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LE CONCEPT D’ENTITÉ

FINANCIÈRE
INTRODUCTION

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LES PRINCIPAUX
CRITÉRES DE
DEFINITION

LA GESTION
STRATEGIQUE DU
PERIMETRE

Sommaire TYPOLOGIE DES


STRATEGIES
CONJOINTES

TYPOLOGIE DES
ALLIANCES
STRATEGIQUES

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CHAPITRE 1

LES PRICIPAUX CRITERES


DE DEFINITION

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Critère organisationnel

Critère juridique Indépendamment de tout


Dans ces exemples, c’estcontrôle
le
financier,
critère organisationnel qui E/ses
les relations entre
C’est en général le 1er critère qui juridiquement
prédomine, sousautonomes peuvent
des aspects
vient à l’esprit pour définir une être organisées avec
essentiellement une
logistiques et
E/se en tant qu’entité. L’E/se a une permanence suffisamment
informationnels: la répartition et
Critère financier existence légale, un statut juridique importante
la coordination des l’on
pour que puisse
tâches
précis définir une autre
s’effectuent formecentralisée
de façon d'entité : le
Quand une société exerce un réseau
contrôle financier sur d’autres • En ce qui concerne les éléments
sociétés, c’est au niveau du matériels
groupe ainsi constitué qu’il • En ce qui concerne les
faut raisonner, en établissant personnes
des comptes consolidés qui
vont donner l’image de la
situation financière
d ’ensemble 5
CHAPITRE 2

LA GESTION
STRATEGIQUE DU
PERIMETRE

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TITRE
LES PROBLÈMES À
RÉSOUDRE • Effectuer directement ce contrôle par la voie
hiérarchique

Ce qui caractérise une entité, c ’est le fait • Décentraliser en interne au sein de la même entité
qu’elle constitue une zone d’influence sur laquelle juridique
un centre stratégique peut exercer son pouvoir de • Externaliser dans une entité juridique autonome,
décision. Concrètement, cet exercice de pouvoir tout en conservant le contrôle par le biais financier
concerne; (filiale)
• L’étendue de la chaine de valeur sur laquelle • Confier la tache à un partenaire extérieur,
l’entité veut exercer son activité juridiquement et financièrement indépendant ( sous-
• Le mode de contrôle sur les activités traitance, concession)

• Partager le contrôle avec un allié, en gérant


conjointement un programme de coopération

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LES MANŒUVRES
STRATÉGIQUE
D’INTÉGRATION ET
D’EXTERNALISATION
Du centre cers la périphérie : filialisation, conclusion
d’un contrat de sous-traitance, vente.

A un moment donné, l’ensemble des décisions


stratégiques antérieures concernant la gestion du
périmètre associé à la chaine de valeur se traduit
par une centaine configuration concentrique de
l’entité
Des manœuvre stratégique vont pouvoir être
décidées: De la périphérie vers le centre: fusion-absorption,
rachat, prise de contrôle

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L’APPROCHE PAR LES COUTS TRANSACTIONS

1 Soit passer un contrat avec une autre entreprise


dans le cadre du droit commercial classique, 2 Soit prendre en charge directement le marketing
des produits, en mettant en place une structure
c’est-à-dire passer par le marché T commerciale

Ces différentes possibilités n’entraînent pas du tout les mêmes types de coûts. A la passation de ces contrats
est associée la notion de couts de transaction, engagés du fait de la négociation de contrats commerciaux. Il faut
approcher les tiers concernés, négocier, convaincre, assurer le suivi des contrats, et surtout affronter les
contentieux qui ne manqueront pas de naître du fait de la réalisation imparfaite des contrats ou de la mauvaise
foi des contractants.
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L’APPROCHE THÉORIQUE DU CHOIX DE
MANOEUVRE

L’APPROCHE PAR LES COUTS D’AGENCE

Par contre, si on décide de faire directement et de mettre en place une


organisation hiérarchique, on supprime les coûts de transaction mais
on augmente les coûts d’agence c’est a dire es couts d’organisation,
d’administration et de contrôle. Plus l’entreprise grandit et plus elle
incorpore de fonctions(étendue de la chaine de valeur et du périmètre
de l’entité) plus ces fondés de pouvoir sont nombreux et puissants

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CHAPITRE 3

TYPOLOGIE DES
STRATEGIES
CONJOINTES

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Le Critère économique

Les stratégies conjointes peuvent tout


d’abord être différenciées en fonction
des objectifs économiques.

Les stratégies d’optimisation Les stratégies de développement

L’objectif des E/ses qui coopèrent L’objectif est de se lancer dans


dans un projet commun n’est pas nouvelle activité que chacun des
développer une nouvelle activité mais membres aurait beaucoup de mal a
de mieux organiser l’activité existante développer seul
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Les stratégies génériques

La collaboration peut allez beaucoup plus loin et se


Le Critère Juridique traduire par la création d’une entité nouvelle, pouvant
prendre la forme par exemple d’une filiale commune,
d’une coopérative

Deux les stratégies conjointes peuvent Les stratégies contractuelles


également être différenciées du point de vue des
modalités juridique permettant d’organiser, de
c’est par la conclusion d’un contrat spécifique,
mettre en œuvre la coopération particulier adapté a l’objet de la collaboration, que le se
réalise. Chaque E/se reste une entité juridique
autonome et il n’a pas de création d’une nouvelle
entité.
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Le Croisement Des Critères Économiques Et
Juridiques
STRATÉGIE STRATÉGIE DE
D’OPTIMISATION DÉVELOPPEMENT

STRATÉGIE Stratégie d’impartition Stratégie de collaboration


CONTRACTUELLES partenariale

STRATÉGIES GÉNÉRIQUE Stratégie quasi syndicales Stratégie d’intégration

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CHAPITRE 4

TYPOLOGIE DES
ALLIANCES
STRATEGIQUES

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LES PARTENARIATS ENTRE
FIRMES NON
CONCURRENTES
Les accords intersectoriels
on part de l’idée qu’à partir de la situation actuelle, une
E/se peut prendre 3 grandes orientations stratégiques
• La diversification
• L’intégration verticale Les partenariats verticaux
• L’internationalisation

Ces 3 grandes orientations stratégiques. Dans cette


optique, nous distinguons: Les joint ventures de multinationalisation

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Les alliances Les alliances de co- Les alliances de pseudo-
complémentaires intégration concentration

Les Alliances Stratégique Trois formes d’alliance peuvent être distinguées . Si les actifs ou les
compétences apportées par les E/ses alliées sont différents on parle d’alliance
Entre Firmes Concurrentes complémentaire
Dans le cadre contraire si les compétences apportées sont similaires on parle des
alliances de co-intégration, et de pseudo-concentration
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TITRE

Conclusion

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MERCI

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