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1. PEUR
Job 3.25
Genèse 3.9
10 Il répondit: J'ai entendu ta voix dans le jardin, et j'ai eu peur, parce que je
suis nu, et je me suis caché.
10. Eh bien, cette semaine, j’ai essayé de prouver par les Ecritures qu’un
homme né de nouveau dans le Royaume de Dieu n’a rien à craindre. On est
absolument en sécurité en Jésus-Christ. « Tous ceux que le Père m’a donnés, a-t-
Il dit, viendront à Moi. Nul ne peut venir à moins que le Père l’appelle. Le Père
doit le guider à Moi ; et Je ne chasserai pas celui qui vient à Moi. Et tous les…
Nul ne peut les arracher de la main de Mon Père ; personne n’est plus grand que
Lui. Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie
Eternelle ; il ne viendra point en jugement, mais il est passé de la Vie… de la
mort à la Vie. Celui qui mange Ma chair et qui boit Mon Sang a », pas aura,
mais « a (au présent) la Vie Eternelle, et Je le ressusciterai au dernier jour. »
Et il n’y a que deux facultés qui dirigent un homme, et l’une, c’est–c’est la foi,
qui produit les résultats; et l’autre, c’est la peur qui n’a aucune vertu du tout. La
foi vient de Dieu. La peur vient du diable. La peur vous abat; la peur vous
amène à vous poser des questions. Et si j’allais mourir le matin, à quoi me
servirait-il d’être tout agité à ce sujet? Qu’adviendrait-il si j’allais être tué sur la
chaise électrique le matin, et que ma vie allait prendre fin demain matin, à quoi
me servirait-il de m’inquiéter à ce sujet?
2. CAPACITE, CAPABLE, S
2 Corinthiens 3.5
5 Ce n'est pas à dire que nous soyons par nous-mêmes capables de concevoir
quelque chose comme venant de nous-mêmes. Notre capacité, au contraire, vient
de Dieu.
Exode 31.1-5
2 Sache que j'ai choisi Betsaleel, fils d'Uri, fils de Hur, de la tribu de Juda.
18. Et Pierre, l’un des plus grands orateurs de tous les temps, en dehors de
Jésus-Christ, l’un des plus grands écrivains, savait à peine reconnaître son
propre nom s’il était écrit devant lui. Jean était un homme du peuple sans
instruction et tout comme cela, mais ils avaient été avec Jésus, et ils avaient un
message qui avait la puissance.
Pierre a cité Joël, quelques fois, et il a gagné trois mille âmes à Jésus-Christ à la
fois. Pensez-y : un homme du peuple sans instruction.
Vous n’êtes donc pas obligé d’aller acquérir une grande instruction et une
érudition poussée. Ce que vous devez faire, c’est connaître Jésus ; et Christ
vous donne la capacité, par le Saint-Esprit, d’accomplir de telles œuvres.
{64-1} † “Ne crains point, Jean. Ne crains point, petit troupeau. Tout ce que Je
suis, vous en êtes héritiers. Tout Mon pouvoir vous appartient. Ma toute-
puissance est à vous, alors que Je suis au milieu de vous. Je ne suis pas venu
apporter la crainte et l’échec, mais l’amour, le courage et la capacité. Tout
pouvoir M’a été donné, et c’est à vous qu’il appartient de l’utiliser. Prononcez la
Parole, et Je l’accomplirai. C’est Mon alliance, et elle est infaillible.”
49. Eh bien, c’est le… Aujourd’hui, les gens d’aujourd’hui n’arrivent pas à
reconnaître cette grande Bannière que Dieu nous a donnée. Vous direz : «Frère
Branham, avez-vous la puissance ? Je souhaiterais l’avoir. »
50. Tenez, pour vous expliquer cela : Il y a… Là… Allez ici, à l’un de ces
carrefours ici, à Phoenix, vers dix-sept heures. Il y a là un policier. Des
véhicules passent à quarante, cinquante miles par heure [64,80 km–N.D.T.]. Eh
bien, ce tout petit policier n’a peut-être pas cinq pieds de taille [1,52 m–N.D.T.],
il s’avancera là, et, eh bien, il n’a pas assez de puissance pour arrêter l’un de ces
véhicules. Eh bien, l’un de ces véhicules peut avoir trois cents chevaux-vapeur.
Eh bien, il ramasserait ce petit homme, l’écraserait et continuerait. Mais laissez
ce policier lever une fois la main, faire retentir son sifflet ; il n’a pas de
puissance, mais il a l’autorité. C’est ça. Les freins vont grincer, et les roues vont
glisser. Tout s’arrêtera, parce qu’il a levé la main, parce qu’il a une autorité.
51. Et quand un homme ou une femme est revêtue de toute l’armure de Dieu,
ce n’est pas la puissance ; c’est l’autorité d’en haut quand il dit… Les démons
crieront, les freins grinceront. Même la mort elle-même va être ébranlée, les
tombes vont s’ouvrir devant l’autorité que Jésus-Christ a donnée à Son Eglise.
Tous les hommes savent ceci : «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui
auront cru. » Brandissez l’autorité, la bannière. Sa main levée avec le gant blanc
arrêtera chaque véhicule. Il n’a peut-être pas assez de puissance pour–pour
arrêter une bicyclette, mais il a l’autorité d’arrêter tout ce qui traverse cette rue-
là. Pourquoi ? Toute la loi de Phoenix est derrière lui.
52. Et un chrétien qui est mort, enseveli, ressuscité avec Lui dans Sa
résurrection, dans les lieux célestes… Voyez, si nous sommes morts avec Lui,
alors nous sommes aussi ressuscités avec Lui ; car le corps suit la tête. Et Il est
la tête, et ceci est le corps. Ce n’est pas que nous serons, mais nous sommes
maintenant assis ensemble dans les lieux célestes en Jésus-Christ, avec chaque
puissance démoniaque vaincue et sous Ses pieds. L’autorité, l’autorité, voilà la
bannière. Ce qui compte, c’est lever la main.
91. En outre, la loi de Dieu doit opérer par la Parole. (Nous en arrivons à une
chose importante dans un instant. Voyez, voyez? Nous sommes...) La loi de la
Parole de Dieu, la loi de Dieu va de pair avec Sa Parole.
92. Maintenant, si la cour rédige une sentence : «Faire telle et telle chose est
sanctionné de telle et telle peine.» Très bien. Eh bien, ça, c’est la sentence de la
cour, et la loi de la cour met en application la sentence de la cour. Et quand Dieu
dit quelque chose, cela est une loi; et le Saint-Esprit est ici pour faire appliquer
cette loi (Amen!) pour le croyant. Vous devez être ordonné pour faire cela; et il
faut être un croyant. Il vous faut porter l’insigne du croyant.
93. Non, mais nous avons l’autorité (c’est cela), pas la puissance, mais
l’autorité. Nous n’avons même pas assez de puissance pour accomplir quelque
chose.
94. C’est comme je l’ai dit il y a quelque temps, un petit agent de police se
tenait là à Louisville. Il était plus petit que moi. Le petit gars avait un chapeau
rabattu sur les oreilles, et le véhicule... Oh, dans un uniforme à moitié trop grand
pour lui, il s’avança là dans la rue, avec un petit pistolet à amorce sur son côté,
un petit bâton en main ainsi qu’un petit sifflet. Il s’avança là, portant des gants
blancs, et les–les véhicules (certains d’entre eux de trois cent cinquante
chevaux) dévalant cette rue comme–comme un éclair, faisant juste : «Vroom-
vroom.» Eh bien, ce pauvre petit gars ne pourrait pas arrêter un–il ne pourrait
pas avec sa force arrêter un petit cheval en fuite. Certainement pas. Mais il s’est
avancé là dans la rue avec ce grand insigne brillant, il a fait retentir un coup de
sifflet, puis levé la main. Frère, et ces véhicules d’une puissance de trois cents
chevaux firent grincer les freins et tout. Il ne s’agissait pas de la puissance de
l’homme, il s’agissait de l’autorité qu’il avait. C’est cela.
95. Voilà l’Eglise, il se pourrait qu’Elle soit formée d’une bande de saints
exaltés, comme on les appelle, ou n’importe quel nom que vous voudriez leur
donner, mais il s’agit de l’autorité. Oui, oui! Oui, oui! C’est l’autorité qui est
derrière cela; c’est ce qui fait cela.
4. LE POUVOIR
70. Maintenant, Père céleste, dans cette ligne, se tiennent des gens venus de
différents coins du pays, et même de différentes régions du monde. Certains
parmi eux sont ici, venant de l’Afrique et de différents endroits ; des Irlandais,
des Anglais, des Africains ; toutes les différentes nations ; ils sont venus à la
Fontaine. Et je Te les amène sur base de la confession de leur foi. Et après que je
les ai amenés à répéter ces mots de prière à Ton intention, ô Dieu, cela est
provenu de la profondeur de leur coeur sincère, j’offre maintenant cette prière, la
prière de la foi qui sauvera les malades. Ô Dieu, sois miséricordieux. Et je Te
prie de les guérir, eux tous.
Dieu bien-aimé, je sais qu’il n’y a rien en moi, ou dans Ton bien-aimé serviteur,
frère Neville, mais Tu nous as donné la commission qu’il nous fallait aller par
tout le monde, oindre les malades, prier pour eux, leur imposer les mains et
offrir la prière de la foi, et Tu as dit : « Cela sauvera les malades. »
Et je sais que nous avons le pouvoir. Tu nous l’as donné quand Tu nous as
donné le Saint-Esprit. C’est le pouvoir.
195. Écoutez. Écoutez ceci. Vous dites : «Frère Branham, je n’ai point de
puissance.» Moi non plus, je n’ai aucune puissance. «Eh bien, Frère Branham, je
suis faible.» Je le suis aussi. Mais je ne compte pas sur ma force. Il n’est pas
question de ma force. Je compte sur mon autorité (Voyez-vous?), l’autorité qui
m’a été donnée. Ce n’est pas que je suis fort. Je ne suis pas fort. C’est Lui qui
est fort, et je–je suis Sien.
196. Tenez, par exemple–disons par exemple qu’il y ait des véhicules qui
descendent la rue, au croisement de la 4e et de la rue Broadway, à Louisville:
«Vroum! vroum! vroum! vroum!», à toute vitesse, soixante miles par heure
[Environ 97 km/h–N.D.T.]. De l’autre côté de cette rue, tout le monde se
précipite, se bouscule et s’empresse. Un bout d’homme se présente là, lève sa
main, et, mon frère, on freine! Eh bien, Ce bout d’homme n’a pas assez de
puissance pour stopper l’une de ces voitures, mais il possède l’autorité. Gloire!
Il ne s’agit pas de sa puissance. Eh bien, si l’une de ces voitures le cognait, elle
le mettrait en pièces. Mais laissez-le lever sa main! Pourquoi? Les conducteurs
des voitures reconnaissent cet uniforme.
197. Ô frère! ils reconnaissent cet uniforme, ils freinent. Pourquoi? Regardez
son autorité. Regardez ce qui est derrière lui. Tout le pouvoir municipal est
derrière lui. Tous les services chargés de l’application de la loi dans la ville sont
derrière lui. C’est ce que représente cet uniforme. Il est différent (oui,
monsieur!), parce qu’il est un officier.
199. C’est ce que le... pas l’idole, mais ce dont l’individu doit être revêtu.
Revêtons-nous de toute l’armure de Dieu. Amen! Le casque du salut, ce très
grand bouclier de la foi, de la grandeur d’une porte. Ô frère! il ne s’agit pas de
ce qu’il est, mais de ce qu’il représente. C’est ce qu’est l’officier. Il ne s’agit pas
de ce petit bout d’homme qui se tient debout là-bas; il n’est qu’un homme
ordinaire, mais il s’agit de ce qu’il représente!
200. Notre armure, c’est Jésus-Christ. Oui, monsieur! Tous les démons freinent
quand ils voient cela, quand ils voient cette armure complète de Dieu, le vrai
baptême du Saint-Esprit (amen!), quand ils le voient venant droit du trône de
Dieu, revêtu de l’armure complète de Sa résurrection. Amen!
201. Ce n’est pas que vous soyez fort. Vous n’êtes rien. Mais c’est ce qui est
derrière vous. Pourquoi? Vous êtes mort. Vous êtes enrôlé dans l’armée. Vous
êtes enrôlé dans la police. Vous ferez respecter la loi et vous aurez des démons
sous votre autorité. C’est vrai!
202. Vous êtes dans la police, tout est derrière vous. Voyez-vous, vous êtes
considéré comme étant mort. Vous n’êtes rien. Vous ne pouvez rien arrêter.
Mais il s’agit de l’autorité qui vous a été confiée, parce que vous êtes ressuscité
et êtes assis dans les Lieux Célestes en Christ Jésus; le diable reconnaît cela.
Tout freine lorsque ces mains se lèvent.
103. Je prie, ô Dieu, sois miséricordieux. Personne ne veut aller dans ces
régions des perdus. Personne ne veut y aller, Père. Plût à Dieu, que personne
parmi nous n’y aille. Pourtant, il y a là un bon coeur dans cette personne, cet
homme, cette femme, un homme ou une femme, qui est charitable, aimable et
gentille, et seulement la personne a été séduite par le diable. C’est le diable qui a
fait cela. Satan, je m’oppose à toi, car tu es l’ennemi de mon Seigneur. Tu es
l’ennemi de Sa Parole. Et je t’ordonne, par Jésus-Christ, le Fils de Dieu, en tant
qu’être mortel, sachant que je n’ai pas le pouvoir par moi-même, je n’ai pas la
puissance de t’arrêter, je n’ai pas le pouvoir de faire que l’une de ces femmes,
soit nettoyée à fond, que l’un de ces hommes qui écoute cette bande, ou–ou
n’importe où, que je n’ai aucun moyen d’obtenir qu’ils soient nettoyés à fond. Je
suis sans pouvoir. Mais j’ai en fait l’autorité de la Parole de Dieu, en tant que
serviteur, pour La prêcher ; et Je suis tenu à cette autorité. Ce policier ici n’a pas
non plus de pouvoir d’arrêter un véhicule, mais il a l’autorité de le faire.
104. Et, Satan, tu ferais tout aussi mieux de te mettre à faire grincer tes freins,
car je t’ordonne, par Jésus-Christ, de lâcher ces gens, partout dans le monde,
partout où ce Message pourra aller. Lâche-les. Je les réclame, car ils sont
rachetés. Ils ne t’appartiennent pas. Ils ont été rachetés à un prix, par la Semence
Royale d’Abraham, le Seigneur Jésus. Et toi, sale hypocrite, souillé, puant,
séducteur des hommes, toi qui les conduis aveuglement dans les fosses de
l’enfer, lâche-les. Je t’adjure par le Dieu vivant, par le sacrifice de Son Fils,
Jésus, de les lâcher, afin que leurs âmes soient remplies de Sa bénédiction et de
Sa Présence, qu’ils puissent posséder la porte de chaque ennemi. [Espace vide
sur la bande–N.D.E.] Tu les as amenés à attendre ceci, cela ou autre, ou un saint
toucher, ou quelque chose d’autre, mais je te dis que tu vas lâcher prise.
105. Comment la maladie peut-elle subsister sous une telle onction ? A moins
que les gens refusent de regarder à la promesse. Mais comme le père Abraham
l’avait fait, quand il L’a vu venir en type, des centaines d’années auparavant…
Lâche-les. Au Nom de Jésus-Christ, laisse aller ces gens. Puisse la puissance de
Dieu, la compréhension de la Parole, alors qu’ils ont été lavés ce matin par Elle,
puissent-ils avoir l’entendement pour dire que la Parole de Dieu est vraie, Ses
promesses aussi, une prise que Satan ne peut pas défaire. Que chaque personne
s’empare de cette promesse et dise : « C’est ça. Je m’en empare. C’est Dieu qui
a fait la promesse. Je suis la Semence d’Abraham. Comment puis-je douter de
Sa promesse ? » Et qu’il aille de l’avant par Jésus-Christ, notre Seigneur. Amen.
Je L’aime…
5. AUTRES CITATIONS
68 Oh! quand vous savez que Dieu vous a envoyé faire une certaine chose et
que vous voyez cela se mouvoir dans cette direction, il n’y a rien qui puisse le
remplacer. C’est tout.
Combien de chrétiens y a-t-il ici? Qu’ils lèvent la main. Tous les croyants, levez
la main, partout. Oh! je pense que c’est merveilleux! On dirait que cent pour
cent… Eh bien, si vous êtes un croyant… Je crois que je sais ce qu’est la plus
grande malédiction qui est sur l’église aujourd’hui: ce n’est pas connaître
ce qu’on est.
Maintenant, cet après-midi avec l’aide de Dieu, les Saintes Ecritures, s’Il peut
nous aider, nous essayerons de placer, côté position, le croyant en Christ, et lui
montrer son autorité en Christ. Alors tout le monde là-bas priera pour les
malades, et–et nous aurons une grande réunion, je suis certain. Inclinons la tête
maintenant alors que nous terminons notre partie introductive, et entrons
maintenant dans la partie essentielle de la réunion.
UN SOUPER DE NOCES CHICAGO IL USA Sam 06.10.56
37. Si le médecin ne peut pas faire quelque chose de bon pour vous dans sa
profession médicale (Nous remercions Dieu pour cela), s’il en est arrivé à un
point où sa capacité limitée est au bout, pourquoi ne laissez-vous pas Christ
ouvrir cette porte de la foi, entrer là et prendre alors Sa Parole ? Observez ce qui
arrivera, (Oh ! la la !) quand il vous examinera de nouveau ; il dira : « Que vous
est-il arrivé ? »
49. Mais alors, si nous vivons près de Lui, Il nous accordera quelque chose
d’autre. Il y a une capacité de perception par laquelle nous pouvons voir ce
qu’un homme ordinaire ne voit jamais. Quand nous sommes nés de nouveau,
nous Le voyons. Voyez-vous? «Vous Le connaissez, vous L’avez vu. Il
demeurera éternellement avec vous.» Oh! Il est un bon Père. Il est le… Il est la
Fontaine de bonté, la grande source de toute bonté, et la Paternité revient à notre
Dieu. Il est si bon envers Ses enfants croyants. Mais peut-être qu’à présent…
267. Ceci est un don. Un don, c’est quoi ? C’est la capacité de me défaire de
mes propres pensées. La capacité de me défaire de ma propre vie, ma–ma vie
naturelle, mon âme. C’est-à-dire William Branham. Si je peux le mettre hors du
chemin, Dieu pourra utiliser l’esprit, le corps pour parler.
268. Que le Saint-Esprit vienne maintenant, Seigneur, afin que les êtres
humains comprennent que le Saint-Esprit identifié est ici. Un don pour se mettre
hors du chemin. Que tout le monde soit respectueux. Tenez-vous tranquille.
49. Eh bien, vous les méthodistes à l’ancienne mode, il y a des années, vous
aviez des règlements et autres dans l’église ; et aujourd’hui, les femmes qui se
disent des saintes, remplies du Saint-Esprit, marchent dans les rues avec ces
petits vêtements courts, et leurs filles s’étendent sur les plages toute la nuit et
fument la cigarette tout en se disant chrétiennes. Honte à vous ! « On reconnait
l’arbre par les fruits qu’il porte. »
Et puis, vous vous demandez pourquoi vous n’avez pas la puissance dans votre
église et dans votre vie. Voilà ! Vous direz : « Attendez une minute, Monsieur
Branham. C’est mon privilège. Nos magasins vendent ce genre de vêtements. »
Eh oui, ils viennent aussi du puits de l’enfer de Hollywood.
VOUS CROYEZ MAINTENANT ? WEST PALM BEACH FL USA Dim
06.12.53S
86. Alléluia ! Ne pensez pas que je suis excité ; je sais ce que je suis en train
de faire. Et je sais exactement qui est dans cette salle maintenant. Je sais que
c’est le Fils de Dieu qui est ressuscité des morts. Tous ces démons ne peuvent
nullement nous effrayer en ce moment. Chacun d’eux est sous contrôle.
Maintenant, je vous défie de croire en Lui.
Très bien, approchez, madame. Il y a une chose admirable que vous avez sur
vous là. Vous souffrez d’une maladie de nerfs, cela vous a causé beaucoup
d’ennuis. N’est-ce pas vrai ? Cela vous a quittée maintenant. Partez et soyez
guérie, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
47. Eh bien, j’aimerais que vous remarquiez un instant. Quand Dieu a créé
Adam et Ève, la création et tout, c’était beau. Dieu… Eh bien, Adam avait les
puissances de Dieu sous contrôle. Il pouvait prononcer quoi que ce soit ; cela lui
obéissait exactement comme si c’était Dieu. Il avait une parfaite communion
avec Dieu, il marchait avec Lui, il parlait avec Lui, il communiait avec Lui. Il
avait une communion.
Puis–puis, quand Adam et Ève… Quand Ève a péché et qu’ils sont sortis du
jardin d’Eden, ç’a diminué sans cesse et le monde a commencé à se manifester.
Et au fur et à mesure qu’il se manifestait, tout d’un coup, vous savez, on a
commencé à bâtir des villes. C’est un grand signe du temps de la fin.
28. Il a tiré les rideaux afin que nous puissions regarder de l’autre côté du
rideau de temps. Il a ôté chaque bluff du diable en payant tout le prix et, ce soir,
Il est le Conquérant. Et la Bible dit que nous sommes plus que vainqueurs par
Celui qui nous a aimés.
Ainsi, les chrétiens qui sont ici ce soir ont la situation sous contrôle. Nous avons
vaincu le péché ; nous avons vaincu la mort ; nous avons vaincu le séjour des
morts ; nous avons vaincu la tombe ; nous avons vaincu la maladie, parce que
Jésus est pour nous le Puissant Conquérant.