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Introduction 1
Références bibliographiques 76
Introduction
1
Ce document est divisé en cinq chapitres :
2
Chapitre I : Notions de base et définitions
T °C ρ T °C ρ T °C ρ
0 0.9999 40 0.9922 80 0.9718
4 1 50 0.9881 90 0.9653
20 0.9982 60 0.9832 100 0.9585
30 0.9957 70 0.9778
3
I.1.3 Viscosité dynamique ( )
(I.1)
(I.2)
- Dimension : [L2T-1]
- Unités de la viscosité cinématique :
Système international (SI) : m²/s ;
Système CGS: cm²/s ou Stokes (St). 1 St = 10-4 m²/s
4
(I.3)
( ).
- Dimension : [M-1LT2]
- Unités de Coefficient de compressibilité :
Système international (SI) : Pascal (Pa) ;
Système CGS: cm²/s ou Stokes (St). 1 St = 10-4 m²/s
Un milieu poreux peut être défini comme un matériau formé d'une phase
solide (des grains solides de différentes tailles) distribuée de manière
aléatoire dans le volume du matériau et renfermant des cavités ou des
pores. L'ensemble de ces pores constitue un espace interstitiel qui peut être
le siège de l'écoulement d'un fluide. Les pores entre les particules solides
peuvent être connectés ou non, et sont remplis partiellement ou totalement
par un fluide (liquide, gaz). Les milieux poreux peuvent être consolidés,
comme les grès, ou non consolidés (meuble) comme le sable.
I.2.1 Porosité
5
Figure I.1 : Porosité primaire.
A) bon classement ; B) mauvais classement ; C) cimentation
- la façon dont ces vides sont occupés par le fluide et les relations
fluides - solides qui s’établissent.
Selon la nature des vides dans les roches on peut distinguer trois types de
porosités (Figure4) :
6
- la porosité d’interstices : Ce type de porosité caractérise les
formations meubles (graviers, sables, etc.) ou des roches consolidées
non encore complètement colmatées ; les pores sont interconnectés.
Ce type de porosité peut disparaitre par cimentation des grains
comme chez les grès (Figure I.3).
7
La porosité dépend de la forme, de l’agencement des grains constituant la
roche, mais aussi de leur degré de classement, de compaction, de
cimentation. La fracturation et l’altération par dissolution des niveaux
rocheux peuvent également constituer des facteurs favorables au
développement de la porosité.
(I.4)
La porosité " n " est influencée par l'arrangement des grains (Figure I.6). Si
on considère un arrangement de grains de forme sphérique et d'égal
diamètre on aura:
8
correspond à une faible proportion de vide dans un sol, donc à un
arrangement granulaire compact.
(I.5)
(I.6)
c. Coefficient de saturation ( )
(I.7)
(I.8)
Les vides présents dans la roche peuvent être connectés entre eux, on
parle alors de porosité « ouverte » ou sans communication, on parle de
porosité « fermée ». Dans un milieu poreux, l’eau peut se déplacer
uniquement dans les vides interconnectés. De plus, les grains retiennent
l’eau par capillarité et l’empêche de circuler librement. La porosité efficace
représente le volume d’eau mobilisable par gravité (eau gravitaire), c'est-à-
dire l’« eau libre » (non liée aux grains de la roche par capillarité) et circulant
dans les pores « ouverts ».
9
I.2.2 Capacité de rétention ( )
(I.9)
10
gradient hydraulique. La transmissivité est égale au produit du coefficient de
perméabilité K, par l'épaisseur de l'aquifère, b. Elle s'exprime en m2/s.
(I.10)
I.3.2 L'emmagasinement ( )
11
Chapitre II : Ecoulement dans un milieu poreux
(II.1)
: Accélération de la pesanteur,
12
particule d’eau considérée) et le troisième à l’énergie cinétique de l’eau
en mouvement.
La vitesse de l’eau dans le milieu poreux est en général très faible, dans les
couches d’argile, l’eau parcourt une dizaine de mètres en dix ou vingt ans
(quelques millimètres par jour). Dans des cas exceptionnels, elle atteint 1
m/s. Le terme dû à l’énergie cinétique ( ) reste donc faible devant les
deux autres. L’expression de la charge hydraulique, appelée aussi potentiel
hydraulique, se réduit donc au terme de l’énergie potentielle :
(II.2)
(II.3)
Il a pour composantes :
13
conduite et le débit de filtration correspondant lorsque le régime permanent
était atteint.
La théorie des écoulements en milieu poreux est fondée sur les résultats
d’expériences réalisées en 1856 par H. Darcy. Le dispositif expérimental
comportait des tubes verticaux de 2,50 m de haut et de 0,35 m de diamètre
intérieur, remplis de sable naturel homogène sur une hauteur, l (Figure II.1).
La partie supérieure du tube est alimentée en eau à un niveau maintenu à
une altitude constante, H, au-dessus d'un plan fixe de référence. Le volume
d'eau, recueilli à la base, est mesuré en fonction du temps, en secondes ou
en heures. Le poids de la colonne d'eau, de hauteur équivalente à H, est la
charge hydraulique, notée h, exprimée en mètres de hauteur d'eau.
14
travers la section totale, perpendiculaire à la direction verticale
d'écoulement, en (m2) , est fonction d'un coefficient de proportionnalité
(m/s) appelé coefficient de perméabilité qui dépend des caractéristiques du
sable et de la perte de charge par unité de longueur du cylindre de sable,
(sans dimension) . D'où l’expression de la loi de Darcy :
(II.5)
Avec :
(II.5)
(II.6)
(II.7)
(II.8)
(II.9)
(II.10)
Le signe négatif est introduit devant le membre de droite de l'équation car la
charge décroît dans le sens de l'écoulement et ( ) ou ( ), ne peuvent pas
être négatifs.
16
Figure II.2
Etant donné que les vitesse d’écoulement dans le milieu poreux sont très
faibles, la ligne d’énergie coïncide parfaitement avec la ligne piézométrique.
(II.11)
17
pour la valeur de la courbe granulométrique. Dans le cas de terrains
fissurés on prend , où est la largeur de la fissure.
(II.12)
On a ainsi :
(II.13)
(II.14)
18
- L’isotropie se dit d’un milieu dans lequel les caractéristiques
physiques (granulométrie en particulier) sont constantes dans les trois
directions de l’espace. Dans le cas contraire, le milieu est dit
anisotrope.
19
ce qui revient à postuler l'existence d'une fonction
appelée potentiel des vitesses (c'est-à-dire donnant les composantes de la
vitesse dérivation:)
20
Ce n’est pas une équation de Laplace, la charge hydraulique n’est pas une
fonction harmonique.
21
II.5.2 Perméabilité intrinsèque
(II.15)
a. Formule de Kozeny
(II.16)
(II.17)
On aura alors,
(II.18)
22
II.6 Coefficient de perméabilité des terrains stratifiés
Dans une telle situation (Figure II.3a), la perte de charge sera identique
pour toutes les couches et le débit total correspond à la somme de débits
de chaque couche.
23
Puisque les débits sont identiques:
(II.19)
Dans une telle situation (Figure II.3b), la perte de charge totale sera la
somme de perte de charge de chaque couche et le débit est identique pour
toutes les couches.
(II.20)
24
Exercice II. 1 :
Exercice II.2
1. calculer K
2. calculer V en m/s
25
Chapitre III : Caractéristique des écoulements dans le milieu poreux
III.1
III.2
26
Soit un petit volume élémentaire (Figure III.1), et en supposant que le
liquide filtrant et le milieu poreux sont incompressibles, et en admettant que
la somme de débits entrants pour les trois faces soient égales à la
somme des débits sortants par les faces opposées.
Figure III.1
Débit entrant :
III.3
Débit sortant :
III.4
27
III.5
III.6
III.8
28
III.9
III.10a
III.10b
III.10c
III.11
Pour que cette équation soit l’équation de Laplace, il faut et il suffit que :
On en déduit alors :
29
III.12
III.13a
III.13b
III.13c
III.14
III.15
III.16a
III.16b
30
Compte tenu des équations (III.12) et (III.14) on obtient :
III.17
Un écoulement est défini comme étant un écoulement limité par deux sortes
de surfaces :
31
III.1.4.2 Ecoulement à surface libre
Il est caractérisé par la présence d’une surface libre limitant cet écoulement
vers le haut (ex : Nappes phréatiques ; Ligne de saturation de l’écoulement
à travers une digue enterre)
et III.21
32
Figure 2b : Ecoulement à surface libre à travers une digue
Soit un barrage en terre de section droite ABCD (Figure III.3) reposant sur
un substratum imperméable. La hauteur de l’eau dans la retenue est H. Le
plan de référence est le niveau du substratum. Il correspond au niveau de
l’eau en aval.
33
La condition à la limite sur AE est donc : (condition de
Dirichlet)
III.22
34
Figure 4
III.23
III.24
exprimer par :
III.25
Règle de Leibnitz
35
Nous obtenons :
III.26
III.29
1er Cas : Nappe limitée par une paroi verticale étanche (imperméable)
La condition sur une paroi imperméable est :
III.30
36
Figure III.5a
III.31
Figure III.5b
III.31
37
III.2 Ecoulement non permanent
38
b. Incompressibilité du liquide filtrant, ce qui conduit à l’équation de
continuité valable en tout point et à chaque instant :
(Condition de Neumann)
39
Figure III.6
, élément de la surface
40
III.35
III.36
III.37
III.38
41
Exercice III.1
42
Chapitre IV : Hydraulique des puits
43
IV.1 .2 Nappes captives
La situation d’une nappe captive (ou d’une partie de nappe) est celle où la
formation aquifère est contrainte entre deux niveaux imperméables (Figure
IV.2). L’eau d’infiltration provient de zones éloignées qui imposent leurs
conditions (flux, pression d’eau). Dans ce cas, le remplissage de la nappe
se fait comme dans le cas de la nappe libre (à une pression proche de la
pression atmosphérique) tant qu’il reste des vides. Lorsque le toit de la
formation est atteint, l’eau ne peut entrer dans le milieu poreux que par
d’autres processus, tels que le réarrangement des grains solides, la
compressibilité de l’eau, ou la compressibilité de la matrice poreuse. La
capacité d’emmagasinement de la nappe est donc plus complexe à évaluer
et dépend des propriétés du fluide et du milieu.
44
IV.1 .3 La transmissivité (T)
IV.2
45
Cas d’aquifère à nappe libre Nappe captive
é é
é é : Volume d’eau libéré suite à un
abaissement de la surface
: Coefficient d’emmagasinement piézométrique
: Porosité efficace
Figure 3 :
Dans un milieu homogène et isotrope, les lignes de courant sont les droites
perpendiculaires aux isopièzes. Le sens d’écoulement caractérisant chaque
ligne de courant sera de l’isopièze de valeur élevée vers l’isopièze de faible
valeur.
46
IV.2 Captage des eaux souterraines
47
b. Ouvrages de captage pour l’élimination des eaux
excédentaires nuisibles aux cultures (fossés de drainage, drains,
puits de drainage)
48
- Nappes à filets convergents : elles sont créées par un puits, où la
nature du mouvement est caractérisée par trois composantes
(écoulement à trois dimensions).
c. Nappes cylindriques
IV.3
49
IV.4
IV.5
Soit, en intégrant :
IV.6
IV.7
IV.8
: Perméabilité à saturation;
: Distance séparant la rivière du canal;
50
: Hauteur de l’eau dans la rivière
: Hauteur d’eau dans le contre-canal;
: Débit du canal.
On obtient
IV.10
IV.11
51
et l’influence du pompage se fait sentir sur une certaine distance R (rayon
d’action = rayon d’influence) de l’axe du puits.
et
IV.12
En intégrant :
IV.13
52
Pour un canal :
Pour un puits :
Choultse :
IV.14
53
D’où l’équation de la surface de la nappe libre z(x) est :
IV.15
IV.16
54
En intégrant :
IV.17
éq.8.17
55
Figure 5 : Puits parfait en nappe captive.
éq.8.18
56
U 1 2 3 4 5 6 7 8 9
x1 0.219 0.049 0.013 0.0038 0.0011 0.00036 0.00012 0.000038 0.00
-1
x 10 1.82 1.22 0.91 0.7 0.56 0.45 0.37 0.31 0.26
-2
x 10 4.04 3.35 2.96 2.68 2.47 2.3 2.15 2.03 1.92
-3
x 10 6.33 5.64 5.23 4.95 4.73 4.54 4.39 4.26 4.14
x 10-4 8.63 7.94 7.53 7.25 7.02 6.84 6.69 6.55 6.44
x 10-5 10.94 10.24 9.84 9.55 9.33 9.14 8.99 8.86 8.74
x 10-6 13.24 12.55 12.14 11.85 11.63 11.45 11.29 11.16 11.04
x 10-7 15.54 14.85 14.44 14.15 13.93 13.75 13.60 13.46 13.34
x 10-8 17.84 17.15 16.74 16.46 16.23 16.05 15.9 15.76 15.65
x 10-9 20.15 19.45 19.05 18.76 18.54 18.35 18.2 18.07 17.95
x 10-10 22.45 21.76 21.35 21.06 20.84 20.66 20.5 20.37 20.25
-11
x 10 24.75 24.06 23.65 23.36 23.14 22.96 22.81 22.67 22.55
-12
x 10 27.05 26.36 25.96 25.67 25.44 25.26 25.11 24.97 24.86
-13
x 10 29.36 28.66 28.26 27.97 27.75 27.56 27.41 27.28 27.16
-14
x 10 31.66 30.97 30.56 30.27 30.05 29.87 29.71 29.58 29.46
x 10-15 33.96 33.27 32.86 32.58 32.35 32.17 32.02 31.88 31.76
57
IV.4 Puits incomplet (puits à pénétration partielle)
Formule de Forchheimer
Formule de Babouchkine et
Guirinsky
58
Exercice IV.1
Soient 3 forages réalisés dans des aquifères indépendants et dont les fluides sont
de nature différentes.
Exercice IV.2
On souhaite déterminer la porosité efficace ( ) et le coefficient
d'emmagasinement ( ) d’un aquifère libre, dont la superficie est de 10 5 hectares.
Cet aquifère qui est situé en zone semi-aride est soumis à un pompage intensif où
l’on extrait annuellement un volume d’eau souterraine de 500 Hm 3, ce qui conduit
à un rabattement annuel du niveau de la nappe de l’ordre de 3 m.
Exercice IV.3
Une commune est alimentée par un puits dans une nappe captive de 100 m
d'épaisseur et dont la hauteur à l’équilibre est aussi de 100m. Le débit pompé est
Q= 628 litres par seconde. La conductivité hydraulique est K=0.001 m/s. Le
diamètre du puits est d=1m et le rayon d’influence est R=450 m.
1. Calculer le rabattement dans le puits et À 100 mètres du puits.
2. On creuse un deuxième puits à 200 mètres du premier, et ayant des
caractéristiques identiques à celui-ci. Calculer le rabattement en un point
situé au milieu entre les deux puits (à 100 mètres de chacun).
3. Mêmes questions que 1 et 2 en considérant que la nappe est libre.
59
Chapitre V : Mesure de la perméabilité
V.1 Introduction
60
une charge initiale ho et on mesure au cours du temps les hauteurs ht, pour
construire un tableau ht en fonction de t.
61
d’en calculer la perméabilité. Ce type d’essai dure longtemps et réclame
généralement une préparation importante (forage et tubage du puits, pose
de piézomètres au voisinage). Il est surtout mis en œuvre en vue de
l’exploitation des nappes. En génie civil, on l’utilise moins fréquemment, en
préférant le plus souvent des essais plus ponctuels, plus rapides, moins
coûteux.
a. Principe
62
a.2 L’essai à niveau variable
b. Interprétation
On suppose que :
La loi de Darcy applicable
Le régime est permanent
Le milieu est homogène et isotrope
63
Elle se simplifie si à2
Le mode opératoire de cet essai est plus simple mais l’interprétation plus
délicate que dans le cas précédant. La formule théorique généralement
utilisée est :
64
En coordonnée semi-logarithmique les points expérimentaux du graphique
a. Principe de l’essai
b. Appareillage
Outre le matériel de forage, il faut disposer pour réaliser l’essai (Figure V.5):
65
Figure V.5 : Principe de l’essai de Lugeon
c. Mode opératoire
• Niveau statique
Le niveau statique de la nappe est celui qui règne avec le forage d’essai.
• Confection de la cavité
En l’absence d’indication sa hauteur est de 3 m et son diamètre est d’entre
75 mm et 140 mm. Le fluide de forage utilisé est l’eau claire ou l’air. Le
forage est nettoyé par lavage avant essai afin d’éliminer les particules dues
à la perforation. L’isolation de la partie supérieure du forage est réalisée à
l’aide de l’obturateur dilatable.
d. Déroulement de l’essai
L’eau est injectée dans la cavité sous les pressions de 0,2 MPa - 0,4 MPa -
0,6 MPa - 0,8 MPa et 1 MPa. Ensuite les pressions sont décroissantes : 0,7
MPa – 0,5 MPa – 0,3 MPa – 0,1 MPa. Durant chaque palier, la pression est
maintenue constante pendant 10 minutes et les volumes injectés sont
mesurés toutes les minutes. Au cours de chaque palier croissant ou
66
décroissant sont contrôlés, la pression (pg) sur le circuit de l’obturateur et le
niveau de l’eau au-dessus de la cavité.
Par définition : 1 lugeon = débit d’un litre par minute, injecté dans un
tronçon de forage d’un mètre de longueur sous une pression d’un MPa,
maintenue constant pendant 10 minutes.
67
Corrigé des exercices
Corrigé 1
- i : gradient hydraulique →
68
Corrigé 2
1- Calcul de K:
2- Calcul de V:
Corrigé II.1
Pour montrer que le que le fluide est incompressible, devons montrer que
69
La somme de ces 3 termes vaut zéro, le fluide est
incompressible.
D’où : Donc :
Nous avons . Pour que cette équation soit définie, il faut que dy=0.
L'écoulement se situe donc dans le plan Oxz.
70
Ce qui nous donne :
Puis :
On obtient enfin :
Corrigé IV.1
1. Représentation schématiquement la configuration des 3 forages
Dans le cas d’un écoulement dans un milieu poreux la valeur de ( ) est très petite qu’on
à tendance à la négliger, et la charge hydraulique se réduit à :
71
C 1100 51,88 7,95 43.93 474048.6
On sait que :
Aquifère A : :
Aquifère B : :
Aquifère C : :
Corrigé IV.2
72
Corrigé IV.3
Données
- Epaisseur de l’aquifère (ou H) = 100 m ;
- Perméabilité = 0.001 m/s ;
- Débit = 628 l/s = 0.628 m3/s ;
- Diamètre du puits = 1 m → Rayon du puits = 0.5 ;
- Rayon d’action = 450 m.
2. Le rabattement est double par rapport à un puits seul donc, car le débit
pompé sera doublé.
75