinçonnement: 80 N/cm' sur une surface minimale de 0,20 m2.
° Rayon intérieur minimal R: 11 m.
° Surlargeur S = 15/R dans les virages de rayon intérieur inférieur à 50 m. (S et R,
surlargeur et rayon intérieur, étant exprimés en mètres.)
° Hauteur fibre : 3,50 m.
° Pente inférieure à 15%.
Partie de voie utilisable par les engins de secours dont les caractéristiques ci-dessus
sont complétées et modifiées comme suit:
° la longueur minimale est de 10 m;
° la largeur libre minimale de la chaussée est portée à 4m;
° la pente maximale est inferieur à 10%;
° la disposition par rapport à la façade desservie permet aux échelles aériennes
d’atteindre un point d’accès (balcons, coursives, etc.), à partir duquel les sapeurs-
pompiers doivent pouvoir atteindre toutes les baies de cette façade, la distance
maximale entre deux points d’accès ne devant jamais excéder 20 m.
Si cette section de voie n’est pas sur la voie publique, elle doit lui être raccordée par
une voie utilisable par les engins de secours.
Les risques sont différents selon la constitution de la façade: une paroi traditionnelle
en maçonnerie ne sera vulnérable que par ses ouvertures, alors qu’une façade en
matériaux combustibles sera vulnérable à tous les phénomènes de propagation.
Dans le cas particulier des façades en verre, il importe d'être assuré que la colle ne
cèdera pas avant la rupture du verre et qu’il n’y aura pas risque de chute d’un élément
entier.
1.3.4.2- La Règle du " C + D"
larègle dite du "C+D" concerne la création d’un obstacle au passage du feu d’un étage
à l’autre.
C: distance verticale en mètres entre le haut d’une baie et le bas de la baie
superposée.
D: distance horizontale en mètres entre le plan du vitrage et le nu de l’obstacle
résistant au feu faisant saillie (plancher, balcon...).
M: masse combustible mobilisable, exprimée en MJ/m2. Elle est nulle pour les façades
en maçonnerie traditionnelle.
Les valeurs (C) et (M) sont normalement fournis par les fabricants de panneaux de
façade.
Protection de l’escalier
L’escalier est la voie de communication naturelle entre tous les étages. Il se trouve
automatiquement en dépression par rapport au niveau incendié et les mouvements
des fumées s’établissent vers les étages inférieurs ou supérieurs suivant le niveau
incendié et les conditions atmosphériques extérieures.
Son encloisonnement est donc indispensable. Et en désenfumage naturel, le tirage
thermique de la cage d’escalier est généralement mieux que celui des conduits et
ouvrants en façades et l’ouverture des portes au niveau sinistré provoque l'enfumage
de l'escalier.
L’analyse des risques, incendie et panique tient compte des particularités du type de
bâtiments. Si, dans les bâtiments d’habitation et les lieux de travail, les locaux, sont
généralement connus des occupants, ce n’est pas toujours le cas des établissements
recevant du public, les risques sont liés à la configuration des bâtiments, (leur hauteur,
la densité...) et l’évacuation des personnes à mobilité réduite.
Les dégagements sont dits "protégés" lorsque les personnes s’y trouvent à l’abri des
flammes et de la fumée, soit parce que les parois offrent un degré réglementaire de
résistance au feu (dégagements encloisonnés), soit parce qu’ils sont à l’air libre.
Les portes des escaliers doivent être PF ½h avec ferme porte pour les ERP, ERT, et
bâtiments d’habitation, sauf atténuations ou aggravations mentionnées par le présent
règlement. La hauteur maximale de la porte est de 2,20 mètres.
Les parois des cages d’escalier doivent être réalisées en matériaux incombustibles.
De plus, le volume des cages d’ascenseurs ou escaliers doit satisfaire les conditions
définies ci- dessus.
Dans les locaux de travail et dans les ERP:
° les escaliers tournants doivent être à balancement continu sans autre palier que ceux
desservant les étages. Les dimensions des marches sur la ligne de foulée doivent être
conformes aux règles de l'art et le giron extérieur des marches doit être inférieur à
42cm;
° les marches ne doivent pas être glissantes et les marches successives doivent se
recouvrir de 5cm s’il n’y a pas de contremarches.
Les escaliers doivent être munis de rampe ou de main-courante; ceux d’une largeur au
moins égale à deux unités de passage, soit 1,40 m, (ou d’au moins 1,50 m dans les
locaux de travail existants) en sont munis de chaque côté.
Les portes faisant partie des dégagements exigés pour les locaux de travail, ERP et IGH
doivent satisfaire les dispositions suivantes:
° s’ouvrir dans le sens de la sortie lorsqu’elles desservent des établissements, ou locaux
pouvant recevoir plus de 50 personnes;
° s’ouvrir par une manœuvre facile (simple poussée, manœuvre d’un seul dispositif par
vantail tel que bec-de-cane, poignée tournante, crémone ou barre anti-panique
normalisée).
Les portes et portails en va-et-vient doivent, au minimum, comporter une partie vitrée
à hauteur de vue, les couleurs rouge et orange sont prohibées.
Eclairage de sécurité:
Les dégagements: Issues, escaliers, circulations et cheminements doivent être dotés de
l’éclairage de sécurité; aussi tous les locaux contenant des occupants, afin d’assurer
une circulation facile, de permettre l’évacuation sûre et facile du public et d’effectuer
les manœuvres intéressant la sécurité; et ce, selon les conditions suivantes:
- L’éclairage de sécurité doit être à l'état de veille pendant l’exploitation de
l’établissement.
- L’éclairage de sécurité est mis ou maintenu en service en cas de défaillance de
l’éclairage normal.
- En cas de disparition de l’alimentation normal/remplacement, l’éclairage de
sécurité est alimenté par une source de sécurité d’une autonomie d’1 heure au moins.
Il comporte:
- soit une source centralisée constituée d’une batterie d’accumulateurs alimentant
des luminaires;
- soit des blocs autonomes.
Les indications de balisage visé aux dispositions constructives du présent titre doivent
être éclairées par l’éclairage d’évacuation, si elles sont transparentes par le luminaire
qui les porte, si elles sont opaques par les luminaires situés à proximité.
Dans les couloirs ou dégagements, les foyers lumineux ne doivent pas être espacés de
plus de 15 mètres.
Les foyers lumineux doivent avoir un flux lumineux assigné d’au moins 45 lumens
pendant la durée de fonctionnement assignée.
L'éclairage d'ambiance ou d'anti-panique: doit être installé dans tout local ou hall dans
lequel l’effectif du public peut atteindre cent personnes en étage ou au rez-de-
chaussée ou cinquante personnes en sous-sol.
L’éclairage d’ambiance ou d’anti-panique doit être allumé en cas de disparition de
l’éclairage normal remplacement.
Cet éclairage doit être basé sur un flux lumineux minimal de 5 lumens par mètre carré
de surface du local pendant la durée assignée de fonctionnement.
Le rapport entre la distance maximale séparant deux foyers lumineux voisins et leur
hauteur au-dessus du sol doit être inférieur ou égal à 4.
1.7- Moyens de secours:
1.7.1- Généralités
Un poteau d’incendie est une installation analogue à la bouche d’incendie mais dont
les prises sont disposées au-dessus du sol.
Les bouches et les poteaux d’incendie peuvent être alimentés soit par un réseau de
distribution publique d’eau, soit par un réseau d’eau sous pression privé.
Ils peuvent être munis d’un système de vidange soit automatique soit semi-
automatique.
Les prises peuvent être exposées à vue et le poteau est dit «à prises apparentes».
Les poteaux d’incendie doivent être peints en «rouge incendie» normalisé et porter:
° la marque ou le sigle du fabricant;
° sur le couvercle, le sens et le nombre de tours d’ouverture;
° les deux derniers chiffres de l’année de fabrication.
Implantation et installation
Un poteau d’incendie doit être situé à une distance comprise entre 1 et 5 m du bord
de la chaussée accessible aux véhicules des services d’incendie et de secours, de
manière à ne pas gêner la circulation des piétons. Il peut être mis à l’abri des chocs
éventuels liés à la circulation automobile par un système de protection (murette,
barrière). Le poteau doit être orienté de manière à faciliter la mise en place et la
manœuvre des tuyaux.
Une bouche d’incendie doit être située au plus à 5m du bord de la chaussée accessible
aux véhicules des services d’incendie et de secours, sur un emplacement le moins
vulnérable possible au stationnement des véhicules. Cet emplacement est signalé par
une plaque normalisée. Un espace libre de 0,50 m de rayon doit être ménagé autour
du carré de manœuvre.
1.7.2.2- Robinets
Les bouches d’incendie
et les poteaux armés sont évalués en fonction des risques.
d’incendie
Les colonnes humides peuvent être imposées dans certains établissements importants.
Eau "Sprinklers"
Une installation d’extinction automatique à eau (sprinklers) peut être imposée dans
tout ou partie d’un bâtiment.
Les locaux ainsi protégés doivent être isolés du reste du bâtiment dans les mêmes
conditions que les locaux à risques particuliers.
L’installation doit être conforme aux normes, et réalisée par des entreprises
spécialisées et qualifiées. Les sources d’eau, les pompes ou les surpresseurs, doivent
être conformes aux normes. L’alimentation électrique de sécurité pour lesdits
surpresseurs doit être conforme aux dispositions des installations de sécurité.
Les vannes de barrage doivent être signalées et accessibles aux sapeurs-pompiers. Les
débits aux points les plus défavorisés doivent pouvoir être contrôlés.
Autres agents extincteurs
Des installations fixes ou mobiles mettant en œuvre divers agents extincteurs peuvent
être prévues pour la défense de tout ou partie des locaux accessibles au public ou non
d’un établissement.
Elles doivent être conformes aux normes en vigueurs.
Le service de sécurité incendie doit être assuré suivant le type, la catégorie et les
caractéristiques des établissements:
§ Soit par des personnes désignées par le chef d’établissement et entraînées à la
manœuvre des moyens de secours contre l’incendie et à l’évacuation du public;
§ Soit par des agents de sécurité incendie.
Ce service est chargé de l’organisation générale de la sécurité dans l’établissement. Il a
notamment pour missions:
a) d’assurer la vacuité et la permanence des cheminements d’évacuation jusqu’à la
voie publique;
b) d’organiser des rondes pour prévenir et détecter les risques d’incendie, y compris
dans les locaux non occupés;
c) de faire appliquer les consignes en cas d’incendie;
d) de diriger les secours en attendant l’arrivée des sapeurs-pompiers, puis se mettre
à la disposition du chef de détachement d’intervention des sapeurs-pompiers;
e) de veiller au bon fonctionnement de tout le matériel de protection contre
l’incendie, d’en effectuer ou faire effectuer l’entretien (extincteurs, équipements
hydrauliques, dispositifs d’alarme et de détection, de fermeture des portes, de
désenfumage, d’éclairage de sécurité, groupes moteurs thermiques-générateurs, etc.);
f) de tenir à jour le registre de sécurité.
Lorsque le service est assuré par des agents de sécurité incendie, l’effectif doit être de
trois personnes au moins présentes simultanément, dont un chef d’équipe. Cet effectif
doit être adapté à l’importance de l’établissement.
En outre, le chef d’équipe et un agent de sécurité incendie au moins ne doivent pas
être distraits de leurs missions spécifiques.
Les autres agents de sécurité incendie peuvent être employés à des tâches de
maintenance technique dans l’établissement. Ils doivent se trouver en liaison
permanente avec le poste de sécurité et pouvoir être rassemblés dans les délais les
plus brefs.
Un poste Poste
1.7.3.2- de sécurité doit être mis à la disposition exclusive des personnels chargés de
de sécurité
la sécurité incendie.
Ce poste, d’accès aisé et si possible au niveau d’arrivée des secours extérieurs, doit
être, sauf cas particulier, relié au centre de secours des sapeurs-pompiers par un
moyen de transmission rapide et sûr.
Lorsque le service est assuré par des agents de sécurité incendie, le poste doit être
occupé en permanence par une personne au moins.
Le poste de sécurité doit notamment recevoir les alarmes restreintes transmises par
postes téléphoniques, avertisseurs manuels, installations de détection et/ou
d’extinction automatique. De plus, des commandes manuelles des dispositifs d’alarme,
de désenfumage mécanique, de conditionnement, etc., doivent être installées à
l’intérieur de celui -ci.
Le poste de sécurité et ses accès doivent être convenablement protégés contre un feu
survenant dans l’établissement.
Des exercices d’instruction du personnel doivent être organisés sous la responsabilité
de l’exploitant. La date de ceux-ci doit être portée sur le registre de sécurité de
l’établissement.
1.7.3.3- Dispositions visant à faciliter l’action de secours
Contient:
° L’état du personnel chargé du service d’incendie;
° Les diverses consignes, générales et particulières, établies en cas d’incendie;
° Les dates des divers contrôles et vérifications ainsi que les observations auxquelles
ceux-ci dont donné lieu;
° Les dates des travaux d’aménagement et de transformation, leur nature, les noms du
ou des entrepreneurs et, s’il y a lieu, de l’architecte ou du technicien chargés de
surveiller les travaux.
En règle générale, ce temps doit correspondre au degré de stabilité au feu exigé pour
le bâtiment, avec un maximum de 1heure, sauf à la traversée de locaux à risques
particuliers pour lesquels la protection doit être identique à celle exigée pour ce local.
§ 1. Une zone de diffusion d’alarme doit englober une ou plusieurs zone(s) de mise en
sécurité. Chaque zone de mise en sécurité doit englober une ou plusieurs zone(s) de
détection.
Vérifications techniques
Elles s’effectuent par des essais fonctionnels.
Certification du matériel
Elle est obligatoire, conforme aux normes en vigueur.
Contrat d’entretien
Il est obligatoire et doit être annexé au registre de sécurité.
a- Généralités
§ 1. Le système de mise en sécurité incendie est constitué de l’ensemble des
équipements qui assurent les fonctions nécessaires à la mise en sécurité d’un
établissement en cas d’incendie soit à partir des informations transmises par le
système de détection incendie (lorsque celui-ci existe), soit à partir d’ordres en
provenance de commandes manuelles, il comprend:
- Des dispositifs actionnés de sécurité, répartis éventuellement par zones de mise en
sécurité;
- Les équipements nécessaires pour assurer la commande des dispositifs actionnés
de sécurité.
b- Automatismes
§ 1. Les dispositifs de désenfumage doivent être commandés par la détection
automatique d’incendie, lorsque les dispositions particulières l’imposent. Cette
disposition ne s’applique pas au désenfumage des cages d’escaliers dont la commande
doit être uniquement manuelle.
Dans les cas où les présentes règles prévoient que le fonctionnement de la détection
automatique entraîne le déclenchement des dispositifs actionnés de sécurité (système
de sécurité Incendie de catégorie A), ce déclenchement doit s’effectuer sans
temporisation.
d- Agrément
Parallèlement
Le contrôle de àl’aptitude
la mise en place de des
à l’emploi SSI, dispositifs
il est ajouté et en complément,
actionnés de sécurité quatre types
et de leurs
d’alarmes
dispositifs classées par ordre
de commande de sévérité décroissante,
et d’alimentation est effectuéafin
parde
unprévenir les personnes
des organismes agréés.
d’avoir à évacuer le bâtiment rapidement. On trouve:
1.7.4.5- Système d’alarme
Le système d’alarme du type 1
qui utilise des détecteurs automatiques d’incendie placés en plafond des couloirs et/ou
des locaux, et des déclencheurs manuels placés près des escaliers et des issues qui
actionnent des diffuseurs sonores par l’intermédiaire d’une unité de gestion d’alarme.
Ce dispositif est systématiquement exigé dans les locaux à sommeil.
Les canalisations électriques alimentant les diffuseurs sonores non autonomes doivent
être conformes normes en vigueur.
Les diffuseurs d’alarme sonore, notamment les blocs autonomes d’alarme sonore
(BAAS)
Dans ledes
cas types
du typeMa3,etlorsqu’un
Sa, doivent être mis
bâtiment esthors de portée
équipé du public
de plusieurs par
blocs éloignement
autonomes
(hauteur minimum de 2,25 m) ou par interposition d’un obstacle.
d’alarme sonore (BAAS de type Ma, au sens de la norme en vigueur), l’action sur un
seul déclencheur manuel doit provoquer le fonctionnement de tous les BAAS du
bâtiment. La mise à l’état d’arrêt de l’équipement d’alarme doit être effectuée à partir
d’un seul point. Le dispositif de télécommande doit être accessible seulement au
personnel qui en a la charge.
Pendant la présence du public, l’équipement d’alarme doit être à l’état de veille
général.
En dehors de la présence du public et du personnel, si l’établissement dispose d’un
Aucun
moyenautre signal l’alarme
d’exploiter sonore susceptible
restreinte, d’être émis dans
l’équipement l’établissement
d’alarme peut être ne
misdoit
à l’état de
entraîner une
veille limité confusion
à l’alarme avec le signal sonore d’alarme générale.
restreinte.
Le personnel de l’établissement doit être informé de la signification du signal sonore
d’alarme générale et du signal sonore d’alarme générale sélective, si ce dernier existe.
Cette information doit être complétée éventuellement par des exercices périodiques
d’évacuation.
l peut être admis, selon les dispositions particulières, que la diffusion du signal sonore
d’alarme générale conforme à la norme visant les équipements d’alarme soit
entrecoupée ou interrompue par des messages préenregistrés prescrivant clairement
l’évacuation du public.
Les dispositifs d’alarme asservis à la détection automatique d’incendie doivent être
judicieusement répartis dans chaque niveau, de façon à être audible de tout point du
bâtiment.
Toutes dispositions doivent être prises pour que ces appareils, efficacement signalés,
puissent être utilisés sans retard (par exemple affichage indiquant l’emplacement des
appareils, le numéro d’appel à composer sur le réseau intérieur, etc.).
Les modalités d’appel des sapeurs-pompiers doivent être affichées de façon
apparente, permanente et inaltérable près des appareils téléphoniques reliés au
réseau urbain.
LIVRE 2
LES ETABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP)
2- LES ETABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP)
2.1- Définition
Les établissements recevant du public (ERP) sont des bâtiments, locaux et enceintes
dans lesquels des personnes sont admises soit librement, soit moyennant une
rétribution ou une participation quelconque, ou dans lesquels sont tenues des
réunions ouvertes à tout venant ou sur invitation, payantes ou non. Sont considérées
comme faisant partie du public toutes les personnes admises dans l’établissement à
quelque titre que ce soit, en plus du personnel. Dont le plancher du dernier niveau
accessible n’est pas à plus de 28 m du niveau du sol extérieur.
Le seuil de 28 mètres a été fixé en fonction des possibilités offertes par les échelles
aériennes en usage chez les sapeurs pompiers. Ainsi au delà de 28 m un ERP sera
classé immeuble de grande hauteur (IGH).
2.2- Risques
Les occupants peuvent ne pas connaître la géométrie des locaux, d’où le risque de
panique en cas de sinistre. La densité d’occupants au m2 est plus importante que dans
les autres établissements; il faut en tenir compte pour les moyens de sauvegarde et de
secours. De plus, le potentiel calorifique est souvent très important. On trouve dans de
nombreux cas d’importants volumes sans cloisonnement (Supermarchés, Musées ...).
types Sous-sol
types Sous-sol
OA Hôtels-restaurants d’altitude
GA Gare aérienne (3)
PA Plein air (établissement de)
BM Bains maures
(1) ces activités sont interdites en sous-sol.
(3) Les gares souterraines et mixtes sont classées dans le 1 er groupe quel que soit l’effectif.
(4) ces activités sont interdites en étage.
2.4.2.3- Classement des groupements d’établissements ou des établissements en
plusieurs bâtiments voisins non isolés entre eux:
§ 2. La catégorie d’un tel groupement est déterminée d’après l’effectif total des
personnes admises, obtenu en additionnant l’effectif de chacune des exploitations.
Si les exploitations sont de types différents, l'effectif limite du public à retenir entre la
4e catégorie et la 5e catégorie est l’un des nombres suivants:
- 50 en sous-sol;
- 100 en étages, galeries ou ouvrage en surélévation;
- 200 au total.
Outre les dispositions générales communes, les dispositions particulières propres aux
différents types d’exploitations groupées dans l’établissement sont applicables en se
référant à la catégorie déterminée ci-dessus.
2.4.2.4- Classement des groupements d’établissements et des établissements en
plusieurs bâtiments isolés entre eux:
Les bâtiments d’un même établissement et les établissements groupés dans un même
bâtiment, qui répondent aux conditions d’isolement, sont considérés comme autant
d’établissements pour l’application des présentes règles de sécurité.
Lorsqu’un établissement comporte des locaux de types différents, chacun d’eux est
justiciable des mesures indiquées aux chapitres traitant des établissements du type
intéressé de la même catégorie que cet établissement.
Les bâtiments et les locaux où sont installés les établissements recevant du public
doivent être construits de manière à permettre l’évacuation rapide et en bon ordre de
la totalité des occupants. Ils doivent avoir une ou plusieurs façades en bordure de
voies ou d’espaces libres permettant l’évacuation du public, l'accès et la mise en
service des moyens de secours et de lutte contre l’incendie.
Suivant la hauteur des bâtiments, il convient de distinguer plusieurs cas présentés dans
le tableau suivant:
Solutions
cas général
cas particulier:
secteurs
Façade accessible:
Façade permettant aux services de secours d'intervenir à tous les niveaux recevant du
public.
Elle comporte au moins une sortie normale au niveau d’accès du bâtiment et des baies
accessibles à chacun de ses niveaux.
Baie accessible
Toute baie ouvrante permettant d’accéder à un niveau recevant du public et
présentant les dimensions minimales suivantes:
° hauteur: 1,30 m;
° largeur: 0,90 m.
Les façades aveugles ou munies de châssis fixes, qui font partie du nombre de façades
accessibles exigées, doivent être munies de baies accessibles répondant aux
caractéristiques suivantes:
° hauteur: 1,80 m au minimum;
° largeur: 0,90 m au minimum;
° distance entre baies successives situées au même niveau: de 10 à 20 m;
° distances minimales de 4 m mesurées en projection horizontale entre les baies d’un
niveau et celles des niveaux situées immédiatement en dessus et en dessous;
° les panneaux d’obturation ou les châssis doivent pouvoir s’ouvrir et demeurer
toujours accessibles de l’extérieur et de l’intérieur. Ils doivent être aisément repérables
de l’extérieur par les services de secours.
2.5.1.3- Nombre de façades accessibles
Catégorie
1. catégorie
1. catégorie
1. catégorie
1501 < eff. < 2 500
2.3. catégorie
4. catégorie
Loi no 92/007 du 14 aout 1992, Code de Travail, République de Cameroun
Art.5.- Dans les entreprises les travailleurs bénéficient d’un droit à l’expression
sur le contenu, les conditions d’exercice et l’organisation du travail à travers les
institutions représentatives des travailleurs
Art.25.- Il ne peut être mis fin avant terme à un contrat à durée déterminée qu’en
cas de faute lourde, d’accord des parties constaté par écrit ou de force majeure.
La méconnaissance par l’employeur des dispositions de l’alinéa précédent ouvre
droit, pour le travailleur, à des dommages intérêts d’un montant égal aux
rémunérations qu’il aurait perçues jusqu’au terme du contrat.
Art.35.- Lorsque pour des raisons d’ordre économique, commandées par des
nécessités de l’entreprise ou résultant d’événements imprévisibles présentant le
caractère de force majeure, l’employeur décide de mettre en chômage temporaire
tout ou partie de son personnel, l’inspecteur du travail doit, au préalable, en être
informé. La durée de la suspension ne peut excéder trois mois. Au delà de trois
mois ou en cas de non acceptation par le travailleur des conditions de suspension
proposées, la rupture éventuelle du contrat est imputable à l’employeur.
Art.37.- Dans le cas visé à l’article L.34 (3°, l’employeur doit indemniser le
travailleur selon les modalités suivantes :
a) pendant la première année de présence :
- indemnité égale au montant de sa rémunération pendant une période égale à
celle du préavis,
b) au delà de la première année de présence :
- indemnité égale à la moitié du montant de sa rémunération pendant la période
d’un mois suivant celle d’indemnisation à plein salaire.
RESSOURCES HUMAINES ET L'ENVIRONNEMENT DE TRAVAIL
ETAT ACTIONS
N° Action
Applicabilité Champs Conformité (Programme)
nications et du ministre de l'équipement et du transport n° 1032-04 du 14 rabii II 1425 (3 juin 2004) rendant d'application obligatoire
Applicable
Non applicable
Information
Information
du 6 joumada I 1429 (12 mai 2008) fixant les mesures d'application générales et particulières relatives aux principes énoncés par les
Information
Information
Information
Information
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
ment général de construction fixant les règles de sécurité contre les risques d’incendie et de panique dans les constructions et institu
CF 1/4h
CF 4h
CF 1h
CF 1h
CF 2h
CF 2h
CF 4h
CF 1/2h
CF 6h
CF 2h
CF 4h
CF 3h
CF 1h
CF 2h
CF 1h
Resistance au feu
PF 1/2h
M0
M0
M0
M1
M1
M1
M1
M1
M1 ou M2
M1
M3
M3
M3
M1 à M2
M1
M3 à non classé
M2 à M4
M4 à non classé
e
Ensemble des
Etages
niveaux
- - 25
- - 100
- - 20
- - 100
100 - 200
20 - 50
100 100 200
100 200 200
- - 100
20 100 120
-1 1(2) 100
100 100 200
30
100 100 200
100 100 200
- - 100
- - 20
100 200 300
100 100 200
100 100 200
100 100 200
e
Ensemble des
Etages
niveaux
- - 20
- - 200
- - 300
-1 -4 50
oit l’effectif.
Hauteur (h) du plancher bas du
dernier niveau accessible au public
Voies-engins ou
espaces libres + Voies-échelles+
cloisonnement
cloisonnement traditionnel
traditionnel
Espaces libres ou
voies-engins + Espaces libres +
cloisonnement secteurs si autorisés
traditionnel
Voies-engins ou
Voies-échelles +
libres +
compartiments si
compartiments si
autorisés
autorisés
Nombre de
Desserte des
façades
façades accessibles
accessibles
2 voies-échelles de
Cas général: 4 12 m et 2 voies-
échelles de 8 m
Façades
Judicieusement 2 voies-échelles de
réparties suivant 12 m et 1 voie-
les conditions (a) échelles de 8 m
et (b): 3
Façades opposées
et suivant les 2 voies-échelles de
conditions (a) et 12
(b): 2
1 voie-échelles de
Cas général : 3 12 m et 1 voie-
échelles de 8 m
1 voie-échelles de
Si condition (b)
12 m et 1 voie-
respectée: 2
échelles de 8 m
Dans tous les cas: 2 voie-échelles de 8
1 m
Dans tous les cas. 1 voie-échelles de 8
1 m
1 voie-échelles de 6
Cas général: 1 m ou 1 impasse de
8 m (c)
Si l’établissement
est en rez-de-
chaussée, toutes
les sorties peuvent
donner sur un
passage d’une
largeur de 1,80 m
aboutissant à ses
deux extrémités
des voies-engins.
La distance de
tout point de
l’établissement
aux extrémités du
passage doit être
inférieure à 50 m,
ou 100 m, selon
que le passage est
désenfumé ou
non.
NNEMENT DE TRAVAIL
ACTIONS
COMMENTAIRE
ticulières relatives aux principes énoncés par les articles de 281 à 291 du code du
ie et de panique dans les constructions et instituant le comité national de la
01
02
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02
03
04
04
05
06
01
01
02
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304
305
306
307
308
309
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313
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331
332
333
334
335
LOI N° 06-067/AN CODE GENERAL DES IMPOTS 2014 DU CAMEROUN
ARTICLE 16 : Les entreprises imposables astreintes à une obligation de comptabilité doivent la tenir conformément aux
ARTICLE 17 : Toutes les entreprises imposables suivant le regime du bénéfice réel doivent tenir une
comptabilité permettant de determiner exactement le bénéfice ou le deficit réalisé au cours de
l'exercice…………….
ARTICLE 18 : Les supports utilisés dans le cas d'une comptabilité tenue par des moyens informatiques
doivent repondre aux exigences légales en matière de garantie, d'intégrité et de conservation définies en
matière de preuve…………………...
ARTICLE 19 : La comptabilité ou les livres prescrits à l'article 14 du present livre ainsi que les pièces
justificatives des opérations éffectuées par le redevable, notamment les factures d'achats, doivent être
conservées pendant dix ans apres l'année au cours de laquelle les achats, ventes, fournitures et autres
prestations ont été constatées dans les écritures comptables. Ces documents doivent être présentés à
toutes requêtes des agents de l'Administration fiscale sous peine des sanctions prevues à l'article 517 du
present Livre.
ARTICLE 23 : Les contribuables doivent souscrire dans les formes, délais et lieux indiqués, les declarations
auxquelles ils sont tenus par les lois et reglements en matière fiscale.
CATEGORIE
- Salariés
- Salariés soumis à une
surveillance médicale
spéciale.
TOTAL
ANNEXE 1:
DEMANDE D’ATTESTATION DE CONFORMITE OU DE SON
RENOUVELLEMENT RELATIVE AU SERVICE MEDICAL DU
TRAVAIL INTERENTREPRISES(1)
CATEGORIE
- Salariés
- Salariés soumis à une
surveillance médicale
spéciale.
TOTAL
Nombre total de salariés travaillant la nuit :……………………………………………………….
Temps consacré effectivement par le ou les médecins du travail: ……………………………….
Noms, et diplômes des infirmiers ou des infirmières :……………………………………………...
Noms, et diplômes des assistantes ou assistants sociaux :………………………………………..
Noms des secouristes : …………………………………………………………………………………
Nom des secouristes qui assurent les soins d’urgence la nuit dans l’établissement :
………………
Nom de l’hôpital le plus proche :…………………………………………………………………….
Nombre de pièces dont dispose le service médical : ……………………………………………..
Surface de chaque pièce :…………………………………………………………………………….
Arrêté du ministre de l'emploi et de la formation professionnelle n°3125-10 du 15 hija 1431 (22 novembre 2010) fixant l
En application des dispositions de l'article 307 de la loi susvisée n° 65-99 portant code du travail, est fixé
en annexe du présent arrêté le modèle du rapport établi par le chef du service médical du travail sur
l'organisation, le fonctionnement et la gestion financière dudit service au titre de l'année précédente.
ANNEXE 1: Fixant le modèle du rapport annuel établi par le Chef du service médical du travail sur
l'organisation du service, son fonctionnement et sa gestion financière
au titre de l'année précédente
Service medical du travail independant:
I- Caractéristique de l'entreprise:
1- Siège social de l'entreprise: ………………………………………………………
2- Adresse du siège social et éventuellement les divers établissements couverts par le service médical:
3- Nature des travaux effectués par l'établissement ou son activité principale:
4- Effectif au 31 décembre de l'année précédente:
- Nombre de salariés:
- Nombre de salariés soumis à surveillance médicale particulière:
II- Organisation et fonctionnement du service médial:
1- Adresse du service médical du travail:
2- Médecins:
Ÿ Nombre de médecins à temps plein:
Ÿ Nombre total mensuel des heures de présence du ou des médecins du travail:
Ÿ Noms des médecins sous contrat ou dont le contrat a expiré:
3- Infirmiers et assistants sociaux:
Ÿ Nombre:
Ÿ Compétences:
III- Gestion financière du service médical pour l'année précédente:
1- Dépenses annuelles:
Ÿ Rémunération des salariés du service médical du travail:
Ÿ Frais de fonctionnement (y compris la charge résultant de la pratique des examens complémentaires
systématiques ou demandés par le médecin du travail):
Ÿ Dépenses d'équipement:
Total des dépenses annuelles:
2- Coût annuel du service par salarié:
Total des dépenses annuelles par rapport au nombre de salariés.
1- Salariés:
Ÿ Nombre de médecins à temps plein:
Ÿ Nombre de médecins à temps partiel:
Ÿ Nombre de moyens des heures du travail des médecins:
Ÿ Nombre total et qualifications des auxiliaires médicaux:
Ÿ Nombre et fonctions du personnel administratif.
2- Effectif surveillé jusqu'au 31 décembre de l'année d'exercice:
a- Nombre d'entreprises adhérentes au service médical interentreprises:
b- Nombre total de salariés appartenant à des entreprises où sont exécutés des travaux pouvant
exposer les salariés à des risques:
Ÿ Salariés de moins de 18 ans:
Ÿ Travailleurs soumis à une surveillance médicale particulière:
Ÿ Total:
III- Gestion financière: CHARGES
Personnel administratif:
Totaux:
L’employeur doit soumettre les salariés devant effectuer, de façon habituelle, les travaux figurant à
l’annexe 1 du présent arrêté à un examen médical avant l’embauche ainsi qu’à d’autres examens
ultérieurs dont le médecin du travail fixe la périodicité conformément au paragraphe 3 de l’article 327 de
la loi susvisée n° 65-99
L’examen mentionné au paragraphe 4 de l’article 327 de la loi précitée n° 65-99 a pour but d’évaluer
l’aptitude médicale du salarié à reprendre le travail au poste qu’il occupait.
A l’issue de cet examen, le médecin du travail décidera de la nécessité d’une adaptation des conditions de
travail ou d’une réadaptation du salarié ou éventuellement de l’une et de l’autre de ces mesures.
Cet examen a lieu lors de la reprise du travail et au plus tard dans les quinze jours qui suivent celle-ci.
Sauf dans le cas où le maintien du salarié à son poste de travail entraîne un danger immédiat pour sa
santé ou sa sécurité ou celles des tiers, le médecin du travail ne peut constater l’inaptitude médicale du
salarié à son poste de travail qu’après avoir réalisé :
3. Deux examens médicaux de l’intéressé espacés de quatre semaines. accompagnés. le cas échéant,
d’examens complémentaires.
Le médecin du travail doit, lors de l’examen médical effectué avant l’embauche ou au plus tard avant
l’expiration de la période d’essai, constituer un dossier médical qu’il complétera après chaque examen
médical ultérieur. Ce dossier doit contenir, dans le respect du secret médical, les informations relatives à
l’état de santé du salarié, aux expositions auxquelles il a été soumis ainsi que les avis et propositions du
médecin du travail.
Il ne peut être communiqué qu’au médecin chargé de l’inspection du travail, à un autre médecin du
travail dans la continuité de la prise en charge médicale ou, à la demande de l’intéressé, au médecin de
son choix.
Il doit être conforme au modèle fixé à l’annexe II du présent arrêté. En outre, le médecin du travail doit
établir, en double exemplaire, une fiche d’aptitude après chaque visite médicale. Il délivrera une copie au
salarié et transmettra la seconde à l’employeur qui la conservera pour la présenter à tout moment, à sa
demande, à l’agent chargé de l’inspection du travail.
L.a fiche d’aptitude, qui ne doit comporter aucune information soumise au secret médical, devra être
conforme au modèle fixé à l’annexe III du présent arrêté
Le présent arrêté est publié au Bulletin officiel à Rabat, le 26 chaabane 1433 (16juillet 2012).
Annexe I
Liste indicative des travaux nécessitant une surveillance médicale particulière
Application des peintures et vernis par pulvérisation ;
Acide chromique (chromates, bichrornates akalins, à l’exception de leurs solutions aqueuses diluées),
Bioxyde de manganèse,
Plomb et ses composés,
Mercure et ses composés,
Glucine et ses sels,
Benzène et homologues,
Hexanes aromatiques,
Résines époxy,
Phénols et naphtols,
Dérivés halogénés (nitrés et aminés des hydrocarbures et de leurs dérivés),
Brais,
goudrons et huiles minérales,
Poussières de bois,
Rayons X et substances radioactives,
Niveau de bruit > 85 dB (A),
Ciment.
Tous travaux susceptibles d’entrainer des maladies professionnelles indemnisables ou bien des
Maladies à caractère professionnel.
Annexe 2
DOSSIER MEDICAL
Voir pages 2699 à 2701 du BO N° 6092 —2 hija 1433 (18-10-2012)
Modèle de fiche d’aptitude médicale
Voir page 2702 du BO N° 6092 —2 hija 1433 (18-10-2012)
Décret n° 2-05-751 du 6 joumada II 1426 (13 juillet 2005) pris pour l'application des dispositions des articles 315 et 316 d
En application des dispositions de l'article 315 de la loi n° 65-99 susvisée, le nombre des infirmiers
diplômés d'Etat ou d'assistants sociaux, dont les services médicaux doivent s'assurer le concours à temps
complet, est fixé au moins :
2 - Pour les entreprises et établissements industriels, les exploitations agricoles et forestières ou leurs
dépendances et les entreprises ou établissements effectuant des travaux exposant les salariés à des
risques particuliers à :
- un infirmier ou une infirmière si l'effectif des salariés dans l'entreprise varie entre 200 et 800 ;
- un ou une assistant (e) sociale et deux infirmiers ou infirmières si l'effectif des salariés dans l'entreprise
varie entre 801 et 2000.
Lorsque l'effectif des salariés dépasse 2000, il est fait appel au concours d'un assistant ou une assistante
sociale et d'un infirmier ou une infirmière supplémentaires pour chaque 1500 salariés.
En application des dispositions de l'article 316 de la loi n° 65-99 précitée, le service de garde médicale
dans les entreprises et les établissements est assuré par un infirmier ou une infirmière tel qu'il est prévu à
l'article premier du présent décret.
La compétence territoriale et professionnelle du service médical doit être approuvée par le délégué
préfectoral ou provincial du travail, après accord du médecin chargé de l'inspection du travail.
L'autorité gouvernementale chargée du travail fixe la durée minimum que le ou les médecins du travail
doivent consacrer aux salariés, en distinguant entre les entreprises dans lesquelles les salariés ne risquent
aucun danger et les entreprises devant être soumises à un contrôle particulier.
Les entreprises soumises à l'obligation de créer un service médical du travail indépendant, conformément
à l'article 304 ci-dessus, doivent disposer d'un médecin du travail durant toutes
les heures du travail.
Le service médical indépendant ou inter-entreprises est administré par le chef du service médical qui doit
adresser chaque année à l'agent chargé de l'inspection du travail, au médecin chargé de l'inspection du
travail et aux délégués des salariés et, le cas échéant, aux représentants des syndicats dans l'entreprise
ou, lorsqu'il s'agit des entreprises minières soumises au statut minier, aux délégués de sécurité, un
rapport sur l'organisation, le fonctionnement et la gestion financière du service pendant l'année
précédente.
Le modèle dudit rapport est fixé par l'autorité gouvernementale chargée du travail
Les médecins du travail doivent être titulaires d'un diplôme attestant qu'ils sont spécialistes en médecine
du travail.
Ils doivent être inscrits au tableau de l'Ordre des médecins et avoir l'autorisation d'exercer la médecine
Le médecin du travail étranger doit, outre ce qui est prévu à l'article 310, avoir obtenu l'autorisation
prévue par les dispositions relatives à l'emploi des étrangers
Le médecin du travail est lié à l'employeur ou au chef du service médical interentreprises par un contrat
de travail respectant les règles de déontologie professionnelle.
Toute mesure disciplinaire envisagée par l'employeur ou le chef du service médical inter-entreprises à
l'encontre du médecin du travail, doit être prononcée par décision approuvée par l'agent chargé de
l'inspection du travail, après avis du médecin inspecteur du travail.
Les services médicaux du travail indépendants ou inter-entreprises doivent également s'assurer, à temps
complet, le concours d'assistants sociaux ou d'infirmiers diplômés d'Etat ayant reçu, conformément à la
législation en vigueur, l'autorisation d'exercer
les actes d'assistance médicale et dont le nombre est fixé par voie réglementaire en fonction de l'effectif
des salariés dans l'entreprise.
Un service de garde médicale doit être assuré conformément aux règles et dans les conditions fixées par
voie réglementaire
Dans chaque atelier où sont effectués des travaux dangereux, deux salariés au moins recevront
l'instruction relative aux techniques et méthodes des premiers secours en cas d'urgence.
Les secouristes ainsi formés ne pourront être considérés comme tenant lieu des infirmiers prévus à
l'article 315 ci-dessus
Le médecin du travail a un rôle préventif qui consiste à procéder sur les salariés aux examens médicaux
nécessaires, notamment à l'examen médical d'aptitude lors de l'embauchage et à éviter toute altération
de la santé des salariés du fait de leur travail,
notamment en surveillant les conditions d'hygiène dans les lieux de travail, les risques de contamination
et l'état de santé des salariés
Le médecin du travail peut donner exceptionnellement, ses soins en cas d'urgence, à l'occasion
d'accidents ou de maladies survenus dans l'établissement ainsi qu'à tout salarié victime d'un accident du
travail lorsque l'accident n'entraîne pas une interruption du travail du salarié.
Toutefois, la liberté pour le salarié de faire appel à un médecin de son choix ne doit en aucun cas être
entravée
Le médecin du travail est habilité à proposer des mesures individuelles telles que mutations ou
transformations de postes, justifiées par des considérations relatives, notamment, à l'âge, à la résistance
physique ou à l'état de santé des salariés.
Le chef d'entreprise est tenu de prendre en considération ces propositions et, en cas de refus, de faire
connaître les motifs qui s'opposent à ce qu'il y soit donné suite.
En cas de difficulté ou de désaccord, la décision est prise par l'agent chargé de l'inspection du travail après
avis du médecin-inspecteur du travail.
Le médecin du travail a un rôle de conseiller en particulier, auprès de la direction, des chefs de service et
du chef du service social, notamment en ce qui concerne l'application
des mesures suivantes :
- la surveillance des conditions générales d'hygiène dans l'entreprise ;
- la protection des salariés contre les accidents et contre l'ensemble des nuisances qui menacent leur
santé ;
- la surveillance de l'adaptation du poste de travail à l'état de santé du salarié ;
- l'amélioration des conditions de travail, notamment en ce qui concerne les constructions et
aménagements nouveaux, ainsi que l'adaptation des techniques de travail à l'aptitude physique
du salarié, l'élimination des produits dangereux et l'étude des rythmes du travail.
Le médecin du travail doit être consulté
1) sur toutes les questions d'organisation technique du service médical du travail ;
2) sur les nouvelles techniques de production ;
3) sur les substances et produits nouveaux
Le médecin du travail doit être mis au courant par le chef d'entreprise de la composition des produits
employés dans son entreprise
Le médecin du travail est tenu au secret des dispositifs industriels et techniques et de la composition des
produits employés
Le médecin du travail est tenu de déclarer, dans les conditions prévues par la législation en vigueur, tous
les cas de maladies professionnelles dont il aura connaissance ainsi que les symptômes ou maladies
pouvant avoir un caractère professionnel.
Le médecin du travail tient une fiche d'entreprise qu'il actualise de manière régulière. Cette fiche
comprend la liste des risques et maladies professionnels, s'ils existent, ainsi que le nombre de salariés
exposés à ces risques et maladies. Ladite fiche est adressée à l'employeur et au comité d'hygiène et de
sécurité. Elle est mise à la disposition de l'agent chargé de l'inspection du travail et du médecin inspecteur
du travail.
Le chef d'entreprise doit accorder toutes facilités au médecin du travail pour lui permettre d'une part, de
contrôler le respect des conditions de travail dans l'entreprise,
particulièrement en ce qui concerne les prescriptions spéciales relatives à la sécurité et à l'hygiène, pour
l'exécution des travaux dangereux visés à l'article 293 et d'autre part, de collaborer avec les médecins
donnant leurs soins aux salariés ainsi qu'avec toute personne pouvant être utile à sa tâche.
Dans les entreprises soumises à l'obligation de disposer d'un service médical du travail, doit faire l'objet
d'un examen médical par le médecin du travail :
1° tout salarié, avant l'embauchage ou, au plus tard, avant l'expiration de la période d'essai ;
2° tout salarié, à raison d'une fois au moins tous les douze mois, pour les salariés ayant atteint ou dépassé
18 ans et tous les six mois pour ceux ayant moins de 18 ans ;
3° tout salarié exposé à un danger quelconque, la femme enceinte, la mère d'un enfant de moins de deux
ans, les mutilés et les handicapés suivant une fréquence dont le médecin du travail reste juge ;
4° tout salarié dans les cas suivants :
- après une absence de plus de trois semaines pour cause d'accident autre que l'accident du travail ou de
maladie autre que professionnelle ;
- après une absence pour cause d'accident du travail ou de maladie professionnelle ;
- en cas d'absences répétées pour raison de santé.
Les modalités d'application des dispositions du présent article sont fixées pour l'autorité gouvernementale
chargée du travail.
S'il l'estime nécessaire, le médecin du travail peut demander des examens complémentaires lors de
l'embauchage. Ces examens sont à la charge de l'employeur.
Il en est de même pour les examens complémentaires demandés par le médecin du travail lors des visites
d'inspection lorsque ces examens sont nécessités par le dépistage de maladies professionnelles ou de
maladies contagieuses.
Le temps requis par les examens médicaux des salariés est rémunéré comme temps de travail normal
Les conditions d'équipement des locaux réservés au service médical du travail sont fixées par l'autorité
gouvernementale chargée du travail, que les visites aient lieu dans l'entreprise ou dans un centre
commun à plusieurs entreprises.
Lorsque le service médical est suffisamment important pour occuper deux médecins à temps complet, il
doit y avoir un second cabinet médical.
Chapitre IV: Le conseil de médecine du travail et de prévention des risques professionnels
Il sera créé auprès de l'autorité gouvernementale chargée du travail un conseil consultatif dénommé "
Conseil de médecine du travail et de prévention des risques professionnels ". Ce conseil est chargé de
présenter des propositions et avis afin de promouvoir l'inspection de la médecine du travail et les services
médicaux du travail. Il s'intéresse également à tout ce qui concerne l'hygiène et la sécurité
professionnelles et la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles.
Le Conseil de médecine du travail et de prévention des risques professionnels est présidé par le ministre
chargé du travail ou son représentant. Il comprend des représentants de l'administration, des
organisations professionnelles des employeurs et des organisations syndicales des salariés les plus
représentatives.
Le président du conseil peut inviter, pour participer aux travaux du conseil, toute personne compte tenu
de ses compétences dans les domaines intéressant le conseil.
Un texte réglementaire fixera la composition du conseil, la désignation de ses membres et les modalités
de son fonctionnement.
la non disponibilité d'un médecin à plein temps contrairement aux dispositions de l'article 306 ;
le non envoi du rapport prévu à l'article 307 à l'agent chargé de l'inspection du travail, au médecin
inspecteur du travail, aux délégués des salariés et, le cas échéant, aux représentants des syndicats dans
l'entreprise ;
- l'inexistence des assistants sociaux et des infirmiers prévus à l'article 315, ou le concours de ces
auxiliaires non assuré à plein temps ou en nombre inférieur à celui prévu par voie réglementaire ;
- le non respect des dispositions des articles 327, 328 et 331
PROCESSUS MAITRISER LES ACHATS
tenir conformément aux règles et normes du droit comptable des Etats membres de l'UEMOA…………….
20
10
EFFECTIFS QUOTIENT
20
10
2 novembre 2010) fixant le modèle du rapport annuel que doit élaborer le chef du service médical du travail sur l'organisation, le fo
Applicable
information
information
RESSOURCES
I- Report de l'exercice antérieur:
II- Cotisations des entreprises adhérentes:
III- Autres recettes:
e de l'exercice:
du service par salarié:
433 (16 juillet 2012) fixant les modalités d’application des dispositions de l’article 327 de la loin° 65-99 relative au Code du travail.
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
information
information
Applicable Garage : 2p
DMM: 50p
Applicable 7 GARDIENS
information
Non applicable
Applicable
Applicable
information
Titre
Applicable
Non applicable
Non applicable
Non applicable
information
Applicable
Applicable
information
information
Applicable
Non applicable
information
information
information
information
information
Applicable
Applicable
Applicable
information
Applicable
information
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
Applicable
information
information
information
Applicable
information
Non applicable
Titre
information
information
information
information
information
ES ACHATS
MOA…………….
ARTICLE 18 : Les supports utilisés dans le cas ARTICLE 18 : Les supports utilisés dans le
d'une comptabilité tenue par des moyens cas d'une comptabilité tenue par des moyens
informatiques doivent repondre aux informatiques doivent repondre aux exigences
exigences légales en matière de garantie, légales en matière de garantie, d'intégrité et
d'intégrité et de conservation définies en de conservation définies en matière de
matière de preuve…………………...
preuve…………………...
ARTICLE 19 : La comptabilité ou les livres
ARTICLE 19 : La comptabilité ou les livres
prescrits à l'article 14 du present livre ainsi
prescrits à l'article 14 du present livre ainsi que
que les pièces justificatives des opérations
les pièces justificatives des opérations éffectuées
éffectuées par le redevable, notamment les
par le redevable, notamment les factures
factures d'achats, doivent être conservées
d'achats, doivent être conservées pendant dix
pendant dix ans apres l'année au cours de
ans apres l'année au cours de laquelle les achats,
laquelle les achats, ventes, fournitures et
ventes, fournitures et autres prestations ont été
autres prestations ont été constatées dans
constatées dans les écritures comptables. Ces
les écritures comptables. Ces documents
documents doivent être présentés à toutes
doivent être présentés à toutes requêtes des
requêtes des agents de l'Administration fiscale
agents de l'Administration fiscale sous peine
sous peine des sanctions prevues à l'article 517
des sanctions prevues à l'article 517 du
du present Livre.
present Livre.
sTICLE
les formes,
23 : Lesdélais
contribuables
et lieux indiqués,
doivent souscrire
les declarations
dans lesauxquelles
formes, délais
ils sont
et lieux
tenus
indiqués,
par les les
loisdeclarations
et reglements
auxquelles
en matière
ils sont
fiscale.
tenus par les
TEMPS MINIMUM QUE DOIT CONSACRER LE OU LES MEDECINS
Conforme
Non-conforme A1_O1_ A9
Conforme
Conforme
Conforme
Conforme
Conforme
Non-conforme A1_O1_ A1
Non-conforme A1_O1_ A17
Conforme
Conforme
Conforme
Conforme
Non-conforme A1_O1_ A15
Non-conforme A1_O1_ A6
Non-conforme A1_O1_ A7
Non-conforme A1_O1_ A5
Conforme
Non-conforme A1_O1_ A3
Conforme
ARTICLE 17 : Toutes les entreprises imposables
suivant le regime du bénéfice réel doivent tenir une
comptabilité permettant de determiner exactement
le bénéfice ou le deficit réalisé au cours de
l'exercice…………….
dans les formes, délais et lieux indiqués, les declarations auxquelles ils sont tenus par les lois et reglements en matière fiscale.
tre de l'année précédente
l'inaptitude médicale
MP
controler en interne
Conforme 5 100%
Non-conforme 0 0%
TOTAL 5
Non
CODES Conforme
Conforme
POQ-M11-001 100% 0%
POQ-M12-001 100% 0%
POQ-M13-001 100% 0%
POQ-R21-001 96% 4%
POQ-R22-001 87% 13%
POQ-R23-001 73% 27%
POQ-S31-001 69% 31%
POQ-S32-001 58% 42%
POQ-S33-001 54% 46%
POQ-S34-001 53% 47%
POQ-S36-001 50% 50%
Non
Thème Conforme
Conforme
gérer l'organisation 8 0
surveiller, mesurer, Analyser et 0
ameliorer en continu 12
controler en interne 2 0
produire les poussins d'un jour
90 4
fabriquer les alvéoles à œuf 60 9
planifier les commandes et 40
vendre 106
controler en interne 51 23
gerer les finances e la 8
comptabilité 11
gerer les ressources humaines 48
et l'environnement de travail
49
maintenir les insfractrures 10 9
maitriser les achats et les 11
approvisionnements 11
gerer le sytème d'information
14 15
gerer la logistique et le 9
transport 8
432 176
gerer la logistique et le transport
Conforme 0 #DIV/0!
Non-conforme 0 #DIV/0!
TOTAL 0
39%
Taux de Conformité
Taun de Non-conformité
61%
39%
Taux de Conformité
Taun de Non-conformité
61%
au
Chart Title
POQ-M11-001
53% 100%
54% 50%
POQ-M12-001
100%
POQ-M13-001
58% POQ-R21-001
POQ-R22-001
POQ-R23-001
POQ-S31-001
69% 100%
POQ-S32-001
87% POQ-S33-001
73% 96%
POQ-S34-001
0 POQ-S36-001
Chart Title
8
Conforme Non Conforme
12
2 gerer la logistique et le transport 8
controler en interne 51
29 controler en interne 2
POQ-M11-001
POQ-M12-001
POQ-M13-001
POQ-R21-001
POQ-R22-001
POQ-R23-001
POQ-S31-001
POQ-S32-001
POQ-S33-001
POQ-S34-001
POQ-S36-001
Conforme
8 9
14 15
11 11
10 9
Conforme
8 9
14 15
11 11
10 9
49 48
11 8
51 23
106 40
60 9
90 4
2 0
12 0
8 0