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Document de synthèse
Mai 2006
Peu d’objectifs atteints
Objectifs Résultats
Au niveau des clubs
dans une certaine mesure
Mobilisation au service des publics des quartiers (environ un tiers des
prévisions réalisées)
dans une certaine mesure
Collaboration avec les structures sociales et éducatives (quasi-uniquement avec le
Service jeunesse)
dans une certaine mesure
Proposition d’activités inscrites dans une durée (environ un tiers des
prévisions réalisées)
Offre d’un encadrement de professionnels oui
Augmentation de leurs effectifs de licenciés non
Au niveau des jeunes
Gain de mixité sociale non
dans une certaine mesure
Transmission de règles (présence, ponctualité, tenue adéquate, etc.) (souvent, le public choisi est
déjà habitué à les respecter)
Atteinte du public cible des 11-17 ans, voire 11-25 ans non, pas uniquement
Atteinte d’une mixité sexuelle non
Atteinte du public cible habitant les quartiers oui
Atteinte d’un public manifestant des appétences au départ oui
Au niveau des services municipaux
Traduction en actes de la transversalité du Contrat de Ville non
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1. Les activités
Cette saison, environ deux tiers des heures d’intervention prévues ont été
réalisées. Sans l’ASMB judo, singulière, le taux de réalisation est d’un peu moins de la
moitié en termes de séances et seulement d’un peu plus du tiers en termes d’heures.
250
200
nombre d'heures
150 Prévision
100 Réalisation
50
0
ensemble sans le ensemble sans le
judo judo
2004/2005 2005/2006
120
nombre de séances
100
80
Prévision
60
Réalisation
40
20
0
ensemble sans le ensemble sans le
judo judo
2004/2005 2005/2006
3
2. Le public
● Combien ?
♦ 2005/2006 : Au total, entre 56 et 65 personnes ont été concernées
par les activités dites régulières. A ceci s’ajoute la participation d’une centaine de
jeunes de l’Est de la France à une olympiade de quartiers où le BAUHB et le BCB sont
intervenus.
● Qui ?
♦ 2005/2006 : Le public atteint n’a pas seulement été le public visé.
En handball et basket-ball, le groupe était composé de demandeurs d’asile adultes et
de jeunes adultes du quartier.
1
Durant la saison 2003/2004, avant la redéfinition du dispositif, 159 jeunes étaient présents sur 3 actions
ponctuelles. De février à juillet 2003, ils étaient 94 sur 4 actions.
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♦ 2004/2005 : Toutes les activités ont concernées le public jeune.
Basket-ball 16 à 25 ans
Football 14 à 17 ans
Handball 14 à 18 ans
Judo 11 à 14 ans
Taekwondo 13 à 17 ans
100
90
nombre de participants
80
70
60 filles
50 garçons
40
30
20
10
0
2004/2005 2005/2006
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3. La réalité du terrain
A. Les clubs
● Les clubs engagés dans le Pacte Social Sport(s) n’ont jamais rempli la totalité
de leurs contrats.
Ces décalages paraissent moins souvent causés par la bonne volonté des présidents et des
techniciens des clubs, que par l’organisation générale (début trop tardif, coordination).
6
● Les difficultés sont différentes selon les clubs et leur degré de structuration, mais
concernent surtout la disponibilité des techniciens.
Le judo va perdre la personne s’occupant du suivi des jeunes et du dispositif.
● Les bénéfices que les clubs retirent leur intervention dans le dispositif
sont quasi-nuls. L’objectif annoncé de leur faire gagner des licenciés se révèle utopique,
car le Pacte Social Sport(s) concerne des publics déjà trop âgés.
Par contre, l’on note un relatif gain financier, finalement unique plus-value.
● Presque tout repose sur un seul homme du Service jeunesse, alors que,
selon la Direction de la Politique de la Ville, le chef du projet est la Direction des sports.
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Points forts Points faibles
- le coût humain et temporel
- la petitesse du public concerné
- la stigmatisation du dispositif
- le manque de mixité sociale
- le manque de mixité sexuelle
- son existence permet à certains publics en - le manque de diversité des activités
difficulté d’être considérés et valorisés (uniquement des sports collectifs et du judo : pas
(moins de 1% des jeunes de 11 à 25 ans durant de plein air, d’expression corporelle, de tir, etc.)
la saison 2005/2006) - la plus-value pour les clubs
- le co-encadrement : en favorisant le bon - la disponibilité des clubs
déroulement des séances, il permet aux clubs - l’investissement de certains clubs
d’intervenir sereinement - la faible mise en œuvre
- la qualité technique des éducateurs sportifs - l’organisation globale des activités : trop
- le coût financier relativement faible d’acteurs, trop de contraintes, début trop tardif
- le partage des tâches municipales
- les relations entre les services municipaux
- l’implication des associations de quartier
- le manque de visibilité dans la commune
(absence de toute communication)