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AVENTURES EN TERRITOIRES HOSTILES ......................................................

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I. UN KIDNAPPING MALICIEUX ................................................................... 3
II. LE VOYAGE D’ENTREPRISE .................................................................... 7
III. CLONE ..............................................................................................16

1 @ Les personnages de ce récit sont purement fictifs, désolé si ils concordent avec de
vraies personnalités…
AVENTURES EN TERRITOIRES
HOSTILES

‘’Il y a énormément pensés qui nous traversent l’esprit, biens de choses


auxquelles nous pensons tous le temps, des choses simples, des tordus
comme effrayant’’
-MH

Livre gratuit – Tous droits de reproduction, par quelque procédé que ce soit,
d’adaptation ou de traduction, réservés pour tous pays.

2 @ Les personnages de ce récit sont purement fictifs, désolé si ils concordent avec de
vraies personnalités…
I. UN KIDNAPPING MALICIEUX

‘’Que se passe t’il lorsque vous vous rendez compte d’une effroyable
vérité…?’’

3 @ Les personnages de ce récit sont purement fictifs, désolé si ils concordent avec de
vraies personnalités…
C'était la période des grandes guerres qui ont maquées l'histoire, je ne
me rappelle pas concrètement de comment nous nous sommes
retrouvés dans cet endroit. Tous ceux dont je me souviens c'était que
nous avions été séparés de nos parents, pour bien être en sécurité et
qu’une fois les bombardements et autres allaient cessés nous pourrions
regagner nos parents respectifs si toute fois la guerre les épargnait. Je
me rappelle des messieurs qui sont venus nous cherchés, ils n'étaient
pas vêtus comme les soldats ou les civils qui avaient été enroulés dans
l'armé pour faire la guerre. Ils étaient habillés différemment, on aurait
dit des bourgeois qui régnaient en maitre sur le monde. Mes parents eux
se réjouissaient de la nouvelle, mais moi pas.

Au plus profond de mon être, je sentais le doute qui me murmurait à


l'oreille, n'y va pas, mais on ne nous laissait guère le choix, soit on
n'acceptait de notre plein gré, soit nous devenons des orphelins et ils
avaient tous les droits sur nous. Ils expliquaient que le te mps nous
manquait et que toutes résistances seraient sanctionnées. Nous ne
comprimions ces explications que lorsqu’une mère refusât de laisser
partir son enfant quand un bruit assourdissant retentit. En un instant
son corps était étalé dans la rue, il n'y avait plus de vie en elle.

Suite à cet événement tous étions soumis aux ordres, je pleurais déjà
ma mère qui allait se faire tuer dans quelques instants et mon père qui
n'allait certainement pas survivre qu’aux champs de batailles. Malgré
toutes ses inquiétudes, je gardais une once d'espoir de les revoir un jour
vivant saint et sauf. Nous montâmes dans les véhicules en silence,
certains avaient les larmes qui coulaient mais ne poussaient aucun cri.
À peine avions nous fait cent mètres que les coups de feu retentirent en
masse, suivie des hurlements de détresses qui venaient s'entremêler au
vent qui déchirait nos espoirs de revoir un jour nos parents. La route ne

4 @ Les personnages de ce récit sont purement fictifs, désolé si ils concordent avec de
vraies personnalités…
fu pas très longs, nous atteignons la cote dans quelques minutes, un
navire nous attendait pour nous amener sur une ile loin des coups de
feu et loin des bombardements.

Le service à bord fut très satisfaisant, on n'aurait dit les derniers


instants d'un prisonnier dans le couloir de la mort. Mais le capitaine du
navire nous rassurait et nous offrait même des échappatoires pour le
futur. En moins d'une petite semaine, l'ambiance fut tout autre, la joie
et le bonheur pouvait se lire sur le visage de chacun ; plus effrayé nous
n'étions, mais rassuré nous fûmes toutes la traversée vers cet archipel
dont on ne disait absolument rien. Je finis par m'y habituer malgré moi,
jusqu'aux jours ou certains des enfants commençaient par devenir
souffrants ; au départ ce n'étaient qu'un ou deux, puis le nombre
augmentait de trois à six, puis quinze jusqu'à se stabiliser à trente.

Le diagnostic fut bref, ils s'souffraient du mal de mer, ce n'était rien de


grave. C’à quoi nous avions tous crus, ils étaient gentils jusque -là, on
n'avait aucune raison de nous de les craindre du moins pas encore.

La traversée fut géniale (moins pour ceux qui ont choppés le soit disant
mal de mer), on se sentait comme revivre, après tout ce que nous avions
pu traverser, les sacrifices de nos parents et tout, je croyais finalement
que ses hommes étaient nos sauveurs, jusqu'à ce que l'un des messieurs
commence par avoir des comportements qui venaient bousculés ma
curiosité.

Un soir après le diner, enfin le repas du soir, je me suis glissé dans un


des conduits d’aérations du navire et par hasard je finis par tombé sur
ses quartiers (ses appartements), là je vis tout un tas de choses qui
pouvaient choquer un gamin comme moi, je pensais que le mal était déjà
passé, alors que c'était le pire qui nous attendait. Il y avait des
ossements humains un peu partout dans ses quartiers, tout un tas de

5 @ Les personnages de ce récit sont purement fictifs, désolé si ils concordent avec de
vraies personnalités…
cadavre empilé dans son armoire, alors qu'il était en train, avec un outil
qui ne m'était pas encore familier, de fendre le crane de l'un de nos
camarades qui était censé ce reposé en salle de soin à cause de son mal
de mer. À ce moment précis je ne savais quoi faire, j'étais pétrifié sur
place, je ne pouvais plus respirer, et à un certain moment se fit le trou
noir total. Je me suis évanoui en le regardant faire ses choses horribles
à ce qui restait de notre camarade. À la reprise de mes idées, je me suis
dépêché de regagner nos quartiers, le temps de rejoindre mon lit que
l'officier en question venait pour l'inspection du soir, ce fut très serré
pour moi.

Peut-être était-ce à cause de l'apaisement psychologique que je n'avais


pas remarqué ses petits détails qui faisaient la différence, par exe mple,
le capitaine du navire qui ne venait plus nous rassurer ou nous conter
des histoires de marins, ou les corvées faisant de nous de jeunes
matelots qui n'avaient plus lieu; en quelque jours à peine le navire
semblait comme une vielle épave qui floutait sur la mer, on n'attendait
que les échos des gamins qui étaient à bord, plus de moindre signe de
l'équipage à l'embarcation, et ce fut là que tout me parut très claire, les
cadavre empilés dans l'armoire je savais d'où venaient-ils, c'était
l'équipage…

Quant au sort qui nous est réservé, je vous laisse sur la faim de me s
mots…

To Be Continue…

6 @ Les personnages de ce récit sont purement fictifs, désolé si ils concordent avec de
vraies personnalités…
II. LE VOYAGE D’ENTREPRISE

‘’Etes-vous toujours serein lorsque vous visitez des endroits auxquels


l’on associe des histoires terrifiantes…?’’

7 @ Les personnages de ce récit sont purement fictifs, désolé si ils concordent avec de
vraies personnalités…
Ma société ou plutôt, la société dans laquelle nous avons grandi, nous
inculques bien de choses durant des années.
Moi, personnellement je suis l’un de ses personnes qui écoute les
conseils, mais ne pas les appliquer à la lettre. Ma jeunesse n’a pas été
très intéressante, je l’avoue volontiers et pendant toute une vie j’ai pensé
encore et encore sur cette dernière. Je me dis dès chaque réveil tous les
jours, ‘’j’y remédierai’’. Et c’est ce que je ne fis quasiment pas.
Je suis Richard AMEGAN, enfin j’ai été affublé de ce nom à ma
naissance par mes géniteurs. J’ai vingt-six ans et ce que je m’apprête à
vous raconter ne dois en aucun cas tomber entre les mains de ***.
Aujourd’hui nous sommes le vingt un Avril deux milles dix-huit, je suis
un jeune gestionnaire comptable dans une société de transport de
marchandises par voies terrestres, maritimes et aériennes, une société
de logistique internationale en quelque sort.
Le voyage sur la région des savanes était préparé depuis déjà deux
semaines; nous partions pour l’inauguration d’une nouvelle firme à
OGBANDJEH, une ville située en la frontière du Benin et du Togo. Une
ville stratégique qui allait nous permettre d’élargir notre entreprise à
l’échelle nationale et continentale. Cette matinée procurait une
sensation de nouveautés et d’exaltations, je n’avais rien ressenti de telle
depuis des lustres et ce qui venait mettre un ascendant sur cette
sensation, c’était l’annonce des congés annuels et l’octroi des primes.
Les ronchonnements et grimaces habituelles à chaque voyage
d’entreprise ne parurent sur aucun visage et dans aucun comportement
; tous étaient prêts à embarquer à l’heure convenue pour le départ,
« c’était une première ». Ce fut mon premier voyage dans le nord du pays.
Ce qui me vint en mémoire à cet instant, c’étaient les paroles de notre
8 @ Les personnages de ce récit sont purement fictifs, désolé si ils concordent avec de
vraies personnalités…
professeur d’Histoire et Géographie quand nous étions encore au
collège:
- ‘’vous avez la chance _disait-il avec sa voix grave_ de contempler
tous les jours, les lacs et la mer que vous cartographiez dans vos
cahiers tous les jours, ceux qui sont au nord rêvent de venir un jour
contempler la mer, et ceux qui viennent du sud, meurent d’envies de
compléter un jour les ruines architecturales des autochtones et les
peintures rupestres de leurs ancêtres.’’
Ce paragraphe qu’il nous sortait continuellement, ne m’avait jamais
complètement quitté l’esprit, il faut dire qu’il avait raison sur tous les
plans ; le Sud concentré en lui presque 80% des activités nationales,
alors il n’y avait aucuns, enfin presque pas d’enjeux à quitter le Sud
pour le Nord _Parlant « prolétairement »_ mais la situation économique
nationale est en changement depuis quelques années.
Ce qui me vint outre à l’esprit c’était une vidéo qui était devenue virale
dans le temps collégien ; _la vidéo montrait une mystérieuse créature mi
humaine et animale, la créature poussait un sorte d’hurlement, c’était
choquant et très effrayant. Les on-dit racontaient, que la créature avait
été capturée par les manœuvres sur le chantier du national numéro une
dans la région des savanes dans les environs de la faille d’Allédjo. Toutes
ces rumeurs, me donnaient la chaire de poule à chaque soit_. Un soir en
rentrant du collège je me souviens que des adultes assis dans une sorte
de regroupement, faisaient passés la vidéo sur un écran géant et
communiaient ce qu’ils savaient à propos du sujet, pris d’intrigues je me
suis un peu approché pour les écouter. Je n’arrivais plus à voir la vidéo,
elle me faisait faire des cauchemars la nuit et même l’hurlement de la
créature me terrorise jusqu’à présent.
- Selon les rumeurs, ce sont les Chinois en chantier sur la rénovation
de la route passant par ‘’la faille d’Allédjo’’, qui ont capturés la
créature. Il paraît qu’il n’était pas seul, mais qu’il y en avait tout un
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vraies personnalités…
groupe. A leur vu les ouvriers ont pris peur et ont détalé la queue
entre les jambes _affirma un adulte, hypnotisant tout le groupe qui
l’écoutait très stupéfait_, selon le rapport qu’ont fait les ouvriers,
ceux qui étaient courageux pour faire face au groupe de la créature,
qui était comme une sorte de famille _certains allaient jusqu’à dire
qu’il y en avait toute une tribu_ qui traversait la route en pleine
construction. Les créatures ont fuit dans la forêt en vitesse, mais
l’un d’entre eux s’est fait piégé dans du ciment en suivant son
groupe dans la fuite. Ce n’est qu’une fois le jour levé qu’ils ont pu la
capturer et la filmer.
Il continuait en disant d’un ton intrigant :
- A sa capture elle (la créature) était muette mais une fois enchaînée
à la vue de tous elle à commencer par émettre ses hurlements. On
ne sait pas où ils (les ouvriers) l’ont enfermé, certains disent que la
créature fut ramenée à La Capital.
J’étais choqué par cette dernière , sur le trajet du retour je ressassais
toute l’histoire en boucle, à un moment je me suis dis, que la créature
par ses hurlements, n’essayait-elle pas de contacter ses amis pour venir
à sa rescousse…? Mais en y réfléchissant plus je me suis dit que _peut
être qu’elle a été attaquée par les ouvriers apeurés et qu’elle a été blessée
sur le coup d’où ses hurlements_. Sans s’avoir pourquoi, je n’étais plus
effrayé par la vidéo, mais je ressentais de la pitié en écoutant ses
hurlements. C’était à déchirer mon cœur et mon âme malgré la frayeur
éprouvée au début.
Ce fut mes pensées tout au long du trajet ; bien évidemment, cette
histoire fut vite oubliée après des soient disant recherches des créateurs
dans les alentours _Il parait que personne ne s’est aventurée dans les
forêts pour la recherche, ils avaient trop peur de ce qu’ils pouvaient
trouver là_

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Je suis quelqu’un de très soucieux et peureux, je me faisais des idées
horribles sur ces souvenirs qui me revenaient, mais une fois sur la route
menant à la faille d’Allédjo, toutes mes inquiétudes disparaissaient et
faisaient place à l’étonnement de ce ‘’magnifique paysage’’ à perte de
vue. Je pensais m’avoir définitivement débarrassé de mes angoisses
quand le bus tombât en panne pilepoil à l’entrée de la faille. Ce fut le
chaos dans ma tête, _et si pour se venger après toutes ses années les
créateurs faisaient surface_. L’anxiété était à son paroxysme,
heureusement, Marc un ami de longue date dans son ego refusant de
prendre le bus, nous suivait avec sa belle KIA vint me demander si tout
allait comme je le voudrais. Je lui répondis :
- c’est mon premier voyage dans le Nord, je crois que je vais y
survivre.
- Ah… si ce n’est que ça alors tout va pour le mieux.
- Ah, au fait tu ne trouves pas qu’il fait plus chaud ici..?!
- Bien sûr que oui, nous sommes dans le ‘’Nord’’, Richard. D’ailleurs
tu devrais penser à te rafraîchir… disait-il en se dirigeant vers
l’arrière de sa voiture…
Il revint avec une bouteille bien fraîche de beaufort qu’il me tendit. Après
tout pourquoi pas, nous sommes en congé dès ce soir, je me suis dis en
prenant la bouteille. Nous discutâmes, le temps qu’un réparateur vient
nous chercher avec un autre bus, Luc et Jean nous rejoignirent. De
discussions en plaisanteries, nous arrivâmes tous quatre à une idée de
sortie après l’inauguration. Ce fut un plan envoûtant ; je me suis laissé
emporter par leurs folies. Nous sortions nos téléphones pour la
rechercher un espace qui pourrait nous intéresser dans la région mais
c’était peine perdue. Il n’y avait pas de réseau.
Le temps de peaufiner nos plans, le réparateur arriva, puis la route nous
reprîmes jusqu’à Ogbendjeh. Nous arrivâmes à l’entreprise, tout était
déjà prêt, le temps que l’inauguration finisse, il sonnait déjà tard. Nous
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fûmes donc obligés de résider dans la cité de la nouvelle firme . Je
rejoignis mes appartements quand, quelqu’un frappa à ma porte. Qui
pouvait bien être à une heure pareille..?! J’ouvris la porte, c’était Marc,
Luc et Jean avec de superbes jeunes filles tenant des glacières entre les
mains.
- Les gars que se passent-elles..?! _Leurs demandais-je étonné…_
- Et bah nous n’avions pas fini de planifier notre séjour, nous somme s
là pour le finaliser et nous sommes venus accompagnés _disait Marc
avec un large sourire dessiné sur le faciale_
La soirée fut très mouvementée _dans tous les sens du terme_ le temps
que nous nous réveillons, le bus pour le retour était déjà parti. Je partis
sonner à la porte de Luc _à moitié réveillé_, qui m’expliquât que tout
avait été réglé et que je n’avais pas à m’en faire. Je retournais à mes
appartements puis continuas dans le même mouvement que la nuit.
Un peu plus tard dans la journée , nous nous retrouvâmes à piscine,
pour une petite détente _plus tôt une récupération_ quand Jean nous
expliquait à tous que sa conquête d’hier nuit était d’avis de nous servir
de guide touristique sur un endroit superbe que personne passant par
Ogbendjeh ne raterait.
Le lendemain matin, les filles nous retrouvaient aux portes de la cité
avec des vélos loués, elles disaient que c’étaient les moyens les plus
simple et facile pour rejoindre le site en question. Nous montions à vélo
direction FESTIV AL PALACESS. Nous fîmes au moins un bon kilomètre
à vélo en passant par ses sentiers à peine tracés, on n’aurait dis que la
voie ne servait quasiment plus. Méfiant comme je suis, je demandais à
Julie, si on n’était sur la bonne route, à peine avais-je terminé de poser
ma question que nous arrivâmes sur une route bitumée couverte de
feuilles mortes de parts et d’autres. Les barres de fer qui bordaient la
route elles étaient toutes neuves.

12 @ Les personnages de ce récit sont purement fictifs, désolé si ils concordent avec
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- La route est en construction, mais depuis quelques mois, elle a été
arrêtée _me raconta Julie_ faute de moyens mais je vous assure que
le lieu qui nous attend derrière ses portes, est vraiment magnifique.
Nous fûmes les deuxième, moi et Julie, après Marc et Béa, à traverser
l’énorme portail en bois au beaux milieu d’un terrain non clôturé. On
pouvait entendre Béa raconter à Marc :
- Il est strictement interdit de passer outre part que l’énorme portail
en bois pour rentrer dans FESTIV AL PALACESS. Non seulement
c’est interdit mais une rumeur circule que tout ceux qui ont été pris
de caprices pour enfreindre cet interdit, n’ont jamais été retrouvés.
Nonobstant le récit de Béa, FESTIV AL PALACESS est comme « un jardin
de jouvence ». Tout était parfait dans ce s lieux. Quelques minutes après
notre entrée, Marc courut vers moi et disait-il, « JOUEZ PETIT, GAGNEZ
GROS », c’était le slogan de la société ‘’LONATO’’, une société spécialisé
dans le loto au Togo. Ces lieux avaient tout un endroit réservé aux jeux
de ce genre, et ce qui excitait particulièrement Marc, c’était les tickets
de loto, dans notre jeunesse on en a ve ndu des tas, on en a joué sans
gagner un lot important. La nostalgie nous conduisait directement là,
on passait une dizaine de minutes à y jouer mais en ne gagnant que de
misérables lots, très vite la nostalgie fût évincée du revers de la main.
Luc et Jean n’étaient toujours pas arrivés, mais que font-ils depuis..?!
Je me questionnais mort d’inquiétudes. Je franchi le portail en bois
quand je vis Luc poussant son vélo, Jess qui le suivait en faisait de
même.
- je suis épuisé, affirmait-il en me dépassant pour franchir le portail.
- Lisi et Jean ne sont pas loin derrière affirma Jess, recouverte de
transpiration dans son maillot.
J’attendais patiemment l’arrivée de Jean et Lisi quand Julie me
retrouva au portail.

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- Pourquoi passes-tu ton temps à attendre les autres…? ce sont de
grandes personnes, ils ne vont pas se perdre. Et connaissant Lisi,
ils doivent être occupés ailleurs actuellement alors suis moi à
l’intérieur.
- D’accord.
Julie me posais des questions sur comment était la ville aux Sud et bien
autres questions, je répondis comme je peux…
- Peut-être que prochainement vous serrez conviés au siège social
dans le Sud alors tu en jugeras par toi même.
Le temps de traverser le portail que je vis un groupe d’individus dotés
d’une morphologie assez choquante, s’acharner sur les visiteurs de
FESTIV AL PALACESS. Je ne puis retenir Julie, qui se fit capturer puis
attaché. Je me recouvris la bouche avec les mains, observant le
massacre depuis le portail. Les employés du lieu n’étaient en aucun cas
touchés par les événements, on aurait presque dit qu’ils étaient de
mèche avec ses créatures. Il y avait du sang partout sur le site, des
corps gisants le sol des intestins éparpillés dans tous les coins, des
cervelles dans toutes les attractions. Quand je pensais que c’était la fin,
ils se sont regroupés et ont commencé es par dévorer la chaire de leurs
victimes et à boire leur sang encore tiède sur le sol.
Soudain, J’entendis un bruit au loin derrière moi, des personnes qui
s’approchaient à pas rythmés en ma direction. J’étais pétrifié sur place,
sans savoir pourquoi, je ne pouvais prendre mes jambes à mon cou, ni
crier à l’aide, mes expirations étaient à chaque fois de plus en plus
brûlantes, une pluie de sueur froide s’abattait sur mon corps tout entier,
je en quelques secondes je fus mouillé de la tête aux pieds, la peur était
tellement intense que même me pisser dessus était trop d’efforts. Ce
n’est qu’à quelques pas de moi que j’entendais les rires et les
embrassades, c’était Jean et Lisi qui approchaient, en faisant un
boucan à réveiller blanche neige après avoir croqué dans la pomme.
14 @ Les personnages de ce récit sont purement fictifs, désolé si ils concordent avec
de vraies personnalités…
Attirer par leurs bruits, créatures poussèrent un hurlement qui m’était
familier, en un instant je fus paralysé, j’étais un comme déconnecté,
puis je retrouvai le courage de courir vers Jean et Lisi, en criant :
- NE RESTEZ PAS LÀ… FUYEZ… FUYEZ… COUREZ…
A peine avais-je fais les dix mètres pour de les rejoindre que nous fûmes
pris en sandwich. Pris de pulsion survivalist, j’enjambai les barres
bordant la route, pour me retrouver dans la forêt qui entourait
FESTIV AL PALACESS. Sans trop savoir pourquoi.., elles (les créatures)
ne se sont pas lancées à ma poursuite, je ne puis avoir le courage de
regarder derrière moi, je continuais dans ma course effrénée sur une
vingtaine de mètres à travers la forêt, avant de me rendre compte de la
douleur insoutenable dans les pieds ; d’un coup je ne pouvais plus
bouger, je m’étais fracturé les tibias e n enjambant les barres, la douleur
fut tellement insurmontable que ma peur disparut littéralement…, en
cinq secondes à peine je me suis retrouvé dans les vapes.
Je ne me réveillai que des jours plus tard dans Un Hôpital à Dapaong…

Je suis RICHARD AMEGAN, et ce que je m’apprête à vous raconter ne


dois en aucun cas tomber dans les oreilles des natifs de Ognendjeh
The End...

15 @ Les personnages de ce récit sont purement fictifs, désolé si ils concordent avec
de vraies personnalités…
III. CLONE

‘’Un travail bien fait, procure une certaine satisfaction et des


récompenses en guise d’encouragements ; comment auriez-vous réagis
si une récompense vous ai octroyée sans que vous n’aillez effectué rien
comme travail…?’’

16 @ Les personnages de ce récit sont purement fictifs, désolé si ils concordent avec
de vraies personnalités…
Ce fut en fin de semaine, un vendredi, l’une de ses journées riche en
fatigue, en stress et bien d’autres. Mais cela restait tout de même une
journée agréable à la perception commune.
Déjà toute la journée je ne me sentis pas comme d’habitude, une
sensation de division interne, en résumé un manque en soit que je ne
pouvais expliquer. Cette journée fut très longtemps, peut-être à cause
de mon état d’âme..?! Qui sait…!!? Tout ce qui me remonta le moral
c’était les mangas, les séries animées et les jeux…. _mais je n’avais que
faire de la société moi_. D’ailleurs je me sens plutôt très bien quand je
suis seule. Chaque arc me faisait prendre une nouvelle leçon, une
expérience que seuls les fanatiques de mangas comprendront. Je ne
pouvais passer une seule journée sans en lire ou en regarder ne serait-
ce qu’un épisode, oui j’étais additif à cela.
Aussi longue qu’elle paraissait cette journée, elle commença doucement
par prendre fin. On pouvait lire un très profond soulagement sur mon
visage et ce n’était en aucun cas désagréable… je dirais que ça
changeait mon expression faciale monotone _Une expression faciale d’un
responsable des ressources humaines_. Toute la société était
bizarrement d’une humeur gaie, était à cause de moi ou est-ce l’effet de
l’arrivée du week-end..?!

17 @ Les personnages de ce récit sont purement fictifs, désolé si ils concordent avec
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La journée de travail prit finalement fin ; c’était les week-ends,
personnellement ça ne me disait rien de particulier vu que le lendemain,
je serai déjà dans mon bureau entrain de rédiger des rapports
hebdomadaire au PDG. Je pris mon téléphone me dirigeait vers la porte
où m’attendais impatiemment ma secrétaire ‘’CHRISTINE’’, quand je
reçu un appel de cet, cela avait duré au moins une trentaine de minutes,
où il m’expliquait que l’une de nos filiales dans la région voisine avait
réalisé un Chiffres d’Affaires très prometteur depuis déjà six années
d’affilées, par conséquent une augmentation de leurs effectifs
s’imposait!!! L’obligation m’incombait donc d’y mener toutes les
opérations de recrutement à bonne et due formes…! Sur ce il
raccrocha…!!! Je restai sur place quelques secondes pour rétablir de
l’orde dans mes idées puis, je pris la direction de la porte où je trouvai
ma secrétaire entrain de chantonner le générique de Naruto Shippuden.
Dès qu’elle me vit approcher, elle se leva pour fermer la porte à clé et
nous prîmes la direction de la sortie… son bus était déjà parti le temps
de mon entretien téléphonique.
Elle chercha du regard s’il y avait quelqu’un de la société qui pouvait lui
rendre le service de la déposer chez elle mais elle se redit compte qu’à
part elle, moi et le gardien « BOB », qu’il n’y avait plus âme qui vive .
Je sortis du parking quand je l’aperçu, se tenant debout à l’entrée,
_voulait elle me faire une demande?! Je ne pense pas_, mais étant surpris
par son chantonnement, je décidai de lui demander ce qui n’allait pas,
après explication je lui proposai de la déposer chez elle, ce qu’elle ne
refusa point. Elle prit place sur ma nouvelle RTR toute noire _Tous les
responsables n’ont pas une voiture, ne soyez pas étonné ; bien évidement
je blague_, elle était surprise, car me voyant toujours dans ma
V OLKSWAGEN, elle s’attendait pas à me voir sur une moto. Je pourrais
dire que ma monotonie habituelle en question de chemin de retour
changea pour une fois depuis bien des années.
18 @ Les personnages de ce récit sont purement fictifs, désolé si ils concordent avec
de vraies personnalités…
Il était déjà bien assez tard, sur la route je la sentis greloter derrière, je
serrai sur le côté puis lui prêta ma veste, elle ne dit mot et s’en saisie
aussitôt et nous reprenions le chemin. J’étais tellement pensif que je
dépassai son domicile sans m’en rendre compte _il faut dire qu’elle ne
m’avait arrêtée non plus_. Nous fîmes le tour pour revenir, il y avait tout
une foule qui l’attendait à l’entrée et qui me dévisageait, je les ignorais
puis repris la route vers ma résidence….!!! Il y avait pleins de vie dans
leur quartier, bien loin de l’animation de cimetière dans le mien. Sur le
chemin du retour toutes mes pensées étaient centrées sur comment
pourais-je bien accomplir ma nouvelle mission. Je cogitai vaguement et
longtemps sans avoir pu établir un plan net et précis. Peu à peu je
m’éloignasse du domicile de Christine, l’autoroute était dégagée on
pouvait compter sur le bout des doigts, le nombre de véhicules qui y
circulait. Je pouvais donc accélérer, aucun danger à l’horizon, de 90
km/h je passai à 190 km/h en quelques secondes. L’adrénaline circula
de manière si fluide dans mon corps que je me replongeai de nouveau
dans mes mangas, si seulement je pouvais me dédoubler, ah la vie serait
milles fois plus interessante. Apercevant le feu rouge au loin je ralentis,
plus qu’une question de secondes avant que je ne rentre chez moi.
L’arrivée fut monotone, je saluai cordialement les voisines en pénétrant
le seuil de ma demeure, je remarquai l’absence de ma V olkswagen… et
je me rappelai que le mécanicien devait passer la chercher pour une
révision…
La gouvernante, m’accue illit avec toute la courtoisie du monde et me fit
savoir que le dîner était déjà servit. Rien de mieux que de rentrer chez
soi. Je dînai donc en regardant Boruro Naruto Next Generation, cet arc
était vraiment riche sensation forte… je ne su même plus à que l moment
je me suis écroulé de fatigue devant mon écran une fois fini de diner.
Un appel de ma secrétaire me fit sortir me mon hibernation, il était déjà
dix heures et quart, c’était la première remarque que je fis en ouvrant
19 @ Les personnages de ce récit sont purement fictifs, désolé si ils concordent avec
de vraies personnalités…
les yeux. Ma gouvernante se tenait debout juste à côté et m’apportait un
café. Je décrochai, Christine était toute inquiète, elle imaginait le pire
suite au détour de la veille. Je la rassurai en l’informant que tout allait
parfaitement bien, que j’ai dû faire la grâce matinée, elle é tait soulagée
de mon explication, sur quelques formalités habituelles elle mit fin à
notre entretien téléphonique. Je pris mon café, en questionnant ma
gouvernante sur les raisons qui l’ont poussé à ne pas me réveiller. Elle
me faisait comprendre que j’étais tendu en rentrant la veille et
s’apercevant le décor dans lequel je me suis endormi, le mieux était de
me laisser me reposer et elle ajouta ‘’En plus nous sommes samedi
aujourd’hui’’. Elle avait parfaitement raison ; sur ce je la quittai pour
une bonne douche, dans quelques minutes me voilà au bureau…
Christine n’était pas à son poste habituelle sans rentré dans mon
bureau, je sortis mon téléphone puis l’appelai… la sonnerie était
surprenante, le générique de ‘’one piece arc ONIGACHIMA’’… je
commençai par sourire et la voici qui sortit de mon bureau. Elle me
salua puis me suivit dans le bureau sans poser de questions…, tous les
documents pour la rédaction de mon rapport étaient déjà
soigneusement classés comme à son habitude. Même du café
m’attendait sur le bureau… je la remerciai puis lui demandai de
disposer si elle n’avait plus rien à faire, en bref sa journée finissait dès
cet instant. Elle me répondît le sourire aux lèvres : «compris monsieur
CLAY » puis disposa…
Je mis moins de temps pour la rédaction que d’habitude, ainsi je fini
plus tôt que prévu, je n’avais rien à faire du reste de ma journée. Sur un
coup de tête je décidai de rendre visite à la filiale de la région vois ine
quand je perçu Christine qui était toujours à son poste. Décidément
elle ne jouai point avec son travail, je me permis donc de lui demander
si elle avait quelque chose de prévu pour le reste de la journée…

20 @ Les personnages de ce récit sont purement fictifs, désolé si ils concordent avec
de vraies personnalités…
Elle me répondît non. Je lui proposai de m’accompagner à la filiale, ce
qu’elle accepta immédiatement, elle prit son téléphone et quelques
documents puis nous nous mîmes en route. La visite fut
impressionnante, la filiale débordait de vie même un samedi, il faut dire
que le directeur fit un très bon travail. A part le gardien « JUSTIN »,
personnes ne nous reconnaissait toute de suite, nous fîmes donc
conduit au bureau du Directeur. Les discussions s’avèreraient
prometteuses, il ne pouvait pas garder son sang froid en ma p résence,
car même satisfait de son travail, mon expression faciale était tous
autres _il faut dire j’arborais toujours un facial sérieux et peut souriant_
Nous conclûmes cet entretien en quelques heures puis venait le temps
de reprendre la route. A la sortie du bureau, un changement de
comportement pouvait se faire lire sur le visage de tous, ils se levèrent
tous pour dire une même voix ‘’SOYEZ LES BIENVENUS DANS LA
FILIALE***, NOUS SOMMES HONORÉS DE VOTRE PRÉSENCE’’.
Christine était surprise par leurs comportements. Moi aucunement, vu
que je les connaissais et que c’était moi qui les avaient embauchés. Un
bref discours de félicitations je portai à leur attention, toutes fois je leurs
fis comprendre que j’attendais bien plus d’eux. Sur ceux nous quittâmes
la filiale. Un bourdonnement se fit entendre derrière nous, on pouvait
déchiffrer un _on ne s’attendait pas à sa venue d’aussitôt_. Nous
rentrâmes au bureau aussitôt que nous le pouvions…
Arrivé je fis envoyer par mail le rapport au PDG par le biais de Christine.
Avant qu’elle ne prenne congé de moi, elle m’apportera un petit sac, en
me remerciant pour le service rendu la veille. Je lui posais la question
de savoir ce que c’était. Elle sourit, puis répondît, _c’est votre veste_,
vous l’aviez oublié hier en me déposant. Elle sentait le parfum _bien
évidement on parle de ma veste_, pour la première fois je lui adressai un
sourire _Ce que je ne faisais quasiment jamais_ pour m’excuser de mon
comportement de la veille, sur ceux elle prît congé de moi… je restai un
21 @ Les personnages de ce récit sont purement fictifs, désolé si ils concordent avec
de vraies personnalités…
peu plus tard dans mon bureau à rédiger les documents pour le
recrutement à venir.
La soirée fut monotone, à l’exception de la voiture qui n’était toujours
pas dans le garage, j’appelai le mécanicien qui me fit comprendre qu’il
était en route pour ma résidence.
Le jour suivant était encore plus monotone que les autres, je ne mis
pieds dehors de toute la journée…
Le lundi matin, je fisse un bref entretien avec le PDG qui me fait
comprendre que ma visite du samedi était finement faite…, je lui établis
donc toutes les démarches pour le recrutement. Nous nous mîmes
d’accord sur la dite procédé puis nous nous séparâmes.
Deux mois passèrent sans que moi ni ma secrétaire, nous ne recevions
de nouvelles de la filiale. Ça en devenait presque inquiétant, je pris mon
téléphone déterminai à demander des comptes à rendre au Directeur de
la filiale quand ma secrétaire ouvrit la porte , un tas de documents à
bout de bras… elle me fît comprendre qu’ils arrivaient de la filiale.
Le courrier en tête me fît comprendre que mes nouveaux recrûs étaient
très performants et que le chiffre d’affaires ne cesse d’augmenter.
Comment est-ce possible je n’avais même pas reçu de demande suite à
mes offres d’emplois.
Que s’est-il passé…?!
The End…

22 @ Les personnages de ce récit sont purement fictifs, désolé si ils concordent avec
de vraies personnalités…

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