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connexions
niveaux A2 / B1
du Cadre européen commun

DVD/VIDÉO POUR LA CLASSE

➜ Stimuler l’apprentissage du français avec des documents authen-


tiques courts ;
➜ 12 documents vidéo variés (extraits de films, interviews, repor-
tages, documentaires, etc.) pour aborder différemment certains
aspects culturels et socioculturels du monde francophone ;
➜ 12 fiches d’activités incluses pour décoder efficacement les docu-
ments vidéo (avec les transcriptions et les corrigés) ;
➜ 12 fiches pédagogiques pour l’enseignant à télécharger sur
Internet (www.didierconnexions.com) proposant des activités
complémentaires facultatives, des conseils et des éléments expli-
catifs liés à des points de civilisation abordés dans les vidéos.

Module 1
Unité 1 : Bénabar, le clip … (Clip vidéo) 02’53’’
Unité 2 : Lille 2004 (Reportage France Télévisions) 01’50’’
Unité 3 : Pub ! (Publicité pour les chaussures ERAM) 00’32’’
Module 2

codes : DVD/Vidéo, zone 1, 5639 / 47 3207 9 – zone 2, 5640 / 47 3208 7


Unité 4 : La viaduc de Millau (documentaire) 02’30’’
Unité 5 : Convergences (Interview d’André Bercoff) 02’05’’
Unité 6 : Grèves (Reportage France Télévisions) 01’51’’

VIDÉO, pal : 5538 / 47 3167 5 ; ntsc : 5623 / 47 3197 2


Module 3
Unité 7 : L’épicerie (Court-métrage) 03’28’’
Unité 8 : Voitures non polluantes (Turbo, M6) 01’58’’
Unité 9 : Commerce solidaire (Reportage France Télévisions) 02’00’’
Module 4
Unité 10 : À chaque ado sa tribu (Documentaire) 02’02’’
Unité 11 : Profession : chef (Reportage Cuisine TV) 02’05’’
Unité 12 : La folie des soldes (Reportage France Télévisions) 02’14’’
Nicolas Jérôme
Transcriptions
Corrigés

Production : A ProPos - a-propos@club-internet.fr – Producteur exécutif : Gérard Quéray /


Annie Serres– Réalisation : Gérard Quéray / Shay J. Katz – Infographie 3D - Artésia
Interactive / Ludovic Mayeux
Sources : AGORA Films - ALP Productions - Bandits productions - Ce qui me meut / Cédric Klapish
- Cuisine TV - DMD productions - Docs & Co – ERAM - France télévisions distribution - Gaumont-
Pathé - Images et compagnie / Radio France – INA - Métropole productions - RIFF productions –
Didier
RTBF - Zomba records / BMG France
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Nicolas Jérôme

Vidéo pour la classe

Didier
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AVANT-PROPOS

Cette vidéo accompagne le manuel de l’élève de Connexions 2.


Elle reprend les thèmes du livre de l’étudiant et permet d’aborder
différemment certains aspects culturels et socioculturels du monde
francophone, uniquement à partir de documents authentiques :
reportages, interviews, clip, court-métrage ou encore publicité. Les
activités suggérées s’inspirent également du contenu linguistique,
sociolinguistique et pragmatique des unités de Connexions 2 et sont
en parfaite adéquation avec la progression du manuscrit.
Son utilisation est simple et prend en compte les spécificités du docu-
ment vidéo pour l’enseignement / apprentissage des langues :
activités avec ou sans le son, reconnaissance visuelle des situations de
communication, observation et compréhension des implicites culturels
en contexte, etc. Les fiches ont été conçues avec un souci de clarté et
de cohérence afin que, une fois toutes les activités terminées, l’appre-
nant puisse bien comprendre et décoder un document vidéo authen-
tique lié au niveau A2/B1 du Cadre européen commun de référence
pour les langues.
Les activités proposées sont variées, accessibles et favorisent une uti-
lisation en autonomie en centre de langues avec tutorat par exemple:
questions à choix multiples, questions ouvertes, vrai / faux, textes à trous,
tableaux à remplir, activités de discrimination auditive, éléments à mettre
en relation, phrases à corriger ou à remettre dans l’ordre. Elles sont
toujours faisables et tiennent compte du niveau linguistique des appre-
nants. Pour des raisons évidentes de progression, il est fortement
recommandé de travailler les vidéos de Connexions à la fin de chaque
unité. Les fiches d’activités proposées sont prévues pour des séances
de 45 à 60 minutes chacune. Les transcriptions des documents et les
corrigés des activités figurent à la fin du livret.
Par ailleurs, des activités complémentaires, des conseils et des élé-
ments explicatifs liés à des points de civilisation abordés dans les vidéos
sont disponibles et téléchargeables gratuitement sur le site
internet d’accompagnement de la collection à l’adresse suivante :
www.didierconnexions.com
L’auteur

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MODE D’UTILISATION DU DVD


Insérez le dvd dans votre lecteur. Il se lance automatiquement. Attendez
la fin de l’introduction. Vous atteignez alors l’espace de navigation,
devant l’entrée de l’espace du module 1. Vous pouvez prendre la main.
- Option 1 : la navigation module par module (ou navigation décou-
verte) en utilisant la première ligne de chiffres en partant du haut. Les
grands chiffres (1, 2, 3 4) correspondent aux modules. En cliquant sur
le chiffre central, 1 par exemple, vous entrez dans l’espace du module
qui vous intéresse, le module 1 par exemple. Les titres des 3 unités
qui composent ce module s’affichent à l’écran (1.1 Bonjour ! par
exemple signifiant module 1, unité 1 : Bonjour !). Pour accéder au docu-
ment vidéo de votre choix, il suffit de cliquer sur le titre de l’unité qui
vous intéresse. À la fin de chaque document vidéo, vous êtes systé-
matiquement renvoyée à l’espace du module où vous étiez. Pour
sortir de cet espace, il suffit de cliquer sur la flèche orientée vers le bas
de l’écran.
Pour accéder aux différents modules, il suffit d’avancer au choix dans
le sens d’une aiguille d’une montre en utilisant la flèche orientée vers
la droite (ou le contraire en utilisant la flèche orientée vers la gauche)
et de cliquer chaque fois sur le chiffre central pour accéder au module
de votre choix.
- Option 2 : la navigation unité par unité (ou navigation experte)
en utilisant la deuxième ligne de chiffre en partant du haut. Les petits
chiffres insérés dans des boutons carrés (de 1 à 12) correspondent aux
12 unités. À partir de cette barre de navigation, vous accédez direc-
tement au document vidéo de l’unité de votre choix.
- Pour sortir du dvd, cliquez sur le bouton sortie se trouvant à l’ex-
trême droite de la barre de navigation experte (bouton montrant une
porte avec une flèche orientée vers la droite de l’écran). La sortie com-
plète du dvd s’effectue après le générique de fin.
Attention ! Les codes temps mentionnés dans les fiches étudiant ont
été définis à partir du dvd zone 2. Il se peut qu’ils soient légèrement
modifiés pour les dvd zone 1 et pour les versions VHS / NTSC.

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SOMMAIRE

Module 1
Unité 1 : Bénabar, le clip … (Clip vidéo) 02’53’’ 6
Unité 2 : Lille 2004 (Reportage France Télévisions) 02’53’’ 8
Unité 3 : Pub ! (Publicité pour les chaussures ERAM) 02’53’’ 10

Module 2
Unité 4 : La viaduc de Millau (documentaire) 02’53’’ 12
Unité 5 : Convergences (Interview d’André Bercoff) 02’53’’ 14
Unité 6 : Grèves (Reportage France Télévisions) 02’53’’ 16

Module 3
Unité 7 : L’épicerie (Court-métrage) 02’53’’ 18
Unité 8 : Voitures non polluantes (Turbo, M6) 02’53’’ 20
Unité 9 : Commerce solidaire (Reportage France Télévisions) 02’53’’ 22

Module 4
Unité 10 : À chaque ado sa tribu (Documentaire) 02’53’’ 24
Unité 11 : Profession : chef (Reportage Cuisine TV) 02’53’’ 26
Unité 12 : La folie des soldes (Reportage France Télévisions) 02’53’’ 28

Transcriptions 31

Corrigés 41
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Module 1
Unité 1 Bénabar, le clip …

Première partie (de 00’00’’ à 00’25’’) : regardez cette partie de la


vidéo une fois avec le son puis répondez aux questions suivantes.

1. Remettez les actions dans l’ordre.


1 Il va à la fenêtre.
2 Un camion arrive.
3 Deux des jeunes filles regardent vers la fenêtre.
4 Il regarde par la fenêtre.
5 Une des jeunes filles fait signe de patienter à un automobiliste.
6 Dans le camion, il y a beaucoup d’affaires.
7 Un jeune homme est dans sa chambre.
8 Trois filles descendent du camion.
9 Elles ouvrent l’arrière du camion.
10 Il termine de se préparer.
11 Le camion est arrêté brusquement.
2. À votre avis, qui sont toutes ces personnes ?

3. Qu’est-ce que les jeunes filles viennent faire ?

Deuxième partie (de 00’24’’ à 01’06’’) : regardez cette partie une fois
sans le son, puis répondez aux questions.

1. Vrai ou faux ? Rétablissez la vérité si nécessaire. VRAI FAUX


a. Le jeune homme a l’air très content.
b. La jeune fille en rouge est ravie.
c. Il veut aider les jeunes filles.

2. Qu’est-ce que les jeunes filles apportent ? Cochez les bonnes réponses.
une douche un paravent des livres
un lavabo des cartons une baignoire
des habits une table une armoire

3. Regardez cette partie avec le son et complétez la chanson.


Plusieurs indices m’ont mis la puce à l’……………….
J’ouvre l’……………….
J’vais faire une enquête pour en avoir le ………………. net
Ça m’inquiète

4. a.Cochez les mots que vous entendez.


poule vêtements dé paix
fringues pareils oreiller taie
draps guette couette flingues

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b. Dans quelle pièce de la maison est-ce que l’on trouve tout cela ?

connexions 2 : fiche étudiant


5. Qu’est-ce que le jeune homme pense ?

Troisième partie (de 01’06’’ à 02’25’’) : regardez cette partie deux fois
avec le son et complétez la chanson.

Unité 1
Deux ………………. dans la ……………….
Du savon sans ………………. et le sèche-cheveux
C’est certainement pas ……………….
Des petites boules bizarres
Pour parfumer la ……………….
C’est un vrai cauchemar
Quelqu’un a massacré tous mes amis cafards !

Dans la ………………. des sachets de ……………….


De verveine de camomille
Un message sur le répondeur d’une mère
Qu’est pas ……………….
V’là qu’elle s’en prend à ma famille !

Y’a des détails qui trompent pas

Quelqu’un en douce a fait la ……………….


Où sont mes habitudes mon ………………. ………………. ?
J’ouvre le ………………. horreur c’est d’la folie !
Y’a plein de ………………. !
Y’a même des ………………. !

Y’a des détails qui trompent pas


J’crois qu’y’a une fille qu’habite chez moi !
Quatrième partie (de 02’16’’ à 02’25’’) : regardez cette partie une
fois avec le son, puis associez les éléments de gauche avec les élé-
ments de droite.
a. Il pense   veut rester chez lui.
b. La jeune fille   est en train de lire.
c. La camion part   paye aussi le loyer de l’appartement.
d. La jeune fille   qu’il n’est plus célibataire.
e. Le jeune homme   sans la jeune fille.
f. La jeune fille   n’a pas décidé de vivre avec elle.

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Module 1
Unité 2 ... 2004

Première partie : regardez la vidéo en entier une fois puis répondez


aux questions suivantes.

1. Dans quelle ville française se passe le reportage ?


Nîmes Lille Nice Digne

2. Qu’est-ce qui est célébré ? Avez-vous déjà entendu parler de ce type


d’événement ? Si oui, pouvez-vous expliquer ?

3. Cochez ce que vous avez vu.


une gare une rue des tableaux
une horloge un café un opéra
la foule des boutiques des musiciens

4. Quel est le thème de ce document vidéo ?

Deuxième partie : regardez les 33 premières secondes de la vidéo


puis répondez aux questions suivantes.

1. Comment s’appelle la personne que vous voyez à l’écran ?


Jean-Claude Casdessous Jean-Marc Casadesis
Jean-Claude Casadesus

2. Quel est son métier ?

3. Combien de personnes est-ce qu’il dirige exactement ?

4. Complétez la phrase suivante.


« Voyageons vers ………………., capitale ………………. de la
………………… »

5. Combien de personnes sont attendues dans les rues ?

6. Combien de temps va durer cette manifestation ?


trois mois une année complète deux années entières

Troisième partie : regardez l’interview (de 00’33’’ à 00’54’’) puis


répondez aux questions suivantes.

1. De quel moment de la manifestation parle-t-il ?

2. Qu’est-ce qui va être fêté ?

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3. Quelles sont les trois formes d’« expression artistique » qu’il ne cite pas ?
Cochez la bonne réponse.

connexions 2 : fiche étudiant


la peinture la musique le théâtre
la sculpture la danse le cinéma
l’architecture la photographie les nouvelles technologies

Unité 2
Quatrième partie : regardez la suite de la vidéo (jusqu’à 01’ 25’’) puis
répondez aux questions suivantes.

1. Où est-ce que les gens pourront voir ces manifestations ?

2. Qu’est-ce qu’ils pourront voir par exemple ?

3. Comment est devenue la gare ?


mauve jaune rose

4. Qu’est-ce que vous voyez derrière la personne interviewée ? À quoi est-


ce que cela vous fait penser ?

Cinquième partie : regardez la fin de la vidéo puis répondez aux ques-


tions suivantes.

1. Combien est-ce que cet événement va coûter ?

2. Combien de manifestations sont prévues ?

3. Est-ce que tout le monde pourra profiter de cet événement ?

4. Comment est-ce que sera la première nuit ?


étrange blanche
franche branchée
Qu’est-ce que cela signifie ?
La nuit sera courte. On ne se couchera pas.
On se couchera tard. On se couchera tôt.

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Module 1
Unité 3 ... !

Première partie : regardez une fois le premier document vidéo sans


le son puis répondez aux questions suivantes.

1. À votre avis, où se passe cette scène ?

2. Combien de personnes avez-vous vues ? Combien d’hommes et com-


bien de femmes sont présents ? Comment sont-ils habillés ?

3. Selon vous, de quoi parlent-ils ?

4. Qui parle ? Où se trouve cette personne par rapport aux autres ?

5. Cochez ce que vous avez vu :


un porte-manteau une télévision
un téléphone une étagère
une bouteille d’eau un ordinateur
un sac à main une plante verte

6. À votre avis, de quel type de document s’agit-il ? Cochez la bonne


réponse.
une interview un extrait de film
une publicité un reportage
Deuxième partie : regardez maintenant le deuxième document en
entier avec le son et répondez aux questions suivantes.

1. Complétez et répondez aux questions :


C’est un(e) ……………….. pour quel produit ? Pour quelle marque ?

2. Vrai ou faux ? Rétablissez la vérité si nécessaire. VRAI FAUX


a. La jeune femme travaille déjà dans cette entreprise
b. Les hommes ne veulent pas lui parler.
c. La jeune femme est enceinte.
d. Les hommes sont les plus détendus.
e. Tous les hommes portent une cravate.
Troisième partie : regardez deux fois la deuxième vidéo puis répondez
aux questions suivantes.

1. Cochez les mots que vous avez entendus.


faible pondeuse enceinte avantage
mode harcèlement baisse procès
vêtement mômes pincer gagner

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2. Pourquoi est-ce qu’un des hommes baisse les yeux ?

connexions 2 : fiche étudiant


3. Pourquoi est-ce qu’un autre homme sourit en regardant son voisin ?

4. Comment réagit le troisième homme ? Il est :


agacé calme honteux heureux

Unité 3
5. Mettez en relation les éléments de la colonne de gauche avec les
éléments de la colonne de droite.
a. Elle pense qu’elle n’a pas
obtenu le poste parce   que les hommes.
b. Les hommes pensent   que les femmes.
c. Les femmes rentrent tôt   que les femmes sont souvent
du travail parce enceintes.
d. Les hommes gagnent   qu’elle est une femme.
plus d’argent
e. Les femmes dépensent   qu’elles doivent s’occuper de leurs
mieux l’argent enfants.

6. À travail égal, comparé aux hommes, combien est-ce qu’une femme est
payée en moins ?

7. De quoi la femme est-elle victime ici ?


de racisme. de machisme. d’injustice.
Quatrième partie

1. Comment avez-vous trouvé cette publicité ?

2. Est-ce que la publicité est partout présente chez vous ?

3. Est-ce que la situation professionnelle des hommes et des femmes est la


même dans votre pays ?

4. Est-ce que les femmes ont accès aux mêmes professions que les hommes ?

5. Est-ce qu’à qualification égale (même niveau d’études), une femme a


moins / autant / plus de chances qu’un homme d’obtenir du travail ?

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Module 2
Unité 4 Le … de …

Première partie (de 00’00’’ à 00’16’’) : regardez cette partie de la vidéo


une fois sans le son puis répondez aux questions suivantes.

1. Que voyez-vous ? Comment appelle-t-on ce type de construction ?


un aqueduc un gazoduc un viaduc un pipeline

2. À quoi cela sert-il ?

3. Regardez cette partie une fois avec le son, puis répondez aux questions.
a. Où est située cette construction ?
à Bordeaux à Millau à Meaux
b. En combien de temps cette construction a-t-elle été terminée ?
c. Combien d’années d’études ont été nécessaires avant le début de la
construction ?
Deuxième partie (de 00’16’’ à 00’26’’) : regardez la vidéo une fois
avec le son puis répondez aux questions suivantes.

1. À votre avis, quelle est la profession de ce monsieur ?

2. Vrai ou faux ? Rétablissez la vérité si nécessaire. VRAI FAUX


a. On a utilisé des techniques compliquées
pour la construction.
b. On a utilisé des techniques nouvelles
pour la construction.
c. On a utilisé les mêmes techniques
qu’auparavant pour la construction.
d. On a utilisé des techniques déjà connues
pour des raisons de sécurité.
Troisième partie (de 00’27’’ à 01’09’’).

1. Regardez cette partie une fois sans le son. Remettez les actions dans
l’ordre.
a. Le premier pylône sort de terre, en bas, dans la vallée.
b. On casse une bouteille de champagne : c’est l’inauguration de la
construction.
c. On pose la première pierre.
d. Un homme explique comment on a utilisé les ordinateurs.
e. Un pylône monte vers le ciel.
f. Plusieurs pylônes sont construits.
g. On a utilisé un satellite pour la précision.

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2. Regardez maintenant cette partie une fois avec le son puis répondez.
a. À quelle date ont commencé les travaux ?

connexions 2 : fiche étudiant


b. À quelle altitude culmine le plus haut des pylônes ?
225 mètres 245 mètres 255 mètres
c. Est-ce que dans les années 1980, il était possible de construire cela

Unité 4
comme aujourd’hui ? Pourquoi ? Qu’est-ce qui a changé ?
Quatrième partie (de 01’09’’ à 01’49’’) : regardez cette partie de la
vidéo une fois avec le son puis répondez aux questions.

1. Écoutez et corrigez ce qui n’est pas correct.


La journaliste : Plus incroyable encore fut la jonction des deux tronçons du tablier
car il a failli faire coulisser ces 260 000 tonnes d’acier sur des vérins hydrau-
liques pour un rendez-vous au-dessous du vide le 17 mai 2004.
Un ingénieur : Pour moi, c’est impressionnant. C’est comme si on avait fait un
gros bébé, là. On l’a construit nous-mêmes même si ce sont les satellites qui
ont machiné tout ça.
La journaliste : Et rien n’a été laissé au hasard jusqu’au revêtement
routier conçu sur mesure afin d’épouser la formation du viaduc pour un
minimum d’insécurité.
Un ingénieur : L’infrastructure résistera en toutes circonstances : que ce soit au
vent, que ce soit au séisme et elle tiendra pour 80 ans comme nous nous y
sommes engagés.

2. Vrai ou faux ? Rétablissez la vérité si nécessaire. VRAI FAUX


a. Le plus facile a été de joindre
les deux parties du viaduc.
b. Les ordinateurs ont été très efficaces.
c. Tout a été prévu pour la sécurité.
d. Les forces naturelles ne pourront
pas détruire la construction.
Cinquième partie (de 01’49’’ à 02’31’’) : regardez la vidéo une fois
avec le son puis répondez aux questions.

1. Associez les éléments de gauche aux éléments de droite.


a. La construction est surprenante parce   que la Tour Eiffel.
b. Le caisson est un record parce   qu’il ne pèse que 35 000 tonnes.
c. Le caisson pèse cinq fois plus   que la construction est constam
ment surveillée.
d. La sécurité est optimale parce   qu’elle paraît fine à l’extérieur et est
creuse à l’intérieur.

2. Combien d’ouvriers ont travaillé sur ce chantier ?

3. Combien a coûté le projet ?

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Module 2
Unité 5 Convergences

Première partie : regardez jusqu’à 0’51’’ et répondez aux questions


suivantes.

1. Quelle est l’attitude d’André Bercoff ?


Il est stressé. Il est détendu.
Il est nerveux. Il est surpris.
Comment cette attitude se traduit physiquement ?

2. Quelles sont les deux professions d’André Bercoff ?

3. De quel pays et de quelle ville est-il originaire ?

4. Que s’est-il passé dans son pays ? Qu’est-ce qu’il faisait avant cet
événement ?

5. Quelles langues connaît André Bercoff ? Les pratique-t-il souvent ?

6. À votre avis, pourquoi connaît-il surtout ces langues et ces cultures ?

Deuxième partie de 00’51’’ à 01’05’’ : regardez cette partie et


répondez aux questions suivantes.

1. Qu’est-ce que la connaissance de plusieurs langues lui a principalement


apporté ?
un multilinguisme un relativisme du civisme

2. Qu’est-ce que cela veut dire pour lui ?


La richesse culturelle appartient seulement à quelques pays dans le
monde.
La richesse culturelle de l’homme appartient à tout le monde sur terre
où que l’on soit.
Troisième partie de 01’05’’ à 01’50’’ : regardez cette partie et répondez
aux questions suivantes.

1. a. Qu’est-ce qu’il aime comme musique ?


le blues le raï la salsa
b. Est-ce que c’est une musique de son pays ? Si non, de quel pays ?

2. André Bercoff donne trois explications concernant la musique qu’il aime.


Quelle partie du corps utilise-t-il pour compter ? Est-ce que vous comptez
de la même façon dans votre pays ?

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3. a. Qu’est-ce qu’il apprécie aussi ?


le sisal le jazal les bals

connexions 2 : fiche étudiant


b. De quoi s’agit-il ?
c. De quelle région du monde vient cette expression artistique ?

Unité 5
4. Qu’est-ce que Bercoff aime lire ? Quels auteurs a-t-il lus ? De quelle natio-
nalité sont ces auteurs ?

Quatrième partie : regardez la fin et répondez aux questions suivantes.

1. Quelle est sa définition de la diversité culturelle ?


Il y a des cultures supérieures à d’autres.
Il n’y a aucune culture supérieure à une autre.
Il y a des cultures inférieures à d’autres.

2. Qu’en pensez-vous ? Êtes-vous d’accord ?

3. Venez-vous d’un pays culturellement très divers ? / Habitez-vous un pays


culturellement très divers ? Pouvez-vous expliquer pourquoi et donner des
exemples ?

4. Pensez-vous que parler plusieurs langues ou que la connaissance de plu-


sieurs langues aide à mieux comprendre l’autre et à combattre le racisme ?

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fiche unite 06 etudiant dvd2 1/04/03 14:02 Page 16

Module 2
Unité 6 Grèves

Première partie (de 00’00’’ à 00’24’’) : regardez la vidéo une fois sans
le son puis répondez aux questions suivantes.

1. À votre avis, où cela se passe-t-il ? Qu’est-ce qui se passe ? Justifiez


votre réponse.

2. Que font les gens ? Qu’est-ce qu’ils regardent ?

3. Quelle est leur attitude ? Cochez la bonne réponse.


Ils sont souriants inquiets détendus contents

4. Quels sentiments traduisent les attitudes suivantes ? Complétez le tableau.


sentiments …… ……
attitudes les personnes aux bras croisés la femme qui se ronge les ongles

5. Regardez cette partie une fois avec le son, puis répondez aux questions.
a. Comment est qualifié le visage des gens par la journaliste ?
honteux heureux anxieux soucieux
b. Complétez la phrase suivante.
« Une fois de plus les ………………………… attendent
…………………… leur …………………… »
Deuxième partie (de 00’25’’ à 00’36’’) : regardez la vidéo avec le
son puis répondez aux questions.

1. Quel est le problème de la dame. Combien de temps a-t-elle mis pour


venir ?

2. Quelles sont les deux expressions utilisées par le jeune homme pour
exprimer son mécontentement ? Cochez les bonnes réponses.
C’est pas possible. C’est pas normal. C’est phénoménal.
C’est incroyable. C’est inadmissible. C’est indescriptible.
Troisième partie (de 00’36’’ à 00’50’’) : regardez la vidéo sans le son
puis répondez aux questions.

1. Quels sont les services publics concernés ? Savez-vous ce que signifient


ces sigles ?

2. Quels sont les transports en commun concernés ?

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fiche unite 06 etudiant dvd2 1/04/03 14:02 Page 17

Quatrième partie (de 00’50’’ à 01’16’’)

connexions 1 : fiche apprenant


1. Remettez les phrases de la journaliste dans l’ordre.
1 Trois syndicats appelaient
2 car le projet de loi Fillon
3 la mobilisation

Unité 6
4 est débattu
5 Aujourd’hui,
6 à l’Assemblée Nationale
7 contre la réforme des retraites est forte
8 à débrayer.

2. Est-ce que les deux femmes sont d’accord sur la réforme des retraites du
gouvernement ?
1re personne interrogée 2e personne interrogée
d’accord pas d’accord d’accord pas d’accord
contente pas contente contente pas contente
raisons : …… raisons : ……

Cinquième partie (de 01’16’’ à 01’52’’) : regardez la vidéo sans le son


puis répondez aux questions.

1. Que voyez-vous ?
un panneau d’affichage un TGV un avion
l’intérieur d’un aéroport un arrêt de bus un tramway
une station de métro une autoroute
une manifestation une route de campagne
2. Quels sont les trois types de train que l’on peut prendre en France ?
3. Regardez avec le son. Dans quelles villes les transports urbains ont-ils été
perturbés ?
4. Quelle est la principale conséquence de cette grève ?

5. Où est-ce que des vols ont été annulés ? Cochez la bonne réponse.
à Nîmes, Orly, Bonifacio à Annecy, Nice, Ajaccio à Nice, Ajaccio, Orly
Sixième partie : expression orale

1. En France, certaines grèves perturbent fortement les services publics.


Est-ce la même chose dans votre pays ? Que pensez-vous de ce type de
grève ?
2. Est-ce que ce type de grève est envisageable dans votre pays ?
3. On dit que les Français sont souvent en grève. Êtes-vous d’accord ?

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fiche unite 07 etudiant dvd 2 1/04/03 14:02 Page 18

Module 3
Unité 7 L’épicerie

Première partie (de 00’00’’ à 00’42’’) : regardez deux fois le début


de la vidéo sans le son et répondez aux questions suivantes.

1. Où se passe la scène ? Qui sont les deux personnes ?

2. Qu’est-ce que fait le jeune homme quand la femme arrive ? À votre avis,
qu’est-ce qu’il lui dit ?

3. Est-ce qu’elle lui répond ?

4. Comment se comporte la femme ? Elle est :


souriante. indifférente.
sympathique. timide.

5. Comment est-elle habillée ? À quelle catégorie sociale pourrait-elle


appartenir ?

6. Comment réagit le jeune homme et que fait-il ? Mettez dans l’ordre les
phrases suivantes.

a. Il continue de lire son journal.


b. Il baisse la tête.
c. Il la suit du regard.
d. Il fait un geste désapprobateur.

7. Qu’est-ce que la jeune femme est occupée à faire ?

8. Regardez cette partie avec le son et vérifiez vos réponses.

Deuxième partie (de 00’42’’ à 00’56’’) : regardez la suite de la


vidéo sans le son puis répondez aux questions suivantes.

1. Que fait la femme avec ses courses ?

2. Comment réagit le jeune homme ? Cochez la bonne réponse.


Il est surpris et s’énerve. Il n’est pas surpris et reste calme.
Il est surpris mais reste impassible. Il est troublé et s’énerve.

3. Observez le visage de la femme : que fait-elle ? Cochez la bonne réponse.


Elle hausse les épaules. Elle fronce les sourcils.
Elle baisse les bras. Elle hausse les sourcils.
Qu’est-ce que cela signifie selon vous ?

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fiche unite 07 etudiant dvd 2 1/04/03 14:02 Page 19

4. Quel geste fait le jeune homme ? Qu’est-ce que cela signifie ?

connexions 2 : fiche étudiant


5. Imaginez leur courte conversation puis vérifiez et comparez vos réponses
en regardant la vidéo avec le son.

a. Il lui donne une bouteille.

Unité 7
b. Il se moque d’elle en souriant.
c. Elle continue de faire ses courses.
d. Il lui donne du papier toilette.
e. Elle n’est pas contente et s’énerve.
f. Il la fixe longtemps.
g. Elle l’appelle pour lui demander quelque chose.
h. Elle essaie d’attraper quelque chose.
i. Elle vient lui parler.

Troisième partie (de 00’57’’ à 02’03’’) : regardez la suite de la vidéo


avec le son et remettez ces actions dans l’ordre.
Quatrième partie (de 02’03’’ à 02’54’’) : regardez la suite de la vidéo
et répondez aux questions.

1. Cochez ce que la femme veut acheter.


du vinaigre de vin du whisky
du vinaigre balsamique du riz

2. Comment pouvez-vous qualifier l’attitude du jeune homme ? Il est :


antipathique. moqueur.
arrogant. fier.

3. Pourquoi le jeune homme fait-il semblant de ne pas comprendre ?

Cinquième partie (de 02’54’’ à 03’28’’) : regardez la suite de la vidéo


et répondez aux questions.

1. Le ton que la femme emploie devient :


impoli. froid. poli.

2. À la fin, pourquoi la femme parle plus fort en disant : « Hein ? J’ai pas encore
dîné non, mais je vais y aller, hein ! Allez, au revoir ! » ?

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fiche unite 08 etudiant dvd 2 1/04/03 14:03 Page 20

Module 3
Unité 8 Voitures non polluantes

Première partie (de 00’00’’ à 00’12’’) : regardez la vidéo une fois sans
le son puis répondez aux questions suivantes.

1. À votre avis, de quelle ville est-il question dans ce reportage ?

2. Comment est le ciel ?


dégagé brumeux nuageux

3. À votre avis, quel est le problème de cette ville ?

4. Regardez cette partie une fois avec le son. Combien d’alertes ont eu lieu
dans cette ville en 2002 ?

5. Vrai ou faux ? Rétablissez la vérité si nécessaire. VRAI FAUX


a. La pollution a commencé à diminuer.
b. La France s’est engagée au sommet de Kyoto en 1998.
c. La seule solution est d’utiliser des carburants
(= énergie qui permet aux véhicules de rouler) non polluants.
Deuxième partie (de 00’18’’ à 00’42’’) : regardez la vidéo deux fois
sans le son puis répondez aux questions suivantes.

1. Quelle est l’origine de ce carburant ?


minérale végétale chimique

2. Comment s’appelle-t-il ?

3. Remettez dans l’ordre les actions suivantes.


a. Ensuite, un ouvrier de l’usine montre les restes des graines.
b. Puis, on sépare les graines des fleurs du reste.
c. D’abord, on récolte les fleurs dans les champs.
d. Enfin, le carburant est disponible dans les stations-services.
e. Après, on chauffe et on presse les graines pour obtenir un
liquide jaune.

4. Regardez cette partie une fois avec le son. Quand récolte-t-on les graines
de cette fleur ? En quelle saison ?

5. Que contient le fruit de cette fleur ? Cochez la bonne réponse.


55 % d’huile. 45 % d’huile. 45 % de fibres.

6. Comment appelle-t-on ce nouveau type de carburant ?

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fiche unite 08 etudiant dvd 2 1/04/03 14:03 Page 21

Troisième partie (de 00’ 43’’ à 01’ 06’’) : regardez cette partie de la
vidéo une fois sans le son puis répondez aux questions suivantes.

connexions 2 : fiche étudiant


1. À votre avis, comment fonctionnent ces voitures ? S’agit-il de voitures de
même type ?

Unité 8
2. Quel château célèbre voyez-vous ?

3. Regardez la vidéo deux fois avec le son. Quels sont les trois avantages et
les trois inconvénients de la Venturi ?

Quatrième partie (de 01’09’’ à 01’48’’) : regardez la vidéo deux fois


avec le son puis répondez aux questions suivantes.

1. Complétez avec les mots que vous entendez.


« Troisième solution pour protéger l’environnement : la ……… combus-
tible à ……… . Peu ……… , elle rejette de l’ ……… dans l’atmosphère.
Le problème, c’est que c’est loin d’être une réalité : en effet, il faudra
attendre encore attendre ……… ans pour que cette voiture apparaisse
sur le marché de l’automobile et elle utilise encore trop
d’ ……… . Mais d’autres constructeurs poursuivent des recherches sur
une utilisation différente et plus ……… de l’ ……… adaptée à des
véhicules plus compacts. Actuellement, seuls les ……… utilisent ce
……… »

2. Associez les éléments de gauche avec ceux de droite.


a. Puisque ce carburant utilise
  il y a peu de pollution.
beaucoup d’énergie,
b. Comme ce carburant utilise   parce que leur taille est
encore beaucoup d’énergie, adaptée à ce système.
c. Grâce à ce carburant,   il n’est pas prêt de devenir
une réalité pour les voitures.
d. Ce carburant est uniquement   des constructeurs cherchent
utilisé par les transports en des moyens pour le rendre
commun, plus efficace.

Cinquième partie (de 01’49’’ à 01’59’’) : regardez la vidéo une fois


sans le son puis répondez aux questions suivantes.

1. À votre avis, avec quelle énergie fonctionne cette voiture ?

2. Regardez une fois avec le son et corrigez le texte.


« Finalement : l’énergie éolienne. À peine 270 kilos et capable de rouler
au moins à 155 kilomètres / heure, cette voiture peut effectuer
8000 kilomètres sans arrêt. L’automobile de demain ? »

21
fiche unite 09 etudiant dv 2 1/04/03 14:04 Page 22

Module 3
Unité 9 Commerce solidaire

Première partie (de 00’00’’ à 00’18’’) : regardez cette partie de la vidéo


une fois sans le son puis répondez aux questions suivantes.

1. Complétez le message suivant.


« Consommez ……………….. avec ARTISANS DU ……………….. »

2. Où cela se passe-t-il ? Dans quelle région du monde ?


3. Qu’est-ce que vous voyez ? Cochez les bonnes réponses.
des vêtements des livres
de la vaisselle des objets décoratifs
des produits ménagers des instruments de musique
des télévisions des médicaments

4. À votre avis, d’où viennent tous ces articles ?


5. De quel type de commerce s’agit-il ?
6. Regardez avec le son. Comment s’appelle ce type de commerce ? Quel
est sa particularité ?
7. Complétez.
« En ……… ans, Artisans du ……… a doublé son ………………… »

8. Que pense la dame de ce commerce ? À quels pays fait-elle allusion ?

Deuxième partie (de 00’18’’ à 00’50’’) : regardez la vidéo une fois


avec le son puis répondez aux questions suivantes.

1. De quel pays africain viennent tous ces objets ?


2. Qui les a fabriqués ?
des mendiants des artisans des enfants

3. Vrai ou faux ? Rétablissez la vérité si nécessaire. VRAI FAUX


a. Les boutiques « Artisans du monde »
sont constituées en réseau.
b. Les prix sont très bas.
c. Pour les poteries, 50 francs sur 140 francs
reviennent au potier.
d. L’argent permet au potier d’avoir un salaire raisonnable.
e. Cet argent permet aussi de financer des actions de
développement pour le groupement d’artisans Preskraft.

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fiche unite 09 etudiant dv 2 1/04/03 14:04 Page 23

Troisième partie (de 00’50’’ à 01’09’’) : regardez la vidéo une fois avec
le son. Associez les éléments de gauche aux éléments de droite.

connexions 2 : fiche étudiant


a. Grâce à Preskraft   contre l’exode
rural
b. Preskraft veut lutter   ils deviennent
artisans et gagnent

Unité 9
de l’argent.
c. À cause du chômage   une formation
est proposée à des
jeunes sans travail.
d. Un des objectifs de Preskraft   est de défendre
l’artisanat.
e. Comme des jeunes bénéficient   certains jeunes
d’une formation, veulent partir en
ville.
Quatrième partie (de 01’09’’ à 01’39’’) : regardez la vidéo une fois
sans le son puis répondez aux questions suivantes.
1. Quels sont les moyens d’expression des différents acteurs du commerce
équitable ? Cochez les bonnes réponses.
le cinéma la danse la peinture
la musique le dessin les mots
2. Regardez avec le son . Quel est leur but à travers ces moyens d’expres-
sion ?
3. a. Corrigez cette phrase de la journaliste.
« Tout est conçu pour colorer l’image très vernie de certains pays. »
b. Qu’est-ce que cela signifie ? Cochez la bonne réponse.
Certains pays souffrent d’une mauvaise réputation.
Certains pays bénéficient d’une bonne réputation.
Cinquième partie (de 01’40’’ à 02’01’’) : regardez la vidéo une fois
sans le son puis répondez aux questions suivantes.

1. À votre avis, de quoi est-il question dans ce reportage ?


2. Regardez la vidéo une fois avec le son . Où cela se passe-t-il ?
3. Qu’est-ce qui a changé dans ce village ? Grâce à quoi ?
4. Complétez.
« Sur chaque ……… , un ……… est prélevé par nuit d’hôtel, les fonds
financent des projets ……… . L’association est récente mais elle a déjà
collecté ……………….. francs cette année. »
Sixième partie

1. Pensez-vous que le commerce équitable soit une solution pour apporter


de l’aide aux pays qui en ont besoin ?
2. Connaissez-vous d’autres moyens semblables ou différents pour lutter
contre la pauvreté dans le monde
23
fiche unite 10 etudiant dvd 2 1/04/03 14:04 Page 24

Module 4
Unité 10 ------

Première partie (de 00’00’’ à 00’35’’) : regardez les 15 premières


secondes de la vidéo sans le son.

1. Hypothèses.
a. Où cela se passe-t-il ?
b. Qu’est-ce que les petites filles regardent au tout début ?
c. Quelle est leur attitude ? Cochez la bonne réponse
Elles sont tristes Elles s’ennuient Elles sont excitées

2. a. Regardez avec le son. Qu’est-ce que les petites filles vont essayer ?
Cochez les bonnes réponses.
des pantalons des robes
des chaussures des blousons
b. Qu’est-ce qu’elles essaient ?
c. Quel âge ont Doris et Emma ?
d. Quelle est leur activité favorite ?
e. Combien d’argent est dépensé chaque année pour le look ? Est-ce que
cela vous paraît beaucoup ?

3. Regardez la suite de la vidéo jusqu’à la trente-quatrième seconde puis


répondez aux questions suivantes.
a. Qui paye ? Qui décide ?
b. À quoi sont attachées les petites filles ? Cochez les deux bonnes réponses.
aux couleurs des vêtements aux marques des vêtements
à la beauté des vêtements aux vêtements pas chers
Deuxième partie (de 00’36’’ à 01’06’’) : regardez une fois la suite de
la vidéo et répondez aux questions suivantes.

1. Quelles sont les cibles (= personnes visées en publicité) des quatre publi-
cités ? (Regardez à nouveau les images fixes si nécessaire). Est-ce que ce
sont toujours les mêmes cibles ?

2. Comment comprenez-vous l’expression « à chaque ado sa tribu, sa


famille » ?

3. À quoi servent les marques pour les adolescents ?

24
fiche unite 10 etudiant dvd 2 1/04/03 14:04 Page 25

4. Définitions. Mettez en relation les éléments de la colonne de gauche


avec ceux de la colonne de droite.

connexions 2 : fiche étudiant


a. Succession de personnes sur scène
et montrant de nouveaux vêtements   maison de couture
b. Personne qui présente une nouvelle
collection d’habits à un public défilé de mode

Unité 10
 
c. Personne qui crée des vêtements   mannequin
d. Endroit connu où sont créés
les vêtements   couturier / couturière

Troisième partie (de 01’06’’ à 01’48’’) : regardez la suite de la vidéo


puis répondez aux questions.

1. Qu’est-ce que Jessica et Mathieu aiment comme style ? Pourquoi ?

2. Que portent-ils ?

3. Est-ce que c’est un look qu’ils ont choisi chacun ? Pourquoi ?

4. Jessica dit : « On est dans le système ». Comment comprenez-vous cette


phrase ? Êtes-vous d’accord / pas d’accord ?

5. a. Comment sont qualifiés les adolescents par la journaliste ? Cochez la


bonne réponse.
stupides lucides cupides
b. Qu’est-ce que cela signifie ?
Ils ne veulent pas comprendre la situation.
Ils comprennent parfaitement la situation.
Ils ne comprennent rien à la situation.
Quatrième partie (de 01’49’’ à 02’02’’) : regardez la dernière partie
puis répondez aux questions.

1. Combien d’adultes continuent à acheter leurs marques de jeunesse ?

2. Pourquoi la journaliste dit : « courage, chers parents » ?

Cinquième partie

1. Que pensez-vous de ce reportage ? Êtes-vous choqué(e) / pas


choqué(e) ?

2. Est-ce que la situation ressemble à celle de votre pays ? Connaissez-vous


des jeunes qui se comportent ainsi dans votre entourage ?

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fiche unite 11 etudiant dvd 2 1/04/03 14:05 Page 26

Module 4
Unité 11 Profession : chef

Première partie (de 00’00’’ à 00’22’’) : regardez cette partie une fois
sans le son puis répondez aux questions suivantes.

1. Que voyez-vous ? Cochez ce que vous avez vu.


un bar un restaurant un café
une cuisine un salon des clients

2. De qui est-il question ?

3. À votre avis, quelle est sa profession ?

4. Regardez cette partie une fois avec le son, puis dites si les affirmations sont
vraies ou fausses. Rétablissez la vérité si nécessaire.
VRAI FAUX
a. Son univers est un univers très féminin.
b. Ses rapports quotidiens avec ses collègues
masculins sont faciles.
c. Son entourage professionnel est plus jeune qu’elle.
Deuxième partie (de 00’23’’ à 00’40’’) : regardez cette partie une
fois sans le son puis répondez aux questions suivantes.

1. À votre avis, s’agit-il d’un restaurant « ordinaire » ? Pourquoi ?

2. Comment est le service ? Cochez la bonne réponse.


simple raffiné normal

3. Regardez maintenant avec le son puis complétez les propos suivants.


« Je suis ………………. dans les ………………. : mon ……………….
était ………………., mon ………………., mon ………………. , ma
………………. . J’ai ………………. Alain Ducasse qui à l’époque
n’………………. qu’au Louis XV et j’ai ………………. trois ans à ses
côtés. Dès l’ouverture, on a travaillé pour faire ………………. , pour
faire ce qu’on ………………. , ce que j’………………. , ce que je
………………. mettre en place, et cetera. »
Troisième partie (de 00’40’’ à 01’27’’) : regardez cette partie une fois
avec le son puis répondez aux questions.

1. Quelle partie du corps touche-t-elle en parlant de son métier ?

2. Qu’est-ce que cela signifie ? Cochez la bonne réponse.


Elle déteste ce qu’elle fait. Elle aime beaucoup ce qu’elle fait.

26
fiche unite 11 etudiant dvd 2 1/04/03 14:05 Page 27

3. Comment pourriez-vous la qualifier par rapport à son travail ?


Elle s’ennuie. Elle est passionnée.

connexions 2 : fiche étudiant


Elle est indifférente. Elle est généreuse.

4. Vrai ou faux ? Rétablissez la vérité si nécessaire. VRAI FAUX

Unité 11
a. Elle cuisine toujours des produits qu’elle aime.
b. Elle cuisine seulement avec des produits du Sud-Ouest.
c. Elle s’inspire de la cuisine d’autres régions et d’autres pays.

5. a. Comment qualifie-t-elle ses créations culinaires ? Cochez la bonne réponse.


Elles sont : solides. cosmopolites. insolites.
b. Qu’est-ce que cela signifie ? Cochez la bonne réponse.
Les mélanges sont : sans goût. inhabituels.
écœurants. odorants.
Quatrième partie (de 01’27’’ à 02’06’’) : regardez cette partie une
fois sans le son puis répondez.

1. Qu’avez-vous vu ? Cochez les bonnes réponses.


des poireaux de la sauce de la moutarde
des asperges de la purée de la crème fraîche
du pâté du foie gras du poisson

2. Que fait-elle quand on la voit travailler ? À votre avis quelles sont ses deux
fonctions ?

3. Regardez cette partie avec le son. Que signifie « se présenter à quelqu’un


sous une casquette » ?
Se présenter avec quelque chose sur la tête.
Se présenter sous une certaine fonction.
Se présenter en donnant son nom, son prénom, sa situation familiale,
etc.

4. Comment réussit-elle à se faire reconnaître par ses collègues masculins ?

Cinquième partie

1. Y a-t-il des femmes chefs cuisiniers dans votre pays ? Est-ce que ce
métier souffre de machisme ?

2. Y a-t-il chez vous des métiers ou des domaines professionnels


« réservés » aux hommes ou « réservés » aux femmes ? Pouvez-vous expli-
quer pourquoi ?

27
fiche unite12 etudiant dvd 2 1/04/03 14:06 Page 28

Module 4
Unité 12 La folie des soldes

Première partie (de 00’00’’ à 00’18’’) : regardez la première partie


de la vidéo sans le son, puis répondez aux questions suivantes.

1. Que voyez-vous ?

2. Comment est l’ambiance ?


triste calme agitée

3. À votre avis, où est-ce que cela se passe ?

4. Regardez la première partie avec le son puis répondez aux questions.


a. De quoi est-il question ?
b. Quelle heure est-il ?
c. Où est-ce que cela se passe ?
Deuxième partie (de 00’18’’ à 00’31’’)

1. Écoutez et corrigez ce que dit la jeune fille.


« Non pour le moment, on ne se crêpe pas le chignon, donc ça va mais
voilà, moi, je trouve assez drôle comme ambiance. C’est amusant quoi,
c’est Paris, c’est un peu la folie quoi. »
Troisième partie (de 00’31’’ à 01’00’’) : regardez la suite de la vidéo
avec le son, puis répondez aux questions.

1. Vrai ou faux ? Rétablissez la vérité si nécessaire. VRAI FAUX


a. Les gens font leurs courses la nuit.
b. Moins de 1000 clients sont venus.
c. Généralement, les gens n’achètent que ce
dont ils ont besoin.
d. Le magasin offre des boissons non alcoolisées
à leurs clients.
e. Le magasin veut faire plaisir à sa clientèle.
f. Les clients ne sont là que pour acheter.
Quatrième partie (de 01’01’’ à 01’23’’) : regardez la suite de la vidéo
sans le son puis répondez aux questions.

1. Comment est l’ambiance ?


tranquille agitée sereine

2. De quel type de clientèle s’agit-il ?

28
fiche unite12 etudiant dvd 2 1/04/03 14:06 Page 29

3. Vrai ou faux ? Rétablissez la vérité si nécessaire. VRAI FAUX


a. On voit des clientes essayer des chaussures.

connexions 2 : fiche étudiant


b. Personne ne fait la queue aux caisses.
c. Certaines clientes ne font que regarder.
d. C’est un petit magasin.

Unité 12
4. Regardez cette partie avec le son, puis complétez le commentaire de la
journaliste.
« ………………. style dans ce grand magasin parisien, l’ouverture c’est
comme d’habitude à 9 heures et demi. ………………. les soldes sont
un événement commercial de premier plan ; rien que pour l’habillement,
on fait en un mois et demi ………………. du chiffre d’affaire.
………………. désormais les soldes c’est la guerre entre les
………………, fini le temps où les soldes permettaient d’écouler les vieux
………………. . ………………. on fait tout ce qu’on peut pour être ori-
ginal. »
Cinquième partie (de 01’24’’ à 01’58’’) : regardez la suite de la vidéo
sans le son puis répondez aux questions.

1. À votre avis, qui est ce monsieur ?


un client le responsable du magasin un employé du magasin

2. Qu’est-ce que le magasin offre à ses clients pour l’occasion ?

3. Regardez la vidéo avec le son . Qu’est-ce que le magasin offre encore


en plus ?

Sixième partie (de 01’58’’ à 02’15’’) : regardez la fin de la vidéo puis


répondez aux questions.

1. Quelle est la nouvelle idée marketing ? Cochez la bonne réponse.


la mauvaise humeur et la morosité
la bonne humeur et le sourire
la bonne humeur et le plaisir

2. Quel est l’aspect le plus important pour les magasins ?

29
transcriptions dvd2 1/04/03 14:06 Page 31

Unité 1 : Bénabar, le clip Module 1

Plusieurs indices m'ont mis la puce à l'oreille


J'ouvre l’œil
J'vais faire une enquête pour en avoir le cœur net
Ca m'inquiète
Y'a des détails qui trompent pas
Les draps la couette et la taie d'oreiller
Sont plus dépareillés
A coté de mes fringues en boule
Y'a des vêtements pliés et repassés
Y'a des détails qui trompent pas
J'crois qu'y a une fille qu'habite chez moi !
Deux brosses à dent dans la salle de bain
Du savon sans savon et le sèche-cheveux
C'est certainement pas le mien
Des petites boules bizarres
Pour parfumer la baignoire

connexions 2 : transcriptions
C'est un vrai cauchemar
Quelqu'un a massacré tous mes amis cafards !
Dans la cuisine des sachets de thé
De verveine de camomille
Un message sur le répondeur d'une mère
Qu'est pas la mienne
V'là qu'elle s'en prend à ma famille !
Y'a des détails qui trompent pas
Quelqu'un en douce a fait la vaisselle
Où sont mes habitudes mon ménage trimestriel ?
J'ouvre le frigo horreur mais c'est d'la folie !
Y'a plein de légumes !
Y'a même des fruits !
Y'a des détails qui trompent pas
j'crois qu'y a une fille qu'habite chez moi !
[…]
L'aspirateur est encore chaud
C'est trop je porte plainte !
Je vais l'emmener au labo
Pour vérifier les empreintes
On dirait que je suis plus célibataire
La coupable je la tiens
Elle est devant l'étau se resserre
Accrochée au téléphone assise en tailleur
Dans une jolie robe à fleur
Une fille me dit « arrête ton cinéma »
Et le loyer je le paye autant que toi !

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transcriptions dvd2 1/04/03 14:06 Page 32

Unité 2 : Lille 2004

Le journaliste : « Et non, l’orchestre n’a pas démarré. Il faut dire que Jean-Claude
Casadesus dirige plus de 1 000 musiciens. 1 035 musiciens exactement
interpréteront ce soir la Marche des Chemins de Fer de Berlioz pour dire :
« Voyageons vers Lille, capitale européenne de la culture ». Dans les rues, ils
seront 200 000, peut-être 250 000 pour fêter ce coup d’envoi, celui d’une
année entière consacrée à la fête des arts.
Jean-Claude Casadesus : « C’est l’ouverture au fond ce qui va être, je l’espère,
une grande fête de toutes les cultures, de toutes les formes d’expression artis-
tique : sur la musique, la danse, le théâtre, la peinture, l’architecture, les nou-
velles technologies. C’est une fête. C’est une fête et je crois que cette, ces vibra-
tions-là, on va essayer de les transmettre pour que cette ouverture soit réussie. »
Le journaliste : « Si la fête ce soir sera dans la rue, c’est aussi dans la pénombre
des musées que les rendez-vous seront donnés : rendez-vous avec des mutants
mi-sculptures, mi-robots ; rendez-vous avec l’art contemporain et de « Sensitives
fleurs » qui répondent aux caresses des visiteurs ou rendez-vous à la gare où
la lumière a décidé de faire paraître la vie en rose. Lille métamorphosée jusque
dans son quotidien.
L’interviewé : « Le fait d’aller acheter une baguette de pain devient une aven-
ture. On est projeté dans un monde qui est … Vous savez, moi, je vois les enfants
de, les petits, là, de 10-12 ans. Ils regardent tout ça, ça leur raconte des histoires. »
Le journaliste : « Pour se raconter de belles histoires, il en coûtera 70 millions
d’euros, 2 000 manifestations en un an et un pari que la culture devienne popu-
laire à force d’être présente à tous les grands coins de la rue. En tout cas, ce
soir, c’est parti pour une nuit blanche et ça promet car on a rarement vu un
Lillois ne pas réussir une fête. »

Unité 3 : Pub

Bon, disons que mon point faible pour ce poste, c’est d’être une femme. Donc
une pondeuse qui sera enceinte tous les deux ans, qui devra rentrer chez elle
à dix-neuf heures pour s’occuper de ses mômes et qui vous fera un procès pour
harcèlement sexuel quand vous lui pincerez les fesses à la photocopieuse. En
revanche, l’avantage, c’est qu’à travail égal, vous allez me payer trente pour
cent de moins qu’un homme. Mais bon, on dépense l’argent tellement moins
bêtement que vous…

Unité 4 : Le viaduc de Millau Module 2

La journaliste : « Il apparaît aujourd’hui comme une évidence, un des symboles


de ce que l’homme sait bâtir de plus grand. Le voici donc achevé ce viaduc
de Millau qui a nécessité trois années de construction et plus de dix ans d’études
préalables. »
L’ingénieur : « L’objectif, c’était de pas inventer des techniques compliquées mais
plutôt de faire appel à des techniques connues et de les pousser plus loin donc,
de jouer un peu la sécurité pour la construction de l’ouvrage. »

32
transcriptions dvd2 1/04/03 14:06 Page 33

La journaliste : « La pose de la première pierre, c’était le 14 décembre 2001.


Une pierre, une pile béton puis deux, enfin sept pylônes qui tutoient le ciel
construits au rythme de quatre mètres tous les trois jours. Des géants sortis de
terre et déjà un premier record mondial : 245 mètres pour le plus haut d’entre
eux. Si prouesse il y a dans cette construction, c’est donc en termes de gigan-
tisme mais également de précisions. Car sans le guidage par satellite, l’ou-
vrage n’aurait jamais vu le jour. »
Un autre ingénieur : « C’est l’évolution de la technique, les outils de calcul actuels,
les moyens matériels font qu’il y a par exemple une vingtaine d’années, on
aurait vraisemblablement pas pu calculer avec autant de précisions l’ouvrage. »
La journaliste : « Plus improbable encore fut la jonction des deux tronçons du
tablier car il a fallu faire coulisser ces 26 000 tonnes d’acier sur des vérins
hydrauliques pour un rendez-vous au-dessus du vide le 27 mai 2004. »
Un autre ingénieur : « Pour moi, c’est impressionnant. C’est comme si on avait
fait un petit bébé, là. On l’a construit nous-mêmes même si ce sont les ordi-
nateurs qui ont machiné tout ça. »
La journaliste : « Et rien n’a été laissé au hasard, jusqu’au revêtement routier
conçu sur mesure afin d’épouser la déformation du viaduc pour un maximum

connexions 2 : transcriptions
de sécurité. »
Un autre ingénieur : « L’infrastructure tiendra en toutes circonstances : que ce
soit au vent, que ce soit au séisme et elle tiendra pour 120 ans comme nous
nous y sommes engagés. »
Le journaliste de terrain : « Le plus étonnant, c’est que ce viaduc qui paraît déjà
d’une extrême finesse vu de l’extérieur, eh bien est quasiment creux. Les piles
de béton sont creuses et le tablier lui-même est constitué d’un immense caisson
de métal de seulement 35 000 tonnes : un record ! »
Un autre journaliste : « C’est-à-dire quand même cinq fois le poids de la tour
Eiffel. Un tablier bourré de capteurs électroniques de température, d’hydromé-
trie, de vibrations. Bref, une surveillance permanente nécessaire à un ouvrage
conçu pour durer 120 ans. »
La journaliste : « 600 ouvriers mobilisés, un budget de 400 millions d’euros
et des records successifs : le viaduc de Millau a d’ores et déjà acquis ses lettres
de noblesse. »

Unité 5 : Convergences

J’ai commencé mon activité de journaliste, d’écrivain, au Liban, à Beyrouth. Et


à Beyrouth, j’écoutais aussi bien Elvis Presley que Oum Kalsoum. Je lisais aussi
bien Jean-Paul Sartre que Aboulouh Ouasse (orthographe incertaine). Je me
trouvais dans ce pays, le Liban, avant qu’il ne soit déchiré par la guerre civile,
qui était tributaire et sujet de trois cultures : la française, l’anglaise, l’arabe et,
effectivement, je connais ces trois langues que je pratique plus ou moins fré-
quemment. Mais, ce que ça m’a donné, c’est plusieurs choses : d’abord, un
relativisme. Un relativisme, ça veut dire que nous sommes les héritiers de la
terre entière et que nous pouvons trouver notre bien où on le trouve. Je veux
dire que je me trouve aussi bien, moi, bluesman de Mississippi quand je suis
en train d’écouter un blues. Je ne suis ni black, ni j’ai vécu en Afrique, ni j’ai,
ni mes parents n’a été envoyé comme esclaves aux Etats-Unis. Et pourtant je

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transcriptions dvd2 1/04/03 14:06 Page 34

me retrouve dans le blues. Bien. Je me retrouve aussi bien dans ce qu’on appelle
le jazal, c’est-à-dire au Liban, en Syrie et dans les pays arabes quand, vous
savez, on donne un thème et que les chanteurs et les chanteuses partent dans
une improvisation magnifique pendant une heure, deux heures sur l’amour,
la tendresse, et cetera. Et je me retrouve aussi bien chez Montaigne, chez Voltaire,
chez les critiques parce qu’il ne faut jamais oublier la pensée critique. Et ce
que ça veut dire la diversité culturelle, c’est ne jamais penser qu’il y a quelque
chose de supérieur à autre.

Unité 6 : Grèves

Ils ont tous le même visage anxieux en regardant les panneaux d’affichage.
Il est 17 heures ce soir, gare du nord à Paris. Une fois de plus, les usagers atten-
dent désespérément leur train. Ils circulent au compte goutte vers la banlieue
nord, à peine un train par heure, parfois aucun, par exemple vers Persan-
Beaumont dans le Val d’Oise.
Femme 1 : « J’ai pas de train pour rentrer chez moi. J’ai mis trois heures ce
matin pour venir et là, je ne peux pas rentrer. »
Un jeune : « Je trouve que c’est inadmissible ! Y’a un train sur dix et c’est vrai-
ment un truc de fou, c’est phénoménal. »
Ce soir, il y a en moyenne un train sur trois sur le réseau banlieue en région
parisienne. Trafic très perturbé également sur les RER. Dans le métro, trafic inégal
mais environ deux rames sur trois et un bus sur trois. Aujourd’hui, la mobilisa-
tion contre la réforme des retraites est forte car le projet de loi Fillon est débattu
à l’Assemblée nationale. Trois syndicats appelaient à débrayer.
Femme 2 : « Non, moi, je suis d’accord, je ne veux pas travailler jusqu’à 60
ans et plus et pis voilà quoi. Et mes enfants, pas jusqu’à 65 ans. Voilà. »
Femme 3 : « Moi, j’aimerais bien travailler 37 ans et demi mais seulement dans
dix ans, qui va me payer ma retraite parce qu’il n’y aura pas assez de ren-
trées d’argent pour me la payer. »
Trafic réduit également sur les grandes lignes avec en moyenne 1 train sur 3
pour les TGV, Corail et TER. Il y a eu quelques occupations de voies comme
ici à Valenciennes dans le Nord. Les transports urbains sont également très
touchés notamment ici à Marseille et à Béziers, Clermont-Ferrand ou Nice.
Conséquence de ces grèves sur le rail, rien ne va plus sur la route : embou-
teillages monstres aujourd’hui autour et à l’intérieur de Paris. Côté aérien, pas
de soucis à Roissy mais des vols annulés à Orly, Nice et Ajaccio. Demain les
transports en commun risquent à nouveau d’être perturbés.

Unité 7 : Savoir vivre

(chanson) Parlez-moi avec amour, parlez-moi avec amour, parlez-moi avec


amour …
L’épicier : Bonjour ! … Bonjour !
La cliente : Oui, ben ça va, j’ai entendu. Qu’est-ce que vous voulez ? Que je
vous serre la main ? Ça, c’est pas étiqueté. C’est combien ?
L’épicier : 2,95.

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La cliente : C’est pas donné, hein … Euh, le sucre ?


L’épicier : Juste là, sous les sauces.
La cliente : Et merde ! C’est trop haut vos rayons, là ! Eh ! Il me faudrait un truc
en hauteur ! Eh ? Vous êtes sourd ? Il me faudrait un truc en hauteur.
L’épicier : Ouais. Moi, je peux pas vous dire le prix. Il faut me donner l’article.
La cliente : Je vous demande pas le prix. Je vous demande de me l’attraper.
La poudre au chocolat qui est là-bas.
L’épicier : Voilà.
La cliente : Non, la poudre au chocolat.
L’épicier : Voilà.
La cliente : Non, la poudre au chocolat. Bon, laissez-moi monter. Allez, allez !
L’épicier : Je vous en prie.
Un client : Bonjour.
La cliente : C’est pas vrai ça, hein ! Vous n’avez pas de vinaigre balsamique ?
Hummm, whisky ! Whisky !
L’épicier : Le riz ?
La cliente : Non, le whisky, là, derrière vous.
L’épicier : Ah ! Voici.

connexions 2 : transcriptions
La cliente : Non, le whisky je vous dis ! C’est pas possible !
Le client : Bon, alors ?
La cliente : Alors quoi ? Vous voyez pas qu’il comprend pas ?
L’épicier : L’été sera chaud en comparaison. C’est un équilibre naturel entre une
quantité de poids et …
La cliente : Bon, écoutez. Quand je suis rentrée, vous entendiez très bien.
Alors, si vous ne me donnez pas ma bouteille de whisky, je la prends moi-même
ou je vais dans une autre épicerie. Bon allez, vous allez vous pousser…
Une cliente : Eh, oh ! Si vous lui parliez sur un autre ton, vous ne croyez pas
que ça irait plus vite, non ?
La cliente : Eh bien voyons… Est-ce que vous pouvez me passer une bouteille
de whisky, s’il vous plaît, monsieur ?
L’épicier : Pff ! Bien sûr ! Lequel voulez-vous ?
La cliente : Euh … Oui, oui, celui-là, oui.
L’épicier : 39, 95 s’il vous plaît ! Voilà. Merci. Puis bonne journée !
La cliente : Hein ? J’ai pas encore dîné non, mais je vais y aller, hein ! Allez,
au revoir !
L’épicier : 19,50 s’il vous plaît !

Unité 8 : Voitures non polluantes

Même si on a commencé à réduire les émissions polluantes, on a quand même


compté pas moins de vingt alertes sur Paris en 2002. Si nous voulons tenir nos
engagements de Kyoto, nous n’avons pas le choix : la seule solution c’est d’avoir
des moyens de transport qui consomment moins de carburant ou d’autres car-
burants non polluants.
Tout d’abord, il est possible d’utiliser des carburants d’origine végétale, comme
le colza par exemple. Comment est-ce qu’on fabrique ce carburant ? Eh bien
c’est très simple. En juillet, en été, on récolte le fruit du colza qui contient 45%
d’huile. Pour obtenir cette huile, il faut broyer les graines, les chauffer et les presser

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pour en extraire les lipides. Ça donne une huile très jaune qui deviendra ensuite
un biocarburant.
Autre possibilité pour rouler sans polluer : la voiture électrique. Il existe des
modèles classiques mais aussi des versions plus luxueuses comme cette Venturi
électrique. Avantage : une voiture design, rapide et agréable à conduire.
Mais attention, il faut 16 heures pour recharger les batteries. Autre inconvé-
nient, vous ne pourrez faire que 350 kilomètres. Et à 540 000 euros la voi-
ture, rouler bio reste un véritable luxe.
Troisième solution pour protéger l’environnement : la pile combustible à hydro-
gène. Peu polluante, elle rejette de l’eau dans l’atmosphère. Le problème, c’est
que c’est loin d’être une réalité : en effet, il faudra attendre encore dix ans pour
que cette voiture apparaisse sur le marché de l’automobile, elle utilise encore
trop d’énergie. Mais d’autres constructeurs poursuivent des recherches sur une
utilisation différente et plus efficace de l’hydrogène, adapté à des véhicules
plus compacts. Actuellement, seuls les transports en commun utilisent ce car-
burant.
Enfin : l’énergie solaire. À peine 260 kilos et capable de rouler jusqu’à 145
kilomètres / heure, ce véhicule peut effectuer 800 kilomètres sans s’arrêter. La
voiture de demain ?

Unité 9 : Commerce solidaire

Vendre en menant des actions de solidarité, c’est ça le commerce équitable.


Un concept très porteur. Les boutiques se développent en France. En cinq ans,
Artisans du monde a doublé son chiffre d’affaire.
Une cliente : « Oui, bah, ça me paraît plus juste pour ces pays-là. »
Tous ces objets ont été fabriqués par des artisans de Babéising, une région
très pauvre au nord du Cameroun. Cet artisanat, c’est leur seule ressource.
Acheter ces produits, c’est faire un geste concret de solidarité car ces objets
sont vendus dans les boutiques Artisans du monde. Dans ce réseau, pas de
prix bradés. Ces poteries camerounaises sont vendues environ 150 francs, 40
francs sont reversés directement au potier. Ca lui permet d’avoir un salaire décent
et de financer des actions de développement pour le groupement d’artisans
Preskraft.
Une responsable : « Preskraft au Cameroun a pour objectif de lutter contre
l’exode rural et également de mettre en avant l’artisanat et aussi d’offrir une
formation à des jeunes qui au départ n’ont pas de travail et qui seraient tentés
justement de partir à la ville et grâce à cette formation, ils produisent eux-mêmes
des instruments de musique, de la poterie. »
Dès la première note, on sent leur joie d’être ici.
Un danseur : « Le premier message c’est que nous voulons montrer aux gens
d’ici que nous avons des problèmes. Y’en a tellement qu’on en a plus. Donc
on se met à danser. Mais à travers nos danses nous essayons aussi de vous
expliquer les grands problèmes de l’heure. »
À Langon, pas de musique sans paroles, le débat est primordial et quotidien
qu’on se retrouve ici sous les platanes de médiaméthèque ou près d’un stand
dédié au commerce équitable, tout est conçu pour redorer l’image un peu ternie
de certains pays.

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Exemple en République dominicaine où ce village a maintenant l’eau potable.


Le réseau a été financé par les touristes qui ont acheté un séjour labellisé par
l’association TFD, tourisme pour le développement. Sur chaque voyage, un dollar
est prélevé par nuit d’hôtel, les fonds financent des projets humanitaires.
L’association est récente mais elle a déjà collecté 70 000 euros cette année.

Unité 10 : À chaque ado sa tribu Module 4

La petite fille : « Moi je prendrai tout en fait. »


La journaliste : « Onze ans à peine et déjà gagnées par la fièvre acheteuse.
Le shopping ? Leur activité favorite. 830 euros par an dépensés en moyenne
rien que pour le look. »
La vendeuse : « On met les holà parce que c’est, ce sont des féroces consom-
matrices. »
La journaliste : « C’est maman qui paye mais pour le look, c’est Doris et Emma
et qui décident. Accros aux marques dès la maternelle. »
La petite fille : « Y a une expression à l’école qu’on dit quand on a un nou-

connexions 2 : transcriptions
veau truc qui ressemble vraiment, qui est horrible, on dit : Tu l’as déniché dans
la tombe de tes ancêtres ? »
La journaliste : « Des lolitas comme Doris et Emma. Des gothiques, des BCBG,
des chaballahs ou des urban chics. À chaque ado sa tribu, sa famille. Des styles
définis par les publicitaires pour mieux attirer ces conso zappeurs. Paradoxe :
à cet âge-là, on veut être original et pas trop marginal. »
La dame : « C’est un moment où les marques permettent aux ados de se démar-
quer justement de leurs parents et des adultes et puis de se faire remarquer.
Donc, ils en ont besoin d’une certaine façon. C’est leur premier passeport social
disent certaines marques. »
La journaliste : « Jessica et Mathieu, frère et sœur. Leur tribu à eux : le street
wear catégorie surfer. Enfin, le surf, ces élèves studieux ne l’ont jamais pratiqué.
Ils en aiment juste le style décontracté : baskets mode aux pieds, des Converses,
c’est obligé ; t-shirt à motif ; jean baggy. Un look plutôt subi que vraiment choisi :
ils font comme leur copains de lycée. »
Mathieu : « Ben, je vais essayer d’être comme eux. Comme ça ils me verront
d’une autre façon. C’est une façon de socialiser en fait. »
Jessica : « On préfère être comme les autres, comme ses copains, ses copines
et, bon, y a des gens, ils n’ont pas vraiment les moyens de s’acheter de la
marque. Donc, c’est, c’est peut-être… C’est peut-être un peu stupide mais bon,
on est dans le système ! »
La journaliste : « Lucides les ados ! Devenus adultes, 70 % d’entre eux reste-
ront fidèles à leurs marques de jeunesse. En attendant : courage, chers parents,
voici un avant-goût de ce qui, dans leurs penderies, vous attend… »

Unité 11 : Profession : Chef


Une femme dans un univers d’hommes, ben, c’est pas facile tous les jours. Moi,
je dis, j’ai quand même eu la chance que tous ces hommes qui m’entourent,
tous ces grands chefs de cuisine, ils m’ont tous un jour fait sauter sur leurs genoux.

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Je suis née dans les cuisines. Mon père était cuisinier, mon grand-père, mon
arrière grand-père, ma grand-mère. J’ai rencontré Alain Ducasse qui à l’époque
n’était qu’au Louis XV et j’ai travaillé trois ans à ses côtés. Dès l’ouverture, on
a travaillé pour faire bien, pour faire ce qu’on aimait, ce que j’aimais, ce que
je voulais mettre en place, et cetera.
Quand je cuisine, ce que j’ai l’impression, enfin en tous les cas, c’est que ça
vient de là quoi. Ça part du cœur. Ça vient de… C’est quelque chose qui sort
de moi, c’est quelque chose que j’aime. Enfin c’est vrai que je cuisine jamais
des produits que j’aime pas. Donc je fais une cuisine qui travaille le produit
du sud-ouest. Ce que je fais, c’est que, à partir du produit : du poulet des Landes,
du bœuf de Chalosse ou du foie gras, ben après c’est tout mon vécu, tout ce
que j’ai pu voir ailleurs, tout ce que j’ai pu ressentir ailleurs : mes voyages, mes
expériences, et cetera qui se traduisent dans l’assiette. Donc ce sont des asso-
ciations après qui sont un peu insolites.
La cuisine, elle est en moi. C’est vrai que j’y pense très, très souvent puisque
c’est mon métier et c’est surtout ma passion. Avant d’être mon métier, c’est ma
passion. Donc je pense toujours à la cuisine parce que c’est ce que j’aime faire.
C’est vrai qu’à mon personnel je me présente sous les deux casquettes hein :
sous la casquette « chef de cuisine » mais aussi sous la casquette « chef d’en-
treprise ». C’est le travail tous les jours qui fait qu’on trouve sa place et encore
plus par dans ce monde qui est un peu régi par les hommes, oui en effet.

Unité 12 : La folie des soldes

Non, non, nous ne sommes pas à l’entrée d’un concert de Johnny mais bien
à l’ouverture des soldes. Hystérie, bousculade, tout ça pour la course aux bonnes
affaires. Il est minuit une la nuit dernière, cette grande enseigne des Champs
Elysées est la première à ouvrir le bal.
Cliente 1 : « Non, pour l’instant, on ne se crêpe pas le chignon, donc ça va
mais voilà, moi, je trouve assez sympa comme ambiance. C’est marrant quoi,
c’est Paris, c’est un peu la fête quoi. »
Plusieurs milliers de personnes sont venues entre minuit et six heures du matin,
10 000 selon les responsables de la boutique, des noctambules du shopping
prêts à dégotter tout et n’importe quoi. Car ici, on a décidé de frapper très fort.
Le magasin a prévu quelques petits extra : champagne et petits fours pour chou-
chouter les mordus du look.
Cliente 2 : « Je pense que c’est bien mais je pense que les gens se précipi-
tent tellement sur les vêtements qu’ils n’ont pas le temps de boire en fait. »
Cliente 3 : « C’est la première fois que je vois ça. »
Cliente 4 : « C’est ma priorité. »
Autre style dans ce grand magasin parisien, l’ouverture c’est comme d’habi-
tude à 9 heures et demi. Pourtant les soldes sont un événement commercial
de premier plan, rien que pour l’habillement, on fait en un mois et demi 10 %
du chiffre d’affaire. Car désormais les soldes, c’est la guerre entre les marques.
Finis les temps où les soldes permettaient d’écouler les vieux stocks, alors on
fait tout ce qu’on peut pour être original.
Responsable de magasin : « Pour essayer de faire de ces soldes un moment

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de plaisir aussi et pas un moment de fièvre acheteuse… Donc on fait des mas-
sages, notamment de la voûte plantaire, on distribue de l’eau fraîche, des barres
chocolatées de manière à reprendre des forces. »
De la luminothérapie, des menus minceur dans les restaurants du magasin,
des conseils de mode, tout y passe. L’essentiel, c’est que les clientes se sentent
bien pour être prêtes à ouvrir leur portefeuille en toute sérénité.
Hôtesse : « Bonnes courses mesdames. Pour vous donner du tonus ! Bonjour !
Bonjour ! »
Et pour les clientes, un seul mot d’ordre…
Cliente 5 : « Juste pour le plaisir, voilà, comme tout le monde. »
La bonne humeur et la plaisir de faire les soldes, c’est ça la nouvelle idée mar-
keting. Car après tout l’essentiel pour les magasins se résume en un seul mot :
consommation.

connexions 2 : transcriptions

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Module 1 - Unité 1 : Bénabar, le clip …

Première partie
1. Ordre des phrases : 7, 10, 1, 4, 2, 11, 8, 3, 9, 6, 5. 2. Le locataire ou le
propriétaire de l’appartement, la future co-locataire et ses amies. 3. L’une
des jeunes filles emménage dans l’appartement, les autres l’aident.
Deuxième partie
1. a. faux ; b. vrai ; c. faux.
2. un paravent ; des cartons ; une baignoire ; des habits.
3. l’oreille ; l’œil ; le cœur.
4. a. fringues ; oreiller ; taie ; draps ; couette. b. On trouve tout cela dans
une chambre.
5. Le jeune homme ne semble pas content. Il pense sans doute que c’était
mieux avant.
Troisième partie
Deux brosses à dent dans la salle de bain
Du savon sans savon et le sèche-cheveux
C’est certainement pas le mien
Des petites boules bizarres
Pour parfumer la baignoire
C’est un vrai cauchemar
Quelqu’un a massacré tous mes amis cafards !
Dans la cuisine des sachets de thé
De verveine de camomille
Un message sur le répondeur d’une mère
Qu’est pas la mienne
V’là qu’elle s’en prend à ma famille !
Y’a des détails qui trompent pas
Quelqu’un en douce a fait la vaisselle
Où sont mes habitudes mon ménage trimestriel ?
J’ouvre le frigo horreur mais c’est d’la folie !
Y’a plein de légumes !
Y’a même des fruits !
C O R R I G É S

Quatrième partie
a. Il pense qu’il n’est plus célibataire.
b. La jeune fille est en train de lire.
c. La camion part sans la jeune fille.
d. La jeune fille veut rester chez lui.
e. Le jeune homme n’a pas décidé de vivre avec elle.
f. La jeune fille paye aussi le loyer de l’appartement.

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Module 1 - Unité 2 : Lille 2004

Première partie
1. Lille. 2. La culture. 3. une gare ; une rue ; des tableaux ; un café ;
une horloge ; la foule ; des boutiques ; des musiciens. 4. La culture et les
arts.
Deuxième partie
1. Jean-Claude Casadesus. 2. Chef d’orchestre. 3. 1035 musiciens.
4. « Voyageons vers Lille, capitale européenne de la culture. ». 5. 200 à
250 000 personnes sont attendues dans les rues. 6. Une année complète.
Troisième partie
1. L’ouverture. 2. Les cultures et toutes les formes d’expression artistique.
3. La sculpture, le cinéma, la photographie.
Quatrième partie
1. Dans la rue, dans les musées et la gare. 2. Des mutants mi-sculptures,
mi-robots, des fleurs artificielles qui répondent aux caresses des visiteurs.
3. La gare est devenue toute rose. 4. Une piste d’atterrissage pour des
vaisseaux spatiaux.
Cinquième partie
1. 70 millions d’euros. 2. 2 000 manifestations. 3. Oui, ce sera un évé-
nement populaire. 4. La nuit sera blanche. Cela signifie qu’on ne se cou-
chera pas.

Module 1 - Unité 3 : Pub

Première partie
1. Dans un bureau, dans une entreprise.
2. Il y a 5 personnes : 4 hommes et 1 femme. Eux portent une chemise
et une cravate, les vestes sont posées sur le dossier des chaises. Elle, elle
porte un tailleur jupe et un chemisier à rayures. Ils sont tous habillés de
manière très élégante.
4. C’est la jeune femme qui parle. Elle est assise puis debout, face aux
hommes assis derrière un grand bureau.
5. un porte-manteau ; un téléphone ; une bouteille d’eau ; un sac à
main.
6. Une publicité
Deuxième partie
1. C’est une publicité pour des chaussures de la marque Eram. 2. a. faux ;
b. vrai ; c. faux ; d. faux ; e. vrai
Troisième partie
1. faible ; pondeuse ; enceinte ; avantage ; harcèlement ; procès ; mômes ;
pincer. 2. Parce qu’il est gêné et surpris par ce que dit la jeune femme. Il
a honte. Elle semble dire des choses vraies. 3. Sans doute, parce qu’il sait

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que ce qu’elle dit est vrai. C’est un sourire pour signifier peut-être une cer-
taine complicité mais aussi pour masquer la surprise et la gêne.
4. agacé et calme en même temps.
5. a. Elle pense qu’elle n’a pas obtenu le poste parce qu’elle est une femme.
b. Les hommes pensent que les femmes sont souvent enceintes.
c. Les femmes rentrent tôt du travail parce qu’elles doivent s’occuper de
leurs enfants. d. Les hommes gagnent plus d’argent que les femmes. e.
Les femmes dépensent mieux l’argent que les hommes.
6. À travail égal comparé aux hommes, une femme est payée 30 % de
moins. 7. de machisme et d’injustice

Module 2 - Unité 4 : Le Viaduc de Millau

Première partie
1. Un viaduc. 2. Cela permet aux transports routiers de traverser de
longues vallées beaucoup plus rapidement. 3. a. à Millau ; b. en trois ans ;
c. 10 ans
Deuxième partie S
1. Ingénieur. 2. a. faux ; b. faux ; c. vrai ; d. vrai
Troisième partie
1. Ordre des phrases : c ; a ; e ; f ; g ; d ; b.
2. a. le 14 décembre 2001. b. 245 mètres. c. Non. C’est l’évolution de la
technique, les outils de calcul actuels, les moyens matériels disponibles
aujourd’hui qui ont permis d’achever cette construction.
Quatrième partie
1. - La journaliste : Plus improbable encore fut la jonction des deux tron-
çons du tablier car il a fallu faire coulisser ces 26 000 tonnes d’acier sur
des vérins hydrauliques pour un rendez-vous au-dessus du vide le 27 mai
2004.
- Un ingénieur : Pour moi, c’est impressionnant. C’est comme si on avait
C O R R I G É S

fait un petit bébé, là. On l’a construit nous-mêmes même si ce sont les ordi-
nateurs qui ont machiné tout ça.
- La journaliste : Et rien n’a été laissé au hasard jusqu’au revêtement rou-
tier conçu sur mesure afin d’épouser la déformation du viaduc pour un
maximum de sécurité.
- Un ingénieur : L’infrastructure tiendra en toutes circonstances : que ce
soit au vent, que ce soit au séisme et elle tiendra pour 120 ans comme
nous nous y sommes engagés.
2. a. faux ; b. vrai ; c. vrai ; d. vrai
Cinquième partie
1. a. La construction est surprenante parce qu’elle paraît fine à l’extérieur
et elle est creuse à l’intérieur. b. Le caisson est un record parce qu’il ne
pèse que 35 000 tonnes. c. Le caisson pèse cinq fois plus que la Tour Eiffel.
d. La sécurité est optimale parce que la construction est constamment sur-

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veillée. 2. 600. 3. 400 millions d’euros.

Module 2 - Unité 5 : Convergences

Première partie
1. Il est détendu. 2. Journaliste, écrivain. 3. Beyrouth au Liban. 4. La
guerre civile. Il écoutait plusieurs types de musique, lisait de la littérature
française. Il étudiait. 5. L’arabe (langue officielle du Liban le français et
l’anglais (à cause de l’influence occidentale le Liban fait partie de la fran-
cophonie) qu’il pratique plus ou moins fréquemment. 6. Probablement
parce qu’il a vécu dans un pays influencé par ces trois civilisations.
Deuxième partie
1. Un relativisme 2. Cela signifie que la richesse culturelle de l’homme
appartient à tout le monde sur terre où que l’on soit.
Troisième partie
1. le blues, musique des Etats-Unis.
2. Il utilise les deux mains et commence par l’index.
3. Le jazal : des chanteurs / chanteuses improvisent une chanson à partir
d’un thème musical. On peut écouter cette musique au Liban, en Syrie et
dans d’autres pays arabes.
4. Montaigne, Voltaire et les critiques (auteurs français).
Quatrième partie
1. Il n’y a aucune culture supérieure à une autre.

Module 2 - Unité 6 : Grèves

Première partie
1. Dans une gare. 2. Des gens attendent et regardent des panneaux
d’affichage. 3. Ils sont inquiets.
La patience et la résigna- L’angoisse, l’inquiétude, l’éner-
sentiments
tion vement
les personnes aux bras la femme qui se ronge les
attitudes
croisés ongles

4.
5. a. anxieux. b. « Une fois de plus les usagers attendent désespérément
leur train. »
Deuxième partie
1. Elle n’a pas de train pour rentrer chez elle. Le matin, elle a mis trois heures
pour venir. 2. C’est phénoménal. C’est inadmissible.

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Troisième partie
1. Les transports publics (trains, métro, bus). 2.SNCF : Société nationale des
chemins de fer ; RATP : Régie autonome des transports parisiens ; RER :
Réseau express régional. 2. Train de la banlieue parisienne, métro, bus.
Quatrième partie
1. Aujourd’hui, la mobilisation contre la réforme des retraites est forte car
le projet de loi Fillon est débattu à l’Assemblée nationale. Trois syndicats
appelaient à débrayer.
2.
pas pas
d’accord contente raisons
d’accord contente
1re personne Elle ne veut pas
interrogée travailler jusqu’à
x x 60 ans et plus, ni
elle, ni ses enfants.

2e personne Elle se demande


interrogée qui va payer sa
x x retraite dans
10 ans.

Cinquième partie
1. une manifestation ; un panneau d’affichage ; l’intérieur d’un aéroport ;
un arrêt de bus ; un TGV ; une station de métro ; une autoroute.
2. TGV (Lignes à grande vitesse), Corail (Trains grandes lignes), TER (Trains
express régionaux).
3. Marseille, Béziers, Clermont-Ferrand et Nice.
4. Des embouteillages importants dans et autour de Paris.
5. A Nice, Ajaccio et Orly.

Module 3 - Unité 7 : Savoir-vivre


C O R R I G É S

Première partie
1. Dans une épicerie. Un épicier et une cliente.
2. Il lit puis il lève la tête, arrête de lire son journal et semble la saluer. Il
lui dit sans doute « Bonjour. »
3. Non.
4. Elle est indifférente.
5. Elle porte un tailleur. Elle pourrait appartenir à la catégorie des cadres.
6. Ordre des actions : c. ; d. ; b. ; a.
7. Elle fait ses courses.
Deuxième partie
1. Elle les jette sur le comptoir, à la caisse.
2. Il est surpris mais reste impassible.
3. Elle hausse les sourcils.
4. Il fait un signe de la tête.
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Troisième partie
Ordre des phrases : c. ; h. ; g. ; i. ; f. ; a. ; d. ; e. ; b.
Quatrième partie
1. du vinaigre balsamique et du whisky. 2. moqueur. 3. Il voudrait pro-
bablement qu’elle lui demande des choses poliment. En faisant semblant
de ne pas comprendre, il se moque d’elle mais cherche aussi à lui faire
comprendre qu’elle manque de politesse.
Cinquième partie
1. poli. 2. D’une certaine manière, elle se venge. Elle montre aussi qu’elle
a été polie mais qu’elle a été forcée de l’être.

Module 3 - Unité 8 : Voitures non polluantes

Première partie
1. À Paris : on distingue des plaques minéralogiques 75, le panneau indique
la direction « Bercy », quartier parisien et on distingue l’église de la
Madeleine.
2. brumeux.
3. La pollution atmosphérique.
4. 20.
5. a. vrai ; b. vrai ; c. vrai.
Deuxième partie
1. végétale
2. Le colza
3. Ordre des actions : c. ; b. ; e. ; a. ; d.
4. En juillet, en été.
5. 45 % d’huile.
6. Le biocarburant.
Troisième partie
1. Ce sont des voitures électriques. Certaines sont des modèles courants.
La dernière est plus sportive et plus luxueuse.
2. Chambord
3. Avantages : une voiture design, rapide et agréable à conduire.
Inconvénients : Recharger cette voiture prend du temps ; on fait assez
peu de kilomètre ; elle coûte très cher.
Quatrième partie
1.Troisième solution pour protéger l’environnement : la pile combustible
à hydrogène. Peu polluante, elle rejette de l’eau dans l’atmosphère. Le pro-
blème, c’est que c’est loin d’être une réalité : en effet, il faudra attendre
encore attendre dix ans pour que cette voiture apparaisse sur le marché
de l’automobile et elle utilise encore trop d’énergie. Mais d’autres construc-
teurs poursuivent des recherches sur une utilisation différente et plus effi-
cace de l’hydrogène, adapté à des véhicules plus compacts. Actuellement,
seuls les transports en commun utilisent ce carburant.
2. a. Puisque ce carburant utilise beaucoup d’énergie, il n’est pas prêt de

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devenir réalité pour les voitures. b. Comme ce carburant utilise encore beau-
coup d’énergie, des constructeurs cherchent des moyens pour le rendre
plus efficace. c. Grâce à ce carburant, il y a peu de pollution. d. Ce car-
burant est uniquement utilisé par les transports en commun parce que leur
taille est adaptée à ce système.
Cinquième partie
1. À l’énergie solaire. 2. « Finalement : l’énergie solaire. À peine 260 kilos
et capable de rouler au moins à 145 kilomètres/heure, cette voiture peut
effectuer 800 kilomètres sans arrêt. La voiture de demain ? »

Module 3 - Unité 9 : Commerce solidaire

Première partie
1. « Consommez responsable avec ARTISANS DU MONDE »
2. Dans une boutique d’artisanat, dans un pays occidental.
3. Des vêtements, de la vaisselle, des objets décoratifs, des instruments de
musique.
4. Probablement de pays du sud (pays en développement).
5. Il s’agit de commerce solidaire ou commerce équitable.
6. Ce commerce s’appelle le commerce équitable. Il permet à des arti-
sans d’obtenir un salaire convenable quand ils vendent leurs objets en
occident, dans certaines boutiques.
7. « En 5 ans, Artisans du monde a doublé son chiffre d’affaires. »
8. Elle pense que ce commerce est juste. Elle fait allusion aux pays en déve-
loppement.
Deuxième partie
1. Du Cameroun. 2. des artisans. 3. a. vrai ; b. faux ; c. faux ; d. vrai ;
e. vrai
Troisième partie
C O R R I G É S

a. Grâce à Preskraft une formation est proposée à des jeunes sans tra-
vail.
b. Preskraft veut lutter contre l’exode rural.
c. À cause du chômage, certains jeunes veulent partir en ville.
d. Un des objectifs de Preskraft est de défendre l’artisanat.
e. Comme des jeunes bénéficient d’une formation, ils deviennent artisans
et gagnent de l’argent.
Quatrième partie
1. La danse, la musique et les mots.
2. Faire connaître les problèmes d’aujourd’hui.
3. a. « Tout est conçu pour redorer l’image ternie de certains pays. ».
b. Certains pays souffrent d’une mauvaise réputation.

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Cinquième partie
2. en République Dominicaine.
3. Un réseau d’eau potable a été installé grâce à l’argent prélevé sur l’achat
de billets et séjours effectués par les touristes dans certaines agences de
voyage.
4. Complétez.
« Sur chaque voyage, un dollar est prélevé par nuit d’hôtel, les fonds finan-
cent des projets humanitaires. L’association est récente mais elle a déjà
collecté 400 000 francs cette année. »

Module 4 - Unité 10 : À chaque ado sa tribu

Première partie
1. Dans un magasin de vêtements. / Elles regardent des chaussures. / Elles
sont excitées.
2. a. des robes ; des chaussures. b. Des robes et un chapeau. c. 11 ans
d. Le shopping. e. 830 euros.
3. a. Les parents ; les enfants. b. Aux marques des vêtements et à la beauté
des vêtements.
Deuxième partie
1. Aux adolescents
2. Les marques de certains permettent de s’identifier au groupe de ceux
et celles qui portent cette marque. Comme dans une tribu, il y a des signes
de reconnaissance.
3. Elles permettent de se démarquer des parents et de se faire remarquer
par les autres.
4. a. Succession de personnes sur scène et montrant de nouveaux vête-
ments = défilé de mode maison de couture. b. Personne qui présente une
nouvelle collection d’habits à un public = mannequin. c. Personne qui crée
des vêtements = couturier / couturière. d. Endroit connu où sont créés les
vêtements = maison de couture
Troisième partie
1. Le street wear, catégorie surfer, parce qu’ils aiment le style décontracté.
2. baskets mode aux pieds, des Converses ; t-shirt à motif ; jeans baggy.
3. Pas vraiment. En fait, ils s’habillent comme leurs copains. Pour eux, c’est
une manière de socialiser.
4. Cela veut sans doute dire qu’elle fait comme les autres, qu’elle est
acceptée par la majorité.
5. a. lucides b. Ils comprennent parfaitement la situation.
Quatrième partie
1. 70 %. 2. Parce que, a priori, ils ne vont pas aimer ce que vont porter
leurs enfants (des vêtements trop originaux) et ils vont devoir payer les vête-
ments.

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Module 4 - Unité 11 : Profession, chef

Première partie
1. un restaurant ; une cuisine.
2. Hélène Darroze.
3. Chef cuisinier.
4. a. faux ; b. faux ; c. faux.
Deuxième partie
1. Non, c’est un restaurant de haute gastronomie. Le décor est raffiné et
les cuisines sont grandes. Beaucoup de personnes y travaillent.
2. raffiné.
3. Je suis née dans les cuisines. Mon père était cuisinier, mon grand-père,
mon arrière grand-père, ma grand-mère. J’ai rencontré Alain Ducasse qui
à l’époque n’était qu’au Louis XV et j’ai travaillé trois ans à ses côtés. Dès
l’ouverture, on a travaillé pour faire bien, pour faire ce qu’on aimait, ce
que j’aimais, ce que je voulais mettre en place, et cetera.
Troisième partie
1. Son cœur.
2. Elle aime beaucoup ce qu’elle fait.
3. Elle est passionnée.
4. a. vrai ; b. vrai ; c. vrai.
5. a. insolites. b. Les mélanges sont inhabituels.
Quatrième partie
1. de la sauce ; des asperges ; de la crème fraîche ; du foie gras
2. Elle cuisine et elle travaille aussi dans un bureau.
3. se présenter sous une certaine fonction
4. Par son travail de tous les jours.

Module 4 - Unité 12 : La folie des soldes


C O R R I G É S

Première partie
1. Une foule, assez jeune, à l’entrée d’un bâtiment, des gardiens.
2. agitée
3. Probablement à l’entrée d’un magasin ou d’une salle de concert.
4. a. Des soldes. b. Minuit. c. Dans un magasin, à Paris, sur les
Champs-Élysées.
Deuxième partie
1. « Non pour l’instant, on ne se crêpe pas le chignon, donc ça va mais
voilà, moi, je trouve assez sympa comme ambiance. C’est marrant quoi,
c’est Paris, c’est un peu la fête quoi. »
Troisième partie
1. a. vrai ; b. faux ; c. faux ; d. faux ; e. vrai ; f. faux

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Quatrième partie
1. tranquille.
2. Une clientèle plus âgée et essentiellement féminine.
3. a. vrai ; b. faux ; c. vrai ; d. faux.
4. Autre style dans ce grand magasin parisien, l’ouverture c’est comme
d’habitude à 9 heures et demi. Pourtant les soldes sont un événement com-
mercial de premier plan ; rien que pour l’habillement, on fait en un mois
et demi 10 % du chiffre d’affaire. Car désormais les soldes c’est la guerre
entre les marques, fini le temp où les soldes permettaient d’écouler les vieux
stocks. Alors on fait tout ce qu’on peut pour être original.
Cinquième partie
1. le responsable du magasin
2. Des barres chocolatées, de l’eau minérale et des massages de la voûte
plantaire.
3. De la luminothérapie, des menus minceur dans les restaurants du
magasin, des conseils de mode.
Sixième partie
1. La bonne humeur et le plaisir. 2. Que les clients consomment.

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NOTES

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COUV livret DVD 2 1/04/03 14:50 Page 1

connexions
niveaux A2 / B1
du Cadre européen commun

DVD/VIDÉO POUR LA CLASSE

➜ Stimuler l’apprentissage du français avec des documents authen-


tiques courts ;
➜ 12 documents vidéo variés (extraits de films, interviews, repor-
tages, documentaires, etc.) pour aborder différemment certains
aspects culturels et socioculturels du monde francophone ;
➜ 12 fiches d’activités incluses pour décoder efficacement les docu-
ments vidéo (avec les transcriptions et les corrigés) ;
➜ 12 fiches pédagogiques pour l’enseignant à télécharger sur
Internet (www.didierconnexions.com) proposant des activités
complémentaires facultatives, des conseils et des éléments expli-
catifs liés à des points de civilisation abordés dans les vidéos.

Module 1
Unité 1 : Bénabar, le clip … (Clip vidéo) 02’53’’
Unité 2 : Lille 2004 (Reportage France Télévisions) 01’50’’
Unité 3 : Pub ! (Publicité pour les chaussures ERAM) 00’32’’
Module 2

codes : DVD/Vidéo, zone 1, 5639 / 47 3207 9 – zone 2, 5640 / 47 3208 7


Unité 4 : La viaduc de Millau (documentaire) 02’30’’
Unité 5 : Convergences (Interview d’André Bercoff) 02’05’’
Unité 6 : Grèves (Reportage France Télévisions) 01’51’’

VIDÉO, pal : 5538 / 47 3167 5 ; ntsc : 5623 / 47 3197 2


Module 3
Unité 7 : L’épicerie (Court-métrage) 03’28’’
Unité 8 : Voitures non polluantes (Turbo, M6) 01’58’’
Unité 9 : Commerce solidaire (Reportage France Télévisions) 02’00’’
Module 4
Unité 10 : À chaque ado sa tribu (Documentaire) 02’02’’
Unité 11 : Profession : chef (Reportage Cuisine TV) 02’05’’
Unité 12 : La folie des soldes (Reportage France Télévisions) 02’14’’
Nicolas Jérôme
Transcriptions
Corrigés

Production : A ProPos - a-propos@club-internet.fr – Producteur exécutif : Gérard Quéray /


Annie Serres– Réalisation : Gérard Quéray / Shay J. Katz – Infographie 3D - Artésia
Interactive / Ludovic Mayeux
Sources : AGORA Films - ALP Productions - Bandits productions - Ce qui me meut / Cédric Klapish
- Cuisine TV - DMD productions - Docs & Co – ERAM - France télévisions distribution - Gaumont-
Pathé - Images et compagnie / Radio France – INA - Métropole productions - RIFF productions –
Didier
RTBF - Zomba records / BMG France

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