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Section : Section B
Pour assurer une gestion efficace de mes documents, je privilégie l'utilisation d'outils de gestion
de références bibliographiques tels que Zotero et Mendeley. Ces logiciels me permettent de stocker
les références bibliographiques de mes articles, livres et autres documents, tout en proposant des
fonctionnalités avancées telles que la création de bibliographies et la gestion des citations.
Parallèlement, je conserve les documents eux-mêmes sur des services cloud comme Google Drive,
garantissant un accès facile et une sauvegarde sécurisée. Cette approche me permet de maintenir une
organisation méthodique de mes documents, simplifiant ainsi mes travaux de recherche et d'analyse.
Pour capitaliser sur l'information traitée, je maintiens une structure organisée dans mes outils
de gestion de références bibliographiques, ce qui facilite la récupération d'informations spécifiques
ultérieurement. Par exemple, si je dois retrouver des informations d'un article analysé l'année
précédente, je peux utiliser les fonctionnalités de recherche avancée de mes outils de gestion de
références. En ajoutant des tags, des notes et des mots-clés pertinents à chaque document, je crée
une
indexation détaillée qui me permet de retrouver rapidement des documents spécifiques, même
parmi une grande quantité de références. De plus, je peux également consulter les bases de
données académiques précédemment consultées pour retrouver des articles pertinents. Cette
approche garantit que les informations que j'ai traitées sont facilement accessibles et exploitables
dans le cadre de mes travaux de recherche et d'analyse.
Pour la collecte, le stockage et la restitution des informations analysées lors de mes recherches,
j'utilise des outils digitaux spécialisés. J'utilise des extensions de navigateur comme Zotero
Connector ou Mendeley Web Importer pour collecter les informations. Ensuite, je stocke et organise
ces données avec des logiciels de gestion de références bibliographiques comme Zotero ou
Mendeley. Enfin, pour rédiger mes travaux académiques, j'intègre les références bibliographiques
dans des logiciels de traitement de texte tels que Microsoft Word ou LaTeX. Cela me permet de
produire des travaux de qualité tout en assurant la cohérence et la précision dans la citation des
sources.
Exercice 2 : Sur la base du tableau ci-dessous collecter 5 articles à partir de la base de
sonnées SCOPUS ( à partir de l’ENT de l’UH2C ) et compléter le tableau
Document de Collecte
Titre: Commercial metaverse and the customer: What are the realities,
challenges, and perspectives for brands? Source: 2023 Influencer
Marketing Applications Within the Metaverse, pp. 87-101
Réponse :
<script async src="https://cse.google.com/cse.js?cx=81ea9df481c064eea">
</script>
<div class="gcse-search"></div>
La première loi marocaine relative à la protection des oeuvres littéraires et artistiques a été
promulguée le 23 juin 1916 suivie de celles du 9 novembre 1926 et du 16 février 1927. Ces lois ont
été abrogées et remplacées par celle du 29 juillet 1970, elle-même abrogée et remplacée par celle
promulguée le 15 février 2000 publiée au bulletin officiel le 18 mai 2000 et entrée en vigueur le 18
novembre 2000.
Avec les exigences qui se posent à l’échelon national et international et pour mieux répondre aux
défis soulevés par l’évolution technologique, et pour permettre au Royaume du Maroc de s’acquitter
pleinement des engagements qui lui incombent, des amendements à la loi n° 2-00 du 15 février
2000 ont été élaborés, et la loi n° 34-05 s’y rapportant a été promulguée par le dahir n° 1- 05-192
du 14 février 2006. Les principaux objectifs auxquels répondent les amendements de la loi
contribuent à l’amélioration du système national de protection des droits d’auteur et des droits
voisins, par l’adjonction de nouvelles dispositions qui favorisent l’actualisation de l’arsenal juridique
national, la prise avec célérité, au niveau du secteur de la justice, des décisions de nature à
préserver efficacement les droits de propriété intellectuelle, et le renforcement de la protection des
titulaires de droits et des consommateurs contre les actes de contrefaçon et de piratage.
Il convient de souligner qu’une deuxième modification portant promulgation de la loi 79-12
complétant la loi 2-00 est destinée à compléter la loi relative aux droits d’auteurs et droits voisins
par l’introduction de quatorze articles. L’institution de la rémunération pour copie privée permet de
compenser financièrement le préjudice subi par les titulaires de droits d’auteurs et droits voisins afin
de maintenir l’exception de copie privée au bénéfice du consommateur, de participer à l’équilibre
de la création fondé sur la juste rémunération de tous les créateurs, et de lutter contre la contre
façon et le piratage.
Une troisième modification portant promulgation de la loi 66-19 complétant la loi 2-00, vise à ajouter
de nouvelles dispositions concernant la protection du droit d’auteur et des droits voisins dans
l’environnement numérique à inclure des dispositions relatives à l’exploitation numérique des
oeuvres musicales, audiovisuelles et visuelles, et à mettre la loi en conformité avec les conventions
internationales, notamment avec le Traité de Marrakech visant à faciliter l’accès des non-voyants,
des déficients visuels et des personnes ayant d’autres difficultés de lecture des textes imprimés aux
oeuvres publiées, à ajouter la reproduction Reprographique, le Droit de Suite qui porte sur les droits
matériels des artistes plasticiens issus de la revente de leurs oeuvres originales (peintures
plastiques, sculptures …), l'oeuvre visuelle sur Internet, le Service de partage de contenus sur
internet.
Évidemment, ces dispositions législatives ont été prises de façon à mettre à niveau la loi nationale
et qu’elle soit en phase avec le nouvel environnement international et en harmonie avec les Traités
et Accords internationaux notamment l’Accord sur les ADPIC de l’OMC, les Traités WCT et WPPT
de l’OMPI, et les Accords de Libre Échange conclus par notre Pays avec d’autres Pays partenaires.
Source : https://bmda.ma/info/legislation-loi-%E2%80%93-legislation-nationale
Questions :
1. Quelle est la différence entre les droits d'auteur et les droits voisins, et
comment la législation marocaine traite-t-elle chacun de ces droits dans le
cadre des récentes modifications législatives ?
La législation marocaine établit une distinction entre les droits d'auteur, qui protègent les
œuvres originales, et les droits voisins, qui préservent les intérêts des interprètes et des
producteurs. Les récentes révisions législatives, notamment la loi n° 34-05 et ses
modifications ultérieures, renforcent la protection des droits d'auteur en introduisant des
dispositions visant à actualiser le cadre juridique, à accélérer les procédures judiciaires
et à lutter contre la contrefaçon. La loi n° 79-12 vient compléter celle sur les droits
d'auteur en instaurant la rémunération pour copie privée. Quant à la loi n° 66-19, elle
vise à protéger les droits d'auteur et les droits voisins dans le contexte numérique et à
se conformer aux engagements internationaux. Ces initiatives témoignent de
l'engagement du Maroc à moderniser sa législation afin de répondre aux exigences
nationales et internationales en matière de propriété intellectuelle.
2. Quelles nouvelles dispositions la loi 66-19 a-t-elle ajoutées pour renforcer la
protection des droits dans l'environnement numérique ?
La loi 66-19 introduit des amendements visant à renforcer la protection des droits dans le
contexte numérique au Maroc. Ces modifications comprennent la réglementation de
l'exploitation numérique des œuvres, l'harmonisation avec les normes internationales telles
que le Traité de Marrakech, la protection des œuvres visuelles sur Internet et des services de
partage de contenus en ligne. Ces actions démontrent l'engagement du Maroc à moderniser
sa législation afin d'assurer une protection efficace des droits d'auteur et des droits voisins
dans le paysage numérique contemporain.
Le Traité de Marrakech revêt une importance capitale dans la législation marocaine relative
aux droits d'auteur en assurant un accès équitable aux œuvres pour les personnes non-
voyantes et celles ayant des difficultés de lecture. En se conformant à ce traité, le Maroc
s'engage à faciliter l'accès à des formats adaptés d'œuvres publiées, tels que le braille, les
livres audio et les formats électroniques accessibles. Cette démarche permet aux personnes
non-voyantes et celles ayant des difficultés de lecture de bénéficier d'une accessibilité accrue
aux œuvres littéraires et artistiques, contribuant ainsi à leur inclusion sociale.
2eme shema
Le schéma représente une progression ascendante à travers différentes étapes de traitement de l'information,
commençant par les données et aboutissant à la compétence. Initialement, les données sont des éléments bruts
et non organisés, tels que des chiffres, des faits ou des observations. Ensuite, ces données sont traitées pour en
extraire des informations, c'est-à-dire des données analysées, interprétées et structurées d'une manière qui leur
donne du sens. À partir de là, l'accumulation et la compréhension des informations permettent de développer des
connaissances, ce qui implique une assimilation plus profonde et une contextualisation des données et des
informations. Enfin, en utilisant ces connaissances de manière pratique et efficace dans des situations concrètes,
on atteint le stade de compétence. Ainsi, le schéma illustre le processus d'évolution de l'information, de sa forme
brute jusqu'à son application pratique dans le développement des compétences.