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Licence Développement d’Application et Système d’Information
(DASI)
Bobet Goualo Victorien
Enseignant-Chercheur à l’Ecole Supérieure Africaine des TIC
Ingénieur de conception en Sciences et Technologies de l’Information et de la Communication (STIC) de l’INP-HB
Executive Master en Big Data & Data Science de ISAE-ISM Paris
Certifié Oracle, Centrale supéléc, Orange Digital Center (ODC)
victorien.bobet@esatic.edu.ci
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Prérequis au cours
Logique mathématique
Algorithmique
Mathématiques de base (algèbre linéaire, analyse numérique,
optimisation, probabilité statistique …)
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Plan du cours (12H CM)
I. Généralités
II. Les systèmes experts
III.Programmation logique (Prolog)
IV. IA, Big Data, Apprentissage automatique (Machine Learning),
Apprentissage profond (Deep Learning)
V. Les métiers autour de l’IA
VI. Les outils pour faire de l’IA (Prolog, Python, R, Tensorflow, PyTorch,
Weka, Keras …)
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Plan du cours (12H CM)
Travaux Dirigés : 12 H
TD 1 : Prolog
TD 2 : Apprentissage supervisé (Modèle de régression, Réseaux de neurones)
TD 3 : Apprentissage non supervisé ou Clustering
Travaux Pratiques : 12 H
TP 1 : Prolog
TP 2 : Apprentissage supervisé(Modèle de régression, Réseaux de neurones)
TP 3 : Apprentissage non supervisé ou Clustering
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I. Généralités
Historique
L’IA est né au milieu du XXième siècle
1950 : Test de turing
1960 : Langage LISP (LISt Processor) crée par John Mc Carthy
1975 : Naissance du langage Prolog (Alain Colmerauer)
1980 : Pistes de recherche sur réseaux neuronaux, systèmes experts de
2ième génération
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I. Généralités
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I. Généralités
Quelques définitions
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I. Généralités
Le but de l’IA
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I. Généralités
Le but de l’IA
Selon John Mc Carthy [3 Sept 1927- 24 Oct 2011], le but de l’IA est
l’étude de la structure de l’information et la structure de processus de
résolution de problèmes, indépendamment des applications et
indépendamment d’une réalisation.
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I. Généralités
Le but de l’IA
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I. Généralités
Principales caractéristiques de l’IA
Manipulation de symboles
Utilisation d’heuristiques
Résolution de problèmes
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I. Généralités
Secteurs de l’IA
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I. Généralités
Domaines d’application de l’IA
• Mortels
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II. Les systèmes experts
Objectifs d’un système expert
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II. Les systèmes experts
Définition système expert
Son but est d’apporter des solutions à des problèmes bien délimités
concernant le domaine en question. Un tel programme assure aussi des
fonctions complémentaires de dialogue, d’apprentissage et
d’explication de son comportement.
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II. Les systèmes experts
Caractéristiques principales d’un système expert
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II. Les systèmes experts
Domaines d’application d’un système expert
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II. Les systèmes experts
Architecture d’un système expert
Tout Système Expert est composé de trois (3) principaux éléments : une
base de connaissance, un moteur d’inférence et une interface graphique.
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II. Les systèmes experts
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II. Les systèmes experts
Architecture d’un système expert
Base de connaissance : c’est l’ensemble des données qui sont utilisés par
le moteur d’inférence. Cette base est divisée en 3 paries : connaissance
de l’Expert, les règles d’inférence(savoir faire) et les base de faits
(expérience).
un moteur d’inférence : un mécanisme qui permet d’inférer des
connaissances nouvelles à partir de la base de connaissances du
système. Il est basé sur des règles d’inférence qui régissent son
fonctionnement.
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II. Les systèmes experts
Architecture d’un système expert
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II. Les systèmes experts
Mise en place d’un système expert en entreprise
Il s’agit ici de voir comment mettre en place un Système Expert (SE) dans
un milieu professionnel. Cela se fait en cinq(5) étapes :
1. Etude de faisabilité
2. Extraction des données
3. Formalisation
4. Design et développement
5. Tests et optimisations
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II. Les systèmes experts
Mise en place d’un système expert en entreprise
1. Etude de faisabilité
La mise en place d’un SE ne peut se faire que dans le cadre d’un domaine
d’expertise dont les connaissances et le savoir-faire est formalisable. C’est-à-
dire un domaine qui n’a pas trop attrait à la sensibilité humaine.
L’investissement en temps et (donc) en argent, pour la mise en place d’un SE,
est énorme et nombreux sont les entreprises qui souhaiteraient s’en doter
mais tous les domaines d’expertise ne sont pas formalisables. Le premier
travail du cogniticien(ou l’ingénieur de la connaissance est la personne chargé
de soutirer les connaissances de l’expert et de modéliser ses connaissances
dans un formalisme exploitable par le système) est donc d’évaluer le domaine
et les risques d’échecs de la mise en place et de succès de l’outil auprès des
professionnels et futurs utilisateurs.
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II. Les systèmes experts
Mise en place d’un système expert en entreprise
2. Extraction des données
Une fois l'assurance que cette mise en place est possible, la partie la plus
importante de la mise en place va commencer. Il s'agit d'un dialogue entre le
cogniticien et l'expert afin d'extraire de ce dernier toutes ses connaissances et
son savoir-faire. Un tel objectif est évidemment impossible à atteindre, mais le
cogniticien va tenter de s'en approcher au maximum. Il devra pour cela faire
preuve d'une grande compréhension des informations qui lui seront
transmises (les experts n'étant pas forcément bon pédagogue) et d'un certain
sens de la psychologie pour faire parler un expert qui aura tout naturellement
le sentiment de se faire très prochainement remplacer par un système
informatique.
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II. Les systèmes experts
Mise en place d’un système expert en entreprise
3. Formalisation
Après et pendant l'extraction des données, le cogniticien devra
formaliser les connaissances qu'il a glané. Pour cette partie, il peut alors
commencer à se tourner vers les développeurs et autres professionnels
techniques de l'informatique afin de commencer à définir le cahier des
charges précis, la base de connaissance et les règles d'inférence. A partir
de cette étape, on a déjà un pied dans la technique.
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II. Les systèmes experts
Mise en place d’un système expert en entreprise
4. Design et développement
Une fois la base de connaissances et les règles d'inférences définies, le
cogniticien peut alors se retourner vers l'équipe technique qui va définir
l'architecture technique nécessaire. Le cogniticien aura à partir de là le
rôle de lien entre l'équipe d'experts et l'équipe de développement afin
de peaufiner le cahier des charges et d'optimiser les méta-données et
méta-règles.
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II. Les systèmes experts
Mise en place d’un système expert en entreprise
5. Tests et optimisations
Naturellement la mise en place se termine par une série de tests auprès
des experts mais aussi auprès d'utilisateurs lambdas qui sont sensés à
partir de cet outil fournir les résultats d'un expert débutant. De par la
nature du système(immergé dans le domaine professionnel) les tests
sont généralement plus longs.
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III. Programmation logique (Prolog)
PROLOG (PROgrammation LOGique) a été developpé en
1972 par A Colmerauer de l’université de Marseille (France)
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