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DROIT SOCIAL :
INTRODUCTION GENERALE
I. Identification du cours
Rapports
individuels
Droit du Travail
Rapports
Droit Social
collectifs
Droit de la
Sécurité Sociale
- Au niveau de la structure :
La structure du Droit du Travail : L’entreprise + le Syndicat.
La structure de la Sécurité Sociale : La caisse + l’agence + la mutuelle
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1. Objectif général
L’objectif général est de présenter l’étendu général des règles juridiques
régissant les rapports professionnels entre employeurs et travailleurs
ainsi que le régime de sécurité sociale applicable aux salariés. Le droit du
travail s’applique au salarié tandis que le droit de la securité s’applique
au salarié et travaillleur indépendant.
2. Objectif spécifique
A l’issue de l’enseignement, les apprenants seront capables de :
- Circonscrire les relations individuelles du travail à travers le cycle du
contrat du travail
- Maîtriser le droit syndical et les conventions collectives
- Déterminer les accidents du travail et les maladies professionnelles
INTRODUCTION
I. Historique
Lire le livre du prof.
1. La Constitution
Elle peut prévoir des règles applicables en matière de travail.
Exemples : Article 37 sur la liberté d’association, article 39 sur le droit
de grève, article 36 sur le droit au travail article 202 de la
constitution.
Les règles de droit de l’OMC : ce sont des règles qui ne sont pas de
droit et qui appartiennent à l’OMC. Mais ceci est faux.
Les règles du droit de l’OMC : ce sont des règles appartenant au
droit de l’OMC.
2. Lois ordinaires
Loi n°015/2002 du 16 octobre 2002, JO RDC, 43ème année, Numéro
Spécial, 25 octobre 2002.
3. Les règlements
Le droit du travail est un droit réglementaire parce que l’autorité
administrative est souvent sollicitée pour intervenir en vue d’entrer
dans les détails nécessaires d’application.
4. La jurisprudence
En donnant le sens exact des textes, les tribunaux en comblent les
lacunes et peuvent créer des règles nouvelles.
Le juge est la bouche qui prononce les paroles de la Loi. Il ne peut
aller en dehors de la Loi.
Le contrat de travail :
o Quelle est la ligne de démarcation entre le contrat de travail et
les relations de travail ?
Les relations de travail ont une étendue plus large que le contrat
de travail. Le concept de « relations de travail » est vague alors
que celui de « contrat de travail » est plus concret.
TITRE I
Section I : Notion
1. Définition
Base légale : Art. 7 de la Loi n°015/2002 du 16 octobre 2002
« Toute convention, écrite ou verbale, par laquelle une personne, le
travailleur, s’engage à fournir à une autre personne, l’employeur, un travail
manuel ou autre sous la direction et l’autorité directe ou indirecte de celui-ci
et moyennant rémunération. » écrit est un acte probationem et non un acte
ad valorem.
Les relations de travail ne sont pas limitées par le contrat du travail mais sont
établies par le Code du Travail.
On peut dire que le contrat du travail est passé librement sous réserve du
Code.
T.P.
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La capacité :
Point de départ : Article 23 CCLIII, Article 215 al.1 du Code de la Famille (il
ne fait aucune mention de la femme mariée). Le deuxième alinéa évoque
le cas de la femme mariée en affirmant sa capacité limitée au regard de la
loi.
L’article 448 du Code de la Famille dispose que la femme mariée ne peut
pas poser d’actes juridiques sans l’autorisation de son mari.
En matière de travail, le siège de la matière se trouve à l’article 6 du Code
du Travail.
Question : Est-ce qu’un Burkinabé, âgé de 15 ans et qui a acquis dans son
pays la capacité de commerçant, peut venir travailler en tant que
commerçant en R.D.C. ?
Selon l’article 6, à l’âge de 16 ans, malgré le fait d’être mineur, une
personne a la capacité de contracter. Mais le même article émet des
réserves.
L’article 50 de la loi portant protection de l’enfant affirme également
qu’un mineur âgé de 16 ans peut signer un contrat de travail. Or, pour le
mineur de 15 ans doit avoir une autorisation du juge après avis d’un
expert pour signer un contrat de travail. De plus, le mineur de 15 ans ne
doit avoir pour travail qu’un travail léger et salubre (Article 54 de la loi
portant protection de l’enfant). Voir également l’article 38 du Code du
Travail.
Lorsqu’on combine les articles du Droit du Travail et de la loi portant
protection de l’enfant, les mineurs âgés de 15, 16 et 17 ans peuvent signer
un contrat de travail que pour un travail léger et salubre.
Les pires formes de travail de l’enfant sont également interdites (article 3
du Code du Travail à combiner avec l’article 53 de la loi portant protection
de l’enfant). L’article 6 est l’unique article consacré à la notion de la
capacité dans le code du travail. Il faut noter que la capacité quelle
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organise est une capacité spéciale, d’autant plus que l’age autorisé part le
législateur 16ans révolus. La loi spéciale déroge à la loi générale en vertu
de l’adage « lex specialis derogate generalis » on applique la loi portant
protection de l’enfant. Deuxième personne visée c’est la femme mariée :
cette notion peut nous conduire de pousser la refléxion dans deux
hypothèses ;
1. L’opposition ; dans cette notion, l’opposition signifie tout simplement
le refis du mari pour un contrat antérieur de sa femme. Par le canal du
juge, en demandant la nullité du contrat de travail antérieur.
2. L’autorisation ; c’est un document par lequel on accord une permission
ou un droit.
a) Contrat écrit
Fondement : article 40, al.1.
Le contrat à durée déterminée est celui qui est conclu soit pour un temps
déterminé, soit pour un ouvrage déterminé, soit pour le remplacement
d’un travailleur temporairement indisponible.
Ce principe connaît des restrictions :
- L’alinéa 2 de l’article 40 qui concerne l’engagement au jour le jour :
« Néanmoins, dans le cas d’engagement au jour le jour, si le travailleur
a déjà accompli vingt-deux journées de travail sur une période de deux
mois, le nouvel engagement conclu, avant l’expiration des deux mois
est, sous peine de pénalité, réputé conclu pour une durée
indéterminée (2ème preuve que le législateur a une préférence pour le
CDI).
- L’alinéa premier de l’article 41 : « Le contrat à durée déterminée ne
peut excéder deux ans. Cette durée ne peut excéder un an, si le
travailleur est marié et séparé de sa famille ou s’il est veuf, séparé de
corps ou divorcé et séparé de ses enfants dont il doit assumer la
garde. »
- Selon l’alinéa 2 de l’article 41, il est interdit de conclure avec le même
employeur plus de deux contrats à durée déterminée ou de
renouveler plus d’une fois un contrat à durée déterminée, sinon le
contrat devient indéterminé (3ème preuve que le législateur a une
préférence pour le CDI).
b) Contrat verbal
En cas d’engagement au jour le jour, l’écrit n’est pas imposé par le
législateur.
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A défaut d’écrit, le contrat est considéré comme ayant été conclu pour
une durée indéterminée.
c) Formalité administrative
Fondement : Article 47 du Contrat de Travail.
1. Obligation du salarié
A. Exécution personnelle
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Art. 135. - L'obligation de faire ne peut être acquittée par un tiers contre le
gré du créancier, lorsque ce dernier a intérêt qu'elle soit remplie par le
débiteur lui-même.
B. Exécution consciencieuse
Fondement : Articles 51 et 52 du Code du Travail
Le problème à résoudre ici est de déterminer comment la responsabilité du
travailleur sera engagée.
En droit civil, la théorie est celle de la culpa levissima (la faute, même la plus
légère, entraîne la responsabilité).
Voir article 259 du Code Civil, Livre III.
Cette solution ne sera pas appliquée en droit du travail car elle est même
rejetée par les Cours et Tribunaux pour déterminer la responsabilité
contractuelle.
En droit du travail, pour être pécuniairement responsable, le travailleur doit
avoir commis dans l’exécution de ses obligations professionnelles une faute
lourde équipollente au dol.
En d’autres termes, le travailleur, pour être pécuniairement responsable,
doit avoir commis une faute dite lourde de manière intentionnelle.
Faute lourde équipollente au dol ≠ Faute lourde, équipollente au dol
Faute lourde, équipollente au dol : cela veut dire que la faute lourde est
toujours intentionnelle. Or, cela est faux vu que la faute lourde peut être
non-intentionnelle. Le code du travail n’a pas défini ce qu’on entend par
une faute lourde, plutôt à l’article 74 cite les actes réputés d’une faute
lourde. Le travailleur commet une faiute lourde qui permet à l’employeur
de rompre le contrat lorsqu’il manque gravement aux obligations du
contrat et notamment s’il :
- Se rend coupable d’un acte d’improbité, de harcèlement sexuel ou
moral, d’intimidation, de voies de fait ou d’injures graves à l’égard de
l’employeur pu de son personnel ;
- Cause à l’employeur, intentionnellement, un préjudice matériel
pendant ou à l’occasion de l’exécution du contrat ;
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C. Exécution loyale
Elle sera analysée à deux niveaux : en cours d’exécution du contrat et à son
expiration.
1) En cours d’exécution
2) A l’expiration du contrat
2. Obligations de l’employeur
Du point de vue économique, le salaire exerce une influence sur les prix : il
constitue un élément du coût de production et la masse salariale détermine
l’ampleur de la demande des biens de consommation.
A. Notion du salaire
Base légale : Article 7 h. H. du code du travail
A. Notion de salaire
- Le salaire ou traitement ;
- Les commisssions ;
- L’indemnité de vie chère ;
- Les primes ;
- Les participations aux bénéfices ;
- Les sommes versées à titre de gratification ou de moins
complémentaires ;
- Les sommes versées pour prestation supplémentaires ;
- La valeur des avantages en nature ;
- L’allocation de congé pu l’indemnité compensatoire de congé ;
- Les sommes payées par l’employeur pendant l’incapacité de travail et
pendant la période précédant et suivant l’accouchement.
Rémunération ≠ Salaire
1. Salaire de base
A. REMUNERATION
Base : Article 7h et 89 du Code du Travail
La somme représentative de l’ensemble de gains susceptible d’etre
évalués en espèces et fixés par accord ou par les dispositions légales
et réglementations qui sont dus en vertu d’un contrat de travail, par
employeur à un travailleur.
Elle comprend notamment :
- Le salaire ou traitement ;
- Les commissions ;
- L’indemnité de vie chère ;
- Les primes ;
- La participation aux bénéfices ;
- Les sommes versées à titre de gratifications ou de mois
complementaire ;
- Les sommes versées pour prestation supplementaires ;
- L’allocation de congé ou l’indemnité compensatoire de congé ;
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Monnaie ayant cours légal : la monnaie qui est acceptée par la loi.
Dans le dernier texte, il y a une hiérarchisation. Le franc congolais est
la monnaie ayant cours légal, cependant les autres devises ne sont pas
interdites.
2. Les avantages
b. Les primes
Elles peuvent revêtir plusieurs formes mais la plupart sont inspirés
par le souci de l’employeur d’obtenir un résultat. Il veut une
production accrue, continue, de meilleure qualité et au moindre prix
de revient. Ex. : Prime de rendement, prime de fidélité, prime de
pénibilité.
c. Dépenses professionnelles
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C. Le montant du salaire
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1. Généralités
Jadis, le principe de détermination du montant du salaire était celui
d’assimiler le salaire au prix d’une marchandise.
a) L’action syndicale
Par elle, on a négocié des accords ou conventions collectives dans
lesquels on a inclus des stipulations concernant le salaire.
b) L’intervention étatique
L’Etat intervient en fixant un Salaire Minimum Interprofessionnel
Garanti (SMIG).
Le texte applicable en cette matière est la loi n°08/40 du 30 avril
2008 qui a abrogé le décret n°079/2002 du 3 juillet 2002
déterminant les modalités de fixation du SMIG etc. et le décret
n°80/2002 du 3 juillet 2002 portant fixation du SMIG etc.
Le taux du SMIG est fixé à 1680 FC mais son paiement est prévu en
deux tranches : 1120 FC payable avant le 1er juillet 2008 et la
totalité à partir du 1er janvier 2009.
Pour fixer le SMIG, on a tenu compte des éléments suivants :
- L’adaptation du salaire au travail effectué
- L’adaptation du salaire à la situation familiale ou sociale du
travailleur
- L’adaptation du salaire à l’économie générale et à la
productivité de l’entreprise
- La sécurité du salaire, c’est-à-dire la garantie d’un même
pouvoir d’achat par l’adaptation du salaire au coût de la vie. Ça
s’appelle « indexation de salaire »
3. Le paiement du salaire
La périodicité
Base légale : Article 99 du Code du Travail
Article 99 : « Le paiement de la rémunération doit être effectué
à des intervalles réguliers n’excédant pas un mois.
Le paiement doit avoir lieu au plus tard dans les six jours
suivant la période à laquelle il se rapporte.
Les commissions acquises au cours d’un trimestre peuvent être
payées dans les trois mois suivant la fin du trimestre.
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a. La citation en justice ;
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En matière de travail, la prescription est trois ans. Elle peut etre interrompue.
Article 109 « les sommes dues aux employeurs ne peuvent etre frappées de
saisie-arret ni d’opposition au préjudice des travailleur auxquels les salairess
sont dus ».
Les salaires doivent etre payés intégralement, avant que les autres créanciers
ne revendiquent leur quote-part, aussitôt que les fonds nécessaires se trouvent
réunis.
RESOLUTION
B. La réglementation de la durée annuelle
- Art. 24 de la DUDH ;
R/ En sois, la DUDH n’est pas contraignante, mais tout ce qui se trouve dans la
DUDH ont été renvoyé dans les pactes, qui du reste sont contraignante.
Artcle 129 : « toute femme enceinte dont l’état a été constaté médicalement,
peut résilier son contrat de travail sans préavis et sans avoir, de ce fait, à payer
une indemnité de rupture de contrat.
La meme faculté lui est accordée pendant une période de huit semaines qui
suivent l’accouchement.
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Pendant cette période, que l’enfant vive ou non, la femme salariée a droit aux
deux tiers de sa rémunération ainsi qu’au maintien des avantages contractuels
en nature. Durant la meme période, l’employeur ne peut rompre le contrat de
travail. Le bénéfice des dispositions de l’article 129 du présent code est acquis à
toute femme salariée, en tant que ces dispositions lui sont applicables, qu’elle
soit mariée ou non, que l’enfant vive ou non.
Lorsque le travailleur est dans l’incapacité de fournir ses services par suite
de maladie ou d’accident, i l conserve le droit, pendant toute la durée de la
suspension du contrat, aux deux tiers de la rémunération en espèces et à la
totalité des allocations familiales.
« La partie qui se propose de résilier le contrat pour une faute lourde est
tenue de notifier par écrit à l’autre partie sa décision dans les quinze jours
ouvrables au plus tard après avoir eu connaissance des faits qu’elle
invoque ».
En tout, on peut faire le calcul comme suit : l’article 68= « 57-60 » plus
1 « congé ».
Le délai de 48h est donc facultatif vu qu’il est utilisé seulement en cas
d’enquete. Si l’enquete n’est pas demandée, la résiliation sera notifiée
dans les quinze jours. Dépassé ces délais, le licenciement sera irrégulier
et le salarié aura droit à une indemnité compensatoire.
- Effets de la rupture du contrat de travail :
A. Reçu pour solde de tout compte « art.77 » :
1. La nature juridique.
D’après l’article 77, il s’agit d’une simple quittance mais les avis sont
partagés à ce sujet car d’autres assimilent à un arreté de compte, à une
transaction ou encore à une renonciation.
2. Condition de la validité
Le législateur n’a prévu aucune formalité pour sa validité, d’où on se
réfère à la pratique. Durant cette phase, les parties procédent à un
règlement de comptes et à la liquidation des créances.
3. Possibilité de renoncer
En cas de mauvais calcul ou d’irrégularité, l’employé peut toujours
revenir réclamer ses droits « art. 77 ». Tous les comptes doivent etre
règles dans les deux jours ouvrables après la fin du contrat.
Au cas où l’employeur n’a pas exécuté cette obligation, pouvons-nous
dire que la résiliation pour faute lourde du contrat de travail est
abusive ?
R/ Non, car la cour supreme de la RDC estime que ce n’est pas une
résiliation abusive d’autant plus que l’obligation dudit certificat n’est
qu’une conséquence de la résiliation pour faute lourde.
Ce certificat doit etre remis au plus tard deux jours ouvrables après la fin du
contrat. Il est exempt de droit de timbre ou d’enregistrement.
Tous les travailleurs ont droit à décompte final. Ici il faut noter que tous les
travailleurs ont droit à décompte final il y a plusieurs rubriques :
- Le salaire ;
- Les faits de voyage.
La première question qu’on peut retenir est qu’il peut y avoir lacompensation ?
- Clause de non-concurrence
- Obligation raparatriement art. 147, alinéa 2 et 149
- Restitution du matériel de travail.
Définition du CDD : celui dont l’échéance est fixée par un événement futur et
certain. Les paties fixent la durée de leur accord « autonomie de la volonté »
mais en tenant compte de l’article 428 du CCL III : on ne peut engager ces
services qu’en tant ou pour une entreprise déterminée.
C’est la certitude du terme, car on sait quand le contrat prend fin. Donc on n’a
pas besoin de préavis. Le contrat est à durée déterminée lorsqu’il doit prendre
fin à l’échéance d’un terme c’est-à-dire un événement futur et certain d’une de
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Q/ lorsqu’on est devant d’un contrat de terme incertain, nous sommes devant
d’un CDD ou CDI ?
R/ c’est un CDD.
La rupture anticipée
Principe : toute rupture anticipée du contrat à durée déterminée est fautive.
Une rupture anticipée par l’une des parties avant le début de l’exécution ou
avant l’arrivée du terme convenu, sans qu’il y ait faute lourde, entraine le
paiement de dommage et intérets à la partie lésée (art.70).
Les listes établies aux articles 73 et 74 sont exhaustives. Ainsi, d’autre cas
pruvent etre ajoutés et le juge appréciera les preuves fournies par la partie
lésée.
Selon l’article 71, « dans le cas ou le contrat est assorti d’une clause d’essai,
chacune des parties peut, pour un motif valable lié à l’aptitude ou à la conduite
de l’autre, mettre fin au contrat moyennant un préavis de trois jours ouvrables
prenant cours le lendemain de la notification ».
Vu ces définitions, nous pouvons voir que la faute lourde est incluse
dans le motif valable et que le motif valable n’est pas nécessairement
une faute lourde.
Commentaires
Il est à noter que toutes les fusions ne sont pas effectuées parce que l’une des
sociétés est en difficulté. Dans certains cas, la nouvelle société issue de la
fusion préfère avoir plus de personnel qu’en avoir moins.
Incapacité
Appel du drapeau
Réquisitions militaires ou
d'intérêt public
Cas de suspension
(art. 57) Exercice des mandats publics
ou d'obligations civiques
Grève ou lock-out
Incarcération du travailleur
Selon l’article 60, on ne peut mettre fin au contrat pendant qu’il y a suspension.
Donc, si le travailleur est sous les cas cités à l’article 57, l’employeur ne peut
mettre fin à son contrat. Mais, 4 réserves sont émises.
Dans l’article 60, on parle d’indemnité (au point 1), ce qui renvoie à l’article 59.
Quand, dans l’article 60, il est stipulé « Il ne peut être mis fin », parle-t-on à
l’employeur ou à l’employé ? On parle aux deux.
Le législateur dit que dans tous les cas de l’article 57 plus le congé, moins les
cas cités à l’article 60, le préavis n’est pas notifié. Cela veut dire que le
travailleur ne sera pas licencié.
TP LOBO
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- Son bapteme ;
- Sa prémière communion
- Sa confirmation ;
- Sa bénédiction nuptiale et y a exercé les fonctions de chef de la
commission litergique.
L’objet du syndicat. Ce sont les associés qui donnent naissance à une société.
Les organes dirigeants de la société ce sont les associés. Avec la révolution
française on a créé une loi pour protèger les travailleurs. Les syndicats la
défense de droit de travailleurs pour reamenager l’horaire du travail il faut voir
les syndicats sans les syndicats les associés seront limités c’est-a-dire leur droit
sera limité constitué un graoupe des pressions pour proteger les intérets des
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associés l’idée générale. Les syndicats est un groupe conçu pour défendre les
intérets des adhérants. Il y a aussi les syndicats des empployeurs appelé les
syndicats de patronant. Les syndicats se distinguent de la coalisation, ici il y
anlmla coalisation un mouvement de fait, les syndicats est un groupement de
droit parce que il a une base légale, les syndicats est permanant. L’association
est un groupement juridique il n’a pas un objet spécialiser. Raprochement Les
deux se triuvent ce sont le groupement juridique mais l’association n’a pas un
objet spécifier. L’objet du syndicat est connu la défense des intérets
professionnels. Le caractère du syndicat il a deux caracteristiques essentielles
légalité et la liberté. LIBERTE SYNDICALE : sur plan interne l’article 37 de la
constitution, article 39 le droit de grave lorsque n’y a pas l’amelioration. CODE
DU TRAVAIL ARTICLE 233 et 234. Les dispositions qui garantisent la liberté
professionnelle. L’OIT au niveau des organisations internationales a son siège
en génève. L’OIT convention i nternationale n 87 de 1948 eyt la conventio n
n98 DE 1949 selon ces conventions les travailleurs doivent bénéficier d’une
protéction contre tous les actes de discrimation tendant a porter atteinte à la
liberté syndicale en matière d’action. Lorsqu’un Etat viole le droit de travailleur
L’oIT a institué une structure de plaintes. Le syndicat comprend deux
dimensions. Aspect individuel du syndicat se traduit de la liberté syndicale et
cette liberté a trois volés la liberté d’adhéré et la loberté d’adhéré et de se
retirer. Quand on n’adhère pas il y a des risques. Le syndicat est imposé par la
loi. Risque : Protection des salariés syndicains contre l’employeur, pendant
l’exécution du travail vous pouvez etre menacé ici la loi rpotège le travailleur
syndicat avant la signature du contrat. 2ème menace contre le syndicat lui-
meme. Il y a des syndicats corrompu. L’aspect collectif consiste a ce que l’Etat
ne peut pas. Le syndicat est facultatif. L’égalité de syndicat dans une entreprise
on peut avoir un syndicat qui regroupe tout le travailleur et on peut avoir un
seul syndicat. Chaque organe peut avoir un syndicat entre tous le syndicat le
principe de l’égalité doit etre respecté vous etes tous égaux, l’utilisation
dépend de l’habilité d’une personne à une autre. Tel sera mieux apprécier et
l’autre sera moins apprécié. Il y a des syndicats qui sont plus renomés que les
autres syndicats. En afrique du sud il y a un grand syndicat meme les dirigeants
politique vont récours. Il y a des syndicats qui deviennnent plus répresentatives
que les autres.
CONDITION DE FORME
Il faut redigé des statuts parce que c’est une association sans but lucratif, il faut
déposer les statuts au de ministère de travail article 237 et on va publier Ce
n’est pas l’employeur qui détermine le syndicat, ils sont votés. Le syndicat est
libre, l’argent des syndicats doit etre prévu dans le règlement d’entreprise. La
dissolution du syndicat peut etre volontaire ou forcer quand il y a dissolution la
question primordiale quel est le sort du syndicat. Les biens du syndicat sont
dévolus conformement au statut. Doit ceder a une les biens à une autre
association. La vie u interne du syndicat le rapport entre le syndicat doit. Le
rapport entre le syndicat et les adhèrants. De manière horizontale on parle de
la démocratique syndicale parce que la délegation syndicale ne sont pas là pour
leur propre gré il travail pour les intérets des autres. Rapport vertical discipline
de syndicat. Toutes nos revendications nous allons porter ça à un groupe.
Peuvent choisir les organes dirigeants. Les attributs de la personnalité morale
une personne morale doit avoir un nom. La vie externe le syndicat doit jouir du
droit de la personnalité
1ère action syndicale proprement dit engager par le syndicat au nom de syndicat
avec comme objet. Nous voulons que l’employeur nous payes les heures
supplementaires. Action individuelle du syndicat. Art. 303
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Convention collective dite ordinaire qui releve de l’accord écrit entre les deux
parties extensibles c’est-à-dire les conventions collectives qui peuvent etre
imposées aux parties qui n’ont pas participation a la négociation
ouvert qui est élaboré a l’issu s’un processus de négociation collective, emet de
dialogue social pour trouver un accord permettant d’apporter plus les
avantages aux travailleurs. Négociation on tient compte fonction de moyen
des entreprises la convention collective doit connaitre les recettes de
l’entreprise. Doit etre négocié par les personnes habilitées. Les différents
mandataires doivent etre habilités de négocier les répresentrants de
travailleurs élus. Le nieveau d’habilitation entraine la nullité de la convention.
Les conditions de fond sont celles qui sont énuméres à l’article 8. Conditions de
formes la convention collective doit respecter les conditions de l’article 279.
Celui de la liberté, les parties sont librées de discuter les différents points
article 279. Y a un contenu défini par la loi alinéa 3. L’ahésion intervient
lorsqu’une partie n’avait pas participation à la négociation. Une partie doit
récourir aux mécanismes d’adhésion. Les adhérants se voient imposés de tous
les droits imposés à la convention collective. Ils font une démande érite. Si vous
voulez adhérer il faudrait manifester votre volonté de manière écrite. Le
principe de liberté syndicale qu’on va cheminer vers le pocessus de la
convention collective. La convention collective peut etre un cintrat a durée
déterminer ou indéterminer. A partir de la liberté syndicale qu’on négoci la
convention collective. L’ahésion peut etre unilaterale. Les parties qui adhèrent
ne pourront faite l’usage de la dénociation dans les deux années qui suivent
leur adhésion. Ces parties doivent avoir des limites à la liberté contractuelle
l’orde public doit etre négocier. La convention dequ’elle est élaboré les
conventions du travail, l’inpecteur du travail doit verifier. La convention
collective est publiée au journal officiel. Produit les effets qu’à l’égarg des
parties qui négocient le contrat du travail. Par dérogation en droit commun, la
convention collective va rétantir, c’est-à-dire les gens qui sont restés à la
maison, qui n’ont pas participés à la négociation. Les effets de la convention
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endroit des parties au contrat. L’article 293 du code du travail prévoit plutôt
des aménagements en cas de scission de fusion, des organismes ou en cas des
substitutions d’un employeur. En cas de scission la convention collective
concerne la force obligatoire à l’ endroit des organisations professionnelles qui
ce sont scindées. La comparaison de deux convention successive les différents
avantages on le fait avantage par avantage.
Pour ce point aux articles 284, 285, 287 et 290. Ici on parle des conventions
collectives extensibles. La convention qu’on étendre le ministre de travail,
intervient pour imposé aux entreprises qui n’avaient pas participé à la
négociation. L’objectifde la commission paritaire c’est de jauger