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Dans ce passage je vais revenir sur le tableau 2 de l'acte 2.

J’aimerais être dans un premier temps


Revenir sur l'émotion que m'a laissé transparaître ce passage : de la colère Mais aussi de la pitié ! En
effet de la pitié pour Bérenger qui va subir sans broncher le caractère têtu de Jean tout au long du
tableau « Vous adorez me dire des choses désagréables. Et vous, vous êtes-vous Regardé ? ». Durant
tout ce passage, Ionesco fait comprendre à l'auteur Que Jean se transforme en rhinocéros pourtant,
Bérenger ne semble pas le remarquer, ni jean lui-même. Au fil de ce passage il devient de plus en
plus en colère, de plus en plus véhément et attaque à la fin Bérenger « Je te piétinerais, je te
piétinerais. ». Encore dans ce même passage, on découvre que la peau de Jean et de plus en plus
verte et que La bosse présente sur son nez s'est transformé en corne de rhinocéros « votre corne
s'allonge à vue d'œil !... Vous êtes rhinocéros ! ». Le passage qui est, pour moi, le plus drôle dans ce
passage, est le moment où Bérenger essaye de prévenir tout l'immeuble qu'il y a un rhinocéros à
l'intérieur, mais qu'il découvre que tous les habitants de l'immeuble sont des rhinocéros. «
concierge, concierge, vous avez un rhinocéros dans la maison, appelez la police ! Concierge ! (On voit
s'ouvrir le haut de la porte de la loge de la concierge; apparaît une tête de rhinocéros) Encore un !
(Bérenger remonte à toute allure les marches de l'escalier. Il veut entrer dans la chambre de Jean,
hésite, puis se dirige de nouveau vers la porte du Petit Vieux. À ce moment la porte du Petit Vieux
s'ouvre et apparaissent 2 petites têtes de rhinocéros.) Mon Dieu ! Ciel ! »

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