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Qui
Montre photo ( expediteur russe )
Mise en contexte
Dyatlov et son équipe avaient fixé une date limite pour renvoyer les
télégrammes à leurs proches au plus tard le 12 février, signe qu’ils avaient
mené à bien leur expédition
Plus d’une semaine s’est écoulée sans qu’aucun télégramme n’ait été reçu,
ce qui a incité les proches des membres de l’équipe à faire pression sur
l’Institut polytechnique pour constituer une équipe de recherche composée
d’enseignants et de bénévoles afin de rechercher les randonneurs disparus.
Les branches du cèdre ont été cassées jusqu’à 15 pieds de haut sur le tronc.
Les paumes des mains de Doroshenko et de Krivonischenko ont été
gravement endommagées et plusieurs morceaux de peau ont également été
retrouvés sur l’écorce de l’arbre, indiquant une possible tentative effrénée
de les escalader.
Les enquêteurs ont été intrigués par ce qui aurait pu
éventuellement amener ces hommes à tenter de grimper à cet
arbre, déshabillés par froid, et se sont déchirés la peau des mains
pour tenter de se mettre en sécurité
Une enquête judiciaire a été effectuée après la découverte des cinq premiers
corps et un examen médical plus approfondi a permis de conclure qu’ils
étaient tous morts d’hypothermie. Aucune blessure grave n’a été découverte
et seul Slobodin a eu une fracture mineure du crâne, mais rien qui aurait pu
être fatal.
L’enquête a pris une tournure encore plus étrange lorsque le reste des corps
des randonneurs ont été retrouvés en mai de la même année. Les cadavres
de Thibeaux-Brignolles, Dubinina, Zolotarev et Kolevatov ont été
découverts sous 12 pieds de neige dans un ravin situé à environ 250 pieds
du cèdre.
Le crâne de Thibeaux-Brignolles était gravement écrasé et Zolotarev et
Dubinina présentaient de graves fractures à la poitrine. Curieusement, il n’y
avait aucune preuve de blessures externes (par exemple, contusions ou
ecchymoses) qui auraient pu causer les fractures.
Théorie
pourraient avoir été attaqués par des guerriers mansis locaux
pour avoir envahi leur territoire, mais les preuves matérielles
sont incompatibles avec cette théorie; aucun des corps des
randonneurs n’a montré de signes de lutte.
- Avalanche mais leur terrain n’étais pas assez apique pour causer la
mort des randonneurs
- L’une des explications les plus plausibles est peut-être que les skieurs
ont erré par inadvertance sur un site d’essais militaire soviétique
classifié et ont peut-être souffert d’un choc provoqué par une sorte
d’arme top secrète.
Équipe
1.Igor Dyatlov
2. Alexandre Kolevatov
3. Rustem Slobodin
4. Yuri («Georgiy») Krivonischenko
5. Yuri Doroshenko
6. Nicolai Thibeaux-Brignolles
7. Sémyon («Alexandre») Zolotariov
8. Yuri Yudin
9. Zinaida Kolmogorova
10. Lyudmila Dubinina