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Classe : 2 Bac. SM A et B
Année : 2023/2024
Prof : A. el Amrani

Série 2 : Ondes mécaniques progressives périodiques

Exercice n°1 :
Qu’appelle-t-on :
1. Périodicité spatiale et temporelle ?
2. Diffraction pour une onde progressive périodique ?
3. Milieu dispersif ?

Exercice n°2 :
Des ondes mécaniques progressives, sinusoïdales et rectilignes, sont créées à la surface de l’eau d’une cuve à
ondes. Sur l’écran d’observation, la distance séparant cinq franges brillantes consécutives est 𝐷 = 175 𝑚𝑚.
Une règle de longueur 𝐿 = 130 𝑚𝑚 est déposée sur la cuve à ondes ; son image sur l’écran d’observation a pour
longueur 𝐿′ = 225 𝑚𝑚.
1. A combien de longueurs d’onde la distance 𝐷 correspond-elle ?
2. Calculer la longueur d’onde des ondes créées à la surface de la cuve.
3. La fréquence des ondes créées à la surface de l’eau est de 𝑁 = 8,0 𝐻𝑧. En déduire la célérité de ces ondes.

Exercice 3 :
Un robinet, mal refermé, s’égoutte à la verticale d’un point O d’une bassine remplie d’eau à un rythme de 80
gouttes d’eau à la minute. A partir du point O, à la surface de l’eau, il se forme une onde circulaire sinusoïdale
dont l’amplitude décroît progressivement avec la distance du point O. La distance séparant deux crêtes
successives est 𝑑 = 12 𝑐𝑚.
1. Déterminer la longueur d’onde, 𝜆.
2. En déduire une valeur de la célérité des ondes à la surface de l’eau, 𝑣.

Exercice 4 :
Dans une cuve à ondes, un vibreur émet une onde mécanique progressive sinusoïdale de fréquence 𝑁 = 30 𝐻𝑧.
On mesure la distance 𝑑 = 2,0 𝑐𝑚 séparant deux crêtes consécutives proches de la source.
1. Déterminer la célérité v de l’onde puis la profondeur h à cet endroit.
2. En s’éloignant du vibreur, deux crêtes consécutives ne sont plus distantes que de 𝑑’ = 1,0 𝑐𝑚.
Déterminer la célérité v’ de l’onde puis la profondeur h’ à cet endroit.
Données : Célérité des ondes : 𝑣 = √𝑔. ℎ où 𝑔 désigne l’accélération de la pesanteur et ℎ la profondeur
d’eau. 𝑔 = 9,81 𝑚. 𝑠 −2.

Exercice 5 :
Le sonar, système émetteur et récepteur d’ultrasons, permet de mesurer la profondeur des océans.
Disposé sous la coque d’un navire, le sonar comprend un émetteur de fréquence N = 40 kHz émettant une onde
ultrasonore verticalement vers le fond de l’océan et un récepteur situé juste à côté de l’émetteur. Le récepteur
arrête l’émission de l’onde à la réception de l’onde réfléchie ; un compteur relié à l’émetteur permet de
dénombrer le nombre 𝑛 de périodes complètes émises.
1. Une mesure obtenue indique 𝑛 = 330 123. Quelle est la profondeur de l’océan à cet endroit ?
2. L’amplitude de l’onde ultrasonore diminue lors de la progression de l’onde. Après une distance L parcourue,
l’onde présente une amplitude 𝑎, telle que : 𝑝 = 𝑝0 . 𝑒 −𝜇.𝐿 où p ainsi que p0 sont des pressions et μ est un
coefficient d’amortissement. Sachant que le récepteur est capable de détecter une onde d’amplitude
supérieure à 𝑝𝑚𝑖𝑛 = 1,0.10−3 𝑃𝑎,quelle profondeur maximale le sonar peut-il mesurer ?
Données : Célérité des ultrasons dans l’eau de mer : 𝑣 = 1500 𝑚. 𝑠 −1. 𝑝0 = 10,0 𝑃𝑎 ; 𝜇 = 2,5 . 10−4 𝑚−1.
Exercice 6 :
Le dauphin est un mammifère, il peut entendre des sons audibles par les humains dont les fréquences sont
comprises entre 20 𝐻𝑧 et 20 𝑘𝐻𝑧. Il a également la capacité d'envoyer et de recevoir des ultrasons pour localiser
la nourriture et l'aider à naviguer dans l'océan.
Le dauphin envoie des signaux audio intermittents dont la fréquence est 𝑁 = 50 𝑘𝐻z, avec une portée de
quelques centaines de mètres où l'intervalle entre deux signaux consécutifs est ∆𝑡 = 220 𝑚𝑠. Ces signaux sont
réfléchis sur le fond de l'océan ou sur les rochers où le dauphin reçoit son écho après un délai 𝜏.
La figure ci-dessous donne l'amplitude de chaque signal sonore émis et réfléchis avec le temps
Signal émis

Signal réfléchis

1. Déterminer 𝜏, le retard qui sépare le signal émis et son écho.


2. Déterminer 𝐻, la distance entre la position du dauphin et le fond de l'océan.

Exercice 7 :
Beaucoup d'animaux tels que les dauphins, les éléphants, et les chauves-souris utilisent des «sons» pour
communiquer entre eux, chasser leur proie ou pour se localiser. Le cas des dauphins est particulièrement
intéressant étant donné leur capacité à utiliser ce mode de « langage » presque à l'égal des humains comme le
disent certains scientifiques.
A. Généralités sur les sons :
Un son est un phénomène physique lié à la transmission d'un mouvement vibratoire. Tout objet susceptible de
vibrer peut générer un son aussi longtemps que les vibrations sont entretenues. Pour entendre un son, il faut que
les vibrations soient transportées jusqu'au récepteur par un milieu, par exemple l'air mais aussi les liquides et les
solides. Les molécules du milieu qui reçoivent une impulsion sont mises en mouvement dans une certaine
direction. Elles rencontrent d'autres molécules qu'elles poussent devant elles en formant ainsi une zone de
compression. A la compression succède une détente et ainsi de suite : il s'établit alors une série d'oscillations qui
se transmettent de proche en proche.
1. Définir une onde mécanique.
2. Un modèle permettant d'étudier la propagation des sons consiste à découper le milieu de propagation en
tranches identiques susceptibles de se comprimer et de se détendre. On fait correspondre à chaque tranche un
chariot et un ressort (𝒇𝒊𝒈. 𝟏). Une brève impulsion sur le premier chariot permet de simuler la propagation d'une
onde.

Tranches d’air
Chariot
(𝒇𝒊𝒈. 𝟏)

Ressort
2.1. D'après le modèle, l'onde sonore est-elle longitudinale ou transversale ? Justifier la réponse.
2.2. De quelle propriété du milieu, modélisée par le ressort, la célérité d'une onde mécanique dépend-elle ?
2.3. De quelle propriété du milieu, modélisée par la masse d'un chariot, la célérité d'une onde mécanique
dépend-elle ?
B. Le biosonar des dauphins : Echolocalisation
Le dauphin est un mammifère de la famille des cétacés. Il perçoit, comme l'homme, les sons ayant une
fréquence de 20 𝐻𝑧 à 20 𝑘𝐻𝑧. Il est aussi capable d'émettre et de capter des ultrasons lui permettant de se
localiser par écho grâce à un sonar biologique.
1. A quelles fréquences se situent les ultrasons ?
2. Pour étudier expérimentalement les ultrasons produits par les dauphins, on dispose d'un émetteur et de deux
récepteurs (𝑅1 ) et (𝑅2 ) à ultrasons que l'on place dans un récipient rempli d'eau. L'émetteur génère une onde
ultrasonore progressive et sinusoïdale. Un oscilloscope permet d'enregistrer les signaux détectés par chaque
récepteur séparé d'une distance 𝑑 = 12 𝑚𝑚, le récepteur (𝑅1 ) étant le plus proche de l'émetteur. On obtient
l'oscillogramme (𝒇𝒊𝒈. 𝟐).

𝑢(𝑉) (𝒇𝒊𝒈. 𝟐) 𝑅é𝑐𝑒𝑝𝑡𝑒𝑢𝑟 1


Récepteur 2
1,0
0
−1,0 𝑡(𝜇𝑠)

20 40 60
2.1. Déterminer la fréquence des ondes ultrasonores émises.
2.2. Quel est le retard que présente la détection des ondes au niveau du récepteur (𝑅2 ) par rapport au récepteur
(𝑅1 ), sachant que ce retard est inférieur à la périodicité temporelle. En déduire la célérité des ondes
ultrasonores dans l'eau.
2.3. Définir puis calculer la longueur d'onde des ondes ultrasonores dans l'eau. Les dauphins n'émettent pas des
ultrasons en continu mais des salves ultrasonores très brèves et puissantes appelées « clics ». Ces clics sont émis
par séries formant un large faisceau appelé « trains de clics ». La durée d'u train de clics et le nombre de clics
contenus dans le train dépendent de leur fonction : localisation du dauphin ou recherche de nourriture. On
suppose que les clics d'un même train sont émis à intervalles de temps réguliers et ont la même fréquence.
3. La (𝒇𝒊𝒈. 𝟑) est un exemple de clic. La (𝒇𝒊𝒈. 𝟒) représente le train de clics correspondant où les clics sont
représentés par des traits verticaux.
Comparer la durée totale d'un clic et la durée entre deux clics d'un train. Justifier la représentation d'un train de
clics (𝒇𝒊𝒈. 𝟒).
𝐴𝑚𝑝𝑙𝑖𝑡𝑢𝑑𝑒 (𝑓𝑖𝑔. 3) 𝐴𝑚𝑝𝑙𝑖𝑡𝑢𝑑𝑒 (𝑓𝑖𝑔. 4)
0,5 0,5
0 0
−0,5 𝑡(𝜇𝑠) −0,5 100 200 𝑡(𝑚𝑠)

20 40 60

4. Afin de se localiser, le dauphin émet d'autres clics de fréquence 50 𝑘𝐻𝑧 et de portée de plusieurs centaines de
mètres. Ces clics, espacés de 220 𝑚𝑠 se réfléchissent sur le fond marin ou les rochers et sont captés à leur retour
par le dauphin. La perception du retard de l'écho lui fournit des informations concernant l'aspect du fond marin
ou la présence d'une masse importante (bateau ou nourriture). La célérité des ultrasons dans l'eau salée à 10 𝑚
de profondeur est de 𝑣𝑒 = 1530 𝑚. 𝑠 −1 .
4.1. La (𝒇𝒊𝒈. 𝟓) montre, pour un même train, les clics émis et reçus par écho. Déterminer l'intervalle de temps Δ𝑡
séparant l'émission d'un clic et la réception de son écho, sachant que ce retard est inférieur à la durée entre
deux clics.
4.2. En déduire la distance 𝐻 à laquelle se trouve le dauphin du fond marin.
𝐴𝑚𝑝𝑙𝑖𝑡𝑢𝑑𝑒 (𝑓𝑖𝑔. 5) 𝑅é𝑐𝑒𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛
𝐸𝑚𝑖𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛
0,5
0
−0,5 0,4 0,6 0,8 1,0 1,2 1,4 𝑡(𝑠)
0,2

Exercice 8 :
Une piscine rectangulaire de longueur 𝐿 = 50 𝑚 comporte deux parties :
▪ Le grand bassin de longueur 𝐿1 = 30 𝑚 et de 𝑀 𝑁
profondeur ℎ1. 𝑆
▪ Le petit bassin de longueur 𝐿2 et son fond se
ℎ1 𝐿1
trouve à une altitude ℎ0 par rapport à celui du ℎ0
grand bassin.
𝐿
A l’aide d’une lame vibrante, on crée au point S de la surface libre de l’eau, à l’instant 𝑡 = 0, une onde plane
progressive qui se propage sans amortissement et sans réflexion. Cette onde est recu par deux capteurs, le
premier au point M et le deuxième au point N.
Le document ci-dessous représente la variation de l’élongation 𝑦(𝑡) des deux points M et N.

𝑦𝑀 𝑦𝑁
1
0
2,5 𝑡 (𝑠)
La vitesse de propagation de l’onde à la surface de l’eau est donnée par : 𝑣 = √𝑔. ℎ. Avec : 𝑔 = 9,81 𝑚. 𝑠 −2
1. Est-ce que la surface de l’eau est dispersive pour les ondes dans ce cas ?
2. Déterminer la profondeur ℎ1 du grand bassin.
3. Calculer la longueur d’onde 𝜆1 à la surface du grand bassin.
4. Déterminer l’élongation du point M à l’instant 𝑡1 = 8,75 𝑠. En déduire l’élongation de S à ce même instant.
5. Calculer la valeur de ℎ0.

Exercice 9 :
On dispose pour un élève les équipements suivants : 𝑌
• Emetteur ultrasonique et son alimentation électrique. 𝐺𝐵𝐹 𝑌1 2
• Deux récepteurs (microphones) 𝑅1 et 𝑅2 liés à un Oscilloscope. (𝐸)
• Une règle graduée. (𝑅1 ) (𝑅2 )
L'élève réalise ensuite le dispositif expérimental représentée ci-dessus.
L'émetteur E génère une onde ultrasonore progressive dans l'air
atteignant les récepteurs 𝑅1 et 𝑅2 . L'émetteur et les récepteurs sont 𝑑 = 13,6 𝑐𝑚
linéaires.
Les signaux reçus par 𝑅1 et 𝑅2 sont appliqués respectivement aux entrées 𝑌1 et 𝑌2 de l'oscilloscope.
Lorsque les récepteurs 𝑅1 et 𝑅2 sont à la même distance 𝑑 du récepteur, les deux
𝑌1
signaux sont en phases.
1. Donner le type des ondes ultrasonores.
2. Lorsque l’élève écarte le récepteur 𝑅2 , horizontalement le long de la règle, loin
de 𝑅1 , le signal 𝑌1 se déplace vers la droite du signal 𝑌2 .On continue cet
écartement jusqu'à ce que les deux signaux redeviennent en phase. Puis on 𝑌2
enregistre la distance séparateur 𝑑𝑖 entre le récepteur 𝑅1 et 𝑅2 , nous obtenons
les résultats dans le tableau ci-dessous : 𝑆𝑉 ∶ 𝑣𝑏 = 50. 10−6 𝑠 /𝑑𝑖𝑣
Tapez une équation ici.
Le nombre de fois où les deux signaux sont en phase 1 2 3
La distance 𝑑𝑖 (𝑐𝑚) 6,8 13,6 20,4
2.1. Déterminer la fréquence des ondes ultrasonores 𝑁.
2.2. Déterminez la longueur d'onde 𝜆. En déduire, 𝑣𝑎 la célérité de propagation des ultrasons dans l'air.
2.3. L'élève met maintenant l'émetteur et les deux récepteurs 𝑅1 et 𝑅2 dans l'eau, sans changer la fréquence 𝑁
de l'émetteur. Pour que les deux signaux soient en phase, il faut qu’on doive éloigner le récepteur 𝑅2 de 𝑅1
, 4 fois plus que la distance lorsque les ondes se propagent dans l'air. Déterminer, 𝑣𝑒 la célérité de
propagation des ultrasons dans l'eau.

Exercice 10 :
Une onde progressive sinusoïdale de fréquence 𝑁 = 50 𝐻𝑧, crée par une source ponctuelle S à l’instant 𝑡0 = 0
se propage à la surface de l’eau.
La figure ci-dessous représente, à l’instant 𝑡1, une coupe verticale de cette surface. A cette date, l’élongation
de la source S est nulle.
La distance 𝐴𝐵 𝑒𝑠𝑡 𝑑 = 𝐴𝐵 = 3,0 𝑐𝑚, l’amplitude de l’onde est constante de valeur 𝑎 = 4,0 𝑚𝑚.

𝐵
𝐴
𝑆
𝑆
1. L’onde est-elle circulaire ou rectiligne ? Justifier.
2. Déterminer la longueur d’onde, 𝜆.
3. Sur la figure ci-dessus, déterminer le nombre de points vibrant en opposition de phas avec S. Faire un schéma
en indiquant les positions et les mouvements de ces points et celui de S à l’instant 𝑡1.
4. Déterminer 𝑡1.
5. Déterminer la célérité de cette onde.
6. Déterminer le sens de la perturbation à 𝑡0 = 0.
7. Comparer, à 𝑡2 = 0,2 𝑠, l’élongation de S avec celle de M situé à la distance 𝑑 = 𝑆𝑀 = 1,25 𝑐𝑚 de S.
Exercice 11 :
On place une source sonore E dans un gaz, linéairement avec deux microphones 𝑀1 fixe et 𝑀2 mobile (fig.1).

𝑀1 (𝑓𝑖𝑔. 1) 𝑀2
𝐸

On branche les deux microphones aux entrées d’un oscilloscope.


On déplace 𝑀2 à une position ou 𝑀1 𝑀2 = 22,5 𝑐𝑚, on obtient l’oscillogramme (fig.2). La sensibilité de
l’oscilloscope est 20 𝜇𝑠. 𝑑𝑖𝑣 −1.
(𝑎) (𝑏)
(𝑓𝑖𝑔. 1)

1. Calculer la fréquence des ondes sonores.


2. Identifier, parmi les courbes (𝑎) et (𝑏) celle représentant le signal reçu par 𝑀2.
3. Quelles sont les valeurs possibles de la longueur d’onde, 𝜆, sachant que 𝜆 > 3 𝑐𝑚 ?
4. On déplace maintenant 𝑀2 à une position ou 𝑀1 𝑀2 = 15,75 𝑐𝑚, on obtient l’oscillogramme (fig.3). Quelles
sont les valeurs possibles de la longueur d’onde, 𝜆 ?

(𝑓𝑖𝑔. 3)

5. A partir des questions précédentes, déterminer la valeur de 𝜆. En déduire la valeur de la vitesse de


propagation des ondes sonores dans ce gaz.
On garde la même fréquence et on déplace 𝑀2 à une position ou 𝜆 < 𝑑 = 𝑀1 𝑀2 < 2𝜆, on obtient
l’oscillogramme (fig.4). Trouver la valeur de 𝑑.

(𝑓𝑖𝑔. 4)

Exercice 12 :
On relie l’extrémité S d’une corde à une lame vibrante de fréquence N. La figure ci-dessous représente
l’allure de la corde à une date 𝑡1 = 20 𝑚𝑠 . L’origine des dates coïncide avec le début du mouvement de la lame.

2 𝑐𝑚
2 𝑐𝑚

1. L’onde qui se propage est-elle longitudinale ou transversale ? Justifier.


2. Déterminer 𝜆, la longueur d’onde et 𝑁, la fréquence de l’onde. En déduire la célérité, 𝑣.
3. Soit 𝑀, un point de la corde situé à une distance 𝑆𝑀 = 10 𝑐𝑚 de la source S.
3.1. Calculer la distance d parcourue par M entre les instants 𝑡2 = 22 𝑚𝑠 et 𝑡3 = 42,5 𝑚𝑠.
3.2. Représenter l’élongation du point M.

Exercice 13 :
On fixe l’extrémité d’une corde tendue horizontalement à une lame vibrante animée d’un mouvement
sinusoïdal. L’onde engendrée se propage sans réflexion ni amortissement le long de la corde avec la vitesse
𝑐 = 4 𝑚. 𝑠 −1.
La figure ci-dessous représente l’aspect de la corde à une instant donnée.

𝑆 2 𝑐𝑚
1. Déterminer 𝜆, la longueur d’onde et 𝑁, la fréquence de l’onde. En déduire la célérité, 𝑣.
2. Soit 𝑀, un point de la corde situé à une distance 𝑆𝑀 = 20 𝑐𝑚 de la source S.
2.1. Calculer le retard temporel 𝜏 du mouvement de M par rapport à celui de S.
2.2. Donner l’équation d’élongation du point M par rapport à S.

Exercice 14 :
Une onde progressive sinusoïdale de fréquence 𝑁 = 50 𝐻𝑧, crée par une source ponctuelle S à l’instant 𝑡0 = 0
se propage à la surface de l’eau.
La figure ci-dessous représente, à l’instant 𝑡1, une coupe verticale de cette surface. A cette date, l’élongation
de S est nulle.
La distance 𝐴𝐵 𝑒𝑠𝑡 𝑑 = 𝐴𝐵 = 3,0 𝑐𝑚, l’amplitude de l’onde est constante de valeur 𝑎 = 4,0 𝑚𝑚.

𝐵
𝐴
𝑆𝑆

1. L’onde est-elle circulaire ou rectiligne ? Justifier.


2. Déterminer la longueur d’onde, 𝜆.
3. Sur la figure ci-dessus, déterminer le nombre de points vibrant en opposition de phase avec 𝑆. Faire un
schéma en indiquant les positions et les mouvements de ces points et celui de 𝑆 à l’instant 𝑡1.
4. Déterminer 𝑡1.
5. Déterminer la célérité de cette onde.
6. Déterminer le sens de la perturbation à 𝑡0 = 0.
7. Comparer, à 𝑡2 = 0,2 𝑠, l’élongation de S avec celle de M situé à la distance 𝑑 = 𝑆𝑀 = 1,25 𝑐𝑚 de S.

Exercice 15 :
On considère deux microphones 𝑀1 et 𝑀2 distant de ℓ = 2,0 𝑚, reliés respectivement à la voie (1) et (2) d’un
oscilloscope. Un émetteur 𝐸 considéré ponctuel, est placé entre les deux microphones (𝑓𝑖𝑔. 1).

ℓ (𝑓𝑖𝑔. 1)

(𝑀1 ) (𝑀2 )
(𝐸)

A l’instant 𝑡 = 0, l’émetteur émet une onde sonore qui se propage vers les deux microphones. Les deux
oscillogrammes obtenus sont représentés sur la (𝑓𝑖𝑔. 2). La vitesse de balayage de l’oscilloscope est
2,0 𝑚𝑠. 𝑑𝑖𝑣 −1. Donnée : Célérité du son dans l’air est : 𝑣𝑎 = 340 𝑚. 𝑠 −1.

(𝑓𝑖𝑔. 2)
(𝑣𝑜𝑖𝑒 1)

(𝑣𝑜𝑖𝑒 2)

1. Pour chaque affirmation, indiquer si elle est vraie ou fausse :


a. L’onde sonore est une onde mécanique transversale.
b. La longueur d’onde de l’onde sonore est constante quel que soit le milieu de propagation.
c. La vitesse de propagation de l’onde sonore dans l’air est la même quel que soit sa fréquence.
d. L’onde sonore se propage dans le vide, l’air et l’eau.
2. Déterminer la fréquence 𝑁 de l’onde étudiée. En déduire sa longueur d’onde 𝜆.
3. Exprimer la distance 𝑑1 entre l’émetteur et le microphone en fonction de ℓ et 𝜆. Calculer sa valeur.

Exercice 16 :
Nous considérons une cuve à ondes qui contient une quantité d'eau, au repos et d’épaisseur constante.
A l’aide d’un vibreur muni d’une réglette, on obtient une onde sinusoïdale rectiligne dont la fréquence
𝑁 = 50 𝐻𝑧 se propage sans amortissement et sans réflexion à la surface de l'eau. La figure ci-dessous
représente une section verticale de la surface de l'eau à l'instant 𝑡1.
La source S débute son mouvement à 𝑡0 = 0.
Vibreur S M
N

1. Déterminez la longueur d'onde 𝜆 de l'onde. En sa célérité de propagation 𝑣.


2. La source S a-t-elle commencé son mouvement vers ou vers le bas ? Justifier votre réponse.
3. Comparez les mouvements de M et S.
4. Déterminez la valeur de 𝑡1.

Exercice n°17 :
À la surface de l'eau, une onde rectiligne est créée par une source dont la fréquence est 𝑁 = 50 𝐻𝑧. La
figure ci-dessous représente l'apparence de la surface de l'eau, après avoir été éclairée par un stroboscope pour
obtenir un arrêt apparent des ondes, à l’instant 𝑡1 = 80,0 𝑚𝑠.

𝑀 𝑁 𝑃

1. Définir l'onde mécanique transversale. Et donnez deux exemples de ce type d'ondes.


2. Déterminez la longueur d'onde 𝜆. En déduire, 𝑣 la célérité de propagation des ondes à la surface de l'eau.
3. Nous plaçons une barrière devant l'onde rectiligne avec une ouverture de largeur ℓ = 0,8 𝑐𝑚, et on obtient
deux milieux de propagation (1) et (2). Déterminez le phénomène qui se produit dans le milieu (2), puis
spécifiez la condition pour l'obtenir.
4. Déterminer l'instant 𝑡2, auquel l'onde atteint le point P.

Exercice 18 :
A l’aide d’une réglette liée à un vibreur de fréquence réglable, on crée à la surface d’eau d’une cuve à
ondes, des ondes rectilignes, sinusoïdales de fréquence 𝑁 qui se propagent sans amortissement et sans
réflexion. Les figures (1) et (2) ci-dessous représentent l'apparence de la surface de l'eau pour les fréquences 𝑁1
et 𝑁2 du vibreur.

𝑁1 = 25 𝐻𝑧 𝑁2 = 40 𝐻𝑧

(𝑓𝑖𝑔. 1) (𝑓𝑖𝑔. 2)
1. Déterminez le type des ondes se propageant à la surface de l'eau. Justifier votre réponse.
2. Déterminez la longueur d'onde 𝜆1 et 𝜆2 pour les figures (1) et (2).
3. Calculez la célérité de propagation des ondes 𝑣1 et 𝑣2 pour les figures (1) et (2). Comparez-les et déduire la
propriété du milieu de propagation.
4. Nous réglons la fréquence du vibrateur à la valeur 𝑁1 = 25 𝐻𝑧 et mettons dans la cuve deux plaques qui
forment une barrière d'une largeur de 𝑎 = 0,7 𝑐𝑚.
4.1. Déterminer la longueur d'onde 𝜆1 ′ de l'onde après son passage par la fente. En déduire, 𝑣1 ′ sa célérité de
propagation.
4.2. Identifier le phénomène mis en évidence par l'expérience ? Justifier votre réponse.
4.3. Dessinez sur la figure ci-dessous les lignes d'onde après avoir passé par la fente.
Exercice 19 :
I. Étude sur une cuve à ondes :
On laisse tomber une goutte d'eau sur une cuve à ondes. Le fond de la cuve à ondes présente un
décrochement de telle sorte que l'onde créée par la chute de la goutte d'eau se propage d'abord à la surface de
l'eau dont l'épaisseur au repos est 𝑒1 = 3,0 𝑚𝑚 puis à la surface de l'eau dont l'épaisseur au repos est 𝑒2 =
1,0 𝑚𝑚. On filme la surface de l'eau à l'aide d'une webcam. Le clip vidéo est effectué avec une fréquence de
24 images par seconde. (𝑑𝑜𝑐. 1) représente les positions du front de l'onde crée par la chute de la goutte d'eau,
repérées sur les images n° 1, n° 7, n° 8 et n° 14 du clip.

1. Donner les définitions d'une onde transversale et d'une onde longitudinale. À quelle catégorie appartient
l'onde créée par la goutte d'eau sur la cuve à ondes ?
2. Calculer la célérité 𝑣 de cette onde pour les deux épaisseurs d'eau mentionnées dans le (𝑑𝑜𝑐. 1).
3. Comment varie, dans cet exemple, la célérité 𝑣 de l'onde en fonction de l'épaisseur de l'eau ?
II. Ondes périodiques :
On installe sur la cuve à ondes un vibreur qui permet d'obtenir des ondes planes. La fréquence du vibreur a
été fixée à 24 𝐻𝑧. Une source lumineuse éclaire la surface de l'eau. Cette lumière traverse l'eau et est captée
ensuite par la webcam. Le (𝑑𝑜𝑐. 2) représente l'onde périodique obtenue à partir d'une image du clip vidéo.
1. Qu’appelle-t-on la distance séparant deux franges brillantes (ou sombres) successives ?
2. À l'aide du (𝑑𝑜𝑐. 2), calculer la célérité 𝑣 de l'onde périodique pour les deux épaisseurs d'eau. Quelle est
l'influence de l'épaisseur de l'eau sur la célérité de l'onde périodique ?
3. On utilise maintenant une cuve à ondes sans décrochement. L'épaisseur de l'eau au repos est constante. Après
avoir fait varier la fréquence du vibreur, on a réalisé des photographies et on a mesuré la longueur d'onde  pour
chacun des enregistrements. Les résultats ont été consignés dans le tableau ci-dessous.

𝑁 (𝐻𝑧) 12 24 48 96
𝜆 (𝑐𝑚) 1,8 0,97 0,59 0,36

Calculer la célérité 𝑣 de l'onde périodique pour chaque enregistrement. Comment évolue cette célérité en
fonction de la fréquence de l'onde ?
III. Étude sommaire de la houle :
La houle prend naissance sous l'effet du vent loin des côtes. Un vent de 65 𝑘𝑚. ℎ−1 engendre une houle dont
les vagues font 1 mètre de hauteur. Ces vagues sont espacées de 230 mètres. Une vague remplace la précédente
après une durée de 12 secondes.
1. Calculer la vitesse de déplacement des vagues à la surface de l'océan.
2. Cette houle arrive sur un port dont l'ouverture entre deux jetées a une largeur 𝑎 = 200 𝑚. Un bateau est
stationné au fond du port comme indiqué sur le schéma du (𝑑𝑜𝑐. 3). Ce bateau risque-t-il de ressentir les effets
de la houle ? Justifier la réponse à l'aide d'un schéma reproduit sur la copie.
Exercice 20 :
Une source S émet des ondes périodiques de période T, caractérisées par une célérité 𝑣𝑎 dans le milieu où
elle se propage. Un récepteur R est situé à une distance d de la source. Soudain à un instant pris comme origine
des dates, la source se met en mouvement avec une vitesse 𝑣𝑆 Vers le récepteur, les caractéristiques de l’onde
reçue par le récepteur sont alors modifiées : Effet Doppler.
L’objet de cet exercice est de comprendre ce phénomène.
1. On suppose qu’à 𝑡 = 0, la source crée une brève perturbation, suivie à l’instant 𝑡 = 𝑇 d’une 2ème perturbation
et ainsi de suite…
A l’instant 𝑡 = 0, la source S se trouve au point O tel que 𝑂𝑅 = 𝑑. A la date 𝑡 = 𝑇, elle s’est déplacée et se
trouve au point 𝑂′.
1.1. Quelle est la fréquence des ondes émises dans le référentiel de la source ?
1.2. Exprimer, en fonction de 𝑑 et 𝑣𝑎 la date 𝑡1 à laquelle la 1ère perturbation parvient au niveau du récepteur.
1.3. Exprimer, en fonction de 𝑇, 𝑑, 𝑣𝑎 et 𝑣𝑆 la date 𝑡2 à laquelle la 2ème perturbation parvient au niveau du
récepteur.
1.4. En déduire l’expression de la période 𝑇′ des ondes captées par le récepteur en fonction de 𝑇,𝑣𝑎 et 𝑣𝑆 .
Comparer 𝑇 et 𝑇′.
2. Répondre aux mêmes questions dans le cas où la source s’éloigne du récepteur.
3. La sirène d’une voiture de pompier qui se déplace à la vitesse 𝑣𝑆 = 100 𝐾𝑚. 𝑠 −1, émet un son de fréquence
𝑁 = 1,0 𝐾𝐻𝑧 dans l’air à 𝜃 = 20°𝑐, la célérité du son dans ces conditions est 𝑣𝑎 = 340 𝑚. 𝑠 −1. Déterminer la
fréquence 𝑁′ du son perçu par un passant selon que la voiture s’approche où s’éloigne de lui.

Exercice 21 :
En océanographie, les ondes de surface se matérialisent par une déformation de l'interface entre l'océan et
l'atmosphère. Les particules d'eau mises en mouvement au passage d'une onde se déplacent avec un petit
mouvement qui leur est propre, mais restent en moyenne à la même position. La houle est formée par le vent :
c'est un phénomène périodique, se présentant sous l'aspect de vagues parallèles avec une longueur d'onde 𝜆 de
l'ordre de 100 𝑚 au large, où la profondeur moyenne de l'océan est d'environ 4000 𝑚. On peut classer les ondes
de surface, en fonction de leurs caractéristiques et de celles du milieu de propagation, en "ondes courtes" et en
"ondes longues".
❖ Ondes courtes : Lorsque la longueur d'onde 𝜆 est faible par rapport à la profondeur locale ℎ de l'océan (au
moins 𝜆 < 0,5 ℎ). Leur célérité 𝑣 est définie par : 𝑣 = 2𝜋 𝜆. 𝑔.
❖ Ondes longues : Lorsque la longueur d'onde 𝜆 est très grande par rapport à la profondeur ℎ de l'océan (𝜆 >
10 ℎ), les ondes sont appelées ondes longues. Leur célérité 𝑣 est définie par : 𝑣 = 𝑔. ℎ . Avec 𝑔 est l'intensité
du champ de pesanteur terrestre ; on prendra 𝑔 = 9,81 𝑚. 𝑠 –2).
I. Questions sur le texte A propos de la houle.
1. Au large (avec ℎ1 = 4000 𝑚), la houle est-elle classée en ondes courtes ou longues ? Évaluer la célérité 𝑣1
d'une houle de longueur d'onde 𝜆1 = 80 𝑚, ainsi que la période 𝑇 de ses vagues.
2. En arrivant près d'une côte sablonneuse (profondeur d'eau ℎ2 = 3,0 𝑚), la longueur d'onde de la houle devient
grande par rapport à la profondeur, elle rentre donc dans la catégorie des ondes longues. Sachant que sa période
𝑇 ne varie pas, évaluer alors sa nouvelle célérité 𝑣2 , ainsi que sa longueur d'onde 𝜆2.
3. Sur ces fonds (ℎ2 = 3,0 𝑚), les vagues de houle arrivent parallèlement à une digue rectiligne, coupée par un
chenal de 30 𝑚 de large, et qui ferme une assez vaste baie. Le vent local étant nul, que peut-on observer sur une
vue aérienne de ce site, derrière la digue, coté terre ? Dessiner l'aspect de la surface de l'eau (vagues), sur le
document ci-contre, de façon réaliste. Quel nom porte le phénomène observé ? Avec quelles autres ondes (non
mécaniques) peut-on observer le même phénomène ?
II. Au laboratoire du lycée, on veut compléter l'étude d'ondes analogues à la houle (en eaux peu profondes). On
utilise une "cuve à ondes". Avec une webcam, on enregistre des vidéos de
l'aspect de la surface de l'eau (en projection sur le verre dépoli vertical
de la cuve). On traite ces vidéos à l'aide d'un logiciel adapté. Dans un
plan vertical, un vibreur animé d'un mouvement périodique (de période
𝑇), une réglette qui génère des vagues rectilignes parallèles, se
propageant (sans réflexion) sur l'eau de la cuve, à la célérité 𝑣. La
profondeur ℎ de l'eau est faible et constante. La webcam prend des
images à des instants 𝑡, successifs séparés par 𝜏 = 1 / 30 𝑠 = 0,033 𝑠.
1. Selon la direction de propagation des ondes (axe 𝑥𝑥′), on pointe sur des vues successives un même sommet de
ride (ligne brillante sur le dépoli). On obtient, après étalonnage des distances, le tableau de mesures : document
ci-dessous.
𝑡 (𝑠) 0,200 0,233 0,267 0,300 0,333 0,367 0,400
𝑥 (𝑚) 0,098 0,105 0,114 0,122 0,130 0,138 0,147

1.1. Tracer sur un papier millimétré le graphe 𝑥 = 𝑓( 𝑡). En déduire la célérité 𝑣 de cette onde. Est-elle
constante ?
1.2. Sur l'une des vues du film, on pointe (selon 𝑥𝑥′) les sommets de la ride 𝑁°1 et de la ride 𝑁°4. La distance
entre ces deux sommets est 𝑑 = 0,088 𝑚. D'autre part, une étude en lumière stroboscopique a permis de
déterminer la fréquence 𝑁 du vibreur : 8,0 𝐻𝑧 < 𝑁 < 9,0 𝐻𝑧.
a. Évaluer la longueur d'onde 𝜆 de ces ondes.
b. Les valeurs calculées de 𝑣 et 𝜆 sont-elles en accord avec 𝑁 donnée par le stroboscope ?
2. Les ondes émises par le vibreur sont transversales, pratiquement sinusoïdales. On néglige le phénomène de
dispersion. A un instant 𝑡, une vue en coupe (dans un plan
vertical) de la surface de l'eau présente l'aspect reproduit
sur le document ci-contre. (𝑆 est le point source, 𝑀 est le
front de l'onde).
2.1. Exprimer, en fonction de la période 𝑇 des ondes, le retard 𝜏 que présente le mouvement du point 𝑀, par
rapport au mouvement de 𝑆 (expression littérale demandée).
2.2. A l'instant suivant, le point 𝑀 se déplace :
❖ Verticalement vers le haut / vers le bas ?
❖ Horizontalement vers la gauche / vers la droite ?
Justifier votre réponse.
3. Sans rien modifier d'autre, on règle la fréquence du vibreur à 𝑁 ′ = 19 𝐻𝑧. La mesure de la célérité des ondes
donne alors : 𝑣 ′ = 0,263 𝑚. 𝑠 –1. Comparer cette célérité à celle trouvée au 1.1. De quel phénomène, négligé
jusqu'ici, la différence entre 𝑣 et 𝑣 ′ est-elle la manifestation ? Ce phénomène est-il présenté par des ondes non
mécaniques ? Lesquelles ? Citer une application.

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