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I. L’Intelligence Artificielle :
L'intelligence artificielle peut être définie comme la science de la simulation des processus
cognitifs. Ces processus comprennent:
l'acquisition des connaissances,
l'archivage des connaissances,
l'application des connaissances.
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2. la traduction automatique :
Est un système informatique qui a : pour entrer, un texte "t1", ou texte source écrit dans une
Langue "L1"ou langue d'origine, et n'ayant pas subi d'aménagements spéciaux préalables au
traitement automatique qu'il va subir, pour sortie un texte "t2" ou texte traduit écrit dans une
Langue "L2"ou langue cible, tel qu'il n'ait pas à subir de transformations pour être reconnu par
les utilisateurs comme une traduction du texte t1.
Dans la 3ème partie, je vais traiter un exemple à base des systèmes experts, dont je viens de
présenter le rôle de systèmes experts, comment créer une base des faits, une base des règles
comment encadrer les faits à base de moteur d’inférences, aussi je viens de définir l’objectif et
l’intérêt de l’IA pour améliorer et rendre un système intelligent.
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Dans sa conception initiale, le système traite trois grands types de pannes (mais ce nombre
peut être étendu sans difficulté) :
les pannes dites « de motrice inactive », qui a trait à l’absence ou à l’insuffisance de
traction sur une ou plusieurs motrices. Ce type a été choisi notamment pour sa
fréquence élevée d’apparition.
les pannes de frein rhéostatique, relatives au freinage électromagnétique du train. Ces
pannes sont souvent très complexes.
les pannes de porte qui concernent les problèmes d’ouverture et de fermeture, locaux
ou généraux. Ces pannes sont très pénalisantes pour l’exploitation.
Le diagnostic de pannes nécessite un grand savoir-faire. Il passe, en effet, par des mesures très
nombreuses, à relever sur toute la longueur du train (300 mètres). Certaines de ces mesures
sont, par ailleurs, beaucoup plus longues ou difficiles à réaliser que d’autres (quand il faut, par
exemple, couper les 1500 volts, aller sous le train, ouvrir un coffre, utiliser une clé spéciale,
etc.). Seul son savoir-faire permet au contremaître-visiteur de choisir une séquence de
mesures conduisant efficacement au diagnostic.
La version initiale de RUFUS comportait environ 200 règles et manipulait de l’ordre de 300
objets.
L'étude de la cognition est très importante si l'on prétend réussir des ordinateurs qui émulent
les spécialistes humaines. Souvent, les spécialistes ne peuvent pas expliquer comment ils
résolvent des problèmes (simplement, les solutions leur arrivent). Si le spécialiste ne peut pas
expliquer comment se résout un problème, il n'est pas possible de codifier la connaissance
dans un système expert basé sur la connaissance explicite. Dans ce cas, l'unique possibilité est
les programmes qui apprennent par eux-mêmes à émuler le spécialiste. Ce sont des
programmes basés sur l'induction et sur les systèmes neuronaux artificiels.
Dans un premier temps, le système expert reçoit de l'expert toute les connaissances relatives
au problème à gérer (règles, procédures, méthodes, stratégies,...).
Celles-ci sont stockées dans sa base des faits. Ensuite, l'expert décrète au système expert les
règles générales à suivre pour trouver de lui-même la solution à un problème posé
(déductions, conclusion,...).
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Raisonnement : le moteur applique une stratégie de résolution de problème définie
par les règles stockées dans la base de connaissance.
Communication de la solution : le moteur communique à l'utilisateur la meilleure
solution au problème posé par l'intermédiaire de l'interface utilisateur et attend des
nouvelles instructions.
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