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Survivalisme 1
Science-fiction post-apocalyptique 4
Liste des œuvres de science-fiction post-apocalyptique 9
Liste de films post-apocalyptiques 19
Mad Max 30
Mad Max 2 34
Mad Max : Au-delà du dôme du tonnerre 37
Waterworld 40
Postman 42
Le Facteur (roman) 45
Références
Sources et contributeurs de l’article 47
Source des images, licences et contributeurs 48
Survivalisme
Le survivalisme est un terme qui désigne les méthodes utilisées par certains groupes ou individus qui veulent se
préparer à une hypothétique catastrophe locale ou plus globale dans le futur, voire une interruption de la continuité
sociétale ou civilisationnelle au niveau local, régional, national ou mondial. Les survivalistes se préparent en
apprenant des techniques de survie et des rudiments de notions médicales, en stockant de la nourriture, en
construisant des abris, ou en apprenant à se nourrir en milieu sauvage. Le survivalisme est devenu une sous-culture
présente dans le cinéma, la littérature ou la bande-dessinée.
Origines et historique
Dans les années 1960, aux États-Unis, l'inflation et la dévaluation ont
incité certaines personnalités à conseiller aux populations de se
préparer. En 1967, un architecte, Don Stephens commença à
populariser l'idée d'un nécessaire de survie.
Au cours des années 1970, au début de la crise pétrolière de 1973, un
livre de Howard Ruff "Famine et survie en Amérique" diffusait
l'information que différents métaux précieux, dont l'or, avaient plus de
valeur et devaient être favorisés dans le cas d'un imminent
effondrement économique. De nombreux livres de "survie" furent
publiés à la suite de celui-ci, dont celui de Kurt Saxon qui décrivait les
méthodes des pionniers du XIXe siècle. C'est Saxon qui utilisa le terme
"survivaliste" le premier et qui prétend l'avoir inventé[1] . Par la suite,
des auteurs comme Mel Tappan ("personal survival letter") publièrent
des ouvrages sur le même thème.
Dans les années 1980, John Pugsley publia La Stratégie Alpha[2] qui
Survival Under Atomic Attack, une publication
fut un best-seller et considéré encore aujourd'hui comme une référence
officielle des années 1960 aux É-U
parmi les survivalistes américains[3] ,[4] . Le livre Life After Doomsday
de Bruce Clayton apparaît à cette période de course à l'armement
nucléaire.
Dans les années 1990, le bogue de l'an 2000 a redonné une seconde vie au courant survivaliste.
L'événement du 11 septembre 2001 et la guerre contre le terrorisme a ravivé la crainte d'un désastre imminent avec
autant de force qu'à son origine dans les années 1960 et 1970. Le Tsunami de décembre 2004 a accentué le
phénomène ainsi que la crise financière de 2007-2009.
Plus récemment, le besoin pour des citoyens moyens, prévoyants[5] , de se distancier des connotations sectaires,
extrémistes[6] , et/ou ultra-individualistes[7] qui collent au survivalisme, en particulier aux Etats-Unis, a donné
naissance au terme "prepper" (de prepping[8] : diminutif informel de "se préparer"). Ainsi des réseaux de "preppers"
ont vu le jour au Canada et au Etats-Unis (ex.: American Preppers Network[9] ). Ces développements ont conduit
Gerald Celente, le fondateur du « Trends Research Institute », parfois appelé le Nostradamus américain, à relever
comme tendance pour 2010 et les années à venir, l'émergence de ce qu'il appelle le Neosurvivalisme. Il définit ce
phénomène dans une interview[10] accordée à Jim Puplava[11] le 18 décembre 2009 :
"(...) Quand on remonte aux derniers jours déprimants où nous étions dans un "mode survie", les plus récents, Y2K
(le bogue de l'an 2000) bien sûr, et avant ça les années '70, la seule chose que l'on voyait était seul un élément du
survivalisme : la caricature, le gars avec son AK-47, se dirigeant vers les collines avec assez de munition, de porc et
de haricots pour traverser la tempête. Le Neosurvivalisme est très différent de ça. On observe des citoyens ordinaires,
Survivalisme 2
prenant des initiatives futées, se diriger dans un sens intelligent afin de se préparer au pire. (...) Il s'agit donc d'un
survivalisme de toutes les façons possibles : cultiver soi-même, être auto-suffisant, faire autant que possible pour se
débrouiller aussi bien que possible par soi-même. Et cela peut se faire dans des zones urbaines, semi-urbaines ou à la
campagne. Cela veut dire également : devenir de plus en plus solidement engagé avec ses voisins, son quartier.
Travailler ensemble et comprendre que nous sommes tous dans le même bain. Le meilleur moyen d'avancer c'est en
s'aidant mutuellement.(...)"
Ce sont la prise de conscience des défis à venir par un grand nombre de gens issus de tous les horizons, leur
disposition à prendre des mesures pro-actives (simples pour les uns et plus radicales pour les autres) afin de s'en
prémunir, et ceci dans un esprit de communauté, qui ont donné naissance au Neosurvivalisme.
Perspective religieuse
Le survivalisme est parfois relié à des croyances religieuses diverses. Le courant New Age a mis en exergue la
menace d'un changement climatique sur notre planète. Certaines Églises évangéliques ont une interprétation de la
Bible connue sous le nom de temps de la grande tribulation et annonçant des événements auxquels il faudrait se
préparer. L'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours a donné la consigne aux familles de stocker de la
nourriture[12] . La prédiction d'un changement radical en décembre 2012, issue d'une interprétation du calendrier
maya, a ravivé également les préparatifs des survivalistes religieux.
La littérature survivaliste
• Ravage de René Barjavel (1943)
• Je suis une légende de Richard Matheson (1954)
• Soleil vert de Harry Harrison (1966)
• Les survivants de Paul Piers Read (1973)
• Malevil de Robert Merle (1972)
• Le Facteur de David Brin (1985)
• La Route de Cormac McCarthy (2008)
Références
[1] http:/ / www. textfiles. com/ survival/ whatsurv
[2] Alpha Strategy (http:/ / www. biorationalinstitute. com/ zcontent/ alpha_strategy. pdf)
[3] http:/ / www. survivalblog. com/ 2008/ 04/ time_for_retreat_logistics_sta. html
[4] http:/ / www. survivalblog. com/ 2007/ 12/ coping_with_inflationsome_stra. html
[5] Hard times have some flirting with survivalism, MSNBC.com, 21/10/2008, Kari Huus (http:/ / www. msnbc. msn. com/ id/ 27244465/ )
[6] Survivalist or Prepper (http:/ / www. thesurvivalistblog. net/ uncategorized/ are-you-survivalist-or-prepper/ )
[7] Duck and Cover: It's the New Survivalism, New York Times, 6/4/2008, Alex Williams (http:/ / www. nytimes. com/ 2008/ 04/ 06/ fashion/
06survival. html?_r=1& oref=slogin)
[8] prepping (http:/ / www. thefreedictionary. com/ prepping)
[9] American Preppers Network (http:/ / www. americanpreppersnetwork. com/ )
[10] Interview Celente (http:/ / www. youtube. com/ watch?v=D9cPNu6tUjg)
[11] Puplava (http:/ / en. wikipedia. org/ wiki/ Jim_Puplava)
[12] Provident Living (http:/ / providentliving. org/ channel/ 0,11677,1706-1,00. html)
• (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Survivalism
(http://en.wikipedia.org/wiki/En:survivalism?oldid=) » (voir la liste des auteurs (http://en.wikipedia.org/wiki/
En:survivalism?action=history))
Science-fiction post-apocalyptique 4
Science-fiction post-apocalyptique
Le post-apocalyptique (parfois abrégé en « post-apo » ou « post-nuke ») est un sous-genre de la science-fiction qui
dépeint la vie après une catastrophe ayant rasé la civilisation : guerre nucléaire, collision avec une météorite,
épidémie, crise économique et énergétique, etc.
Parfois utilisé simplement pour ses aspects ultra-violents, le post-apocalyptique repose sur un délicat équilibre entre
une civilisation perdue et un chaos naissant. Il met en scène une confrontation de la réalité sociale (négociable,
relative, corrompue, de servitude et dépassant l'échelle d'un seul homme) à la dure réalité physique (immédiate,
intraitable, libre, individuelle). C'est à la fois la fin du monde et un nouveau départ. Une contradiction pleine de
richesse qui permet de développer un discours original sur le monde réel.
Le post-apocalyptique se distingue des fictions de catastrophe (film catastrophe), qui mettent en scène le cataclysme
lui-même.
Le genre post-apocalyptique
Les œuvres post-apocalyptiques se déclinent de façon assez vaste, mais
on retrouve une forme commune (l'esthétique post-apocalyptique) et
des thèmes très souvent abordés (le fond).
L'esthétique
Dans la multitude d'œuvres post-apocalyptiques, deux critères
essentiels se retrouvent à chaque fois :
• La société a été détruite
• Les protagonistes vivent dans les vestiges de l'ancienne civilisation.
Ces deux critères autorisent également un large panel de situations. La
plupart des œuvres offrent une vision où la société est détruite, ses
valeurs oubliées ou bafouées, et 90 % de l'humanité a disparue ; c'est le
cas des films classiques tels que Mad Max 2 ou A boy and his dog.
Mais d'autres auteurs privilégient un monde plus ambigu et plus proche La crainte de la guerre nucléaire a donné
du nôtre, où des sociétés ont été reconstruites, avec des lois et des naissance au genre Post-Apocalyptique
règles (le premier Mad Max, ou la bande dessinée Jeremiah) ou même
des situations identiques aux nôtres, où seule l'autorité centrale de l'état a disparu (Jericho). Les « vestiges de
l'ancienne civilisation » vont de la ville intacte de Jericho aux détails ensevelis de La planète des singes. Les deux
décors les plus représentés sont le désert et la ville en ruine ou abandonnée. Les survivants vivent parfois au milieu
de vestiges technologiques sans les comprendre (Niourk), et souvent les utilisent de façon détournée.
Science-fiction post-apocalyptique 5
Le choix du type d'apocalypse, finalement un détail secondaire, est également intéressant car il reflète les craintes de
la société à l'époque ou l'œuvre a été conçue, au même titre que les films catastrophe. La crainte du nucléaire pendant
la guerre froide, les catastrophes écologiques ou industrielles dans les années 1980, la pandémie dans les années
1990, tandis que les années 2000 semblent craindre les catastrophes naturelles ou les actes de terrorisme à grande
échelle.
L'apocalypse nucléaire
L'humanité s'est autodétruite dans une guerre impliquant des armes de
destruction massive. C'est l'apocalypse la plus classique : le genre
post-apocalyptique est né pendant la guerre froide, où la peur d'une
guerre totale qui détruirait la terre a engendré de nombreuses œuvres.
On notera de cette époque La Planète des singes[1] et ses suites, A Boy
and His Dog, Malevil en France, Le Jour d'après (1983), etc. Après
1986, Tchernobyl relancera la crainte du nucléaire et la production du
genre.
L'apocalypse « naturelle »
Dans ce type d'apocalypse, ce sont les éléments naturels qui sont responsables de la disparition de l'humanité :
éruption de volcan (la saga Dragon Head), prédominance des océans (le film Waterworld), tsunami géant (le jeu de
rôle Cendres), collision d'un astéroïde avec la terre (le manga 7 Seeds), etc... Ces catastrophes reflètent les
cataclysmes réels et les craintes de notre époque.
Certaines œuvres envisagent un changement climatique en conséquence directe de l'action de l'homme sur la nature.
La glaciation était souvent utilisée dans les années 80, (la bande dessinée Le Transperceneige, les romans La
Compagnie des glaces, la bande dessinée Neige), tandis qu'aujourd'hui les auteurs s'appuient aussi sur la crainte de la
désertification (le jeu vidéo The Fall: Last Days of Gaia) ou celle d'une tempête mondiale et incontrôlée (le film Le
Jour d'après (2004)).
Certaines catastrophes naturelles possibles et peu connues (passage du système solaire dans un nuage de poussières
qui atténuerait la lumière solaire nous parvenant, éruption solaire un peu plus forte que les autres qui « grillerait »
l'intégralité des appareils électroniques de la planète) peuvent donner lieux à des effets comparables à ceux de
l'apocalypse nucléaire classique (respectivement hiver non-nucléaire et IEM ici).
Science-fiction post-apocalyptique 7
L'apocalypse biologique
Une des fins possibles de l'humanité serait l'apparition d'une pandémie
qui décimerait l'espèce humaine en très peu de temps. Plus traitée en
film catastrophe[2] qu'en post-apocalyptique, on trouve cependant le
livre de Richard Matheson publiée en 1954, Je suis une légende, où
une bactérie infecte l'humanité tout entière et la transforme en créatures
proches des vampires (sans doute l'un des premiers romans du genre).
On notera également Le Fléau (roman) de Stephen King, ou plus
récemment le film 28 Jours plus tard où les hommes sont infectés par
une maladie inconnue et se transforment en créatures enragées qui
s'attaquent violemment aux individus "sains".
Une pandémie, l'une des grandes peur de
l'humanité, ressentie par beaucoup comme l'une
L'apocalypse industrielle ou militaire des causes les plus probable d'apocalypse.
L'apocalypse sociale
La chute de la société peut simplement être due à l'effondrement des liens sociaux, à une ruine économique massive,
un épuisement des ressources naturelles qui amène une asphyxie de la société, ou à des affrontements interethniques
ou religieux (Jeremiah, Simon du Fleuve ou Hombre). Sans doute une des apocalypse les moins violentes, les
conflits sont partout mais à l'échelle de la ville : le peuple contre l'autorité, résurgence des comportements égoïstes,
etc. Dans ces cas là, la société telle que nous la connaissons disparait peu à peu, en quelques années, sans
nécessairement de guerre ou conflit majeur.
Plus lente et moins spectaculaire, la fin de l'humanité peut également être due à l'impossibilité pour l'homme de se
reproduire (Les Fils de l'Homme). Elle peut être due à un phénomène qui stérilise hommes et/ou femmes (Les
hommes frénétiques) ou tout simplement à la mort de tous les représentants de l'un ou de l'autre sexe (le Dernier
Combat). La population, qui ne cesse de vieillir, se laisse lentement gagner par le désespoir, et peut sombrer dans la
violence pour un baroud d'honneur, ou au contraire devenir sage et passer ses dernières années à acquérir le bonheur
qu'elle n'a pas réussi à atteindre du temps de son apogée, ce que suggère Alan Weisman dans Homo disparitus.
Science-fiction post-apocalyptique 8
L'apocalypse zombie
L'invasion de zombies est parfois l'une des causes de la fin du monde,
qu'elle soit provoquée par un virus, des mutations radioactives, ou tout
simplement inexpliquée.
Peu de films de zombies sont également post-apocalyptiques. Le sujet
fait débat, du fait de la proximité des films de survival horror et des
films de post-apocalypse, mais on conviendra que dans les œuvres
concernées :
• l'invasion est globale (ou au moins à l'échelle d'un pays)
• les survivants sont seuls, ou rencontrent des groupes autonomes (la
police et l'armée ont disparu)
En effet, la disparition de la société et donc de l'État est un prérequis à
la situation de post-apocalypse. Par exemple, les deux premiers films
Resident Evil ne sont pas post-apocalyptiques, parce que l'infection
zombie ne concerne que la ville, et que le gouvernement et la police
sont toujours en place (en dehors de la ville). Dans Resident Evil :
Extinction, au contraire, l'humanité et la société ont intégralement
disparu, faisant du film une œuvre post-apocalyptique. Les œuvres où Une meute de zombies assoiffés de sang. Le mal
se transmet par morsure et se propage rapidement
l'action est très locale et qui ne donnent pas d'informations sur la
à l'ensemble de la population.
situation globale (jeux Left 4 Dead ou Hordes) ne permettent pas de
trancher sur le caractère post-apocalyptique. La classification reste
donc à l'appréciation de chacun.
Parmi les œuvres de zombies post-apocalyptiques, on notera 28 Jours plus tard, une partie des films de Romero[3] ,
la bande dessinée The Walking Dead, ou le roman World War Z.
Voir aussi
• Apocalypse
• Survivalisme
Notes et Références
[1] On notera que le roman originel de Pierre Boulle ne parle pas d'apocalypse nucléaire, la prise de pouvoir des singes restant un mystère. C'est
bien le film de 1968 qui amène ce paramètre pour choquer les consciences.
[2] La mort blanche de Frank Herbert, les films L'Armée des 12 singes ou Doomsday, s'intéressent plus à la gestion de l'épidémie et la
désagrégation de la société qu'à la vie après la disparition de l'humanité.
[3] Notamment Dawn of the Dead et son remake, ou Land of the Dead
Liste des œuvres de science-fiction post-apocalyptique 9
Romans post-apocalyptiques
• À chacun ses dieux (1973), Clifford D. Simak
• A comme Alone (2005), Thomas Geha
• Alas,Babylon (1959), Pat Frank
• Des anges mineurs (1999), Antoine Volodine
• Armageddon (2005), Robert Rankin
• L'Aube du Visiteur (2005), Sheri S. Tepper
• La trilogie de L'Autoroute sauvage (1976), Gilles Thomas, alias
Julia Verlanger
• L'Autre Moitié de l'homme (1975), Joanna Russ
• La série Autumn, David Moody
• La Vérité avant-dernière, (The Penultimate truth), 1964, Philip K. Dick
• L'Aveuglement ( 1995 ) Jose Saramago
• Barbe-Grise (1964), Brian Aldiss
• Barrière mentale (1954), Poul Anderson
• The Big O: Paradigm Noise (2003), de Hiroki Taniguchi
• Blue (1982), Joël Houssin
• Brother in the Land (1984), Robert Swindells
• By the waters of Babylon (1937), Stephen Vincent Benét
• Quadrilogie Câblé (1986-1991), Walter Jon Williams
• Canyon Street (1978), Pierre Pelot
• Les Cavernes du Sommeil, Richard Cowper
• Cellulaire (Stephen King) ("Cell",2006), Stephen King
• Les Chaînes de l'avenir (1956), (The World Jones made), Philip K. Dick
• Le Cheval roux (1953), Elsa Triolet
• Chroniques du Pays des Mères (1992), Elisabeth Vonarburg
• Ciel brûlant de minuit (1995), Robert Silverberg
• Cité de la mort lente (2005), Daniel Walther
• La Cité et les Astres (1956), Arthur C. Clarke
• La trilogie:La cité surgie des cendres, Ceux qui viennent du ciel et Dernier espoir, Geoffrey Legrand
• City (1983), Joël Houssin
• La série La Compagnie des glaces (1982-2001), Georges-Jean Arnaud
• La Couronne de fer (roman) (2006), André Caroff
• CyberPan (2003), Fabrice Colin
• Cygnis (2010), Vincent Gessler
• Dans les larmes de Gaïa (2003), Nathalie Le Gendre
• Cygnis, L'Atalante, La Dentelle du cygne, mars 2010[1] .
• La série Deathlands (1986-2007), Christopher Lowder et Laurence James (sous le pseudonyme de James Axler),
non traduite en français
• Demain les chiens,("City", 1944),Clifford Donald Simak
Liste des œuvres de science-fiction post-apocalyptique 10
Livre-jeu post-apocalyptique
• Le Combattant de l'autoroute (1985), Ian Livingstone
Films post-apocalyptiques
Voir l’article Liste de films post-apocalyptiques
Chansons post-apocalyptiques
• Computers don't blunder du groupe punk-rock The Exploited
• Plus rien des Cowboys Fringants
• Rose clouds of Holocaust du groupe néofolk-rock Death in June
• plusieurs titres du groupe Nuclear Assault
• Fais attention. du groupe punk-rock Oberkampf
• Casi el silencio du groupe Matmatah
• 28 ans plus tard, tirée de Coup de grisou de Redbong
• les chansons du groupe Space Jahourt
• Armageddon Le Peuple de l'Herbe
• Il y avait une Ville Claude Nougaro
Notes et références
[1] L'Atalante, « Cygnis, Vincent Gessler (http:/ / www. l-atalante. com/ catalogue/ la_dentelle_du_cygne/ cygnis/ 48/ 653/ vincent_gessler/
detail. html) ». Consulté le 27 mars 2010
Liste de films post-apocalyptiques 19
28 Semaines plus tard 28 Weeks Later Juan Carlos Fresnadillo 2007 Royaume-Uni
2019 après la chute de New York 2019 - Dopo la caduta di New Sergio Martino 1983 France
York Italie
[1] 2020 Texas Gladiators Anno 2020 I Gladiatori Del Joe D'Amato 1983 Italie
Futuro
After the Apocalypse After the Apocalypse Yasuaki Nakajima 2004 États-Unis
Against the Dark Against the Dark Richard Crudo 2009 États-Unis
A.I. Intelligence artificielle Artificial Intelligence: A.I. Steven Spielberg 2001 États-Unis
[4]
Apocalypse 2024 A Boy and His Dog L.Q. Jones 1975 États-Unis
Apocalypse and the Beauty Apocalypse and the Beauty Thomas Smugala 2005 États-Unis
Queen Queen
[7] Apocalypse Warriors: Raiders of Apocalypse Warriors: Raiders of Cirio H. Santiago 1992 Philippines
the Sun the Sun
Armée des morts, L' Dawn of the Dead Zack Snyder 2004 États-Unis
Battlefield Earth - Terre champ Battlefield Earth: A Saga of the Roger Christian 2000 États-Unis
de bataille Year 3000
Beach Party at the Threshold of Beach Party at the Threshold of Jonny Gilette 2006 États-Unis
Hell, The Hell, The Kevin Wheatley
Beyond the Grave Porto dos Mortos Davi de Oliveira Pinheiro 2009 Brésil
Bunker de la dernière rafale, Le Le Bunker de la dernière rafale Marc Caro 1981 France
Jean-Pierre Jeunet
Liste de films post-apocalyptiques 21
Challenge, The Kampfansage: der letzte Schüler Johannes Jaeger 2005 Allemagne
? Château dans le ciel, le Tenkū no Shiro Rapyuta Hayao Miyazaki 1986 Japon
Chevalier du monde perdu, Le I Predatori dell'anno Omega David Worth 1983 Italie
États-Unis
Le Cimetière des voitures Le Cimetière des voitures Fernando Arrabal 1983 France
Circuitry Man 2: plughead Circuitry Man 2: plughead Robert Lovy 1994 États-Unis
[9]
rewired rewired Steven Lovy
Crazy Thunder Road Kuruizaki sanda rodo Sogo Ishii 1980 Japon
Creation of the Humanoïds, The Revolt of the humanoïds Wesley Barry 1962 États-Unis
Cries of Ecstasy-Blows of Death Cries of Ecstasy-Blows of Death Lorenzo Onorati 1984? Italie
Cyborg 3: The Recycler Cyborg 3: The Recycler Michael Schroeder 1994 États-Unis
Day of the Dead Day of the Dead Steve Miner 2007 États-Unis
Day the World Ended Day the World Ended Roger Corman 1955 États-Unis
Dead Man Walking Dead Man Walking Gregory Dark 1988 États-Unis
Deathlands: Homeward Bound Deathlands: Homeward Bound Joshua Butler 2003 États-Unis
Demain les mômes Demain les mômes Jean Pourtalé 1976 France
Dernier Homme sur Terre, Le Last Man on Planet Earth, The Kenneth Bieler 1999 États-Unis
Dernière Femme sur Terre, La Last Woman on Earth Roger Corman 1960 États-Unis
Earth Dies Screaming, The Earth Dies Screaming, The Terence Fisher 1965 Royaume-Uni
Escape from Safehaven Escape from Safehaven Brian T. Jones 1989 États-Unis
James McCalmont
Ever since the World ended Ever since the World ended Calum Grant 2001 États-Unis
Joshua Atesh Litle
Executioners Xian dai hao xia zhuan Johnnie To 1993 Hong Kong
[13] Exterminateurs de l'An 2000, Les Apocalypse Warriors: Equalizer Cirio H. Santiago 1986 Philippines
2000
Exterminateurs de l'An 3000, Les Exterminators of the Year 3000 Giuliano Carnimeo 1984 Italie
Fin d'août à l'Hôtel Ozone Konec srpna v Hotelu Ozon Jan Schmidt 1967 Tchécoslovaquie
Final Fantasy VII Advent Fainaru Fantajī Sebun Adobento Tetsuya Nomura 2001 États-Unis
Children Chirudoren Japon
Firebird 2015 A.D. Firebird 2015 A.D. David Robertson 1981 États-Unis
Canada
Frogtown: Toad Warrior Frogtown: Toad Warrior Donald G. Jackson 1996 États-Unis
Frogtown: Frog Warrior Frogtown: Frog Warrior Donald G. Jackson 2002 États-Unis
The Frozen Atlantis Det frusna Atlantis Björn Kullander 1980 Suède
Gladiateur du futur, Le Endgame: Bronx lotta finale Joe D'Amato 1983 Italie
Glen and Randa Glen and Randa Jim McBride 1971 États-Unis
Gunslinger Grifter Logan, The Gunslinger Grifter Logan, The Steven Ruback 2009 États-Unis
Gwen, le livre de sable Gwen, le livre de sable Jean-François Laguionie 1985 France
Highlander : The Source Highlander : The Source Brett Leonard 2007 États-Unis
I killed Einstein, gentlemen Zabil jsem Einsteina, panove Oldrich Lipsky 1970 Tchécoslovaquie
In the year 2889 In the year 2889 Larry Buchanan 1967 États-Unis
It's All About Love It's All About Love Thomas Vinterberg 2003 Danemark
It's great to be Alive It's great to be Alive Alfred L. Werker 1933 États-Unis
Je suis une légende Last Man on Earth, The Sidney Salkow 1964 États-Unis
Ubaldo Ragona Italie
Jour d'après, Le Day After Tomorrow, The Roland Emmerich 2004 États-Unis
Jour des morts-vivants, Le Day of the Dead George A. Romero 1985 États-Unis
Jour où la Terre prit feu, Le Day the Earth Caught Fire, The Val Guest 1961 Royaume-Uni
Ken le survivant (anime) Fist of the North Star Toyoo Ashida 1986 Japon
The Last Island The Last Island Marleen Gorris 1990 Pays-Bas
Last Man, The Last Man, The James Arnett 2008 États-Unis
Last Man on Earth, The Last Man on Earth, The John G. Blystone 1924 États-Unis
Last of the Living Last of the Living Logan McMillan 2008 Nouvelle-Zélande
Lawless Land, The Lawless Land, The Jon Hess 1988 États-Unis
Lettres d'un homme mort Pisma myortvogo cheloveka Konstantin Lopouchanski 1986 Union soviétique
Live Freaky! Die Freaky! Live Freaky! Die Freaky! John Roecker 2006 États-Unis
Le Livre d'Eli The Book of Eli Albert et Allen Hughes 2010 États-Unis
Lost: Black Earth Lost: Black Earth James Cole 2004 Australie
Lost City Raiders Lost City Raiders Jean de Segonzac 2008 Allemagne
Machine à explorer le temps, La Time Machine, The George Pal 1960 États-Unis
Mad Max 2 Mad Max 2 : The Road Warrior George Miller 1981 Australie
Mad Max : Au-delà du dôme du Mad Max Beyond Thunderdome George Miller 1985 Australie
tonnerre
Men Who Fell, The Men Who Fell, The William L. Stewart 2007 États-Unis
Metalstorm : la Tempête d'acier Metalstorm: The Destruction of Charles Band 1983 États-Unis
Jared-Syn
Mindwarp (ou Brain Slasher) Mindwarp (ou Brain Slasher) Steve Barnett 1992 États-Unis
Monde, la Chair et le Diable, Le World, the Flesh and the Devil, Ranald MacDougall 1959 États-Unis
The
Nausicaä de la vallée du vent Kaze no Tani no Naushika Hayao Miyazaki 1984 Japon
Neon Genesis Evangelion Shin Seiki Evangelion Gekijoban Hideaki Anno 1997 Japon
New Women, The New Women, The Todd Hughes 2001 États-Unis
New York ne répond plus Ultimate Warrior, The Robert Clouse 1975 États-Unis
Liste de films post-apocalyptiques 26
North Star - La légende de Ken le Fist of the north star Tony Randel 1995 États-Unis
survivant
O-Bi, O-Ba- The End of O-Bi, O-Ba- Koniec Cywilizacji Piotr Szulkin 1985 Pologne
Civilization
Panique Année Zéro Panic in the Year Zero! Ray Milland 1962 États-Unis
Phoenix the Warrior Phoenix the Warrior Robert Hayes 1988 États-Unis
Planète des Singes, La Planet of the Apes Franklin J. Schaffner 1968 États-Unis
Secret de la planète des singes, Beneath the Planet of the Apes Ted Post 1970 États-Unis
Le
Bataille de la planète des singes, Battle for the Planet of the Apes J. Lee Thompson 1973 États-Unis
La
Planète des Singes, La Planet of the Apes Tim Burton 2001 États-Unis
Possibilité d'une île, La La Possibilité d'une île Michel Houellebecq 2008 France
Raiders of the Damned Raiders of the Damned Milko Davis 2005 États-Unis
Rats de Manhattan, Les Rats : notte di terrore Bruno Mattei 1984 Italie
Recon 2020: the Caprini Recon 2020: the Caprini Christian Viel 2004 Canada
Massacre Massacre
Recon 2022: the Mezzo Incident Recon 2022: the Mezzo Incident Christian Viel 2007 Canada
Resident Evil : Extinction Resident Evil: Extinction Russell Mulcahy 2007 Allemagne
Royaume-Uni
France
Australie
États-Unis
Révolte des Triffides, La Day of the Triffids, The Steve Sekely & Freddie 1962 Royaume-Uni
Francis
Rock & Rule Rock & Rule Clive Smith 1983 Canada
Sang des héros, Le Blood of Heroes, The David Webb Peoples 1989 Australie
États-Unis
Shape of Things to Come, The Shape of Things to Come, The George McCowan 1979 Canada
Signal, The Signal, The David Bruckner, Dan Bush, 2008 États-Unis
Jacob Gentry
Silent City, The Silent City, The Ruairi Robinson 2006 Irlande
Sins of the Fleshapoids Sins of the Fleshapoids Mike Kuchar 1965 États-Unis
Six Reasons Why Six Reasons Why Campagna Brothers, The 2008 Canada
Sky Has Fallen, The Sky Has Fallen, The Doug Roos 2009 États-Unis
Smoke'em if you got'em Smoke'em if you got'em Ray Boseley 1988 Australie
Spirits of the Air, Gremlins of the Spirits of the Air, Gremlins of the Alex Proyas 1989 Australie
Clouds Clouds
Steel Frontier Steel Frontier Paul G.Volk & Jacobsen Hart 1995 États-Unis
Surf Nazis Must Die Surf Nazis Must Die Peter George 1987 États-Unis
Taking Tiger Mountain Taking Tiger Mountain Tom Huckabee 1983 Royaume-Uni
États-Unis
Talking with Dog Talking with Dog Mark Roper 2008 États-Unis
Terror Within, The Terror Within, The Thierry Notz 1989 États-Unis
Terror Within II, The Terror Within II, The Andrew Stevens 1990 États-Unis
Tooth And Nail Tooth And Nail Mark Young 2007 États-Unis
Liste de films post-apocalyptiques 29
Traqués de l'an 2000, Les Turkey Shoot Brian Trenchard-Smith 1982 Australie
Twilight of the Dogs Twilight of the Dogs John R.Ellis 1995 États-Unis
Ultime Garçonnière, L' Bed Sitting Room, The Richard Lester 1969 Royaume-Uni
Ultra Warrior Ultra Warrior Augusto Tamayo San Roman 1990 Pérou
Kevin Tent États-Unis
USS Charleston, dernière chance On the Beach Russell Mulcahy 2000 Australie
pour l'humanité États-Unis
Vampire Hunter D : Bloodlust Vampire Hunter D : Bloodlust Yoshiaki Kawajiri 2000 Japon
Warriors of the Apocalypse Warriors of the Apocalypse Bobby Suarez 1985 Philippines
États-Unis
Where Have All the People Gone Where Have All the People Gone John Llewellyn Moxey 1974 États-Unis
[16] Wonderful Days Wonderful Days Kim Moon-Saeng 2003 Corée du Sud
World gone wild World gone wild Lee H. Katzin 1988 États-Unis
World without end World without end Edward Bernds 1956 États-Unis
Zordax II : la guerre du métal Zordax II : la guerre du métal Syl Disjonk 2006 Canada
Liste de films post-apocalyptiques 30
Voir aussi
• Science-fiction post-apocalyptique
Notes et références
[1] (fr) 2020 Texas Gladiators (http:/ / www. nanarland. com/ Chroniques/ Main. php?id_film=2020texasgladiator) sur Nanarland.com
[2] (en) The Aftermath sur wikipédia anglophone.
[3] Monde supposé post-apocalyptique, mais qui, en réalité, ne l'est pas.
[4] Vers la fin du film, l'humanité à disparu. Raison : inconnue.
[5] (it) Wikipédia italophone
[6] (fr) American Cyborg (http://www.nanarland.com/Chroniques/Main.php?id_film=americancyborg) sur Nanarland.com
[7] (fr) Apocalypse Warriors: Raiders of the Sun (http://www.nanarland.com/Chroniques/Main.
php?id_film=apocalypsewarriorraidersofthesun) sur Nanarland.com
[8] Diverses cataclysmes. D'après (fr) Nanarland (http:/ / www. nanarland. com/ Chroniques/ Main. php?id_film=knights) - Consulté le
9 janvier 2009.
[9] (fr) Circuitry Man (http:/ / www. nanarland. com/ Chroniques/ Main. php?id_film=circuitryman) sur Nanarland.com - Consulté le
8 mars 2009. Monde pollué.
[10] (fr) un mal mystérieux... (http:/ / www. scifi-universe. com/ fiche_media. asp?media_id=14709)
[11] La nourriture se fait rare. Raison : inconnue.
[12] En manipulant une nouvelle source d'énergie, un scientifique fait disparaître toute trace de vie sur Terre ((fr) AlloCiné (http:/ / www.
allocine. fr/ film/ fichefilm_gen_cfilm=34845. html)).
[13] (fr) Les Exterminateurs de l'An 2000 (http:/ / www. nanarland. com/ Chroniques/ Main. php?id_film=apocalypsewarrior) sur
Nanarland.com - Consulté le 8 mars 2009.
[14] (fr) CineAsie (http:/ / www. cineasie. com/ GoodmanTown. html)
[15] (fr) Sur le globe d'argent (http:/ / www. malavidafilms. com/ malavida. php?page=film& film=93) sur le site du distributeur.
[16] (fr) « En 2142, la civilisation a été détruite par la guerre et la pollution » Cinefil (http:/ / www. cinefil. com/ film/ wonderful-days) -
Consulté le 10 mars 2009.
Mad Max
Mad Max
Budget [1]
400000 dollar australien
Pays d’origine Australie
Langue(s) originale(s) anglais
Mad Max 31
Genre ActionScience-fiction
Durée 88 minutes
Mad Max est un film de science-fiction australien réalisé par George Miller en 1979.
Synopsis
Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.
Dans un futur proche, les grandes nations sont entrées en guerre pour le pétrole ; exaspérées par la situation de crise,
les populations se sont révoltées, les nations essaient de maintenir un semblant d'ordre tandis que des bandes de
délinquants sillonnent les routes[2] .
Max Rockatansky (Mel Gibson) est un policier de la route, un flic ("copper" en référence à sa plaque de service, en
cuivre). À bord de son Interceptor (une Ford Falcon XB sedan australienne, propulsée par un 351 Cleveland, 5,8
litres de cylindrée), il est chargé de faire régner l'ordre et de combattre les bandes de pirates de la route ; il fait équipe
avec le motard Jim « Mother Goose » (« Mère l'Oie », surnom traduit par « le Gorille » en français, incarné par Steve
Bisley). Sa meilleure arme est son sang-froid, qui lui permet de faire « craquer » ses adversaires lors
d'impressionnants face à face routiers.
Lors d'une poursuite automobile au début du film, un voyou se nommant lui-même le "Nightrider" (traduit en
français "l'Aigle de la Route"), se tue en tentant d'échapper à Max. Le Nightrider se trouve avoir pour ami un
dangereux gang de motards, dont le chef et frère décide de le venger. Quand le co-équipier de Max, Jim Goose, se
retrouve à l'hôpital grièvement brûlé par le gang, Max prend peur et décide de quitter son poste de policier
intercepteur. Il part alors vers le Nord avec sa femme et son bébé, loin de la violence routière. Mais les motards
parviennent à le retrouver et tuent sa femme et son bébé. Max, fou de rage, bascule dans la folie meurtrière, et part à
la poursuite des motards dans le seul but de les tuer.
Fiche technique
• Titre : Mad Max
• Réalisation : George Miller
• Scénario : James McCausland et George Miller, d'après une histoire
de George Miller et Byron Kennedy
• Musique : Brian May
• Producteur : Byron Kennedy
• Producteur associé : Bill Miller La voiture de Mel Gibson dans le film
• Australie : 12 avril 1979
• États-Unis : 9 mai 1980 (présentaion à Los Angeles), 6 juin 1980 (présentation à Minneapolis),
13 juin 1980 (présentation à New York)
• France : 13 janvier 1982 ; 9 juillet 2008 (2e sortie en salles)
• Format : couleur, mono, 35 mm, 2.35:1
• Genre : Action, science-fiction, road movie post-apocalyptique
• Durée : 88 minutes
• Interdit en salles aux moins de 16 ans (-16)
Distribution
• Mel Gibson (VF : Patrick Floersheim) : « Mad » Max Rockatansky
• Steve Bisley (VF : Gérard Dessalles) : Jim « mother » Goose (« le Gorille
»), motard de la MFP
• Joanne Samuel (VF : Béatrice Delfe) : Jessie Rockatansky, sa femme
• Hugh Keays-Byrne (VF : Michel Vocoret) : Toecutter ("le chirurgien" en
VF) (le chef de la bande de motards)
• Tim Burns (VF : Éric Legrand) : Johnny the Boy
• Sheila Florence (VF : Marie Francey) : May Swaisey
• Geoff Parry : Bubba Zanetti
• Roger Ward (VF : Michel Barbey) : Fifi McAffee, le capitaine de la
MFP
• Lisa Aldenhoven : infirmière
• David Bracks : Mudguts
• Bertrand Cadart : Clunk
Mel Gibson en 1990
• David Cameron : Barry, le mécanicien de la MFP
• Robina Chaffey : chanteuse du club Sugartown
• Stephen Clark : Sarse
• Mathew Constantine : Toddler
• Jerry Day : Ziggy
• Reg Evans : chef de gare
• Brendan Heath : Sprog Rockatansky, leur fils
• Vincent Gil : Crawford « Nightrider » Montizano (l'Aigle de la Route)
• Lulu Pinkus : la copine du Nightrider
Commentaire
Le pays est indéterminé : on sait juste qu'ils parlent anglais et roulent à gauche, et que la police porte le nom de MFP,
Main Force Patrol, pas plus explicite[3] . George Miller a donc choisi de placer l'action n'importe où, c'est-à-dire ici
et demain ; le cadre général n'est pas connu, il ne sera présenté que dans Mad Max II et le pays identifié à la fin de
Mad Max III (cependant, un cadavre de kangourou est brièvement visible dans le deuxième opus), le film apparaît de
fait comme une évolution de la situation actuelle des pays développés.
La première image est celle du Halls of justice, ce qui introduit le thème de la justice et d'une société organisée. Mais
dès la première scène, on comprend que tout se délabre : les bâtiments sont en ruine, la radio de la police est occupée
en permanence par une opératrice donnant des recommandations naïves et des consignes décalées par rapport à la
réalité, tandis que la principale occupation des policiers consiste à se rincer l'œil avec la lunette de leur arme de
service.
Mad Max 33
En fait, la violence de la société reflète la violence de l'État, les représentants de l'État sont aussi fous que les
criminels, la seule différence est qu'ils ont une plaque de bronze au revers du blouson.
Bien que l'histoire soit très violente, George Miller a l'intelligence de n'en montrer quasiment rien (les deux seules
images réellement violentes ne durent que quelques secondes) et de laisser le spectateur deviner ce qui se passe, tout
est suggéré. On est bien loin de la violence esthétisée et complaisante (la violence n'est pas belle donc elle n'est pas
montrée, mais elle existe donc n'est pas ignorée), et des conventions aseptisées (pas de gentil ni de méchant, pas de
héros mais un fou, « Mad » Max).
Le film s'inspire sur plusieurs aspects du film Point limite zéro (Vanishing Point, 1971) de Richard Sarafian, ne
serait-ce que le nom du héros (Rockatansky dans Mad Max, Kowalski dans Point limite zéro), à tel point qu'on peut
le considérer comme un hommage à l'œuvre de Sarafian. La scène d'introduction notamment, où les deux policiers
cherchent en vain à intercepter le Knight Rider, est reprise presque plan pour plan d'une scène centrale de Point
limite zéro. Il n'est aussi pas sans ressemblances avec le livre Route 666 (Damnation Alley, 1966, aussi traduit sous le
titre Les Culbuteurs de l'Enfer) de Roger Zelazny, pionnier du post-apocalyptique, par l'environnement
post-apocalyptique lui-même et par la personnalité du héros.
George Miller eut beaucoup de problèmes avec son film, jugé trop violent et influent pour les jeunes. Voulant éviter
le classement X, la censure accepta de projeter le film en échange de quelques coupes, mais George décréta que,
mise à part des plans explicites de quelques secondes, que ce n'est pas le film qui est violent mais le climat général,
la brutalité ambiante. Malgré ça, le film fut interdit quelques années en France (il ne sortira qu'en 1982, soit trois ans
après sa sortie en Australie).
Autour du film
• Tourné avec un budget dérisoire de 350 000 dollars, Mad Max est devenu par la suite l'un des films les plus
rentables de l'histoire du cinéma avec 100 000 000 dollars dans le monde, dont 5 625 000 dollars en Australie, 8
750 000 dollars aux États-Unis et 2 549 462 entrées en France. [4] ,[5]
• Le film a révélé Mel Gibson au grand public, qui deviendra une star mondiale avec L'Arme fatale.
• Le film fut doublé en anglais américain pour sa distribution aux États-Unis (y compris Mel Gibson).
Suites
Deux suite seront réalisées par Georges Miller : Mad Max 2 en 1981 et Mad Max : Au-delà du dôme du tonnerre en
1985. Un quatrième film (Mad Max IV: Fury Road) est en projet ; il était initialement prévu pour 2006, puis le projet
fut abandonné et finalement prévu pour 2011[6] .
Voir aussi
• Cinéma australien
• Science-fiction post-apocalyptique
• Waterworld
Mad Max 34
Notes et références
[1] Mad Max : SE (http:/ / www. dvdtimes. co. uk/ content. php?contentid=4134), DVD Times, 2002-01-19. Consulté le 2009-03-12
[2] Ces éléments ne sont connus que dans Mad Max II
[3] certains ouvrages, comme le Larousse Nos films de toujours, désignent l'Australie
[4] Mad Max (1979) - Business (http:/ / french. imdb. com/ title/ tt0079501/ business) sur Internet Movie Database. Consulté le 3 septembre
2009.
[5] Box-office France 1982 (http:/ / fr. wikipedia. org/ wiki/ Box-office_France_1982) sur Wikipédia. Consulté le 3 septembre 2009.
[6] http:/ / french. imdb. com/ title/ tt1392190/
Liens externes
• (fr/en) Mad Max (http://www.imdb.fr/title/tt0079501/combined) sur l’Internet Movie Database - Version plus
complète en anglais (http:/ / akas. imdb. com/ title/ tt0079501/ combined)
• (fr) Mad Max - 1979 de George Miller (http://www.solaris-distribution.com/mad-max/) - Site consacré au
premier volet de la saga à l'occasion de sa ressortie en salles.
• (fr) MAD MAX de George Miller (http://www.cinetudes.com/MAD-MAX-de-George-Miller-1979_a102.
html) sur Cinetudes
• (fr) Mad Max (http://www.mad-movies.com/fiche.php?id=295) sur Mad Movies
• (fr) Erwelyn.com (http://www.erwelyn.com/) Site de bibliographies et filmographies thémathiques sur la
science-fiction comme les Dystopies : nos sociétés futures (http://www.erwelyn.com/dyxtopie.html) thème
auquel appartient Mad Max
• (fr) Fiche Mad Max (http://www.cinemotions.com/modules/Films/fiche/3426/Mad-Max.html)
Mad Max 2
Mad Max 2
Pays d’origine Australie
Langue(s) originale(s) Anglais
Durée 91 min
Mad Max 2 est un film de science-fiction australien réalisé par George Miller en 1981.
Mad Max 2 35
Synopsis
Après avoir vu sa famille et son collègue massacrés par une bande de motards, Max Rockatansky vit désormais en
marge, sillonnant les routes de ce pays livré à la violence et à la loi du plus fort au volant de son bolide. Alors qu’il
recherche de quoi faire le plein de son véhicule, il est attaqué par un homme qui possède une autogire. Max réussit à
le maitriser et le fait prisonnier. L’homme en question l’informe qu’il pourrait trouver autant de carburant qu’il veut
dans une raffinerie gérée par une trentaine de personnes. Le pétrole étant devenu la ressource la plus précieuse et la
plus rare, la raffinerie est constamment assaillie par une bande mobile, menée par le Seigneur Humungus. Des
centaines de litres d’essence sont stockés dans une citerne. La petite communauté souhaite la déplacer afin
d’échapper au Seigneur Humungus et ses hommes. Max leur propose son aide : en échange de quelques litres, il leur
fournit un camion capable de tirer la citerne.
Fiche technique
• Titre : Mad Max 2
• Autres titres : Mad Max 2 : The Road Warrior • The Road Warrior (USA) • Mad Max 2: le défi (France)
• Réalisation : George Miller
• Scénario : George Miller, Terry Hayes et Brian Hannant
• Musique : Brian May
• Producteur : Byron Kennedy
• Directeur de la photographie : Dean Semler
• Montage : Michael Balson, David Stiven et Tim Wellburn
• Direction artistique : Graham 'Grace' Walker
• Création des costumes : Norma Moriceau
• Directeur de production : Patrick Clayton
• Pays d'origine : Australie
• Format : couleur, mono, 35 mm et 70 mm (scènes d'explosion), format 2.20:1 (70 mm prints) et 2.35:1
• Genre : Action, science-fiction, "western" post-apocalyptique
• Durée : 91 minutes
• Date de sortie :
• Australie : 24 décembre 1981
• France : 11 août 1982
• Interdit en salles aux moins de 12 ans (-12)
Distribution
• Mel Gibson (VF : Patrick Floersheim) : « Mad » Max Rockatansky
• Bruce Spence (VF : Jacques Balutin) : le pilote de l'hélicoptère (Gyro Captain)
• Mike Preston (VF : Michel Beaune) : Pappagallo
• Max Phipps : Toadie
• Vernon Wells : Wez
• Kjell Nilsson (VF : Henry Djanik) : le seigneur Humungus
• Emil Minty : l'enfant sauvage
• Virginia Hey : la femme guerrière
• William Zappa : Zetta
• Arkie Whiteley : la copine du pilote
• Steve J. Spears : le mécanicien
• Syd Heylen : Curmudgeon
• Moira Claux : Big Rebecca
Mad Max 2 36
Commentaire
Contrairement au film précédent qui avait un contenu assez politique, on est ici dans un film de type
post-apocalyptique plus classique, où la violence est un peu plus explicite. Plus de trace d'un État organisé, on est
dans le cadre d'une guerre de clans, une sorte de western mécanisé.
Autour du film
• Parce qu'il était relativement peu connu aux États-Unis, les bande-annonces ne montraient pas Mel Gibson, elles
étaient plutôt focalisées sur les poursuites et les scènes d'action[1] .
• C'est le film qui a convaincu Steven Spielberg que George Miller serait un excellent choix pour réaliser un
segment du film La Quatrième dimension[1] .
• Le film a été tourné dans l'ordre chronologique du script[1] .
• Un morceau de la narration du film s'ouvre sur un montage d'images résumant ce qui s'est passé sur la planète.
Cela n'a pas été utilisé pour la version australienne[1] .
• Le budget du film était d'environ dix fois plus élevée que celui de son prédécesseur[1] .
Références culturelles
De par son statut de film culte, Mad Max 2 reçoit plusieurs clin d'oeil provenant de différentes manifestations
culturelles.
• Le jeu vidéo Fallout, possède une armure copiée du costume de cuir de Max.
• Dans South Park, la chambre de Stan possède une parodie du poster du film intitulé The Street Warrior.
• Dans South Park, toujours, l'épisode 7 de la saison cinq: Du bon usage du préservatif, fait très largement référence
à ce film. Dans cet épisode, une bande de garçon au volant de véhicules post-apocalyptiques (comprenant un
Butters-Humungus, un Cartman-Toadie et un Gamin-Wez) assiège un fort de filles défendu, entre-autre, par un
lance-flammes et une Barbara(Bebe) lanceuse de Boomerang à lames. L'objet du litige n'est, en l'occurrence, pas
le pétrole mais le fait d'apporter le SIDA.
Voir aussi
• Mad Max (1979), de George Miller
• Mad Max : Au-delà du dôme du tonnerre (1985), de George Miller et George Ogilvie
Notes
[1] Mad Max: The Road Warrior (1981) - Trivia (http:/ / www. imdb. com/ title/ tt0082694/ trivia) sur l'Internet Movie Database. Consulté le
29 juin 2010.
Lien externe
• (fr/en) Mad Max 2 (http://www.imdb.fr/title/tt0082694/combined) sur l’Internet Movie Database - Version plus
complète en anglais (http:/ / akas. imdb. com/ title/ tt0082694/ combined)
Mad Max : Au-delà du dôme du tonnerre 37
Pays d’origine Australie
Langue(s) originale(s) Anglais
Mad Max : Au-delà du dôme du tonnerre est un film de science-fiction australien réalisé par George Miller en
1985.
Synopsis
Une guerre nucléaire a achevé la société mourante, les hommes s'organisent sous la forme de tribus qui luttent pour
leur survie. Alors qu'il sillonne le désert dans son chariot tracté par des chameaux, Max se fait agresser et voler ses
biens. En poursuivant ses voleurs, il arrive dans une ville, Bartertown, littéralement « la ville du troc » (Trocpolis).
Cette ville, dédiée au commerce, est régie par Aunty Entity (Entité, Tina Turner), qui organise un début de
civilisation en remplaçant le vol par le troc. Dans cette ville, les conflits et querelles interpersonnels sont réglés par
un duel à mort dans une arène, le Dôme du Tonnerre (Thunderdome), afin d'éviter des vengeances, luttes de clans et
vendetta qui mèneraient à l'effondrement de cet embryon de société. La société est soumise à des règles simples
rédigées par Aunty Entity sous la forme de slogans : « two men enter, one man leave » (« deux hommes entrent, un
homme sort », pour les duels à mort dans le Dôme du tonnerre) ou encore « bash the deal, face the wheel » (« viole
l'accord, affronte la roue », la condamnation étant choisie au hasard par une parodie de loterie).
La ville est alimentée par du méthane créé à partir du lisier de porcs, élevés sous la ville. L'élevage et l'usine à
méthane sont dirigés par Master Blaster (« Maître Bombe »), un couple formé par un colosse intellectuellement
débile (Blaster) et un nain intelligent (Master) juché sur ses épaules. Lorsqu'il a un conflit avec Aunty Entity, Master
décrète un embargo et coupe l'alimentation en énergie de Bartertown.
Max découvre, en arrivant dans cette ville, que la renaissance de la civilisation s'accompagne de celle des intrigues
politiques. Y a-t-il un avenir au-delà du Dôme du Tonnerre, c'est-à-dire au-delà de Bartertown ? Mais aussi, doit-on
recréer une société similaire à celle qui a failli ?
Mad Max : Au-delà du dôme du tonnerre 38
Fiche technique
• Titre : Mad Max 3 : Au-delà du dôme du tonnerre (Mad Max
Beyond Thunderdome)
• Réalisation : George Miller et George Ogilvie
• Scénario : George Miller et Terry Hayes
• Chansons titres: We don't need another hero et One of the living par
Tina Turner
• Musique : Maurice Jarre
• Pays d'origine : Australie
• Format : couleur, mono, 35, 70 mm, format ?
• Genre : péplum post-apocalyptique
• Durée : 107 minutes
• Lieu de tournage : Espagne Désert de Tabernas
• Date de sortie : Mad Max III se déroule après une guerre
nucléaire
Distribution
• Mel Gibson (VF : Jacques Frantz) : « Mad » Max Rockatansky
• Tina Turner : Entité (Aunty Entity)
• Bruce Spence (VF : Philippe Peythieu) : Jedediah, le pilote
• Adam Cockburn : Jedediah Jr.
• Frank Thring (VF : Henry Djanik) : le collectionneur
• Angelo Rossitto (VF : Marc De Georgi) : Master (le nain)
• Paul Larsson : Blaster (le colosse)
• Angry Anderson (VF : Pascal Renwick) : Ironbar
• Robert Grubb : le tueur de cochons
• George Spartels : Blackfinger
• Edwin Hodgeman (VF : Jean-Pierre Leroux) : Dr. Dealgood
• Bob Hornery : le marchand d'eau
• Andrew Oh : Ton Ton Tattoo
• Helen Buday : Savannah Nix
• Mark Spain : Mr. Skyfish
Commentaire
Mad Max : Au-delà du dôme du tonnerre 39
Après avoir exploré le western, George Miller revisite le péplum. Le film paraît plutôt aseptisé par rapport aux deux
premiers opus, mais cela correspond aussi à la renaissance d'un monde civilisé. Au-delà du Dôme du Tonnerre, on
trouve une communauté isolée d'enfants, qui pourrait être inspirée par Sa Majesté des mouches de William Golding,
et qui incarne un espoir de fonder un monde neuf sans le passif qui aurait été transmis par les adultes.
Le film comporte plusieurs références au premier épisode de la série, comme le joueur de saxophone (la femme de
Max jouait du saxophone), ou bien l'évocation du métier de Max avant la guerre nucléaire ; il se conclut par la
chanson de Tina Turner, We Don't Need Another Hero (« nous n'avons pas besoin d'un nouveau héros »), qui fait
écho à la phrase du capitaine de la police « Fif » McAfee dans le premier film : We're gonna giv'em back their heroes
(« on va leur rendre leurs héros »).
Le film comporte quelques références à la culture française :
• un des gardiens de Bartertown chante l'air du torréador du Carmen de Bizet ;
• le disque écouté par les enfants lors de la fuite de Bartertown est un cours de français.
Le nom du pilote dont le retour est attendu par les enfants est Captain Walker. Or ce nom est celui du pilote, père de
Tommy, dans l'opéra-rock du même nom. Coïncidence à noter : Tina Turner jouait aussi dans le film issu de cet
album.
George Miller situe pour la première fois clairement le lieu de l'action, l'Australie, puisque l'on aperçoit les ruines de
l'Opéra de Sydney. Une référence plus discrète figurait toutefois déjà dans Mad Max 2, où un personnage exhibait
pour prouver l'existence d'une « terre promise » un dépliant publicitaire de la Sunshine Coast (tronçon de la côte est
australienne).
À la fin du film, on voit Max s'éloigner dans le « grand rien ». Mais que devient-il ensuite ?
Distinctions
Nomination au Saturn Award du meilleur film de science-fiction par l'Académie des films de science-fiction,
fantastique et horreur.
Références culturelles
Le rappeur 2Pac s'est inspiré du film pour son clip California Love.
Lien externe
• (fr/en) Mad Max : Au-delà du dôme du tonnerre [1] sur l’Internet Movie Database - Version plus complète en anglais [2]
Références
[1] http:/ / www. imdb. fr/ title/ tt0082694/ combined
[2] http:/ / akas. imdb. com/ title/ tt0082694/ combined
Waterworld 40
Waterworld
Waterworld, ou Un monde sans terre au Québec (Waterworld en version originale), est un film de science-fiction
post-apocalyptique américain réalisé par Kevin Reynolds, sorti le 28 juillet 1995 et mettant en vedette Kevin
Costner.
Synopsis
En 2500 la Terre est recouverte d'océans et les hommes ont désormais appris à s'adapter à ce nouvel environnement.
Une légende persiste, celle qu'une île, "Dryland", est restée préservée des eaux.
Fiche technique
• Titre : Waterworld
• Titre original : Waterworld
• Titre québécois : Un monde sans terre
• Réalisation : Kevin Reynolds
• Scénario : Peter Rader et David Twohy
• Production : Charles Gordon, Lawrence Gordon, Kevin Costner et John Davis
• Société de production : Universal Pictures
• Musique : James Newton Howard, Artie Kane et Mark Isham
• Photographie : Scott Fuller et Dean Semler
• Montage : Peter Boyle
• Pays d'origine : États-Unis
• Format :1.85 Couleurs - Dolby Digital
• Genre : Action, fantastique, science-fiction post-apocalyptique
• Durée : 176 minutes
• Date de sortie : 28 juillet 1995 (USA) ; 25 octobre 1995 (France)
Distribution
• Kevin Costner (VF : Gabriel Le Doze) : Mariner
• Dennis Hopper (VF : Bernard-Pierre Donnadieu) : Deacon (le "Diacre")
• Tina Majorino : Enola
• Jeanne Tripplehorn : Helen
• Michael Jeter : Le vieux Gregor
• Rick Aviles : Gatesman
• R.D. Call : Enforcer
• Zitto Kazann : Elder/Survivant
• Jack Black : Pilote
• Leonardo Cimino : Elder
• Zakes Mokae : Priam
• Luke Ka'ili Jr. : Boy
• Anthony DeMasters : Boy
• Willy Petrovic : Boy
• Jack Kehler : Banker
• Lanny Flaherty : Trader
• Chaim Girafi : Drifter
Waterworld 41
Autour du film
• À noter qu'avec son budget de 175 millions de dollars, ce film disposait d'un des plus gros budgets du cinéma à sa
sortie et que les recettes d'exploitation n'ont pas suffi à recouvrer. L'échec commercial est à ce titre un des plus
retentissants que Hollywood ait connu. En raison d'une critique sévère, le film a sérieusement pâti de l'importante
médiatisation des déboires du tournage[1] , réputation qui n'est pas nécessairement justifiée.
• Une attraction a été tirée du film, elle met en scène des événements intervenant après la fin de celui-ci. On peut
voir cette attraction aux parcs Universal Studios Hollywood et Universal Studios Japan.
• Waterworld a connu son jeu vidéo, sorti en même temps que le film en salles, il fut édité sur Game Boy, Virtual
Boy et Super Nintendo. A noter qu'une version Megadrive était prévue mais sa sortie fut annulée quelques
semaines avant la date initiale sans doute parce que la console était en nette fin de vie[réf. souhaitée].
Notes et références
[1] Le Monde, 2 août 1995, Le tournage-catastrophe du « film le plus cher du monde » et dans la même édition Le spectaculaire naufrage de «
Waterworld »
Annexes
Liens externes
• Waterworld (http://french.imdb.com/title/tt0114898/) sur l'Internet Movie Database
• (fr) Waterworld (http://www.mad-movies.com/fiche.php?id=213) sur MadMovies
Postman 42
Postman
Postman
Pays d’origine États-Unis
Langue(s) originale(s) anglais
Postman (titre original : The Postman, au Québec : Le Facteur) est un film américain réalisé par Kevin Costner
sorti en 1997. Il est adapté d'un roman éponyme de David Brin, publié en 1985.
Synopsis
2013, le monde est devasté. Les rares survivants vivent comme ils peuvent sur les restes de la civilisation disparue.
Le Général auto-proclamé Bethlehem à la tête d'une armée conséquente décide d'imposer son pouvoir par la force.
Mais heureusement un voyageur solitaire va s'opposer à lui...
Distribution
• Le Facteur : Kevin Costner
• Le Général Bethlehem : Will Patton
• John Stephens / Ford Lincoln Mercury : Larenz Tate
• Abby : Olivia Williams
• Idaho : James Russo
• Le shérif Briscoe : Daniel von Bargen
• Le Maire : Tom Petty
• Luke : Scott Bairstow
• Bandit 20 : Giovanni Ribisi
• Irene March : Roberta Maxwell
• Le colonel Getty : Joe Santos
• Le vieux George : Ron McLarty
• Ellen March : Peggy Lipton
• Woody Brian : Anthony Wilson
• Gibbs : Todd Allen
• Mercer : Rex Linn
• Billy : Shawn Hatosy
• Eddie March : Ryan Hurst
• Michael : Charles Esten
Réception
The Postman a généralement reçu des critiques plutôt négatives. Le New York Times parlant par exemple de
"sentimentalisme contrefait" ("bogus sentimentality") et de "jingoïsme excessivement sensible" ("mawkish
jingoism").[1] Sur sa page web de critiques cinématographiques, Roger Ebert a décrit The Postman comme
"bienveillant" ("good-hearted") et "absurde... et prétentieux" ("goofy... and pretentious"). Toutefois, il a également
déclaré que le film est une parabole ratée, pour laquelle il dit que "le spectateur ne doit pas leur reprocher d'avoir
essayé".[2] Lors de leur show télévisé At the Movies, Gene Siskel et Roger Ebert donnent tous deux au film "deux
pouces vers le bas" ("Two Thumbs Down" ), Siskel l'appelant même "Dances with Myself" ("Dance avec
moi-même", en référence à Danse avec les loups (Dances With Wolves) qui est le titre du film oscarisé de Kevin
Costner) au sujet de la scène avec la statue de bronze.[3]
Le film a reçu cinq Razzie Awards dans les catégories "Pire film", "Pire acteur" (pour Kevin Costner), "Pire
réalisateur", "Pire scénario" et "Pire bande originale", c'est-à-dire un prix pour chacune des catégories où il était
nommé, ce qui représente un record puisque c'est la seule et unique fois que cela est arrivé dans l'histoire des Razzie.
C'est à l'occasion de ce film que Costner a obtenu le surnom de "The Boomer". Will Patton co-acteur sur The
Postman et qui avait déjà partagé la vedette avec lui en 1987 dans Sens unique, a inventé le terme en déclarant que
Costner, plus que n'importe qui d'autre, a personnifié "le charme de gamin toujours-souriant, d'âge mûr de la
génération de baby-boomer." Le nom est resté.
Le film a également été un échec notable au box-office : produit sur un budget estimé à 80 millions de dollars, il n'en
a rapporté que 18.[4]
Postman 44
Anecdotes
Dans le film, on projette Universal Soldier sur écran géant en plein air. Les militaires mécontent de la
programmation jettent des pierres au projectionniste pour qu'il change de film. C'est La Mélodie du bonheur (1965,
avec Julie Andrews) qui sera alors projeté !
Notes et références
[1] (en)Stephen Holden, « Movie Review: The Postman (http://movies.nytimes.com/movie/
review?res=9B02E5D7123EF937A15751C1A961958260) », The New York Times, 24 décembre 1997. Consulté le 3 août 2007
[2] (en)Roger Ebert, « The Postman (R) (http:/ / rogerebert. suntimes. com/ apps/ pbcs. dll/ article?AID=/ 19971225/ REVIEWS/ 712250304/
1023) », 25 décembre 1997. Consulté le 3 août 2007
[3] (en)extrait vidéo de Siskel & Ebert At The Movies - The Postman (http:/ / bventertainment. go. com/ tv/ buenavista/ atm/ reviews.
html?sec=6& subsec=The+ Postman)
[4] http:/ / www. boxofficemojo. com/ movies/ ?id=postman. htm
Annexes
Articles connexes
• Le Facteur (The Postman) : roman de David Brin dont est adapté le film.
Liens externes
• (fr+en) The Postman (http://french.imdb.com/title/tt0119925/combined) sur l'Internet Movie Database
• (en) The Postman: The Movie, An Impression by the Author of the Original Novel (http://davidbrin.com/
postmanmoviearticle.html) : impression de David Brin sur son site officiel quant à l'adaptation de son roman par
Kevin Costner au cinéma.
Le Facteur (roman) 45
Le Facteur (roman)
Le Facteur
Version originale
Titre original The Postman
Version française
Lieu de parution Paris
Éditeur J'ai lu
Collection Science-fiction
Résumé
L'histoire prend place en Oregon, dans un monde post-apocalyptique résultat d'une guerre nucléaire et
bactériologique. Un vagabond, Gordon Krantz, récupère un vieil uniforme du United States Postal Service et
redonne l'espoir à une communauté menacée par les chefs militaires locaux, usant de promesses factices d'aide des
« États-Unis d'Amérique Restitués ».
Distinctions
• Chacune des deux premières parties (The Postman et Cyclops) a été nommée pour le prix Hugo du meilleur
roman court et prix Locus du meilleur roman court, respectivement en 1983 et 1985, mais aucune n'a reçu ces
prix.
• Le roman (entier) a été nommé pour le prix Nebula du meilleur roman en 1985 et pour le prix Hugo du meilleur
roman en 1986, mais n'a reçu ni l'un ni l'autre. Par contre, il est lauréat du prix John Wood Campbell Memorial et
du prix Locus du meilleur roman de science-fiction en 1986.
Le Facteur (roman) 46
Traductions
• Français : « Le Facteur », 1987
• Japonais : « ポストマン » (« Le Facteur »), 1988, 1998
• Allemand : « Gordons Berufung » (« La Vocation de Gordon »), 1989
• Russe : « Почтальон » (« Le Facteur »), 1995, 1998, 2002, 2004
• Hongrois : « A jövő hírnöke » (« Le Messager du futur »), 1998
• Turque : « Postacı » (« Le Facteur »), 1998
• Italien : « L'uomo del giorno dopo » (« L'Homme du jour d'après »), 1987
Annexes
Articles connexes
• Liste des œuvres de science-fiction post-apocalyptique
Liens externes
• Bibliography: The Postman [1] sur l'Internet Speculative Fiction Database.
• The Postman: The Movie, An Impression by the Author of the Original Novel [2] : impression de David Brin sur
son site officiel quant à l'adaptation de son roman par Kevin Costner au cinéma.
Références
[1] http:/ / www. isfdb. org/ cgi-bin/ title. cgi?1375
[2] http:/ / davidbrin. com/ postmanmoviearticle. html
Sources et contributeurs de l’article 47
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Psychopompos, Archeos, Ash Crow, Bilou, Bobodu63, Boeb'is, Boréal, Caspian 10, Cchantep, Cdang, Chrono1084, CommonsDelinker, Cr0vax, Cyberugo, David Berardan, Denniss, Domsau2,
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