Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Lettre du Président 3
Activités de la BRVM 20
Etats Financiers 37
INFORMATIONS GENERALES
boursière est passée à plus de 1300 milliards de dollars américains pour les 23 bourses membres
de l’African Securities Exchanges Association (ASEA) en 2013, soit l’équivalent de la richesse
produite sur le continent, sous les actions conjuguées des nouvelles introductions, des levées de
capitaux, de l’abondance de l’épargne locale et de l’appétence des investisseurs nationaux,
petits porteurs ou champions de la finance.
Notre Marché Financier Régional, qui évolue dans l’une des deux régions d’Afrique les
plus dynamiques en 2013 où la croissance a atteint voire dépassé les 6 %, a su tirer profit de cette
situation en positionnant la BRVM au 6ème rang des bourses africaines en termes de capitalisation
boursière et d’évolution des indices. Au cours de cette année, la BRVM a enregistré plusieurs
records, favorisés par le redressement progressif des économies ainsi que par le retour à la
stabilité politique et sociale dans les pays de l’UEMOA.
C’est dans ce contexte que se sont tenues à Abidjan, l’Assemblée Générale et la 17 ème
Conférence Annuelle de l’African Securities Exchanges Association (ASEA), du 1 er au 4
Décembre 2013 avec plus de 350 participants venus du Monde entier.
L’organisation de cet évènement, qui a mis sous les feux de la rampe le Marché Financier Régional
de notre Union et ses Structures Centrales, a permis de réaffirmer notre ambition de faire de
la BRVM, au regard des nouvelles orientations stratégiques adoptées par le Conseil d’Administration
en 2012, une bourse qui compte au nombre des plus performantes du continent.
Cette ambition est marquée, entre autres, par le changement du système de cotation que nous
avons opéré, en passant du fixing à la cotation en continu, dans le courant du mois de Septembre
2013 et les constantes améliorations que nous avons apportées en termes de technologie, de
communication, de formation et de gouvernance.
Le nombre de sociétés cotées sur le marché des actions n’a certes pas connu d’évolution, mais
les performances réalisées sont significatives, notamment les records de capitalisation boursière
Le développement de la culture boursière dans l’UEMOA reste un facteur déterminant pour la pérennité
de notre bourse.
Gabriel FAL
Chers actionnaires,
La redynamisation engagée à la fin de l’année 2012, conjuguée
à l’accélération de la croissance économique au sein de notre
Union marquée par la forte reprise en Côte d’Ivoire après
la crise postélectorale, se sont traduites par de bonnes
performances de la BRVM en 2013.
En effet, la tendance haussière observée en 2012 s’est confirmée
au cours de l’année écoulée avec des progressions des indices de
M. Edoh Kossi AMENOUNVE, la BRVM, de 33,85 % pour le BRVM 10 et 39,28 % pour le BRVM
Directeur Général de la BRVM et du DC/BR
Composite.
La capitalisation du marché des actions s’est établie à 5 633 milliards de FCFA au 31 décembre et
celle du marché des obligations à 1 073 milliards de FCFA.
Ces performances ont permis à la BRVM de se hisser à la sixième place des bourses de notre Continent
en termes de capitalisation domestique et de progression générale des indices.
L’année 2013, qui marque le quinzième anniversaire du démarrage effectif des activités des
deux Structures Centrales de notre marché, a été riche en évènements avec notamment :
Réunis du 1er au 4 décembre 2013 à Abidjan, plus de trois cent cinquante (350) participants et
éminents experts de la finance internationale ont disséqué le thème de la Conférence :
« l’Afrique, des promesses aux réalisations, le rôle clé des marchés de capitaux » et abordé
les principales problématiques liées à la relation entre les marchés de capitaux et le
développement économique. Cette 17 ème Conférence de l’ASEA a permis, de réaffirmer
l’importance des bourses dans le développement du continent africain, d’identifier plus
clairement les défis à relever et de retenir des approches de solutions. Elle a aussi permis
de positionner la BRVM dans le concert des bourses africaines et d’accroître sa visibilité.
Cela passe par des actions majeures à mener dans les prochaines années, à savoir :
1. l’admission à la cote de la BRVM de nouvelles sociétés issues des secteurs de la finance,
de la distribution, des télécommunications et de l’industrie à travers les privatisations ou
la sortie des Fonds de Private Equity ;
2. l’ouverture d’un troisième compartiment dédié aux PME et aux entreprises à fort
potentielde croissance, moteurs de la croissance dans nos économies ;
3. l’intensification de la promotion du marché par une sensibilisation et une communication
axée sur l’accélération de la diffusion de la culture boursière au sein de notre Union.
Relever ces défis requiert un fort engagement de tous les acteurs du Marché Financier Régional
dans la mise en oeuvre des actions identifiées. C’est seulement à ce prix que nous ferons de la
BRVM, cet outil majeur de financement dans lequel les opérateurs économiques de notre
sous-région fondent autant d’espoirs.
M. René DELAFOSSE
M. Mamadou SANOGO
Représentant de la Chambre de Commerce
Représentant de SABU NYUMAN
et d’Industrie de la Côte d’Ivoire
M. M’Baye THIAM
M. Omo-Delé EGUE
Représentant de la Banque Ouest Africaine
Représentant de la SGI ACTIBOURSE
de Développement (BOAD)
M. Jonathan FIAWOO
M. Djibrilla Beïdari TOURE
Représentant de la Chambre de Commerce
Représentant de la SGI NIGER
et d’Industrie du Togo
Les pays industrialisés semblent engagés dans une dynamique de reprise économique au regard
de l’évolution des indicateurs de conjoncture et des indices de confiance. Ces résultats
encourageants sont le fruit des réformes institutionnelles entreprises, des politiques mises en
œuvre, notamment les politiques monétaires accommodantes menées par les Banques Centrales
ainsi que des programmes de soutien aux investissements dans certains secteurs spécifiques
(infrastructures, immobilier, PME/PMI).
La croissance est demeurée toutefois modérée en raison des effets conjugués de la consolidation
budgétaire en cours dans de nombreux pays et de la nécessité de replacer, dans certains cas,
l’endettement public et celui des ménages sur une trajectoire viable. Les prévisions du FMI
indiquent une croissance économique de 1,2 % dans les pays industrialisés pris globalement.
Aux États-Unis, le rythme d’expansion économique ralentirait, en passant de 2,8 % en 2012 à 1,6 %
en 2013.
Au Japon, le taux de croissance annuel du PIB se maintiendrait autour de 2,0 % en 2013 comme en
2012.
Dans la Zone euro, malgré le regain d’activité enregistré par de nombreux pays, la croissance
économique resterait fragile. Elle se situerait autour de -0,4 % en 2013, après -0,6 % en 2012.
Par ailleurs, la faiblesse de la croissance économique n’a pas permis une inversion de la courbe
du chômage dans les pays concernés.
Dans les pays émergents et en développement, la croissance serait nettement inférieure aux
prévisions. Elle se chiffrerait à 4,5 % en 2013 contre 6,2 % et 4,9 % respectivement en 2011 et
2012. Les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) enregistreraient la plus forte
décélération de croissance. Ces contre-performances résultent, entre autres, d’une progression
moindre des exportations, du fait du contexte économique difficile dans les pays industrialisés, de
la baisse des cours mondiaux des produits de base, d’un climat d’investissement plus morose, des
contraintes de capacités d’offre de facteurs de production ou d’un durcissement des conditions
de financement. La croissance économique serait moins forte en Chine, en Russie et en Afrique du
Sud, en ressortant respectivement à 7,6 %, 1,5 % et 2,0 % en 2013 contre 7,7 %, 3,4 % et 2,5 % en
2012. En revanche, le PIB du Brésil et de l’Inde progresserait à un rythme plus élevé
Rapport Annuel BRVM 2013 10
en 2013, la croissance étant attendue à 2,5 % après 0,9 % en 2012 au Brésil et à 3,8 % après 3,2 %
en 2012 en Inde.
L’Afrique subsaharienne semble avoir mieux résisté aux impacts d’un environnement externe
moins porteur. Le FMI table sur une croissance de 5,0 % en 2013 contre 5,3 % initialement prévue.
La demande d’investissements relativement forte dans les infrastructures et l’exploitation
des ressources naturelles continuent de sous-tendre ces bonnes performances économiques.
Les États membres de l’Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA) ont continué
en 2013 de faire face à un contexte international et régional peu favorable. Toutefois, ils ont
fait preuve d’une résilience en maintenant leur croissance économique à un rythme relativement
soutenu. Selon les dernières estimations, le Produit Intérieur Brut (PIB) en volume est attendu en
hausse de 6,0 %. Cette performance est imputable à l’accroissement de la production agricole
dans la plupart des États, au regain d’activité dans le secteur manufacturier ainsi que dans les
bâtiments et travaux publics.
S’agissant du commerce international, la reprise des échanges mondiaux est restée modérée
avec une progression de 2,9 % en 2013 contre 2,7 % un an plus tôt. Cette situation découle de la
faiblesse persistante de l’activité en Europe, qui continue de freiner la reprise de la demande
d’importation des pays industrialisés, avec pour conséquence un net ralentissement des
exportations des pays en développement. Ces exportations progresseraient de 3,5 % en 2013 contre
6,8 % et 4,8 % respectivement en 2011 et 2012.
Les cours des produits de base ont, dans l’ensemble, poursuivi leur tendance baissière, en raison
de l’atonie de la demande des grands pays émergents.
En glissement annuel à fin novembre 2013, l’indice des prix des produits alimentaires calculé par
le FMI a reculé de 5,7 %. Celui des métaux s’est replié de 2,3 %. En revanche, l’indice des prix
des produits énergétiques a légèrement progressé (+0,7 %) au cours de la période sous revue, en
relation avec le regain progressif d’activité dans les pays industrialisés.
Les cours des matières premières exportées par l’Union, dominées par les produits agricoles
et miniers, ont pour la plupart enregistré de fortes baisses.
En moyenne sur l’ensemble de l’année 2013, les cours mondiaux de ces produits ont reculé de
27,9 % pour la noix de cajou, 22,7 % pour le caoutchouc, 19,1 % pour l’huile de palmiste, 14,0 %
pour l’huile de palme et 8,2 % pour le café.
Le cours de l’or a également baissé de 15,5 %, en raison du reflux de la demande mondiale consécutive
aux mesures coercitives prises par les Autorités indiennes pour limiter les importations d’or, afin
de réduire le déficit du compte courant de la balance des paiements du pays.
En revanche, les cours du coton et du cacao se sont renforcés, respectivement de 5,3 % et 1,9 %,
au cours de l’année 2013. Dans un contexte de tassement de la demande mondiale et d’inflexion
des cours des principales matières premières, les pressions inflationnistes se sont globalement
estompées. Selon les prévisions du FMI, le taux d’inflation ressortirait en moyenne à 1,4 % en 2013
dans les pays industrialisés, après 2,0 % un an plus tôt. Dans les pays émergents et en développement,
il atteindrait 6,2 % en 2013 contre 6,1 % en 2012 et 7,1 % en 2011.
A cet égard, la Réserve Fédérale Américaine (FED), après avoir annoncé quelques semaines plus tôt
une réduction progressive de son programme de rachat d’actifs dès la fin de l’année 2013, a décidé, le
18 septembre 2013, de maintenir inchangée sa politique en la matière. Elle a, en outre, maintenu
le statu quo sur ses taux d’intérêt.
Dans un contexte d’anticipation d’une longue période de baisse de l’inflation dans la Zone euro,
la Banque Centrale Européenne (BCE) a décidé, le 7 novembre 2013, de baisser de 25 points de
base ses taux directeurs restés inchangés depuis le 2 mai 2013. Cette décision vise surtout à lutter
contre les risques de déflation. Le taux d’intérêt des opérations principales de refinancement a
été ramené de 0,50 % à 0,25 %, le taux de prêt marginal de 1,00 % à 0,75 % et celui de la facilité
de dépôt demeure inchangé à 0 %. En outre, la BCE a prolongé jusqu’à la mi-2015, la durée de
fourniture illimitée de liquidités aux banques par le canal de ses opérations principales de refinan-
cement selon les maturités à une semaine, à un mois et à trois mois.
En revanche, dans les pays émergents, les tensions inflationnistes ont conduit certaines banques
centrales à relever leur taux d’intérêt. Ainsi, la Reserve Bank of India a augmenté de 25 points de
base son principal taux directeur le 20 septembre puis le 29 octobre 2013 pour le porter à 7,75
%. La Banque Centrale du Brésil a également été amenée à augmenter à six reprises son taux
directeur depuis le mois d’avril 2013, en le faisant passer de 7,25 % à 10,0 % à compter du 27
novembre 2013.
Sur le marché des changes, l’euro s’est apprécié par rapport aux principales devises au cours
de l’année 2013, à la faveur de la reprise progressive de l’activité au sein de la Zone euro. Le
cours de la monnaie unique européenne est passé, en moyenne de 1,2848 dollar en 2012 à 1,3281
dollar en 2013, soit une hausse de 3,4 %. Vis-à-vis du yen, de la livre sterling et du yuan, l’euro
a respectivement progressé de 26,5 %, 4,7 % et de 0,7 % sur la même période.
S’agissant des marchés en 2013, les principales places financières mondiales ont affiché de très
belles performances.
À Wall Street, le bilan de l’année 2013 a été tout aussi positif. Le Dow Jones, indice phare de la
place new-yorkaise, a progressé de 26 %, une performance annuelle inégalée depuis 1996.
En Europe, les marchés financiers ont également terminé l’année sur une note positive. En
effet, le Footsie à Londres a enregistré un gain annuel de 14,5 % lorsque, le 30 décembre 2013,
le CAC 40 clôturait à 4 275 points contre 3 620 un an auparavant, soit une hausse de 18 %. Une
telle progression n’avait pas été observée depuis 2009 (+22,3 %). Dans le détail, 36 des 40 valeurs
composant l’indice phare de la place parisienne ont terminé l’année dans le vert et plus de la
moitié ont enregistré une progression de plus de 40 % de leurs cours.
Selon certains observateurs, ces performances ont été favorisées par des politiques
monétaires accommodantes (faibles taux d’intérêts et injection massive de liquidités dans
l’économie réelle) pratiquées notamment, aux États-Unis et au Japon. L’inflation a affiché une
tendance baissière durant l’année 2013. En glissement annuel, le taux d’inflation de l’Union
est passé de 2,8 % en décembre 2012 à 1,1 % en septembre 2013. La décrue notable des prix des
céréales locales, combinée à la baisse du coût des carburants dans certains États, est à l’origine
de cette décélération. Par rapport à décembre 2012, le niveau général des prix est attendu en
hausse de 0,7 % en décembre 2013. La dispersion entre les taux d’inflation des différents pays
de l’Union s’est réduite en 2013, l’écart-type des taux d’inflation ressortant à 1,2 point
contre 1,9 point un an plus tôt. Les taux d’inflation seraient inférieurs à 1,4 % dans l’ensemble
des pays à l’exception du Sénégal qui enregistrerait une hausse des prix de l’ordre de 1,8 %,
en glissement annuel, en décembre 2013. Par ailleurs, les taux d’inflation seraient négatifs au
Bénin (-2,0 %) et au Burkina (-0,4 %), du fait de l’effet de base positif et de la décrue des prix
des produits alimentaires.
En 2013, le marché boursier régional a été essentiellement orienté à la hausse. L’indice BRVM
10 a progressé de 33,85 % en passant de 184,04 points, le 31 décembre 2012, à 246,34 points le
31 décembre 2013. L’indice BRVM Composite pour sa part, a gagné 39,28 % à 232,02 points au
31 décembre 2013 contre 166,58 points au 31 décembre 2012.
Pour rappel, les indices avaient terminé l’année 2012 en hausses respectives de 16,12 % et 19,95 %
pour le BRVM10 et le BRVM Composite.
Au niveau des indices sectoriels, au cours de l’exercice écoulé, six (6) indices sectoriels sur les
sept (7) que comporte la BRVM se sont orientés à la hausse à l’instar de la tendance générale du
marché.
14
Rapport Annuel BRVM 2013
Ainsi, l’indice BRVM-Transport a été le premier levier de cette progression du marché en
passant de 348,78 points le 31 décembre 2012 à 788,99 points le 31 décembre 2013, soit un gain
de 126,21 %. Il est suivi de l’indice BRVM-Autres Secteurs qui a gagné 90,48 %. Les indices
BRVM-Industrie, BRVM-Distribution, BRVM-Finances et BRVM-Services Publics ont enregistré des
hausses respectives de 55,73 %, 52,62 %, 43,05 % et 39,87 %. Quant à l’indice BRVM–Agriculture, il
a perdu 6,54 % à 372,85 points.
6 000
Milliards de FCFA
5 000
4 000
3 000
2 000
1 000
0
Pour rappel, l’année 2012 a affiché 106 milliards de FCFA de transactions pour 39 382 017 titres échangés
(sans les Transactions Sur Dossier et sans les coupons courus), soit des progressions de 50,31 % en
valeur et 60,31 % en volume au 31 décembre 2013.
Au total, le montant global (tous types de transactions) est de 193,50 milliards de FCFA pour
un volume de 65 664 659 titres échangés, entre le 2 janvier et le 31 décembre 2013 contre
145,84 milliards de FCFA pour 40 914 740 titres échangés sur l’ensemble de l’année 2012, soit
des progressions de 32,68 % en valeur et 60,49 % en volume.
60
Milliards de FCFA
52,01
50
40
32,72
30
16
Rapport Annuel BRVM 2013
4.5 Nouvelles admissions
Obligations
Au cours de l’année 2013, onze (11) nouvelles introductions à la cote ont été enregistrées
sur le marché obligataire pour un montant total de 437,77 milliards de FCFA :
Montant de
Date Valeur
Dénomination Symbole l'emprunt à
d'introduction nominale
l'émission FCFA
11-févr. -13 BHB 6,25 % 2012 - 2017 BHB.O1 10 000 2 000 000 000
11-févr. -13 BOA BURKINA FASO 6,25 % 2012 - 2017 BOABF.O3 10 000 4 000 000 000
11-févr. -13 BOA CÔTE D'IVOIRE 6,25 % 2012 - 2017 BOACI.O2 10 000 4 000 000 000
11-févr. -13 BOA NIGER 6,25 % 2012 - 2017 BOAN.O2 10 000 2 000 000 000
11-févr. -13 BOA SENEGAL 6,50 % 2012 - 2017 BOAS.O2 10 000 2 000 000 000
11-mars -13 TPCI 6,50 % 2012 - 2017 TPCI.O13 10 000 93 682 840 000
18-avr. -13 ETAT DU SENEGAL 6,70 % 2012 - 2019 EOS.O4 10 000 88 103 000 000
7-juin -13 CRRH -UEMOA 6,10 % 2012-2024 CRRH.O2 10 000 19 161 500 000
20-nov. -13 TPCI 6 % 2013-2016 TPCI.O14 10 000 120 880 610 000
27-nov. -13 SIFCA 6,90 % 2013-2021 SIFC.O1 10 000 35 000 000 000
23-déc. -13 ETAT DU SENEGAL 6,50 % 2013 - 2023 EOS.O5 10 000 66 937 180 000
Total 437 765 130 000
Actions
Deux (2) émissions additionnelles ont été effectuées sur le marché des actions durant la
période sous revue pour un montant total de 16,55 milliards de FCFA :
Montants à
Actions
Date Émetteur Opérations l’introduction en
nouvelles
FCFA
Augmentation de capital par incorporation de
30/07/13 BOA BF 200 000 réserves libres et émission d'actions nouvelles 14 300 000 000
gratuites
06/12/13 BOA Niger 50 000 Augmentation de capital en numéraires par OPV 2 250 000 000
Total 250 000 16 550 000 000
Par ailleurs, la BRVM a procédé avec succès au fractionnement des actions de l’Office National
des Télécommunications du Burkina Faso (ONATEL) à raison de dix (10) actions nouvelles pour
une (1) action ancienne, le 29 novembre 2013. Cette opération a fait passer le nombre de
titres de la société de 3 400 000 à 34 000 000 actions.
17
Rapport Annuel BRVM 2013
4.6 Radiations de la cote
Obligations
Cinq (5) emprunts arrivés à maturité ont été radiés au cours de la période sous revue,
pour un montant total de 78,40 milliards de FCFA.
Montant à la
Symbole Dénomination Date de radiation
radiation FCFA
BOAD.010 BOAD 4,75 % 2006 - 2012 07-févr. -13 3 491 680 000
BIDC.O1 BIDC 5,60 % 2006 - 2013 11-août-13 4 828 760 000
CLTB.O2 CELTEL BURKINA FASO 6,35 % 2007 - 2013 17-août-13 1 608 750 000
TPCI.O9 TPCI 6.25 % 2010 - 2013 30-nov. -13 64 752 224 130
BOAD.O7 BOAD 5 % 2005-2013 28-déc. -13 3 719 080 000
Total 78 400 494 130
Actions
Aucune société n’a été radiée de la cote de la BRVM durant l’année 2013. La radiation de
TRITURAF, société en liquidation, prévue pour le 27 novembre a été différée à la demande
du Conseil Régional de l’Epargne Publique et des Marchés Financiers (CREPMF).
640% UNIWAX CI
550,00 %
540%
440%
Les cinq titres les plus actifs sur la période observée sont les suivants :
En volume, ETI TG (54 427 845 actions échangées), SONATEL SN (4 910 275 actions
échangées), TPCI 6,95 % 2009-2014 (773 165 obligations échangées), ONATEL BF (426 098
actions échangées) et TPCI 6,50 % 2011-2016 (230 895 obligations échangées).
1 000 000
900 000 773 165
800 000
700 000
600 000 426 098
500 000
400 000 230 895
300 000
200 000
100 000
0
ETIT SNTS TPCI.O8 ONTBF TPCI.O11
En valeur, SONATEL SN (84,61 milliards de FCFA), ONATEL BF (12,94 milliards de FCFA), SGB CI
(7,28 milliards de FCFA), SAPH CI (5,36 milliards de FCFA) et CIE CI (4,81 milliards de FCFA).
SNTS
Le Comité d’Audit s’est réuni à deux reprises en 2013 : 29 avril 2013 à Abidjan (Côte d’Ivoire)
et 25 octobre 2013 à Lomé (Togo).
Par ailleurs, la réplication, en temps réel, des données de bourse et du dépositaire entre le
Siège et le site de secours de Bamako afin de permettre une reprise à chaud des activités
de cotation et de règlement/livraison a été mis en œuvre. Enfin, la réplication périodique des
données des directions et services de la BRVM a été également mise en œuvre.
5.3.6 Mise en place de l’interface de saisie des ordres pour les SGI
Dans le cadre du développement de ses activités, la BRVM a mis à la disposition des SGI une
interface (FIX Gateway) pour leur permettre de raccorder leur système informatique au système
informatique de la BRVM afin de leur permettre, dans un premier temps, d’éviter les ressaisies
des ordres de leurs clients et, dans un second temps, d’offrir des services de bourse en ligne
pour leurs clients.
Cette interface étant disponible depuis la mise en place du logiciel de cotation Quick Trade en
2012, les spécifications et la documentation ont été transmises à toutes les SGI.
Une bannière d’affichage des cours et indices en temps réel a été également mise en place sur
le site web.
Cette édition, placée sous le Haut Patronage de Son Excellence le Président de la République,
Monsieur Alassane OUATTARA et en présence de son Excellence Monsieur Daniel Kablan DUNCAN,
Premier Ministre, a eu pour thème une question majeure de l’avenir économique du
continent, s’adressant tant aux acteurs économiques africains qu’aux investisseurs internationaux :
« L’Afrique : des promesses aux réalisations, le rôle clé des marchés de capitaux ».
Pendant quatre (4) jours, l’événement a mobilisé trois cent cinquante (350) participants avec
plus de 40 pays représentés, vingt-cinq (25) sponsors et six (6) partenaires. Huit (8) panels ont
été organisés avec trente-sept (37) intervenants et modérateurs. Il a été noté, quinze (15) stands
Après des éditions réussies au Caire (2012) et particulièrement à Marrakech (2011), la 17 ème
Conférence annuelle de l’ASEA constituait une occasion unique pour la BRVM de démontrer aux
acteurs financiers internationaux sa capacité à organiser un évènement de premier plan à
Abidjan et de promouvoir la BRVM au titre des bourses qui comptent en Afrique.
Par ailleurs, afin de sensibiliser les États à se désengager des entreprises publiques par le biais
du marché dans l’optique d’une meilleure valorisation tout en favorisant le développement
de l’actionnariat populaire, la BRVM a organisé des rencontres (journées d’études) à son
Siège avec les Organes en charge des privatisations des pays de l’UEMOA (hors Bénin et
Guinée-Bissau).
Par ailleurs, la BRVM a effectué des visites des bourses de Johannesburg et de Casablanca,
sanctionnées par la signature de MOU (conventions de partenariat).
Plusieurs évènements de proximité ont été également organisés par la BRVM en 2013 notamment
la première édition de l’AfterWork organisé le 3 avril 2013. Elle a été l’occasion de faire
connaitre davantage la BRVM aux chefs d’entreprise de certaines PME de la place. Une trentaine
de Directeurs Généraux y ont pris part.
Des pages de Réseaux sociaux ont été créées sur les quatre plateformes que sont :
Enfin, le site internet de la BRVM a été animé avec la publication de communiqués et articles de
presse, l’aménagement d’une nouvelle page web dédiée aux medias diffusés sur le site,
l’insertion de bannières animées et la création d’un portail pour étoffer la publicité autour du
site.
5.5.1 Recrutement
L’effectif de la BRVM est de 48 agents au 31 décembre 2013 contre 42 au 31 décembre 2012.
Cette évolution répond à l’objectif de renforcement des effectifs suite à de nombreux départs
en 2011 après le dénouement de la crise sociopolitique en Côte d’Ivoire et à la réorganisation
entamée en 2012.
Par ailleurs, plusieurs décisions importantes ont été prises dans le cadre de la gestion administrative.
La conduite générale du projet a été confiée au Cabinet ACA en tant que Maitre d’œuvre.
Les travaux de la première phase ont été pratiquement terminés en 2013. Le personnel a déménagé
dans les étages de l’extension en juillet et août 2013.
Outre la communication permanente des résultats des travaux de l’Audit Interne, le Comité
d’Audit et des Risques a été tenu informé de l’évolution des risques identifiés sur les processus
opérationnels de la BRVM ainsi que des actions déployées dans le cadre de leur gestion. Il en
ressort notamment une nette amélioration sur le plan de la séparation de tâches et une prise en
charge des risques identifiés en termes de sécurité logique des applicatifs ainsi que de continuité
d’activité.
Les états financiers annuels ont été arrêtés par votre Conseil d’Administration.
Il nous appartient, sur la base de notre audit, d’exprimer une opinion sur ces
comptes.
Nous avons effectué notre audit selon les normes professionnelles généralement
admises en Côte d’Ivoire. Ces normes requièrent la mise en oeuvre de
diligences permettant d’obtenir l’assurance raisonnable que les états
financiers ne comportent pas d’anomalie significative. Un audit consiste
à examiner, par sondages, les éléments probants justifiant les données
contenues dans ces états financiers. Il consiste également à apprécier les
principes comptables suivis et les estimations significatives retenues pour
l’arrêté des comptes et à apprécier leur présentation d’ensemble. Nous estimons
que nos contrôles fournissent une base raisonnable à l’opinion exprimée ci-après.
Nous certifions que les états financiers annuels établis conformément aux
règles comptables spécifiques applicables aux intervenants agrées du marché
financier régional de l’Union Econimique et Monétaires Ouest Africaine (UEMOA),
sont réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des
opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du
patrimoine de la société au 31 décembre 2013.
29
Nature et objet
La BRVM met à la disposition du DC/BR des locaux meublés à usage professionnel,
comprenant des équipements informatiques et de télécommunications,
du mobilier et du matériel de bureau.
Modalités
En contrepartie de cette prestation, le DC/BR verse à la BRVM une
contribution annuelle déterminée en fonction de la valeur locative
et des coûts d’amortissement des immobilisations concernées, augmenté
des charges communes d’électricité, d’eau, de sécurité et d’entretien des
locaux à concurrence de 12 % du montant facturé à la BRVM.
Nature et objet
Le DC/BR bénéficie d’une part, de prestations fournies par les services de
la BRVM en matière de gestion des ressources humaines, d’administration, de
gestion financière et comptable, d’informatique et de technologies de
l’information, et d’autre part, de prestations commandées par la BRVM
auprès de conseils juridiques et fiscaux.
Pour l’exercie 2013, les frais refacturés par la BRVM au DC/BR se sont élevés
à 406 370 613 FCFA, et ceux facturés par le DC/BR à la BRVM, à 37 937 637
FCFA.
Nature et objet
Un compte de livraison non rémunéré a été crée pour enregistrer les
transactions réalisées entre la BRVM et le DC/BR.
Modalités
Au 31 Décembre 2013, ce compte présente un solde de 891 542 157 FCFA
en faveur de la BRVM.
34
(1ere Partie)
(en Francs CFA)
20 Titres de transaction -
211-217 Titres de placement (titres propres) 1 508 068 809 1 519 014 408
24 Compte de négociation et de règlements sur opérations sur titres -
29 Moins (--) provisions pour dépréciation - - 8 408 528
B Opérations sur titres 1 508 068 809 1 510 605 880
311 Clients - -
317 Clients, créances rattachées - -
319 Clients, valeurs non imputées - -
Autres. 31 Clients, comptes rattachés - -
321 Clients, prestations de services 1 442 182 549 1 419 719 767
326 Créances clients litigieuses ou douteuses, - -
322 à - -
325,328
Autres clients
33 à 34 Personnels et Comptes rattachés – Organismes sociaux 58 318 034 54 951 219
35 Etat et collectivités publiques 80 315 528 61 209 718
36-38 Autres débiteurs divers 977 602 906 1 178 906 087
39 Moins (--) Dépréciations et risques provisionnés - 177 556 468 - 124 150 140
D Débiteurs divers 2 467 277 626 2 664 779 056
(2ème Partie)
121 à 122 Comptes ordinaires chez les établissements de crédits 21 750 9 580
33 à 34 Personnels et comptes rattachés – Organismes sociaux 151 768 787 128 651 887
600, 601,
Autres charges sur opérations sur titres - -
6087, 609
L Charges externes et charges d’exploitation 1 655 447 793 1 395 714 929
TN Valeur ajoutée
N N-1
N N-1
663 à 667 Dotation aux provisions 53 236 616 238 741 774
Q Dotation aux amortissements et provisions 189 559 938 324 535 480
81-83-85-
Charges hors activités ordinaires - 1 280 595
87
Pertes de l’exercice - -
(2ème Partie)
(du 01 janvier 2013 au 31 décembre 2013)
R Produits sur opérations sur titres 3 769 806 930 3 247 112 492
727 Revenus financiers et produits assimilés 181 938 383 194 678 609
T Autres produits divers d’exploitation 210 471 783 360 983 850
Annexe 4
Dotations aux provisions courtes 53 236 616 E.B.E. 1 184 952 208
Frais financiers 7 773 027 Reprise sur provision courtes 46 350 326
CAFG : Total (II) - Total (I) = 1 391 110 304 (N - 1 ) : 1 112 949 020
AUTOFINANCEMENT (A.F.)
AF = 1 391 110 304 - 1 224 816 000 = 166 294 304 (N - 1) : -418 070 980
Var. B.F.E. = Var. Stocks (2) + Var. Créances (2) + Var. Dettes circulantes (2)
NB: (à l'exclusion des éléments H.A.O. Les acteurs agréés n'ayant pas de stocks, la variation de stock est nulle)
Les rares stocks sont comptabilisés en charges constatées d'avance (autres créances)
Emplois Ressources
Variation des créances : N - (N - 1) augmentation (+) diminution (-)
Annexe 4 (suite 1)
Emplois Ressources
Variation des dettes circulantes : N - (N - 1) diminution (-) augmentation (+)
Risques provisionnés ou
ou
N N-1
- Variation du B.F.E.(- si emplois ; + si ressources) (- ou +) 211 758 116 -30 892 711
Exercice
Exercice N
N-1
Emplois Ressources (E - ; R +)
I. INVESTISSEMENTS
ET DESINVESTISSEMENTS
Charges immobilisées
(augmentations dans l'exercice) /////////////////////
Croissance interne
Acquisition/Cession de titres (transaction, placement,
comptes divers) 65 048 336 75 993 935
Acquisitions/Cessions d'immobilisations
incorporelles 299 193 475
Acquisitions/Cessions d'immobilisations
corporelles 690 332 238 491 883 746
Croissance externe
Acquisitions/Cessions d'immobilisations
financières 47 060 768 40 921 370
Exercice
Exercice N
N-1
Emplois Ressources (E - ; R +)
V. FINANCEMENT INTERNE
Dividendes (emplois) / C.A.F.G. (Ressources) 1 224 816 000 1 391 110 304
D - EXCEDENT OU INSUFFISANCE DE
RESSOURCES DE FINANCEMENT (C-B) 105 126 400 ou
Trésorerie nette
Variation Trésorerie :
(+ si Emploi ; - si Ressources) -105 126 400 ou 105 126 400
L’Assemblée Générale Ordinaire des actionnaires de la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières
(BRVM), après avoir entendu lecture du Rapport du Conseil d’Administration sur l’activité et
la situation de la société pendant l’exercice clos le 31 décembre 2013 et sur les comptes dudit
exercice ainsi que des Rapports des Commissaires Aux Comptes sur l’exécution de leur mandat,
les approuve ainsi que les comptes et les états financiers de l’exercice, tels que présentés et qui
font apparaître un résultat bénéficiaire de 1 254 786 982 Francs CFA.
DEUXIEME RESOLUTION
L’Assemblée Générale après avoir entendu lecture du Rapport spécial présenté par les Commissaires
Aux Comptes sur les conventions visées aux articles 438 et suivants de l’Acte Uniforme relatif au
Droit des Sociétés Commerciales et du Groupement d’Intérêt Economique du traité de l’OHADA,
l’approuve.
TROISIEME RESOLUTION
QUATRIEME RESOLUTION
L’Assemblée Générale, après avoir entendu lecture du Rapport de gestion du Conseil d’Administration
sur la marche de la société au cours de l’exercice social clos le 31 décembre 2013 et le Rapport
général des Commissaires Aux Comptes sur l’exécution de leur mandat, donne quitus aux
Administrateurs pour leur gestion et décharge aux Commissaires Aux Comptes pour l’exécution
de leur mandat.
CINQUIEME RESOLUTION
SIXIEME RESOLUTION
L’Assemblée Générale donne mandat au Conseil d’Administration afin de prendre toutes les dispositions
nécessaires en vue de saisir tous les Organes et Institutions communautaires, en application des
textes en vigueur, pour un dénouement urgent du dossier de la tarification qui préserve l’intérêt
des actionnaires de la BRVM.
SEPTIEME RESOLUTION
L’Assemblée Générale confère tous pouvoirs au porteur des copies ou d’extraits des présentes
à l’effet d’accomplir toutes formalités légales postérieures consécutives aux décisions de la
présente Assemblée.
- oOo -
Rapport Annuel BRVM 2013 48
REPERTOIRE DES SGI ET EMETTEURS
BURKINA FASO
CORIS BOURSE S.A 1242 Avenue Dr Kwame Nkrumah, T : (226) 50 33 14 85/50 72 73 corisbourse@corisbourse.com
Immeuble Coris Bank International, 01 F : (226) 50 33 14 83
BP 6585 Ouagadougou 01
SBIF Avenue de la Résistance du 17 T: (226) 50 33 04 91/92 sbif@sbifbourse.bf
mai/Immeuble CGP 01 BP 5394 F: (226) 50 33 04 90
Ouagadougou 01
CÔTE D'IVOIRE
AFRICAINE DE BOURSE 34, BD DE LA REPUBLIQUE 01 BP 1300 T: (225) 20 21 98 26 africaine.bourse@sib.ci
ABIDJAN F: (225) 20 21 98 27
BICI BOURSE RUE GOURGAS - TOUR BICICI, 01 BP 1298 T: (225) 20 20 16 68 F:(225) 20 bicibourse@africa.bnpparibas.com
ABIDJAN 21 47 22
BNI FINANCE AV. MARCHAND, 14ème étage IMMEU BLE T:(225) 20 31 07 77 bnifinances@bni.ci
BELLERIVE PLATEAU 01 BP 670 ABIDJAN F:(225) 20 31 07 78
01
CITICORP SECURITIES IMM. BOTREAU ROUSSEL, 28 AVENUE T: (225) 20 20 90 00/01 noelie.gan sah@citigroup.com
WEST AFRICA DELAFOSSE 01 BP 3698 ABIDJAN 01 F: (225) 20 21 76 85
HUDSON & Cie 8-10, AVENUE JOSEPH ANOMA, Tour BIAO T: (225) 20 31 55 00/02 info@hudson cie.com Site Web:
9ème étage, 18 BP 2294 ABIDJAN 18 F: (225) 20 33 22 24 www.hudson cie.com
PHOENIX CAPITAL Avenue Lamblin, Plateau, 17ème étage T: (225) 20 25 75 90 cms@phoenixafrica.com Site Web:
MANAGEMENT Immeuble BIAO 01 BP 12 686 Abidjan 12 F: (225) 20 25 75 99 www.phoenix
SGI IMPAXIS CAPITAL 13D Rue des Ecrivains point E BP 45545 T:(221) 33 869 31 40/47 patrick.brochet@impaxiscapital.com
SA DAKAR FANN F: (221) 33 864 53 41
TOGO
SGI TOGO S.A PLACE VAN VOLLENHOVEN,UTB Centrale T: (228) 22 22 31 45 Sgi togo@ids.tg
3ème Etage BP 2312 LOME F: (228) 22 22 31 47
SOCIÉTÉS COTEES
Dénomination Nom de la société Adresse - Téléphone
AIR LIQUIDE CI Air Liquide Côte d'Ivoire 131 Boulevard de Marseille, 01 BP 1 753 Abidjan 01, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 21-21-04-40 Fax: (225) 21-35-80-96
BERNABE CI BERNABE Côte d'Ivoire 99 Bd de Marseille, 01 BP 1867 ABIDJAN 01, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 21 35-20-92 Fax: 21-35-48-84
BICI CI Banque Internationale pour le Commerce et l'Industrie de Côte d'Ivoire Avenue Franchet d'Espérey, 01 BP 1298 ABIDJAN 01, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 20 20-16-05 Fax: 20-20-17-00
Ouagadougou, 770, Avenue du Président Aboubacar Sangoulé LAMIZANA, 01 BP 1319 OUAGADOUGOU 01, Burkina Faso -
BOA BF Banque of Africa - Burkina faso
Tél: 226 50 30 88 70 à 73 - Fax: 226 50 30 88 74 - Email: boadg@fasonet.br - Site: www.boaburkinafaso.com
Avenue Jean-Paul II - 08 BP 879 Cotonou, BENIN - Tél.: (229) 21-31-32-28 Fax: (229) 21-31-31-17
BOA BN Banque of Africa - Bénin
Email: information@boabenin.com
Angle Avenue Terrason de Fourgères rue Gourgas, 01 BP 4132 ABIDJAN 01, CÔTE D'IVOIRE - Tél: 20-30-34-00
BOA CI Banque of Africa - Côte d'Ivoire
Fax: 20 30 34 01
BOLLORE AFRICA LOGISTICS CI BOLLORE AFRICA LOGISTICS Côte d'Ivoire Avenue Christiani - Treichville,BP 1727 ABIDJAN 01, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 21-22-04-20 Fax: (225) 21-22-07-90
CFAO CI Compagnie Française de l'Afrique Occidentale en Côte d'Ivoire Carrefour du CHU de Treichville, 01 BP 2114 Abidjan 01, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 21-75-11-60 Fax: (225) 21-75-18-18
CIE CI Compagnie Ivoirienne d'Electricité Avenue Christiani - Treichville, 01 BP 6923 ABIDJAN 01, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 21-23-30-00 Fax: (225) 21-23-30-60
CROWN SIEM CI CROWN SIEM (Société Ivoirienne d'Emballage Métallique) Bld Giscard d'Estaing, 01 BP 1242 ABIDJAN 01, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 21-75-90-00 Fax: (225) 21-35-03-94
ETI TG Ecobank Transnational Incorporated Togo 2 Rue du Commerce, BP 3261 Lomé, TOGO - Tél.: (228) 22 21 03 03/ 22 21 31 68 Fax: (228) 22 21 51 19
FILTISAC CI Filature, Tissage, Sacs de Côte d'Ivoire KM8 - Route d'Adzopé, 01 BP 3962 ABIDJAN 01, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 20 30-46-00 Fax: (225) 20-30-46-46
MOVIS CI Société Ivoirienne d'Opérations Maritimes Rue des containers, 01 BP 1569 ABIDJAN 01, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 21-21-86-00 Fax: (225) 21-35-12-63
Nouvelles Editions Ivoiriennes - Centre d'Editions et de Diffussion 1 Boulevard de Marseille, 01 BP 1818 ABIDJAN 01, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 21-21-64-70 Fax: 21-21-64-86
NEI-CEDA CI
Africaines de Côte d'Ivoire Email: edition@nei-ci.com
NESTLE CI NESTLE-Côte d'Ivoire Cocody Rue du Lycée Technique, 01 BP 1840 ABIDJAN 01, CÔTE D'IVOIRE- Tél.: (225) 22-40-62-35 Fax: (225) 22-44-43-43
ONATEL BF Office National des Télécomunications du Burkina Faso 705 Avenue de la nation 01 BP 10 000 Ouagadougou 01, BURKINA FASO - Tél.: (226) 50-49-44-49 Fax: (226) 50-30-18-69
PALM CI PALM Côte d'Ivoire Immeuble SIFCA, 18 BP 3321 ABIDJAN 18 - Tél..: (225) 21-21-09-00/07 Fax: (225) 21-21-09-30
SAFCA CI Société Africaine de Crédit Automobile de Côte d'Ivoire 1 Rue des carrossiers, 01 BP 27 ABIDJAN 01, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 21-21-07-07 Fax: (225) 21-21-07-02
SAPH CI Société Africaine de Plantation d'Hévéas de Côte d'Ivoire Treichville, Rue des Galions, 01 BP 1322 ABIDJAN 01, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 21-75-76-29 Fax:(225) 21-75-76-42/43
Aéroport International FHB, 07 BP 8 ABIBJAN 07, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 21-27-80-46/ 21-27-82-50
SERVAIR ABIDJAN CI SERVAIR ABIDJAN
Fax: (225) 21-27-87-72
SETAO CI Société d'Etudes et de Travaux pour l'Afrique de l'Ouest Immeuble SIDELAF Zone 3, 01 BP 925 ABIDJAN 01 - CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 21-75-50-00 Email: setao@sidelaf.ci
SGB CI Société Générale de Banques en Côte d'Ivoire Avenue Joseph Anoma, 01 BP 1355 ABIDJAN 01, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 20 20-13-18/13 Fax: (225) 20-20-13-03
Rue du textile Zone Industrielle de Vridi, 15 BP 35 ABIDJAN 15, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 21-21-35-35 Fax: (225) 21-21-35-45
SICABLE CI Société Ivoirienne de Câbles
Email: contact@sicable.ci
SICOR CI Société Ivoirienne de Coco Râpé IMMEUBLE COCA COLA 04 BP 973 ABIDJAN 04, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 20 21 05 14 Fax: (225) 23-46-68-10
Zone 4C Rue Thomas Edison-Immeuble EDISON 2ème étage (200 m après HONDA), 01 BP 724 ABIDJAN 01, CÔTE D'IVOIRE
SITAB CI Société Ivoirienne des Tabacs
Tél.: (225) 21-21-88-04/37 Fax: (225) 21-21-88-10/90
SMB CI Société Multinationale de Bitume de Côte d'Ivoire Vridi - Bld Petit Bassam 12 BP 622 ABIDJAN 12 COTE D'IVORE - Tél.: (225) 21-23-70-70 Fax: (225) 21-27-05-18
SODE CI Société de Distribution d'Eau de Côte d'Ivoire Avenue Christiani - Treichville,BP 1843 ABIDJAN 01, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 21-23-30-00 Fax: (225) 21-23-30-60
21 Route du Lycée Technique-Cocody, 17 BP 18 Abidjan 17, 01 BP 365 San-Pédro, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 22-48-00-38/
SOGB CI Société des Caoutchoucs de Grand-Béréby de Côte d'Ivoire
34-72-15-21, Fax: (225) 22-44-33-82/ 34-72-15-02/05
SOLIBRA CI Société de Limonaderies et Brasseries d'Afrique Rue Canal ZONE 3, 01 BP 1304 ABIDJAN 01, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 21-21-12-00 Fax: (225) 21-35-97-91
SONATEL SN Société Nationale de Télécommunication du Sénégal 6 Rue WAGANE DIOUF, BP 69 DAKAR, SENEGAL - Tél.: (221) 33-839-12-00 Fax: (221) 33-839-12-12
TOTAL CI TOTAL Côte d'Ivoire Centre Nour Al Hayat, 01 BP 336 ABIDJAN 01, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 20 -31-61-16 Fax: 20-33-42-08
Km 4 -Boulevard de Marseille Zone 3 Abidjan, 01 BP 1272 Abidjan 01, CÔTE D'IVOIRE- Tél.: (225) 21-75-03-00/40
TRACTAFRIC MOTORS CI Tractafric Motors Côte d'Ivoire
Fax: (225) 21-75-03-45 Email: courrier@sdaci.net
Société ivoirienne de trituration de graines oléagineuses et de raffinage Zone Industrielle - 01 BP 1845 BOUAKE 01 - Tél.: (225) 21-75-20-00 / 31 63-26-43 / 31 63-26-42 Fax: (225) 21-75-20-47/
TRITURAF CI - Société en liquidation
d'huiles végétales 31-63-43-54
UNILEVER CI Huilerie-Savonnerie Lipochimie - Côte d'Ivoire Boulevard de vridi - 01 BP 1551 ABIDJAN 01, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 21-75-44-00 Fax: 21-24-68-14
UNIWAX CI UNIWAX Côte d'Ivoire Yopougon-Gare, 01 BP 3994 Abidjan 01, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 23-46-64-15 Fax: (225) 23-46-69-42
VIVO ENERGY CI VIVO ENERGY Côte d'Ivoire Rue des Pétroliers, 15 BP 378 ABIDJAN 15, CÔTE D'IVOIRE - Tél.: (225) 21-75-27-27 Fax: (225) 21-27-53-19 / 21-27-24-99