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III- Florence, un centre de la renaissance artistique

A) Bien qu'il n'occupe qu'une petite partie de la péninsule italienne et qu'il soit très important Avec seulement 50 000
habitants, Florence a une grande influence sur l'Europe. La première Renaissance italienne s'appelait Quattrocento. Directeur
Laurent de Médicis La République de Florence pendant près de 20 ans. Son gouvernement est la principale raison L'apogée de
l'économie et de la culture des villes italiennes. Il est mécène, est Lié à la prospérité culturelle* de la Renaissance. Il met en
œuvre une politique systématique* et Exporter le plus grand artiste et génie d'Italie, le surnom "magnifique" de Laurent
Magnifique (ou Laurent le Magnifique), à ​cause de sa générosité et du fait qu'il protège L'artiste, entouré d'un groupe de lettrés
talentueux "Zuo Botticelli, Leonardo Vinci, Michelangelo ou Giuliano da Sangallo ont utilisé leurs talents ailleurs et se sont
répandus Tous les cours sont leur innovation. Il est la fois référence du bon gout et habile maitre de l’art
au service de sa politique. La Florence médicéenne impose au cœur de la civilisation de la
Renaissance, parce que la circulation des artistes consacre les alliances politiques. C’est
ainsi que Laurent le magnifique fait de Florence une capitale de la renaissance italienne.
B)
1- Florence était à la fin du Quattrocento* en pleine métamorphose. Elle était en plein
essor économique et était l’épicentre de la culture et de l’art. Le mécénat de Laurent le
Magnifique, a marqué un tournant important dans l’histoire de l’art. Il gouvernait sans se
comporter en despote et a fait de la ville un foyer intellectuel et artistique de premier plan,
une puissance politique majeure. Maître d’une cité pacifiée, Laurent le Magnifique se vouait
aux arts.
« Désolé par la mort de Simonetta, Laurent trouva dans la poésie et à la philosophie non pas
l’oubli mais la force d’accepter une fin aussi injuste » – page 211 lignes 16 et 17.
« Comme la plupart des villes Florence à une odeur. Antonello l’a reconnu tout de suite en
franchissant le petit pont qui menait à la forteresse de Basso d’où il admira la cité agglutinée
aux rives de l’Arno. Cette exhalaison qui chatouillait ses narines c’était celle de la laine brute
lavée dans le fleuve celle de la Via Calimala » - page 154 dernier paragraphe.
« Antonello remerciait encore son ami lorsqu’ils arrivèrent devant l’imposante masse du
Palazzo Medici bâti en bossages d’aspect rustique et lorsque l’on y regardait de plus près,
savamment martelé. Les ouvertures protégées par d’épais quadrillages forgés que les plus
riches banquiers d’Europe, maîtres absolus de Florence par surcroît, entendaient se faire
respecter. » -page 156 dernier paragraphe.
« Forteresse à l’extérieur le palais devenait aimable, et accueillant à l’intérieur, avec sa cour
carrée aux arcades ornées de médaillons antiques. Partout des statues, des sarcophages
montraient que les maitres des lieux aimaient les antiques » - page 157 premier paragraphe .
2-
1-Premièrement se rendre aux Fresques dans la chapelle des
Mages dont la Procession des Rois Mages vers Bethléem
de Benozzo Gozzoli – Galerie Médicis – Riccardi p 156.
2- Ensuite au David en bronze de Donatello – p 157
Initialement au palais Médicis en 1453, puis
transférée en 1495 aux cortiles du Palazzo Vecchio, elle est
conservée et exposée
maintenant au palais du Bargello de Florence.
3- Poursuivre par Le baptême du Christ, page 194, tableau
commencé par Andrea del Verrocchio et
achevé par Léonard de Vinci entre 1472 et 1475, exposé à la
Galerie des Offices
de Florence (Uffizi).
4- Après aller à la Chapelle des Médicis, qui contient les
tombeaux des Médicis, sculptés par Michel-Ange,
celui des deux frères, le duc d'Urbin, Laurent II de
Médicis et le duc de Nemours Julien de
Médicis, et leur sarcophage commun.
5-L’Annonciation p 185 d’Andréa Del Verrocchio, tableau de
atelier de Verrocchio, attribué
à Léonard de Vinci et exposé à la Galerie des Offices
de Florence.
6-L’Adoration des mages, page 224, 226, est un tableau
inachevé de Léonard de Vinci. Il
est exposé à la galerie des Offices de Florence.
7- Pour finir se rendre aux Fresques du chœur de Santa
Maria Novella par Domenico Ghirlandaio, page 270.

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