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NUMERIQUE
1
NOTIONS FONDAMENTALES
I-Système de numération
2-système décimal
N= X n. X n−1………………… X 0
n
= ∑ α i 10i
i=0
3-Système Binaire
N = ∑ αi 2i
i=0
4-Système Octal
5-Système hexadécimal
2
Ce système comprend 16 symboles 10 chiffres ( 0 à 9) et 6 lettres (A B C D E
F)).
II-Conversion
Tout nombre binaire, peut être transformé en son équivalent décimal simplement
en additionnant les poids des différentes positions où se trouve la valeur 1.
n
Ex : (1100111)2 = ∑ αi 2i
i=0
1100111 ⇒ 1 + 2 + 4 + 32 + 64 = (103)10
20 21 22 23 24 25 26 27
1 2 4 8 16 32 64 128
45 ⇒ 25 23 22 20
32 8 4 1
(45)10⇒ (101101)2
(72)10⇒ 26 + 23
(72)10⇒ (1001000)2
3
III-Comptage Binaire
NB : le tableau suivant illustre ce qu’on vient de dire avec n variable nous avons
2 combinaisons et on peut compter de 0 à 2
n n−1
W X Y Z
Base10
8 4 2 1
0 0 0 0 0
1 0 0 0 1
2 0 0 1 0
3 0 0 1 1
4 0 1 0 0
5 0 1 0 1
6 0 1 1 0
7 0 1 1 1
8 1 0 0 0
9 1 0 0 1
10 1 0 1 0
11 1 0 1 1
12 1 1 0 0
1 1 0 1
13
14 1 1 1 0
4
15 1 1 1 1
IV-CODAGE
L’action de faire correspondre à des nombres, des lettres ou des mots, un groupe
spécial de symbole s’appelle codage et le groupe de symbole s’appelle un code.
L’un des codes que vous connaissez peut être le mieux est le code Morse dans
lequel on utilise une série de point et des traits pour représenter les lettres de
l’alphabet.
Si on représente chaque chiffre d’un nombre décimal par son équivalent binaire
on obtient le code dit décimal code binaire.
Comme le plus élevé des chiffres est 9 il faut donc 4 bits pour coder les chiffres.
2-Code Gray
Le code gray est un code non pondéré. C’est-à-dire que les positions binaires des
groupes codés ne sont affectées d’aucun poids. C’est pourquoi ce code ne
convient pas aux calculs arithmétiques mais il se retrouve surtout dans des
applications d’entrée et sortie de CNA ; CAN.
3-Code ASCII
Ce code est le plus connu et le plus utilisé par la majorité des fabricants des
micro-ordinateurs. Il est employé dans la transmission d’information
alphanumérique entre un ordinateur et des dispositifs d’entrée et de sortie
externes comme un téléscripteur ou un terminal de visualisation.
5
ALGEBRE DE BOOLE ET PORTES
LOGIQUES
I – ALGEBRE DE BOOLE
1- Principe
6
Une variable binaire est une grandeur qui ne peut que prendre deux états. Tous
les phénomènes de la vie ayant deux états peuvent être considérés comme des
variables binaires.
a- Définition
Dans la logique binaire les variables ne peuvent que prendre deux états. Les
variables sont représentées par des lettres de l’alphabet.
EX : Z=x.y=xy
EX : Z=x+y
Z=1 si et seulement si au moins une des variables d’entrée est égale à ‘’1’’
C- Table de vérité
F1 = A B́ + ABC + B́C
A B C F1 F2
0 0 0 0 1
0 0 1 1 1
0 1 0 0 1
0 1 1 0 0
1 0 0 1 0
1 0 1 1 1
1 1 0 0 1
1 1 1 1 0
OU ET
x +0=x x .1=x
8
x + x́=1 x . x́=0
x + x=x x . x=x
1+ x=1 0 . x=0
Commutativité
OU ET
x + y= y + x x . y= y . x
Associativité
OU ET
x + ( y + z )= ( x + y ) + z x ( y . z )=( x . y ) . z
Distributivité
OU ET
x . ( y +z )=x . y+ x . z x + y . z=( x + y ) ( x + z)
Loi de Morgan
x +´ y=x́ . ý x ´. y= x́+ ý
x y z Minterms Maxterms
Termes Désignations Termes Désignations
0 0 0 x́ ý ź m0 x+ y+z M0
0 0 1 x́ ý z m1 x + y +ź M1
0 1 0 x́ y ź m2 x + ý + z M2
9
0 1 1 x́ yz m3 x + ý +ź M3
1 0 0 x ý ź m4 x́ + y + z M4
1 0 1 x ý z m5 x́ + y +ź M5
1 1 0 xy ź m6 x́ + ý + z M6
1 1 1 xyz m7 x́ + ý +ź M7
Toute fonction logique peut être sous la forme somme des minterms ou produit
des maxterms.
Exemple : F = A+ B́ Ć
A B C F
0 0 0 1
0 0 1 0
0 1 0 0
0 1 1 0
1 0 0 1
F=¿ 0 1 1
F = ∑ (0 ; 4 ; 5; 6 ; 7 ¿)¿
F = ∏ (1 ; 2; 3)
1
1 1 0 1
1 1 1 1
a-Méthode de Karnaugh
10
- Tableau de Karnaugh à 3 variables
REUNION
Réunion de Doublet
La réunion d’un Octet de 1 adjacent élimine les 3 variables qui changent d’état.
11
- Processus de simplification
*Encercler les 1 isolés, réunissez les doublets, les quartets et les octets.
Dans un regroupement il faut au moins un “1“ qui n’est pas encore regroupé et
aussi il faut un minimum de regroupement.
Exemple
M = X́ Ý Ź + X́ Y Ź + X Ý Ź + XY Ź
B = X́ Ý Z + X́ YZ + X Ý
12
L = ( A+´ B)( Á+´ B ¿
D = (X + Y)(X + Ý )
M = X́ Ý Ź + X́ Y Ź + X Ý Ź + XY Ź
= X́ Ź ( Ý +Y ) + X Ź ( Ý + Y )
= X́ Ź+ X Ź
= Ź( X́ + X )
M= Ź
Traiter le reste
b- Porte OU (OR)
13
c- Porte ET (AND)
c- Porte OU exclusive
14
Les portes NAND et NOR peuvent être
OR (OU)
NAND
NOR
15
OU
Exclusiv
e
NON
Exclusiv
e
16
CIRCUITS ET SYSTEMES COMBINATOIRES
Introduction
Un circuit logique est dit combinatoire si l’état des sorties dépend uniquement
des états présents des entrées. Lorsque le nombre d’état est limité à 2 pour
chaque variable on dit que la micro structure est binaire. Pour établir et écrire
des relations entre de telles variables binaires on utilise l’algèbre binaire ou
algèbre de Boole.
I- ADDITIONNEUR
1- Demi-Additionneur
a- Table de vérité
A B S R
0 0 0 0
0 1 1 0
17
1 0 1 0
1 1 0 1
b- Logigramme
2- Additionneur Complet
a- Table de vérité
A B C S R
0 0 0 0 0
0 0 1 1 0 S=A B C
0 1 0 1 0
0 1 1 0 1 r = BC + A(B C)
1 0 0 1 0
1 0 1 0 1 18
1 1 0 0 1
1 1 1 1 1
b- Logigramme
19
II- SOUSTRACTEUR
1- Demi-Soustracteur
a- Table de vérité
20
A B D E
0 0 0 0
0 1 1 1
1 0 1 0
1 1 0 0
2- Soustracteur – Complet
a- Table de vérité
A B C D E
0 0 0 0 0
0 0 1 1 1
0 1 0 1 1
0 1 1 0 1
1 0 0 1 0
1 0 1 0 0
21
1 1 0 0 0
1 1 1 1 1
Exercice
1
1-Réaliser un additionneur complet (logigramme) deux 2 additionneurs et une
porte OU.
1
2-Réaliser ces quatre fonctions logiques à l’aide de trois 2 additionneurs
E = Á BC + A B́ C
F = AB Ć + ( Á+ B́ ) C G = ABC
F 2 = xyz + xy ź + xyz + x ý z
EXERCICE
1- Quelle est la forme canonique de ces fonctions :
F1 (A, B, C, D) = ∑ (0,2,6,11,13,14 )
F2 = ∏ (0, 3, 6,7)
22
2- Un code DCB est transmis à un récepteur à distance, les bits sont :
A3 A 2 A 1 A 0. A3 est le poids fort, A0 le poids faible. Les circuits du récepteur
comprennent un circuit détecteur d’erreur DCB.
III- COMPARATEUR
Un comparateur est un circuit combinatoire à 2 entrées et 3 sorties permettant de
comparer les 2 variables d’entrée
1- Variable à 1 Bit
-Table de vérité
A B S I E
͏ ͏ A> A< A=
B B B
0 0 0 0 1
0 1 0 1 0
1 0 1 0 0
1 1 0 0 1
S= A B́
I= Á B
E= Á B́+ AB
A B S I E
A1 A0 B1 B0 A> A< A=
B B B
0 0 0 0 0 0 1
0 0 0 1 0 1 0
0 0 1 0 0 1 0
0 0 1 1 0 1 0
0 1 0 0 1 0 0
0 1 0 1 0 0 1
0 1 1 0 0 1 0
0 1 1 1 0 1 0
1 0 0 0 1 0 0
1 0 0 1 1 0 0
1 0 1 0 0 0 1
1 0 1 1 0 1 0
1 1 0 0 1 0 0
1 1 0 1 1 0 0
1 1 1 0 1 0 0
1 1 1 1 0 0 1
I = Á B + Á
1 1 0 B1 B0 + Á 1 Á0 B0
E = S+´ I
V- DECODEURS
24
Un décodeur est un circuit combinatoire qui permet la transposition d’un code à
n bits en un autre code à n’ bits. On peut distinguer deux types de décodeur : les
décodeurs ayant n entrées et N sortie avec N ≤ 2n. Dans ces décodeurs seule une
sortie est activèe à la fois ; les sorties peuvent être actives à l’état haut ou l’état
bas.
a- TABLE DE VERITE
A B C D0 D1 D2 D3 D4 D5 D6 D7
0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 0
25
0 0 1 0 1 0 0 0 0 0 0
0 1 0 0 0 1 0 0 0 0 0
0 1 1 0 0 0 1 0 0 0 0
1 0 0 0 0 0 0 1 0 0 0
1 0 1 0 0 0 0 0 1 0 0
1 1 0 0 0 0 0 0 0 1 0
1 1 1 0 0 0 0 0 0 0 1
A B C D0 D1 D2 D3 D4 D5 D6 D7
0 0 0 0 1 1 1 1 1 1 1
0 0 1 1 0 1 1 1 1 1 1
0 1 0 1 1 0 1 1 1 1 1
0 1 1 1 1 1 0 1 1 1 1
1 0 0 1 1 1 1 0 1 1 1
1 0 1 1 1 1 1 1 0 1 1
1 1 0 1 1 1 1 1 1 0 1
1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 0
b- logigramme
Pour sortie active à l’état haut
D0 = Á B́ Ć
D1 = Á B́C
D2 = Á B Ć
D3 = Á BC
D4 = A B́ Ć
D5 = A B́C
D6 = AB Ć
D7 = ABC
26
Pour sortie active à l’état bas
D0 = A+ B+C
D1 = A+ B+ Ć
D2 = A+ B́+C
D3 = A+ B́+ Ć
D4 = Á+ B+C
D5 = Á+ B+ Ć
D6 = Á+ B́+C
D7 = Á+ B́+ Ć
27
L = ∑ ( 0,4,5 )=∏ (1,2,3,6,7)
a- Table de vérité
A B C D D0 D1 D2 D3 D4 D5 D6 D7 D8 D9
0 0 0 0 0 1 1 1 1 1 1 1 1 1
0 0 0 1 1 0 1 1 1 1 1 1 1 1
0 0 1 0 1 1 0 1 1 1 1 1 1 1
0 0 1 1 1 1 1 0 1 1 1 1 1 1
0 1 0 0 1 1 1 1 0 1 1 1 1 1
0 1 0 1 1 1 1 1 1 0 1 1 1 1
0 1 1 0 1 1 1 1 1 1 0 1 1 1
0 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 0 1 1
1 0 0 0 1 1 1 1 1 1 1 1 0 1
28
1 0 0 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 0
b- Logigramme
2-
3- DECODEUR DCB 7 SEGMENTS
a- Afficheurs à LED
29
La plupart des afficheurs numériques permettent de représenter les 10 chiffres (0
à 9) et les lettres de l’alphabet. Ses symboles sont désignés aux moyens de 7
segments lumineux qui sont des LED ou des cristaux liquides. Chaque segment
d’un afficheur à LED est formé d’une ou deux diodes luminescentes ; si toutes
les anodes des segments sont reliées c’est un afficheur à anode commune si c’est
le contraire, c’est un afficheur à cathode commune.
-Si les anodes sont communes le point commun doit être relié à Vcc et les
cathodes sont reliées aux sorties correspondantes du décodeur (à sorties actives à
l’état bas) par l’intermédiaire de résistance de protection limitant l’intensité du
courant traversant les segments de l’afficheur.
-Si c’est les cathodes communes le point commun doit être relié à la masse et les
anodes sont reliés aux sorties correspondantes du décodeur (à sortie active à
l’état haut) par l’intermédiaire de résistance de protection limitant l’intensité du
courant traversant les segments de l’afficheur.
A B C D a b C D e f g Chiffre Afficheur
0 0 0 0 1 1 1 1 1 1 0
0 0 0 1 0 1 1 0 0 0 0
0 0 1 0 1 1 0 1 1 0 1
0 0 1 1 1 1 1 1 0 0 1
0 1 0 0 0 1 1 0 0 1 1
0 1 0 1 1 0 1 1 0 1 1
30
0 1 1 0 1 0 1 1 1 1 1
0 1 1 1 1 1 1 0 0 0 0
1 0 0 0 1 1 1 1 1 1 1
1 0 0 1 1 1 1 1 0 1 1
VI- CODEUR
Un codeur est un circuit numérique à N entrées et n sorties
N ≤2n
1- Codeur Binaire (8×3)
Table de vérité
E0 E1 E2 E3 E4 E5 E6 E7 S2 S1 S0
0 1 1 1 1 1 1 1 0 0 0
1 0 1 1 1 1 1 1 0 0 1
1 1 0 1 1 1 1 1 0 1 0
1 1 1 0 1 1 1 1 0 1 1
1 1 1 1 0 1 1 1 1 0 0
31
1 1 1 1 1 0 1 1 1 0 1
1 1 1 1 1 1 0 1 1 1 0
1 1 1 1 1 1 1 0 1 1 1
Logigramme
32
TABLE DE VERITE
E0 E1 E2 E3 E4 E5 E6 E7 E8 E9 S3 S2 S1 S0
1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
0 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1
0 0 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 0
0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 0 0 1 1
0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 1 0 0
0 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 1 0 1
0 0 0 0 0 0 1 0 0 0 0 1 1 0
0 0 0 0 0 0 0 1 0 0 0 1 1 1
0 0 0 0 0 0 0 0 1 0 1 0 0 0
33
0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 1 0 0 1
S3 = E + E
8 9
S2 = E + E + E + E
4 5 6 7
S1 = E + E + E + E
2 3 6 7
S0 = E + E + E + E
2 3 5 7 + E9
3- Codeur de priorité
C’est un codeur qui permet le choix du code correspondant au chiffre décimal le
plus élevé des entrées activées avec un codeur de priorité l’activation
simultanée des entrées E2 et E 4 se traduit par l’obtention en sortie du code
correspondant à E 4.
34
E0 E1 E2 E3 S1 S0
1 0 0 0 0 0
× 1 0 0 1
0
× × 1 0 1 0
× × × 1 1 1
S1 = E + E
3 2
S0 = E + E
3 1 É2
35
- Table de vérité
E0 E1 E2 E3 E4 E5 E6 E7 E8 E9 S3 S2 S1 S0
0 1 1 1 1 1 1 1 1 1 0 0 0 0
× 0 1 1 1 1 1 1 1 1 0 0 0 1
× × 0 1 1 1 1 1 1 1 0 0 1 0
× × × 0 1 1 1 1 1 1 0 0 1 1
× × × × 0 1 1 1 1 1 0 1 0 0
× × × × × 0 1 1 1 1 0 1 0 1
× × × × × × 0 1 1 1 0 1 1 0
× × × × × × × 0 1 1 0 1 1 1
× × × × × × × × 0 1 1 0 0 0
× × × × × × × × × 0 1 0 0 1
36
c- Codeur d’interrupteurs
37
VII- MULTIPLEXAGE
Schéma de principe d’un MUX N = 2n
1- Multiplexeur 4→1
Symbole
38
a- Table de vérité
S1 S0 Z
0 0 I0
0 1 I1
1 0 I2
1 1 I3
b- Logigramme
Z =I 0 Ś1 Ś 0 + I 1 Ś1 S 0+ I 2 S 1 Ś0 + I 3 S 1 S0
39
2- Multiplexeur 8×1
a- Table de vérité
S2 S1 S0 Z
1 X X X 0
0 0 0 0 I0
0 0 0 1 I1
0 0 1 0 I2
0 0 1 1 I3
0 1 0 0 I4
40
0 1 0 1 I5
0 1 1 0 I6
0 1 1 1 I7
b- Logigramme
Z=
( I 0 Ś 2 Ś1 Ś 0 ) É+ ( I 1 Ś 2 Ś1 S 0 ) É + ( I 2 Ś2 S 1 Ś0 ) É+ ( I 3 Ś2 S 1 S0 ) É+ ( I 4 S 2 Ś1 Ś 0 ) É+ ( I 5 S2 Ś 1 S 0 ) É + ( I 6 S2 S 1 Ś 0 ) É +(I 7 S 2 S1 S
Cette fonction peut être réalisée à l’aide d’un MUX 2n×1 simplement en reliant
les variables de la fonction aux entrées de sélection tout en respectant les poids
des variables (le poids faible à S0, le poids suivant à S1; etc.…..)
Tous les minterms de la fonction logique ont leurs entrées d’information égale
EXERCICE D’APPLICATION
F1(X,Y,Z) = ∏ ( 0 ; 1; 5 ; 6 )
F3 = xy + ý
2 Cas
e
41
F = ABCD+ ABC D́+ Á B́ Ć D́+ A B́ Ć D+ AB Ć D́
M = LXAB+ X Á B́ C+ LXKA Ć
VII- DEMULTIPLEXEUR
1- Généralités
2- DMUX 1×4
-Table de vérité
42
S1 S0 D0 D1 D2 D3
0 0 E 0 0 0
0 1 0 E 0 0
1 0 0 0 E 0
1 1 0 0 0 E
D0 = Ś1 Ś 0 E
D1 = Ś1 S 0 E
D2 = S1 Ś 0 E
D3 = S1 S 0 E
-Logigramme
43
Certains DMUX ont une entrée de validation qui permet de commander le
fonctionnement du DMUX.
Exercice d’application
L=∑ (0; 1; 4; 6)
3- INTÉRÊTS
Un DMUX joue le rôle d’un commutateur à plusieurs positions qui oriente les
informations d’entées vers la sortie choisie.
Par une utilisation cyclique des entrées d’adressage les données qui parviennent
en série à l’entrée sont fournies en parallèle à la sortie.
44
FAMILLES LOGIQUES
I- GENERALITES
La grande majorité des circuits [logiques] numériques sont construits à partir
des circuits intégrés numériques parce qu’on obtient des circuits plus fiables,
plus légers et moins encombrants.
On peut distinguer :
-L’intégration à très grande Echelle VLSI (Very Large Scale Integrated circuits)
Les familles bipolaires (TTL ; ECL) qui utilisent les transistors du type NPN et
PNP.
45
Les familles MOS qui gravite autour des MOSFET.
-La consommation
-Temps de propagation
SN : Fabricant Texas
46
32 : Quadruple porte “OU“ à 2 entrées
N : Boitier à 14 broches
Tension d’alimentation
74; 74L; 74S; 74LS; 74F → 5V ± 5%
74HC → 2 à 6V
Liaison
Ne pas laisser d’entrées non connectée en l’air pour éviter les
dysfonctionnements. Dans un circuit TTL une entrée non connectée se comporte
comme une entrée affectée du niveau haut.
Pour les portes AND et NAND une entrée non connectée doit être reliée à l’état
haut. (ou V CC )
Pour les portes OR et NOR une entrée non connectée doit être reliée à l’état bas
(ou la masse)
Ne jamais relier deux sorties entre elles pour éviter des courts-circuits
Comparaison
La puissance dissipée permet de comparer la consommation des différents
circuits intégrés ; elle est beaucoup plus faible en CMOS qu’en TTL.
47
de juger de la rapidité des circuits. Ce temps est beaucoup plus faible en TTL
qu’en CMOS.
La définition et l’explication des termes les plus utilisés par les fabricants sont :
C’est le niveau de tension nécessaire pour avoir un “1“ logique à l’entrée. Toute
tension inférieure à cette valeur n’est pas considérée comme un état logique haut
par le circuit.
C’est le niveau de tension nécessaire pour avoir un “0“ logique en entrée. Toute
tension supérieure à ce niveau n’est pas considérée comme un état bas par le
circuit logique.
C’est le courant qui traverse la borne d’entrée quand une tension niveau haut est
appliquée à cette entrée.
C’est le courant qui traverse une borne d’entrée quand une tension niveau bas
est appliquée à cette entrée.
7- IOH (min)
48
C’est le courant qui traverse une borne de sortie placée au niveau haut dans des
conditions de charge.
8- IOL (max)
C’est le courant qui traverse une borne de sortie placée au niveau bas dans des
conditions de charge.
9- La Sortance
Exemple :
Si une porte logique à une sortance égale à 10, cela signifie qu’elle peut
supporter 10 entrées logiques sans problème si on dépasse ce nombre, il n’est
pas assuré que les niveaux logiques seront exacts.
10- Consommation
49
Marge de sensibilité au bruit à l’état bas.
C’est l’aptitude d’un circuit à tolérer des tensions parasites sur ses entrées. Sa
mesure est définie qualitativement par la marge de sensibilité au bruit.
1- Présentation
50
Les transistors bipolaires à jonction ; les diodes et les résistors.
Déterminer VIH min en fonction de RB, IBsat et VBE sat or VIH min = VA
51
3- Circuits NON OU (RTL)
A B S
0 0 1
0 1 0
1 0 0
1 1 0
52
4- Circuit NON ET (DTL)
a- Analyse
A B Etat des diodes et des transistors S
0 0 D1 D2 passantes; D3 D4 T bloquées 1
0 1 D1 passante; D2 D3 D4 T bloqués 1
1 0 D2 passante; D1 D3 D4 T bloqués 1
1 1 D1 D2 bloquées; D3 D4 passantes T saturé 0
53
b- Marge de sensibilité aux bruits
V OH = V CC = 4V
VIL est la plus petite tension d’entrée qui permet au transistor de rentrée en
régime linéaire.
VIL = VD + VBE ON
VIH est la plus petite tension d’entrée qui permet au transistor de rentrer en
régime de saturation.
VNL = 1,3V
V NH = 2,5V
EXERCICE D’APPLICATION
54
Donner la table de vérité du montage et en déduire la porte à réaliser.
Le montage est similaire au précédant (NON ET DTL) mais cette fois si les
diodes D1 ; D2 et D3 sont remplacées par un transistor à plusieurs émetteurs ceci
afin de réduire les dimensions de la porte logique et aussi le temps de
propagation du signal à travers la porte logique.
55
Si au moins une des entrées est à l’état bas, le transistor T1 serait saturé. Par
conséquent la tension à l’anode de la diode est insuffisante pour pouvoir
débloquer aussi bien la diode que le transistor ; le transistor T2 bloqué et la sortie
VS = VCC = ‘1’
Si toutes les entrées sont à l’état haut T2 tombe en saturation et la sortie est à
l’état bas.
1- TRANSISTOR MOS
- Quand VGS est à l’état bas (généralement inférieur à 1,5V) le dipôle drain-
source se comporte comme une résistance de valeur très élevée. (au moins
égale à 1010 Ω) on peut alors supposer que le dipôle drain-source est
ouvert.
- Quand VGS est supérieur ou égal à 1,5V le dipôle drain-source se comporte
comme une résistance de faible valeur (dans l’ordre des KΩ) on peut aussi
supposer le dipôle drain-source est un interrupteur fermé.
2- INVERSEUR NMOS
56
Si Ve est à l’état haut le dipôle D.S de T2 se comporte comme une résistance de
valeur faible environ 1KΩ.
E S
0 1
1 0
57
V DD ( R 2+R 3)
VS = R1 + R2 +R3
A B S
0 0 1
0 1 1
1 0 1
1 1 0
A B S
0 0 1
0 1 0
1 0 0
1 1 0
Les familles logiques MOS sont plus lentes, consomme moins d’énergie, ont des
marges de sensibilités au bruit plus large, fonctionnent sous une gamme de
tension d’alimentation plus grande, ont une sortance plus élevée et une densité
d’interrogation supérieur aux familles bipolaires.
59
V- LOGIQUE MOS COMPLEMENTAIRE (CMOS)
A proprement parler les CMOS sont plus rapides et encore moins gourment que
les autres familles MOS.
1- INVERSEUR CMOS
E S
0 1
1 0
2- PORTE NON ET
60
V DD ( R3 + R4 )
VS = R 3+ R4 +(R1 /¿ R 2)
A B S
0 0 1
0 1 1
1 0 1
1 1 0
61
3- PORTE NON OU
V DD ( R 3 /¿ R 4 )
VS = ( R3 + R4 ) + R 1+ R 2
A B S
0 0 1
0 1 0
1 0 0
1 1 0
62
ELECTRONI
QUE
NUMERIQUE
63
Prof: ABOUDOULAYE Nouhoum
64
CIRCUITS ET
SYSTEMES
SEQUENTIELS
Les circuits combinatoires étudiés jusqu’à présent sont des circuits idéaux (sans
délais) dépourvus de rétroactons. Les signaux de sorte ne dépendent donc
que des signaux d’entrée aux mêmes instants (circuit sans mémoires)
65
I- BASCULES
1- Définition d’unn oéooire
Une mémoire est une unité fonctonnelle qui peut recevoir ; conserver et
resttuer des informatons. L’élément de base d’une mémoire est la cellule
mémoire dont le contenu est * bit * dans le cas d’un fonctonnement binaire.
Une bascule est un circuit de mémorisaton qui pour une combinaison d’état
logique de ses entrées présente sur sa sorte deux ( 2) états complémentaires
stables.
Une bascule est une mémoire élémentaire qui ne peut mémoriser qu’un
Les bascules asynchrones changent d’états dès que les grandeurs d’entrées
sont présentes tandis que pour les synchrones, les signaux d’entrée ne
provoquent pas directement le changement d’état ; l’ordre fnal d’exécuton
est donné par le signal d’horloge.
66
3- C eeune s oéooire s(oascuune RS asyncuhreon )
Table de vérité
R S Qn
0 0 Qn−1
O 1 1
1 0 0
1 1 ?
Table de vérité
R S Qn
0 0 ?
0 1 1
1 0 0
1 1 Qn−1
67
Table de vérité
R S Qn
0 0 Qn−1
0 1 1
1 0 0
1 1 ?
Pour les bascules synchrones la table de vérité ne change pas avec cellule
mémoire utlisée. Dans notre cas la table de vérité est égale à la table de vérité
de la cellule mémoire à porte NOR
5- BASCULE J.K.
68
Qn = J.Q́n−1 + Ḱ .Qn−1
Table de vérité
J K Qn
0 0 Qn−1
0 1 0
1 0 1
1 1 Q́n−1
C’est une forme de bascule R S avec J comme S et K comme R ; mais cete fois –
ci l’indéterminaton est levée, car si J = K = 1 la sorte est complémentée
(basculement)
69
b- Symbole
^ç
c- Table de vérité
J K Qn
0 0 Qn−1
0 1 0
1 0 1
1 1 Q́n−1
70
7- BASCULE * D *
a- Table de vérité
D Qn
0 0
1 1
71
a- Table de vérité
T Qn
0 Qn−1
1 Q́n−1
9- TABLES D’EXCITATION
RSH
Qn−1 Qn R S
0 0 × 0
0 1 0 1
1 0 0
1
1 1 O ×
Bascuune J.K
Qn−1 Qn J K
0 0 0 ×
0 1 1 ×
1 0 × 1
1 1 × 0
Bascuune T
Qn−1 Qn T
0 0 0
0 1 1
1 0 1
1 1 0
72
Bascuune D
Qn-1 Qn D
0 0 0
0 1 1
1 0 0
1 1 1
RAU et RAZ peuvent être actves à l’état bas ou à l’état haut. Toutes les
bascules ont ces entrées. On les appelle les entrées asynchrones parce que :
73
Table de vérité
Table de vérité
0 1 0
1 0 1
1 1 Fonctonnement
synchrone
- Du comptage
- Des opératons de séquencement
- La division de fréquence
- Des opératons arithmétques
74
Les compteurs synchrones et des compteurs asynchrones.
Un compteur est dit synchrone quand toutes ses bascules sont pilotées par un
même signal horloge.
Un compteur est dit asynchrone quand toutes ses bascules ne sont pas pilotées
par un même signal horloge.
Le modulo d’un compteur est le nombre d’état diférent que peut afcher ce
compteur.
- Logigreaoo
⋆Chronogramme
75
⋆ CYCLE
Dans ce compteur toutes les bascules sont pilotées par un même signal
d’horloge (H) on les appelle encore des compteurs parallèles.
76
Vérifer si une entrée ne peut être égale à VCC ou à la masse (1 ou 0)
Vérifer si une entrée n’est pas égale à une sorte antérieure ou à son
complément.
S’il n’y a pas satsfacton, passez par la méthode de karnaugh
Puis réaliser le système.
⋆ FORMULE GENERALE
J0 = K 0 = 1
n−1
J n=K n=∏ Qi=Q0 Q1 … … … … … … … … Qn−1
i=0
Le modulo maximal que peut avoir un compteur est 2n. On peut toutefois
réaliser un compteur à modulo < 2n de façon asynchrone en utlisant les entrées
RAZ et RAU des bascules ou de façon synchrone par la méthode de réalisaton.
Prenons le cas de la manière asynchrone.
Exemple
77
EXERCICE D’APPLICATION
Schéma 1
78
Schéma 2
5- DECOMPTEUR
a- Asynchrone : cas du modulo 8
79
b- Synchrone : cas du modulo 16
J0 =K 0 = 1
n−1
J n=K n=∏ Q́ i
i=0
80
f1 fH
f2 = =
N 2 N1 . N2
TH ≥ ntpdb
1
fH ≤ ntpdb
1
f H max = ntpdb
81
8- COMPTEUR ASYNCHRONE EN I.C. 7493
La puce 7493 est de la famille TTL ; elle a deux entrées * master Reset * ou
entrée d’initalisaton principale accessibles à l’extérieur. La puce content 4
bascule J.K/MS dont les sortes sontQ0 Q1 Q2 Q3.
´ 0 etCP
Deux entrées horloges dont CP ´ 1 accessibles à l’extérieur. Chaque bascule
à une entrée RAZ (CD) raccordée à la sorte de la porte NON ET (NAND) à deux
entrées MR1 et MR2.
EXERCICE D’APPLICATION
83
Chaque fois qu’on doit compter les impulsions et afcher le résultat en
numératon décimale on utlise des compteurs DCB. Un seul compteur DCB
peut compter de 0 à 9 et en suite être recyclé à 0 pour des valeurs décimales
plus grandes on peut monter en cascade des compteurs DCB comme la fgure
ci-dessus. Dans la fgure ci-dessus les compteurs DCB sont montés en cascade
en vue de compter et afcher le nombre 000 à 999.
84
La plus part des compteurs réalisés en circuit intégré sont pré réglables ce qui
veut dire qu’il est possible d’installer à tout temps dans le compteur un nombre
de départ :
85
CPU : est l’entrée du signal d’horloge de comptage actve au front ascendant.
On utlise ces 2 dernières sortes lorsqu’on veut raccorder 2 puces 74193 pour
construire un compteur à plusieurs étages ayant un modulo plus grand.
86
En mode de comptage TCU ´ du compteur de rang inférieur est raccordé à
l’entrée CPU du compteur suivant (du rang supérieur) de la même manière TCD ´
est raccordé à CPD en mode décomptage.TCU ´ = 0 si et seulement si le
compteur est à l’état « 1111 » (c’est-à-dire sorte Q3, Q2, Q1, Q0) et CPU au front
descendant dans le cas contraire TCU´ est à l’état haut.
EXERCICE D’APPLICATION
a- CYCLE
87
b- REALISATION
c- LOGIGRAMME
88
Un compteur en anneau ne fonctonne convenablement que si au départ une
de ces bascules est à l’état « 1 » et les autres à l’état « 0 », il est donc
nécessaire de placer dans le compteur l’état de départ avant d’appliquer les
impulsions d’horloge. Une façon simple d’installer l’état de départ est
d’appliquer momentanément une impulsion à l’entrée RAU d’une bascule et
sur entrée RAZ des autres bascules ; on aura ainsi placé un « 1 » dans le
compteur en anneau.
N = 2n
89
EXERCICE D’APPLICATION
Trouvé le cycle et le modulo de ces compteurs
III- REGISTRES
1- Définition
2- R gistre à décuaeag
- Diagramme
Les registres à décalage sont des circuits qu’on utlise pour transférer des
donnés d’un registre à un autre un bit à la fois (transfert série)
90
- Analyse du montage
X3 X2 X1 X0
1 0 0 0
1 0 0 0
0 1 0 0
0 0 1 0
1 0 0 1
91
4- Treansf ret pareaeeèe d donné s
X2 X1 X0 Y 2 Y1 Y0
Inital 1 1 0 0 1 0
1ere impulsion de H 0 0 0 1 1 0
92
6- R gistre s n cuirecuunit intégreé
- 74174
93
Le schéma logique de 74174 est reproduit dans la fgure ci-dessus. Il s’agit
d’un registre à 6 bits qui possède des entrées parallèles (D 5 à D0) et des
sortes parallèles (Q5 à Q0). Des Données parallèles sont chargées dans le
registre au moment du front ascendant du signal d’horloge CP. Une borne
de remise à zéro principale ḾR actve à l’état bas sert à metre à zéro de
manière asynchrone toutes les bascules du registre.
- Puncu 74178
SE
ENTREES
PE REPONSE
94
H X Décalage vers la droite DS Q0; Q0 Q1….
L L X Mainten
La table de sélecton des modes nous montre comment choisir les divers
modes d’opératon du circuit intégré.
1er CAS
2e CAS : SE = 0 ; PE = 1
95
3e CAS : SE = PE = 0
EXERCICE D’APPLICATION
96
La puce 74165 est un registre à 8 bits ; son symbole est schématsé ci-
dessus.
allèle.
97
Les temporisateurs sont des dispositfs introduisant un retard dans l’exécuton
d’une opératon. Il existe des circuits intégrés qui peuvent fonctonne en
monostable ou en astable selon le branchement de leur broche ; on les appelle
les temporisateurs (exemple : NE 555)
98
2- NE 555 oonté n oonostaoe
a- Analyse
o- Définition
Le monostable est un circuit qui déclenché par un signal d’entrée produit une
impulsion rectangulaire de durée déterminer Tp
99
Tp = RC.ln 3
a- Analyse
100
E ; le condensateur commence par se charger via Ra et Rb. quand Vc dépasse
E
légèrement 3 , S passe à 0 et R demeure à 0 Q=1 et Q́ =0 le condensateur
2
contnu par se charger via Ra et Rb. quand Vc dépasse légèrement 3 E , R passe à
1 et S demeure à 0 Q=0 et Q́ =1 ; T3 bloqué, T1 et T2 sont saturés ; la tension de
sorte passe à zéro (Vs=0). Le condensateur commence par se décharger à
2
travers la résistance Rb et T1. Quand Vc devient légèrement inférieur à 3 E, R
passe à 0 et S demeure à 0. Le condensateur contnu par se décharger via R b et
E
T1. Quand Vc devient légèrement inférieur à 3 , S passe à 1 et R demeure à 0,
Q=1 et Q́ =0, T3 saturé T1 et T2 bloqués, Vs passe à 1 ou E. le condensateur
recommence par se charger via Ra et Rb……
b- Défniton
TH R a+ R b
α= T = R a+2 R b
EXERCICE D’APPLICATION
101
CONVERTISSEURS
NUMERIQUE –
ANALOGIQUE ET
102
ANALOGIQUE
-NUMERIQUE
(CNA; CAN)
- GRANDEUR ANALOGIQUE
103
Exemple : la tension aux bornes d’une pile électrique, la charge et la
décharge d’un condensateur.
- GRANDEUR NUMERIQUE
I- CONVERTISSEUR NUMERIQUE-ANALOGIQUE
1- Définition
2- Poids de l’entrée
104
nombre binaire. Cete positon détermine le poids de chaque variable
d’entrée.
Exemple :
PE = (2n – 1) × Résoluton
- Le Pas de progression
- La tension en pleine en Echelle PE
- La résoluton en pourcentage de PE
- La sorte correspondante « 10101 »
105
5- Srécification des CNA
- Résolution : Elle dépend essentellement de nombre de bit. Un CNA de
10 bits a une résoluton plus fne qu’un CNA de 8 bits.
- Précision : les fabricants des CNA défnissent de diférente façon la
précision ; les deux paramètres les plus courants sont appelés l’erreur en
pleine échelle et erreur de linéarité.
l’erreur en pleine échelle est l’écart maximal entre la sorte du CNA
et sa valeur antcipée.
L’erreur de linéarité est l’écart maximal entre la Pas de progression réel
et le Pas de progression idéal.
- Temrs d’établissement : la vitesse de fonctonnement d’un CNA est
défnie par son temps d’établissement qui est le temps nécessaire à la
sorte pour passer de « 0 » à la tension en pleine échelle quand l’entrée
binaire efectue sa transiton principale montante de tous les bits à « 0 »
à tous les bits à «1 ». ce temps varie entre 50ns à 10µs.
- Tension de décalare : idéalement la sorte d’un CNA est égale à 0 si
l’entrée binaire est consttuée essentellement de « 0 ». en pratque on
mesure une pette tension de sorte due à l’erreur de décalage de
l’amplifcateur opératonnel. Ce décalage est généralement de 0,5% de la
tension en plein échelle.
La majorité d’un CNA dont la sorte est une tension ont un bouton de
réglage qui permet de compenser cete erreur
106
R'
VS = R E (2 K0 + 2 K1 +……………………+ 2
0 1 n−1
K n−1)
R'
VS =
2n R
E (2 K0 + 2 K1 +……………………+ 2
0 1 n−1
K n−1)
EXERCICE D’APPLICATION
107
Tracer VS (t) en concordance de temps avec H t = 0; A = B = C = D = 0.
1- Echantillonneur bloqueur
108
La CAN n’est pas un processus instantané ; par conséquent la tension
analogique d’entrée doit être maintenue constante entre deux instants t1 et t2 afin
de rendre possible la conversion. La CAN nécessite alors un dispositif
supplémentaire appelé Echantillonneur Bloqueur.
Si ceci est respecté il n’est donc pas nécessaire de transmettre tout le signal
analogique mais ses échantillons.
109
L’une des versions les plus simples du CAN est le CAN à rampe numérique. On
l’appelle convertisseur à rampe numérique à cause de la forme d’onde de V’e qui
est celle d’une rampe pas à pas (en réalité en escalier).
110
A ce point si la sortie du comparateur passe au niveau bas bloquant les
impulsions d’horloge qui arrivent au compteur et gardant dans ce dernier un
nombre numérique qui est la représentation recherchée deVe ¿.
3- Caractéristique du CAN
a- Résolution et Précision
La résolution d’un CAN est égale à la résolution du CNA qui se trouve dans
son circuit.
b- Durée de conversion
T H → Res
tc → Ve ¿
V∗e ×T H
tc = = nombre de Pas × T H
Res
PE
tc max =
Res
×T H
( 2n−1 ) Res
=
Res
×T H
111
tc max = ( 2n−1 ) ×T H
EXERCICE D’APPLICATION
112
4- CAN par approximations successives (CAS) ou à pesee successive
PROCESSUS
-
-
113
- La logique de commande place dans la bascule du poids le plus fort de
registre un« 1 ». Ceci a pour effet de placer à la sortie du CNA une valeur
de Ve égale au poids du plus fort.
Si V’e>Ve ¿ la sortie du comparateur passe à zéro, ce qui donne l’ordre à la
logique de commande de ramener à zéro le bit du poids le plus fort, dans
le cas contraire le bit reste à « 1 ».
- La logique de commande fixe à « 1 » le bit suivant. Ceci produit une
nouvelle valeur de V’e. si V’e>Ve ¿; le comparateur passe à zéro « 0 » afin
d’indiquer à la logique de commande de ramener le bit à « 0 » autrement
le bit reste à « 1 »
- Ce processus se poursuit pour chacun des bits du registre. Cette méthode à
pesées successives exige une période d’horloge par bit. Après l’essai de
tous les bits le contenu du registre est l’équivalent numérique de Ve ¿ .
Les CAS ont un temps de conversion plus court que les convertisseurs à
rampe numérique. Les CAS ont une durée de conversion fixe
(t c = nT H ) qui ne depend pas de la tension à convertirVe ¿.
114
Ve ¿(V) C1 C2 C3 C4 C5 C6 C7 C B A
¿1 1 1 1 1 1 1 1 0 0 0
[1; 2[ 0 1 1 1 1 1 1 0 0 1
[2; 3[ 0 0 1 1 1 1 1 0 1 0
[3; 4[ 0 0 0 1 1 1 1 0 1 1
[4; 5[ 0 0 0 0 1 1 1 1 0 0
[5; 6[ 0 0 0 0 0 1 1 1 0 1
[6; 7[ 0 0 0 0 0 0 1 1 1 0
>7 0 0 0 0 0 0 0 1 1 1
115
C’est le CAN le plus rapide et en même temps c’est lui qui contient le plus
grand nombre de composant. Un CAN parallèle flash de 6 bits exige 63
amplificateurs opérationnels (A.O). Une unité de 8 bits a
116
117
118
119
120
121
122
123
124
125
126
127
128
129