Cette ville lui avait toujours été décrite comme un
réussir dans la vie et rendre sa mère, Sophie Mbezele, heu Mathieu était venuà Douala pour trouver du travail, endroit miraculeux où tous vivaient, peut-étre pas forcément se croyaient tout et n'avaient rien. Tiens, quelque chose qui Muni d'un BEPC et n'ayant pas pu continuer ses études village, à nistration, ni rien dans ce monde des ministères où les gens lui aurait plu, c'eût été de devenir douanier. L'oncle d'un de publique. Il ne se voyait pas instituteur. Ni adjoint d'admi de Yaoundé, se au collège Madeleine de Yaoundé après son échec à l'exa men probatoire, Mathieu n'avait pas voulu se lancer dans la yoie de concours menant à des emplois de la fonction de sa mère, maman Song lina', comme on l'appelait, il heureux, mais du moins à l'aise. ll connaissait une parente ses amis, Pascal, en était un, et cela se voyait. Mais là aussi, dit que dans cette ville, l'argent coulait. Cette sœur aînée considération pour elle quand elle venait au village. En plus, il lui semblait qu'il fallait qu'il aille à Douala. On lui avait dait à Douala. Toute la famille était béate d'admiration et de découvrira plus tard que son patronyme était Aboui -rési qui y évoluait et qui, lorsqu'elle arrivait dans son Elig-Belibi, à l'intérieur même de la ville Chapitre 1 posait comme une nantie.