Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
4
NOUVEAU PROGRAMME
Collection de Mathématiques
CARGO NO U VE L L E É D ITION
LIVRE DU PROFESSEUR
Partie 3
(pages 105 à 143)
12 Vecteurs
Manuel pages 131 à 142
*Les caractères gras signalent des pages ou des exercices de Méthodes et savoir-faire.
2. a. 2. b.
A B C
C D
D E
E F G H A
A B C
B C D
D E
E F G H
F G H II JJ K
K L
L M
M 1
A B F G H II JJ K
K L
L M
M 1 1
1 1
1
1 1
2 2
2 2
2
2 2
2
3 3
3 3
3
3
3 3
4 4 4
4 4
4
4 4
5 5 5
5 5
5
5 5
6 6
6 6
6
6 6
6
7 7
7 7
7
7 7
7
8 8 8
8 8
8
8 8
9 9
9 9
9
9
9 9
10 10 10
10 10
10
10 10
11 11
11 11
11
11
11 11
12 12 12
12 12
12
12 12
13 13
13 13
13
13
13 13 B C
A B D E
C D F G
E F G H
H II JJ K L
L M
A K M
A B
A C D
B C E F
D E F G H II JJ
G H K
K L
L M
M
3.
A B C D E F G H I J K L M
1 1
2 2
3 3
4 4
5 5
6 6
7 7
8 8
9 9
10 10
Après les déplacements successifs indiqués à
11 11 gauche, la bille a disparu en (G ; 7) et réapparaîtra
12 12 en (F ; 6).
13 13
A B C D E F G H I J K L M
A C' G
C
F' E
Activités d’apprentissage
A' F B' G'
D'
1. Comprendre la notion de vecteur H'
3. Le vecteur AN est caractérisé par :
E'
B D
1., 2. et 4. a. • un point
H de départ, le point A (appelé origine) ;
N P
D'
2 Utiliser un logiciel pour comprendre
1. C'
D
F2
C
D"
F1 A' B'
C"
F3 A B
N
A" B"
M
2.
R
G
On conjecture
O que le quadrilatère ABE’E est un parallélogramme.
3 Vecteurs et parallélogramme
I
F
1. GRIF est un parallélogramme ; en effet ses diagonales [GI] et [FR] ont le même milieu O.
2. On en déduit que : RI = GF ; GR = FI ; FG = IR ; IF = RG .
A 3. a. A, B, C et J sont quatre points tels que AB = CJ ,
b. Le quadrilatère non croisé ABJC, qui a deux côtés [AB] et [CJ] de même longueur et
K C de supports parallèles, est un parallélogramme.
B 4. Dans ce parallélogramme ABJC, les diagonales [AJ] et [BC] ont le même milieu K.
B
A
F1
F C
M'
M
F2
M"
1. c. AB + BC = AC
2. b. On remarque que AB + AA’ = AC.
B a. B b. • AB + BC = AC
• AA’ = BC car ABCA’ est un parallélogramme.
C c. • Les vecteurs AB et AA’ ont pour origine le point A.
A • AB + AA’ = AB + BC = AC
F A'
– 107 – Cargo 4e – Livre du Professeur
A
12 Vecteurs
SS
Méthodes
MM
c. S
c. S
et savoir-faire
R
R M
M
AA
a. R b. R
1. Apprendre à construire
d.
d. SS M
M laRRsomme de deux vecteurs D
D
M BB
1 S 2. b. Méthode de construction
C la mieux adaptée : la
a. →
R
→ →
→ →
→b. R
règle du « bout-à-bout ».
M S
A
R M 3.
c. S M
S C
d. M S R D
M S
A B CC EE
c. S R M
→ → →
AA
d. M S R D
B
D
D
MR
a.
a.
+ RS = MS . →B → → b. BB
B b.
Dans chaque cas, pour construire
AA le vecteur
BB d’origine
CC AA FF C E
M représentant
MM MR + RS , on utilise
M
M la règle du « bout-
à-bout ». CC
a. BCA+ BD = BE ; méthode de construction la mieux
II NN II
NN
adaptée : la règle du parallélogramme
C ; E
2
D
b. CDA + DA B= CA = DF ; méthode de construction la
a. B b.
A B
mieux adaptée
F
: la règle du « bout-à-bout ».
C A
M M
C D
a. B I N b. I
4 Donnée initiale
B : un triangle MNP.
A B C A F
N
M M PP
SS RR
C
Dans les deux cas, M et N IsontN les points tels queI :
N = AB + AC et IN = AB + AC .
AM
UU
NN
3 1. et 2. a. M
M
S P
R
TT
C
A
Construction, en utilisant un compas et la règle du
S P
parallélogramme, des points R, S,NT etRU tels que
U :
M
D
a. MR = MP + MN ; b. NS = NM + NP ;
B
c. PT = PM + PN ; d. MUT= MR + MT . U
M N
AB + BC = AC .
T
Cargo 4e – Livre du Professeur – 108 –
C E
AA Vecteurs 12
TT
RR
A
2. Apprendre à démontrer
OO
en utilisant
T des vecteurs BB CC
R SS A
T A
5
UU
T 2. M est le point tel que : AM = AB + AC .
B C
R O 3. Par construction M ABMC
M est un parallélogramme,
R S
dont
B
deux côtés
C B
consécutifs
C ont la même longueur ;
O U O donc ce quadrilatère est un losange.
S S M
U U
9 M M AA A'A'
Si O est le milieu Ade
A [RS] et [TU],BBalors URTS est un
parallélogramme ; donc : UR = ST . II JJ
DD CC A A'
A B
6 1. ABCD est un parallélogramme,
FF A B
A'B A I KK A' CC
J
AB EE
A D donc : ABB= DC
C ;
DCFE est un parallélogramme, 1. Dans
I
le triangle I ABC, puisque
J
I et J sont les milieux
D DC doncE : CDC = EF . F des côtés [AB]Jet [AC],B on en Kdéduit queC (IJ) // (BC) (et
1
FE F donc
B (IJ) K// (KC)BetC que IJ
K= C = KC.
BC
E 2
2. On en déduit que : AB = EF ; donc ABFE est un Donc IJ = KC, donc IJCK est un parallélogramme.
parallélogramme.
2. a. AA’ = IJ et IJ = KC donc AA’ = KC.
7 1. b. D’après le 2. a., on en déduit que AA’CK est un
DD CC parallélogramme. EE
BB CC
AA D II C BB 10 E
AA
DD
D est un parallélogramme,
AICD C D C donc : AI = DC ; B C
A B E E
DIBC est un parallélogramme,I donc : DC = IB ; FF
A
B C B C D
AOn en déduit
I Aque : AIB = IIB . B
2. Finalement I est le milieu de [AB]. A A F
D D
A
1.
F
ABCD est unFGparallélogramme,
H donc
A AB = DC .
8 1.
2. E est le symétrique de D par
I rapport
B G àC; H A
F est le symétrique
F de B par rapport à A.
I BA
B C 3. C est le milieu deE[DE], doncDDC = CE C; F
A est le milieu de [FB], donc FA = AB.
E D
M
4. On en déduit que : CE = FA ; E B
donc le quadrilatère CEAF est un parallélogramme.
ABC est un triangle isocèle en A.
A A'
Exercices d’application
I J
D C Vecteurs 12
A B
A B A B
O
d. On en déduit que, dans une somme de deux ABCD est un parallélogramme
A O de centre B O.
vecteurs, on peut changer l’ordre de ces vecteurs ABCD est un parallélogrammeOC donc AD = BC ; ainsi
D
(commutativité).A CB AD + CO = BC + DCO = BO . C
D
3. Quatre points R, S, T et U sont donnés. 2. a. AO + CD = OC
D + CD = OD ; C
RS + ST = RT ; ST + TU = SU ; b. OD + OA = OA + OD =L CO + ODI = CD ;
SR + TS = TSD + SR = TR ; C RT + UR = UR + RT = UT ; c. OD + CB = OD + DA = OA.
SU + US = SS = 0 ; A RU + SRB= SR + RU = SU .
A B
26 1. L I
21 1. A B
N O P
D C
D C
D C N O P
G L I
ABCD est un parallélogramme. L I
LION est un carré de côté 3 cm.
AB = DC ; AD = BC ; CD = BA ; CB = DA. L I
A 2. a. LO + OI = LI ; b. NL + LI = NI ;
2. AB + CD = AB + BAG = 0 ; AD + CB = BC + CB = 0 ;
c. NL + IP = NL + LO = NO ; d. NI + IP = NP .
AC + CB = AB ; BA + AD = BDC
; N O P
E B N O P
DC + BD = AB + BD = ADA; CA + AD = CD. 27 A B
N O P
O
22 1. G C
E BG
DA CB
G
O
A
HA ABCD est un parallélogramme de centre O.
F
A
A
B
C D ;
BA + BC = BD C DA + DC = DB;
E B AB + AD = AC ;
E B
C A B = CA ;
CD + CB
HO C AB + DA = DA + AB = DBA ; B
D C F O
Un triangle ABC A estEdonné. B B
A ; O
G E OC + AO = AO + OC = AC B
2. E, F, G et H sont tels que :
O AB + CB = AB +D DA = DB ; C O
AE = AB +DCB ; AF = ABC+ AB ; AG = BA + CA ; AH = AB + AC . C
OB + OD = 0. D
G H
E D C
23 A H B F
F
A H B Petits problèmes
AO B F
D OC
28 1. a. E R
DG
O C E
D G C E
D
ABCD est un parallélogramme
G de centre O.
E
E, F, G et H sont tels que : AE = AC + OC ; OF = OB + DO ;
AG = AC + OD ; OH = OA + G OB. D C F F S
E R
G DEF est isocèle en D.
24 F G D C F
b. S et R sont les
D symétriques respectifs de E et F par
G rapport à D.
F c. RSFE est un rectangle ; en effet, les diagonales de ce
F
quadrilatère : S
ABCD est un trapèze de bases [AB] et [CD]. • se coupent en leur milieu (parallélogramme)
Q P R
F, G, H et K sont tels que : • ont la même longueur.
K
AF = AB + AD ; AG = BA + BC ; CH = DA + AB ; 2. a. ED = DS ; ER = FS .
CK = CB + AB ; b. DF + FE = DE ; FS + FE = FE +MER = FR . N
25 1. A B 29 1.
Q P R
O
K
A B
C
O D M N
M N
12 Vecteurs
2. MNPQ est un parallélogramme donc MN = QP. A est le milieu de [DE] ; F ∈ (AC) et AO = OC = CF.
K est le milieu de [NP] (par construction) et de [MR] 1. a. ABCD est un parallélogramme donc CB = DA ;
(puisque R est le symétrique de M par rapport à K) ; comme A est le milieu de [DE], on a : DA = AE ;
donc le quadrilatère MNRP, dont les diagonales se donc : CB = AE .
coupent en leur milieu, est un parallélogramme et
b. On en déduit que AEBC est un parallélogramme et
MN = PR.
EB = AC .
3. Finalement QP = PR ; donc P est le milieu de [QR].
2. AC et OF sont deux vecteurs qui ont mêmes
30 E B D direction, sens et longueur (2×OC) ; donc AC = OF .
3. On en déduit que EB = OF ; donc le quadrilatère
EBFO est un parallélogramme, dont les diagonales
A C
[EF] et [OB] ont même milieu L.
31 U R S
E
2. On a : (RT) ⊥ (RS) ; RU = SR, donc R est le milieu de
[SU].
A B
On en déduit que :
L • (TR) est la médiatrice de [US] ;
O • UTS est un triangle isocèle en T, dont la droite (TR)
D
C
est à la fois hauteur, médiane et bissectrice issues de
F son sommet principal T.
ABCD est un parallélogramme ; Finalement : mes STR = mes RTU.
34 Notations et vocabulaire
36 Retrouver les bonnes relations
1. EF désigne une longueur ; AB² + BC² = AC² signifie que ABC est un triangle
EF désigne un vecteur ; rectangle ; c’est la propriété de Pythagore.
[EF] désigne un segment ; AB + BC = AC signifie que A, B et C sont trois points
(EF) désigne une droite. quelconques du plan ; c’est la relation de Chasles.
2. EF = HG , donc EFGH est un parallélogramme. AB + BC = AC signifie que A, B et C sont obligatoirement
Le point J est sur la médiatrice de [HG], donc : JH = JG. trois points alignés dans cet ordre ; c’est l’inégalité
On sait que (EF) // (HG), EF = HG = 3 cm, [EF) et [HG) sont triangulaire.
de même sens, donc EFGH est un parallélogramme. AB + BC > AC signifie que ABC est obligatoirement un
O est le milieu de [HF], donc HO = OF. triangle non aplati ; c’est l’inégalité triangulaire.
Cargo 4e – Livre du Professeur – 112 –
Vecteurs 12
37 Traduction vectorielle MU + UE = ME ;
BC + AB = AB + BC = AC .
DA = BC • • AD = BA
ABCD est un
parallélogramme • • AD = CB 39 Contre-exemple
1. Lorsque (RS) // (UT) et RS = UT, on ne peut pas
A est le milieu de [BD] • • AD = BC conclure que RS = UT ; en effet [RS) et [UT) peuvent
ne pas être de même sens (et alors ces vecteurs sont
opposés). K P
38 Appliquer la relation de Michel Chasles A B
AI + IB = AB ; oui 2. Un point M peut être à égale distance des points A
et B sans que AM = MB
I ; c’est le cas
R pour tout point M
RE + MR = MR + RE = ME ; de la médiatrice
D de [AB], distinct de son milieu.
Exercices d’approfondissement
40 Programme de construction 42 Droites concourantes
1. et 2. a. R A Q
A
(d1)
B C
A1
A2 P
(d2) C D E
O 1. Le triangle ABC est donné. P, Q et R sont tels que :
AP = AB + AC ; BQ = BC + BA ; CRI = CA + CB .
2. b. • Tracer la droite parallèle à (d1) passant par A, elle 2. a. Par construction,
F
les
A
quadrilatères
B
ABPC et ACBR
coupe (d2) en A2. sont des parallélogrammes.
• Tracer la droite parallèle à (d2) passant par A, elle b. On a : BP = AC et RB = AC ; donc : BP = RB ;
coupe (d1) en A1. c’est-à-dire : B est le milieu de [RP].
• Le quadrilatère OA1AA2 obtenu est un parallé-
logramme (puisque (AA1) // (OA2) et (AA2) // (OA1)), c. De façon analogue, on démontre que C est le milieu
de [PQ] et A est le milieu de [QR].
donc OA1 + OA2 = OA.
d. On en déduit que les droites (AP), (BQ) et (CR),
médianes du triangle RPQ, sont concourantes.
41 Quadrilatères particuliers
K P
43 Parallélogrammes enchevêtrés
A B
C D E
I R
D I
12 Vecteurs
b. ABDC, dont les diagonales [BC] et [AD] ont même 46 Avec des médianes
milieu, est un parallélogramme et AB = CD. 1. A
3. a. ED = BA.
b. Donc AB = DE et ABED est un parallélogramme. R G
4. a. F est tel que AB = FA . C
T
b. Comme AB = CD, on a FA = CD et AFCD est un B
parallélogramme. A'
5. Comme AB = DE et AB = FA , on a : FA = DE ;
donc AFDE est un parallélogramme, dont le centre est a. G, point d’intersection des médianes issues des
le milieu de [AD], c’est-à-dire I. sommets A et C de ABC, est le centre de gravité de ce
triangle.
6. ABDC est un parallélogramme donc : AC = BD ;
b. le point A’ est tel que : GB + GC = GA'.
AFDE est un parallélogramme donc : FD = AE ; c. Par construction, GBA’C est un parallélogramme ;
AFCD est un parallélogramme donc : CF = DA ; donc T, milieu de sa diagonale [BC], est aussi milieu de
I milieu de [AD] donc : AI = ID . sa seconde diagonale [GA’].
2. a. G, centre de gravité de ABC, est situé aux deux
tiers de la médiane [AT] à partir de A ;
44 Remplacer des vecteurs
2 1
D C
donc : AG = AT et GT = AT et GA’ = 2GT = AG.
3 3
Comme G ∈ [AA’], G est le milieu de ce segment ;
O
A B c’est-à-dire : GA + GA' = 0.
b. On en déduit que : GA + GB + GC = GA + GA' = 0.
ABCD est un parallélogramme de centre O ; donc :
• AB = DC ,
• O milieu de [AC] et AO = OC . 47 Avec un hexagone régulier
OC + OB = AO + OB = AB ; 1. B
C
CB + BD = CD = − DC = − AB ;
donc : OC + OB est opposé à CB + BD. 60°
D A
O
45 Somme de plusieurs vecteurs
E F
1. a. (AB + BC ) + CD = AC + CD = AD ;
AB + (BC + CD) = AB + BD = AD. ABCDEF est un hexagone régulier, inscrit dans un
b. On constate que les résultats sont identiques (et on cercle de centre O :
peut écrire ces calculs sans parenthèses). • OA = OB = OC = OD = OE = OF ;
360
2. a. BA + AC + CB = BB = 0 ; • mes AOB = mes BOC = … = mes FAO = = 60°.
6
b. AB + BC + MA = MA + AB + BC = MC ;
Donc les six triangles AOB, BOC, COD, DOE, EOF et FOA
c. CD + BC + EB = EB + BC + CD = ED ; sont équilatéraux.
d. AD + BC + EB + CA = EB + BC + CA + AD = ED. a. Le quadrilatère ABCO, dont les quatre côtés sont de
3. PS + PA = SA est une égalité fausse ; même longueur, est un losange.
SA + PS = PA est une égalité vraie b. On en déduit que : OA + OC = OB.
(en effet : SA + PS = PS + SA) ; 2. a. De même : OD + OF = OE ;
MU + EL + LM = EU est une égalité vraie b. Les points B, O et E sontMalignés dans cet ordre ;
(en effet : MU + EL + LM = EL + LM + MU ) ; comme OB = OE, O est le milieu de [BE] et OB + OE = 0.
UM + EL + ME = LM est une égalité fausse
A 3. OA + OB + OC + OD + OE + OF = OB + OE + OB + OE
(en effet : UM + EL + ME = UM + ME + EL = UL ). A O R = 0. B
Activités d’intégration
49 Tir à la corde
• Première situation
N
O M
145° Malik
A
Asah
OM > OA et OM > ON. C’est Malik qui tire le plus fort.
– 115 – Cargo 4e – Livre du Professeur
12 Vecteurs
50 Le bateau de Paul
Le matin
U U
O Ci-contre : W
O
OU = AB + GH et OV = CD + EF ; OU + OV = 0 ;
donc : AB + CD + EF + GH = 0 et le bateau de Paul est immobile.
V V
Le midi
W
O
Ci-contre :
OU = AB + GH et OV = CD + EF ; OU + OV = OW ≠ 0 ;
donc : AB + CD+ EF + GH ≠ 0 et le bateau de Paul n’est plus immobile.
V
*Les caractères gras signalent des pages ou des exercices de Méthodes et savoir-faire.
A A
(D) (D)
A
2. Pour les frises B et C :
a. seule C admet un (et même plusieurs) axe(s) de symétrie vertical ;
(D)
b. B et C admettent chacune un (et un seul) axe de symétrie horizontal ;
c. seule C admet un (et même plusieurs) centre(s) de symétrie ;
d. B et C ont chacune la possibilité d’être prolongées par glissement le long d’une droite.
3. Motifs de base possibles de la frise D, à l’aide desquelles on peut prolonger indéfiniment cette frise en le
faisant glisser le long d’une droite (horizontale) :
Activités d’apprentissage
1. Mouvements de translation
1. En déplaçant le calque de la licorne bleue 1 pour qu’il vienne se superposer sur la licorne jaune 2, les points A,
B et C se superposent respectivement aux points D, E et F.
On dit que : « les points A, B et C ont pour images respectives D, E et F »
ou « les points A, B et C se transforment en D, E et F ».
2. b. Le quadrilatère ADEB semble être un parallélogramme.
c. Les quadrilatères ADFC et BEFC semblent aussi être des parallélogrammes.
3. On peut citer les vecteurs suivants : AD ou BE ou CF.
On conjecture que :
• les droites (CD) et (C’D’) sont parallèles ;
• les segments [CD] et [C’D’] sont de même longueur.
2.
Méthodes et savoir-faire
1. Apprendre à translater
D
une figure 3 (C)
(C')
C
O'
1 1. B D
O
(C')
(C)
C
O'
D A (C') O S
D (C) R (C')
B (C)
C
C O'
O point ’, tel que O'
Le
B
A O
O RSO’O est un
S
parallélogramme, est
B R
2. L’image du point C, par la translation de vecteur AB, l’image de O par la translation de vecteur RS ; l’image
A
est leApoint D tel que ABDC estA un parallélogramme. R de (C) par
S cette translation est le cercle (C’) de centre
S
(D') R F'
E'
F' O’, passant par S.
E
A F B
(D) (D') F'
E'
F'
4 F
2 A E
A (D') F F' B
E' (D')(D) F' A
E'
F'
F' F
E
E B
F B
(D) F
(D) F A
F
D C
b. L’image de O milieu de [AB] est le point O’ milieu
D' C' de [BB’] ;
de plus, d’après la propriété du paragraphe 3. g.,
c. [BD] a pour image [B’D'] par la translation de vecteur
AB
AO et O est le milieu de [BD], donc, d’après la propriété les cercles (𝒞) et (𝒞’) ont même rayon R = = 2,5 cm.
du paragraphe 3. c. du cours, l’image de O (le point C) 2
est le milieu de [B’D’].
7 • Dans le triangle ABC :
d. Objet [AB] [BC] [CD] [AD] DAB
mes BAC + mes ABC + mes BCA = 180°
Image [OB’] [B’C’] [C’D’] [OD’] D’OB’
mes BAC + 67° + 23° = 180°,
Ainsi, d’après la propriété du paragraphe 3. d., donc mes BAC = 90°.
AB = OB’, BC = B’C’, CD = C’D’, AD = OD’ or AB= CD
et AD = BC, donc OB’ = C’D’ et OD’ = B’C’ donc OB’C’D’ • A’, B’, C’ sont les images de A, B, C par la translation de
est un parallélogramme. vecteur FD, donc mes B’A’C’ = mes BAC = 90°.
De plus, d’après la propriété du paragraphe 3. f. :
mes DAB = mes D’OB’ = 90°, donc OB’C’D’ est un
rectangle.
Ainsi, Aire (OB’C’D’) = 4 × 2,4 = 9,6 cm2.
Exercices d’application
Translation : construction la translation de vecteur AI) sont confondues au point
8 E tel que ABEC soit un parallélogramme.
3. Les images de la droite (BC), par chacune des
H
E F
G translations précédentes, sont identiques : c’est la
D
B C G H Bdroite (Δ), parallèle
E en E à (BC).
A E F
D I E
B C H B
A G ( Δ)
Si D est l’image de F par DuneE translation,
F alors les I
images de E, D Aet G, C
B par cette translation, sont : C, B A Translation
B
C :(propriétés
Δ)E
et E. A
I
C ( Δ)
A B O N 12 1. et 2.
9 A C
A B O N
K H M
C
A B K O N M
H
C
D E L F G I
K H M
D C E L F G I
1. a. La transformation
D par Elaquelle
L F on passe
G de
I CDE à
1.
ONH est la symétrie par rapport au point K. E
C
• HMN par la translation de vecteur NH. 13 1. a. et b.
O F3 42° C48°
A B
10 1. F2
O F3 A
42°
8 cm
48°
F1 N B
F2 8 cm
M 42°
F1 N O F3 A 48°
B
M F2 A' B' 8 cm
F1 N
A' B'
M
A' B'
2. F2 est l’image de F1 par la symétrie de centre N.
Par cette symétrie, l’image du point M est le point O.
3. F3 est l’image de F2 par la symétrie de centre O.
4. On passe de F1 à F3 par la translation de vecteur MO.
G H
F 11 1.
B E c. [BB’], [B’C’], [C’D’], [D’B] sont les images de [AB], [BC],
I
( Δ)
[CD], [DA] par la translation de vecteur AB, donc :
BB’ = AB ; B’C’ = BC ; C’D’ = CD ; D’B = DA.
A C
Or, AB = BC = CD = DA car ABCD est un losange, donc
O N
I est le milieu du côté [BC] du triangle ABC. BB’ = B’C’ = C’D’ = D’B, donc BB’C’D’ est un losange.
2. Les images de C (par la translation de vecteur AB), 2×5
2. Aire (BB’C’C) = Aire (ABCD) = = 5 cm2.
H M 2
de B (par la translation qui de vecteur AC) et de I (par
F G I 4e – Livre du Professeur
Cargo – 120 –
D E L F G I
Translation 13
1. E
14 a. et b. RSTU est un parallélogramme.
S
• E est l’image de S par la translation
T de vecteur RT ;
donc RTES est un parallélogramme ;
R U
• F est l’image de R par la translation de vecteur SU ;
donc SUFR est un parallélogramme.
F
A C
16 C
O N
K H
c. [E’F’],
M [F’G’], [G’E’] sont les images de [EF], [FG], [GE]
O 42° 48°
par la translation du vecteur AB, F3 A
8 cm
B
F2
L F Gdonc E’F’
I = EF, F’G’ = FG, G’E’ =F1GE. N
M
Or EF = FG = GE car le triangle EFG est équilatéral, donc
E’F’ = F’G’ = G’E’, donc E’F’G’ est un triangle équilatéral. A' B'
Exercices d’approfondissement
23 Translation et symétrie centrale AC = 6 cm et BD = 4 cm.
1. 1 A D
A 2. Aire de ABCD : × 6 × 4 =12 cm².
2
B I
C
3. E, F et G sont les images respectives de B, C et D par
O'
J la translation de vecteur AO. O
B' B
C'
4. Une figure et son image parC une translation
E sont
(C)
ABC est tel que : AB = 3 cm, AC = 4 cm, BC=6 cm. superposables ; donc : (C')
2. BB’C’ est l’image de ABC par la translation de vecteur a. OEFG est un losange ;
AB. b. l’aire de OEFG est 12 cm².
3. La translation conserve les longueurs, donc : 5. E et G sont les images respectives de B et D par la
BB’ = 3 cm, BC’ = 4 cm, B’C’ = 6 cm. translation de vecteur AO ; donc :
4.a. C’ est l’image de C par la translation de vecteur • BE = DG = AO = OC ;
AB, donc : ABC’C est un parallélogramme ; • (BE) //( DG) //( AO) // (OC).
b. Les segments [BB’] et [CC’] ont : Les segments [BE] et [DG] ayant même longueur et
des supports parallèles, le quadrilatère non croisé
• même longueur que [AB], BEGD est un parallélogramme.
• des supports parallèles à celui de [AB] ;
De plus (OC) ⊥ (BD) (diagonales d’un losange) ;
donc le quadrilatère non croisé BB’C’C est un parallé-
logramme. donc BEGD est un rectangle.
5. Le triangle CBC’ est l’image du triangle ABC par la L’aire de ce rectangle est : 4 × 3 = 12 cm² ;
symétrie par rapport au milieu I de [BC]. le rectangle BEGD a même aire que le losange ABCD.
Le triangle CBC’ est l’image du triangle BC’B’ par la 25 Deux démonstrations
symétrie par rapport au milieu J de [BC’].
On note ABCD un parallélogramme de centre O et
24 Du losange au rectangle A’B’C’D’ son image par une translation. On obtient
1. ainsi le tableau de correspondance.
B E
Point A B C D O
A C F Image A’ B’ C’ D’ O’
O
D G Première méthode
• ABCD est un parallélogramme donc O est le milieu
ABCD est un losange de centre O. de ses diagonales [AC] et [BD].
Cargo 4e – Livre du Professeur – 122 –
B E
A C F
Translation 13
O
D G
• Or, d’après la propriété du paragraphe 3. e., O’ est celle de (C) est (C’) et celle de (AD) est elle-même ;
donc le milieu des diagonales [A’C’] et [B’D’]. comme toute translation conserve les mesures
• Donc A’B’C’D’ est un parallélogramme. d’angles, la droite (AD), tangente en A à (C), est
transformée en la droite (AD), tangente en D à (C’).
Deuxième méthode
• (A’B’), (B’C’), (C’D’), (D’A’) sont les images des droites 27 Recherche de l'orthocentre
(AB), (BC), (CD), (DA) par la translation.
• Donc, d’après la propriété du paragraphe 3. a.,
(AB) // (A’B’), (B’C’) // (BC), (C’D’) // (CD) et (D’A’) // (DA).
• Or, ABCD est un parallélogramme, donc (AB) // (CD)
et (BC) // (DA).
• Donc (A’B’) // (C’D’) et (B’C’) // (D’A’) donc A’B’C’D’ est
un parallélogramme.
Remarque : on peut également utiliser d’autres pro-
priétés du cours (paragraphe 3. d. ou 3. f.) et d’autres (C) et (C’) ont même rayon. Dans la translation de
méthodes. vecteur OO', A’ est l’image de A et N est l’image de M.
26 Tangente commune 1. Les droites (AB) et (OO’) sont perpendiculaires ; en
effet, A et B étant équidistants de O et O’, (AB) est la
1. A D
médiatrice de [OO’].
2. a. (AB) ⊥ (OO’) et (AA’) // (OO’), donc (AB) ⊥ (AA’).
O O' b. (C’), cercle circonscrit au triangle ABA’ rectangle en
B E
A, a l’hypoténuse [BA’] de ce triangle comme diamètre.
C
(C) (C') 3. a. BNA’, triangle dont le cercle circonscrit a pour
diamètre le côté [BB’], est un triangle rectangle en N
Le cercle (C) a pour centre O, pour rayon 3 cm. (point opposé à [BB’]).
ABC est inscrit dans (C) et isocèle en A ; AB=5 cm. b. A’ et N étant les images respectives de A et M par la
2. a. D et E sont les images respectives de A et C par la translation de vecteur OO', OO’A’A et OO’NM sont des
translation de vecteur BC. parallélogrammes ;
b. Le cercle (C’), circonscrit à CDE, est l’image de (C) [AA’] et [MN] ayant même longueur que [OO’], (AA’)
par la translation de vecteur BC. et (MN) étant parallèles à (OO’), on peut dire que
le quadrilatère non croisé AMNA’, avec deux côté
Il passe par D et a pour centre le point O’, image de O opposés, [AA’] et [MN], de même longueur et de
par la translation. supports parallèles est un parallélogramme.
3. Dans le parallélogramme BCDA, (AD) // (BC) ; c. D’après 3. a. (BN) ⊥ (NA’) ; d’après 3.b. (MA) // (NA’) ;
dans le triangle isocèle en A, (AO) ⊥( BC) ; donc : (MA) ⊥ (BN).
donc : (AO) ⊥ (AD), on en déduit que (AD), perpen- 4. (AB) ⊥ (OO’) et (MN) // (OO’) ; donc : (AB) ⊥ (MN).
diculaire en un point de (C) à l’un de ses rayons, est 5. Finalement, dans le triangle BMN, (MA) est la
tangente à ce cercle. hauteur issue de M et (BA) est la hauteur issue de B ;
Dans la translation de vecteur BC, l’image de A est D, donc A est l’orthocentre du triangle BMN.
Activités d’intégration
28 Réaliser une frise
Programme de construction :
On décalque les trois bonhommes ombrés.
On construit :
• l’image du bonhomme ① par la translation de vecteur DF,
• l’image du bonhomme ② par la translation de vecteur BG, ① ②
• l’image du bonhomme ③ par la translation de vecteur CE,
• l’image du bonhomme ① par la translation de vecteur GB, ③
• l’image du bonhomme ① par la translation de vecteur EC,
• l’image du bonhomme ② par la translation de vecteur EC,
• l’image du bonhomme ② par la translation de vecteur FD,
• l’image du bonhomme ③ par la translation de vecteur GB,
• l’image du bonhomme ③ par la translation de vecteur FD.
*Les caractères gras signalent des pages ou des exercices de Méthodes et savoir-faire.
8
8
6
6 4
4
3 2
2 3 1 2
Durée (en s)
1 2 Durée (en s) 1
0 1 2 4 5 8 Durée (en s)
1 Durée (en s)
0 1 2 4 5 8 0 1 2 4 5 8
0 1 2 4 5 8
La représentation graphique est une droite qui passe La représentation graphique reste une droite qui
passe par l’origine du repère, puisqu’il s’agit toujours
par l’origine du repère. Cela était prévisible puisqu’il d’une situation de proportionnalité.
s’agit d’une situation de proportionnalité.
c. À six mois d’intervalle, volume d’eau supplémentaire
qui s’est écoulé :
au bout de 2 s : 8 000 – 3 000 = 5 000 m3 ;
au bout de 8 s : 32 000 – 12 000 = 20 000 m3.
Activités d’apprentissage
1. Repérage dans le plan
Tableau indiquant les températures relevées dans certaines capitales africaines (un certain jour de l’année) et
leur altitude par rapport au niveau de la mer :
Bamako Cotonou Dakar Libreville Niamey Ouagadougou Yamoussoukro Yaoundé
(B) (C) (D) (L) (N) (O2) (Y1) (Y2)
Température
26 29 19 27 35 35 24 25
(en °C)
Altitude
350 50 100 0 200 300 200 750
(en m)
M
N
J
S P
O I
R
Q
A
• Ces points ont tous une abscisse positive. • Ces points ont tous une ordonnée négative.
J
O I C
B
Méthodes et savoir-faire
Apprendre à lire des coordonnées 4 1. (O, I, J) est orthogonal, sans être orthonormé,
et à placer des points puisque (OI) ⊥ (OJ) et OI ≠ OJ.
2. On a placé les points :
1 B B
C B J
A
( )
2
A ;1 ;
3
J
F A A
O I
B(–1 ; 2) ;
C
DJ
B
D
F
O E I ( 4
C – ;0 .
3 ) J
A C
D
O I
J
A
A O AI O AI
E J C J C
C
O I
J 3
Dans le repère F(O, I, J), on lit : A ; 2 ; B(–1 ; –3) ;
2 ( ) 5
O I O
C des repères (O, I, J), les C
On a placé, dans chacun
D
B
I
B
D 1
C(–2 ; B1) ; D –E ; –1
2 A (
M ; E(0 ; –3 ; F) 1
2
;0 . ( ) points : A
J
D
A
J
D
2C
B
J
F
AM
N
J
O ; –1)
A(1 ; 1) ; B(2 C
1 1
I ;C ;–
B 2 2 (
; D(2 ; 0,5).
O )
C
I
B
C N
J O
F I S P a. b.
D J
O I
O I A A E
E SR P J J H
M D QI A D A D
E N O JO ID JO I E D J
R C C B H
J Q O I B O I O I
C C B J
S P B
Dans
M R
O I
( 32 ; 2) ; N( 12 ; 32 ) ;
le repère (O, I, J), on lit : M –
Q A
E
H
O
G
I
N
P( ; 0) ; Q( ; –1) ; R(–1 ; – ) ; S(– ; 0)
3 M 1 1 3 J
G
J N
J
6A Dans le repère (O, I, J),
2 2 2 2 O I F
S J P on a placé les points :
O I C
E
3S 1. (O, I,OJ) estI orthonormé,
P B J E (−5 ; 4) ;
R H G
puisqueO(OI) ⊥
I Q(OJ) O I C E
R A
B F (2 ; 0) ; H J
et OI = OJ. Q N
2. On a placé les points : J
G (0 ; −3) ; J O I F
J
14 Repérage
O I C
B
7Dans le repère (O, I, J), on a placé les points :
N
( 1 2 7
) ( 4
M 0,5 ; ; N – ; ; P 3 ; – ; Q ; .
3 3 3 3
5 1
4 6) ( ) ( ) A
B J
B
A
J E
J
O I O I
B M
E C Q
DO D C
I
J A
C O I
P H
Exercices d’application
Repérage dans le plan 11 1. D 2 cm C 4 cm F
A
8 Les repères ① et ⑤ sont orthogonaux ; A
G F C B
les repères ③ et ④ sont orthonormés ; J
B
les repères ② et ⑥ sont ni l’un, ni l’autre. H E D A DJ
J B
OD I
9 Coordonnées des points A, B, C, D et E dans chacun O IA B EO C
I
des repères (O, I, J) : L K P S C
a. 2. a. Dans le repère (A, B, D) : C(1 ; 1), E(3 ; 0), F(3 ; 1).
A
A J
B
B E
J M
J
N
B b. Dans
Q R 1
A (A, E, D) : C ; 1 , E(1 ; 0), F(1 ; 1).
A le repère
3 ( )
A B
OJI E O 12 I J
B
E C O I O I M
D C DJ
E C D Q
D OJ' I
D C N
A(–4 ; 1) ; B(1 ; 2) ; C(–1 ; –1) ; D(0 ; –2) ; E(–6 ; –2). C
P O I I'
b.
B A H
J J
A B H R
J J
E E
C
O I O I 1
a. Dans le repère (O, I, J) on a : M(1 ; 1), N O3 ; E; I
4 ( )
D D C
( 1
) (
3
P –1 ; – ; Q –1 ; et R 1 ; – .
2 4
7
4 ) ( O
) I
N Q 4R P
Cargo e
– Livre du Professeur
R – 128 –
R
H O Q I
J
Repérage 14
H
J
14 C 17 Q
H
J E (d)
C D
B
O E I
J A J K
O I M
O I
C N A I
F P
F D
(d')
3 7
On a placé les points : E (0,2 ; 0,25) ; F ; – ;
5 4 ( ) 1. a. A(1 ; 1), B(2 ; 2), C(–2 ; –2) et D(–4 ; –4).
b. Conjecture : les coordonnées (abscisse et ordonnée)
( ) (
3
C 2,4 ; ; H –
4
11
5 )
; 1,25 . des points situés sur (d) sont égales.
15 a. « Les points dont l’abscisse est égale à 0 sont 2. a. M(–1 ; 1), N(2 ; –2), P(3 ; –3) et Q(–4 ; 4).
tous situés sur l’axe des ordonnées. » b. Conjecture : les coordonnées (abscisse et ordonnée)
b. « Les points dont l’ordonnée est égale à 0 sont tous des points situés sur (d’) sont opposées.
situés sur l’axe des abscisses. » Q
(d)18 D C F
16 J B
N J A J K L
J M
P
N O I
C P N A I B E
P
D
Dans la figure ci-dessus, ABCD est un carré, AEFD est
O Q I
(d')
un rectangle.
O Q I 1. Coordonnées de chaque point dans le repère (A, B, D) ;
A(0 ; 0), B(1 ; 0), C(1 ; 1), D(0 ; 1), E(2 ; 0), F(0 ; 2).
2. Dans ce repère on a placé les points :
M
( ) ( ) (
1 1 1 1
I ;0 ;J 0; ;K ; ;L 2; .
2 2 2 2
1
2 ) ( )
M
(5 8 5 6
On a placé les points : M – ; – ; N ; ;
6 7 6 7 ) ( )
(
7 5
P ;
6 7 ) (
;Q
1
;–
12 14
1
) .
C
×
A
×
Exercices d’approfondissement
B
C
25 Symétrie centrale et repère du plan Le triangle ABC est rectangle et isocèle en A. A'
C'
1. a. Dans le repère orthogonal B J I milieu
A de [AB], J milieu de [AC], K milieu de [BC].
C
(O, I, J) ci-contre, on a placé : b. AIKJ est un carré. En effet : J B
A'
A(2 ; 1), B(–2 ; 4) et C(3 ; –2). C' O I AC
J AA' • dans le triangle ABC, IK = = AJ = 1,5Ocm,B'
I
b. Si A’, B’ et C’ sont les images AB
C 2
de A, B et C par la symétrie de O I
JK = = AI = 1,5 cm, doncJ AIKJ
B est un losange ;
centre O, alors on a : A’(–2 ; –1), 2 O I A
A' • deB'plus ce losange a un angleC'
B'droit en A.
B’(2 ; –4) et C’(–3 ; 2). C
2. a. (AI) ⊥ (AJ) et AI = AJ donc le repère (A, I, J) est
2. On considère un point M de orthonormé. A
B'
coordonnées (a ; b) dans (O, I, J). C'
b. Coordonnées de chacun des points de la figure dans
Le point M’, image du point M par la symétrie de
centre O a pour coordonnées (–a ; –b). ( )
1
ce repère (A, I, J) : A(0 ; 0) ; B(1 ; 0) ; C(0 ; 1) ; I ; 0 ;
2
26 Différents repères ( ) (1
J 0; ;K ; .
2
1 1
2 2 )
1. a. C L
c. Si L est le point de coordonnées (2 ; 2), alors ABLC
est aussi un carré.
J L K En effet, c’est un losange (AB = BL = LC = CA = 3 cm),
C
qui a un angle droit (en A)
(
1 1
placé : A(2 ; -3), B ; et C – ; .
4 2 ) (
7 9
4 2 ) 30 Centre du cercle circonscrit
b. Si A’, B’ et C’ sont les images de A, B et C par la 1. a.
symétrie orthogonale d’axe (OI), alors on a : P
( 1 1
4 2 ) (7 9
A’(2 ; 3), B' ; – et C' – ; – .
4 2 ) O
2. On considère un point M de coordonnées (a ; b)
dans (O, I, J). Le point M’, image du point M par la
symétrie orthogonale d’axe (OI) a pour coordonnées
(a ; –b). C C" M N
3.
MNP est un triangle rectangle en P tel que : MN = 6 cm
C C"
B"
J B et MP = 8 cm.
O I b. Les médiatrices de ce triangle concourent au point
J O, centre de son cercle circonscrit et milieu de son
B" B
A" A hypoténuse [NP].
O I
c. D’après la propriété de Pythagore :
A" A NP = √MN2 + MP2 = √62 + 82 =10 cm.
OM = 5 cm.
2. Dans le repère (M, N, P), on a :
Si A”, B” et C” sont les images de A, B et C par la symétrie
1 1
M(0 ; 0) ; N(1 ; 0) ; P(0 ; 1) ; O ; .
2 2 ( )
orthogonale d’axe (OJ), alors on a : 2. Les points du cercle (C), dont l’abscisse est nulle,
( 1 1
) (
A”(–2 ; –3) ; B'' – ; et C'' ; .
4 2
7 9
4 2 ) sont :
A(0 ; 2,5) et B(0 ; – 2,5).
On considère un point M de coordonnées (a ; b) dans 3. Le quadrilatère ADBE, dont les sommets sont les
(O, I, J).P Le point M’, image du point M par la symétrie points d’intersection de cercle (C) et des axes du
orthogonale d’axe (OJ) a pour coordonnées (–a ; b). repère, est un carré.
P O
– 131 – Cargo 4e – Livre du Professeur
O
14 Repérage
Activités d’intégration
31 Savoir s'orienter
• Déplacement du refuge 1 au point A :
se déplacer de 5 km vers l’Est, se déplacer de 4 km vers le Sud.
• Déplacement du point A au refuge 2 :
se déplacer de 2 km vers l’Est, se déplacer de 7 km vers le Nord.
32 Proies et prédateurs
On schématise la situation dans le repère ci-contre. (en m)
• La mouette M1 est située à 22,5 m du poisson P1, elle M2
se déplace à 20 m/s, elle mettra donc : +
22,5 M1
t1 = = 1,125 s à attrapper sa proie. +
20
• La mouette M2 est située à 25 m du poisson P2, elle se
déplace à 20 m/s, elle mettra donc :
t2 = 1,25 s à attrapper sa proie.
• Dans le triangle APP2 rectangle en A, d’après la 5
propriété de Pythagore, PP22 = PA2 + AP22 (en m)
or P2A = 10 m et PA = 7,5 m.
O 10
Donc PP2 = √102 + 7,52 = 12,5 m. P2 A
Or le pingouin se déplace à 6 m/s, il mettra donc : +
12,5 P1
+
t3 = ≈ 2,08 s à attraper sa proie.
6
Conclusion : la mouette M1 attrapera sa proie en +
premier (et le pingouin n’aura pas le poisson P2). P
*Les caractères gras signalent des pages ou des exercices de Méthodes et savoir-faire.
Activités d’apprentissage
1. Reconnaître un plan mathématique et le désigner
1. a. Le point E appartient à 3 faces du parallélépipède rectangle. D C
Il appartient à plusieurs plans mathématiques.
b. Les points E et F appartiennent ensemble à 2 faces. A B
Ils appartiennent ensemble à plusieurs plans mathématiques.
c. Les points A, E et F appartiennent ensemble à 1 face. H G
Ils appartiennent ensemble à un seul plan mathématique.
E F
d. Les points A, E et G appartiennent ensemble à un même plan
mathématique. C est un autre point qui appartient à ce plan.
e. Les points A, E, F et C n’appartiennent pas à un même plan mathématique. En effet le point C, qui appartient
au plan contenant A, E et G, n’appartient pas au plan contenant A, E et F.
2. Pour désigner un plan mathématique :
• 3 points non alignés sont nécessaires, car moins de 3 points appartiennent ensemble à plusieurs plans (voir 1. a.
et 1. b.) ;
• 3 points non alignés sont suffisants, car ils appartiennent ensemble à un seul plan (voir 1. c. et 1. d.).
B
Le plan (EFG) est aussi noté : (EFH), (EGH), (FGH).
A
– 133 – C Cargo 4e – Livre du Professeur
E
15 Pyramides et cônes de révolution
A B
4. Positions relatives de droites et de plans
1. Les droites (GA), (GB), (GC) et (GD) ont le seul point G en commun avec le plan (HEF).
D
2. a. La face latérale ADHE est Cun rectangle donc (AD) // (EH) ; si la droite (AD) était sécante à la face EFGH du
prisme, alors ce serait en un point commun aux droites (AD) et (EH) et ces droites ne seraient plus parallèles.
Cela est doncEimpossible etFla droite (AD) n’est pas sécante à la face EFGH.
b. On peut dire que la droite (AD) et le plan (EFG) sont parallèles.
3.Ha. Les faces latérales ADHE etGABFE sont des rectangles donc (AE) ⊥ (EH) et (AE) ⊥ (EF).
b. Les droites sécantes (EH) et (EF) sont contenues dans le plan (EFH).
c. La droite (AE) est perpendiculaire à deux droites sécantes du plan (EFH) ; la droite (AE) est donc perpendiculaire
au plan (EFH).
La droite (GE) est contenue dans le plan (EFH). Or, ce plan est perpendiculaire à la droite (AE), donc la droite (GE)
est perpendiculaire à la droite (AE).
4. a. Le plan (DAE), qui contient la droite (AE) perpendiculaire au plan (EHG), est perpendiculaire à ce plan.
b. Les plans (ABF), (BCG) et (CDH) sont perpendiculaires au plan (EHG).
c. Les plans (ABC) et (EFG) sont parallèles, ainsi que les plans (ABF) et (DCG).
2.
6 cm 6 cm 3,00 cm 3,00 cm
15 Pyramides et cônes de révolution
2. a. Reconstitution d’un cube à l’aide de trois b. Les trois pyramides (identiques) ont ensemble le
pyramides identiques (utilisation du patron 1. a.), en même volume que le cube de côté 6 cm, c’est-à-dire :
les disposant de la façon suivante : 63 = 216 cm3 ;
donc le volume d’une pyramide est :
216
𝒱= = 72 cm3.
3
1
c. À l’aide de la formule 𝒱 = ℬh, on retrouve :
1 3
𝒱 = × 62 × 6 = 72 cm3.
3
h = 3 cm
h = 3 cm
a = 4 cm
6 cm 3,00 cm 3,00 cm
a = 4 cm
a = 4 cm
Méthodes et savoir-faire a = 4 cm
3 cm
E H
1. Apprendre à décrire et à tracer 7 Représentation
une pyramide régulière en perspective cavalière
E
3 cm
H
d’une pyramide
h = 10 cm
1 Sommet : I ; à base 3,00
carrée, J
cm
base : JKLMN ; 6 cm
de côté a = 5 cm,
h = 10 cm
h = 5 cm
faces latérales : IJK, IKL, ILM, IMN et INJ ; et de hauteur h = 10 cm. J
F G
arêtes latérales : [IJ], [IK], [IL], [IM] et [IN]. F
a = 5 cm
F G
2 Sommet : F ; a = 5 cm
a = 5 cm
a = 3 cm
base : EGHIJK ; a = 3 cm
8 Représentation ena perspective
= 5 cm cavalière d’une
faces latérales : EGE, FGH, FHI, FIJ, FJK et FKE ; h = 2 cm
pyramide à base carrée, de côté a = 6 cm, et de
arêtes latérales : [FE], [FG], [FH], [FI], [FJ] et [FK]. hauteur h = 2 cm. S
G
h = 2 cm
3 Sommet : S ; a = 6 cm 3,00 c
base : le disque de centre U et de rayon UT ;
a = 6 cm 3 cma = 6 cm
axe de révolution : (SU) ;
trois génératrices : (ST), (SU) et (SW). a = 6 cm A C
O
h = 5 cm
1,5 cm 1,5 cm
4 Sommet : D ;
9 Représentation
base : le disque de centre B et de rayon BA ; en perspective cavalière
h = 5 cm
C J
A O 3,00 cm 5,00 cm 3,00 cm
Pyramides
26 et cônes de révolution 14
1,5 cm 1,5 cm 10 I
3 cm L J K
10 26
11 1. La base EFGH est un carré de côté 3 cm. 2. a. Dans le triangle
10 en L, d’après laILK26rectangle
C propriété de Pythagore,
IL on a : IK² = IL² +KLK² ;
3Acm O
E H
1,5 cm 1,5 cm donc : LK² = 26²−10²=
10 et LK = 24I cm.
576 26
b. Volume du côneI : 5 cm
1 1
J
3 cm 𝒱 = × ℬ × h = × π × 102 × 24 ≈ 2 512 cm3.
E H 3 3
F 3 cm
F G
14 1. • Dans le triangle OGH isocèle et rectangle en O,
E J G
d’après la propriété de Pythagore, on5 acm:
2. La section de la pyramide par Jle plan (IEG) est le GH² = GO² + OH² = 4² + 4² = 32 et GH = 4√2 cm.
triangle IEG isocèle en I, dont la hauteur est IJ = 5 cm
et la base [EG] est telle que (d’après la propriété de • Aire de Fla base3: ℬ
cm = GH² = 32 cm².
Pythagore dans le triangleIF EFG rectangle etG isocèle en 2. a. Représentation à mainE levée : J G
F) : G
EG² = EF² + FG² = 3² + 3² = 18 ;
m
EG = 3√2 ≈ 4,2 cm.
I
5 cm G
F 3 cm E
G
J 5 cm
2,1 cm 2,1 cm
b. Volume de la pyramide :
1 1 320 3
4,2 cm
F 3 cm E 𝒱 = × ℬ × EO = × 32 × 10 = cm .
G 3 3 3
J
G 2,1 cm 2,1 cm 15 1. • Dans le triangle OGH isocèle et rectangle en O,
cm
d’après la propriété de Pythagore, on a :
4,2 cm GH² = GO² + OH² = 3² + 3² = 18 et GH = 3√2 cm.
• Aire de la Fbase : ℬ = GH² = 18 cm².
G
2. a. Représentation
3 à main levée :
13
O F E
3
3
6 cm G 13
O E
2. Apprendre à calculer une longueur, 3
une aire, un volume G
Exercices d’application
Droites et plans dans l'espace
22 Chaque face d’un cube est un carré.
19 1. Arêtes dont les droites supports sont 1. a. On a : (AE) / /(BF) et (BF) // (CG) ;
a. perpendiculaires à (BF) : [EF], [AB], [GF] et [CB] ; donc les droites (AE) et (CG) sont parallèles.
b. parallèles à (AD) : [AD], [BC], [FG] et [EH] ; b. On en déduit que ces droites sont coplanaires.
c. perpendiculaires à (DCG) : [AD], [BC], [FG] et [EH]. c. (ACE) est le plan qui les contient.
2. a. Faces parallèles deux à deux : ABCD et EFGH, 2. a. Le quadrilatère non croisé AEGC, qui a deux côtés
ABFE et DCGH, ADHE et BCGF. [AE] et [CG] parallèles et de même longueur, est un
b. Faces perpendiculaires à la face AEHD : ABFE, EFGH, parallélogramme.
HGCD et DCBA. b. La droite (AE), qui est perpendiculaire aux
droites (AB) et (AD) sécantes dans le plan (ABC), est
20 1. Droite coplanaire à la droite (GH) : (GC) ou (HD) perpendiculaire à ce plan ; on en déduit que (AE) est
[droites sécantes avec (GH)] ; (BA), (CD) ou (FE) [droites perpendiculaire à (AC), droite du plan (ABC).
parallèles à (GH)]. c. AEGC, parallélogramme dont un angle est droit, est
2. Droite coplanaire à la droite (AE) sans être support un rectangle.
d’une arête : (EB), (AF), (ED) ou (AH).
3. La droite (FG) n’est pas coplanaire à (CD). Description et construction de solides
4. Droites contenues dans le plan (ABC) : (AB), (BC), 23 ① Pavé droit ou parallélépipède rectangle :
(CD), (DA), (AC) et (BD). 8 sommets : A, B, C, D, E, F, G et H ;
6 faces : ABCD, EFGH, ABFE, BCGF, ADHE et DCGH ;
21 1. a. Couples de droites parallèles : (AB) // (DE), 12 arêtes : [AB], [BC], [CD], [DA], [EF], [FG], [GH],
(BC) // (EF), (CA) // (FD), (AD) // (CF), (CF) // (BE), [HE], [AE], [BF], [CG] et [DH].
(BE) // (AD). ② Pyramide à base triangulaire de sommet S :
b. Droites perpendiculaires à (CF) : (CA), (CB), (FD) et base : IJK ; hauteur : [SH] ;
(FE). 3 faces latérales : SIJ, SJK et SKI ;
2. Droites sécantes à la droite (BC) sans lui être 3 arêtes latérales : [SI], [SJ] et [SK].
perpendiculaire : (AB), (AC), (CE) et (BF). ③ Cylindre de révolution :
3. Arêtes dont les droites supports ne sont ni sécantes, axe : (MN) ; hauteur : [MN] ;
ni parallèles à(AB) : [CF], [DF] et [FE]. bases : disques de centres M et N, de rayon NP.
Cargo 4e – Livre du Professeur – 138 –
Pyramides et cônes de révolution 14
3c
m
sommet : O ; hauteur : [OS] ; génératrice : (OR) ;
base : disque de centre S, de rayon SR.
⑥ Prisme droit à base triangulaire :
bases : IJK et LMN ; 4 cm
3 faces latérales : IJML, JKNM et KILN ;
3 arêtes latérales : [JM], [IL] et [KN].
28 1. et 2.
3 cm
5 cm
3. Patron 1 Patron 2
Nom de la base BCDE IJK
Nom de la hauteur [AH] [LM]
Nom d’une face latérale ABE JKL
Aire latérale 4 × aire(ABE) 3 × aire(JKL)
b. Aire = 4 × π × 52 ≈ 314 cm2.
– 139 – Cargo 4e – Livre du Professeur
15 Pyramides et cônes de révolution
C A B
2. S
S
41 Repérer les côtés correspondants
1. Patron d’une pyramide, dont la base est un quadri- SI
latère :
I
H x A H
4
H 4,5 y
3
t A
4 x H
z
40 Observer et décrire 6,5
4,5 y
S S
3
t
S z
S 6,5
S Les doubles-flèches en pointillés relient les arêtes
qui vont coïncider lors de la reconstitution de la
I
D
C'
C pyramide ;
A' I
A
I
B H
d’où : x = 4,5 cm ; y = 4 cm
6 ; z = 6,5 cm ; t = 3 cm.
x
H
D C
C A B 2. Patron d’un cône de révolution :
6
Cône de révolution
C
H PyramideA régulière
H C x
A H B
A à base carrée
3
1. a. Hauteur du cône : [SH] ; S y S
6
E
on peut donc fabriquer 12 savons de cette forme. • L’aire de la base est ℬ ≈ 19,625 m².
Or ℬ = π × HA² ≈ 3,14 × HA² ;
E
46 Les trois triangles rectangles 19,625
donc HA² = ≈ 6,25.
1. a. Dans le triangle FGH : 3,14
FG² = 68² = 4 624, • Dans le triangle OAH rectangle en H, d’après la
FH ²+ HG² = 32² + 60² = 4 624, 65
propriété de Pythagore on a : OA² = OH² + HA²
D ; C
donc FG² = FH ²+ HG² et, donc : OH² = OA² − HA² ≈ 6,5² − 6,25 ≈ 36 et AH ≈
O 6 m.
d’après la réciproque H 60 1 A H B
E
Pyramides et cônes de révolution 14
Activités d’intégration
48 Une merveille 49 L'étoile
Schéma à main levée de la pyramide : • Volume du cube : 𝒱C = 103 = 1 000 cm3 ;
volume de chacune des pyramides :
1
𝒱P = × 102 × 12 = 400 cm3.
3
• Volume de l’étoile : 𝒱 = 𝒱C + 6 × 𝒱P = 3 400 cm3 ;
donc la masse de l’étoile est : 0,8 × 𝒱 = 2 720 g.
2,39 cm une représentation en perspective
• Ci-dessous
cavalière de l’une des pyramides.
1,00 cm S