Ch3 : Dualité

Tanger

Nador

Kénitra
Marrakech

Agadir

Laayoune
 à Agadir à Rabat

A B Disp

M1 2 3 600

M2 2 1 400

M3 1 1 225

Profit 300 200

à Agadir à Rabat

A B
à Agadir à Rabat
à Agadir à Rabat
 Primal Dual
(Dual) (Primal)
Problème de maximisation Problème de minimisation
Signe de la variable : Type de la contrainte
0 
0 
libre =
Type de la contrainte Signe de la variable
 0
 0
= libre
Max 3X1 + 2X2 – 2X3 + 4X4
s/c
2X1 + 5X2 + 2X3 + 3X4 ≥ 100 U1
3X1 – 6X2 + 8X3 + 2X4 ≤ 200 U2
4X1 + 7X2 - 3X3 - 9X4 = 50 U3
X1 ≥ 0 X2 ≤ 0 X3 libre X4 ≥ 0
Min 100U1 + 200U2 + 50U3
s/c
2U1 + 3U2 + 4U3 ≥ 3 X1
5U1 - 6U2 + 7U3 ≤ 2 X2
2U1 + 8U2 - 3U3 = -2 X3
3U1 + 2U2 - 9U3 ≥ 4 X4
U1 ≤ 0 U2 ≥ 0 U3 libre
Théorèmes de dualité
Lemme 1 :

(P) (D)
Corollaire 1 :
Lemme 2 :

Supposons que (P) ait un optimum de valeur finie.

Soit * le vecteur des multiplicateurs du simplexe

associé à une solution optimale de base x* de (P).

Alors

* est une solution réalisable de (D) et cx* = *b;

* est donc une solution optimale de (D).
Théorème 5 :

a. Si un des problèmes (P) ou (D) n'est pas borné,

le domaine réalisable de l'autre est vide.

b.Si (P) et (D) ont des solutions réalisables, ils ont

tous les deux des solutions optimales et
z*= Max(P) = Min(D) = w*
(P) (D)

Théorème 6 :
Soient et deux solutions réalisables pour les
problèmes (P) et (D) respectivement.

et sont optimales si et seulement si, pour tout

j = 1,2, …. , n :
(P’) (D’)

Théorème 7:
Soient et deux solutions réalisables pour les
problèmes (P) et (D) respectivement.
et sont optimales si et seulement si,
– pour tout j = 1,2, …. , n :

– pour tout i = 1,2, …. , m :

 Solution optimale Agadir
1 1 -4 100
0 1 -1 50
0 1 -2 175
0 -100 -100 -62500

à Agadir à Rabat
Méthode primale du simplexe
A une itération du Simplexe, soit B une base
réalisable et x* la solution correspondante. Si
on prend comme solution du problème dual

on aura

u* serait alors optimale si

Interprétation des coûts réduits
Interprétation des variables duales
Considérons le problème de P.L. suivant :

(P)

Supposons que (P) admet une solution optimale.

A chaque élément i du vecteur b, ajoutons
une "petite" quantité vi ( < 0, = 0 ou > 0); b
 b’ = b + v

Supposons que B reste optimale

si v = ei