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Référence D-06
Sujet Classeur d'accueil
9 rue Jacob Mayer F-67200 Strasbourg +33 (0)3 90 20 17 00 Mise à jour 06/02/2006
SOMMAIRE
SOMMAIRE..........................................................................................................................................2
B – INFORMATIONS PRATIQUES......................................................................................................17
1. LOCALISATION GEOGRAPHIQUE DE L’ ENTREPRISE 18
2. REGLEMENT INTERIEUR 19
3. FRAIS DE DEPLACEMENT 26
4. REGLES DE FONCTIONNEMENT A L’OCTROI D’UN VEHICULE DE SOCIETE 32
A) LA PRISE EN CHARGE DU VEHICULE 32
B) SUIVI KILOMETRIQUE MENSUEL 32
C) LE CARNET D’ENTRETIEN 32
D) LE RETOUR DE VEHICULE 32
E) MISE EN REVISION 32
5. FEUILLE DE TEMPS MENSUELLE 38
6. PROCEDURE DE CONGES 39
7. PREVOYANCE, FRAIS DE SANTE, RETRAITE 42
A - Présentation de l’entreprise
2. DEVELOPPEMENT
Effectifs
CA (M€)
* prévisions
3. IMPLANTATIONS
Hamburg (1996)
Wolfsburg (1999)
Frankfurt (2000)
Paris (2000)
Strasbourg (1998)
Ingolstadt (1999)
Böblingen München (2000)
Basel (1992) (1986)
Zug (1989)
4. BERATA ET ALTRAN
5. PHILOSOPHIE
è Information Technologies
-Business Intelligence
-Nouvelles Technologies
-CRM
è Engineering
-Electronique
-Systèmes embarqués
-Mécanique
-Méthodes et Process
è Qualité
-Assurance Qualité
-Systèmes de Management de la Qualité
-Audit Processus et Systèmes
7. LE POLE IT
8. LE POLE ENGINEERING
Sélectivité élevée
Base de Connaissances BERATA
Evaluation technique, relationnelle et
linguistique Documents Formations
Simulations de réunions projet Veille technologique
Rapports d’études
A.V.P.
Added Value
GESTION DE L’EVOLUTION Program
MISE A NIVEAU CONTINUE
12. ORGANIGRAMME
BERATA AG BERATA AG
Schäferweg 16 Schwerzelrein 4
CH-4057 Basel CH-6315 Oberägeri
Tel : 061/638 86 86 Tel : 041/752 08 70
Fax : 061/638 86 99 Fax : 041/752 08 74
BERATA est composé de différents centres de profits gérés chacun par un Manager qui est d’une part
chargé du recrutement de ses consultants et qui assure d’autre part les actions commerciales au niveau
des clients et des prospects.
Ainsi, à votre entrée chez BERATA, vous intégrerez l’équipe d’un Manager bien précis qui suivra votre
évolution de carrière et qui sera votre interlocuteur privilégié dans l’entreprise.
Chaque membre de l’équipe administrative est là pour vous accompagner dans votre participation à la vie
de l’entreprise :
Pascal GENSER est co-gérant, Jérôme MARTINELLE est directeur opérationnel de la société. Jérémie
HUSS et Pierrick Mellis complètent l'équipe de Managers.
Noëlle JACQUIER, Responsable administrative et financière, gère tout ce qui concerne les problèmes
administratifs ; elle est également en charge de la gestion du personnel.
B – Informations pratiques
3
2
4
6 8
♦ Accès en voiture : A partir de l’Autoroute A 35 (1), prendre la sortie Cronenbourg (2), qui
débouche sur un sens giratoire (3). Prendre la direction Cronenbourg et continuer tout droit en
passant par la « Route d’Oberhausbergen » (4). Prendre ensuite la « Rue des Ducs » (2ème feu à
gauche 5), au bout de laquelle vous tournerez à gauche en passant par la voie du tram (6). Il vous
suffira alors d’emprunter la « Rue du Gazon » (première à droite 7) et pour finir, la rue « J.
Mayer », avec à votre gauche le Quartier d’Entreprises « Les Cèdres » (8). Nous sommes situés
au numéro 09, 4ème étage. Le parking extérieur est accessible à tous.
♦ Accès depuis la gare : Tram ligne A, Direction «Hautepierre», Arrêt «St Florent», Quartier
d’entreprises «Les Cèdres» (aller simple : 7 FF)
2. REGLEMENT INTERIEUR
SOMMAIRE
ARTICLE 2. HIERARCHIE
Le présent règlement intérieur s’applique à l’ensemble interne et externe du personnel, dans les locaux où
s’exercent les activités de BERATA France.
Les salariés effectuant une prestation chez les clients de BERATA France devront se conformer au
règlement intérieur de ces derniers.
Le règlement est destiné à assurer la bonne exécution des travaux, la discipline, ainsi que l’hygiène et la
sécurité du personnel à l’intérieur de la société. Il oblige tous les salariés à se conformer à ces
prescriptions sans restrictions ni réserves.
Les stagiaires, les travailleurs temporaires ou mis à disposition par des tiers et les salariés des entreprises
extérieures intervenant dans les locaux de l’entreprise doivent respecter les règles générales et
permanentes relatives à la discipline ainsi que les mesures d’hygiène et de sécurité en vigueur dans celle-
ci dès lors qu’elles peuvent les concerner.
Tout contrat de travail conclu avec la société implique qu’un exemplaire du règlement ait été remis au
salarié qui en prend connaissance et accepte de s’y conformer.
ARTICLE 2. HIERARCHIE
Le personnel se trouve sous l’autorité hiérarchique de l’encadrement et doit se conformer aux instructions
de tous les responsables habilités à diriger, surveiller ou contrôler le bon fonctionnement de l’entreprise et
l’application des règles générales d’hygiène, de tenue et de sécurité.
Il doit de plus faire preuve de correction dans son comportement vis à vis de ses collègues et de la
hiérarchie, sous peine de sanctions.
Les collaborateurs devront adopter une tenue vestimentaire évitant toute excentricité susceptibles de nuire
au renom de l’entreprise.
Les nouveaux salariés de BERATA France sont soumis à une visite médicale du travail au cours de leur
période d’essai.
Leur engagement ne peut devenir définitif qu’après connaissance de leur aptitude suite à cette visite.
Les visites médicales annuelles sont obligatoires.
4.1. HORAIRES
Pour le personnel affecté dans les bureaux de BERATA France, en permanence pour les administratifs et
occasionnellement pour les ingénieurs, les horaires de travail sont conformes à la législation en vigueur, du
lundi au vendredi, aménagés de façon flexible en accord avec la hiérarchie et les nécessités du service.
Une pause de 1 heure minimum et 2 heures maximum doit être prise entre 11 h 45 et 14 h 15.
4.2. ABSENCES
Les sorties pendant les heures de travail doivent être exceptionnelles et doivent, sauf cas de force
majeure, faire l’objet d’une autorisation de la Direction ou du supérieur hiérarchique.
Sous réserve des droits des représentants du personnel, les absences non autorisées constituent une
faute et entraînent le cas échéant l’application de sanctions disciplinaires.
En cas d’absences pour maladie ou de prolongation d’un arrêt de maladie, le salarié doit transmettre à la
société dans les 48 heures un certificat médical indiquant la durée prévisible de l’absence. Le défaut de
production de ce certificat dans les délais pourra entraîner des sanctions.
4.3. VEHICULES
Tout salarié dont les attributions comportent l’utilisation d’un véhicule d’entreprise appartenant à BERATA
France doit respecter les obligations essentielles suivantes :
s’assurer, en permanence du parfait état de marche du véhicule (niveau d’huile, eau, freinage, état des
pneus, éclairage, etc…)
signaler toute défectuosité et demander en temps opportun les réparations qu’exige l’état du véhicule
signaler au responsable du service dès le retour d’un déplacement, les incidents, accidents ou faits
anormaux survenus au véhicule ou dans le fonctionnement de celui-ci
L’utilisation d’un véhicule personnel pour les besoins du service est soumise à l’autorisation de la Direction.
N.B : En aucun cas les amendes et, plus généralement, toutes les conséquences résultant de procès-
verbaux dressés par les autorités compétentes ne seront prises en charge par l’entreprise. Ils relèvent de
la responsabilité du conducteur au moment des faits.
Il est conseillé au collaborateur victime d’un accident du travail de rechercher un témoin. Tout accident,
même de peu d’importance, survenu au cours du travail ou au cours du trajet aller et retour au lieu de
travail doit être immédiatement signalé à la Direction soit par l’intéressé lui-même, soit par toute personne
de la société en ayant eu connaissance.
Le personnel est tenu de se conformer strictement aux ordres de service, aux prescriptions et consignes
qui sont portés à sa connaissance tant par BERATA France que par la société cliente.
Conformément aux prescriptions légales, il est interdit au personnel de préparer des repas dans les locaux
affectés au travail.
L’alcool et les spiritueux pourront être servis lors de manifestations organisées ou approuvées par la
Direction.
En dehors de cela, l’introduction d’alcool dans les locaux de la société est interdite sans autorisation de la
Direction.
Les salariés détachés auprès des sociétés clientes devront respecter les dispositions dictées par celles-ci
en cette matière.
5.3. DISCIPLINE
Chaque salarié a l’obligation de conserver en bon état le matériel et les documents de travail qui lui sont
confiés
Toute défaillance de matériel doit être aussitôt signalée à la Direction.
Des inventaires portant sur l’existence et le bon état de ces dotations pourront être effectués
périodiquement.
Toute constatation de vol, toute perte, doivent être portées, sans délai, à la connaissance de la Direction.
Les déclarations tardives ne sauraient exonérer le personnel concerné de sa responsabilité à l’égard du
matériel dont il assume la garde et l’usage.
Les membres du personnel détenteur de clés, de cartes professionnelles, doivent remettre celles-ci au plus
tard lors de leur dernier jour d’activité.
Il est interdit sans autorisation de la Direction d’utiliser pour son propre compte ou pour le compte de tiers,
les machines, matériels et fournitures de l’entreprise.
Il est strictement interdit aux membres du personnel, sans l’autorisation expresse du responsable désigné
par la Direction :
Le personnel intervenant dans les locaux de BERATA s’engage formellement à ne divulguer à qui que ce
soit aucune des études, conceptions, projets, réalisations, logiciels étudiés dans l’entreprise, soit pour le
compte des clients de l’entreprise, soit pour l’entreprise elle-même, se déclarant lié à cet égard par le
secret professionnel le plus absolu. Il en est de même pour les renseignements, résultats, etc… découlant
de travaux réalisés dans l’entreprise ou constatés chez les clients.
Une infraction à cette stricte obligation peut constituer une faute lourde.
La discipline dans l’entreprise est constituée par l’ensemble des règles qui ont pour objet l’organisation
collective du travail et l’organisation de la vie collective telles qu’elles ont été définies à l’article 2.
Ces règles qui revêtent un caractère général et permanent sont constituées par les dispositions du présent
règlement et ses adjonctions. Elles peuvent, par ailleurs, résulter de notes de service spéciales ou
ponctuelles lorsqu’elles sont destinées à fixer des mesures dépourvues de caractère général et permanent.
Les dispositions disciplinaires sont fixées ci-après dans le respect des principes et des procédures définies
aux articles L. 122-40 et suivants du Code du Travail d’une part et de la Convention Collective Nationale
des BUREAUX D’ETUDES TECHNIQUES, CABINETS D’INGENIEURS-CONSEILS, SOCIETES DE
SERVICES d’autre part.
La discipline et, par voie de conséquence, le droit disciplinaire qui en constitue l’instrument n’ont pas
vocation à régir les rapports entre l’entreprise et les salariés qui relèvent :
Conformément à l’article L. 122-40 du Code du Travail, constitue une sanction toute mesure, autre que les
observations verbales, prise par l’employeur à la suite d’un agissement du salarié considéré par lui comme
fautif, que cette mesure soit de nature à affecter immédiatement ou non la présence du salarié dans
l’entreprise, sa fonction, sa carrière ou sa rémunération.
En dehors des sanctions prévues par la législation en vigueur, les sanctions qui peuvent être appliquées
sont (par ordre de gravité) les suivantes :
- Les observations écrites : cette mesure constitue une simple mise en garde écrite qui n’aura
aucune incidence, immédiate ou différée, sur la présence dans l’entreprise, la fonction, la carrière
ou la rémunération du salarié auquel elle s’adresse. Elle n’aura pour objet que de mettre en garde
et de prévenir.
- L’avertissement écrit : cette mesure destinée à sanctionner des agissements fautifs sera
susceptible de constituer ultérieurement une circonstance aggravante justifiant une sanction
lourde. Elle pourra à ce titre, être assortie d’une mention ordinale.
- Le licenciement pour faute disciplinaire : cette mesure entraîne la rupture du contrat de travail et
peut être assortie, selon le caractère grave ou lourd de la faute, de la privation de tout préavis, de
l’indemnité de licenciement et de l’indemnité compensatrice de congés payés.
Si les circonstances l’exigent, la notification de la sanction sera réalisée par lettre recommandée avec
demande d’avis de réception.
Conformément à l’article L. 122-41 du Code du Travail, aucune sanction ne peut être infligée au salarié
sans que celui-ci soit informé dans le même temps et par écrit des griefs retenus contre lui.
Lorsque l’employeur envisage de prendre une sanction, il doit convoquer le salarié en lui indiquant l’objet
de la convocation, sauf si la sanction envisagée est un avertissement ou une sanction de même nature qui
n’a pas d’incidence immédiate sur la présence dans l’entreprise, la fonction, la carrière ou la rémunération
du salarié. Au cours de l’entretien, le salarié peut se faire assister par une personne de son choix
appartenant au personnel de l’entreprise ; l’employeur indique le motif de la sanction envisagée et recueille
les explications du salarié. La sanction ne peut intervenir moins d’un jour franc, ni plus d’un mois après le
jour fixé pour l’entretien. Elle doit être motivée et notifiée à l’intéressé.
Lorsque l’agissement du salarié a rendu indispensable une mesure conservatrice de mise à pied à effet
immédiat, aucune sanction définitive, relative à cet agissement, ne peut être prise sans que la procédure
prévue à l’alinéa précédent ait été observée.
Conformément à l’article L. 122-46 du Code du Travail, aucun salarié ne peut être sanctionné ni licencié
pour avoir subi ou refusé de subir les agissement de harcèlement d’un employeur, de son représentant ou
de toute personne qui, abusant de l’autorité que lui confèrent ses fonctions, a donné des ordres, proféré
des menaces, imposé des contraintes ou exercé des pressions de toute nature sur ce salarié dans le but
d’obtenir des faveurs de nature sexuelle à son profit ou au profit d’un tiers.
Aucun salarié ne peut être sanctionné ni licencié pour avoir témoigné des agissements définis à l’alinéa
précédent ou pour les avoir relatés.
Conformément à l’article L. 122-47 du Code du Travail, est passible d’une sanction disciplinaire tout salarié
ayant procédé aux agissements définis à l’article L. 122-46
Il a été déposé au secrétariat du Conseil des Prud’hommes de Strasbourg en date du 4 janvier 2000.
Il a été porté à la connaissance du personnel, par voie d’affichage, en date du 4 janvier 2000.
3. FRAIS DE DEPLACEMENT
Assurance
Lors de son entrée chez BERATA, il est demandé à tout nouveau collaborateur de fournir une attestation
de sa compagnie d’assurances stipulant que ses déplacements professionnels sont garantis.
Fiche de mission
Avant le début de chaque mission, il est établi un document nommé « fiche de mission » précisant le nom
du client et le lieu d’intervention, le contenu du projet, la date de démarrage, la durée estimée du contrat
ainsi que les modalités de remboursement des frais engagés.
Ce document est signé par le collaborateur et la Direction et sert de base à tous les remboursements
effectués dans le cadre de la mission concernée.
Note de frais
Le document « note de frais » permettant d’obtenir le remboursement des frais de déplacement se trouve
sur le réseau dans le répertoire //Servfile/Modeles_Proc/Modèles de documents/Support (référence : M-
SUP-21).
Il est établi mensuellement et doit être remis au plus tard le 2 du mois M+1 pour les frais du mois M afin de
permettre un remboursement par virement au plus tard le 10 du mois M+1.
Dans la colonne « Lieux de départ et d’arrivée », il est important de noter le lieu de départ (agence) et le
lieu d’arrivée ainsi que le nom du client.
Les trajets BERATA-lieu de prestation sont remboursés d’après les distances calculées par MS Autoroutes
98. L’itinéraire obtenu est joint à la fiche de mission.
Les frais sont à répartir dans les différentes colonnes en fonction de ce qui est défini dans la fiche de
mission.
Si les remboursements se font sur justificatifs, ceux-ci doivent être obligatoirement joints.
En ce qui concerne les indemnités kilométriques, mention est faite de la marque et de la puissance fiscale
du véhicule. Il est important de noter tous les mois le kilométrage du véhicule en début et en fin de mois.
Pour des déplacements occasionnels (avant-vente, présentation chez un client …), il n’est pas établi de
fiches de mission. Dans ce cas, il y a lieu de joindre à la note de frais l’itinéraire calculé sur le site
www.viamichelin.fr pour évaluer la distance du trajet.
La note de frais est signée par le collaborateur et contresignée par la Direction après contrôle.
Barème de remboursement
Le barème de remboursement est mis à jour chaque année au 1er janvier et transmis à chaque
collaborateur.
Frais de réception
Dans le cas d’invitations au restaurant de clients, de collaborateurs le nom des participants au repas est à
noter sur la facture car il ne s’agit pas là de frais de déplacement mais de réception qui entrent dans un
autre cadre pour l’administration fiscale. Ces frais sont à mettre sur la note de frais dans la colonne
« invitation ».
Frais exceptionnels
Les frais exceptionnels, non liés à la mission, comme l’achat de fournitures, de boissons, de livres etc. ne
figurent pas sur la note de frais et sont remboursés séparément sur présentation de la facture, libellée au
nom de BERATA et indiquant le montant de la TVA.
Vous trouverez ci-après un modèle de fiche de mission, de barème de remboursement ainsi qu’une note
de frais. Le barème fixe les bases de remboursement au 1er Janvier 2002
Mission : ..........................................................................................................................
DURÉE : ...........................................................................................................................
RENSEIGNEMENTS CLIENT
Nom du client :.................................................................................................................................................
Adresse : .........................................................................................................................................................
Code postal : ............................. Ville : ............................................................................................................
) Tél :.......................................................................
Nom du responsable : ......................................................................................................................................
. ....................................................................................................................................
2 Fax : ....................................................................... È .............................................................................
ORGANISATION DU DÉPLACEMENT
Accès client Plan d’accès
Indications : ............................................................................................................
..................................................................................................................................
FRAIS
Frais de déplacement :
.......................................................................................................................................................................
.......................................................................................................................................................................
.......................................................................................................................................................................
Frais de séjour :
Repas :
.......................................................................................................................................................................
.......................................................................................................................................................................
Hébergement :
.......................................................................................................................................................................
Nous vous rappelons que par la qualité de votre travail pendant cette
prestation vous participez à la valorisation de l’image de BERATA et vous
contribuez à la poursuite de notre développement.
INDEMNITES KILOMETRIQUES
Puissance fiscale Barème
3 CV 0,243
4 CV 0,282
5 CV 0,310
6 CV 0,326
7 CV 0,342
8 CV 0,368
9 CV 0,381
10 CV et + 0,406
FRAIS DE SEJOUR
Repas :
Mission hors Île de France : sur justificatif dans la limite de 18,30 €/jour travaillé
Mission en Île de France : sur justificatif dans la limite de 21,35 €/jour travaillé
Frais de repas : (pour des missions permettant le retour chez soi le soir)
Sur justificatif dans la limite de 11,45 €/jour travaillé.
Un document est émis afin d’indiquer les modalités à respecter lors d’une prise en charge d’un véhicule de
société (kilométrage de la voiture, cartes Total/Elf, entretien, conduite du véhicule). Il est établi en double
exemplaire et est à signer par les deux parties, Direction/Consultant.
Tous les mois, chaque consultant doit nous retourner ce formulaire rempli. Tous les événements relatifs à la
voiture doivent absolument nous être signalés.
c) Le carnet d’entretien
Lors de chaque révision, le carnet d’entretien constructeur doit être complété et rester en permanence dans la
voiture.
d) Le retour de véhicule
e) Mise en révision
Il est important de faire toutes les révisions en temps voulu et que cette information soit transmise à BERATA.
Kilométrage de la voiture : Km
Monsieur,
Comme convenu, BERATA France met à votre disposition un véhicule de société pour vous rendre à votre
lieu de travail dans le cadre de la mission qui vous est demandée.
Par ailleurs, nous vous confions une carte TOTAL et une carte ELF pour régler vos frais d'essence et de
petites fournitures qui nous seront directement facturés.
Pour utiliser cette carte, un code confidentiel vous sera communiqué séparément de ce courrier.
- ce véhicule et cette carte vous sont confiés dans un cadre professionnel et que tout autre usage est interdit
sans notre autorisation écrite préalable.
le véhicule doit être entretenu scrupuleusement et il vous est instamment demandé de respecter les
consignes d'entretien du constructeur.
- vous n'êtes pas autorisé à transporter d'autres personnes que vous-même et d'autres personnes de
BERATA.
lors de l'utilisation du véhicule, vous êtes tenu de respecter les règles du code de la route, la société n'étant
pas responsable de votre comportement sur la route. En conséquence, les éventuelles infractions relevées
par les autorités de police seront entièrement à votre charge.
tout abus pourra être considéré comme une faute professionnelle grave.
Usage privé
Pour éviter un certain nombre de problèmes au niveau de l’usage privé, la société a décidé que le personnel
itinérant, bénéficiant d’un véhicule de service, aurait la possibilité de racheter « l’usage personnel » du
véhicule.
C’est-à-dire que le véhicule pourrait être utilisé pour tous usages privés (semaines, week-end, vacances) en
contrepartie d’un avantage en nature ; cependant nous vous rappelons que les cartes Total et Elf doivent être
utilisées uniquement pour les missions professionnelles.
Dans ce cas, la totalité de la charge de l’entretien du véhicule (révisions, pneus, etc...) reste à la charge de la
société ainsi que vignette et assurance.
L’avantage en nature, prélevé chaque mois sur le salaire, serait fixé de la façon suivante :
Conduite du véhicule
L'usage privé n'entraîne pas une "conduite exclusive" du signataire de la convention, mais s'agissant d'un
véhicule professionnel, celui-ci ne saurait, en aucun cas, être prêté à un tiers ; par contre, le dépositaire peut
en confier le volant occasionnellement à son conjoint, titulaire du permis, à un enfant, titulaire du permis de
conduire, mais dans ce dernier cas, seulement accompagné du signataire de la convention.
Certains que ces recommandations sont pour vous une évidence et que l'usage de ce véhicule vous facilitera
la vie dans votre mission, nous vous en souhaitons une heureuse utilisation.
Un document est émis afin d’indiquer les modalités à respecter lors d’une prise en charge d’un véhicule de
société (kilomètre de la voiture, cartes Total/Elf, entretien, conduite du véhicule), elle est établie en double
exemplaire et est à signer par les deux parties, BERATA/Consultant. Ce document représente la prise en
responsabilité du consultant.
Tous les mois, chaque consultant doit nous retourner ce formulaire rempli. Tous les événements relatifs à la
voiture doivent obligatoirement nous être signalés (visite d’entretien, panne, dysfonctionnement constaté,
incident sur la carrosserie ou les vitrages, réparations...).
3. Le carnet d’entretien
Lors de chaque révision ou réparation, le carnet d’entretien constructeur doit être complété et rester en
permanence dans la voiture.
4. Le retour de véhicule
En fin d’utilisation du véhicule, nous établirons un document « Retour Véhicule » concrétisant la reprise du
véhicule par BERATA (avec mention du kilométrage retour et des remarques particulières sur le véhicule) ou
par le consultant suivant. Ce document est une décharge de responsabilité pour le consultant qui rend la
voiture et une prise en charge pour BERATA ou le consultant qui prend la voiture en suivant. Il est donc très
important de faire un état des lieux du véhicule, tous dysfonctionnements ou tous problèmes de carrosserie
non mentionnés à la restitution sera de la responsabilité de celui qui récupère le véhicule.
5. Mise en révision
Il est de la responsabilité de celui qui gère le véhicule de faire toutes les révisions en temps voulu et que
cette information soit transmise.
Si l’un des documents n’est plus en votre possession, merci de nous en avertir, les documents
vous serons envoyés immédiatement.
o NON
Fait à Strasbourg, le
Lu et approuvé Lu et approuvé
Frédéric BONNET
Gérant
* Cochez la case correspondante
RETOUR DE VEHICULE
NOM DU CONSULTANT :
NUMERO DE CONTRAT :
Fait à Strasbourg, le
Lu et approuvé Lu et approuvé
« consultant » Frédéric BONNET
Gérant
La feuille de temps mensuelle est un document interne et se présente sous forme de macro Excel et
est disponible sur le serveur dans le répertoire « Servfile », « Modèles_Proc ».
Il doit être rempli mensuellement et doit être remis au plus tard le dernier vendredi du mois afin de
permettre une facturation exacte, d’éviter les litiges avec le client et par conséquent une dérive de
trésorerie.
Le total des différentes colonnes moins les jours fériés correspond au nombre de jours ouvrés du mois.
6. PROCEDURE DE CONGES
Les documents présentés ci-dessous sont d’une part, une note de procédure
qui définit les règles concernant le droit aux congés, et d’autre part un
exemple de demande de congés à compléter en temps voulu.
L’année de référence est la période comprise entre le 1er juin de l’année précédente et le 31 mai de
l’année en cours.
Pour l’année 2003, l’année de référence va du 1er juin 2002 au 31 mai 2003.
La période de référence des salariés entrés en cours d’année débute à leur date d’entrée.
La période de prise de congés s’étend sur treize mois au maximu m soit du 1er mai de l’année en cours
au 31 mai de l’année suivante.
Les congés doivent être soldés au 31 mai de l’année suivante sinon ils sont réputés perdus. A titre
exceptionnel, un report des congés dans la limite de deux mois maximum peut être accordé par la
Direction.
Les congés payés ne peuvent être donnés par anticipation, c’est-à-dire avant la période de prise des
congés.
Cependant, des congés par anticipation peuvent être accordés par la Direction à titre exceptionnel, dans
la limite de cinq jours ouvrés et des droits acquis.
Une année complète de présence pendant la période de référence donne droit à 25 jours ouvrés de
congé soit 2.08 jours par mois. Pour les personnes entrées en cours d’année, le calcul se fait au prorata
du temps de présence dans l’entreprise.
Demande de congés
Tout congé doit faire l’objet d’une demande au minimum quinze jours avant la prise effective du congé.
Le collaborateur aura au préalable informé le client de son intention de prendre des congés.
Le formulaire « Demande de congés » se trouve sur le réseau, dans le répertoire « Servfile », dans le sous
répertoire « Modèles_Proc ». Le congé est réputé accordé lorsque le collaborateur reçoit en retour une
copie de sa demande, dûment signée par la Direction.
Absences exceptionnelles
Des autorisations d’absences exceptionnelles, non déductibles des congés, sont accordées pour :
- se marier : 4 jours
- naissance ou adoption : pour les pères de famille, trois jours ouvrés, consécutifs ou non, inclus
dans une période de quinze jours entourant la date de naissance ou suivant l’arrivée au foyer de
l’enfant adopté
- assister aux obsèques de son conjoint ou d’un de ses enfants : 2 jours ouvrés
- assister au mariage d’un de ses enfants : 1 jour ouvré
- assister aux obsèques de ses ascendants : 2 jours ouvrés
- assister aux obsèques de ses collatéraux jusqu’au 2e degré (frère ou sœur) : 1 jour ouvré
- assister aux obsèques de son beau-père, de sa belle-mère : 1 jour ouvré
Une demande de congés doit être remplie pour ces absences et signée par la Direction pour accord.
Lorsque la France a des jours fériés différents de ceux du pays d’intervention du collaborateur
(ex : 14 juillet), ce dernier peut soit se mettre en congé vis à vis du client, soit travailler et récupérer sa journée
ultérieurement. Dans ce cas, il précisera sur sa demande de congé « récupération de … ».
Il en est de même en France pour le Vendredi Saint et le 26 décembre qui ne sont pas des jours fériés
dans toutes les régions.
Lorsqu’un pays a des jours fériés différents de la France (ex : 3 octobre en Allemagne, 1er août en Suisse),
le collaborateur est tenu de poser un jour de congé ou de RTT.
Il en est de même pour les ponts qui peuvent être faits par le client mais non par BERATA.
Demande de congés
Nom :
Type de congés :
Congés payés *
RTT Employeur *
RTT Salarié *
Autres : *
Client actuel :
Si accord Manager,
Client prévenu : OUI NON
Fait à Strasbourg, le
Le contrat qui suit vous indique toutes les garanties souscrites par
BERATA au niveau prévoyance et frais de santé.
A votre entrée chez BERATA, vous remplissez une affiliation garantie frais
de santé en indiquant les bénéficiaires ; la cotisation varie selon le nombre de
bénéficiaires indiqués et est retenue tous les mois sur le salaire.
LANGE SA
Technopolis 50
193, rue Jean-Jacques Rousseau
92198 ISSY LES MOULINEAUX
Tél : 01.41.90.24.40
Pour la retraite complémentaire, BERATA est affilié au CRI pour le régime ARRCO
(non cadre et cadre tranche A) et à ALTEA pour le régime AGIRC (cadre tranche B).
BERATA
PREVOYANCE CADRES ET NON CADRES
RENTE DE CONJOINT
INCAPACITE TEMPORAIRE
Franchise 30 jours ou 3 j en cas d'hospitalisation de
plus de 3 j ou en cas d'accident
avec arrêt de plus de 30 jours
Montant 100 % TA-TB-TC moins S.S.
INVALIDITE PERMANENTE
BERATA
FRAIS DE SANTE
DENTAIRE
1. ENTRETIENS DE CARRIERE
BERATA applique la Convention Collective Nationale SYNTEC, du Personnel des Bureaux d’Etudes
Techniques, des Cabinets d’Ingénieurs-Conseils et des Sociétés de Conseils, qui peut être consultée auprès
de Noëlle JACQUIER.
2. FORMATION INTERNE
La formation garantit un haut niveau de qualité et de technicité aux prestations. Elle conditionne aussi la
progression professionnelle et la satisfaction personnelle des collaborateurs.
C’est pourquoi BERATA consacre un effort important à cet aspect par le biais de formations externes ou par la
mise en place progressive de modules de formation interne.
3. REUNION BERATA
Rien ne peut remplacer le contact direct : BERATA vous convie tous les deux mois à une réunion d’agence
au cours de laquelle vous sont données des informations sur l’évolution et les perspectives de BERATA
France et au-delà du groupe.
4. DELEGUES DU PERSONNEL
Depuis le 2 Mai 2002, BERATA compte 3 délégués du personnel parmi ses effectifs, les titulaires sont
Stéphane GRIGNON et Guillaume MAILLARD et le suppléant José FERREIRA.
Ils se tiennent à votre disposition pour transmettre à la Direction vos questions individuelles ou collectives,
vous pouvez les contacter soit par téléphone ou par mail.
Une réunion a lieu tous les mois avec la Direction pour examiner les différentes requêtes émanant de
l’ensemble du personnel, réunion qui fait l’objet d’un compte-rendu.
BERATA n’a pas attendu la date obligatoire du 1er Janvier 2002 pour appliquer la réduction du temps de
travail.
Celle-ci est entrée en vigueur le 1er Janvier 2001 par application directe de l’accord SYNTEC auquel ont été
apportés des aménagements plus favorables.
Vous trouverez ci-après l’accord national du 22 Juin 1999 sur la durée du travail et les aménagements
apportés par BERATA.
SOMMAIRE
PRÉAMBULE
CHAMP D'APPLICATION
ARTICLE 1 -
DISPOSITIONS COMMUNES
ARTICLE 2 -
MODALITÉS STANDARD
ARTICLE 3 -
RÉALISATION DE MISSIONS
ARTICLE 4 -
RÉALISATION DE MISSIONS AVEC AUTONOMIE COMPLÈTE
ARTICLE 5 -
AMÉNAGEMENT D'HORAIRE - JOURS COMPLÉMENTAIRES DE
REPOS
ARTICLE 6 - CAS DU PERSONNEL EMBAUCHE PENDANT LA PÉRIODE DE
RÉFÉRENCE
CHAPITRE 8 - LA FORMATION
CHAPITRE 10 - RÉMUNÉRATIONS
Préambule
La réduction du chômage et l'embauche de jeunes sont des priorités partagées par tous les partenaires
sociaux.
Les entreprises de la Fédération SYNTEC et de la CICF (Chambre des Ingénieurs Conseils de France) ont
embauché plus de 40 000 personnes en 1998, dont plus du tiers des jeunes ingénieurs sortis d'écoles, toutes
disciplines confondues. Elles ont l'ambition d'en embaucher plus de 50 000 en 1999 en bénéficiant de la
montée des services dans l'économie, de la complexité croissante des technologies et de l'externalisation de
plus en plus fréquente des prestations d'ingénierie, de conseil, de formation et de mise en œuvre.
Les métiers du Savoir, regroupés dans les Fédérations SYNTEC et CICF, ont ainsi la volonté de créer un
nombre très important d'emplois, en particulier destinés aux jeunes.
Les tâches effectuées par leurs collaborateurs supposent une large part de création ou de conception qui
implique une grande autonomie dans l'organisation de leur travail et une très faible possibilité de substituer
immédiatement un collaborateur par un autre au cours de sa mission.
De plus les métiers du Savoir, par essence mobiles et internationaux, sont confrontés à une concurrence
mondiale et leurs coûts de production sont directement liés au coût et à la durée du travail. Les entreprises du
secteur ne peuvent prendre le risque de détériorer leur compétitivité en alourdissant leurs coûts de production.
En effet leur capacité à embaucher passe obligatoirement par le maintien de leur compétitivité.
La situation économique des entreprises de la branche est très contrastée, en raison de la diversité de leurs
tailles et des secteurs d'activité dans lesquels elles opèrent. Dans ce contexte économique, les parties
signataires conviennent dans le cadre de l'application de la loi du 13 juin 1998, de mettre en œuvre des
mesures susceptibles de répondre à plusieurs objectifs :
• augmenter le volume de création d'emplois en assortissant chaque fois que possible la réduction du
temps de travail, d'embauches : les parties signataires considèrent qu'il est préférable pour l'emploi de
privilégier les démarches volontaires et négociées au niveau des entreprises afin de mettre en place les
solutions les plus adaptées. Cet examen conduira certaines entreprises ou établissements à entrer dans le
dispositif d'incitation prévu par l'article 3 de la loi du 13 juin 1998.
• permettre aux entreprises de réduire le temps de travail tout en leur donnant la possibilité de faire face
aux exigences de la compétitivité et à la réorganisation du travail par l'aménagement du temps de travail sur
l'année.
• diminuer le temps de travail des salariés pour améliorer leurs conditions de travail.
Ces mesures, au travers de l'instauration d'un horaire collectif de 35 heures et des modalités d'aménagement
annuel du temps de travail proposées, doivent en effet permettre à une majorité de salariés de la branche de
bénéficier d'une dizaine de jours de disponibilité par rapport à la durée conventionnelle actuelle, au delà de la
garantie accordée sur le caractère chômé et payé des jours fériés et des jours d'ancienneté conventionnels.
Prenant en compte les dispositions prévues par la loi du 13 juin 1998 d'orientation et d'incitation à la réduction
du temps de travail, réduisant la durée légale du travail des salariés à 35 heures par semaine au 1er janvier
2000 ou au 1er janvier 2002 selon les cas, les parties signataires décident d'adopter les dispositions suivantes
:
Champ d'application
Le présent accord national est applicable aux entreprises entrant dans le champ d'application de la
convention collective nationale des bureaux d'études techniques, des cabinets d'ingénieurs conseils, et des
sociétés de conseils.
Conformément à l'article L212.4 du code du travail, la durée du travail effectif est le temps pendant lequel
le salarié est à la disposition de l'employeur et doit se conformer à ses directives générales sans pouvoir
vaquer librement à des occupations personnelles.
Cas particulier de l'astreinte : l'astreinte concerne les plages horaires en dehors des horaires habituels de
travail pendant lesquelles un salarié peut être amené à intervenir à la demande de l'employeur. Toute
intervention effectuée pendant la période d'astreinte, que cette intervention ait lieu au domicile du
collaborateur ou sur le lieu du projet fait partie intégrante du temps de travail effectif du salarié.
La durée hebdomadaire conventionnelle du travail effectif est fixée à 35 heures à compter de la date
d'effet précisée au chapitre 11 du présent accord. Cette définition ne fait pas obstacle à des dispositions plus
favorables qui pourraient exister dans les accords ou les usages des entreprises.
Tous les salariés qui relèvent du champ d'application du présent accord voient leur durée hebdomadaire
de travail réduite selon les modalités définies ci-après. Les réductions d'horaire seront obtenues notamment
en réduisant l'horaire hebdomadaire puis en réduisant le nombre de jours travaillés dans l'année par l'octroi de
jours disponibles pris de façon individuelle ou collective.
Si la réduction d'horaire est obtenue en réduisant le nombre de jours travaillés dans l'année, le salarié
bénéficie de jours disponibles attribués au titre de la réduction du temps de travail. Cette solution peut
s'accompagner, au plan de la gestion, de la création d'un compte de temps disponible (chapitre 5) permettant
la matérialisation de la réduction effective du temps de travail et dont l'utilisation paraît adaptée aux variations
de charge de travail des salariés de la branche.
Les parties signataires conviennent que les jours fériés sont non travaillés et payés. Lorsque l'activité de
l'entreprise la fait travailler ces jours là, ces derniers donnent lieu à récupération selon les dispositions
conventionnelles ou établies par l'entreprise dans le respect des dispositions légales. Sont considérés comme
jours fériés les jours fériés légaux, à savoir : les 1er janvier, lundi de Pâques, 1er mai, 8 mai, Ascension, lundi
de Pentecôte, 14 juillet, 15 août, 1er novembre, 11 novembre et 25 décembre.
Conformément aux dispositions légales, les entreprises conservent la faculté de modifier ou de maintenir
l'horaire collectif en vigueur dans l'entreprise avant la date de signature du présent accord.
Trois types de modalités de gestion des horaires sont a priori distingués à l'initiative de l'entreprise :
• Modalités standard ;
Les définitions de ces différentes mo dalités sont précisées dans les articles ci-après.
Pour relever des modalités de réalisation de missions, les personnels doivent tout d'abord répondre aux
conditions d'autonomie définies à l'article 3 ou à l'article 4.
Les salariés lors de la mise en œuvre du présent accord sont informés des modalités qui les concernent après
information, lorsqu'elles existent, des institutions représentatives du personnel. Les changements suivent
l'évolution professionnelle du collaborateur et tiennent compte de leurs souhaits.
Sauf dispositions particulières négociées par accord d'entreprise, les salariés concernés par les modalités
standard ont une durée hebdomadaire de travail de 35 heures, compte tenu des modalités d'aménagement du
temps de travail évoquées précédemment.
La réduction de l'horaire de travail effectif doit être telle que leur horaire annuel ne puisse dépasser l'horaire
annuel normal. Ce dernier ressort à 1610 heures pour un salarié à temps plein sur toute la période de 12 mois
(non compris les éventuelles heures supplémentaires visées aux chapitres 3 et 4). Un accord d'entreprise ou
d'établissement peut par ailleurs prévoir une durée annuelle inférieure à 1610 heures.
Ces modalités concernent les ETAM ; les Ingénieurs et Cadres peuvent également relever de ces modalités
standard.
Compte tenu de l'organisation du temps de travail sur l'année (modulation annuelle présentée au chapitre 3),
la rémunération de ces collaborateurs ne peut être inférieure au salaire brut de base correspondant à un
horaire hebdomadaire de 39 heures ou à l'horaire hebdomadaire inférieur effectivement pratiqué à la date de
signature du présent accord.
Ces modalités s'appliquent aux salariés non concernés par les modalités standard ou les
réalisations de missions avec autonomie complète. Tous les Ingénieurs et Cadres sont a priori concernés à
condition que leur rémunération soit au moins égale au plafond de la sécurité sociale. De plus, en fonction de
l'activité de l'entreprise, un accord d'entreprise doit préciser les conditions dans lesquelles d'autres catégories
de personnel peuvent disposer de ces modalités de gestion.
Les appointements de ces salariés englobent les variations horaires éventuellement accomplies dans une
limite dont la valeur est au maximum de 10 % pour un horaire hebdomadaire de 35 heures. La rémunération
mensuelle du salarié n'est pas affectée par ces variations.
Les dépassements significatifs du temps de travail, commandés par l'employeur, au delà de cette limite,
représentant des tranches exceptionnelles d'activité de 3,5 heures sont enregistrés en suractivité. Le compte
de temps disponible peut être utilisé pour enregistrer ces suractivités qui ont vocation à être compensées par
des sous-activités (récupérations, inter-contrats,…) par demi-journée dans le cadre de la gestion annuelle
retenue.
Ces salariés ne peuvent travailler plus de 219 jours pour l'entreprise, sans tenir compte des éventuels jours
d'ancienneté conventionnels. Le compte de temps disponible peut être utilisé pour enregistrer les jours
accordés aux salariés concernés par ces modalités. Toutefois, ce chiffre de 219 jours pourra être abaissé par
accord d'entreprise ou d'établissement, négocié dans le cadre de l'article L 132-19 du code du travail.
Le personnel ainsi autorisé à dépasser l'horaire habituel dans la limite de 10 % doit bénéficier d'une
rémunération annuelle au moins égale à 115 % du minimum conventionnel de sa catégorie.
L'adoption de ces modalités de gestion du temps de travail ne peut entraîner une baisse du salaire brut de
base en vigueur à la date de ce choix.
Les personnels exerçant des responsabilités de management élargi ou des missions commerciales, de
consultant ou accomplissant des tâches de conception ou de création, de conduite et de supervision de
travaux, disposant d'une grande autonomie, libres et indépendants dans l'organisation et la gestion de leur
temps de travail pour remplir les missions qui leur ont été confiées doivent bénéficier de dispositions adaptées
en matière de la durée du travail : les salariés ainsi concernés sont autorisés, en raison de l'autonomie dont ils
disposent, à dépasser - ou à réduire - l'horaire habituel, dans le cadre du respect de la législation en vigueur.
La rémunération mensuelle du salarié n'est pas affectée par ces variations.
La comptabilisation du temps de travail du collaborateur se fait en jours, avec un maximum fixé à 219 jours,
sans tenir compte des éventuels jours d'ancienneté conventionnels. Le compte de temps disponible peut être
utilisé pour enregistrer les jours accordés aux salariés concernés par ces modalités. Toutefois, comme à
l'article 2, ce chiffre de 219 jours pourra être abaissé par accord d'entreprise ou d'établissement, négocié dans
le cadre de l'article L 132-19 du code du travail.
Le personnel ainsi concerné doit bénéficier d'une rémunération annuelle au moins égale à 120 % du minimum
conventionnel de sa catégorie.
L'adoption de ces modalités de gestion du temps de travail ne peut entraîner une baisse du salaire brut de
base en vigueur à la date de ce choix.
Pour pouvoir relever de ces modalités, les collaborateurs concernés doivent obligatoirement disposer de la
plus large autonomie d'initiative et assumer la responsabilité pleine et entière du temps qu'ils consacrent à
l'accomplissement de leur mission, le bon accomplissement de cette mission caractérisant la mesure réelle de
leur contribution à l'entreprise. Ils doivent donc disposer d'une grande latitude dans leur organisation du travail
et la gestion de leur temps et doivent également bénéficier de la position 3 de la convention collective (en
général les positions 3.2 et 3.3 et dans certains cas 3.1) ou avoir une rémunération annuelle supérieure à 2
fois le plafond annuel de la sécurité sociale ou être mandataire social.
Indépendamment des modalités exposées ci-dessus, tout salarié à titre individuel a la possibilité de demander
à son employeur de disposer d'un volume de jours de repos complémentaires en contrepartie d'une
récupération du temps correspondant selon des modalités à définir par l'entreprise, les heures ainsi
récupérées n'ayant bien évidemment pas la nature d'heures supplémentaires. Cette possibilité, fixée à un
maximum de 12 jours, est conditionnée par l'acceptation par le collaborateur des modalités de récupération
définies par l'entreprise. Cet accord ou un refus motivé est formalisé par un écrit de la part de l'employeur.
Une information semestrielle détaillée sera transmise aux délégués du personnel et au comité d'entreprise ou
d'établissement pour permettre le suivi du dispositif.
Pour les modalités de réalisation de missions (articles 3 et 4), le nombre de jours travaillés de 219 ne
s'applique qu'aux salariés ayant au moins un an de présence continue dans l'entreprise à la fin de la période
ouvrant droit aux congés payés.
La contrepartie indispensable aux contraintes liées à la réduction du temps de travail est l'absolue nécessité
de repenser fondamentalement les organisations en recherchant systématiquement une meilleure productivité
globale, notamment grâce à une souplesse accrue, capable de faire face aux fluctuations d'activité
structurelles ou occasionnelles ainsi qu'aux cycles de l'activité, spécifiques aux différents métiers de la
branche.
En application de l'article L212.2.1 du code du travail, la durée du travail effectif peut faire l'objet au niveau
des différents projets gérés par l'entreprise ou au niveau de ses différents services, d'une modulation sur
l'année permettant d'adapter la durée du travail aux variations de la charge de travail.
Pour les salariés concernés par les modalités de réalisation de missions (chapitre 2), les périodes de
suractivité et les sous-activités se compensent à l'intérieur de la période de 12 mois de référence.
Pour le personnel régi par les modalités standard et notamment pour le personnel ETAM, les
dispositions convenues sont les suivantes.
• pour compenser les hausses et les baisses d'activité associées à la charge de travail de l'entreprise,
l'horaire hebdomadaire de travail des salariés peut varier autour de l'horaire moyen hebdomadaire de 35
heures pour les collaborateurs bénéficiant de cette durée effective de travail de telle façon que les heures
effectuées en suractivité de cet horaire moyen se compensent avec les heures effectuées en sous-activité,
dans le cadre d'une période de 12 mois consécutifs.
• l'organisation du temps de travail est construite selon une programmation indicative préalable, établie
par projet ou service et communiquée trimestriellement au salarié. Les variations d'horaires liées à des
modifications de charge de travail font l'objet d'une information auprès des salariés concernés en respectant
un délai de prévenance de 8 jours.
• les heures effectuées pendant la période de modulation au delà de la durée hebdomadaire légale ne
sont pas considérées comme des heures supplémentaires. Elles ne s'imputent pas sur le contingent d'heures
supplémentaires visé au chapitre 4. Elles ne donnent donc pas lieu aux majorations prévues par l'article L
212.5 du code du travail ni au repos compensateur prévu à l'article L 212.5.1 du code du travail.
• la durée hebdomadaire du travail ne peut excéder 46 heures sur une semaine et 43 heures en
moyenne sur une période de 12 semaines consécutives, sauf dérogation convenue par accord d'entreprise ou
d'établissement. De façon symétrique, sauf dérogation, la durée hebdomadaire du travail ne peut être
inférieure à 28 heures par semaine.
• seules les heures effectuées sur l'année, au delà de l'horaire annuel normal de l'entreprise ou de
l'établissement ont la nature d'heures supplémentaires. Elles peuvent être payées, avec les majorations y
afférentes, ou être remplacées par un repos équivalent (chapitre 4). Ces heures supplémentaires s'imputent
sur le contingent annuel d'heures supplémentaires, sauf si leur paiement est remplacé par un repos
équivalent.
• une comptabilisation mensuelle du temps de travail est opérée dans l'entreprise. Les entreprises qui
mettent en œuvre la modulation instituée par le présent accord garantissent aux salariés concernés un lissage
de leur rémunération mensuelle sur toute la période de modulation indépendamment de l'horaire réellement
accompli. Si le volume annuel des heures travaillées est inférieur à l'horaire annuel normal de l'entreprise ou
de l'établissement pour un salarié, le reliquat n'est pas reportable sur la période annuelle suivante.
La mise en place dans une entreprise ou un établissement de l'organisation du temps de travail sur
l'année, conformément à l'article L 212.2.1 du code du travail est effectuée après information des
représentants du personnel (à défaut, les salariés de l'entreprise) du choix ainsi opéré.
Par ailleurs, conformément à l'article L 212.2.1, en cours de période, le recours au chômage partiel est
possible selon les dispositions légales en vigueur.
Les heures supplémentaires sont les heures de travail accomplies à la demande de l'employeur au
delà de la durée conventionnelle du travail, compte tenu des modalités d'aménagement du temps de travail
retenues. Elles sont définies au chapitre 3 - Article 1 - dans le cas d'une modulation sur l'année.
Les parties signataires conviennent que tout ou partie du paiement des heures supplémentaires et
des majorations y afférentes peut être remplacé par un repos équivalent. Cette disposition pourra être mise en
œuvre sur le fondement d'un accord d'entreprise. En l'absence d'organisations syndicales, le comité
d'entreprise ou à défaut les délégués du personnel seront consultés et l'employeur devra solliciter l'accord des
salariés concernés.
Rappelons que les heures supplémentaires dont le paiement aura été remplacé par un repos
équivalent ne s'imputent pas sur le contingent annuel d'heures supplémentaires applicables à l'entreprise. De
tels repos peuvent s'imputer par contre au crédit du compte de temps disponible du collaborateur (chapitre 5)
ou être pris selon les modalités définies par l'entreprise.
Lorsque les organisations du travail retenues dans les entreprises, en fonction des exigences du
marché, conduisent à organiser le temps de travail sur l'année, les parties signataires conviennent que le
contingent d'heures supplémentaires prévu par l'article L 212.6 du code du travail est fixé à 90 heures par an
et par salarié.
Ce contingent pourra être majoré de 40 heures. Cette possibilité est expressément subordonnée à un
accord d'entreprise ou d'établissement négocié et conclu dans le cadre de l'article L 132.19 du code du travail
ou en l'absence de délégués syndicaux, à l'avis conforme du comité d'entreprise ou à défaut des délégués du
personnel, ou à l'autorisation de l'inspecteur du travail.
Dans le cas où l'entreprise ne choisirait pas l'annualisation et son volume annuel de 1610 heures, les
parties signataires conviennent que le contingent prévu à l'article 33 de la convention collective devra être
réajusté en fonction des nouvelles dispositions légales.
Le compte de temps disponible (CTD) permet de matérialiser l'application de la loi du 13 juin 98 sur la
réduction du temps de travail. Il peut être constitué pour tout salarié, quel que soit le mode retenu pour la
comptabilisation de son temps de travail. Il peut être géré sur toute période de référence de 12 mois
consécutifs (année civile, exercice comptable, période de congés payés). Les jours crédités au compte de
temps disponible doivent être utilisés à l'intérieur de la période de référence ou au maximum 3 mois après la
fin de cette période.
• les jours disponibles nécessaires à l'application de l'accord : écart entre le nombre de jours
normalement travaillés du salarié en fonction de ses droits à congés ou absences accordées par l'entreprise
ou la convention collective (hormis les jours d'ancienneté conventionnels) et le nombre maximal autorisé par
accord d'entreprise ou par cet accord.
• les périodes de suractivité (tâches exceptionnelles accomplies pour les salariés concernés par les
modalités de réalisation de missions), les éventuelles conversions d'heures supplémentaires en repos
équivalents (pour les bénéficiaires des modalités standard).
ð à l'initiative de l'employeur (périodes d'inter-contrats à condition que le collaborateur ne soit pas présent
dans l'entreprise ou récupérations en compensation des périodes de suractivité).
Si une formation définie comme un co-investissement n'est pas envisageable ou effectuée sur la période, la
prise des jours se répartit pour moitié à l'initiative du salarié et pour moitié à l'initiative de l'employeur.
Par ailleurs, si les modalités de travail chez un client retiennent strictement une durée de 35 heures par
semaine et que les horaires de travail du collaborateur concerné sont aménagés en conséquence, le
collaborateur travaillant sur une base de 35 heures ne peut en plus bénéficier de jours disponibles
supplémentaires : dans ce cas les jours disponibles nécessaires à l'application de cet accord sont
progressivement débités, prorata temporis, pour l'annulation de ces jours sur la période annuelle de gestion
(hormis les jours dont l'employeur et le collaborateur seraient convenus au titre de la formation de co-
investissement). Le collaborateur est informé, à l'établissement de son ordre de mission, de l'application de
ces dispositions.
La gestion du compte de temps disponible sur une période plus longue que l'année, pour tenir compte de
durées de projets supérieures à 12 mois, peut être instituée par accord d'entreprise ou d'établissement, établi
avec les délégués syndicaux dans le cadre de l'article L132.19 du code du travail. Des modalités de
fonctionnement du compte de temps disponible adaptées à l'entreprise ou à l'établissement peuvent
également être négociées par la même voie.
Les jours inscrits au compte de temps disponible constituent une créance salariale. Le compte individuel est
tenu mensuellement par l'employeur et est remis au salarié, sous forme d'un document individuel. Ce
document précise quelle est la période de référence choisie par l'entreprise.
Un bilan sur le fonctionnement et l'utilisation du compte de temps disponible est communiqué annuellement au
comité d'entreprise ou à défaut aux délégués du personnel, ainsi qu'un rapport semestriel intermédiaire.
La prise des jours disponibles à l'intérieur de la période de référence majorée de 3 mois est obligatoire. En
l'absence d'accord particulier, si le compte de temps disponible d'un salarié dépasse 15 jours, l'entreprise
veillera à ce que 5 jours soient utilisés en récupération dans un délai de 2 mois, à une date à définir d'un
commun accord.
Les parties signataires conviennent par ailleurs que le Compte Épargne Temps (chapitre 6) peut également
être alimenté par l'éventuel solde positif du compte de temps disponible.
Un compte épargne-temps, prévu par l'article L227.1 du code du travail peut être ouvert à l'initiative d'une
entreprise ou d'un établissement. Il a pour objet de permettre au salarié qui le désire d'accumuler des droits à
congé rémunéré. Les congés concernés peuvent être :
• des congés légaux (congé parental d'éducation, congé sabbatique, congés pour création ou reprise
d'entreprise...) ;
• des congés de fin de carrière (permettant au salarié d'anticiper son départ à la retraite ou de réduire
sa durée de travail au cours d'une préretraite progressive).
La mise en place d'un régime de compte épargne-temps, doit être négociée avec les délégués syndicaux,
dans le cadre de l'article L132-19 du code du travail, pour tenir compte des spécificités de l'entreprise ou de
l'établissement et définir avec précision les modalités d'alimentation du compte (ainsi que son abondement).
Les droits acquis dans le cadre du compte épargne-temps sont couverts par l'assurance de garantie des
salaires dans les conditions de l'article L 143.11.1 du code du travail. En outre l'employeur devra s'assurer
contre le risque d'insolvabilité de l'entreprise, pour les sommes excédant celles couvertes par l'assurance de
garantie des salaires. Une information écrite devra être apportée au salarié sur l'assurance souscrite.
Les parties signataires affirment par ailleurs leur accord sur la possibilité de l'externalisation de la gestion des
montants individuels et de la création d'un compte épargne-temps de branche. Les modalités pratiques de
mise en place et de fonctionnement de ce système d'externalisation et de ce compte de branche feront l'objet
d'un accord national, négocié avec les organisations syndicales dans les six mois suivant la signature du
présent protocole.
Cette négociation complémentaire établira par conséquent les modalités de mise en place et de
fonctionnement d'un compte épargne-temps pour les entreprises ou établissements dépourvus d'accord et
définira dans ce cadre les modalités d'alimentation du compte, notamment :
• primes d'intéressement dans les conditions définies par l'article L441.8 du code du travail
• etc...
L'organisation du travail dans l'entreprise ou l'établissement implique la mise en place d'un dispositif
permettant d'assurer avec rigueur la mesure du temps de travail effectif.
Un tel dispositif peut être constitué soit par un document déclaratif quotidien, hebdomadaire ou mensuel établi
à la journée, rédigé par le salarié et visé par la hiérarchie, soit par tout système de pointage.
Les règles et les modalités d'application dans les conditions prévues par la loi et par le présent accord seront
définies au niveau de l'entreprise. Ces documents constituent les éléments d'appréciation à la fois au sens de
l'article L 212.1.1 du code du travail et en cas d'horaire individualisé, au sens de l'article D 212.21 du code du
travail. En cas d'horaire individualisé et de document déclaratif, la récapitulation hebdomadaire est effectuée
conformément à l'article D 212.21 du code du travail, le contrôle hiérarchique restant en général mensuel.
Le système retenu, quel qu'il soit, doit permettre d'identifier clairement le temps de travail effectif, y compris
les tranches exceptionnelles d'activité et les dépassements d'horaires, accomplis à la demande de la
hiérarchie, pour les personnels assujettis à un horaire collectif ou individualisé.
Chapitre 8 - La formation
Les efforts de perfectionnement et de formation professionnelle constituent une exigence forte pour les
salariés de la branche. Cette exigence est partagée par l'entreprise pour continuer à assurer a
l qualité du
service souhaitée par la clientèle et nécessitée par l'évolution des techniques.
Les parties signataires conviennent que la formation d'adaptation, dont l'objet est d'actualiser les
connaissances et les pratiques pour une utilisation à court terme par l'entreprise, dans le cadre du poste de
travail, doit être incluse dans le temps de travail effectif.
En ce qui concerne les formations qui doivent permettre au salarié de gérer au mieux son parcours et
développement professionnel (par exemple acquisition d'une qualification complémentaire, progression
professionnelle, extension du champ de compétences, reconversion...), les parties signataires sont désireuses
de mettre en œuvre des dispositions capables de conduire à leur développement. Dans ce but elles
conviennent que ces formations peuvent faire l'objet d'un co-investissement qui requiert l'accord de
l'entreprise et du salarié : l'entreprise paye le coût du stage et l'opération est réalisée en partie en débitant le
compte de temps disponible. Dans ce cadre, 50 % du temps correspondant à cette formation peuvent être
imputés au débit du compte de temps disponible (ou au débit du compte épargne-temps s'il en existe un dans
l'entreprise ou l'établissement).
• les formations validées par la Commission Paritaire Nationale pour l'Emploi (CPNE) comme co-
investissables,
• les formations validées sur saisine de la CPNE.
Des dispositions propres à l'entreprise ou à l'établissement peuvent être établies par voie d'accord avec les
représentants des organisations syndicales signataires avant l'élaboration du plan de formation.
Les parties signataires conviennent qu'il est de la responsabilité de l'employeur de favoriser, dans toute la
mesure du possible, le travail à temps partiel des salariés demandeurs. Les mêmes possibilités de promotion
et de formation doivent notamment leur être garanties.
Les horaires de travail des salariés à temps partiel ne peuvent comporter au cours d'une même journée plus
d'une interruption d'activité. Cette interruption ne peut être supérieure à une heure.
Pour tenir compte des exigences du marché et faciliter l'acceptation du temps partiel par l'employeur, il est
convenu que le délai de prévenance pour modification du temps de travail sera d'au moins trois jours et que le
nombre d'heures complémentaires pourra être porté à 33 % du temps de travail de base.
Par ailleurs les parties signataires conviennent que les salariés à temps partiel seront prioritaires pour le
passage à temps plein de leur contrat dans le cadre des heures libérées par la réduction du temps de travail.
Chapitre 10 - Rémunérations
Les parties signataires conviennent que l'application de la loi sur la réduction du temps de travail n'entraînera
pas de diminution des salaires minimaux conventionnels. Elles conviennent également d'initialiser un
processus de revalorisation des rémunérations des positions 1.1 à 2.1 des Ingénieurs et Cadres. Cette
disposition sera négociée avec les organisations syndicales dès publication de l'arrêté d'extension du présent
accord.
En complément à l'article 32 (ETAM et IC) de la convention collective, les parties signataires conviennent que
la rémunération mensuelle d'un collaborateur ne sera pas inférieure à 95 % du salaire minimal conventionnel
mensuel ou à 92 % en cas d'existence d'un treizième mois. En cas de départ en cours d'année d'un salarié
ayant une rémunération mensuelle inférieure au salaire minimal conventionnel, l'entreprise complétera la
rémunération perçue afin qu'elle corresponde au moins au salaire minimal conventionnel sur la période de
présence.
L'application de l'accord est subordonnée à son arrêté d'extension et sera possible à compter du
premier jour du mois qui suivra la parution de son arrêté d'extension au Journal Officiel.
Cet accord ne deviendra obligatoire dans les entreprises qu'à la date d'entrée en vigueur de la
nouvelle durée légale du travail ou à celle, antérieure, de la mise en application de leur propre accord.
Dans les entreprises pourvues d'organisations syndicales représentatives, des négociations sur
l'aménagement et la réduction du temps de travail seront engagées dès signature du présent accord.
Les accords d'entreprise ou d'établissement, conclus avec des délégués syndicaux ou en application
de l'article 3 de la loi du 13 juin 98 peuvent prévoir des dispositions différentes de celles du présent accord,
spécifiques à leur situation particulière.
Le présent accord est conclu pour une durée indéterminée. Toutefois, en cas de remise en cause de
l'équilibre du présent accord par des dispositions législatives ou réglementaires postérieures à sa signature,
les signataires se réuniront immédiatement en vue de tirer toutes les conséquences de la situation ainsi créée.
Les parties signataires du présent accord confient à une commission la charge permanente de procéder au
suivi et au bilan de l'exécution du présent accord. Cette commission prendra la forme d'une association loi de
1901 dont les membres seront les signataires du présent accord. Pour remplir sa fonction, elle devra pouvoir
bénéficier d'une collecte auprès des entreprises de la branche de 0,2 pour mille de leur masse salariale. Cette
collecte sera confiée au FAFIEC. Les parties signataires s'engagent à établir les statuts de cette association
par le biais d'une négociation qui garantira l'équilibre paritaire quant à la gestion et à l'administration de cette
commission, dans les six mois suivant la signature du présent protocole.
Les parties signataires conviennent que les jours fériés sont non travaillés et payés. Lorsque l'activité de
l'entreprise la fait travailler ces jours là, ces derniers donnent lieu à récupération selon les dispositions
conventionnelles ou établies par l'entreprise dans le respect des dispositions légales. Sont considérés comme
jours fériés les jours fériés légaux, à savoir : les 1er janvier, lundi de Pâques, 1er mai, 8 mai, Ascension, lundi
de Pentecôte, 14 juillet, 15 août, 1er novembre, 11 novembre et 25 décembre.
Pour les salariés rattachés à l’agence strasbourgeoise, sont également considérés comme jours fériés le
vendredi de Pâques et le 26 décembre.
Le personnel de BERATA S.A.R.L. correspondant à cette définition est le personnel administratif non cadre,
les employés techniciens et agents de maîtrise et les ingénieurs et cadres non concernés par la modalité de
réalisation de missions (ch. 2 – art. 3)
Concernant le personnel administratif non cadre et les E.T.A.M., l’organisation du temps de travail a été
définie comme suit :
Une souplesse individuelle peut être accordée aux collaborateurs soumis à cet horaire: Latitude d'une heure le
matin et le soir pour faciliter l'organisation personnelle, tout en respectant le travail légal et convenu avec le
responsable hiérarchique.
En ce qui concerne les ingénieurs et cadres non concernés par la modalité de réalisation de missions, leur
horaire hebdomadaire est de 37 heures.
Le temps de travail pour cette catégorie de salariés ne doit pas excéder 1610 heures par an. En
conséquence, ces employés se voient attribuer une journée de récupération, à l’initiative de l’employeur,
toutes les 4 semaines. Si ces dispositions ne suffisent pas à atteindre la limite de 1610 heures par an, des
jours ou demi-journées supplémentaires sont attribuées.
Les tranches exceptionnelles d’activité (au-delà de 37h) sont soumises à l’accord d’un supérieur hiérarchique.
Toutefois, si aucun supérieur hiérarchique n’est joignable, les heures supplémentaires ne devront pas être
effectuées.
La durée hebdomadaire peut éventuellement être revue à la hausse. Dans ce cas, le nouvel horaire ainsi que
le nombre de jours de récupération sont précisés sur la fiche de mission.
Les tranches exceptionnelles d’activité sont soumises à l’accord d’un supérieur hiérarchique. Toutefois, si
aucun supérieur hiérarchique n’est joignable, les heures supplémentaires ne devront pas être effectuées.
Les jours crédités au compte de temps disponible doivent être utilisés à l'intérieur de la période de référence
c’est à dire entre le 1er janvier et le 31 décembre. Au-Delà, le CTD est remis à zéro.
Pour les salariés en modalité 2 et 3, le CTD est crédité tous les mois en fonction du nombre de jours
nécessaire à l’application de l’accord. Ce nombre de jours correspond à l’écart entre le nombre de jours
normalement travaillés du salarié et le nombre maximal autorisé, soit 217.
Le nombre de jours accordés au titre de la RTT pour une année ne peut être inférieur à 10.
Chez BERATA, l'utilisation des jours au crédit du CTD est au choix du salarié pour la moitié et au choix de
l'employeur pour l’autre moitié.
Les jours de RTT à disposition de l’employeur peuvent être cumulés qu’avec approbation du salarié.
Les jours de RTT à disposition du salarié ne peuvent être cumulés ni posés simultanément en début et en fin
de période de congés payés, des journées travaillées devant séparer deux jours de RTT.
Les jours de formation sont considérés comme des jours de travail effectifs. Par conséquent, ils ne sont pas
déduits dans le CTD.
6. ACTIVITES SOCIALES
« REDUCS EN STOCK »
DE QUOI S’AGIT-IL ?
Il s’agit de réductions concernant différents services et produits proposés (vacances, sorties, sport, achats,
argent), négociés auprès de prestataires, grâce au pouvoir d’achat que représente le groupe ALTRAN.
Congés
Des prestataires variés à des tarifs compétitifs pour vous aider à préparer vos vacances ou vos week-ends:
des agences de voyages, des clubs de vacances, des centrales de réservation pour des hôtels, des gîtes, des
appartements à louer…
Sports
Des abonnements préférentiels dans des clubs de sport, ou de remise en forme. Une large palette d’activités
(tennis, golf, natation…) pour tous les goûts…et tous les niveaux.
Sorties
Des services de billetterie spectacle à des tarifs compétitifs pour toutes vos sorties au théâtre, vos visites
d’expositions, vos envies de concerts…
Argent
Des bons d’achat à foison, valables dans différentes enseignes (FNAC, Le Printemps, La Redoute,
Conforama, Prisunic…).
Achats
Une centrale d’achat qui vous donne accès à des magasins dans la France entière. A des tarifs défiant toute
concurrence sur les loisirs (télévision, vidéo, radio, micro-informatique, vêtements et matériels de sport…), la
maison (électroménager, ameublement…), l’informatique professionnelle, et des petits « extras » (habillement,
chaussures…).
Pour tout renseignement et commande, le correspondant « Réducs en stock » reste le contact privilégié
des salariés de son entité.
Un classeur récapitulant les offres proposées par « Réducs en stock » est disponible chez BERATA.
→ Utilisez la « Fiche de commande » récapitulant les noms des salariés ainsi que l’objet de leur
commande, le tout accompagné obligatoirement du règlement.
→ Le règlement se fait uniquement par chèque : un par fournisseur.
→ Les chèques sont à libeller à l’ordre d’ALTRAN TECHNOLOGIES.
→ Les commandes ne seront honorées qu’après réception des règlements.
→ Le retour de la commande se fait dans un délai d’une semaine environ.
→ Les chèques ne sont encaissés qu’une fois l’envoi effectué.
Marion MOLITOR, Assistante de direction, est responsable des commandes « Réducs en Stock » chez
BERATA.
IRCOS
Au courant de l’année 2000, BERATA a adhéré à IRCOS (Association des Comités d’Entreprise d’Alsace).
Chaque salarié possède une carte IRCOS ainsi que les guides CEZAM régional et national et peut
bénéficier de réductions auprès d’établissement de la région (piscine, patinoire, loisirs aquatiques…).
Cette dimension locale vient en complément des « Réducs en Stock » du groupe ALTRAN.
MANIFESTATION BERATA
Chaque année, BERATA GmbH organise en juin juillet une manifestation de deux jours appelé
le « Mitarbeiter Tag » à laquelle est invité le personnel de BERATA Allemagne, BERATA Suisse et bien
sûr BERATA France.
C’est l’occasion idéale pour nouer des contacts avec les différents salariés de BERATA, tout en
participant à des activités sportives. Il s’agit là de véritables moments de détente et de convivialité,
nécessaire à la vie de groupe.
Elle se déroule chaque année à Böblingen en Allemagne au mois de décembre. Il s’agit également d’un
moment de partage chaleureux entre les membres des différentes unités du groupe BERATA.
DIVERS
D - Procédures internes
Le document vous permettant d'obtenir le remboursement des frais lors d’une mission se trouve sur le réseau
dans le répertoire "Servfile" et le sous-répertoire "Modèle_Proc".
Il est établi mensuellement et doit être remis au plus tard le 2 du mois M+1 pour les frais du mois M afin de
permettre un remboursement par virement au plus tard le 10 du mois M+1.
Pour chaque mission effectuée le même mois, il est impératif de remplir une note de frais différente.
a) Itinéraire
Dans la colonne "itinéraire", le lieu de départ (agence) et le lieu d'arrivée ainsi que le nom du client doivent
être notés.
Les trajets Berata à lieu de prestation sont remboursés d'après les distances calculées sur le site Erreur!
Signet non défini.. Ils sont précisés sur la fiche de mission qui est établie avant votre départ en prestation et
selon laquelle vous remplissez votre note de frais.
Pour des déplacements occasionnels (avant-vente, présentation chez un client…), il n'est pas établi de fiches
de mission. Dans ce cas, il y a lieu de joindre à la note de frais l'itinéraire calculé Erreur! Signet non défini.
pour évaluer la distance du trajet.
Pour les déplacements avec voiture personnelle, les indications concernant le véhicule (marque de la voiture,
type, nombre de chevaux) doivent être impérativement précisées dans la case prévue à cet effet. Il faut
également indiquer le kilométrage initial du véhicule en début de mois et le kilométrage final en fin de mois.
b) Frais de transport
Les frais sont à répartir dans les différentes colonnes en fonction de ce qui est défini dans la fiche de mission.
Si les remboursements se font sur justificatifs, ceux-ci doivent être obligatoirement joints.
Les frais de bus, tram, métro, avion, train sont à introduire dans la colonne "Autres frais de transport". Le
justificatif doit être joint.
c) Frais de séjour
♦ Chambre
La colonne chambre correspond à vos factures d'hôtel. Si vous réglez vos factures en fin de semaine, il est
préférable de saisir le montant à payer à la semaine sauf en cas de client différent.
♦ Frais de repas
Lorsque la fiche de mission prévoit un remboursement sur justificatifs, ceux-ci devront mentionner le détail des
consommations, le montant de la TVA, du HT et du TTC.
Tout justificatif indiquant par exemple : 1 repas = 11,45 € ne sera plus remboursé.
Une tolérance est acceptée : une note de frais avec justificatif (sans détail du repas) est acceptée jusqu’à
hauteur de 6€.
Si le justificatif non détaillé dépasse 6€, il faudra fournir un ticket de carte bancaire
Lorsque les justificatifs dépassent le montant pris en charge par BERATA (cf fiche de mission), le montant
figurant sur la note de frais doit être identique à celui de la fiche de mission. Parallèlement, le montant de la
TVA figurant sur la note de frais devra être calculé au prorata du montant remboursé par BERATA soit :
11,45 € 1,88 €
18,30 € 3,00 €
21,35 € 3,50 €
La TVA n'est pas récupérable pour les frais engagés lors de missions à l'étranger, et de ce fait, vous
saisissez uniquement le montant TTC dans la colonne TTC.
Cas particulier :
Les consultants en mission chez un client permettant l'accès à une cantine se verront dans l'obligation d’y
manger. BERATA prend en compte pour chaque repas :
- 1 entrée
- 1 plat
- 1 dessert
- 1 boisson
- 1 café.
Les consommations supplémentaires sont supprimées, et restent par conséquent à la charge du consultant.
♦ Frais de réception
Les frais de réception ne concernent que les déjeuners ou dîners où une tierce personne a été invitée (client,
personne en formation, candidat, prospect).
Le nom de la personne, sa fonction, et le nom de la société devront obligatoirement être inscrits sur le
justificatif.
♦ Frais exceptionnels
Les frais exceptionnels, non liés à la mission, comme l'achat de fournitures, de boissons, de livres etc. sont
soumis au préalable à la validation du manager et ne figurent pas sur la note de frais et sont remboursés
séparément sur présentation de la facture, libellée au nom de Berata et indiquant le montant de la TVA.
La colonne "Divers" est réservée aux dépenses engagées lors des missions : consigne bagages, téléphone.
3. CONSIGNES GENERALES
Ces modalités sont appliquées depuis le 1er février 2002. Toute note de frais ne
respectant pas ces consignes ne sera pas traitée donc pas payée.
En conséquence,
Toute note de frais non remise dans les délais impartis ne sera traitée que le mois suivant
Toute note de frais erronée ou dont les justificatifs viendraient à manquer pour tout ou partie sera bloquée
jusqu'à réception de la dite note de frais corrigée. L'Administration décline toute responsabilité dans la
communication de ces informations : il appartient au salarié d'effectuer toutes les vérifications nécessaires
avant remise des documents.
Aujourd’hui tous les restaurateurs n’ont pas la possibilité de fournir un justificatif détaillé (détail du repas,
boissons, etc…).
Afin d’être en conformité avec les règlements de l’URSSAFF (c.a.d. fournir un justificatif pour tout repas), les
points suivants ont été vus :
Le système de remboursement des frais mis en place au sein de la société BERATA France n’est pas remis
en cause.
Une tolérance est acceptée. A savoir qu’une note de frais sans justificatif (contenant le détail du repas et pas
seulement un repas pour x euros) sera acceptée jusqu’à hauteur de 6€.
Si une note de frais sans justificatif dépasse 6€, il faudra fournir un ticket de carte bancaire.
S’il y a dysfonctionnement la note de frais restera bloquée. Le(a) consultant(e) concerné(e) devra en discuter
avec Noëlle JACQUIER ou Frédéric BONNET
Une prochaine réunion aura lieu le 24 juillet 2002. Si vous avez des remarques, je vous propose de nous les
faire parvenir avant cette date
Nous utilisons un logiciel nous permettant de répertorier les livres de la bibliothèque, de gérer les emprunts et
les retardataires entre autres.
Ce logiciel est la "BCD" vous pouvez y accéder à partir de mon profil (mmolitor – mot de passe : af*71*)
Démarrer
Programme
La B.C.D
"La B.C.D"
Le plus simple ensuite est de prendre une autre fiche comme modèle pour utiliser la même présentation que
les autres.
Une fois la fiche créée, il suffit de prendre deux coins en plastique autocollant et de fixer la fiche sur la
première page du livre.
5. INFORMATIONS DOCUMENTAIRES
a) Historique du document
Evolution du document
Version Date Nom Motif Observation
5.0 2003 Marion Molitor MAJ Mise à jour du document.
6.0 10/12/2004 Arnaud Cuntzmann MAJ MAJ et modification en intégrant les nouveaux documents du SMQ.
6.2 06/02/2006 Arnaud Cuntzmann MAJ MAJ de l’organigramme suite au départ de FB
Signature Signature
Toute modification apportée au présent document doit donner lieu à une validation par le(s) responsable(s)
cité(s) ci-dessus.
b) Enregistrement et accès
Ce document est stocké au format pdf avec l’ensemble des documents du SMQ BERATA France, et accessible
à partir de l’intranet ( www.berata.fr à Extranet à Procédures et modèles).
Lors d’une mise à jour du document, le Responsable Qualité met à disposition la nouvelle version, et conserve
l’ancienne version dans un répertoire de sauvegarde.