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Alyssia Morrissette 39

Ils ont fait une genre de forteresse autour du bureau de vote. Ils attaquait à l’aide de coup de point et de
coups de fouets tous canadiens qui s’en approchait

Se masturber était mal vue à cette époque. La découverte de son coprs allait à l’encontre de la religion catholique.
Albert Laberge était alors vue ainsi, car il abordait un sujet tabou. C’est pour cela que son livre fut refusé au tout
début.

Une courte séance de sexe, sans amour ni passion.

Elle a cet impression, car elle perd au jeu de hasard. Ainsi, elle n'accepte pas de perdre et croit que tout
le monde sont des voleurs et se moquent d’elle.

« Un silence et une tristesse sans nom planaient sur la campagne » et « Tout attestait à pauvreté, une
pauvreté a reuse à dont on ne saurait se faire idée. »

Les enfants pleurnichent par peur que leur mère viennent les hanter. La Scouine leur a crée une immense
peur dans leur cerveau. Ce comportement illustre bien la personnalité sans cœur et pitié de La Scouine.

Bagon était un orphelin ayant vécu un enfance de misère. Il était à peine nourrit, se faisait exploiter à faire un
travail beaucoup trop demandant pour son petit corps et dormait sur de la pierre froide. Ce modèle est
contraire à l’idéologie conservatrice puisque la famille est généralement une valeur mise de l’avant.
Cependant, Bagon n'a pas vécu dans une belle famille.
Il mange la chair fraîche de l’animal mutilé. La Scouine a l’impression d’avoir assisté à un meurtre.

Schno tua avec une fourche quelques petits animaux. Ainsi, son frère fâché le força à faire le fossé sous la
chaleur intense qui tombait sur eux. Mal nourris, les deux hommes travaillèrent sans relâche et nirent épuisés.
Ainsi Schono mourra durant la nuit d’une insolation.

Le cimetière est décrit comme un lieu lugubre et silencieux, où règne une atmosphère de solitude et
d'abandon. Cette description du lieu donne l’impression que dieu est absent. Ce portait va à l’encontre de
l’idéologie conservatrice qui prône la religion contrairement à ce qu’on peut voir dans ce chapitre.

Elle ne les recevra jamais! À chaque fois, le cordonnier avait une nouvelle excuse et repoussa encore.
Encore une fois, des comportements égoïste et sans pitié sont soulignés par les personnages de ce
roman.

Il semble qu’elle entre dans la confrérie des enfants de Marie davantage pour plaire au clergé et pour
acquérir une certaine importance sociale. Ses intentions ont l’air d’être plus reliés à ses intéractions
sociales avec les membres du clergé plutôt que par dévotion religieuse.

Tifa et Raclot ont ravagé le jardins qui avait prit tant d’années à cultiver. Avec leurs haches, ils s’attaquèrent
à tous les arbres du jardin de la pauvre famille Deschamps. Cette idée était venue de Raclor. Ce mal venait
de tout le comérage de La Scouine. Il voulait lui faire vengeance, c’est pourquoi il s’attaqua à sa terre.

Il s’est suicidé. L’idéologie conservatrice dominante valorise plutôt la vie, la famille et la religion. Ainsi, le
suicide est considéré comme une violation des valeurs traditionnelles.

Non, car la famille ne veut pas dépenser, son frère ne se déplace pas, il n'y a pas beaucoup de
receuillements. Ainsi, nous pouvons voir que les habitants ne semblent pas vraiment religieux, puisqu'ils ne
prennent pas vraiment la mort comme quelque chose de gros.

Ils se sont loués une maison dans le petit village. Maço et Charlot ne sont pas plus heureux. Ils entendent
après la mort, vivent une vie monotone, interminable, stagnante dans le silence. De son coté, la Scouine,
est quand même satisfaite de ce changement. Malgré la légère tristesse de partir de sa maison de
jeunesse, elle était tout le même satisfaite d’être près du presbytère. Charlot se sent beaucoup
nostalgique. Il rêve de recommencer à travailler au lieu de vivre cette vie dans l’ennuie absurde et atroce.
Sans que personne le sache, il sou rait en silence.
La famille, le travail, la religion, la jalousie, la méchanceté, la misère, la pauveté, l'agriculture, l'anti-terroir,
les canadiens francais, la sexualité, la laideur, l'éducation, la terre, la mort.

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