Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Les Comptes Nationaux Base 2007 (2007-2012) PDF
Les Comptes Nationaux Base 2007 (2007-2012) PDF
Base 2007
2007-2012
H.C.P
Sigles et abréviations
SIGLES ET ABREVIATIONS
SOMMAIRE
7.3 - TABLEAU DES OPERATIONS FINANCIERES : 2009 - VARIATION DES ACTIFS ..................................................... 140
7.3 - TABLEAU DES OPERATIONS FINANCIERES : 2009 (SUITE) - VARIATION DES PASSIFS ......................................... 141
7.4 - TABLEAU DES OPERATIONS FINANCIERES : 2010 - VARIATION DES ACTIFS ..................................................... 142
7.4 - TABLEAU DES OPERATIONS FINANCIERES : 2010 (SUITE) - VARIATION DES PASSIFS ........................................ 143
7.5 - TABLEAU DES OPERATIONS FINANCIERES : 2011 - VARIATION DES ACTIFS ..................................................... 144
7.5 - TABLEAU DES OPERATIONS FINANCIERES : 2011 (SUITE) - VARIATION DES PASSIFS ........................................ 145
7.6 - TABLEAU DES OPERATIONS FINANCIERES : 2012 - VARIATION DES ACTIFS ..................................................... 146
7.6 - TABLEAU DES OPERATIONS FINANCIERES : 2012 (SUITE) - VARIATION DES PASSIFS ........................................ 147
INTRODUCTION
Les comptes nationaux constituent une des composantes essentielles du système national
d’information statistique. Leur mise en œuvre se fait en référence à une norme mondialement
reconnue. Il s’agit du système de comptabilité nationale(SCN), adopté par la commission
statistique des Nations Unies, qui fixe les concepts et définitions, les nomenclatures, les modes
de valorisation ainsi que les comptes à compiler.
Les comptes nationaux fournissent une description synthétique, la plus fidèle possible, de la
réalité économique selon un schéma cohérent et intégré. Ils permettent de disposer
d’indicateurs d’évolution en valeur et en volume pour évaluer les performances de l’économie
nationale dans le temps.
Les comptes nationaux sont établis, avec une année de base, qui constitue en général l'année de
référence des agrégats macroéconomiques. Cependant, au fur et à mesure que l’on s’éloigne de
l’année de base, la qualité des comptes se dégrade. Il devient, ainsi, impératif de la renouveler
pour appréhender, avec plus de précision, les changements qui affectent les structures de
l’économie.
- La troisième raison est le souci d’améliorer la qualité des comptes qui peut être
dégradée par l’éloignement de l’année de base. En effet, les erreurs sur les
évolutions annuelles peuvent se cumuler et les choix méthodologiques ou les
Neuf ans après, une nouvelle année de base des comptes nationaux, en l’occurrence 2007, a été
mise en place. Le passage à cette année de base a été l’occasion de consolider l’expérience de la
comptabilité nationale marocaine, d’intégrer des innovations du nouveau système de
comptabilité nationale des Nations Unies (SCN 2008) et d’améliorer la couverture des
comptes grâce à la réalisation d’une première enquête sur les Institutions sans but lucratif
(ISBL).
Le passage des comptes nationaux marocains de la base 1998 à la base 2007 se caractérise par
l’intégration de changements conceptuels, le maintien des nomenclatures d’activités et de
produits qui fondent la comptabilité nationale et par un effort particulier au niveau des
méthodes et de mobilisation des sources statistiques afin que ces comptes continuent à refléter
la réalité économique.
Le travail, ainsi effectué, a abouti à la production des comptes et tableaux de la série allant de
2007 à 2012, il s’agit de :
Le présent document fournit les résultats complets des comptes nationaux et des tableaux de
synthèse produits selon l’année de base 2007 et en conformité avec le SCN 2008. Ils
concernent la série des années allant de 2007 à 2012. Ces résultats, présentés sous forme de
comptes et de tableaux, sont accompagnés des principaux aspects conceptuels et de définitions
retenues pour la confection de ces comptes, des changements apportés par le SCN 2008 et pris
en compte dans l’établissement de cette nouvelle base ainsi que d’une comparaison des
résultats de l’année 2007 entre les deux bases (1998 et 2007).
I - PRINCIPAUX ASPECTS
CONCEPTUELS ET DEFINITIONS
- les enclaves territoriales, c’est-à-dire les territoires géographiques situés dans le reste
du monde et utilisés, en vertu de traités internationaux ou d’accords entre Etats,
par les administrations publiques marocaines (ambassades, consulats,…) ;
1.2 - Résidence
La résidence est un attribut important dans le système de comptabilité nationale. Le statut de
résident des producteurs détermine les limites de la production intérieure et influe sur
l'évaluation du produit intérieur brut et de nombreux flux importants. Le concept de
résidence adopté dans le SCN comme dans la balance des paiements n'est déterminé ni par la
nationalité ni par un critère juridique, mais il est basé sur la possession d’un centre d'intérêt
économique sur le territoire économique du pays de l’unité institutionnelle.
Dès lors, si une unité effectue dans ces conditions des opérations sur des territoires
économiques dans plusieurs pays, elle sera réputée avoir un centre d’intérêt économique dans
chacun de ceux-ci. La propriété d’un terrain ou d’un bâtiment sur le territoire économique est
suffisante pour conférer au propriétaire un centre d’intérêt économique dans le pays.
Le secteur des ISBLSM a été, contrairement à la base 1998, isolé du secteur des ménages. Cette
opération a été rendue possible avec la réalisation de l’enquête sur les institutions sans but
lucratif.
2.4 - Branches
Le découpage de l’économie nationale par le biais de l’unité institutionnelle ne constitue pas le
contour le plus adéquat pour mener des analyses de l’ensemble des flux intervenant dans les
processus de production. C’est pourquoi le SCN propose la décomposition des unités
institutionnelles en établissements pour permettre la mise en évidence des relations d’ordre
technico-économique de ce processus. L’établissement est défini comme l’unité statistique la
plus fine pour laquelle il est possible de disposer des informations sur la production
(production par produit, inputs par type de produits, salaires, emploi,…). Les établissements
sont classés par branche d’activités conformément à la nomenclature d’activités en vigueur
selon l’activité principale (activité qui fournit la principale production).
3- Système d’évaluation
Les opérations sur biens et services dans les comptes nationaux sont évaluées aux prix effectifs
convenus entre les unités économiques. Les prix du marché constituent donc la référence de
base pour la valorisation de ces opérations. La production vendue et la production stockée
sont évaluées aux prix de base, les importations par produit aux prix CAF, l’ensemble des
importations et des exportations aux prix FAB et les autres emplois de biens et services aux
prix d’acquisition.
distribution (marges de commerce) et les frais de transport acquittés séparément par l'acheteur
pour prendre possession des produits au moment et au lieu voulus.
Bien que le total des importations soit évalué en fonction de la valeur FAB, le SCN stipule,
pour des raisons informationnelles, que les importations réparties par produit ou groupe de
produits doivent être évaluées en fonction de leur valeur « coût, assurance et fret » (CAF). La
valeur CAF est équivalente au prix d’un bien à la frontière du pays importateur, avant le
paiement des droits sur les importations ou autres impôts.
Le compte du reste du monde suit pour l’essentiel la structure comptable générale, mais il s’en
écarte tout de même légèrement pour que l’accent puisse être mis sur les caractéristiques
propres aux opérations avec l’extérieur. Il est établi du point de vue de l’extérieur. Une
ressource pour le reste du monde est donc un emploi pour la nation et réciproquement. Si un
solde comptable est positif, cela signifie un excédent pour le reste du monde et un déficit pour
la nation, et inversement si le solde est négatif.
Cependant, dans la pratique les unités statistiques de base correspondent en général aux
entreprises et non pas aux établissements. De ce fait, l’analyse n’est effectuée, qu’en partie, par
branche, et les comptes de production et d’exploitation sont établis par secteurs d’activité
(entreprises classées selon l’activité principale). Par abus de langage, les secteurs d’activité sont
aussi appelés branches.
Pour chaque position de la nomenclature de produits retenue, l’ERE fournit d’un côté les
ressources (disponibilités des produits à l’intérieur du territoire économique du pays) du
produit ou groupe de produits concerné et de l’autre les emplois (utilisations de ces produits)
réalisés au cours de la période comptable.
Le TRE occupe une place privilégiée pour l’analyse de la sphère de production et des relations
entre l’offre et la demande par produit. Ce tableau est utilisé, en outre, comme instrument de
l’intégration de toutes les sources statistiques disponibles. Il permet, en particulier, d’assurer la
cohérence des trois approches possibles pour le calcul de l’agrégat central qu’est le PIB. Il est
construit, à l’instar des ERE et des comptes de branches, en valeur courante et en volume, sauf
la partie relative au partage de la valeur ajoutée.
Le TRE rassemble, dans un même cadre comptable, les comptes de biens et services par
produit et les comptes de branches. Il fournit en plus, pour chaque branche, la ventilation de
la production effective par produit (produit principal et produits secondaires) et de la
consommation intermédiaire par produit.
Il se décompose en deux sous tableaux : le tableau des ressources et le tableau des emplois. Le
second sous tableau est décomposé en trois quadrants :
Le TCEI récapitule tous les comptes nationaux des secteurs institutionnels, de l’économie
totale (l’ensemble de l’économie nationale) et du reste du monde. Il permet d’avoir une
représentation synthétique de l’ensemble des comptes de l’économie au cours d’une année,
offrant ainsi la structure de base pour, entre autres, réaliser des analyses économiques d’une
manière combinée et intégrée et la lecture directe des agrégats économiques.
Le TOF résulte de l'agrégation des comptes financiers des secteurs institutionnels. Il a pour
objet de retracer l'ensemble des opérations financières afin de faire ressortir les équilibres par
opération. Il permet, également, de faire apparaître les différents flux et circuits financiers, en
passant de la création à la collecte puis à la mise en œuvre des moyens de financement
nécessaires à l'économie. Ce tableau fournit, ainsi, des renseignements sur le comportement
financier des différents secteurs et décrit comment la capacité de financement des agents
économiques (ayant un excédent de financement) est mise à la disposition des agents
déficitaires (ayant un besoin de financement). Le TOF est donc un tableau de synthèse
cohérent qui reprend les secteurs institutionnels en colonne et les opérations en ligne.
comptes nationaux en base 2007, sont élaborées selon les nomenclatures standards de ces
comptes.
La matrice de comptabilité sociale se présente sous la forme d’un tableau à double entrée où,
pour une année donnée, sont enregistrés les flux comptables (ou les transactions des recettes et
des dépenses de l’économie étudiée). Les lignes désignent les ressources et les colonnes les
emplois.
Dans une matrice agrégée de comptabilité sociale, les deux premiers comptes, à savoir le
compte de biens et services et le compte de production, constituent une version agrégée du
tableau des ressources et des emplois, dont les lignes et les colonnes des ressources et des
emplois ont été transposées.
Les comptes de biens et services par produit et les comptes de production par branches sont
compilés aux prix courants et aux prix de l’année précédente. L’évolution annuelle de la valeur
courante (évaluation aux prix courants) d’une variable est décomposée en variations annuelles
synthétiques du volume et des prix de cette variable. Cette décomposition est exprimée par la
relation suivante :
Le volume de l’année (t) de la variable étudiée (Volume (t)) correspond à la valeur des
quantités de l’année (t) évaluée aux prix de (t-1). Cette méthode ne permet pas, toutefois, de
fournir une série des comptes en volume longue et cohérente dans le temps.
Pour remédier à cette situation, il faudrait reconstituer chaque variable concernée, pour
chaque année, aux prix d’une année de référence fixe (0) (le choix peut porter par exemple sur
l’année de base ou toute autre année). Pour ce faire, le volume de l’année (t) exprimé aux prix
de l’année de référence (0) s’obtient par la multiplication de la valeur de (0) par l’indice de
variation en volume de la variable concernée entre (0) et (t). Ce dernier est obtenu par la
multiplication des indices de variations annuelles en volume chaînés entre (0) et (t) :
où :
IVOCH (t/0) : indice chaîné de variation en volume entre l’année (0) et l’année (t)
IVO (t/t-1) : indice de variation annuelle du volume entre l’année (t) et l’année (t-1)
IP (t/t-1) : indice de variation annuelle des prix entre l’année (t) et l’année (t-1)
IPCH (t/0) : indice chaîné des prix de la variable concernée entre l’année (0) et l’année (t)
VOCH (t) : volume chaîné de la variable concernée de l’année (t) aux prix de l’année (0)
A noter que dans le cadre de construction de comptes chaînés, la propriété d’additivité des
indices n’est plus vérifiée. Les comptes en niveaux ne sont plus équilibrés et la somme des
variables chaînées n’est pas égale à la somme chaînée de ces variables, mais les variations
annuelles des variables étudiées restent inchangées. Par exemple :
Valeur ajoutée globale chaînée en volume de l’année (t) ≠ somme des valeurs ajoutées en volume
chaînées par branche de l’année (t)
et :
Valeur ajoutée en volume chaînée de (t) / Valeur ajoutée en volume chaînée de (t-1)
=
Valeur ajoutée de (t) aux prix de (t-1) / Valeur ajoutée en valeur courante de (t-1)
- Optique production : le PIB au prix du marché est la somme des valeurs ajoutées
brutes de toutes les unités productrices résidentes (secteurs institutionnels ou
branches d'activité), augmentée des impôts nets de subventions sur les produits
(lesquels ne sont pas affectés aux secteurs institutionnels et aux branches d’activité
économique). La valeur ajoutée par secteurs d’activité (ou par branche) correspond à
la différence entre la production effective (production totale du secteur d’activité y
compris les productions secondaires) et le total des consommations intermédiaires
du secteur d’activité.
- Optique dépense : le PIB au prix du marché est la somme des emplois finals de biens
et de services (dépenses de consommation finale, formation brute de capital fixe,
variation des stocks et exportations moins importations de biens et services).
A la différence du PIB qui est défini comme la totalité des revenus générés sur le territoire
économique par les activités de production, le RNB correspond aux revenus perçus par les
agents économiques résidents quelque soit le lieu de leur production.
Après la consolidation des comptes des secteurs institutionnels, le RNB peut être calculé par la
relation suivante :
RNB = PIB
+ Rémunération des salariés perçue du reste du monde
- Rémunération des salariés versée au reste du monde
+
Revenus de la propriété perçus du reste du monde
-
Revenus de la propriété versés au reste du monde
RNBD = RNB
+ Impôts sur le revenu et le patrimoine reçus du reste du monde
- Impôts sur le revenu et le patrimoine versés au reste du monde
+ Cotisations et prestations sociales reçues du reste du monde
- Cotisations et prestations sociales versées au reste du monde
+ Autres transferts courants reçus du reste du monde
- Autres transferts courants versés au reste du monde
- pour les ménages : revenu disponible brut augmenté des transferts sociaux en
nature provenant du secteur des Administrations Publiques et des ISBLSM;
- pour les Administrations Publiques et les ISBLSM: revenu disponible brut diminué
des transferts sociaux en nature versés au secteur des ménages.
Elles concernent les Administrations Publiques, les ménages et les institutions sans but lucratif
au service des ménages (ISBLSM). Les dépenses de consommation finale des Administrations
Publiques comprennent les acquisitions de biens et services de consommation individuels et
collectifs. Celles des ménages recouvrent les dépenses consacrées par les ménages résidents à
l'acquisition de biens et de services de consommation individuels en vue de la satisfaction
directe des besoins humains «individuels». Pour les ISBLSM, les dépenses de consommation
finale, y compris la dépense imputée, couvre les dépenses que ces institutions consacrent à des
biens et services de consommation individuelle.
Il convient de noter, par ailleurs, que les ISBLSM n’ont pas de consommation finale effective
parce que tous leur services sont individuels et sont ainsi considérés comme des transferts
sociaux en nature au profit des ménages.
II - PRINCIPAUX CHANGEMENTS DE
LA BASE 2007
Les Comptes nationaux ont pour principal objectif de fournir une représentation aussi précise
que possible de la réalité économique d’un pays. Or, cette dernière change continuellement.
En conséquence, et afin de fournir aux utilisateurs des données pertinentes, ces comptes
doivent être régulièrement révisés. Ces révisions peuvent porter sur des changements de
concepts et de définitions, des changements méthodologiques comme elles permettent de
prendre en compte de nouvelles informations statistiques.
Ainsi, les comptes nationaux de la base 2007 ont, en s’adaptant au SCN 2008, permis à la fois
d’introduire certaines innovations apportées par ce système et d’intégrer de nouvelles données
de base permettant de prendre en considération les changements de structures de l’économie
marocaine.
L’élaboration des comptes nationaux en base 2007 a nécessité le recours à une multitude de
données émanant de diverses sources statistiques. Il s’agit essentiellement :
- des enquêtes statistiques ;
- des statistiques administratives ;
- des indices statistiques.
- L’enquête nationale sur le secteur informel menée par le HCP en 2006-2007 sur les
unités de production ne disposant pas d’une comptabilité exerçant dans toutes les
branches d’activité à l’exception de l’agriculture. Cette opération a permis d’évaluer
- L’enquête nationale sur les niveaux de vie des ménages réalisée par le HCP en
2006/2007 et qui permet de décrire la situation socio-économique des divers groupes
sociaux. Elle comporte, à côté des dépenses et des habitudes de consommation des
ménages, des modules consacrés aux niveaux et aux sources de revenus, aux transferts
entre ménages et institutions. L’intégration des données de cette enquête dans les
comptes nationaux a permis d’estimer les dépenses de consommation des ménages par
produits et d’élaborer les comptes des branches agricoles.
- L’enquête auprès des institutions sans but lucratif (ISBL), première du genre, réalisée
par le Haut-commissariat au Plan en 2009. Son objectif principal est d’appréhender les
caractéristiques de ces institutions et d’évaluer leur contribution économique. Cette
enquête a porté sur l’exercice 2007 et a permis la mise en place des comptes des unités
relevant du secteur institutionnel des Institutions sans but lucratif au service des
ménages(ISBLSM).
- L’enquête sur l’emploi réalisée annuellement par le HCP et qui a été utilisée pour
l’élaboration des matrices de l’emploi et pour la confection des comptes des années
courantes du secteur informel ;
- Les enquêtes agricoles (sur les cultures et l’élevage) réalisées régulièrement par le
Département de l’agriculture relevant du Ministère de l'Agriculture et de la Pêche
Maritime;
- Les enquêtes annuelles du HCP dont l’objectif est de couvrir les secteurs du bâtiment
et des travaux publics, du commerce et des services marchands non financiers ne
faisant pas l’objet d’observation statistique régulière. Les résultats émanant des
enquêtes annuelles servent à la confection des comptes des années courantes.
Les sources administratives contiennent des informations qui ne sont pas collectées en premier
lieu à des fins statistiques, mais qui sont utilisées par les comptables nationaux dans
l’élaboration des comptes après un travail d’appréciation minutieuse de leur base conceptuelle,
de leur classification et de leur période de références.
Le SCN 2008 est une mise à jour de celui de 1993, conduite par la Commission Statistique des
Nations Unis, afin de l’adapter au nouvel environnement économique marqué par des
mutations de l’économie, notamment, le rôle de plus en plus important des technologies de
l’information et des actifs incorporels dans les processus de production.
Les innovations du SCN 2008 retenues lors de l’élaboration des comptes de la base 2007 sont
résumées dans les sections suivantes.
La recherche et développement (R&D) a été comptabilisée comme un actif produit tel qu’il a
été recommandé par le SCN 2008 et donc les frais correspondants ne sont plus traités comme
consommation intermédiaire (CI), mais plutôt de la formation brute de capital fixe (FBCF).
Les dépenses en R&D sont évaluées aux prix du marché pour la partie achetée sur le marché,
et par le total des coûts pour la partie produite par l’entité pour son propre compte.
Le nouveau traitement de la R&D préconisé par le SCN 2008 a pour effet de réévaluer à la
hausse la valeur ajoutée (VA) des unités engageant des dépenses en R&D, mais à travers des
mécanismes différents selon qu’il s’agit d’unités de production marchandes ou non
marchandes.
Pour les unités marchandes, la valeur ajoutée est relevée d’un montant égal à leurs dépenses en
R&D qui ne sont plus des CI, mais de la FBCF, étant donné que leur production ne change
pas mais leur CI diminue.
Pour les unités non marchandes, leurs dépenses en R&D acquises auprès d’unités marchandes
étaient comptabilisées en CI (SCN93) et alimentaient la production non marchande de ces
unités (estimée par les coûts) qui avaient comme contre partie une consommation finale des
administrations publiques (APU). En outre, les dépenses internes en R&D des unités non
marchandes donnent lieu à une production pour compte propre estimée, également, par les
coûts et dont l’emploi n’est plus une consommation finale des APU, mais une FBCF.
Les dépenses en matériel militaire sont classées comme actifs fixes. Ce classement est basé sur
les mêmes critères que les autres actifs fixes. Autrement dit des actifs qui sont utilisés de façon
répétitive ou continue pendant plus d’une année tels que les véhicules, les bâtiments de guerre,
les sous marins, les avions de combat, les véhicules blindés qui sont utilisés de façon continue
dans la production de services de défense.
Dans le SCN 93, les dépenses d’acquisition d’équipements militaires n’étaient considérées
comme FBCF que si ces derniers pouvaient avoir une double utilisation : militaire et civile.
Le SIFIM a été calculé, dans les nouveaux comptes 2007, sur la base des prêts et des dépôts des
intermédiaires financiers en utilisant la méthode du taux de référence. Le calcul a été fait par
sous secteur institutionnel, en se basant sur les encours de dépôts et de crédits, les intérêts
reçus et versés et le taux interbancaire.
Les intérêts reçus des intermédiaires financiers sont diminués de la marge réalisée sur les
crédits accordés aux autres agents économiques (y compris les non résidents) pour déduire les
intérêts reçus selon les normes du SCN.
Les intérêts versés par les intermédiaires financiers sont augmentés de la marge réalisée sur les
dépôts des autres agents économiques (y compris les non résidents) pour passer aux intérêts
versés du SCN.
Dans la base 1998, le seul emploi reconnu du SIFIM consistait en une consommation
intermédiaire de l’économie totale inscrite au niveau d’une branche fictive. Alors que dans la
nouvelle base 2007 la production du SIFIM a été répartie entre les différents emplois :
consommation intermédiaire ventilée entre les différentes branches, Consommation finale ou
exportation.
Selon le SCN 2008, la banque centrale ne produit pas de SIFIM. Elle fournit trois grandes
catégories de service, notamment les services de politique monétaire, les services
d’intermédiation financière et les services de surveillance des sociétés financières.
Les services de politique monétaire sont collectifs et représentent donc une production non
marchande. Les services d’intermédiation financière sont individuels par nature et doivent être
traités comme marchands alors que les services de surveillance peuvent être traités comme
marchands ou non marchands selon que les frais liés couvrent ou non les coûts de fourniture
de ces services.
Ainsi, dans les travaux de la base 2007, la totalité de la production de Bank Al Maghrib a été
évaluée par la somme des coûts. La différence de valeur entre cette production et celle facturée
est considérée comme étant la production non marchande.
Cette production non marchande de Bank Al Maghrib est considérée comme une
consommation finale des administrations publiques. Ainsi, un nouveau transfert
correspondant à la valeur de la production non marchande de Bank Al Maghrib est à verser à
l’administration publique centrale pour permettre à cette dernière de couvrir l’achat de cette
production.
Un nouveau revenu de la propriété attribué au titre de la réassurance est introduit dans les
revenus de la propriété attribués aux assurés qui figurent dans le compte d’affectation des
revenus primaires.
Les primes et les indemnités de la réassurance étaient introduites dans les primes nettes
d’assurance dommage et indemnités d’assurance dommage. Les primes sont versées, pour la
majeure part, par les sociétés d’assurance et le reste est versé par les non résidents. Les
indemnités sont reçues, pour la grande part, par les sociétés d’assurance et le reste est reçu par
les non résidents. Ce qui fait augmenter les transferts versés et les transferts reçus par les
sociétés d’assurance.
La révision des comptes nationaux lors d’un changement de base résulte, d’une part, de
l’adoption de nouveaux concepts et méthodes de comptabilisation des comptes afin qu'ils
continuent de refléter au mieux la réalité économique, et d’autre part, de l’utilisation de
nouvelles sources de données et de la mise à jour de celles existantes.
Le passage des comptes nationaux marocains de la base 1998 à celle de 2007 a entrainé,
globalement, une révision à la hausse des niveaux des principaux agrégats, notamment, le PIB.
Ainsi, la nouvelle méthode de calcul de la production du SIFIM et sa répartition entre les
différents postes de la demande (contrairement à la base 1998 où elle a été inscrite en tant que
CI d’une branche fictive), l’acquisition de certains éléments immatériels qui font désormais
partie de la FBCF et l’affectation de certaines dépenses militaires à la formation brute de
capital fixe (FBCF) ont induit une augmentation du niveau du PIB.
Le passage de la base 1998 à celle de 2007 s’est traduit par des réévaluations des niveaux des
grands agrégats économiques établis pour l’année 2007.
1
Dans la base 1998, les dépenses de consommation finale des ISBLSM faisaient partie de celles des ménages.
La réévaluation de ces dépenses provient également de l’utilisation d’une nouvelle enquête sur
le niveau de vie des ménages, qui a permis de disposer de plus d’informations sur la structure
et les niveaux des dépenses de consommation finale des ménages.
La réévaluation des importations et des exportations est due spécialement à la révision des
données émanant de la balance des paiements et à l’amélioration des méthodes d’estimation.
Cette révision du solde des échanges extérieurs de bien et de services à la baisse à induit une
réduction à la baisse du PIB, qui est compensé par les effets du nouveau traitement de la SIFIM
et des nouveaux actifs capitalisés.
Par secteurs institutionnels, la VA des entreprises non financières est en augmentation de 5,4%
et celle des Administrations Publiques de 1,2%.
Les Sociétés Financières et les ménages enregistrent des VA réévaluées à la baisse de 11,5% et
5,4% respectivement. Le nouveau traitement du SIFIM explique en majeure partie la baisse de
la VA des Sociétés Financières et des ménages. Il est à souligner, également, que le choix
d’isoler les ISBLSM du secteur des ménages dans la base 2007 a affecté le niveau de la VA de ce
secteur.
La nouvelle base 2007 est caractérisée par l’introduction du secteur des Institutions Sans But
Lucratif au Service des Ménages (ISBLSM) dont la VA est établi à 760 millions de DH.
La rémunération des salariés a été, également, révisée à la hausse de 2,8 milliards de DH (1,4%)
expliquée par l’utilisation de nouvelles sources d’information.
- La contribution des impôts nets des subventions sur les produits est en légère
baisse. Sa part dans le PIB s’élève à 11% dans la base 2007 au lieu de 11,5% dans la
base 1998.
Le PIB, exprimé aux prix courants, a réalisé, au cours de la période 2007-2012, une hausse
moyenne de 5,5% par an. Sa valeur a atteint 847,9 milliards de dirhams en 2012 au lieu de
647,5 milliards en 2007. En volume, le PIB s’est accru au taux annuel moyen de 4,4%,
dégageant ainsi une variation annuelle moyenne de 1,1% de l’indice implicite des prix du PIB
(niveau général du PIB) sur la même période.
5,9
5,2
5,2 4,7
4,5
4,2 4,0
3,8
3,0
1,6
La forte progression annuelle de la valeur ajoutée du secteur agricole durant la période 2007-
2012 cache les grandes fluctuations qui ont marqué les rythmes d’évolution annuelle. En effet,
la croissance enregistrée a été fortement élevée, et à deux chiffres, en 2008 et 2009 et elle s’est
située après, à des niveaux modérés en 2010 et 2011. L’année 2012 a marqué, quant à elle, un
taux de croissance négatif (voir graphique ci-après).
23,9
18,6
6,7
1,1
-7,8
Au plan des activités non agricoles, celles relevant des secteurs des mines ont connu des
évolutions plus ou moins fluctuantes sur la période 2007-2012. Leur valeur ajoutée, qui dépend
largement de celle de la demande extérieure, a connu une croissance annuelle moyenne de
0,5%, avec cependant, une baisse aiguë de 28,9% en 2009 et une forte reprise de 42,1% en 2010.
Les activités de « l’électricité et eau » ont affiché une croissance annuelle moyenne de 2%, alors
que celle du raffinage de pétrole a marqué une baisse annuelle moyenne de 8,3%.
L’évolution des industries de transformation (hors raffinage) a été relativement importante sur
la période 2007-2012. Leur taux d’accroissement a été, globalement, de 4,3% par an en
moyenne. Toutefois, les taux de croissance annuelle varient d’une branche d’activité à une
autre. Si les activités du textile et du cuir ont marqué une baisse de 2,6% par an, les autres sous
secteurs industriels ont connu un certain dynamisme au cours de cette période. Les industries
chimiques et les industries mécaniques, métallurgiques et électriques, en particulier, ont réalisé
les meilleures performances du secteur, avec respectivement une croissance moyenne de 6,9%
et 6,7% par an. La croissance a été de 4,2% par an en moyenne pour les industries agro-
alimentaires et de 4,9% pour « les autres industries ».
Les activités des services ont connu, de leur côté, une croissance soutenue, au cours de la
période 2007-2012, de l’ordre de 4,7% par an en moyenne. Les postes et télécommunications
ont réalisé la meilleure performance de ces activités, avec une croissance moyenne atteignant
11,1% par an. Elles sont suivies par les services rendus par l’administration publique générale
et la sécurité sociale, avec un taux de 6,7% par an et par les activités financières et assurances,
avec un taux de 6,3% par an. Les autres branches des services ont affiché une hausse moyenne
de leur valeur ajoutée comprise entre 2,1% pour l’hébergement et restauration et 3,6% pour le
transport et les services d’éducation et de santé.
La part du secteur primaire a été fluctuante sous l’effet des conditions climatiques qui ont
prévalu au cours des campagnes agricoles de la période 2007-2012. Cette part s’est située à près
de 13% du PIB au cours des années 2009, 2010 et 2011 et a enregistré son niveau le plus bas en
2007, avec 10,9%.
Les activités des services ont amélioré sensiblement leur contribution globale au PIB, en
raison des bonnes performances réalisées durant cette période, qui ont par conséquence
atténué la dépendance de la croissance économique de l’évolution du secteur primaire. Ainsi,
les services immobiliers et services rendus aux entreprises » ont participé à hauteur de 10,8%
,
par an en moyenne au PIB suivis du commerce, avec 9%, des activités des services non
marchands de «l’administration publique générale et sécurité sociale » et de « l’éducation, santé
et action sociale », avec 8,4% chacune, et des activités des institutions financières et assurances,
avec 5%.
La contribution des impôts nets des subventions a été de 10,6% en moyenne annuelle
durant la période 2007-2010. Elle s’est inscrite après dans une tendance baissière, avec une
moyenne de 7,8% par an en 2011-2012, sous l’effet, particulièrement de l’augmentation des
subventions budgétaires aux prix à la consommation des produits pétroliers.
La FBCF, quant à elle, a connu une augmentation de 4,3% par an en moyenne entre 2007 et
2012. Elle a affiché une contribution fluctuante durant cette période, avec une augmentation
importante, atteignant 4,9 points en 2008. Les années 2009 et 2010 ont été marquées par des
contributions négatives à la croissance, avec -0,9 point et -0,5 point, respectivement.
Le solde des échanges extérieurs a, par contre, contribué négativement à la croissance avec -1,4
point en moyenne sur la période 2007-2012. Les exportations en amélioration de 2,5% par an
en volume, enregistrent une contribution positive à la croissance du PIB de 0,7 point. Elle a
été, toutefois, absorbée par la contribution négative à la croissance de 2,1 points des
importations. Les importations ont enregistré une hausse de 4,9% par an durant cette période.
Quant à la FBCF, sa part dans le PIB a atteint 32,6% en 2012 contre 32,2% en 2007, avec un
pic de 34,4% en 2008. Pour ce qui est de la variation des stocks, sa contribution a été de 3,3%
par an en moyenne sur toute la période.
Au plan des échanges de biens et services avec le reste du monde, ceux-ci restent marqués par
une aggravation du déficit sur la période 2007-2012. Il a atteint 15,3% du PIB en 2012 au lieu
de 9,3% en 2007, avec une moyenne annuelle de 12,6% durant toute la période.
Les exportations de biens et services sont passées de 223,9 milliards de DH en 2007 à 296,2
milliards de DH en 2012. L’évolution annuelle moyenne de 5,8% dissimule la forte baisse
enregistrée en 2009 de -18,2% (soit 209,6 milliards de DH).
Les importations, de leur part, sont passées de 284,4 milliards de DH en 2007 à 425,6 milliards
de DH en 2012, soit une évolution annuelle moyenne de 8,4%, plus forte que celle des
exportations.
Au plan de la contribution des secteurs institutionnels au PIB, les sociétés ont, également,
maintenu leur première position durant toute la période 2007-2012. Leur part est
pratiquement stable aux alentours de plus de 44%, à l’exception d’un fléchissement en 2009 à
41,8%, dû principalement à la baisse de la contribution des SNF. La contribution du secteur
des ménages a maintenu une tendance ascendante de 2007 à 2009, passant de 29,5% à 32,1%.
Elle s’est inscrite après dans une tendance à la baisse, pour atteindre 30,9% en 2012. S’agissant
de la contribution des APU, elle est restée relativement stable autour d’une moyenne de 14,7%
durant la période 2007-2010, puis a connu des augmentations successives en 2011 et 2012 d’un
point pour chaque exercice. Les institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM),
ont faiblement contribué au PIB, avec 0,1%.
Affectée par l’évolution de l’activité économique, la contribution des impôts nets des
subventions au PIB a enregistré une tendance baissière, passant de 11% en 2007 à 7,8% en
2012.
Le secteur des institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM)
Les institutions sans but lucratif (ISBL) sont des entités juridiques ou sociales créées dans le but de produire
des biens ou des services, dont le statut ne leur permet pas d’être une source de revenu, de profit ou
d’autres formes de gain financier pour les unités qui les créent, les contrôlent ou les financent.
Selon la définition fonctionnelle du manuel du système de comptabilité nationale, sont considérées comme
ISBL les unités qui sont :
La sectorisation des ISBL sur la base de leur comportement économique, leur finalité et la nature des
entités qui les contrôlent et les financent permet une classification de ces dernières en :
- Institutions publiques sans but lucratif (IPSBL) faisant partie du secteur des Administrations
Publiques (APU) ;
- ISBL au service des entreprises intégrées dans les secteurs des sociétés non financières et sociétés
financières ;
- ISBL au service des ménages (ISBLSM) dont l’essentiel des ressources provient des contributions
versées volontairement et qui fournissent aux ménages des biens et services gratuitement ou à des prix
économiquement non significatifs. Ces derniers constituent le secteur des ISBLSM.
A l’occasion du passage à la base 2007, le secteur des ISBLSM, intégré auparavant avec le secteur des
ménages, a été isolé grâce à la réalisation d’une enquête auprès des institutions sans but lucratif au titre de
l’exercice 2007. Le champ couvert par l’enquête est composé des associations ordinaires « simplement
déclarées », des associations reconnues d’utilité publique, des unions d’associations ou de fédérations, des
partis politiques et associations politiques, des fondations, des associations étrangères, des coopératives, des
syndicats, des associations de microcrédit, des clubs et fédérations sportives et des mutuelles. Ladite
enquête a concerné un échantillon de prés de 5300 associations simplement déclarées représentant toutes
les régions et a couvert les autres types d’unités exhaustivement.
36,1% en 2012, alors que la part des autres impôts nets des subventions sur la production est
restée pratiquement stable soit 1,2% environ durant la période 2007-2012.
68,2
61,5
36,3
29,9
La valeur ajoutée des sociétés est constituée principalement de l’excédent brut d’exploitation,
durant la période 2007-2012, qui représente 61,5% en moyenne annuelle pour les SNF et
68,2% pour les SF, suivi de la rémunération des salariés qui contribue à hauteur de 36,3% pour
les SNF et 29,9% pour les SF.
Autres impôts nets de subventions sur la production 2,5 2,3 2,4 2,0 1,9 2,2
EBE 62,2 62,8 59,3 61,4 62,3 61,2
Valeur ajoutée brute 100 100 100 100 100 100
Rémunération des salariés 29,6 29,2 29,3 29,2 31,1 30,9
ns Publiques financières
Sociétés
Autres impôts nets de subventions sur la production 1,7 1,6 1,6 2,9 1,9 1,8
EBE 68,7 69,1 69,1 67,9 67,0 67,3
Valeur ajoutée brute 100 100 100 100 100 100
Rémunération des salariés 91,8 91,3 90,9 90,5 91,2 91,0
Administratio
Autres impôts nets de subventions sur la production 0,2 0,3 0,3 0,2 0,2 0,3
EBE 8,0 8,4 8,8 9,3 8,6 8,7
Valeur ajoutée brute 100 100 100 100 100 100
Rémunération des salariés 7,6 6,8 6,8 6,7 6,4 6,5
Ménages
Autres impôts nets de subventions sur la production 0,1 0,2 0,1 0,1 0,2 0,3
EBE & RMB 92,3 93,0 93,1 93,2 93,4 93,2
Valeur ajoutée brute 100 100 100 100 100 100
Rémunération des salariés 94,7 94,7 94,8 94,8 94,8 94,8
ISBLSM
Autres impôts nets de subventions sur la production 5,3 5,3 5,2 5,2 5,2 5,2
EBE 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0
Valeur ajoutée brute 100 100 100 100 100 100
Rémunération des salariés 35,3 34,0 35,2 34,7 35,2 36,1
Economie
Autres impôts nets de subventions sur la production 1,3 1,2 1,2 1,1 1,1 1,2
totale
En 2012, le poids des prélèvements obligatoires dans le PIB, appelé taux de prélèvements
obligatoires, s’est établi à 30,4%, en hausse de 1,2 points par rapport à 2007. Ceci provient
principalement de l’accroissement de 0,8 point des prélèvements sociaux et de 0,4 point des
prélèvements fiscaux. Par type de prélèvements fiscaux, la part des impôts sur les produits
représente 14% en moyenne annuelle sur la période 2007-2012. Concernant, les impôts sur la
production et les impôts sur le revenu, ils représentent, respectivement 1,2% et 9,3%. De leur
côté, les cotisations sociales représentent 5,2% par an du PIB.
2
Il s’agit des cotisations sociales effectives et des cotisations imputées des caisses internes
La dépense de consommation finale a enregistré, de son côté, une variation annuelle moyenne
de 6,6%, passant de 488,6 milliards de DH en 2007 à 680,3 en 2012. Elle est composée à
hauteur de 75,9% de la consommation des ménages, 23,5% de celle des administrations
publiques et de 0,6% des services fournis par les institutions publiques au service des ménages,
Le taux d’épargne nationale brute (part du RBD), qui a atteint 31,2% en 2008, a chuté
fortement depuis cette date pour atteindre, ainsi, 24,1% en 2012.
11,6
10,6
10,2 6,8 6,6 6,0
4,6
4,7 4,3
4,8 3,0
1,9
-1,8
-5,5
-9,0
2 008 2 009 2 010 2 011 2 012
Epargne nationale brute
Revenu national brut disponible
Dépense de consommation finale
Par secteur institutionnel, l’épargne brute des sociétés représente en moyenne 47,3% de l’ENB
(dont 40,3% pour les SNF), celle des ménages 32,8%, celle des APU 18,4%, et celle des ISBL au
service des ménages 1,4%.
120 000
100 000
80 000
60 000
40 000
20 000
0
2007 2008 2009 2010 2011 2012
Sociétés non financières Sociétés financières
Administrations Publiques Ménages
Par ailleurs, les ménages ont consacré, en moyenne annuelle, 85,9 % de leur RBD aux dépenses
de consommation finale et réservé près de 14% à l’épargne brute.
Les dépenses de consommation finale des ménages se sont situées à 508 milliards de DH en
2012 contre 372,8 milliards de DH en 2007, enregistrant, ainsi, une évolution annuelle
moyenne de 6,4 %.
En prenant en considération, les transferts sociaux en nature, qui représentent l’ensemble des
services individuels fournis par les Administrations Publiques ou les ISBL au service des
ménages, la consommation finale effective des ménages a atteint 584,8 milliard de DH en 2012
contre 427,1 en 2007. Cet agrégat mesure la valeur globale des biens et services de
consommation que les ménages acquièrent, qu’ils les achètent eux-mêmes ou qu’ils les
reçoivent sous forme de transferts des APU ou des ISBLSM, et utilisent pour leurs besoins.
Par ailleurs, avec une consommation finale (non compris les transferts en nature) qui évolue
plus fortement que le revenu brut disponible, le taux d’épargne des ménages a connu une
tendance à la baisse, notamment depuis 2009, passant de 14,7% en 2007, à 15,5% en 2009 et à
13,6% en 2012.
6
5,3 5
4,4
3,7 3,5
2,7 2,8
1,8 1,5
1 0,9 0,9 1,3
A l’exception de 2008 ou la hausse des prix a été de 3,7%, l’inflation a été maitrisée entre 2009
et 2012 aux alentours de 1%, autrement dit un accroissement inférieur à celui du RBD. Dans
ces conditions, le pouvoir d’achat des ménages s’est accru de 5,3% en 2008 et de 5% en 2009.
Son rythme s’est ralenti, toutefois, entre 2010 et 2012, avec une moyenne annuelle de 2,3%.
Le taux d’investissement (FBCF par rapport à la valeur ajoutée) varie d’un secteur à un autre.
Il a emprunté des tendances à la baisse pour les SNF et les ménages. Celui des SNF est passé de
46,6% en 2007 à 45,9% en 2012, alors que celui des ménages de 32,2% à 28,7%. Quant à celui
des APU, il s’est établi en moyenne annuelle à 4%, enregistrant le taux le plus élevé de 34% en
2009.
Figure 11 : Contribution des secteurs institutionnels dans la FBCF (en %)
En dépit de la progression des transferts nets reçus de l’extérieur qui sont passés de 62,4
milliards de DH en 2007 à 65,9 milliards de DH en 2012, le solde des opérations courantes
avec l’extérieur a été déficitaire, du point de vue de l’économie nationale, durant toute la
période 2007-2012. Il est passé de 412 millions en 2007 à 80,6 milliards de DH en 2012, soit
respectivement de 0,1% du PIB à 9,5%. Ceci est dû principalement au déficit important de la
balance des échanges extérieurs de biens et services et par la chute accentuée des revenus de la
propriété nets reçus, qui ont atteint -17,1 milliards de DH en 2012 au lieu -2,3 milliards de DH
en 2007.
Les transferts nets en capital reçus étant négligeables, le solde des opérations courantes avec
l’extérieur est quasi identique à la capacité ou besoin de financement. Ainsi, le solde du
compte de capital est passé de 437 millions de DH en 2007 à 80,6 milliards de DH en 2012. Il
traduit ainsi un creusement du besoin de financement de l’économie nationale, c'est-à-dire que
son épargne ne couvre plus ses investissements. Il signifie, par ailleurs, le recours à des moyens
financiers issus du reste du monde.
Le solde de financement diffère d’un secteur institutionnel à un autre. Les SNF ont dégagé des
soldes déficitaires durant toute la période 2007-2012. Ils ont eu recours aux autres secteurs et
au reste du Monde pour s’endetter et financer leur investissement. Leur besoin de financement
a atteint plus de 66,1 milliards de DH en 2012 contre 31,7 milliards de DH en 2007. En
revanche, Les secteurs des SF, des ménages et des ISBLSM ont réalisé des capacités de
financement qui ont oscillé globalement entre 10 et 21 milliards de DH pour l’ensemble de la
période. Ainsi, les SF affichent une capacité de financement de l’ordre de 13,2 milliards de DH
en 2012 contre 5,2 milliards de DH en 2007, les ménages de 5,8 milliards de DH au lieu de 3,6
milliards et les ISBLSM de 2,4 milliards de DH au lieu de 1,5 milliards.
Quant aux APU, elles ont enregistré des capacités de financement qui avaient tendance à la
baisse entre 2007 et 2010, respectivement de 20,8 milliards à 1,5 milliards de DH. Leur solde
de financement est devenu, après cette date, déficitaire, avec un besoin de financement qui s’est
situé à 20,4 milliards de DH en 2011 et à 35,9 milliards de DH en 2012.
Tableau 13 : Capacité ou besoin de financement par secteur institutionnel (en millions de DH)
Secteurs 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Sociétés non financières -31 691 -77 483 -68 766 -53 418 -65 983 -66 134
Sociétés financières 5 262 9 157 10 336 10 017 13 255 13 197
Administrations Publiques 20 816 27 632 11 193 1 548 -20 416 -35 883
Administration publique centrale 5 516 11 348 -4 850 -17 100 -41 870 -52 368
Administrations publiques Locales 2 529 3 138 4 086 5 019 4 518 1 132
Administrations de sécurité Sociale 12 771 13 146 11 957 13 629 16 936 15 353
Ménages 3 662 3 235 5 799 5 638 6 226 5 788
ISBL au service ménages 1 514 1 507 1 560 1 892 2 313 2 385
Economie totale -437 -35 952 -39 878 -34 323 -64 605 -80 647
Reste du monde 437 35 952 39 878 34 323 64 605 80 647
Les APU ont réalisé, pour les deux années 2007 et 2008, une baisse remarquable de leurs
émissions de titres de créances. Ces émissions nettes ont atteint -7 milliards de DH en 2008
contre -2 milliards de DH en 2007. Cette tendance a été, en revanche, inversée à partir de 2009
où les APU ont enregistré un flux net positif des émissions nettes de l’ordre de 9,3 milliards de
DH. Ce recours à l’endettement intérieur a continué d’augmenter pour atteindre un niveau
record en 2012, de l’ordre de 42,4 milliards de DH contre 25,6 milliards de DH en 2010.
Les SNF, de leur part, ont eu recourt aux crédits bancaires et à l’émission de titres pour
financer leurs investissements. Ainsi, les crédits alloués aux SNF ont atteint un niveau record
en 2008 en affichant plus de 61 milliards de DH contre 36,2 milliards de DH en 2007.
Cependant, les SNF ont diminué leurs recours aux crédits à partir de 2008. Le flux net a
affiché 40,5 milliards de DH en 2012 contre 52 milliards de DH en 2009.
Pour ce qui est des ménages (y compris les entrepreneurs individuels), leurs crédits bancaires,
en termes de flux net, ont marqué une tendance à la baisse, en passant de 37,2 milliards de DH
en 2007 à 18,6 milliards de DH en 2012, avec un rebond en 2011, avec 32,5 milliards de DH.
S’agissant des dépôts des ménages auprès des banques marocaines, ils ont également enregistré
une baisse pendant la période 2007-2012. Ainsi, les flux nets des dépôts des ménages ont atteint
23,1 milliards de DH en 2012 contre 52,4 milliards de DH en 2007.
Par ailleurs, il est noté une forte progression des crédits accordés par les sociétés financières au
début de la période 2007-2012, avec un flux net de l’ordre de 99,9 milliards de DH en 2008.
Ces crédites ont marqué, toutefois, une tendance à la baisse, pour atteindre 66,2 milliards de
DH en 2012. Ceci s’explique par l’évolution des dépôts reçus par les établissements de crédit,
qui ont affiché une baisse remarquable entre 2007 et 2010, en passant de 91,3 milliards de DH
à 14 milliards de DH. Ils se sont inscrits, de nouveau, à la hausse pour représenter 88,6
milliards de DH en 2011 et 67,2 milliards de DH en 2012.
V - RESULTATS : COMPTES ET
TABLEAUX
En millions de dhs
Code Opérations 2007 2008 2009 2010 2011 2012
B.1 Produit intérieur brut (approche production) 647 530 716 959 748 483 784 624 820 077 847 881
B.1 Valeur ajoutée aux prix de base 576 619 644 910 664 452 703 312 755 309 781 813
D.21 + Impôts sur les produits 89 054 105 133 97 766 111 510 116 281 121 812
D.31 - Subventions sur les produits 18 143 33 084 13 735 30 198 51513 55 744
B.1 Produit intérieur brut (approche demande) 647 530 716 959 748 483 784 624 820 077 847 881
P.3 Dépenses de consommation finale 488 616 538 429 575 303 601 863 641 708 680 397
P.5 + Formation brute de capital 219 418 280 253 262 315 267 356 293 399 296 920
P.6 + Exportations de biens et services 223 862 256 258 209 599 252 908 284 567 296 161
P.7 - Importations de biens et services 284 366 357 981 298 734 337 503 399 597 425 597
B.1 Produit intérieur brut (approche revenu) 647 530 716 959 748 483 784 624 820 077 847 881
D.1 Rémunérations des salariés 203 811 219 527 233 931 244 305 265 885 282 084
B.2 + Excédant brut d’exploitation et revenu mixte 365 377 417 752 422 556 451 334 481 414 490 363
D.2 + Impôts sur la production et les importations 97 311 113 544 106 660 120 238 124 937 131 622
D.3 - Subventions 18 969 33 864 14 664 31 253 52 159 56 188
3
Y compris les services non marchands fournis par les Administrations publiques.
4
Activités financières et assurances, services rendus aux entreprises et services personnels, éducation, santé et action sociale.
1.1.7 - Produit intérieur brut par secteurs d’activité en volume (Prix de l’année précédente)
Evolution annuelle en %
Code Secteurs d’activité 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Activités primaires 18,6 23,9 1,1 6,7 -7,8
A00 Agriculture, forêt et services annexes 18,9 26,0 2,3 5,7 -9,1
B05 Pêche, aquaculture 15,0 0,4 -15,9 24,8 9,7
Activités secondaires 5,9 -6,6 10,2 6,3 0,8
C00 Industrie d’extraction -1,5 -28,9 42,1 5,0 -2,1
D0 Industries de transformation (hors raffinage de pétrole) 5,5 -2,6 8,2 8,6 2,0
D06 Raffinage de pétrole et autres produits d’énergie 106,1 -41,2 32,5 -54,6 -10,9
E00 Electricité et eau 7,0 -13,5 18,2 8,3 -6,7
F45 Bâtiment et travaux publics 5,5 4,5 2,4 4,9 2,2
Activités tertiaires 4,4 3,7 2,9 6,2 6,3
G00 Commerce 11,2 -1,3 -3,3 7,4 4,1
H55 Hôtels et restaurants 1,2 0,4 7,7 -1,1 2,6
I01 Transports 0,9 2,8 4,9 7,0 2,4
I02 Postes et télécommunications 6,4 6,6 5,2 9,5 29,5
Autres services 2,0 3,2 4,9 4,7 5,2
L75 Administration publique générale et sécurité sociale 6,5 11,4 0,8 9,9 5,1
B.1 Valeur ajoutée aux prix de base 6,6 3,3 4,7 6,3 2,7
D21-31 Impôts sur les produits nets de subventions 0,7 12,5 -2,8 -3,8 6,8
B.1 Produit intérieur brut 5,9 4,2 3,8 5,2 3,0
1.4.2 - Dépenses de consommation finale des ménages en volume (prix de l’année précédente)
Evolution annuelle en %
Code Produits 2007 2008 2009 2010 2011 2012
A00 Agriculture, forêt et services annexes 8,5 8,8 9,6 3,5 -1,4
B05 Pêche, aquaculture 3,0 4,3 -10,6 10,4 29,3
C00 Industrie d’extraction 11,9 -7,9 0,0 12,0 7,5
D0 Industries de transformation 4,8 0,5 -0,7 6,8 2,4
D01 Industries alimentaires et tabac 2,9 3,2 -0,1 7,9 3,9
D02 Industries du textile et du cuir 7,3 -4,9 -10,3 6,2 2,9
D03 Industrie chimique et para chimique 4,4 1,9 1,2 2,2 0,0
D04 Industrie mécanique, métallurgique et électrique 12,8 -9,1 0,5 3,1 0,5
D05 Autres industries manufacturières (hors raffinage de pétrole) 5,2 2,6 -0,1 12,1 -4,5
D06 Raffinage de pétrole et autres produits d’énergie 3,2 1,3 1,9 4,6 3,0
E00 Electricité et eau 17,0 8,0 2,4 10,1 8,9
F45 Bâtiment et travaux publics 0,5 3,0 1,2 1,5 1,2
G00 Commerce 14,6 2,2 3,5 -4,7 1,0
H55 Hôtels et restaurants 1,8 -3,5 10,2 -4,0 1,6
I01 Transports 7,5 5,1 10,3 -4,4 3,7
I02 Postes et télécommunications 6,5 5,0 10,3 11,7 17,9
J00 Activités financières et assurances -4,0 1,7 25,5 9,9 5,1
K00 Immobilier, location et services rendus aux entreprises 4,0 1,6 4,5 2,5 1,2
L75 Administration publique générale et sécurité sociale 9,1 12,1 -23,8 28,9 -10,0
MN0 Education, santé et action sociale 3,4 2,9 -9,5 0,1 2,4
OP0 Autres services non financiers 2,1 4,3 3,1 1,5 3,8
TR0 Correction territoriale -11,1 -10,2 3,4 2,2 -3,9
TOTAL 7,6 4,0 4,0 5,4 4,1
1.5.3 - Formation brute de capital fixe en volume (prix chaînés, base 2007)
En millions de dhs
Produits 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Agriculture, forêt et services annexes 4 134 4 560 5 143 5 116 5 495 5 519
Industrie 82 454 102 862 93 235 84 828 92 198 100 758
Bâtiment et travaux publics 98 123 105 121 106 731 109 919 115 615 118 061
Services 23 505 27 342 28 412 30 234 34 795 33 085
TOTAL 208 216 239 885 233 547 230 165 248 106 257 082
1.5.4 - Formation brute de capital fixe par secteurs institutionnels à prix courants
En millions de dhs
Secteurs d’activité 2007 2008 2009 2010 2011 2012
S11 Sociétés non financières 119 208 148 048 127 430 131 364 145 055 153 680
S12 Sociétés financières 1 894 869 1 734 2 147 2 869 2 313
S13 Administrations Publiques 24 808 32 581 37 477 36 852 37 958 43 764
S14 Ménages 61 601 64 409 69 410 69 140 71 211 75 075
S15 Institutions sans but lucratif au service des ménages 705 850 934 1 033 1 192 1 558
TOTAL 208 216 246 757 236 985 240 536 258 285 276 390
4.6 - Comptes non financiers des institutions sans but lucratif au service des ménages (suite1)
En millions de dhs
Code Opérations 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Compte de distribution secondaire du revenu
Ressources
B.5 Solde brut des revenus primaires 17 21 23 24 25 27
D.7 Autres transferts courants 5 453 5 818 6 666 6 994 8 449 9 364
Emplois
D.7 Autres transferts courants 748 803 1 345 813 985 1 059
B.6 Revenu disponible brut 4 722 5 036 5 344 6 205 7 489 8 332
Compte de distribution du revenu en nature
Ressources
B.6 Revenu disponible brut 4 722 5 036 5 344 6 205 7 489 8 332
Emplois
D.63 Transferts sociaux en nature 2 341 2 492 2 645 3 057 3 733 4 083
B.7 Revenu disponible ajusté 2 381 2 544 2 699 3 148 3 756 4 249
Compte d’utilisation du revenu disponible
Ressources
B.6 Revenu disponible brut 4 722 5 036 5 344 6 205 7 489 8 332
Emplois
P.3 Dépense de consommation finale 2 339 2 489 2 645 3 057 3 734 4 083
B.8 Epargne brute 2 383 2 547 2 699 3 148 3 755 4 249
4.6 - Comptes non financiers des institutions sans but lucratif au service des ménages (suite2)
En millions de dhs
Code Opérations 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Compte de capital
Ressources
B.8 Epargne brute 2 383 2 547 2 699 3 148 3 755 4 249
D.9 Transferts en capital à recevoir 1 194 1 443 1 590 1 763 2 037 2 668
D.9 Transferts en capital à payer -1 312 -1 578 -1 737 -1 922 -2 213 -2 878
Emplois
P.51 Formation brute de capital fixe 705 850 934 1 033 1 192 1 558
K.2 Acquisitions - cessions d'actifs non financiers non produits 46 55 58 64 74 96
B.9 Capacité (+) / Besoin (-) de financement 1 514 1 507 1 560 1 892 2 313 2 385
Compte d’affectation 155 282 9 111 146 171 10 9 500 18 958 55 481 62 222 D.4 Revenu de la propriété 20 617 57 291 25 432 31 989 34 135 363 19 919 155 282
revenus primaires 773 816 773 816 24 496 166 106 233 28 436 142 957 B.5b Solde des revenus primaires bruts 142 957 28 436 106 233 496 166 24 773 816 773 816
63 875 0 63 875 0 19 118 0 8 368 36 389 D.5 Impôts courants sur revenu 0 0 63 875 0 0 63 875 0 63 875 Compte de
Compte de Distribution
53 452 0 53 452 0 53 452 0 0 0 D.61 Cotisations sociales 2 129 9 132 42 108 0 0 53 369 83 53 452
Distribution secondaire du
49 387 4 961 44 426 0 0 32 151 9 132 3 143 D.62 Prest. Soc. autres transf. sociaux en nature 0 0 0 49 387 0 49 387 0 49 387 revenu
secondaire du
revenu 163 157 59 521 103 636 813 17 712 56 465 11 931 16 715 D.7 Autres transferts courants 3 021 10 922 60 305 78 597 6 994 159 839 3 318 163 157
834 897 834 897 6 205 533 868 183 905 19 059 91 860 B.6b Revenu disponible brut 91 860 19 059 183 905 533 868 6 205 834 897 834 897 Compte redistrib.
Compte redistrib. 65 912 65 912 3 057 0 62 855 0 0 D.63 Transferts sociaux en nature 0 0 0 65 912 0 65 912 65 912 revenu en nature
revenu en nature 834 897 834 897 3 148 599 780 121 050 19 059 91 860 B.7b Revenu disponible ajusté brut 91 860 19 059 121 050 599 780 3 148 834 897 834 897
B.6b Revenu disponible brut 91 860 19 059 183 905 533 868 6 205 834 897 834 897 Compte
601 863 601 863 3 057 457 983 140 823 0 0 P.3 Dépense de consommation finale 601 863 601 863 d'utilisation
Compte P.4 Consommation finale effective du revenu
601 863 598 806 520 838 77 968 601 863 601 863
d'utilisation
1 892 0 1 892 0 0 0 1 892 0 D.8 Ajust. Variation droits ménages fonds pens. 0 0 0 1 892 0 1 892 0 1 892
du revenu
233 034 233 034 3 148 77 777 43 082 17 167 91 860 B.8b Epargne brute 91 860 17 167 43 082 77 777 3 148 233 034 233 034
34 322 34 322 B.12 Solde opérations courantes avec l'extérieur 34 322 34 322
240 536 240 536 1 033 69 140 36 852 2 147 131 364 P.51 Formation brute de capital fixe 240 536 240 536
26 820 26 820 0 5 203 0 0 21 617 P.52 Variation des stocks 26 820 26 820 Compte de
0 0 0 64 -783 719 4 -4 K.2 Acquisitions moins cessions d'actifs NFNP capital
Compte de capital D.9 (+) Transferts nets en capital (+) 8 078 336 13 168 1 845 1 763 25 190 1 25 191
D.9 (-) Transferts nets en capital (-) -379 -5 335 -17 131 -424 -1 922 -25 191 0 -25 191
B.10.1 Variations valeur nette dues à l'épargne…. 99 559 12 168 39 119 79 198 2 989 233 033 34 323 267 356
0 34 323 -34 323 1 892 5 638 1 548 10 017 -53 418 B.9 Capacité (+) / besoin (-) de financement -52 569 9 728 1 496 5 197 1 825 -34 323 34 323 0
Ecart statistique -849 289 52 441 67 0 0 0
379 783 65 764 314 019 1 878 49 375 39 275 146 463 77 028 F Acquisitions nettes d'actifs financiers…. 129 597 136 735 37 779 44 178 53 348 342 31 441 379 783
0 -206 206 0 0 0 206 0 F.1 Or monétaire et DTS 0
15 894 14 012 1 882 1 740 40 837 -7 242 -37 575 4 122 F.2 Numéraire et dépôts 0 23 051 -12 284 0 0 10 767 5 127 15 894
Compte financier
Compte financier 47 126 0 47 126 0 801 16 647 31 508 -1 830 F.3 Titres autres qu'actions -5 108 17 902 25 685 0 0 38 479 8 647 47 126
75 715 23 855 51 860 -159 0 960 51 059 0 F.4 Crédits 34 278 10 062 16 963 14 359 53 75 715 0 75 715
155 819 14 036 141 783 0 3 209 14 386 89 956 34 232 F.5 Actions et titres d'OPCVM 75 975 71 137 3 637 0 0 150 749 5 070 155 819
9 896 0 9 896 0 8 710 0 845 341 F.6 Réserves techniques d'assurances 0 9 896 0 0 0 9 896 0 9 896
75 333 14 067 61 266 297 -4 182 14 524 10 464 40 163 F.7 Autres comptes à recevoir / à payer 24 452 4 687 3 778 29 819 0 62 736 12 597 75 333
COMPTES Compte S.2 S.1 S.15 S.14 S.13 S.12 S.11 OPERATIONS S.11 S.12 S.13 S.14 S.15 S.1 S.2 Compte COMPTES
TOTAL biens et Reste Economie ISBL Administ Sociétés Sociétés Sociétés Sociétés Administ ISBL Economi Reste biens et TOTAL
services du Monde totale ménages Ménages Publiques financ. non financ non financ financ. Publiques Ménages ménage e totale du Monde services
s
399 597 399 597 P.7 Importations de biens et de services 399 597 399 597
284 567 284 567 P.6 Exportations de biens et de services 284 567 284 567
Compte de
1 413 488 1 413 488 P.1 Production 800 301 56 950 161 724 390 048 4 465 1 413 488 1 413 488 production
Compte de
production 658 179 658 179 3 301 132 813 31 189 15 862 475 014 P.2 Consommation intermédiaire 658 179 658 179
64 768 64 768 D.21-D.31 Impôts, moins subventions sur les produits 0 0 0 0 0 64 768 64 768
820 077 820 077 1 164 257 235 130 535 41 088 325 287 B.1b/B.1*b Valeur ajoutée brute / produit intérieur brut 325 287 41 088 130 535 257 235 1 164 820 077 820 077 Compte
115 030 115 030 B.11 Solde échanges extérieurs biens et services 115 030 115 030 d'exploitation
265 885 0 265 885 1 103 16 476 119 036 12 798 116 472 D.1 Rémunération des salariés 0 0 0 265 885 0 265 885 0 265 885
72 778 0 72 778 61 540 320 773 6 316 D.2-D.3 Impôts - subventions production et importat. 0 0 72 778 0 0 72 778 0 72 778 Compte
Compte
64 768 0 64 768 0 0 0 0 0 D.21-D.31 Impôts, moins subventions sur les produits 0 0 64 768 0 0 64 768 0 64 768 affectation
d'exploitation
8 010 0 8 010 61 540 320 773 6 316 D.29-D.39 Autres impôts - subventions sur la production 0 0 8 010 0 0 8 010 0 8 010 des revenus
481 414 481 414 0 240 219 11 179 27 517 202 499 B.2b/B.3b Excédent brut d'exploit. / Revenu mixte brut 202 499 27 517 11 179 240 219 0 481 414 481 414 primaires
Compte 172 074 9 087 162 987 11 10 373 19 656 59 596 73 351 D.4 Revenu de la propriété 24 919 62 928 26 524 34 747 36 149 154 22 920 172 074
d’affectation 806 244 806 244 25 530 478 90 825 30 849 154 067 B.5b Solde des revenus primaires bruts 154 067 30 849 90 825 530 478 25 806 244 806 244
revenus primaires Compte de
70 277 0 70 277 0 24 670 0 8 412 37 195 D.5 Impôts courants sur revenu 0 0 70 277 0 0 70 277 0 70 277
Compte de Distribution
61 557 0 61 557 0 61 557 0 0 0 D.61 Cotisations sociales 2 263 10 351 48 775 0 0 61 389 168 61 557 secondaire du
Distribution
52 196 3 874 48 322 0 0 34 683 10 351 3 288 D.62 Prest. Soc. autres transf. sociaux en nature 0 0 0 52 196 0 52 196 0 52 196 revenu
secondaire du
revenu 194 215 64 604 129 611 985 18 412 81 153 11 581 17 480 D.7 Autres transferts courants 3 017 10 680 83 016 85 003 8 449 190 165 4 050 194 215
870 504 870 504 7 489 563 038 177 057 21 536 101 384 B.6b Revenu disponible brut 101 384 21 536 177 057 563 038 7 489 870 504 870 504 Compte redistrib.
Compte redistrib. 70 184 70 184 3 733 0 66 451 0 0 D.63 Transferts sociaux en nature 0 0 0 70 184 0 70 184 70 184 revenu en nature
revenu en nature 870 504 870 504 3 756 633 222 110 606 21 536 101 384 B.7b Revenu disponible ajusté brut 101 384 21 536 110 606 633 222 3 756 870 504 870 504
B.6b Revenu disponible brut 101 384 21 536 177 057 563 038 7 489 870 504 870 504 Compte
641 708 641 708 3 734 484 614 153 360 0 0 P.3 Dépense de consommation finale 641 708 641 708 d'utilisation
Compte du revenu
641 708 637 974 551 065 86 909 P.4 Consommation finale effective 641 708 641 708
d'utilisation
du revenu 2 244 0 2 244 0 0 0 2 244 0 D.8 Ajust. Variation droits ménages fonds pens. 0 0 0 2 244 0 2 244 0 2 244
228 796 228 796 3 755 80 668 23 697 19 292 101 384 B.8b Epargne brute 101 384 19 292 23 697 80 668 3 755 228 796 228 796
64 603 64 603 B.12 Solde opérations courantes avec l'extérieur 64 603 64 603
258 285 258 285 1 192 71 211 37 958 2 869 145 055 P.51 Formation brute de capital fixe 258 285 258 285
35 114 35 114 0 5 675 0 0 29 439 P.52 Variation des stocks 35 114 35 114 Compte de
0 0 0 74 -842 768 1 -1 K.2 Acquisitions moins cessions d'actifs NFNP capital
Compte de capital D.9 (+) Transferts nets en capital (+) 7 581 410 14 002 2 049 2 037 26 079 2 26 081
D.9 (-) Transferts nets en capital (-) -455 -3 577 -19 389 -447 -2 213 -26 081 0 -26 081
B.10.1 Variations valeur nette dues à l'épargne…. 108 510 16 125 18 310 82 270 3 579 228 794 64 605 293 399
0 64 605 -64 605 2 313 6 226 -20 416 13 255 -65 983 B.9 Capacité (+) / besoin (-) de financement -64 938 12 804 -21 098 6 412 2 215 -64 605 64 605 0
Ecart statistique -1 045 451 682 -186 98 0 0 0
390 311 72 602 317 709 2 309 53 440 32 501 162 058 67 401 F Acquisitions nettes d'actifs financiers…. 132 339 149 254 53 599 47 028 94 382 314 7 997 390 311
0 920 -920 0 0 0 -920 0 F.1 Or monétaire et DTS 0
84 934 14 792 70 142 2 123 42 972 6 610 12 508 5 929 F.2 Numéraire et dépôts 0 102 862 -6 487 0 0 96 375 -11 441 84 934
Compte financier
Compte financier 64 304 0 64 304 0 482 3 592 51 830 8 400 F.3 Titres autres qu'actions 6 226 17 297 40 380 0 0 63 903 401 64 304
94 473 14 259 80 214 -194 0 1 207 79 201 0 F.4 Crédits 52 201 5 988 8 617 27 603 64 94 473 0 94 473
65 858 22 157 43 701 0 1 106 12 422 17 458 12 715 F.5 Actions et titres d'OPCVM 46 565 11 348 3 233 0 0 61 146 4 712 65 858
10 056 0 10 056 0 9 250 0 498 308 F.6 Réserves techniques d'assurances 0 10 056 0 0 0 10 056 0 10 056
70 686 20 474 50 212 380 -370 8 670 1 483 40 049 F.7 Autres comptes à recevoir / à payer 27 347 1 703 7 856 19 425 30 56 361 14 325 70 686
COMPTES Compte S.2 S.1 S.15 S.14 S.13 S.12 S.11 OPERATIONS S.11 S.12 S.13 S.14 S.15 S.1 S.2 Compte COMPTES
TOTAL biens et Reste Economie ISBL Administ Sociétés Sociétés Sociétés Sociétés Administ ISBL Economi Reste biens et TOTAL
services du Monde totale ménages Ménages Publiques financ. non financ non financ financ. Publiques Ménages ménage e totale du Monde services
s
425597 425597 P.7 Importations de biens et de services 425597 425597
296161 296161 P.6 Exportations de biens et de services 296161 296161
Compte de
1477607 1477607 P.1 Production 833201 61157 176877 401505 4867 1477607 1477607 production
Compte de
production 695794 695794 3584 139636 36476 17737 498361 P.2 Consommation intermédiaire 695794 695794
66068 66068 D.21-D.31 Impôts, moins subventions sur les produits 0 0 0 0 0 66068 66068
847881 847881 1283 261869 140401 43420 334840 B.1b/B.1*b Valeur ajoutée brute / produit intérieur brut 334840 43420 140401 261869 1283 847881 847881 Compte
129436 129436 B.11 Solde échanges extérieurs biens et services 129436 129436 d'exploitation
282084 0 282084 1216 17008 127850 13411 122599 D.1 Rémunération des salariés 0 0 0 282084 0 282084 0 282084
75434 0 75434 67 712 367 781 7439 D.2-D.3 Impôts - subventions production et importat. 0 0 75434 0 0 75434 0 75434 Compte
Compte
66068 0 66068 0 0 0 0 0 D.21-D.31 Impôts, moins subventions sur les produits 0 0 66068 0 0 66068 0 66068 affectation
d'exploitation
9366 0 9366 67 712 367 781 7439 D.29-D.39 Autres impôts - subventions sur la production 0 0 9366 0 0 9366 0 9366 des revenus
490363 490363 0 244149 12184 29228 204802 B.2b/B.3b Excédent brut d'exploit. / Revenu mixte brut 204802 29228 12184 244149 0 490363 490363 primaires
Compte 177917 8056 169861 12 11062 21833 66536 70418 D.4 Revenu de la propriété 22874 67336 26345 36148 39 152742 25175 177917
d’affectation 830762 830762 27 551319 92130 30028 157258 B.5b Solde des revenus primaires bruts 157258 30028 92130 551319 27 830762 830762
revenus primaires Compte de
77237 0 77237 0 27010 0 8207 42020 D.5 Impôts courants sur revenu 0 0 77237 0 0 77237 0 77237
Compte de Distribution
64770 0 64770 0 64770 0 0 0 D.61 Cotisations sociales 1942 10708 51986 0 0 64636 134 64770
Distribution secondaire du
56657 5375 51282 0 0 37366 10708 3208 D.62 Prest. Soc. autres transf. sociaux en nature 0 0 0 56657 0 56657 0 56657 revenu
secondaire du
revenu 206878 63969 142909 1059 17443 95882 10751 17774 D.7 Autres transferts courants 2978 9799 95296 86138 9364 203575 3303 206878
896669 896669 8332 584891 183401 20869 99176 B.6b Revenu disponible brut 99176 20869 183401 584891 8332 896669 896669 Compte redistrib.
Compte redistrib. 76598 76598 4083 0 72515 0 0 D.63 Transferts sociaux en nature 0 0 0 76598 0 76598 76598 revenu en nature
revenu en nature 896669 896669 4249 661489 110886 20869 99176 B.7b Revenu disponible ajusté brut 99176 20869 110886 661489 4249 896669 896669
B.6b Revenu disponible brut 99176 20869 183401 584891 8332 896669 896669 Compte
680397 680397 4083 508124 168190 0 0 P.3 Dépense de consommation finale 680397 680397 d'utilisation
Compte du revenu
680397 676314 580639 95675 P.4 Consommation finale effective 680397 680397
d'utilisation
du revenu 2592 0 2592 0 0 0 2592 0 D.8 Ajust. Variation droits ménages fonds pens. 0 0 0 2592 0 2592 0 2592
216272 216272 4249 79359 15211 18277 99176 B.8b Epargne brute 99176 18277 15211 79359 4249 216272 216272
80648 80648 B.12 Solde opérations courantes avec l'extérieur 80648 80648
276390 276390 1558 75075 43764 2313 153680 P.51 Formation brute de capital fixe 276390 276390
20530 20530 0 2080 0 0 18450 P.52 Variation des stocks 20530 20530
Compte de capital
0 0 0 96 -1325 1229 1 -1 K.2 Acquisitions moins cessions d'actifs NFNP
Compte de capital D.9 (+) Transferts nets en capital (+) 7261 394 13909 2738 2668 26970 2 26972
D.9 (-) Transferts nets en capital (-) -442 -3160 -20010 -479 -2878 -26969 -3 -26972
B.10.1 Variations valeur nette dues à l'épargne…. 105995 15511 9110 81618 4039 216273 80647 296920
0 80647 -80647 2385 5788 -35883 13197 -66134 B.9 Capacité (+) / besoin (-) de financement -64313 12816 -36955 5513 2292 -80647 80647 0
Ecart statistique -1821 381 1072 275 93 0 0 0
313134 69922 243212 2472 30224 31464 140509 38543 F Acquisitions nettes d'actifs financiers…. 102856 127693 68419 24711 180 323859 -10725 313134
0 1142 -1142 0 0 0 -1142 0 F.1 Or monétaire et DTS 0
88939 -2694 91633 2063 26505 2169 48911 11985 F.2 Numéraire et dépôts 0 73490 10579 0 0 84069 4870 88939
Compte financier
Compte financier 24639 0 24639 0 1196 -2201 -427 26071 F.3 Titres autres qu'actions 8283 8951 42464 0 0 59698 -35059 24639
89411 23080 66331 -189 0 243 66277 0 F.4 Crédits 40579 9784 16418 22567 63 89411 0 89411
37515 23445 14070 0 735 19951 6044 -12660 F.5 Actions et titres d'OPCVM 17969 12412 4669 0 0 35050 2465 37515
9921 0 9921 0 9714 0 -166 373 F.6 Réserves techniques d'assurances 0 9921 0 0 0 9921 0 9921
62709 24949 37760 598 -7926 11302 21012 12774 F.7 Autres comptes à recevoir / à payer 36025 13135 -5711 2144 117 45710 16999 62709
VI- ANNEXES
CODE LIBELLE
A00 AGRICULTURE, SYLVICULTURE, CHASSE
A00001 Cultures, arboriculture, services annexes
A00002 Élevage, chasse, services annexes
A00003 Sylviculture, exploitation forestière, services annexes
B05 PECHE, AQUACULTURE
B05000 Pêche, aquaculture
C01 EXTRACTION DE HOUILLE, DE LIGNITE, DE TOURBE
C01000 Extraction de houille, de lignite, de tourbe
C02 EXTRACTION DE MINERAIS METALLIQUES
C02000 Extraction de minerais métalliques
C03 AUTRES EXTRACTIONS DE MINERAIS
C03001 Extraction de phosphate naturel
C03002 Autres extractions de minerais non métalliques
D15 INDUSTRIE ALIMENTAIRE
D15001 Industrie de viandes
D15002 Industrie du poisson
D15003 Industrie des fruits et légumes
D15004 Industrie des corps gras
D15005 Industrie laitière
D15006 Transformation des céréales, amidonnerie et fabrication aliments pour animaux
D15007 Transformation des farines et gruaux
D15081 Industrie sucrière
D15082 Industrie d'autres produits alimentaires
D15009 Industrie des boissons
D16 INDUSTRIE DU TABAC
D16000 Industrie du tabac
D17 INDUSTRIE TEXTILE
D17001 Filature
D17002 Tissage
D17003 Ennoblissement textile
D17004 Fabrication d'articles textiles
D17051 Fabrication de tapis et moquettes
D17052 Fabrication d'autres articles en textile
D17006 Fabrication d'étoffes à maille et d'autres articles
D18 INDUSTRIE DE L'HABILLEMENT ET DES FOURRURES
D18000 Industrie de l'habillement et des fourrures
D19 INDUSTRIE DU CUIR ET DE LA CHAUSSURE
D19001 Apprêt et tannage des cuirs
D19002 Fabrication de chaussures et d'articles de voyage
D20 TRAVAIL DU BOIS ET FABRICATION D'ARTICLES EN BOIS
D20000 Travail du bois et fabrication d'articles en bois
D21 INDUSTRIE DU PAPIER ET DU CARTON
CODE LIBELLE
D21001 Fabrication de pâte à papier, de papier et de carton
D21002 Fabrication d'articles en papier ou en carton
CODE LIBELLE
CODE LIBELLE
L75002 Sécurité sociale obligatoire
MNO EDUCATION, SANTE ET ACTION SOCIALE
MN0801 Education non marchande
MN0802 Education marchande
MN0803 Santé et action sociale non marchande
MN0804 Santé et action sociale marchande
OP0 AUTRES SERVICES NON FINANCIERS
OP0001 Assainissements, voirie et gestion de déchets
OP0002 Activité des organisations associatives
OP0003 Activités récréatives
OP0004 Services personnels
OP0005 Services domestiques
CODE LIBELLE
CODE LIBELLE
B05000001 Sardines
B05000009 Autres produits (yc services annexes)
C01 EXTRACTION DE HOUILLE, DE LIGNITE, DE TOURBE
C01000 Extraction de houille, de lignite, de tourbe
C01000100 Houille, lignite et tourbe
C01000201 Pétrole brut
C01000202 Gaz naturel
C01000209 Autres (yc services annexes)
CODE LIBELLE
D15005001 lait liquide
D15005002 Autres laits
D15005009 Glaces et autres produits laitiers
D15006 Transformation des céréales, amidonnerie
D15006001 Farine de blé dur
D15006002 Farine de blé tendre
D15006003 Farine d'autres céréales
D15006004 Semoules (nc semoules de légumes)
D15006005 Riz décortiqué et transféré
D15006009 Autres
D15007 Transformation des farines et gruaux
D15007001 Pain frais
D15007002 Pâtes alimentaires et couscous
D15007003 Produits de la biscuiterie
D15007009 Autres
D15081 Industrie sucrière
D15081001 Sucre brut
D15081002 Sucre raffiné ou conditionné
D15081003 Autres sucres
D15081009 Mélasse, pulpe et autres résidus
D15082 Industrie d'autres produits alimentaires
D15082001 Café et assimilés
D15082002 Thé et assimilés
D15082003 Levure
D15082004 Produits de confiserie et chocolaterie
D15082009 Autres
D15009 Industrie des boissons
D15009101 Bière
D15009109 Autres boissons alcoolisées
D15009201 Eaux minérales (eaux de table)
D15009202 Boissons non alcoolisées diverses
D16 INDUSTRIE DU TABAC
D16000 Industrie du tabac
D16000000 Tabac
D17 INDUSTRIE TEXTILE
D17001 Filature
D17001000 Fils
D17002 Tissage
D17002000 Tissus
D17003 Ennoblissement textile
D17003000 Ennoblissement textile
D17004 Fabrication d'articles textiles
D17004001 Couvertures
D17004002 Linge de maison
D17004003 Autres articles confectionnés en textile
CODE LIBELLE
CODE LIBELLE
D23000002 Gasoil
D23000003 Fiouls
D23000004 Carburéacteurs
D23000005 Autres produits pétroliers
D23000009 Autres produits énergétiques n.c électricité et eau
D24 INDUSTRIE CHIMIQUE
D24001 Industrie chimique de base
D24001001 Gaz industriel
D24001002 Produits azotés et engrais
D24001003 Matières plastiques de base et caoutchouc synthétique
D24001004 Acide phosphorique
D24001009 Autres produits chimiques de base
D24002 Fabrication de produits agrochimiques
D24002000 Produits agrochimiques
D24003 Fabrication de peintures, de vernis et assimilés
D24003000 Peintures, vernis et assimilés
D24004 Industrie pharmaceutique
D24004000 Produits et préparations pharmaceutiques de base
D24005 Fabrication de savons, de parfums et de produits d’entretien
D24005001 Savons
D24005002 Détergents et produits d'entretien
D24005003 Parfums et produits de toilette
D24006 Autres industries chimiques
D24006001 Fibres artificielles ou synthétiques
D24006009 Autres produits chimiques
D25 INDUSTRIE DU CAOUTCHOUC ET DES PLASTIQUES
D25000 Industrie du caoutchouc et des plastiques
D25000101 Pneumatique
D25000102 Autres produits et articles en caoutchouc
D25000201 Plaques, feuilles, tubes, profilés et emballages
D25000202 Eléments en matières plastiques pour la construction
D25000203 Autres articles en matières plastiques
D26 FABRICATION D'AUTRES PRODUITS MINERAUX NON METALLIQUES
D26001 Fabrication de verre et d'articles en verre
D26001000 Verre et articles en verre
D26002 Fabrication de produits et de carreaux en céramique
D26002001 Produits en céramique
D26002002 Carreaux en céramique
D26003 Fabrication de tuiles et briques en terre cuite
D26003000 Tuiles et briques en terre cuite
D26004 Fabrication de ciment, chaux et plâtre
D26004000 Ciment, chaux et plâtre
D26005 Fabrication d'ouvrages en ciment, en béton ou en plâtre
D26005000 Ouvrages en ciment, en béton ou en plâtre
CODE LIBELLE
CODE LIBELLE
D31002000 Fils et câbles isolés
D31003 Fabrication d'accumulateurs, de piles et autres
D31003001 Accumulateurs et piles électriques
D31003002 Lampes et appareils d'éclairage
D31003003 Autres matériels électriques
D32 FABRICATION D'EQUIPEMENT DE RADIO, TELEVISION ET COMMUNICATION
D32000 Fabrication d'équipements de radio, télévision et communication
D32000001 Composants électroniques
D32000002 Appareils d'émission et de transmission
D32000003 Appareils de réception, enregistrement ou reproduction
D33 FABRICATION D'INSTRUMENTS MEDICAUX, DE PRECISION
D33000 Fabrication d'instruments médicaux, de précision
D33000001 Matériel médico-chirurgical et d'orthopédie
D33000002 Instruments et équipements de mesure et de contrôle
D33000003 Matériel optique et photographique
D33000004 Horlogerie
D34 INDUSTRIE AUTOMOBILE
D34001 Construction de véhicules automobiles
D34001001 Voitures particulières
D34001002 Véhicules utilitaires
D34001009 Autres
D34002 Fabrication de carrosseries et remorques
D34002000 Carrosseries et remorques
D34003 Fabrication d'équipements automobiles
D34003000 Equipements automobiles
D35 FABRICATION D'AUTRES MATERIELS DE TRANSPORT
D35001 Construction navale, aéronautique, spatiale
D35001001 Matériel de transport naval
D35001002 Matériel de transport ferroviaire
D35001003 Matériel de transport aéronautique et spatial
D35002 Fabrication de motocycles, de bicyclettes
D35002001 Motocycles et bicyclettes
D35002002 Autres matériels de transport
D36 FABRICATION DE MEUBLES INDUSTRIES DIVERSES
D36001 Fabrication de meubles
D36001001 Meubles divers
D36001002 Matelas et sommiers
D36002 Bijouterie
D36002000 Bijoux et monnaies
D36003 Autres industries diverses
D36003001 Instruments de musique
D36003002 Articles de sport
D36003009 Jeux, jouets et autres articles
CODE LIBELLE
D37 RECUPERATION
D37000 Récupération
D37000000 Récupération de matières métalliques et non métalliques
E00 PRODUCTION ET DISTRIBUTION D'ELECTRICITE, D'EAU
E00001 Production et distribution d'électricité, de gaz
E00001000 Electricité, gaz et chaleur
E00002 Captage, traitement et distribution d'eau
E00002000 Eau
F45 CONSTRUCTION
F45001 Bâtiments
F45001001 Bâtiments résidentiels
F45001002 Bâtiments non résidentiels
F45002 Autres constructions
F45002001 Produits des travaux de génie civil
F45002009 Autres travaux
F45003 Location avec opérateur de matériel de construction
F45003000 Location avec opérateur de matériel de construction
G00 COMMERCE ET REPARATION
G00001 Commerce et réparation de véhicules automobiles
G00001001 Commerce de véhicules et d'équipements automobiles
G00001002 Entretien et réparation de véhicules automobiles
G00001003 Commerce et réparation de motocycles
G00002 Commerce de détail de carburants
G00002000 Commerce de détail de carburants
CODE LIBELLE
CODE LIBELLE
Niveau
Niveau 1 Libellé
agrégé
A00 AGRICULTURE, FORET ET SERVICES ANNEXES
A00 Agriculture, foret et services annexes
Niveau
Niveau 1 Libellé
agrégé
E00 Production et distribution d'électricité, d'eau
I01 TRANSPORTS
I01 Transports