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Tutor I El Maple
Tutor I El Maple
Maple
Été 2003
Table des Matières
Introduction
Démarrage
Notions de bases
Feuille de travail
Les feuilles de travail de Maple ne sont pas séquentielles, il est donc possible
d’exécuter les commandes dans l’ordre voulu. De plus, lors d’une erreur lors de
l’entré d’une commande, il n’est pas nécessaire de retaper la commande, il suffit
de retourner à la commande, la modifier et l’exécuter une seconde fois, en
appuyant sur le retour de chariot.
Ajouter du texte
Les feuilles de travail peuvent aussi accueillir du texte explicatif. L’ajout de texte
se fait en écrivant le texte avant le symbole d’invite de commande. La méthode
la plus simple est de placer le curseur juste devant le symbole « > » et d’appuyer
sur la flèche de gauche du clavier ou en appuyant sur l’icône de feuille d’érable
verte de la barre de menu. Voici un exemple :
On voit dans l’exemple qu’il est possible de formater à sa guise le texte et même
de changer la police du texte, la forme du paragraphe, le style d’écriture, etc.
Lorsqu’on est en mode syntaxe Maple, les commandes sont entrées directement
dans la ligne de commande comme ceci :
Alors qu’en mode Mathématique Standard, les commandes sont entrées dans
une boîte de texte au dessus de la feuille de travail comme on le voit ici :
>sin(x);
>%^2
équivaut à :
>sin(X)^2
Sections et sous-sections
À l’intérieur d’une feuille de travail il est possible de créer des sections et des
sous-sections. Pour y parvenir, appuyer sur le bouton de la barre de menu.
Les sous-sections permettent de bien identifier une partie du calcul et facilite la
visualisation de l’ensemble de la feuille de travail en cachant ou en révélant une
portion du calcul.
+ Addition
- Soustraction
* Multiplication (la multiplication est obligatoire : pour évaluer 3x on
doit absolument entrer 3*x)
/ Division
^ Puissance
! Factorielle
Les commandes Maple sont toutes en minuscule, il est donc important de faire
attention lors de l’entré des commandes puisque le logiciel Maple est sensible à
la casse. Cependant certains noms de constantes commence par une lettre
majuscule comme Pi (π).
Pi 3.141592654…
infinity Plus grande valeur représentable par Maple
exp(1) 2.718281828
Sommes et produit
Puisque Maple affiche toujours la réponse exacte, il est normal d’obtenir des
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réponses du genre . Comme nous l’avons vu précédemment, il est possible
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d’obtenir le résultat numérique sous la forme d’un nombre à virgule flottante en
utilisant la fonction evalf().
Nombres Complexes
Sous Maple les nombres complexes sont représentés avec le I (i majuscule). Par
exemple, les nombre 3+4i et -5i serait représenté comme suit :
>3+4*I;
>-5I;
Puisque Maple est sensible à la casse, il est très important d’utiliser la notation i
majuscule.
Paquetages
Les fonctions Maple ne sont pas toutes prédéfinies, il est parfois nécessaire de
les charger. Maple mets à notre disposition une multitude de paquetages
(packages) contenant un grand nombre de fonctions. Les paquetages sont
regroupés par domaine.
Plots
>with(plots) :
Exemple :
>plot(sin(x),x=0..2*Pi,y=-2..2);
>plot([sin(t),cos(t),t=-Pi..Pi]);
>plot3d(sin(x+y),x=0..Pi,y=0..Pi);
>spacecurve([cos(t),sin(t),t],t=0..4*Pi);
Linalg
Celui-ci contient les commandes pour travailler avec des vecteurs. Si l’on veux
définir et utiliser les vecteurs il est nécessaire de charger ce paquetage avec la
commande :
>with(linalg) :
>v1 :=vector([1,2,3]);
>v2 :=vector([2,3,4]);
Ces commandes crées deux variables de type vecteur constituées des valeurs 1,
2, 3 et 2, 3, 4.
>m1 :=matrix(2,2,[5,4,6,3]);
pour construire une matrice 2 par 2 avec les valeur 5 et 4 pour la première ligne
et 6 et 3 pour la deuxième.
Variables
Les variables sous Maple sont représentées par un nom contenant des lettres,
chiffres et/ou le caractère « _ ». Il est cependant préférable de commencer le
nom de la variable avec une lettre. Une autre chose à ne pas oublier est que
Maple est sensible à la casse, donc deux variables, par exemple, temp et Temp,
sont considérées différentes.
Maple travaille facilement avec la forme symbolique. Les variables non
initialisées sont donc traitées comme des inconnus.
Exemple :
>temp :=x^2+2;
>a :=22;
Dérivées
Les dérivées partielles sont évaluées à l’aide de la fonction diff(). Une autre
fonction est accessible pour afficher une dérivée sans l’évaluer : Diff(). La
commande est utilisée avec la syntaxe suivante :
>diff(x^3+3*y^2+8,x);
>diff(x^3+3*y^2+8,x,y,x);
Intégrales
Les intégrales définies et indéfinies peuvent être facilement évaluées par Maple
en utilisant la fonction int(). Comme dans le cas des dérivées, il est possible
d’afficher une intégrale sans l’évaluer en utilisant la fonction Int(). La commande
s’écrit de la manière suivante :
>int(x^2+4*x+5,x=0..5);
>int(x^2+4*x+5,x);
>int(int(x^2+3*y,x),y);