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niveaux A2 / B1
du Cadre européen commun
Module 1
Unité 1 : Bénabar, le clip … (Clip vidéo) 02’53’’
Unité 2 : Lille 2004 (Reportage France Télévisions) 01’50’’
Unité 3 : Pub ! (Publicité pour les chaussures ERAM) 00’32’’
Module 2
Nicolas Jérôme
Didier
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avant-propos dvd 2 1/04/03 13:57 Page 3
AVANT-PROPOS
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4
avant-propos dvd 2 1/04/03 13:57 Page 5
SOMMAIRE
Module 1
Unité 1 : Bénabar, le clip … (Clip vidéo) 02’53’’ 6
Unité 2 : Lille 2004 (Reportage France Télévisions) 02’53’’ 8
Unité 3 : Pub ! (Publicité pour les chaussures ERAM) 02’53’’ 10
Module 2
Unité 4 : La viaduc de Millau (documentaire) 02’53’’ 12
Unité 5 : Convergences (Interview d’André Bercoff) 02’53’’ 14
Unité 6 : Grèves (Reportage France Télévisions) 02’53’’ 16
Module 3
Unité 7 : L’épicerie (Court-métrage) 02’53’’ 18
Unité 8 : Voitures non polluantes (Turbo, M6) 02’53’’ 20
Unité 9 : Commerce solidaire (Reportage France Télévisions) 02’53’’ 22
Module 4
Unité 10 : À chaque ado sa tribu (Documentaire) 02’53’’ 24
Unité 11 : Profession : chef (Reportage Cuisine TV) 02’53’’ 26
Unité 12 : La folie des soldes (Reportage France Télévisions) 02’53’’ 28
Transcriptions 31
Corrigés 41
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Module 1
Unité 1 Bénabar, le clip …
Deuxième partie (de 00’24’’ à 01’06’’) : regardez cette partie une fois
sans le son, puis répondez aux questions.
2. Qu’est-ce que les jeunes filles apportent ? Cochez les bonnes réponses.
une douche un paravent des livres
un lavabo des cartons une baignoire
des habits une table une armoire
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b. Dans quelle pièce de la maison est-ce que l’on trouve tout cela ?
Troisième partie (de 01’06’’ à 02’25’’) : regardez cette partie deux fois
avec le son et complétez la chanson.
Unité 1
Deux ………………. dans la ……………….
Du savon sans ………………. et le sèche-cheveux
C’est certainement pas ……………….
Des petites boules bizarres
Pour parfumer la ……………….
C’est un vrai cauchemar
Quelqu’un a massacré tous mes amis cafards !
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fiche unite 02 etudiant dvd 2 1/04/03 14:00 Page 8
Module 1
Unité 2 ... 2004
8
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3. Quelles sont les trois formes d’« expression artistique » qu’il ne cite pas ?
Cochez la bonne réponse.
Unité 2
Quatrième partie : regardez la suite de la vidéo (jusqu’à 01’ 25’’) puis
répondez aux questions suivantes.
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Module 1
Unité 3 ... !
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Unité 3
5. Mettez en relation les éléments de la colonne de gauche avec les
éléments de la colonne de droite.
a. Elle pense qu’elle n’a pas
obtenu le poste parce que les hommes.
b. Les hommes pensent que les femmes.
c. Les femmes rentrent tôt que les femmes sont souvent
du travail parce enceintes.
d. Les hommes gagnent qu’elle est une femme.
plus d’argent
e. Les femmes dépensent qu’elles doivent s’occuper de leurs
mieux l’argent enfants.
6. À travail égal, comparé aux hommes, combien est-ce qu’une femme est
payée en moins ?
4. Est-ce que les femmes ont accès aux mêmes professions que les hommes ?
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Module 2
Unité 4 Le … de …
3. Regardez cette partie une fois avec le son, puis répondez aux questions.
a. Où est située cette construction ?
à Bordeaux à Millau à Meaux
b. En combien de temps cette construction a-t-elle été terminée ?
c. Combien d’années d’études ont été nécessaires avant le début de la
construction ?
Deuxième partie (de 00’16’’ à 00’26’’) : regardez la vidéo une fois
avec le son puis répondez aux questions suivantes.
1. Regardez cette partie une fois sans le son. Remettez les actions dans
l’ordre.
a. Le premier pylône sort de terre, en bas, dans la vallée.
b. On casse une bouteille de champagne : c’est l’inauguration de la
construction.
c. On pose la première pierre.
d. Un homme explique comment on a utilisé les ordinateurs.
e. Un pylône monte vers le ciel.
f. Plusieurs pylônes sont construits.
g. On a utilisé un satellite pour la précision.
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2. Regardez maintenant cette partie une fois avec le son puis répondez.
a. À quelle date ont commencé les travaux ?
Unité 4
comme aujourd’hui ? Pourquoi ? Qu’est-ce qui a changé ?
Quatrième partie (de 01’09’’ à 01’49’’) : regardez cette partie de la
vidéo une fois avec le son puis répondez aux questions.
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fiche unite 05 etudiant dvd 2 1/04/03 14:01 Page 14
Module 2
Unité 5 Convergences
4. Que s’est-il passé dans son pays ? Qu’est-ce qu’il faisait avant cet
événement ?
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Unité 5
4. Qu’est-ce que Bercoff aime lire ? Quels auteurs a-t-il lus ? De quelle natio-
nalité sont ces auteurs ?
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fiche unite 06 etudiant dvd2 1/04/03 14:02 Page 16
Module 2
Unité 6 Grèves
Première partie (de 00’00’’ à 00’24’’) : regardez la vidéo une fois sans
le son puis répondez aux questions suivantes.
5. Regardez cette partie une fois avec le son, puis répondez aux questions.
a. Comment est qualifié le visage des gens par la journaliste ?
honteux heureux anxieux soucieux
b. Complétez la phrase suivante.
« Une fois de plus les ………………………… attendent
…………………… leur …………………… »
Deuxième partie (de 00’25’’ à 00’36’’) : regardez la vidéo avec le
son puis répondez aux questions.
2. Quelles sont les deux expressions utilisées par le jeune homme pour
exprimer son mécontentement ? Cochez les bonnes réponses.
C’est pas possible. C’est pas normal. C’est phénoménal.
C’est incroyable. C’est inadmissible. C’est indescriptible.
Troisième partie (de 00’36’’ à 00’50’’) : regardez la vidéo sans le son
puis répondez aux questions.
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fiche unite 06 etudiant dvd2 1/04/03 14:02 Page 17
Unité 6
4 est débattu
5 Aujourd’hui,
6 à l’Assemblée Nationale
7 contre la réforme des retraites est forte
8 à débrayer.
2. Est-ce que les deux femmes sont d’accord sur la réforme des retraites du
gouvernement ?
1re personne interrogée 2e personne interrogée
d’accord pas d’accord d’accord pas d’accord
contente pas contente contente pas contente
raisons : …… raisons : ……
1. Que voyez-vous ?
un panneau d’affichage un TGV un avion
l’intérieur d’un aéroport un arrêt de bus un tramway
une station de métro une autoroute
une manifestation une route de campagne
2. Quels sont les trois types de train que l’on peut prendre en France ?
3. Regardez avec le son. Dans quelles villes les transports urbains ont-ils été
perturbés ?
4. Quelle est la principale conséquence de cette grève ?
5. Où est-ce que des vols ont été annulés ? Cochez la bonne réponse.
à Nîmes, Orly, Bonifacio à Annecy, Nice, Ajaccio à Nice, Ajaccio, Orly
Sixième partie : expression orale
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fiche unite 07 etudiant dvd 2 1/04/03 14:02 Page 18
Module 3
Unité 7 L’épicerie
2. Qu’est-ce que fait le jeune homme quand la femme arrive ? À votre avis,
qu’est-ce qu’il lui dit ?
6. Comment réagit le jeune homme et que fait-il ? Mettez dans l’ordre les
phrases suivantes.
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Unité 7
b. Il se moque d’elle en souriant.
c. Elle continue de faire ses courses.
d. Il lui donne du papier toilette.
e. Elle n’est pas contente et s’énerve.
f. Il la fixe longtemps.
g. Elle l’appelle pour lui demander quelque chose.
h. Elle essaie d’attraper quelque chose.
i. Elle vient lui parler.
2. À la fin, pourquoi la femme parle plus fort en disant : « Hein ? J’ai pas encore
dîné non, mais je vais y aller, hein ! Allez, au revoir ! » ?
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fiche unite 08 etudiant dvd 2 1/04/03 14:03 Page 20
Module 3
Unité 8 Voitures non polluantes
Première partie (de 00’00’’ à 00’12’’) : regardez la vidéo une fois sans
le son puis répondez aux questions suivantes.
4. Regardez cette partie une fois avec le son. Combien d’alertes ont eu lieu
dans cette ville en 2002 ?
2. Comment s’appelle-t-il ?
4. Regardez cette partie une fois avec le son. Quand récolte-t-on les graines
de cette fleur ? En quelle saison ?
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fiche unite 08 etudiant dvd 2 1/04/03 14:03 Page 21
Troisième partie (de 00’ 43’’ à 01’ 06’’) : regardez cette partie de la
vidéo une fois sans le son puis répondez aux questions suivantes.
Unité 8
2. Quel château célèbre voyez-vous ?
3. Regardez la vidéo deux fois avec le son. Quels sont les trois avantages et
les trois inconvénients de la Venturi ?
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fiche unite 09 etudiant dv 2 1/04/03 14:04 Page 22
Module 3
Unité 9 Commerce solidaire
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fiche unite 09 etudiant dv 2 1/04/03 14:04 Page 23
Troisième partie (de 00’50’’ à 01’09’’) : regardez la vidéo une fois avec
le son. Associez les éléments de gauche aux éléments de droite.
Unité 9
de l’argent.
c. À cause du chômage une formation
est proposée à des
jeunes sans travail.
d. Un des objectifs de Preskraft est de défendre
l’artisanat.
e. Comme des jeunes bénéficient certains jeunes
d’une formation, veulent partir en
ville.
Quatrième partie (de 01’09’’ à 01’39’’) : regardez la vidéo une fois
sans le son puis répondez aux questions suivantes.
1. Quels sont les moyens d’expression des différents acteurs du commerce
équitable ? Cochez les bonnes réponses.
le cinéma la danse la peinture
la musique le dessin les mots
2. Regardez avec le son . Quel est leur but à travers ces moyens d’expres-
sion ?
3. a. Corrigez cette phrase de la journaliste.
« Tout est conçu pour colorer l’image très vernie de certains pays. »
b. Qu’est-ce que cela signifie ? Cochez la bonne réponse.
Certains pays souffrent d’une mauvaise réputation.
Certains pays bénéficient d’une bonne réputation.
Cinquième partie (de 01’40’’ à 02’01’’) : regardez la vidéo une fois
sans le son puis répondez aux questions suivantes.
Module 4
Unité 10 ------
1. Hypothèses.
a. Où cela se passe-t-il ?
b. Qu’est-ce que les petites filles regardent au tout début ?
c. Quelle est leur attitude ? Cochez la bonne réponse
Elles sont tristes Elles s’ennuient Elles sont excitées
2. a. Regardez avec le son. Qu’est-ce que les petites filles vont essayer ?
Cochez les bonnes réponses.
des pantalons des robes
des chaussures des blousons
b. Qu’est-ce qu’elles essaient ?
c. Quel âge ont Doris et Emma ?
d. Quelle est leur activité favorite ?
e. Combien d’argent est dépensé chaque année pour le look ? Est-ce que
cela vous paraît beaucoup ?
1. Quelles sont les cibles (= personnes visées en publicité) des quatre publi-
cités ? (Regardez à nouveau les images fixes si nécessaire). Est-ce que ce
sont toujours les mêmes cibles ?
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Unité 10
c. Personne qui crée des vêtements mannequin
d. Endroit connu où sont créés
les vêtements couturier / couturière
2. Que portent-ils ?
Cinquième partie
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fiche unite 11 etudiant dvd 2 1/04/03 14:05 Page 26
Module 4
Unité 11 Profession : chef
Première partie (de 00’00’’ à 00’22’’) : regardez cette partie une fois
sans le son puis répondez aux questions suivantes.
4. Regardez cette partie une fois avec le son, puis dites si les affirmations sont
vraies ou fausses. Rétablissez la vérité si nécessaire.
VRAI FAUX
a. Son univers est un univers très féminin.
b. Ses rapports quotidiens avec ses collègues
masculins sont faciles.
c. Son entourage professionnel est plus jeune qu’elle.
Deuxième partie (de 00’23’’ à 00’40’’) : regardez cette partie une
fois sans le son puis répondez aux questions suivantes.
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fiche unite 11 etudiant dvd 2 1/04/03 14:05 Page 27
Unité 11
a. Elle cuisine toujours des produits qu’elle aime.
b. Elle cuisine seulement avec des produits du Sud-Ouest.
c. Elle s’inspire de la cuisine d’autres régions et d’autres pays.
2. Que fait-elle quand on la voit travailler ? À votre avis quelles sont ses deux
fonctions ?
Cinquième partie
1. Y a-t-il des femmes chefs cuisiniers dans votre pays ? Est-ce que ce
métier souffre de machisme ?
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fiche unite12 etudiant dvd 2 1/04/03 14:06 Page 28
Module 4
Unité 12 La folie des soldes
1. Que voyez-vous ?
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fiche unite12 etudiant dvd 2 1/04/03 14:06 Page 29
Unité 12
4. Regardez cette partie avec le son, puis complétez le commentaire de la
journaliste.
« ………………. style dans ce grand magasin parisien, l’ouverture c’est
comme d’habitude à 9 heures et demi. ………………. les soldes sont
un événement commercial de premier plan ; rien que pour l’habillement,
on fait en un mois et demi ………………. du chiffre d’affaire.
………………. désormais les soldes c’est la guerre entre les
………………, fini le temps où les soldes permettaient d’écouler les vieux
………………. . ………………. on fait tout ce qu’on peut pour être ori-
ginal. »
Cinquième partie (de 01’24’’ à 01’58’’) : regardez la suite de la vidéo
sans le son puis répondez aux questions.
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connexions 2 : transcriptions
C'est un vrai cauchemar
Quelqu'un a massacré tous mes amis cafards !
Dans la cuisine des sachets de thé
De verveine de camomille
Un message sur le répondeur d'une mère
Qu'est pas la mienne
V'là qu'elle s'en prend à ma famille !
Y'a des détails qui trompent pas
Quelqu'un en douce a fait la vaisselle
Où sont mes habitudes mon ménage trimestriel ?
J'ouvre le frigo horreur mais c'est d'la folie !
Y'a plein de légumes !
Y'a même des fruits !
Y'a des détails qui trompent pas
j'crois qu'y a une fille qu'habite chez moi !
[…]
L'aspirateur est encore chaud
C'est trop je porte plainte !
Je vais l'emmener au labo
Pour vérifier les empreintes
On dirait que je suis plus célibataire
La coupable je la tiens
Elle est devant l'étau se resserre
Accrochée au téléphone assise en tailleur
Dans une jolie robe à fleur
Une fille me dit « arrête ton cinéma »
Et le loyer je le paye autant que toi !
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transcriptions dvd2 1/04/03 14:06 Page 32
Le journaliste : « Et non, l’orchestre n’a pas démarré. Il faut dire que Jean-Claude
Casadesus dirige plus de 1 000 musiciens. 1 035 musiciens exactement
interpréteront ce soir la Marche des Chemins de Fer de Berlioz pour dire :
« Voyageons vers Lille, capitale européenne de la culture ». Dans les rues, ils
seront 200 000, peut-être 250 000 pour fêter ce coup d’envoi, celui d’une
année entière consacrée à la fête des arts.
Jean-Claude Casadesus : « C’est l’ouverture au fond ce qui va être, je l’espère,
une grande fête de toutes les cultures, de toutes les formes d’expression artis-
tique : sur la musique, la danse, le théâtre, la peinture, l’architecture, les nou-
velles technologies. C’est une fête. C’est une fête et je crois que cette, ces vibra-
tions-là, on va essayer de les transmettre pour que cette ouverture soit réussie. »
Le journaliste : « Si la fête ce soir sera dans la rue, c’est aussi dans la pénombre
des musées que les rendez-vous seront donnés : rendez-vous avec des mutants
mi-sculptures, mi-robots ; rendez-vous avec l’art contemporain et de « Sensitives
fleurs » qui répondent aux caresses des visiteurs ou rendez-vous à la gare où
la lumière a décidé de faire paraître la vie en rose. Lille métamorphosée jusque
dans son quotidien.
L’interviewé : « Le fait d’aller acheter une baguette de pain devient une aven-
ture. On est projeté dans un monde qui est … Vous savez, moi, je vois les enfants
de, les petits, là, de 10-12 ans. Ils regardent tout ça, ça leur raconte des histoires. »
Le journaliste : « Pour se raconter de belles histoires, il en coûtera 70 millions
d’euros, 2 000 manifestations en un an et un pari que la culture devienne popu-
laire à force d’être présente à tous les grands coins de la rue. En tout cas, ce
soir, c’est parti pour une nuit blanche et ça promet car on a rarement vu un
Lillois ne pas réussir une fête. »
Unité 3 : Pub
Bon, disons que mon point faible pour ce poste, c’est d’être une femme. Donc
une pondeuse qui sera enceinte tous les deux ans, qui devra rentrer chez elle
à dix-neuf heures pour s’occuper de ses mômes et qui vous fera un procès pour
harcèlement sexuel quand vous lui pincerez les fesses à la photocopieuse. En
revanche, l’avantage, c’est qu’à travail égal, vous allez me payer trente pour
cent de moins qu’un homme. Mais bon, on dépense l’argent tellement moins
bêtement que vous…
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transcriptions dvd2 1/04/03 14:06 Page 33
connexions 2 : transcriptions
de sécurité. »
Un autre ingénieur : « L’infrastructure tiendra en toutes circonstances : que ce
soit au vent, que ce soit au séisme et elle tiendra pour 120 ans comme nous
nous y sommes engagés. »
Le journaliste de terrain : « Le plus étonnant, c’est que ce viaduc qui paraît déjà
d’une extrême finesse vu de l’extérieur, eh bien est quasiment creux. Les piles
de béton sont creuses et le tablier lui-même est constitué d’un immense caisson
de métal de seulement 35 000 tonnes : un record ! »
Un autre journaliste : « C’est-à-dire quand même cinq fois le poids de la tour
Eiffel. Un tablier bourré de capteurs électroniques de température, d’hydromé-
trie, de vibrations. Bref, une surveillance permanente nécessaire à un ouvrage
conçu pour durer 120 ans. »
La journaliste : « 600 ouvriers mobilisés, un budget de 400 millions d’euros
et des records successifs : le viaduc de Millau a d’ores et déjà acquis ses lettres
de noblesse. »
Unité 5 : Convergences
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transcriptions dvd2 1/04/03 14:06 Page 34
me retrouve dans le blues. Bien. Je me retrouve aussi bien dans ce qu’on appelle
le jazal, c’est-à-dire au Liban, en Syrie et dans les pays arabes quand, vous
savez, on donne un thème et que les chanteurs et les chanteuses partent dans
une improvisation magnifique pendant une heure, deux heures sur l’amour,
la tendresse, et cetera. Et je me retrouve aussi bien chez Montaigne, chez Voltaire,
chez les critiques parce qu’il ne faut jamais oublier la pensée critique. Et ce
que ça veut dire la diversité culturelle, c’est ne jamais penser qu’il y a quelque
chose de supérieur à autre.
Unité 6 : Grèves
Ils ont tous le même visage anxieux en regardant les panneaux d’affichage.
Il est 17 heures ce soir, gare du nord à Paris. Une fois de plus, les usagers atten-
dent désespérément leur train. Ils circulent au compte goutte vers la banlieue
nord, à peine un train par heure, parfois aucun, par exemple vers Persan-
Beaumont dans le Val d’Oise.
Femme 1 : « J’ai pas de train pour rentrer chez moi. J’ai mis trois heures ce
matin pour venir et là, je ne peux pas rentrer. »
Un jeune : « Je trouve que c’est inadmissible ! Y’a un train sur dix et c’est vrai-
ment un truc de fou, c’est phénoménal. »
Ce soir, il y a en moyenne un train sur trois sur le réseau banlieue en région
parisienne. Trafic très perturbé également sur les RER. Dans le métro, trafic inégal
mais environ deux rames sur trois et un bus sur trois. Aujourd’hui, la mobilisa-
tion contre la réforme des retraites est forte car le projet de loi Fillon est débattu
à l’Assemblée nationale. Trois syndicats appelaient à débrayer.
Femme 2 : « Non, moi, je suis d’accord, je ne veux pas travailler jusqu’à 60
ans et plus et pis voilà quoi. Et mes enfants, pas jusqu’à 65 ans. Voilà. »
Femme 3 : « Moi, j’aimerais bien travailler 37 ans et demi mais seulement dans
dix ans, qui va me payer ma retraite parce qu’il n’y aura pas assez de ren-
trées d’argent pour me la payer. »
Trafic réduit également sur les grandes lignes avec en moyenne 1 train sur 3
pour les TGV, Corail et TER. Il y a eu quelques occupations de voies comme
ici à Valenciennes dans le Nord. Les transports urbains sont également très
touchés notamment ici à Marseille et à Béziers, Clermont-Ferrand ou Nice.
Conséquence de ces grèves sur le rail, rien ne va plus sur la route : embou-
teillages monstres aujourd’hui autour et à l’intérieur de Paris. Côté aérien, pas
de soucis à Roissy mais des vols annulés à Orly, Nice et Ajaccio. Demain les
transports en commun risquent à nouveau d’être perturbés.
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transcriptions dvd2 1/04/03 14:06 Page 35
connexions 2 : transcriptions
La cliente : Non, le whisky je vous dis ! C’est pas possible !
Le client : Bon, alors ?
La cliente : Alors quoi ? Vous voyez pas qu’il comprend pas ?
L’épicier : L’été sera chaud en comparaison. C’est un équilibre naturel entre une
quantité de poids et …
La cliente : Bon, écoutez. Quand je suis rentrée, vous entendiez très bien.
Alors, si vous ne me donnez pas ma bouteille de whisky, je la prends moi-même
ou je vais dans une autre épicerie. Bon allez, vous allez vous pousser…
Une cliente : Eh, oh ! Si vous lui parliez sur un autre ton, vous ne croyez pas
que ça irait plus vite, non ?
La cliente : Eh bien voyons… Est-ce que vous pouvez me passer une bouteille
de whisky, s’il vous plaît, monsieur ?
L’épicier : Pff ! Bien sûr ! Lequel voulez-vous ?
La cliente : Euh … Oui, oui, celui-là, oui.
L’épicier : 39, 95 s’il vous plaît ! Voilà. Merci. Puis bonne journée !
La cliente : Hein ? J’ai pas encore dîné non, mais je vais y aller, hein ! Allez,
au revoir !
L’épicier : 19,50 s’il vous plaît !
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transcriptions dvd2 1/04/03 14:06 Page 36
pour en extraire les lipides. Ça donne une huile très jaune qui deviendra ensuite
un biocarburant.
Autre possibilité pour rouler sans polluer : la voiture électrique. Il existe des
modèles classiques mais aussi des versions plus luxueuses comme cette Venturi
électrique. Avantage : une voiture design, rapide et agréable à conduire.
Mais attention, il faut 16 heures pour recharger les batteries. Autre inconvé-
nient, vous ne pourrez faire que 350 kilomètres. Et à 540 000 euros la voi-
ture, rouler bio reste un véritable luxe.
Troisième solution pour protéger l’environnement : la pile combustible à hydro-
gène. Peu polluante, elle rejette de l’eau dans l’atmosphère. Le problème, c’est
que c’est loin d’être une réalité : en effet, il faudra attendre encore dix ans pour
que cette voiture apparaisse sur le marché de l’automobile, elle utilise encore
trop d’énergie. Mais d’autres constructeurs poursuivent des recherches sur une
utilisation différente et plus efficace de l’hydrogène, adapté à des véhicules
plus compacts. Actuellement, seuls les transports en commun utilisent ce car-
burant.
Enfin : l’énergie solaire. À peine 260 kilos et capable de rouler jusqu’à 145
kilomètres / heure, ce véhicule peut effectuer 800 kilomètres sans s’arrêter. La
voiture de demain ?
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transcriptions dvd2 1/04/03 14:06 Page 37
connexions 2 : transcriptions
veau truc qui ressemble vraiment, qui est horrible, on dit : Tu l’as déniché dans
la tombe de tes ancêtres ? »
La journaliste : « Des lolitas comme Doris et Emma. Des gothiques, des BCBG,
des chaballahs ou des urban chics. À chaque ado sa tribu, sa famille. Des styles
définis par les publicitaires pour mieux attirer ces conso zappeurs. Paradoxe :
à cet âge-là, on veut être original et pas trop marginal. »
La dame : « C’est un moment où les marques permettent aux ados de se démar-
quer justement de leurs parents et des adultes et puis de se faire remarquer.
Donc, ils en ont besoin d’une certaine façon. C’est leur premier passeport social
disent certaines marques. »
La journaliste : « Jessica et Mathieu, frère et sœur. Leur tribu à eux : le street
wear catégorie surfer. Enfin, le surf, ces élèves studieux ne l’ont jamais pratiqué.
Ils en aiment juste le style décontracté : baskets mode aux pieds, des Converses,
c’est obligé ; t-shirt à motif ; jean baggy. Un look plutôt subi que vraiment choisi :
ils font comme leur copains de lycée. »
Mathieu : « Ben, je vais essayer d’être comme eux. Comme ça ils me verront
d’une autre façon. C’est une façon de socialiser en fait. »
Jessica : « On préfère être comme les autres, comme ses copains, ses copines
et, bon, y a des gens, ils n’ont pas vraiment les moyens de s’acheter de la
marque. Donc, c’est, c’est peut-être… C’est peut-être un peu stupide mais bon,
on est dans le système ! »
La journaliste : « Lucides les ados ! Devenus adultes, 70 % d’entre eux reste-
ront fidèles à leurs marques de jeunesse. En attendant : courage, chers parents,
voici un avant-goût de ce qui, dans leurs penderies, vous attend… »
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transcriptions dvd2 1/04/03 14:06 Page 38
Je suis née dans les cuisines. Mon père était cuisinier, mon grand-père, mon
arrière grand-père, ma grand-mère. J’ai rencontré Alain Ducasse qui à l’époque
n’était qu’au Louis XV et j’ai travaillé trois ans à ses côtés. Dès l’ouverture, on
a travaillé pour faire bien, pour faire ce qu’on aimait, ce que j’aimais, ce que
je voulais mettre en place, et cetera.
Quand je cuisine, ce que j’ai l’impression, enfin en tous les cas, c’est que ça
vient de là quoi. Ça part du cœur. Ça vient de… C’est quelque chose qui sort
de moi, c’est quelque chose que j’aime. Enfin c’est vrai que je cuisine jamais
des produits que j’aime pas. Donc je fais une cuisine qui travaille le produit
du sud-ouest. Ce que je fais, c’est que, à partir du produit : du poulet des Landes,
du bœuf de Chalosse ou du foie gras, ben après c’est tout mon vécu, tout ce
que j’ai pu voir ailleurs, tout ce que j’ai pu ressentir ailleurs : mes voyages, mes
expériences, et cetera qui se traduisent dans l’assiette. Donc ce sont des asso-
ciations après qui sont un peu insolites.
La cuisine, elle est en moi. C’est vrai que j’y pense très, très souvent puisque
c’est mon métier et c’est surtout ma passion. Avant d’être mon métier, c’est ma
passion. Donc je pense toujours à la cuisine parce que c’est ce que j’aime faire.
C’est vrai qu’à mon personnel je me présente sous les deux casquettes hein :
sous la casquette « chef de cuisine » mais aussi sous la casquette « chef d’en-
treprise ». C’est le travail tous les jours qui fait qu’on trouve sa place et encore
plus par dans ce monde qui est un peu régi par les hommes, oui en effet.
Non, non, nous ne sommes pas à l’entrée d’un concert de Johnny mais bien
à l’ouverture des soldes. Hystérie, bousculade, tout ça pour la course aux bonnes
affaires. Il est minuit une la nuit dernière, cette grande enseigne des Champs
Elysées est la première à ouvrir le bal.
Cliente 1 : « Non, pour l’instant, on ne se crêpe pas le chignon, donc ça va
mais voilà, moi, je trouve assez sympa comme ambiance. C’est marrant quoi,
c’est Paris, c’est un peu la fête quoi. »
Plusieurs milliers de personnes sont venues entre minuit et six heures du matin,
10 000 selon les responsables de la boutique, des noctambules du shopping
prêts à dégotter tout et n’importe quoi. Car ici, on a décidé de frapper très fort.
Le magasin a prévu quelques petits extra : champagne et petits fours pour chou-
chouter les mordus du look.
Cliente 2 : « Je pense que c’est bien mais je pense que les gens se précipi-
tent tellement sur les vêtements qu’ils n’ont pas le temps de boire en fait. »
Cliente 3 : « C’est la première fois que je vois ça. »
Cliente 4 : « C’est ma priorité. »
Autre style dans ce grand magasin parisien, l’ouverture c’est comme d’habi-
tude à 9 heures et demi. Pourtant les soldes sont un événement commercial
de premier plan, rien que pour l’habillement, on fait en un mois et demi 10 %
du chiffre d’affaire. Car désormais les soldes, c’est la guerre entre les marques.
Finis les temps où les soldes permettaient d’écouler les vieux stocks, alors on
fait tout ce qu’on peut pour être original.
Responsable de magasin : « Pour essayer de faire de ces soldes un moment
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de plaisir aussi et pas un moment de fièvre acheteuse… Donc on fait des mas-
sages, notamment de la voûte plantaire, on distribue de l’eau fraîche, des barres
chocolatées de manière à reprendre des forces. »
De la luminothérapie, des menus minceur dans les restaurants du magasin,
des conseils de mode, tout y passe. L’essentiel, c’est que les clientes se sentent
bien pour être prêtes à ouvrir leur portefeuille en toute sérénité.
Hôtesse : « Bonnes courses mesdames. Pour vous donner du tonus ! Bonjour !
Bonjour ! »
Et pour les clientes, un seul mot d’ordre…
Cliente 5 : « Juste pour le plaisir, voilà, comme tout le monde. »
La bonne humeur et la plaisir de faire les soldes, c’est ça la nouvelle idée mar-
keting. Car après tout l’essentiel pour les magasins se résume en un seul mot :
consommation.
connexions 2 : transcriptions
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Première partie
1. Ordre des phrases : 7, 10, 1, 4, 2, 11, 8, 3, 9, 6, 5. 2. Le locataire ou le
propriétaire de l’appartement, la future co-locataire et ses amies. 3. L’une
des jeunes filles emménage dans l’appartement, les autres l’aident.
Deuxième partie
1. a. faux ; b. vrai ; c. faux.
2. un paravent ; des cartons ; une baignoire ; des habits.
3. l’oreille ; l’œil ; le cœur.
4. a. fringues ; oreiller ; taie ; draps ; couette. b. On trouve tout cela dans
une chambre.
5. Le jeune homme ne semble pas content. Il pense sans doute que c’était
mieux avant.
Troisième partie
Deux brosses à dent dans la salle de bain
Du savon sans savon et le sèche-cheveux
C’est certainement pas le mien
Des petites boules bizarres
Pour parfumer la baignoire
C’est un vrai cauchemar
Quelqu’un a massacré tous mes amis cafards !
Dans la cuisine des sachets de thé
De verveine de camomille
Un message sur le répondeur d’une mère
Qu’est pas la mienne
V’là qu’elle s’en prend à ma famille !
Y’a des détails qui trompent pas
Quelqu’un en douce a fait la vaisselle
Où sont mes habitudes mon ménage trimestriel ?
J’ouvre le frigo horreur mais c’est d’la folie !
Y’a plein de légumes !
Y’a même des fruits !
C O R R I G É S
Quatrième partie
a. Il pense qu’il n’est plus célibataire.
b. La jeune fille est en train de lire.
c. La camion part sans la jeune fille.
d. La jeune fille veut rester chez lui.
e. Le jeune homme n’a pas décidé de vivre avec elle.
f. La jeune fille paye aussi le loyer de l’appartement.
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Première partie
1. Lille. 2. La culture. 3. une gare ; une rue ; des tableaux ; un café ;
une horloge ; la foule ; des boutiques ; des musiciens. 4. La culture et les
arts.
Deuxième partie
1. Jean-Claude Casadesus. 2. Chef d’orchestre. 3. 1035 musiciens.
4. « Voyageons vers Lille, capitale européenne de la culture. ». 5. 200 à
250 000 personnes sont attendues dans les rues. 6. Une année complète.
Troisième partie
1. L’ouverture. 2. Les cultures et toutes les formes d’expression artistique.
3. La sculpture, le cinéma, la photographie.
Quatrième partie
1. Dans la rue, dans les musées et la gare. 2. Des mutants mi-sculptures,
mi-robots, des fleurs artificielles qui répondent aux caresses des visiteurs.
3. La gare est devenue toute rose. 4. Une piste d’atterrissage pour des
vaisseaux spatiaux.
Cinquième partie
1. 70 millions d’euros. 2. 2 000 manifestations. 3. Oui, ce sera un évé-
nement populaire. 4. La nuit sera blanche. Cela signifie qu’on ne se cou-
chera pas.
Première partie
1. Dans un bureau, dans une entreprise.
2. Il y a 5 personnes : 4 hommes et 1 femme. Eux portent une chemise
et une cravate, les vestes sont posées sur le dossier des chaises. Elle, elle
porte un tailleur jupe et un chemisier à rayures. Ils sont tous habillés de
manière très élégante.
4. C’est la jeune femme qui parle. Elle est assise puis debout, face aux
hommes assis derrière un grand bureau.
5. un porte-manteau ; un téléphone ; une bouteille d’eau ; un sac à
main.
6. Une publicité
Deuxième partie
1. C’est une publicité pour des chaussures de la marque Eram. 2. a. faux ;
b. vrai ; c. faux ; d. faux ; e. vrai
Troisième partie
1. faible ; pondeuse ; enceinte ; avantage ; harcèlement ; procès ; mômes ;
pincer. 2. Parce qu’il est gêné et surpris par ce que dit la jeune femme. Il
a honte. Elle semble dire des choses vraies. 3. Sans doute, parce qu’il sait
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que ce qu’elle dit est vrai. C’est un sourire pour signifier peut-être une cer-
taine complicité mais aussi pour masquer la surprise et la gêne.
4. agacé et calme en même temps.
5. a. Elle pense qu’elle n’a pas obtenu le poste parce qu’elle est une femme.
b. Les hommes pensent que les femmes sont souvent enceintes.
c. Les femmes rentrent tôt du travail parce qu’elles doivent s’occuper de
leurs enfants. d. Les hommes gagnent plus d’argent que les femmes. e.
Les femmes dépensent mieux l’argent que les hommes.
6. À travail égal comparé aux hommes, une femme est payée 30 % de
moins. 7. de machisme et d’injustice
Première partie
1. Un viaduc. 2. Cela permet aux transports routiers de traverser de
longues vallées beaucoup plus rapidement. 3. a. à Millau ; b. en trois ans ;
c. 10 ans
Deuxième partie S
1. Ingénieur. 2. a. faux ; b. faux ; c. vrai ; d. vrai
Troisième partie
1. Ordre des phrases : c ; a ; e ; f ; g ; d ; b.
2. a. le 14 décembre 2001. b. 245 mètres. c. Non. C’est l’évolution de la
technique, les outils de calcul actuels, les moyens matériels disponibles
aujourd’hui qui ont permis d’achever cette construction.
Quatrième partie
1. - La journaliste : Plus improbable encore fut la jonction des deux tron-
çons du tablier car il a fallu faire coulisser ces 26 000 tonnes d’acier sur
des vérins hydrauliques pour un rendez-vous au-dessus du vide le 27 mai
2004.
- Un ingénieur : Pour moi, c’est impressionnant. C’est comme si on avait
C O R R I G É S
fait un petit bébé, là. On l’a construit nous-mêmes même si ce sont les ordi-
nateurs qui ont machiné tout ça.
- La journaliste : Et rien n’a été laissé au hasard jusqu’au revêtement rou-
tier conçu sur mesure afin d’épouser la déformation du viaduc pour un
maximum de sécurité.
- Un ingénieur : L’infrastructure tiendra en toutes circonstances : que ce
soit au vent, que ce soit au séisme et elle tiendra pour 120 ans comme
nous nous y sommes engagés.
2. a. faux ; b. vrai ; c. vrai ; d. vrai
Cinquième partie
1. a. La construction est surprenante parce qu’elle paraît fine à l’extérieur
et elle est creuse à l’intérieur. b. Le caisson est un record parce qu’il ne
pèse que 35 000 tonnes. c. Le caisson pèse cinq fois plus que la Tour Eiffel.
d. La sécurité est optimale parce que la construction est constamment sur-
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Première partie
1. Il est détendu. 2. Journaliste, écrivain. 3. Beyrouth au Liban. 4. La
guerre civile. Il écoutait plusieurs types de musique, lisait de la littérature
française. Il étudiait. 5. L’arabe (langue officielle du Liban le français et
l’anglais (à cause de l’influence occidentale le Liban fait partie de la fran-
cophonie) qu’il pratique plus ou moins fréquemment. 6. Probablement
parce qu’il a vécu dans un pays influencé par ces trois civilisations.
Deuxième partie
1. Un relativisme 2. Cela signifie que la richesse culturelle de l’homme
appartient à tout le monde sur terre où que l’on soit.
Troisième partie
1. le blues, musique des Etats-Unis.
2. Il utilise les deux mains et commence par l’index.
3. Le jazal : des chanteurs / chanteuses improvisent une chanson à partir
d’un thème musical. On peut écouter cette musique au Liban, en Syrie et
dans d’autres pays arabes.
4. Montaigne, Voltaire et les critiques (auteurs français).
Quatrième partie
1. Il n’y a aucune culture supérieure à une autre.
Première partie
1. Dans une gare. 2. Des gens attendent et regardent des panneaux
d’affichage. 3. Ils sont inquiets.
La patience et la résigna- L’angoisse, l’inquiétude, l’éner-
sentiments
tion vement
les personnes aux bras la femme qui se ronge les
attitudes
croisés ongles
4.
5. a. anxieux. b. « Une fois de plus les usagers attendent désespérément
leur train. »
Deuxième partie
1. Elle n’a pas de train pour rentrer chez elle. Le matin, elle a mis trois heures
pour venir. 2. C’est phénoménal. C’est inadmissible.
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Troisième partie
1. Les transports publics (trains, métro, bus). 2.SNCF : Société nationale des
chemins de fer ; RATP : Régie autonome des transports parisiens ; RER :
Réseau express régional. 2. Train de la banlieue parisienne, métro, bus.
Quatrième partie
1. Aujourd’hui, la mobilisation contre la réforme des retraites est forte car
le projet de loi Fillon est débattu à l’Assemblée nationale. Trois syndicats
appelaient à débrayer.
2.
pas pas
d’accord contente raisons
d’accord contente
1re personne Elle ne veut pas
interrogée travailler jusqu’à
x x 60 ans et plus, ni
elle, ni ses enfants.
Cinquième partie
1. une manifestation ; un panneau d’affichage ; l’intérieur d’un aéroport ;
un arrêt de bus ; un TGV ; une station de métro ; une autoroute.
2. TGV (Lignes à grande vitesse), Corail (Trains grandes lignes), TER (Trains
express régionaux).
3. Marseille, Béziers, Clermont-Ferrand et Nice.
4. Des embouteillages importants dans et autour de Paris.
5. A Nice, Ajaccio et Orly.
Première partie
1. Dans une épicerie. Un épicier et une cliente.
2. Il lit puis il lève la tête, arrête de lire son journal et semble la saluer. Il
lui dit sans doute « Bonjour. »
3. Non.
4. Elle est indifférente.
5. Elle porte un tailleur. Elle pourrait appartenir à la catégorie des cadres.
6. Ordre des actions : c. ; d. ; b. ; a.
7. Elle fait ses courses.
Deuxième partie
1. Elle les jette sur le comptoir, à la caisse.
2. Il est surpris mais reste impassible.
3. Elle hausse les sourcils.
4. Il fait un signe de la tête.
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Troisième partie
Ordre des phrases : c. ; h. ; g. ; i. ; f. ; a. ; d. ; e. ; b.
Quatrième partie
1. du vinaigre balsamique et du whisky. 2. moqueur. 3. Il voudrait pro-
bablement qu’elle lui demande des choses poliment. En faisant semblant
de ne pas comprendre, il se moque d’elle mais cherche aussi à lui faire
comprendre qu’elle manque de politesse.
Cinquième partie
1. poli. 2. D’une certaine manière, elle se venge. Elle montre aussi qu’elle
a été polie mais qu’elle a été forcée de l’être.
Première partie
1. À Paris : on distingue des plaques minéralogiques 75, le panneau indique
la direction « Bercy », quartier parisien et on distingue l’église de la
Madeleine.
2. brumeux.
3. La pollution atmosphérique.
4. 20.
5. a. vrai ; b. vrai ; c. vrai.
Deuxième partie
1. végétale
2. Le colza
3. Ordre des actions : c. ; b. ; e. ; a. ; d.
4. En juillet, en été.
5. 45 % d’huile.
6. Le biocarburant.
Troisième partie
1. Ce sont des voitures électriques. Certaines sont des modèles courants.
La dernière est plus sportive et plus luxueuse.
2. Chambord
3. Avantages : une voiture design, rapide et agréable à conduire.
Inconvénients : Recharger cette voiture prend du temps ; on fait assez
peu de kilomètre ; elle coûte très cher.
Quatrième partie
1.Troisième solution pour protéger l’environnement : la pile combustible
à hydrogène. Peu polluante, elle rejette de l’eau dans l’atmosphère. Le pro-
blème, c’est que c’est loin d’être une réalité : en effet, il faudra attendre
encore attendre dix ans pour que cette voiture apparaisse sur le marché
de l’automobile et elle utilise encore trop d’énergie. Mais d’autres construc-
teurs poursuivent des recherches sur une utilisation différente et plus effi-
cace de l’hydrogène, adapté à des véhicules plus compacts. Actuellement,
seuls les transports en commun utilisent ce carburant.
2. a. Puisque ce carburant utilise beaucoup d’énergie, il n’est pas prêt de
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devenir réalité pour les voitures. b. Comme ce carburant utilise encore beau-
coup d’énergie, des constructeurs cherchent des moyens pour le rendre
plus efficace. c. Grâce à ce carburant, il y a peu de pollution. d. Ce car-
burant est uniquement utilisé par les transports en commun parce que leur
taille est adaptée à ce système.
Cinquième partie
1. À l’énergie solaire. 2. « Finalement : l’énergie solaire. À peine 260 kilos
et capable de rouler au moins à 145 kilomètres/heure, cette voiture peut
effectuer 800 kilomètres sans arrêt. La voiture de demain ? »
Première partie
1. « Consommez responsable avec ARTISANS DU MONDE »
2. Dans une boutique d’artisanat, dans un pays occidental.
3. Des vêtements, de la vaisselle, des objets décoratifs, des instruments de
musique.
4. Probablement de pays du sud (pays en développement).
5. Il s’agit de commerce solidaire ou commerce équitable.
6. Ce commerce s’appelle le commerce équitable. Il permet à des arti-
sans d’obtenir un salaire convenable quand ils vendent leurs objets en
occident, dans certaines boutiques.
7. « En 5 ans, Artisans du monde a doublé son chiffre d’affaires. »
8. Elle pense que ce commerce est juste. Elle fait allusion aux pays en déve-
loppement.
Deuxième partie
1. Du Cameroun. 2. des artisans. 3. a. vrai ; b. faux ; c. faux ; d. vrai ;
e. vrai
Troisième partie
C O R R I G É S
a. Grâce à Preskraft une formation est proposée à des jeunes sans tra-
vail.
b. Preskraft veut lutter contre l’exode rural.
c. À cause du chômage, certains jeunes veulent partir en ville.
d. Un des objectifs de Preskraft est de défendre l’artisanat.
e. Comme des jeunes bénéficient d’une formation, ils deviennent artisans
et gagnent de l’argent.
Quatrième partie
1. La danse, la musique et les mots.
2. Faire connaître les problèmes d’aujourd’hui.
3. a. « Tout est conçu pour redorer l’image ternie de certains pays. ».
b. Certains pays souffrent d’une mauvaise réputation.
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Cinquième partie
2. en République Dominicaine.
3. Un réseau d’eau potable a été installé grâce à l’argent prélevé sur l’achat
de billets et séjours effectués par les touristes dans certaines agences de
voyage.
4. Complétez.
« Sur chaque voyage, un dollar est prélevé par nuit d’hôtel, les fonds finan-
cent des projets humanitaires. L’association est récente mais elle a déjà
collecté 400 000 francs cette année. »
Première partie
1. Dans un magasin de vêtements. / Elles regardent des chaussures. / Elles
sont excitées.
2. a. des robes ; des chaussures. b. Des robes et un chapeau. c. 11 ans
d. Le shopping. e. 830 euros.
3. a. Les parents ; les enfants. b. Aux marques des vêtements et à la beauté
des vêtements.
Deuxième partie
1. Aux adolescents
2. Les marques de certains permettent de s’identifier au groupe de ceux
et celles qui portent cette marque. Comme dans une tribu, il y a des signes
de reconnaissance.
3. Elles permettent de se démarquer des parents et de se faire remarquer
par les autres.
4. a. Succession de personnes sur scène et montrant de nouveaux vête-
ments = défilé de mode maison de couture. b. Personne qui présente une
nouvelle collection d’habits à un public = mannequin. c. Personne qui crée
des vêtements = couturier / couturière. d. Endroit connu où sont créés les
vêtements = maison de couture
Troisième partie
1. Le street wear, catégorie surfer, parce qu’ils aiment le style décontracté.
2. baskets mode aux pieds, des Converses ; t-shirt à motif ; jeans baggy.
3. Pas vraiment. En fait, ils s’habillent comme leurs copains. Pour eux, c’est
une manière de socialiser.
4. Cela veut sans doute dire qu’elle fait comme les autres, qu’elle est
acceptée par la majorité.
5. a. lucides b. Ils comprennent parfaitement la situation.
Quatrième partie
1. 70 %. 2. Parce que, a priori, ils ne vont pas aimer ce que vont porter
leurs enfants (des vêtements trop originaux) et ils vont devoir payer les vête-
ments.
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Première partie
1. un restaurant ; une cuisine.
2. Hélène Darroze.
3. Chef cuisinier.
4. a. faux ; b. faux ; c. faux.
Deuxième partie
1. Non, c’est un restaurant de haute gastronomie. Le décor est raffiné et
les cuisines sont grandes. Beaucoup de personnes y travaillent.
2. raffiné.
3. Je suis née dans les cuisines. Mon père était cuisinier, mon grand-père,
mon arrière grand-père, ma grand-mère. J’ai rencontré Alain Ducasse qui
à l’époque n’était qu’au Louis XV et j’ai travaillé trois ans à ses côtés. Dès
l’ouverture, on a travaillé pour faire bien, pour faire ce qu’on aimait, ce
que j’aimais, ce que je voulais mettre en place, et cetera.
Troisième partie
1. Son cœur.
2. Elle aime beaucoup ce qu’elle fait.
3. Elle est passionnée.
4. a. vrai ; b. vrai ; c. vrai.
5. a. insolites. b. Les mélanges sont inhabituels.
Quatrième partie
1. de la sauce ; des asperges ; de la crème fraîche ; du foie gras
2. Elle cuisine et elle travaille aussi dans un bureau.
3. se présenter sous une certaine fonction
4. Par son travail de tous les jours.
Première partie
1. Une foule, assez jeune, à l’entrée d’un bâtiment, des gardiens.
2. agitée
3. Probablement à l’entrée d’un magasin ou d’une salle de concert.
4. a. Des soldes. b. Minuit. c. Dans un magasin, à Paris, sur les
Champs-Élysées.
Deuxième partie
1. « Non pour l’instant, on ne se crêpe pas le chignon, donc ça va mais
voilà, moi, je trouve assez sympa comme ambiance. C’est marrant quoi,
c’est Paris, c’est un peu la fête quoi. »
Troisième partie
1. a. vrai ; b. faux ; c. faux ; d. faux ; e. vrai ; f. faux
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Quatrième partie
1. tranquille.
2. Une clientèle plus âgée et essentiellement féminine.
3. a. vrai ; b. faux ; c. vrai ; d. faux.
4. Autre style dans ce grand magasin parisien, l’ouverture c’est comme
d’habitude à 9 heures et demi. Pourtant les soldes sont un événement com-
mercial de premier plan ; rien que pour l’habillement, on fait en un mois
et demi 10 % du chiffre d’affaire. Car désormais les soldes c’est la guerre
entre les marques, fini le temp où les soldes permettaient d’écouler les vieux
stocks. Alors on fait tout ce qu’on peut pour être original.
Cinquième partie
1. le responsable du magasin
2. Des barres chocolatées, de l’eau minérale et des massages de la voûte
plantaire.
3. De la luminothérapie, des menus minceur dans les restaurants du
magasin, des conseils de mode.
Sixième partie
1. La bonne humeur et le plaisir. 2. Que les clients consomment.
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NOTES
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COUV livret DVD 2 1/04/03 14:50 Page 1
connexions
niveaux A2 / B1
du Cadre européen commun
Module 1
Unité 1 : Bénabar, le clip … (Clip vidéo) 02’53’’
Unité 2 : Lille 2004 (Reportage France Télévisions) 01’50’’
Unité 3 : Pub ! (Publicité pour les chaussures ERAM) 00’32’’
Module 2