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Lycée SaLnave Zamor de Lascahobas

Nom: PIERRE-LOUIS

Prénom: Kimberlie

Classe : NS2

Section : C

Matière : Géologie

Prof : Mr ROBENSON DORELUS

Titre : L’origine du globe terrestre

Dates : 23/ 10/ 2023

L’origine de la terre selon la théorie Big bang


Rare est celui qui ne s’est pas interrogé au moins une fois dans sa vie sur l’origine du monde.
Pourquoi la Terre, pourquoi les galaxies, pourquoi l’Univers ?
Une théorie globalement acceptée par l’ensemble de la communauté scientifique, qui donne un
sens à la configuration du cosmos telle que nous la percevons depuis le Système solaire. Le
modèle cosmologique du Big Bang stipule que l’Univers a été plus dense et plus chaud par le
passé et est en expansion. Cette théorie a pour la première fois fait surface dans le bureau du
physicien et mathématicien russe Alexandre Friedmann, en 1922. En effet, il découvre que les
équations de la relativité générale d’Einstein permettent la description d’un univers… en
évolution ! Friedmann introduit pour la première fois l’idée d’expansion, tandis qu’Einstein
soutient fermement la thèse d’un univers statique. Le modèle cosmologique du Big Bang est
ensuite énoncé indépendamment en 1927 par l’astrophysicien et prêtre belge Georges Lemaître,
dans un article en français des Annales de la Société scientifique de Bruxelles. Le chercheur
établit même une première estimation de la constante de Hubble.
En 1924, l’astronome américain Edwin Hubble démontre justement l’existence d’autres galaxies
en dehors de notre Voie lactée grâce à des observations réalisées avec le télescope Hooker, le
plus puissant de l’époque. Il identifie tout d’abord la petite galaxie NGC6822 située dans la
constellation du Sagittaire, puis les galaxies du Triangle M33 et d’Andromède M31. Hubble
prouve ensuite en 1929 que les galaxies s’éloignent les unes des autres à une vitesse
proportionnelle à leur distance. Autrement dit, plus une galaxie est loin de nous, plus elle
s’éloigne rapidement. Ce principe intitulé « loi de Hubble » corrobore logiquement la théorie
d’un univers en expansion. Par ailleurs, la théorie du Big Bang prédit l’émission d’un
rayonnement thermique au début de l’histoire de l’Univers. Le modèle est donc validé par la
communauté scientifique à la découverte du fond diffus cosmologique en 1964.
L’émission du fond diffus cosmologique a marqué les débuts de l’Univers tel que nous le
connaissons puisqu’à la suite de la libération des photons, les particules de matière ont
commencé à s’agréger pour former les premières étoiles, les planètes puis les galaxies, qui elles-
mêmes se sont ensuite regroupées en amas et en superamas.
La théorie du Big Bang explique que seraient apparues les premières briques élémentaires de la
matière que nous connaissons. Cette phase dite de nucléosynthèse décrit la formation des protons
et des neutrons et leur regroupement en noyaux atomiques, puis la création d’atomes avec les
électrons, également nés pendant cette phase.
Si l’on remonte encore un peu plus dans le temps, aux alentours de la première seconde de
l’Univers, la température est si élevée que l’énergie des éléments présents dépasse celle obtenue
dans nos accélérateurs de particules les plus puissants. Sans expérimentation possible à l’appui,
la période est ainsi très difficile à étudier, décrire et comprendre, et relève aujourd’hui de la pure
théorie. Le Big Bang n’est pas un instant initial de l’Univers mais se réfère à la phase où celui-ci
était dense et chaud. Il ne s’est pas produit « quelque part », et n’est d’ailleurs pas une «
explosion » comme il est facile de se le représenter. Le Big Bang se serait en fait produit de
façon extrêmement homogène et globale dans toutes les régions de l’Univers qu’il nous est
possible d’observer. Finalement, puisque nous ne pouvons pas « voir » dans le passé plus loin
que 380 000 ans après le Big Bang en raison de la densité et donc de l’opacité de l’Univers avant
cette date, la question de « l’origine du monde » reste entière. À tel point que pour Sir Roger
Penrose, lauréat du prix Nobel de physique en 2020, il n’y aurait pas un seul, mais plusieurs Big
Bang ! Ainsi, l’Univers serait le résultat d’un cycle, d’une succession de Big Bang.

Selon la Théorie créationnisme :


Le créationniste, qui s’exprime sous différentes formes, est donc une doctrine qui stipule que
Dieu a créé non seulement l’univers. Mais également chacune des espèces vivantes,
contrairement au très large consensus scientifique qui soutient l’idée d’un processus évolutif par
le quel de nouvelles espèces se forment à partir d’ancêtres communs. Les courants créationnistes
montrent une grande diversité, depuis ceux qui soutiennent le fixisme en élaborant une théorie la
nature théiste a ceux aux position plis déistes qui embrassent la théorie transformiste. La bible et
le coran sont les deux principaux livres considérés presque comme des livres scientifique et
historique qui véhiculent la croyance selon laquelle le récit de la création de l’univers tel que
fourni par les textes religieux, donne une description littéralement exacte de l’origine de
l’univers.
Cette interprétation littérale de texte comme genèse s’appuie sur la conviction que ces textes ont
été dictés par Dieu ; comme vérité absolue, définitives et indiscutables.

Selon la théorie de l’évolution :


En 1858 Alfred wallace et Charles Darwin fon état conjointement de leur théorie de l’évolution
permanents entre les êtres qui composent le monde animal et végétal disparait. Ils admettent tous
deux. Outre l’idée transformiste déjà largement admise et ayant été en particulier développé par
Lamarck au début du siècle << la lutte pour l’existence>> comme loi naturelle générale du
monde vivant. Vu chez la plupart de ces naturalistes à un statut d’exceptionnalité accordé à
l’espèce humaine dont l’évolution prend la forme d’un progrès et d’un perfectionnement vers un
au-delà du devenir-animal. On ne reconnaît en définitive à l’homme son animalité que pour
mieux l’en extirper. L’évolutionnisme établit un rapport paradoxal entre l’homme et l’animalité,
qui induit une objectivation biologisant et un darwinisme social fait de sélection et de
domestication, dont la justification dernière se trouve être une sortie hors de l’essence animale de
l’homme. Il n’est pas question que l’homme demeure un être vivant médiocrement rivé à son
animalité. Les darwiniens qui font profession de philosophes et d’idéologues formalisent ainsi
une sorte de dialectique matérialiste dont l’aspect paradoxal dissimule souvent mal contradiction
logique et incohérence.
La reconnaissance de l’animalité humaine ne s’accompagne donc pas nécessairement d’un regain
de modestie quant au statut de l’humanité dans le monde, ni encore d’une particulière sympathie
pour les autres animaux, ni mêmes pour les différentes races humaines dont on affirme
l’existence. L’évolutionnisme, malgré son apparent continuasse, est un naturalisme ambigu : il
n’accepte généralement pas la communauté d’essence entre l’homme et l’animal, ni même, au
fond, la naturalité de l’homme tel qu’il existe.

Référence de recherche.

https://www.wikipedia.org
https://www.l’histoiredel’humanité.com
https://www.biblio.com
https://www.larevuegéographique.org
https://www.superprof.com

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